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présente LES ÉTATS-UNIS D’ALBERT un film écrit par André Forcier et Linda Pinet Réalisé par André Forcier avec Éric Bruneau – Émilie Dequenne – Andréa Férréol – Roy Dupuis produit par Yves Fortin - Productions Thalie inc. David Kodsi - Link’s Productions André Martin - Bohemian Films durée 95’ DOSSIER DE PRESSE « Les Etats-Unis d’Albert » d’André Forcier SYNOPSIS LES ÉTATS-UNIS D’ALBERT Le jour de son départ pour Hollywood, Albert Renaud, 25 ans, tue de plaisir son vieux professeur de théâtre, Jane Pickford, 83 ans, qui lui quémandait un baiser d’adieu. Sur le train de Los Angeles, Albert confie son rêve d’être aimé du monde entier à une jeune passionnaria mormone qui milite pour l’égalité de ses pairs en proposant la polyandrie. Grace rend tous les hommes fous d’amour mais c’est Albert qui fait battre son cœur. Un journaliste éconduit expulsera ce jeune premier hors du train et Albert terminera sa traversée des États-Unis en franchissant le désert à pied en compagnie de Jack Dekker, golfeur de profession et persona non gratta en Arizona. Au cours de ce voyage initiatique, Albert découvrira que le monde entier ne remplace pas l’amour d’une femme. Notre héros réussira quand même à conquérir tous les écrans de l’Amérique, mais à sa manière. ******* ANDRÉ FORCIER est l’un des grands cinéastes québécois. Récipiendaire du Prix Albert Tessier en 2003 et du Prix André-Guérin en 1990, il a notamment réalisé La Comtesse de Bâton Rouge (1997), Le Vent du Wyoming (1994), Une histoire inventée (1990) et L’Eau chaude l’eau frette (1976). Avec Les États-Unis d’Albert, André Forcier signe son 10e long métrage. LINK’S PRODUCTIONS 59, rue Meslay 75003 Paris Tél : 01 44 54 15 12 Fax : 01 44 54 15 20 2 DOSSIER DE PRESSE « Les Etats-Unis d’Albert » d’André Forcier EQUIPE TECHNIQUE LES ÉTATS-UNIS D’ALBERT Poste Producteur Coproducteurs Europe Nom Yves Fortin David Kodsi André Martin Réalisateur André Forcier Scénaristes André Forcier Linda Pinet Directeurs de production Daniel Plante Sonia Despars Coordonnatrice de production Sylvie Boily Directeur de la photographie Daniel Jobin 1er Assistant Caméra Daniel Guy Preneur de son Henri Maïkoff Perchiste Arnaud Trochu Chef Éclairagiste Marcel Breton 1er Assistant Réalisation Alain Dupras 2e Assistant Réalisation Pierre Brassard Chef Machiniste Serge Grenier Scripte Julie Maillot Chef Maquilleuse Brigitte Bilodeau Chef Coiffeur Marcello Padovani Concepteur des costumes Klaude Roussel Concepteur des décors Gilles Aird Directeur artistique – Québec Jean Le Bourdais Directeur artistique – Mexique Vincent Aird Chef Accessoiriste Denis Hamel Régisseur int. / ext. Michaël Bonnette Compositeur Jean- Philippe Héritier Conception sonore François Musy Monteur Élisabeth Guido Directeurs de postproduction Jan Vasak Sonia Despars LINK’S PRODUCTIONS 59, rue Meslay 75003 Paris Tél : 01 44 54 15 12 Fax : 01 44 54 15 20 Nationalité Canadienne Française Suisse Canadienne Canadienne Canadienne Canadienne Canadienne Canadienne Canadienne Canadienne Suisse Suisse Canadienne Canadienne Canadienne Canadienne Canadienne Canadienne Canadienne Canadienne Canadienne Canadienne Canadienne Canadienne Canadienne Suisse Suisse Française Française Canadienne 3 DOSSIER DE PRESSE « Les Etats-Unis d’Albert » d’André Forcier LISTE ARTISTIQUE LES ÉTATS-UNIS D’ALBERT Émilie Dequenne Éric Bruneau Andréa Férréol Roy Dupuis Laurent Deshusses Alex Descas Patricia Ubeda Marc Labrèche Alejandro Moran Céline Bonnier Mark Krasnoff François Nadin Alexandrine Agostini Michel Maillot Julie McClemens Guy Richer Frédéric Desager Annie Dufresne Paul Buissonneau Jacques Leblanc Christian Rasselet Geneviève Brouillette Gaston Lepage Grace Carson Albert Renaud Jane Pickford Jack Decker Peter Malone Nolton Barnett Maria Romero Simon Docteur Sax Hannah Steinway Noah Steinway Charlie Braun Lucienne Maire Jones Mary Pickford Shérif Shérif adjoint Miss America Gouverneur Monsieur Jackson Procureur Général Gladys Elmer Carson LINK’S PRODUCTIONS 59, rue Meslay 75003 Paris Tél : 01 44 54 15 12 Fax : 01 44 54 15 20 4 DOSSIER DE PRESSE « Les Etats-Unis d’Albert » d’André Forcier ANDRÉ FORCIER -Filmographie LE SOLEIL, JOCELYN BERNIER « André Forcier est l’un des grands cinéastes québécois. Ses films sont empreints de poésie et de fantaisie, et teintés d’humour. Son œuvre a fait l’objet de plusieurs rétrospectives au Canada, en France, en Belgique, en Allemagne et aux EtatsUnis. Et ses films ont été présentés dans plusieurs festivals, ainsi qu’au Musée d’Art Moderne de New York et au Smithsonian Institute de Washington. En 1990, André Forcier devient le premier récipiendaire du prix André Guérin décerné par la Société Saint-Jean-Baptiste, pour l’ensemble de son œuvre. » Source :Téléfilm-Canada Grand prix du Québec 2003. Prix Albert Tessier pour l’ensemble de son oeuvre. 1967 CHRONIQUES LABRADORIENNES Court métrage 16mm, couleur et n&b Scénarisation, Réalisation Production - Les Films André Forcier “Chroniques Labradoriennes est mon film québécois préféré.” Claude Chamberlan. 1971 LE RETOUR DE L'IMMACULÉE CONCEPTION Long métrage Scénarisation, Réalisation Production - Les Films André Forcier “ L’enzyme Forcier menace la bonne conscience, la réputation des cinéastes officiels… car il est véritablement le seul porteur du nouveau, de la création, de l’imagination du cinéma québécois.” Pierre Demers – Cinéma/Québec vol. 3, no. 1 (Sept. 1973). 1973 BAR SALON Long métrage Co-scénarisation, Réalisation Co-production - Les Productions André Forcier - Les Ateliers du cinéma québécois LINK’S PRODUCTIONS 59, rue Meslay 75003 Paris Tél : 01 44 54 15 12 Fax : 01 44 54 15 20 5 DOSSIER DE PRESSE « Les Etats-Unis d’Albert » d’André Forcier Prix: SIRÈNE D'ARGENT Festival de Sorrente, Italie, Septembre 1974 MENTION SPÉCIALE Prix de la critique, Association des critiques de cinéma du Québec, 1974 « André Forcier a 27 ans. Bar Salon, son deuxième long-métrage marque une date dans l’histoire du cinéma québécois. … Certaines séquences atteignent à cet égard le sublime. Je songe aussi au personnage central qu’incarne Guy L’Écuyer dirigé magistralement et qui donne peut-être le meilleur rôle de sa carrière cinématographique. Cet homme humilié est probablement le Québécois le plus convaincant qu’on a pu voir à l’écran. » Luc Perreault – La Presse, 22 février 1975. 1974 NIGHT CAP Moyen métrage Scénarisation, Réalisation Production - Office national du film du Canada “Night Cap fait regretter que le cinéma québécois ne soit pas plus riche en courts ou moyens métrages de cette qualité. S'il contient en germe les futurs films de Forcier, il dit en 36 minutes beaucoup plus que bien des longs (trop longs, hélas...) métrages québécois.” Michel Houle, Alain Julien, Dictionnaire du cinéma québécois. Fides, 1978 1976 L'EAU CHAUDE L'EAU FRETTE Long métrage Co-scénarisation, Réalisation Co-production - Les Productions André Forcier inc. - ACPAV Quinzaine des Réalisateurs - Cannes 1976 Prix: Grand prix de la presse Chamrousse, 1978 « Ça ressemble à Londres, à New York, et au café du Commerce. C'est presque une synthèse entre « Taxi-driver » et « Porte des Lilas ». Ça se passe à Montréal. ... C'est un grand film. » Gilles Millet - Libération, mai '78. LINK’S PRODUCTIONS 59, rue Meslay 75003 Paris Tél : 01 44 54 15 12 Fax : 01 44 54 15 20 6 DOSSIER DE PRESSE « Les Etats-Unis d’Albert » d’André Forcier 1983 AU CLAIR DE LA LUNE Long métrage Co-scénarisation, Réalisation Production - Les Productions Albinie inc. - Office national du film du Canada Prix: Prime à la qualité Institut québécois du cinéma « Cette poésie nocturne, lunaire, gonflée de rêve, de violences et de fantaisie; le cinéaste André Forcier nous en donne un bel aperçu dans Au clair de la lune, sa dernière et tant attendue réalisation. Évoquant la nostalgie de l’enfance, Forcier nous plonge d’emblée au cœur de cette nuit urbaine et froide et nous dévoile sa faune chaplinesque. » Fulvio Caccia - Virus, mars-avril, 1983. 1987 KALAMAZOO Long métrage Co-scénarisation, Réalisation Production - Les ateliers du cinéma québécois - Office national du film du Canada Prix: L.E. OUIMET-MOLSON Meilleur film québécois, Association québécoise des critiques de cinéma,1988 PRIX GUY-L'ÉCUYER Meilleure performance d'un acteur ou d'une actrice décerné à Marie Tifo. “Dire que Kalamazoo d’André Forcier était “espéré” ici, comme dirait la Sagouine, c’est aussi évident que d’affirmer que le jour aspire à la lumière. Les inconditionnels de Forcier à l’avance pourléchaient les bobines de ce film contenant un autre chef-d’œuvre assuré. Les autres le voyaient venir de près avec une boîte pleine de bière et son fanal électrique aux gadgets parfois douteux. Cependant, tout ce beau monde s’entendait sur un point : Forcier a du talent. Plus que du talent. Il a le cinéma dans la peau. … Pour moi, en faisant allusion au célèbre Kâma-soutra de Vatsyâyana, le dernier film de Forcier est le Kalamazootra d’un cinéaste qui nous dit par une sirène: “Tout temps qui n’est pas donné à l’amour est du temps perdu ” Kalamazoo n’est pas une écharde dans l’univers de Forcier, c’est une clé qui ouvre la porte de son cœur.” Janick Beaulieu – Séquences, no. 138. LINK’S PRODUCTIONS 59, rue Meslay 75003 Paris Tél : 01 44 54 15 12 Fax : 01 44 54 15 20 7 DOSSIER DE PRESSE « Les Etats-Unis d’Albert » d’André Forcier 1990 UNE HISTOIRE INVENTÉE Long métrage Co-scénarisation, Réalisation Production - Les Films C.M. Luca - Groupe Téléscène inc. Quinzaine des Réalisateurs – Cannes 1991 Prix Air Canada (Grand prix du public) Festival des films du monde de Montréal, 1990 Meilleur film canadien Festival de films du monde de Montréal, 1990 Meilleur film canadien Cinefest, Sudbury, 1990 Sélection canadienne pour l’Oscar du “Meilleur Film en Langue Étrangère”. “Il y a un style Forcier, comme un style Ducharme: la comédie cynique, l'invention d'un monde surréel fait de mille détails terre-à-terre, réalistes, ramassés dans une vision qui surplombe le banal et atteint à un réalisme poétique débarrassé de maniérisme. Du cru dans la folie”. Robert Lévesque - Le Devoir, 29 août 1990. 1994 LE VENT DU WYOMING Long métrage Scénarisation, Réalisation Production - Les Productions E.G.M. - Transfilm Inc., Eiffel Films, 1994 Prix: Prix de la Critique internationale (FIPRESCI) Festival des films du monde de Montréal, 1994 Meilleur film canadien Festival des films du monde de Montréal, 1994 Grand prix de la ville de Sarlat Festival du film de Sarlat (France), 1994 Prix du meilleur scénario (SARDeC) Prix Luce-Guilbeault (meilleure jeune actrice) Sarah-Jeanne Salvy Les Rendez-vous du Cinéma Québécois, 1995 C’est de l’amour dont il est question dans Le Vent du Wyoming: l’amour fou, l’amour fauve, puis l’amour hypnose, l’amour miracle, et enfin l’amour K.O… Le processus narratif très découpé rappelle un peu les premiers films de Jean-Luc Godard. L’humour aussi. Le détachement de la réalité confèrent à de nombreuses scènes une apparente légèreté. Le plaisir du spectateur est double: la surprise d’abord, et puis la saisie d’une pensée dépouillée de toute lourdeur. Malgré tout, il reste une belle gravité, celle dont a su si bien rendre compte Hal Hartley dans Trust me d’où se dégage une LINK’S PRODUCTIONS 59, rue Meslay 75003 Paris Tél : 01 44 54 15 12 Fax : 01 44 54 15 20 8 DOSSIER DE PRESSE « Les Etats-Unis d’Albert » d’André Forcier poésie. L’histoire, le jeu des acteurs s’en retrouvent colorés, embrassés. On est étonné sans être dérouté, il serait dommage de ne pas découvrir ce beau film d’André Forcier. P.F. – Cinéma # 574, 15 mai 1996. LE VENT DU WYOMING (suite) Les dialogues sont surprenants, brillants, lapidaires, avec un sens de la formule choc et de la poésie prosaïque, quasi rimée, toujours rythmique. Visuellement, c'est aussi le délire (et le choc!)... d'un univers qui fonctionne par associations déconcertantes, pêlemêle: un club de boxe, un motel kitsch, une jeune fille obèse qui fond et devient une pinup pour séduire l'écrivain de ses rêves, une amoureuse et un boxeur avec un parapluie sous la douche... Ce sont là quelques pièces de cette mosaïque folle qui trace avec une exubérance rongée d'angoisse un poème cri d'amour et invente une autre façon (on pense à un contrepoint ou pendant québécois à l'univers fou, fleuri et secret d'Almodovar) de brasser et brosser les traits irriguants, intrigants du désir. C. Tab - Cahiers du cinéma. 1997 Montréal. LA COMTESSE DE BATON ROUGE Long métrage Scénarisation, Réalisation Production - Studio Max-Film (Montréal) Film d’ouverture : Festival du Nouveau Cinéma En nomination pour 10 prix Génie, édition 1997. Sélectionné pour représenter le Québec lors de la Semaine du Cinéma du Québec à Paris, Novembre 1997. Forcier signe un film insolite, étonnant et fabuleux; à la fois envoûtant, drôle et émouvant. … Œuvre surprenante, insaisissable et onirique, qui évoque Vigo, Buñuel et Cocteau. Georges Privet – Voir, 12-18 juin 1997. Forcier tient un peu de Chagall. Sa palette fait appel à des émotions brutes. Son film assortit les rêves aux souvenirs, le tout fondu dans des couleurs surréalistes. Luc Perreault – La Presse, 14 juin 1997. Coup de cœur: La Comtesse de Baton Rouge, une histoire réinventée. Il faut voir les films de Forcier. Coûte que coûte. Son cinéma n’a d’autres références que les siennes propres, ce qui est très rare de nos jours, et véhicule un imaginaire unique dans la filmographie québécoise, voire mondiale (on peut tout de même proposer des filiations spirituelles avec Vigo, Cocteau, Fellini et Kusturica tandis qu’ici seul JeanClaude Lauzon peut prétendre au titre de dauphin). Véritable équilibriste sur le fil tenu du cinéma d’auteur populaire, Forcier travaille toujours sans filet. Jean Beaulieu – Cinébulles, vol. 16, no.2, Été 1997. "... La Comtesse de Baton Rouge démontre qu'André Forcier est actuellement le plus grand cinéaste québécois vivant..." LINK’S PRODUCTIONS 59, rue Meslay 75003 Paris Tél : 01 44 54 15 12 Fax : 01 44 54 15 20 9 DOSSIER DE PRESSE « Les Etats-Unis d’Albert » d’André Forcier Daniel Rioux, Journal de Montréal. Il y a dans les fresques intimistes et un peu folles d’André Forcier, un penchant évident pour l’imagerie médiévale. Le tout dans une joie de vivre, de créer, de s’embrasser et de faire l’amour, tant dans la conception même du film que dans le récit qu’il nous propose. C’est une sorte d’optimisme systématique où sont désamorcés le luxe et le clinquant qui fait partie de nos vies. Dans La Comtesse de Baton Rouge, Forcier nous montre son spectacle ininterrompu, sans jeu de massacre forain destiné à assouvir l’agressivité suspecte des badeaux, sans veulerie, sans petitesse d’esprit, sans humilier personne. Le cinéma de Forcier est cinéma de cirque. Maurice Elia, Séquences, sept.- oct., 1997 2002 GUMB-OH LA LA Série documentaire Scénarisation, Réalisation Production – Télé-Vision pour TV5 Cette série documentaire nous invite à explorer le " gumbo " culturel de la Louisiane : les Cadiens, descendant des Acadiens du Grand Dérangement - les Créoles, issus des esclaves noirs - les Amérindiens, premiers habitants du delta du Mississippi. Ces trois peuples ont un style de vie, une cuisine et une musique qui leur est propre mais une langue commune, le français. Animée par Marie-Jo Thério et réalisé par André Forcier, cette série se propose de donner la parole à treize Louisianais francophones et nous invite à découvrir cette " contrée qui n'est pas de ce monde " comme l'a écrit le romancier Charles Dudley Warner après son voyage en Louisiane en 1887. C'est donc à une série de portraits de francophones louisianais contemporains que nous vous convions, une aventure riche et profonde qui nous emmène au coeur d'une culture locale telle qu'elle est interprétée par ces francophones de l'Acadie tropicale. www.tv5.org 2004 ACAPULCO GOLD Long métrage, 83 minutes Bétacam numérique, couleur Coproduction, Coscénarisation et Réalisation Séléction dans la section « Vision » Toronto Internation Film Festival « Ce petit film, tricoté et agrafé avec amour, savoir faire et poésie, fait un bien fou. On aurait envie de dire merci… » Aleksi K. Lepage, La Presse, 27 novembre 2004 LINK’S PRODUCTIONS 59, rue Meslay 75003 Paris Tél : 01 44 54 15 12 Fax : 01 44 54 15 20 10 DOSSIER DE PRESSE « Les Etats-Unis d’Albert » d’André Forcier « Un film modeste avec un impayable et énergique acteur signé par un grand irréductible, André Forcier. » Denis Côté, Ici, du 25 au 1er décembre 2004. Une fois de plus, Forcier nous transporte dans son univers à la fois fantastique et saisissant de réalisme cristallin, un monde fragile et enchanteur qui nous émerveille comme un beau conte de notre enfance, juste au moment de fermer les yeux pour un autre hallucinant voyage au pays des rêves oubliés… Pierre-Philippe Gingras, Photo Police, 10 décembre 2004 « Un chef d’œuvre qui, fracassant le tabou de la spiritualié, requestionne les valeurs de la société contemporaine. … La distribution, qui porte à la gloire Michel Maillot, un inconnu que l’on gagne à découvrir, est impressionnante, mettant en lumière des visages peu exploités et surtout, un talent inépuisable. À travers une esthétique minimaliste, plus imposée que choisie, André Forcier réalise un tour de force et signe une œuvre totale, appelée à ‘l’intronisation’ . » Isabelle Ouimet, Montréal Campus, 24 novembre 2004. 2005 LES ETATS-UNIS D’ALBERT Long métrage, 90 minutes Co-Production : Canada / France / Suisse Sortie au Canada Avril 2005 Sortie en Europe prévue en juillet 2006 LINK’S PRODUCTIONS 59, rue Meslay 75003 Paris Tél : 01 44 54 15 12 Fax : 01 44 54 15 20 11
