p. 3 - Smals
Transcription
p. 3 - Smals
SYMBiOSE N° 61 – Avril 2016 Photos : BDW eMagazine de Synergy : une collaboration fructueuse débouche sur un outil de planification novateur pour le Commerce extérieur (p. 3) Smals – Avenue Fonsny 20 – 1060 Bruxelles – 02 787 57 11 - www.smals.be Éditorial __ __ Zoom sur un projet La deuxième priorité d'entreprise concernera l'orientation résultat, en tant que moteur de nos prestations. Les collaborateurs qui prennent leurs responsabilités en visant le résultat le plus efficace détiennent la clé du succès, comme en témoigne notamment la nouvelle application de planification Synergy (p. 3), que Smals a développée avec l'Agence pour le commerce extérieur, Fedict et le SPF Chancellerie. Grâce à cet outil novateur, les missions économiques princières et les visites d'État peuvent être organisées encore plus efficacement. Présentation de Synergy par l'Agence pour le Commerce extérieur en présence royale Le 28 janvier 2016, l'Agence pour le Commerce extérieur a présenté en primeur sa nouvelle application de planification baptisée "Synergy". Grâce à cette innovation, les missions économiques princières et les visites d'État peuvent être organisées encore plus efficacement. S.M. le Roi, S.A.R. la Princesse Astrid, le Vice-Premier Ministre et Ministre des Affaires étrangères Didier Reynders ainsi que le Secrétaire d'État au Commerce extérieur Pieter De Crem étaient présents à cette grande première. Photo : Jan-Frans Lemmens Nous partageons volontiers notre quête d'innovation et de progrès. "TARDIS" (p. 4) est un illustre exemple de cette volonté. Avec cet outil en ligne, le secteur médical a fait un bond en avant dans le monde numérique. Il permet aux rhumatologues d'enregistrer les données de patients, mais aussi d'introduire une demande de remboursement, laquelle est directement traitée par la Mutualité. Une première. Outre nos priorités d’entreprise, nous prévoyons la poursuite de l'intégration de "PRINCE2" (p. 6). Dans cette méthodologie, la solidité des business cases est capitale. Elle permet entre autres d'analyser la valeur que le projet générera dans le business et de produire des résultats Fin 2015, Smals et quelques-uns de ses clients ont été mis mesurables. Smals souhaite ainsi répondre aux désirs des à l'honneur. L'e-Gov Award de la meilleure innovation a été utilisateurs finaux. En effet, l’expression « en avoir pour son décerné à la CAAMI pour le G-Cloud et celui de la meilleure argent » est plus que jamais un concept essentiel. collaboration a été remis à la BCSS pour le Datawarehouse Marché du travail & Protection sociale, tandis que l'AFMPS Smals travaille encore à d'autres projets porteurs d'un a gagné la Customer Case Competition de Smartbiz avec intérêt social fondamental. Citons par exemple la révision le programme TDMI. Smals peut en outre se revendiquer des comptes des employeurs de l'ONSS. Vous trouverez "Top Employer" pour la huitième fois consécutive. C'est donc plus d'informations à ce sujet dans un prochain Symbiose. avec une grande fierté que nous avons tourné la page de Tout comme en 2015, Smals souhaite répondre encore 2015. plus aux désirs de ses clients au cours des prochaines années, traduire leurs défis en opportunités, leurs risques En 2016 également, la synergie et le G-Cloud constitueront en occasions à saisir et leurs projets en ‘success stories’. une priorité d'entreprise pour Smals. Il s'agit de permettre à nos membres d'optimiser leurs services et de collaborer Kelsey Ruys, Rédactrice à un moindre coût. L'histoire continue Contenu… 3 Fiers de Smals : Synergy 4 Zoom sur un projet : TARDIS SYMBIOSE 61| 04.2016 2 6 PRINCE2 sous la loupe 10 Smals est Top Employer 2016 12 Sur les pas de Jonathan Lannoy 14 Coin des brèves Cliquez sur la photo pour découvrir plus de photos de la présentation. De gauche à droite : Johan Ergo (analyste fonctionnel, Smals), Julie Derwa (Trade Missions Coordinator, Agence pour le Commerce extérieur), Karen Van Houdt (SharePoint developer, consultant), Rosemary Donck (Media & Social Media Manager, Agence pour le Commerce extérieur) En étroite collaboration avec Fedict, le SPF Chancellerie et Smals, l'Agence pour le Commerce extérieur a fait développer la nouvelle application de planification "Synergy" pour soutenir les missions économiques conjointes et les visites d'État. "Il s'agit d'une matière complexe impliquant de nombreuses parties : le Palais royal, le SPF Affaires étrangères, les institutions régionales en charge du commerce extérieur, les entreprises participantes... Garder une vue d'ensemble tient parfois du défi", témoigne Rose Donck, media & social media manager pour les missions. Le choix s'est porté sur une combinaison de technologies existantes avec des processus de travail et des rapports sur mesure. Smals s'est chargée entre autres de l'analyse business, du développement et de l'intégration technique. La fonctionnalité englobe à la fois l'inscription des participants, la constitution du programme, la gestion des aspects logistiques tels que les chambres d'hôtel et le transport ainsi que l'impression des brochures et des listes de participants. Quand les listes font place aux processus automatisés Jusqu'il y a peu, toutes les données d'inscription étaient minutieusement tenues dans plusieurs listes. Une occupation pour le moins intensive, qui augmente le risque d'erreurs. "L'information était chaque fois recopiée. Par participant inscrit, quelque 50 manipulations étaient nécessaires. Avec une moyenne de 300 participants par mission, cela représente environ 15.000 copier/ coller", se souvient Rose Donck. "La nouvelle méthode offre un gain de temps et réduit le risque d’erreurs. La probabilité d'erreur humaine est à présent moins élevée. Les collègues qui utilisent déjà la nouvelle méthode sont enthousiastes. Pour eux, le premier contact avec la nouvelle application fut une véritable libération. Lorsque, à titre de test, ils devaient utiliser les deux systèmes en parallèle, ils délaissaient déjà spontanément l'ancienne version. Nous avons définitivement fait la transition depuis avril 2016. Beaucoup de temps sera ainsi libéré pour d'autres choses comme la concertation, les contrôles et la communication." Sécurité et contrôles croisés Lors de l'organisation de voyages, chaque détail compte... Tout doit se dérouler sans encombre pour les participants et l'organisation. Le software comporte en lui-même plusieurs contrôles croisés, qui permettent par exemple de vérifier si un passeport valable a été enregistré pour chaque participant ou de veiller à remplir les véhicules de façon optimale lors de la préparation d'un convoi. "Nous disposons aujourd'hui de plus de 70 rapports sur mesure comme les listes de participants, les brochures de programme avec photos ou la composition d'un convoi sécurisé. À présent, chaque modification s'effectue en un clic, tandis qu'auparavant, les modifications étaient apportées manuellement dans chaque document." Rédaction : Jan-Frans Lemmens SYMBIOSE 61 | 04.2016 3 Zoom sur un projet __ __ Zoom sur un projet TARDIS, évolution numérique du secteur médical Retour en arrière Noëlle Bauwin, Chain Project Leader Photo : Kelsey Ruys Depuis 2015, les rhumatologues utilisent TARDIS dans le traitement de l'arthrite rhumatoïde. Grâce à cet outil en ligne, les dispensateurs de soins peuvent pour la première fois relier les données du patient à une demande de remboursement pour le médicament prescrit. Outre une grande simplification administrative, l'application autorise des traitements plus précis. Ainsi, sur la base des données présentes dans TARDIS, des statistiques peuvent être générées à propos des effets de certains médicaments. Le secteur médical souhaite d’ores et déjà que l'outil soit élargi à d'autres maladies et médicaments. Une première… fallait une quait plusieurs parties, il pli im jet pro le e qu é nn demandes "Étant do I, nous avons examiné les AM l'IN ec Av n. tio ina bonne coord planning et le avons conciliées avec le des rhumatologues et les en et une aide us avions prévu un souti no , -ci ux ce ur Po et. dg AMI, les bu La collaboration entre l'IN . on ati lic pp l’a de nt me cace et au lance sureurs et Smals a été effi as es ism an org les s, ue rhumatolog teurs. TARDIS est , tout comme les autres ac ble da mi for il va tra un ré liv i. Les patients et Smals ont effet toucher n'importe qu en ut agréable. Les équipes de pe de toï ma rhu rite citoyen. L'arth administratives." vraiment un projet pour le multitude de tracasseries ne d'u és ss rra ba dé t an inten les prestataires sont ma Photo : Nancy Boodts s rè g n o C u a te n e s ré p n re e v 25/09/2015 : Leen Van Loo belge de rhumatologie ? t au congrès en ém is éc pr it fa s. Sur la s ou -v ez Qu'av estions des rhumatologue qu x au du on rép s on av . Durant la nd où nous De gauche à droite : Dino Benazzi, Henda Sammari, Noëlle Bauwin, Anne Sprimont, Olivier Van Rengen, Sylvie Baudelet, Grégory Bastien, Andrea Benetti, Thomas De Smedt, Vincent Berwaer, Jérôme Faucon, Katrien Dickx, Dries De Meyer, Leen Van Looveren, Grace Canlas congrès ait installé son sta AMI a présenté à la fin du l'IN e qu "Au congrès, l'INAMI av sé po ex un té oc techniques. Au us avons conc i répondu aux questions j'a n, tio nta base de ces échanges, no se pré la à ite rmations réponses qui a fait su s qu'ils ont reçu plus d'info foi e un is ma session de questions et ts, an sit hé s se sont montrés plutôt début, les rhumatologue thousiastes." antages, ils étaient très en sur l'application et ses av De SAFE à TARDIS Au début de l’année 2000, les rhumatologues avaient demandé à pouvoir enregistrer les données médicales dans le cadre du traitement de la polyarthrite rhumatoïde. En réponse à cette demande, l'outil SAFE avait été proposé. Afin que cet enregistrement puisse être associé à une demande en ligne de remboursement des médicaments biologiques, TARDIS (Tool for Administrative Reimbursement Drug(s) Information Sharing) a ensuite été développé. TARDIS permet aux rhumatologues d'introduire les données du patient de manière sécurisée et d'effectuer en même temps la demande de remboursement auprès de la mutuelle. Leen Van Looveren, analyste fonctionnelle chez Smals, nous explique l’un des avantages majeurs. Pour ne citer que quelques avantages... Fonctionnement de TARDIS SYMBIOSE 61 | 04.2016 4 Le rhumatologue doit premièrement créer un lien thérapeutique avec le patient via eHealth Consent. Ce lien permet au rhumatologue et au patient de consulter les autorisations pour le remboursement d'un médicament biologique. Les rhumatologues se connectent via la plateforme eHealth à TARDIS, où ils peuvent entre autres consulter les données des patients, introduire les données administratives et médicales, ainsi que demander le remboursement d'un médicament ou la poursuite du remboursement. Perspectives Leen Van Looveren, Analyste fonctionnelle rhumatologues plus conviviale pour les on ati lic pp l'a dre ren s "Nous allon ns TARDIS même. du lien thérapeutique da en intégrant la création dicaments st utilisé que pour les mé n'e IS RD TA nt, me lle tue Ac toïde. L'outil sera ment de l'arthrite rhuma ite tra au s né sti de es iqu soins biolog d'autres dispensateurs de e qu n afi rgi éla t en lem vraisemblab metteur." mble en tout cas très pro se nir ve L'a ts. en am dic utres mé Photo : Kelsey Ruys TARDIS est un véritable bond en avant dans la simplification administrative du secteur des soins de santé. Désormais, les données médicales ne doivent être enregistrées qu'une seule fois, tandis que les patients peuvent bénéficier d'un meilleur service. La demande de remboursement auprès de la mutuelle s'effectue directement, tout comme la réponse de la mutuelle qui s'ensuit. Par conséquent, le patient ne doit plus attendre et peut immédiatement démarrer ou poursuivre son traitement médicamenteux. Cette innovation permet de gagner un temps précieux. “Avec TARDIS, le secteur médical peut statistiquement analyser les effets des médicaments. Les données des patients peuvent être comparées entre elles. Si une moindre dose produit tout autant d'effets sur un patient, les rhumatologues peuvent dans un premier temps prescrire une moindre dose aux patients qui possèdent un profil similaire. Une dose moins élevée est non seulement moins onéreuse, mais aussi moins génératrice d'effets secondaires." puissent l'utiliser pour d'a Interviews : Nancy Boodts, Kelsey Ruys Rédaction : Kelsey Ruys SYMBIOSE 61 | 04.2016 5 Gros plan sur Smals __ __ Gros plan sur Smals PRINCE2 : une plus-value pour Smals et ses clients Depuis début 2016, PRINCE2 est plus fortement intégré chez Smals. Cette méthodologie indique étape par étape comment gérer un projet avec succès. Dans ses projets antérieurs, Smals appliquait déjà de nombreux éléments de PRINCE2. Elle figure parmi les méthodologies de gestion de projets les plus répandues en Europe. Tant les intérêts business que les intérêts de l'utilisateur final sont bien représentés dans le framework, qui réserve une place de choix au business case en tant que pilier de succès. Il permet notamment au client de savoir si le projet générera la valeur escomptée. Petit tour d’horizon... Comment créer un business case solide ? Pour les non-spécialistes Qu’est-ce qu'un business case ? Un business case consiste en une étude dans laquelle est décrite l'opportunité de démarrer un projet. Les coûts sont confrontés aux bénéfices, en tenant compte des risques. Souvent, il est décidé sur la base du business case de démarrer et/ou de poursuivre ou non un projet. Le business case joue un rôle crucial du début à la fin du projet. Lorsque, par exemple, les coûts sont moins élevés que prévu, le case peut facilement être ajusté. Source : Wikipedia Tom Van Medegael, notre expert en gestion de projet, explique pourquoi le choix Une clé du succès Bien que les équipes de projet de Smals appliquaient déjà les principes essentiels de PRINCE2, la méthodologie joue un rôle plus important depuis 2016. PRINCE2 renferme des consignes pratiques pour faire un succès de chaque projet, quels qu'en soient l'envergure et la complexité. Dans ce cadre, les templates de projet de Smals ont entre-temps été adaptés pour passer de l'ancienne méthodologie, fondée sur PMBOK, à PRINCE2. Un poster a également été créé, lequel offre un aperçu synoptique des étapes majeures de cette méthodologie de projet (voir p. 8 et p. 9). Value for money PRINCE2 fait la part belle à l'orientation résultat. Le client souhaite avant tout en avoir pour son argent, souhait qui peut être garanti grâce au business case. Celui-ci est élaboré et intégré dans le PID (Project Initiation Document, qui correspond à l'ancienne Charte de projet chez Smals) par les chefs de projets, en collaboration avec le business. Sur la base de ce délivrable, il est décidé si le projet reçoit le feu vert. SYMBIOSE 61 | 04.2016 6 "Le business case indique si le projet est porteur d'une plus-value pour le business", explique Tom Van Mededael. “Il permet de répondre aux questions les plus essentielles : quels sont les coûts et bénéfices escomptés ? Quand sera rentabilisé l'investissement dans le projet ? Quels sont les risques potentiels, que le projet soit réalisé ou non ? Le document peut servir à convaincre les parties prenantes de l'opportunité du projet. Nos clients bénéficient ainsi d'une preuve de l'efficacité. Pour la petite histoire, nous avons un client qui a pu libérer un budget supplémentaire sur la base du business case proposé." PRINCE2 comporte également une phase post-projet. Le business case tient par exemple compte des frais d'exploitation une fois le projet achevé. Au terme du projet, sa valeur ajoutée est réévaluée. Un business case permet en outre d'éviter à temps les projets dont la valeur ajoutée est insuffisante. Ou, pour citer Peter Drucker : “Efficiency is doing things right; effectiveness is doing the right things.” Rédaction : Kelsey Ruys Cliquez sur l'illustration pour visualiser une vidéo expliquant comment créer un bon business case. Form follows function Remi Declercq et Laurent Dupont du Design Team de Smals ont réalisé les posters. Comment sont nés les posters ? Remi Declercq : “Dans une première phase, nous avons créé une ébauche fonctionnelle du poster. Nous voulions y représenter clairement la méthodologie, les quatre phases et les délivrables. Nous l'avons ensuite mise en forme.” Photo : Kelsey Ruys “Depuis longtemps déjà, PRINCE2 est le standard européen incontournable en matière de méthodologies de gestion de projets. Les organisations belges sont aussi de plus en plus nombreuses à s'en servir. Smals a de nombreux projets de synergie en cours, de sorte que cette transition constitue une étape logique. De plus en plus de clients souhaitent une analyse plus détaillée des coûts et bénéfices. Celle-ci est prévue dans PRINCE2. En outre, nous travaillions déjà en partie avec de nombreux éléments de cette méthodologie. Il ne s'agit donc pas d'une révolution, mais d'une évolution.” Photo : Kelsey Ruys s'est porté sur PRINCE2 et quels avantages Smals et ses clients y trouvent. De gauche à droite : Remi Declercq et Laurent Dupont Pourquoi ce choix ? “Dans l'ébauche, nous avons respecté l'identité visuelle de Smals. Nous pensons ici aux couleurs, mais aussi à la forme en losange du logo. Les posters devaient surtout être clairs. Ils ont en effet une fonction de support. Par ailleurs, ils peuvent être utilisés tant ensemble que séparément.” SYMBIOSE 61 | 04.2016 7 Gros plan sur Smals __ SMALS PROJECT LIFECYCLE 1 2 3 SMALS PROJECT LIFECYCLE 4 1 2 3 4 STARTUP The purpose of the startup step is to ensure that the prerequisites for initiating a project are in place. The aim is to do the minimum necessary in order to decide whether it is worthwhile to even initiate the project. PROJECT MANAGEMENT DELIVERABLES STARTUP Project Brief At the end of the startup step the Project Brief is produced, including the outline Business Case. The purpose of the startup step is to ensure that the prerequisites for initiating a project are in place. The aim is to do the minimum necessary in order to decide whether it is worthwhile to even initiate the project. At the end of the startup step the Project Brief is produced, including the outline Business Case. INITIATION Once there is a decision to go ahead with the project, it needs to be planned in sufficient detail. At the end of this stage the Project Initiation Documentation (PID) is assembled, including the detailed Business Case. The PID also includes an overall Project Plan and defines baselines for time, cost and scope. The PID represents a statement of what the project will deliver, how this will be achieved and by whom. PROJECT MANAGEMENT DELIVERABLES Project Initiation Documentation (PID) DELIVERY The project board delegates day-to-day control to the project manager on a stage-bystage basis. Shorter stages offer more control, while longer stages reduce the burden on senior management. The project manager informs the project board of progress through regular (monthly) Highlight Reports (SQERT). The project manager prepares an End Project Report (Close SQERT), including product handover information. It is also important to pass on lessons. The project manager prepares a Lessons Report (Lessons Learned) for lessons that could be applied to future projects. TIME PROJECT MANAGEMENT DELIVERABLES RISKS BENEFITS QUALITY SCOPE SYMBIOSE 61 | 04.2016 8 At the end of this stage the Project Initiation Documentation (PID) is assembled, including the detailed Business Case. The PID also includes an overall Project Plan and defines baselines for time, cost and scope. The PID represents a statement of what the project will deliver, how this will be achieved and by whom. Highlight Report (SQERT) DELIVERY The project board delegates day-to-day control to the project manager on a stage-by-stage basis. Shorter stages offer more control, while longer stages reduce the burden on senior management. The project manager informs the project board of progress through regular (monthly) Highlight Reports (SQERT). PROJECT MANAGEMENT DELIVERABLES End Project Report (Close SQERT) Lessons Report (Lessons Learned) PROJECT MANAGEMENT COST Once there is a decision to go ahead with the project, it needs to be planned in sufficient detail. The project manager prepares an End Project Report (Close SQERT), including product handover information. It is also important to pass on lessons. The project manager prepares a Lessons Report (Lessons Learned) for lessons that could be applied to future projects. CLOSURE The purpose of the closure step is to provide a fixed point at which acceptance for the project product is confirmed, and to recognize that objectives set out in the original PID have been achieved. INITIATION CLOSURE The purpose of the closure step is to provide a fixed point at which acceptance for the project product is confirmed, and to recognize that objectives set out in the original PID have been achieved. Prince 2 defines a project as a temporary organization that is created for the purpose of delivering one or more business products according to an agreed Business Case. Project management is the planning, delegating, monitoring and control of all aspects of the project, and the motivation of those involved, to achieve the project objectives within the expected performance targets for time, cost, quality, scope, benefits and risks. TIME RISKS BENEFITS PROJECT MANAGEMENT COST QUALITY SCOPE Prince 2 defines a project as a temporary organization that is created for the purpose of delivering one or more business products according to an agreed Business Case. Project management is the planning, delegating, monitoring and control of all aspects of the project, and the motivation of those involved, to achieve the project objectives within the expected performance targets for time, cost, quality, scope, benefits and risks. SYMBIOSE 61 | 04.2016 9 Votre rubrique RH __ __ Votre rubrique RH Smals, toujours Top Employer en 2016 ! Smals a été certifiée Top Employer pour la huitième année consécutive. Dans toute la Belgique, seules 54 entreprises ont décroché ce titre. Nous pouvons donc être fiers ! Mais comment devient-on Top Employer ? Nous avons posé la question à Fanny Taildeman, HR Director de Smals. Fanny Taildeman, HR Director de Smals Pourquoi Smals participe-t-elle à Top Employers ? La participation à Top Employers est, pour Smals, l'occasion idéale d'augmenter sa notoriété. En effet, les entreprises certifiées sont amplement présentées dans la presse et sur les réseaux sociaux. Cette visibilité est très importante. Les collaborateurs potentiels apprennent à nous connaître tout en ayant la garantie que Smals est une entreprise sérieuse qui ne craint pas de faire analyser sa politique RH par une organisation internationale. D’autre part, à la suite de l'enquête, le Top Employers Institute nous donne un feed-back détaillé des résultats que nous avons obtenus. Ce feed-back nous aide à définir les points à développer parmi les différents domaines de notre politique RH. Par ailleurs, le benchmarking avec d'autres Top Employers constitue une source d'inspiration pour démarrer de nouvelles initiatives. Enfin, c’est un titre dont nos collaborateurs peuvent être fiers ! Comment se déroule l'enquête concrètement ? Au moyen de questionnaires et d'entretiens avec les services RH concernés, des aspects tels que la formation, l'onboarding, les perspectives de carrière et la gestion des prestations sont analysés et évalués. Pour chaque aspect, nous devons atteindre un score de minimum 60 %. Le Top Employers Institute ne se contente toutefois pas de nos réponses. Nous devons aussi apporter des "preuves" telles que les politiques utilisées, différents documents et manuels existants... Toutes les informations SYMBIOSE 61 | 04.2016 10 récoltées sont ensuite auditées par une partie indépendante afin que la validité de tout le processus soit garantie. On entend parfois dire qu’il suffit de participer à l'enquête pour obtenir automatiquement le titre de Top Employer. Oui, mais cela ne fonctionne pas comme ça. Participer ne signifie pas automatiquement gagner. L'enquête est réellement approfondie avec plusieurs validations et contrôles au programme. Cette année à nouveau, plusieurs entreprises n'ont pas atteint le score minimal de 60 % et n’ont dès lors pas été proclamées Top Employer 2016. Il faut également savoir qu'une présélection a déjà lieu avant le démarrage de l'enquête proprement dite. Lorsqu'une entreprise souhaite pour la première fois concourir au titre de Top Employer, elle est soumise à un screening détaillé par le Top Employers Institute. Si la base de la politique RH n'est pas suffisamment solide, l'entreprise ne peut pas participer à l'enquête. N'est donc pas Top Employer qui veut ! Qu’est-ce qui fait de Smals un Top Employer ? Nous enregistrons de très bons résultats sur le plan de la gestion des talents. Nous disposons d’un catalogue de fonctions qui reprend l’ensemble des fonctions existantes avec une description des domaines de responsabilité ainsi que les compétences techniques et comportementales requises pour chaque fonction. Ce catalogue est, en outre, accessible à tout le personnel via eHR. Tous les collaborateurs disposent également de leur propre profil de fonction dans le système et peuvent consulter leur situation personnelle à tout moment. À la fin de l'année dernière, un nouveau module a encore été ajouté, permettant à nos informaticiens d'indiquer les projets auxquels ils ont participé et les technologies qu'ils y ont utilisées. Cet outil est pratique pour les CSM et les chefs de projets dans la constitution d’équipes de projet regroupant toutes les compétences requises. Notre système eHR a donc joué un rôle déterminant dans notre reconnaissance en tant que Top Employer ? En effet. Notre système eHR est bien plus qu'un catalogue de fonctions. Il gère également notre cycle de performance, une autre bonne pratique de Smals. Il enregistre les différentes étapes du cycle et permet aux collaborateurs de participer à l’évaluation de leurs compétences et à la fixation de leurs objectifs. En outre, la demande des formations nécessaires est un jeu d'enfants grâce au module formation. Ceci nous conduit à un autre domaine où nous marquons des points : Learning & Development. En tant qu'entreprise ICT, ce volet est également indispensable car nos collaborateurs doivent rester des experts dans leur domaine. Où marquons-nous encore beaucoup de points ? L'attention accordée à l'encadrement des nouveaux collaborateurs constitue un thème important dans l'enquête du Top Employers Institute. C'est pourquoi, l'an dernier, nous avons élaboré et introduit une nouvelle politique d'onboarding. Chez Smals, nous accordons aussi traditionnellement une grande importance au bien-être de notre personnel. Pour pouvoir préserver l'équilibre entre vie professionnelle et vie privée, nous appliquons un horaire flexible depuis de nombreuses années. Pour toute une série de fonctions, le télétravail est également possible. D'autre part, nous avons volontairement implanté nos bureaux à proximité de grandes gares afin de réduire au maximum les temps de trajet de nos navetteurs. Nous avons aussi notre propre service social qui permet à nos collaborateurs de venir exposer toutes sortes de problèmes. Smals souhaite bien entendu demeurer un Top Employer. Quels sont les défis majeurs pour la division RH ? Tout d'abord, nous désirons élargir ou affiner les dispositions et systèmes actuels là où c'est nécessaire. Dans ce cadre, le feed-back du Top Employers Institute constituera à coup sûr un précieux fil conducteur. D'autre part, le secteur ICT évolue très vite et les innovations se succèdent à un rythme effréné. Nous devons donc rester attentifs et ajuster en permanence notre politique RH afin de pouvoir répondre adéquatement à toutes les évolutions qui se présentent dans notre environnement. Les défis ne manqueront donc pas... Lieve Troch, Responsable du projet Top Employer chez Smals, lors de la remise des Top Employer Awards 2016. Le Top Employers Institute est une organisation indépendante qui analyse les conditions de travail de divers employeurs notoires à travers le monde. Les domaines suivants sont passés au crible : • Talent Strategy • Workforce Planning • Onboarding • Learning & Development • Performance Management • Leadership Development • Career & Succession Management • Compensation & Benefits • Culture Vous souhaitez en savoir plus sur la certification et le profil de notre entreprise en tant que Top Employer ? Consultez le site www.top-employers.com. Rédaction : Angelina Van Belle SYMBIOSE 61 | 04.2016 11 Sur les pas d'un collègue __ Jonathan Lannoy MON PARCOURS PROFESSIONNEL "Je fais du multitâches en permanence" "J’ai terminé un graduat en informatique en 2004, à la suite duquel j’ai directement été engagé chez Smals. Après quelques années s’est ouverte à moi la formation d’architecte, qui a donné un chouette boost à ma carrière. En 2010, j’ai décidé de tenter une autre aventure en partant chez ING. Après 1 an et demi, considérant encore un changement de carrière, j’ai été convaincu par un retour aux sources." Cet architecte technique a un grand cœur pour les personnes et les animaux. S'il s'occupe entre autres de trois lamas, il assume également plusieurs responsabilités auprès de la Croix Rouge. Sa vie se caractérise par la diversité. Lorsqu’il voyage, il ne retourne ainsi jamais deux fois au même endroit. D'autre part, nous pouvons souligner son sens de l'humour et de l'autorelativisation. Rencontre d'un personnage débordant d'énergie. Jonathan avec son épouse Sandrine MON QUOTIDIEN Comment se déroule une journée type ? "Je me lève à 6h30, dans le but d’attraper le train de 7h15 qui m’amènera vers 8h aux portes de Smals. Je pars vers 16h ou 17h, selon les activités du soir. Si je n’ai rien de prévu, je travaille au potager et m’occupe de mes animaux (chien, poules, canards… et lamas). Vers 21h, je prends une pause pour une série TV avec mon épouse, puis je travaille encore un peu sur mes projets privés.” Où habites-tu ? "A Masnuy-Saint-Jean, dans l’entité de Jurbise." Quelle est ta fonction ? "Je suis architecte technique, en fonction dans les équipes CCB User Management et Digital Document Service. Je m’occupe de l’évolution ou du développement de plusieurs projets, afin d’en cerner correctement les besoins et de veiller à une bonne implémentation de ces derniers." Comment définis-tu le travail ? "Comme un équilibre à trouver entre obligation et plaisir." Qu'apprécies-tu le plus dans ton travail ? "Le fait de pouvoir être efficace SYMBIOSE 61 | 04.2016 12 sur des problèmes ou des modifications à apporter dans des projets bien maîtrisés. Les enquêtes sont alors rondement menées, et les solutions rapidement trouvées." Quels sont tes hobbies préférés ? "Je jongle avec un tas d’activités. À la maison, nous mettons petit à petit en place un potager-verger, pour lequel je teste différentes méthodes de culture selon les principes de la permaculture. Nous avons également trois lamas, que nous élevons dans le but futur d’accueillir des enfants pour de courtes visites le week-end ou des balades. Deux alpagas devraient les rejoindre au printemps. J’aime pratiquer un peu d’airsoft et participer à des soirées jeux de société. Autre activité chronophage, je suis également responsable local des secours (volontaire) Croix-Rouge pour la commune de Berchem-SainteAgathe." Que fais-tu en tant que responsable des secours Croix-Rouge ? ”En tant que responsable des secours, je gère une petite trentaine de volontaires. Au total, nous effectuons annuellement plus de 2000 heures de volontariat. Nous sommes présents aux événements de la commune Jonathan en action à la Croix Rouge que nous représentons, mais aussi à la plupart des gros événements de la capitale (matchs de football, concerts, événements sportifs, manifestations). Nous sommes également mobilisables en cas de plan catastrophe important. En dehors de ces actions préventives, nous avons une réunion mensuelle, des formations régulières et, pour les responsables, différents groupes de travail en rapport avec le fonctionnement de la Croix-Rouge. D’autres volontaires s’investissent en supplément dans différentes activités sociales : don de sang, accueil des migrants ou encore soin des sans-abris. La CroixRouge de Belgique, non subventionnée par l’État, est représentée par quelque 9200 volontaires. Nous faisons tout cela sur notre temps libre… Pensez-y lors de notre prochaine vente d’autocollants et de pansements !” ;-) Comment définis-tu la vie ? "Comme l’effet papillon d’une multitude de hasards." Comment te décris-tu ? "Selon mon épouse, généreux avec un grand sens de l’humour ; parfois impatient, mais toujours multitâches. J’ai beaucoup de projets en cours et bien plus encore en tête.” As-tu des rêves ? "Je préfère des ambitions réalistes." Ton film préféré ? "La tour Montparnasse infernale de Charles Nemes." Tes ambitions ? "Mener le plus loin possible mes projets personnels." Ton livre préféré ? "Treize Minutes, de Nicolas Rey." As-tu des enfants ? "Ma petite fille, Eloïse, est née le 6 avril 2016." A quel(le) collègue souhaites-tu passer la plume ? "À Benoit Rassart…" Quel est ton lieu de vacances favori ? "J’aime voyager, mais je ne retourne jamais deux fois au même endroit, il y a trop de choses à faire et à voir, même proches de chez nous." Interview : Nancy Boodts Rédaction : Kelsey Ruys Portrait chinois Si j'étais… ge. Un animal, je serais un sin que. Un pays, je serais la Belgi Un objet, je serais un Mac. ge. Une couleur, je serais le rou te. Un plat, je serais une assiet ond degré. Une qualité, je serais le sec ais pas Quelqu'un d'autre, je ne ser encore né. Quelle qualité apprécies-tu le plus ? "Ne pas se prendre au sérieux. J’aime les personnes qui savent faire preuve d’autodérision et de second degré." Qu'est-ce que tu détestes ? "Les personnes qui se mêlent de tout, sans plus-value, les donneurs de leçons et surtout l’hypocrisie." Quel est ton plat préféré ? "Une glace !" Qu'emporterais-tu sur une déserte ? "Un slip et un couteau." île Quel est ton CD préféré ? "As Heard On Radio Soulwax Pt 2, des 2 Many DJ’s." Les trois lamas de Jonathan et son chien Picsou SYMBIOSE 61 | 04.2016 13 Quoi de neuf ? __ m m mm ves brè n des i Le co mm mm m Famifed déménage son infrastructure ICT vers le G-Cloud IAAS En 2015, l'institution fédérale chargée de coordonner le paiement des allocations familiales aux travailleurs a transposé son application interne fondamentale dans le G-Cloud. L'opération s'est déroulée sans la moindre incidence pour les plus de 800 utilisateurs. En optant pour le G-Cloud IAAS, Famifed dispose désormais d'une capacité de serveurs adaptable en toute flexibilité aux besoins futurs. L’Infrastructure-as-aService (IAAS) permet aux institutions publiques d’acheter de la capacité de serveur, de réseau et de stockage sous la forme d’un service entièrement géré, dont ils ne paient que l’utilisation réelle. La flexibilité n’est pas un luxe pour Famifed, étant donné que la gestion des allocations familiales à la suite de la sixième réforme de l'État. Le directeur ICT Marc Cooreman et l'ICT infrastructure manager Johan Blancquaert, de Famifed, nous livrent leur témoignage à propos du passage au G-Cloud. L'infrastructure la plus complexe a immédiatement été sélectionnée comme projet pilote. "Un lourd investissement dans du nouveau hardware s'imposait à nous. Le G-Cloud nous a permis d'éviter cet investissement et de sortir définitivement du cycle des mises à jour quinquenales." Pour plus d’informations à propos du G-Cloud, surfez sur http://www.g-cloud.be où vous pouvez vous inscrire à la newsletter. Retrouvez ici le témoignage complet. Plus d'infos sur le G-Cloud dans le Symbiose 60. m Prochain goûter des pensionnés de Smals le 27 mai 2016 Smals invite chaque année ses pensionnés à un agréable goûter. Le prochain goûter aura lieu le vendredi 27 mai 2016 de 15h à 17h au réfectoire de Smals South City, situé avenue Fonsny 20 à 1060 Bruxelles. Le bâtiment se trouve juste en face de la gare du Midi. Tout comme l'année dernière, des tartes, du café et du mousseux seront au menu ! Cliquez ici pour un avant-goût et visualisez les photos du goûter de l'année dernière. Happy Hour : un agréable moment Chaque trimestre, Smals organise un Happy Hour pour son personnel interne. Des amuse-bouches et des boissons sont à disposition, tandis qu'une attention particulière est prévue pour les collègues qui fêtent leurs 25, 35 ou 40 ans de service. Les collaborateurs mis à l'honneur le 17 mars 2016 : Veronique Litt (ICT & Operational services, Prestations sociales), 25 ans de service Nadine Dekoster (Human Resources Management, Gestion des carrières), 25 ans de service Pascal Dereuver (ICT & Operational services, Photo : Kelsey Ruys Lifecycle Management), 25 ans de service Benoit Wiame (ICT & Operational services, Transversal Team), 25 ans de service 14 Coordination : Nancy Boodts, ✆ 02 787 54 84, [email protected] Rédaction : Nancy Boodts (rédactrice en chef), Kelsey Ruys (rédactrice) Traduction : David Degrendele, Nathalie Vanbrabant, Kelsey Ruys | Mise en pages : El'D graphic design Reproduction interdite sans autorisation écrite de la rédaction Affilié à l’Association belge de la communication interne De gauche à droite : Frank Robben, Veronique Litt, Nadine Dekoster, Pascal Dereuver et Benoit Wiame SYMBIOSE 61 | 04.2016 Symbiose | eMagazine de Smals | N°61 – Avril 2016 Symbiose tient à remercier : Angelina Van Belle, Fanny Taildeman, Guy Van Hooveld, Jan-Frans Lemmens, Jonathan Lannoy, Kelsey Ruys, Laurent Dupont, Leen Van Looveren, Marc Mairesse, Noëlle Bauwin, Remi Declercq, Stefan Vanhoof, Tom Van Medegael, Tony Vanderbruggen et toutes les autres personnes qui ont collaboré à ce numéro. Éditeur responsable : Frank Robben, avenue Fonsny 20 - 1060 Bruxelles Rédaction : Kelsey Ruys SYMBIOSE 56 | 12.2014 15
Documents pareils
Storage as a Service : un nouveau pas vers le G-cloud
En 2014, plusieurs projets de synergie ont vu le jour. Nous les poursuivons et les finalisons en 2015.
Un important projet de synergie concerne l'offre d'une infrastructure
commune. Par ce projet, ...