Téléchargez ici les visites patrimoine de Quend - Quend-Plage
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6/07/15 9:07 Page 1 n mer o i t a St ord de e de b œur r r e t au c arquen du M QUEND-PLAGE-LES-PINS On visite ® Julien Maillet Depliant visite:Mise en page 1 Culture et patrimoine Un passé étroitement lié à celui du Marquenterre L’histoire de Quend est étroitement liée à celle du Marquenterre. Quend en était le chef-lieu au Moyen âge avant d’être détrônée par Rue. On retrouve son nom sous différentes formes selon les époques : Mariskieneterre en 1199 et Marquenterre en 1582. Avec Saint Quentin, Quend était l’une des deux paroisses du Marquenterre où plusieurs hameaux s’éparpillaient. D’ailleurs, il n’était pas rare au XVIIIème siècle de substituer au nom de Marquenterre celui de sa capitale, Quend. L’ère des stations balnéaires Le territoire de Quend ne semble pas être une formation ancienne puisque beaucoup de ses terres étaient encore entrecoupées de bas-fonds submergés par l’eau au XVIème siècle. C’est seulement vers 1900 que Quend va se transformer en station balnéaire, alors que ses voisines ont amorcé ce virage dès le milieu du XIXème siècle. S’étendant avant 1899 jusqu’à la Maye, elle ne compte qu’environ 5 000 habitants en ce début de XXème siècle. Le picard Adeodat Vasseur, fils d’un agriculteur, va se lancer dans cette aventure avec quelques associés. Il choisit le domaine des dunes avec ses 250 hectares, se situant sur la commune de Saint Quentin en Tourmont. D’ailleurs, au commencement, la station balnéaire se nommait « Saint-Quentin-Plage ». Plusieurs aménagements vont être successivement amenés afin de rendre la station la plus attractive possible. D’abord, un chemin caillouteux va être créé entre le hameau de Monchaux et la Plage. Puis, un chemin de fer va voir le jour entre la gare de Quend et la plage elle-même. Des rues vont être progressivement percées dans le sable, bientôt équipées de lampadaires à pétrole pour l’éclairage. Afin de répondre à la future fréquentation, un hôtel va être érigé, mais aussi des villas pour la location, un tennis, etc. Saint-Quentin devient Quend La station va changer de nom suite à une décision administrative. Celle-ci a pour but le remaniement des communes de Saint Quentin en Tourmont et de Quend-le-Jeune : dépendante jusque-là de Saint-Quentin, la station balnéaire se trouve désormais sur la commune de Quend. Afin d’assurer une cohérence, il est décidé que la station abandonne son titre de Saint-Quentin-Plage pour Quend-Plage. Avec le temps, Quend va s’urbaniser grâce à une excellente gestion de la famille Vasseur : on procédera progressivement au goudronnage des rues, au cimentage de la digue, à l’électrification, à l’adduction d’eau courante… Pour répondre aux besoins quotidiens des habitants, un hôtel des postes et une école élémentaire sont créés. Ce sera avec les descendants d’Adeodat que Quend se boisera, puisqu’un de ses fils se spécialisera dans la forestation de la partie nord, avec la plantation des pins. Source Laëtitia Desmoutiez (Journal d’Abbeville) Une occupation gallo-romaine du site est attestée, les Romains ayant certainement créé la première digue entre Rue et l’emplacement de Quend. La ville romaine Quento Vicus semble être à l’origine de Quent, nom qui deviendra plus tard Quend. Cette dernière semblait être alors une île ou un plateau d’environ une dizaine de mètres de hauteur comprenant les terrains des « foraines ». C’est sur eux que seront bâtis Quend-le-Jeune, Pontgerville, Le Muret, etc. Avant l’arrivée des Romains et de l’établissement de leur camp sur la pointe de l’îlot, la baie était déjà occupée par des pêcheurs. Avec les différentes invasions barbares, les Romains abandonnèrent le Marquenterre qui fut occupé très vite par les Francs. Ce n’est qu’au début du XIIIème siècle que naît officiellement le Marquenterre. En effet, le 2 septembre 1199, Guillaume III, Comte de Ponthieu et sa femme Adélaïde, fille du Roi Louis VII, concèdent aux habitants une charte pour la création d’une commune du nom de Marquenterre. Une réelle organisation municipale est mise en place avec un mayeur (maire) et des échevins. ® Archives départementales de la Somme 1f1370 Les origines Depliant visite:Mise en page 1 6/07/15 9:07 Page 2 Circuit libre : les secrets de l’architecture balnéair Si vous vous promenez dans la station, vous découvrirez au détour de rues des maisons de villégiature de la station de Quend-Plage avec l’architecture typique des stations balnéaires. La majorité de ces édifices sont peints de couleur blanche (style régionaliste et vision hygiéniste de la station où l’on amenait les enfants prendre le bon air et chasser les démons de la tuberculose). On retrouve également quelques bow-windows, souvent associées aux constructions de plaisance de bord de mer. Enfin, le balcon est l’élément privilégié de la station. De l’Office de Tourisme, empruntez l’avenue Vasseur Continuez sur cette rue pour rejoindre l’Avenue de l’Amiral Courbet. A Sole Mio (10 avenue Vasseur) F Mélisande (2 rue Pierrain) La façade est mise en valeur par un bowwindow, surmonté d'un balcon. A gauche, un porche protège un passage couvert assurant l'accès à la cour. Bow-window (Fenêtre formant une avancée en façade) B Atlantide (12 avenue Vasseur) La partie supérieure du pignon présente un bandeau en relief formant un motif décoratif. L’inscription « Sarrazin » est gravée en creux sur une des chaînes d’angle. Nous ne savons pas si c’est l’appellation de la maison, la signature du maître d’œuvre… La clôture est influencée par le style Art déco. C Le Bagatelle (31 avenue Vasseur) Vous arriverez ensuite à l’ancien hôtel de voyageurs, actuellement dit « Le Bagatelle » construit au cours du 2e quart du 20e siècle. L'entrée présente un relief imitant des pilastres (piliers carrés engagés dans un mur), d'influence Art déco. D 46 avenue Vasseur Vous trouverez ici la seule loggia de la station. Loggia : pièce à l’étage, ouverte sur l’extérieur, dont les baies n’ont pas de menuiseries. L’ensemble de la composition est amorti par un campanile symbolique (tour carrée). Empruntez la rue d’Amiens sur votre gauche E L’Aiglon (2 rue d’Amiens) Cette maison est influencée par le style chalet avec son pignon en façade et son essantage (revêtement d'une paroi verticale) de planches. Villa en briques construite au cours du 2ème quart du 20ème siècle par Henri Ligonie. Présence d'une tourelle en surplomb sur l'angle et d'une seconde, sur l'angle opposé. La façade principale présente un bow-window au rez-dechaussée. En redescendant vers l’Avenue de l’Amiral Courbet, vous allez poursuivre votre visite tout droit vers la rue de Paris. J Les Rosiers (22 avenue de l’Amiral Courbet) A l’angle de la rue, vous pouvez apercevoir la maison dite « Les Rosiers ». L'appellation de la maison est portée sur une plaque émaillée. Le toit est de style régionaliste néo-flamand. L'étage carré est devancé par un large balcon soutenu par des piliers en bois. G 12 et 14 avenue de l’Amiral Courbet Maison composée de deux logements accolés. On retrouve un motif de faux pan de bois peint (ciment en relief). Détail anglo-saxon, les fenêtres sont à guillotine, c’est-à-dire que la partie basse de la fenêtre coulisse vers le haut. Empruntez la rue Basile Capet (vers les écoles de char à voile) H Chez Nous, Les Patichées, Eric et Claudinette (3,5,7,9, rue Basile Capet) Vous remarquerez 4 maisons en bande. La partie supérieure de la façade antérieure présente un faux pan de bois en ciment, sauf pour le logement de droite, plus tardif, qui présente des motifs de ciment de style Art déco. Le toit est couvert à un pan (style bungalow), simulant un toit terrasse. I Gisoute et Josy (11 rue Basile Capet)) Maison dont la jardinière et des garde-corps en ciment ont résisté aux destructions de la Seconde Guerre mondiale. Empruntez la rue de Paris K Gai Reveil (31 rue de Paris) Vous remarquerez que le toit brisé en tuile et le gros œuvre recouvert d'un enduit peint sont caractéristiques du style néo-régionaliste de l'entre-deux-guerres sur la Côte picarde. L 28 rue de Paris En face, on retrouve une maison à plusieurs logements superposés. Cet édifice présente la particularité d'avoir deux accès, un au rezde-chaussée, l'autre à l'étage-carré, accessible par un escalier. Il est probable que cette distribution soit un remaniement daté des années 1950, quand la location se généralise. M 13 et 15 rue de Paris Sur la façade (entre les 2 logements), est apposé un cabochon en céramique (élément saillant et multicolore, réalisé en céramique). N Amalia (6 rue de Paris) Cette maison présente un mur pignon en façade avec du faux pan de bois. Les baies du rez-de-chaussée sont couvertes d'un arc en anse de panier, ce qui est assez rare dans la station. Empruntez la zone piétonne et descendons vers la plage. Vous remarquerez sur votre droite au n° 64, deux bow-windows, parés de briques apparentes, et couverts d’un toit terrasse. Depliant visite:Mise en page 1 6/07/15 9:08 Page 3 balnéaire de Quend-Plage O Christiane (66 avenue Vasseur) Juste à côté, au coin de la rue, on retrouve un immeuble à logements. Cet immeuble représente très bien le style néo flamand de l’entre deux guerres. L'immeuble possédait deux boutiques au rez-de-chaussée (tradition orale). L'une, à usage d'épicerie, occupait l'angle. La seconde, un salon de coiffure. Partez sur votre gauche vers la rue Joffre. P 5 et 7 rue Joffre Maison composée de deux logements accolés sous un même toit. Des briques de couleur rouge marquent la séparation des niveaux. Chaque logement dispose d'un bow-window au rez-de-chaussée, surmonté d'un balcon. Continuez sur cette rue, vous découvrirez des détails d’architecture dont nous avons parlé auparavant. Q 13 rue Joffre Sur votre gauche, vous remarquerez deux maisons, restaurées en 2003. Le gros œuvre, en brique, est laissé apparent, agrémenté de faux pans de bois en ciment. L’habitation, en fond de parcelle, possède un toit à un pan donnant l'illusion d'un toit terrasse. Un décor circulaire avec carreau de céramique et galets agrémente l’élévation de la maison. Un chat en céramique est placé sur la souche de cheminée de la maison située à l'aplomb de la rue. Vous pouvez continuer vers la plage et terminer votre visite par les villas du bord de mer Vous trouverez au n° 61, la seule villa de la station possédant un oriel (bow-window sur plusieurs étages) et vous retrouverez également les traits d’architectures dont nous avons parlé auparavant. Découvertes libres La Chapelle Notre Dame des Pins... et ses vitraux Edifiée par Adéodat Vasseur, la Chapelle est inaugurée le 26 Juillet 1914 et est baptisée « Notre Dame des Dunes ». Elle est implantée en milieu de parcelle et est établie dans l’axe de l’Avenue Foch. Le bâtiment a progressivement évolué. En effet, trois campagnes de construction sont visibles : La première campagne concerne la partie couverte d’enduit et peinte en blanc. Le clocher sera ensuite construit en 1925-1926. Elle est transmise au diocèse le 12 octobre 1938. En 1950, elle est rebaptisée Notre Dame des Pins. En effet, un des fils d’Adéodat Vasseur a entrepris de planter des pins, ainsi que des oyats dans la station et autour de la chapelle dans le but de fixer la dune. La chapelle sera agrandie vers 1952-1954, ce qui sera la troisième campagne, elle sera pourvue d’une nouvelle nef (partie en brique) dont la toiture vient d’être couverte d’ardoises. Les vitraux sont à l’origine du peintre abbevillois Boubert et datent de 1952. Aidée d’une équipe de bénévoles, Madame BOURDON, artiste peintre a exécuté la réfection de ces vitraux. Ils symbolisent le quotidien de la vie du village, sa culture et ses paysages. (Plus d’infos sur les vitraux à votre disposition à la Chapelle). L’église Saint-Vaast à Quend-Ville (à 5 km) Le nom de Saint-Vaast, patron de l’Eglise de Quend, dérive du germanique Gast ayant donné Gaston. Ce patronyme fut porté au 6ème siècle par un prêtre qui prépara le baptême de Clovis. En remerciements, le vainqueur de Tolbiac le recommanda chaudement à Saint-Rémi, qui à son tour, le nomme évêque d’Arras. Après quarante années d’évangélisation, le prélat fut inhumé dans sa belle cathédrale. Plus modeste, l’église de Quend, restaurée au 17ème siècle mais ayant conservé sa chapelle du 15ème, se distingue par son clocher original, ne ressemblant à aucun autre de la région. Une imposante tour carrée en pierres blanches supporte une tourelle octogonale, se terminant par un petit dôme coiffé d’un clocheton et que la foudre mutila le 15 mars 1905. Visible de loin, ce clocher servit en 1767 de point de triangulation pour le montage de la carte de France. La légende du bateau chargé d’or Cette légende raconte que vers 1710, un trois mâts expédié des côtes de l’Afrique occidentale, s’échoua de nuit devant la pointe de Saint-Quentin-en-Tourmont. La tempête fut si forte que le jour levé, les marins découvrirent que le navire était complètement pris dans les sables. Ils ne purent rien sauver de la cargaison : des lingots d’or, des dents d’éléphants…! Sous le poids de sa cargaison, le navire disparut en entier dans les sables mouvants. Pendant ces veillées, les anciens disaient alors qu’il s’agissait d’or en lingots dans des caisses. Que personne ne savait où diable ce bateau « de 30 à 40 mètres de long » avait bien pu s’échouer au juste, ce bateau dont on avait déjà oublié le nom… Ce bateau ne fut pas le seul à connaître ce triste sort dans la région. Les naufrages étaient autrefois très fréquents sur le littoral des dunes de Quend-Plage. La plage était littéralement pavée de carcasses des navires de diverses époques, depuis les temps les plus reculés. Outre le mauvais temps responsable de nombreux naufrages, la légende veut que jadis, les habitants des hameaux de la côte aient quelque peu favorisé la malchance en agitant des lanternes, pour attirer sur les bancs redoutables des bateaux qui, transformés en épaves, feraient les beaux jours de pillards. Dans les années 1950, des habitants de la région vont tenter de retrouver le trésor de ce bateau enfoui. Munis d’une baguette de sourcier ou d’un pendule, plusieurs radiesthésistes vont enregistrer des « réactions » et prétendront qu’il y a effectivement de l’or. Ils préciseront alors que l’épave serait enfouie à plus de 7 mètres de profondeur. Des sondages vont être effectué afin de retrouver ce fameux galion. Sans résultat… L’affaire sombre de nouveau dans la légende et l’oubli. De nos jours, certains restent persuadés que ce bateau existe et qu’il est toujours là, quelque part, près des côtes de Saint-Quentin-en-Tourmont et Quend. Alors, qui reprendra le flambeau de cette merveilleuse aventure et tentera à nouveau de mettre à jour ce fabuleux trésor ? Depliant visite:Mise en page 1 6/07/15 9:08 Page 4 A visiter aux alentours... Le Domaine de Regnière-Ecluse (à 20 km) Les jardins et l’Abbaye de Valloires à Argoules (à 25 km) Un jour en 1909, deux frères, Gaston et René CAUDRON, fils d'agriculteurs et natifs du canton, réalisent le rêve le plus fou : voler ! Avec peu de moyen mais beaucoup de persévérance, tous deux réussissent à construire "une machine volante". Pour l'époque, un véritable exploit ! Et c'est ainsi que cette très belle aventure débute, en famille, de 1909 à 1939. Le musée est accessible toute l'année, en visite libre : le lundi de 14h à 18h du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 18h. Renseignements auprès de Virginie et Robin au 03 22 25 69 94. Situé dans le village de Regnière-Ecluse, à un quart d’heure en voiture de la Baie de Somme et d’Abbeville, ce Domaine étonnant de 815 ha, a plus d’un millénaire d’histoire. Découvrez son passé et ses différentes activités forestières, agricoles, de chasse... Venez découvrir le parc à l’anglaise et le château gothique troubadour, laissez-vous séduire par l’histoire de cette demeure atypique du 16ème siècle remaniée à l’époque romantique et les compositions paysagères du 19ème siècle s’étendant à perte de vue. Bas Parc (plan d’eau et accès à la forêt) : Libre toute l’année (sauf jours de chasse) Haut Parc et Jardin du Château : Ouvert au public du 1er Avril au 31 Octobre, tous les jours de 9h à 12h et de 14h à 18h, et sur demande en dehors de cette période. Renseignements et réservations : 03 22 23 33 81 ou [email protected] L’Abbaye de Valloires est la 11ème fille de Cîteaux, la 83ème abbaye Cistercienne d’Europe. Vous pouvez découvrir les suites datant du XVIIIème avec une vue magnifique sur les Jardins de Valloires. Ce n'est pas un, mais cinq jardins qui s'offrent à vous. Cinq ambiances où s'épanouissent plus de 5000 espèces de plantes et d'arbustes. Étonnant, extraordinaire, ressourçant, labellisé « jardin remarquable »... ce décor végétal est le chef d'œuvre du paysagiste Gilles Clément. L'Abbaye de Valloires et ses jardins sont ouverts aux visites du 16 mars au 11 novembre 2015. Les visites de l'Abbaye sont uniquement guidées. Au quotidien, l'abbaye est un lieu médicosocial accueillant près de 100 enfants âgés de 3 mois à 12 ans et une maison de retraite. Renseignements et réservations au 03 22 29 62 33 ou sur www.abbaye-valloires.com © R. Jacq_SMBS-GLP Le musée des Frères Caudron Office de Tourisme de Rue (à 10 km) Horaires d’ouverture / Office hours / Öffnungszeiten Octobre à Mars October to March Von Oktober bis März Samedi On Saturday Am Samstag 9.30-12.30 / 14.30-18.00 Du Lundi au vendredi On week days/ Von Montag bis Freitag 9.30-12.00 / 14.00-17.00 Dimanche et jours fériés On Sunday and bank holidays Am Sonntag und Feiertage 10.00-12.30 / 14.30-18.00 Samedi, Dimanche On Saturday, Sunday Am Samstag, Sonntag 10.00-12.30 / 14.30-17.00 Fermé le dimanche en décembre et janvier Closed on Sunday in December and January Geschlossen der Sonntag im dezember und Januar Avril, Mai, Juin, Septembre April, May, Juni, September April, Mai, Juni, September Du Lundi au vendredi On week days/ Von Montag bis Freitag 9.30-12.00 / 14.00-18.00 Juillet - Août July, August / Juli- August Du Lundi au vendredi On week days / Von Montag bis Freitag 9.30-12.30 et 14.30-18.30 OFFICE DE TOURISME QUEND-PLAGE-LES-PINS (en cours de classement) 1, Place du 8 Mai - BP 90313 Quend-Plage 80120 Quend T +33 (0)9 63 40 47 15 +33 (0)3 22 23 32 04 F +33 (0)3 22 23 62 65 [email protected] Samedi On Saturday / Am Samstag 9.30-18.30 Dimanche et jours fériés On Sunday and bank holidays Am Sonntag und Feiertage 10.00-18.30 Quend-Plage-Les-Pins DIGITAL www.imprimerie-henry.fr www.office-tourisme-quend-plage.com
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