uliefim f8Htaîi¥8 ia n! Càroaique Locale WFmèrê Mmrè L`affaire

Transcription

uliefim f8Htaîi¥8 ia n! Càroaique Locale WFmèrê Mmrè L`affaire
iMI " M^iSHWl" TiXiIT 'i
I ir «HT- rirr- i inrrrTtra
***
* /Vtf»d« <&* droit, onvr&g '
, troiae^L^ même dans les heu 'te
B»*" fil d'importants travaux su
S ^'V'du ara» français.
i'ti il0,^Z~*~"
'—"~
uliefim f8Htaîi¥8 ia n!
ti'" su #, heures et désole, M. Laaaua
Ver' ^
Ya m ,i* 0 - Daïganrsree
et
,,
finP'^ ê f de rei«N I 9 . raP PG S Ûaillo»
s^rftoaaSr au chèque de 1116C(
»enal' if 0VllV
f <olT d'Escompte, rue Neu
w» 6* 8 ,,ait cette somme dans.une saco
w> îipi n ntalt l'esr-ailer de la maison, ,
t^ eJwba». rmP'oy* d * ia ConaMot
11 IM er'rnit en même temps, lorsi# "îit
irrê'é
par *<» i^ in9 homme très
8r
ta'H î B.r ' j i !3nt«rp^ilalt et lui demsn^fnom delà rus, ave« un fort accès!
mi. -'
"'"
'""
'"""'"''
MM. les abbés JaLien da dla^èsa de
Cbarabéry (meution hoaoratels) ; (îautbier,
du diocèse de Baliev ; Pastré, da d!acès«
de Viviers, et M^I. Prs'nahet, ancien élève
dsMQBg.'é; Rolland, ancles #lèv« du
collège âaint-MIchei ; Claud-îug ROBX et
T'sscL anciens é-èves de l'externat SaîatJoteph.
Œuvre ds'ls Prc-pï^atlsa de la Foi.
— Ost dans léfilned« Notre DimeSat.ntViacent què'i'CEavre de la' Prï-p^gstloa
de lu Foi célébrera., cette année, le samedi 8 décembre, sa fè'.s patronale.
. La cérémonie commencera à 8 beuresdu
mstvh. Son Emlneuce le cardinal archevêque de -Lyon offrira ie- 'Saint Sacrifice
de la M.m&e, après laquelle Sat Graodenr. Mgr S'reioher, vie sire apostolique
du Victaria-Nyansa «aptemtrional prenon
csra une aiiecution.
Mfr S ; relcher fait partie de la congrégation dea Pères Blanc», fondés, on le
. sait, par lé cardinal Lavigerk.
COOB D'ASSISES 00 RHOWE
Audience da St9 novembre
Cia
kliteMiisÈWilpiÉ
Au mois d'avril damier, un compte de
cinquante francs était versé au Crédit
Lyoansis, psr un îaamoié Marchand, habitant SilBte Foy -iès-Lydnj qai recevait en
é-:ha»g:s ab citlfnei iê cÊèqùsî. Sur la livre où est mentionnée cette somme de Su
francs, une m*i9' ,at!ap de 14 fut ajoutée
devant ces chsflres, ce qui portait aln'He
total dg la Mo&me déposée à i,iM fiaûcf,
<îr„".8 ?rème temps, 1 individu alar. œuvrait 'Desapéraîlons »6-%l>lî»'es fareélpîu'iiwurâ
fols eâeoîiuéag .; d'iatra »art, àiw--t,eata
1 pou * attirer Crechat dans la rue,
aH'èqîfeg dddéuî, six 6a Bfut mille francs,
àe * ri-aînont par le bras.
tarent touchés psr Marchand et sa msl»B' eDi moment, -cebtecl «Etendit, dans
trfigse, graca à la cotaptlollé d'ua aa'pl'a-.
K L. J» s cris: e Au secours I » peuasieurs employé» du Créait' Lyonnais. Da
^ M Lacand.
"ïn B»» eut eà l'employé de la maison mois d'avril an sasSs da juia, use 8om*ae
de 72,800 francs f-Jt ainsi eserosuée par
* .fortes arrivait su premier étsge.deax
^fridus '-la suivirest. Il ne s'en était . les trois ceœpikeSi
: M Une BgqaSite sîSoutit à ilarrestatioâ' a
&nt préoccupé.- "
"vit à coup, il recevait sur la nuque Paris de deux ancisES employés du Crédit
1 ,In de potag violemment ' asséné. A :lyo;îBats, Re v erch9n et VeUa>d. Les d«ux
"?il «'oardl, li se retournait vivement accusés avouèrent tout.
Marchand, qui se faisait appeler aussi
t»«niit * cier .: « Au secours I B et l'es
'"'O'îrfeul-la et, qui, en réalité, se nomme
ïini individus s'enfuirent;
Re-ei, avait fait la coîmalssftnjje dg Boveft«
mystérieux personnage qui avait
.Jêt- C'osbaî prenait à son tour L fuite çhon et de Vtttaro, sur lesquels it n'avait
pss îsrdé à exercer un? grande Influença.
Jt ie«d?Di employés ES mirent à itur
Sa disant Journaliste, Il avait complètep r"n de» sgresseurs avait été perdu. 3
ment capté la confiance des deux acensés,
8
netamment de Vettard, dont il avait fait
jBf.-l'^atre s'en allait du i^'fé de la
son secrétaire..
,l 1(>e Te!ozan._ inufê lrat>quiUematst et
ftappaJoss qâ« ledit Èorfeuille â disparu.
t«e nue, j&jctx chapeaux avaient été, sa
spiès avoir .ahandonné ses complices k
«fti per*»» **"& g la bataille,,
Paris et emporté la plus gros«3 partie dç
M ' Lacan i arrêta 6»t individu à. la haa
'.a somme.
tsur'it- «^ is ras du QriSoa. Le voleur ne
Noiis avons armonet*», il y i. qaêlqttes
m aucune résistance» et se laissa traa iotsts, l'atiestatlon da sa maîtresse.
internent .emmener BU poste de l'Hôtel
L'Interrogatoire des- deux -eecusés BOUS'
Lyjjig'et, dé la, au commiësarkt de la
réserve una surprise. Revercbon revient
«lace Sathonaff.
sur quelquts unes des déd ration* qu'il
'il paraît âge d'une cinquantaine <3'anavait faites à l'instruction ; quant k vetjé*B. I» s*| très b'^n mis, sa tense dénota
tard, il Wa toute participation aux faux,
«êrne un certain chic.
en dépit de sas .présents feveui.
'ï)*n« «es poche», on a trouvé un porteLe jlrajœîi'P tfmain eppeîé est â/. Cor-,
monnaie contenant 115 francs, un .flacon
ml paraît être une dissolution de -gou- nu .expert m écritures, qui a examiné 1»«
dron, un Livret-Chaix tout neuf et mie chèqu'.-s et les comètes majorés. Il affirme
que Revercboa et Vattard ont contribué
uontre en argent avec siietière d'or.
M Boy, le sympathique commissaire de toug les deux aux tmx>
Vettard pri.tas'J,
m\m «e la -tcilace Sathoo'a;, a eu beau
M. ferrai, l'autre expert, confirme la àêflitMroster, Il n'a pu obtenir que qa?lm«% mots d'anglais, hredaniiiés à v©îx> position de son confrère .sur teus les points.
rtOîsvelias dénégA'tions de Vettard.
tasse. i'û l'on a cru comprendre qu'il âe
Durait rien et qa'ii ne pouvaP -r\ eri ai r"8<
M. Gaehat, 'chef du contentieux au Cré^
•/ayant qu'il, na po»r->i t \ m tirer de cet dit lyonnais, fait connaîtra dane -quelle*
lndivlaa-, M. Saj1 "l'a fait mettra es lieu •»'.?fî>nstane«s- l'aBoro't.uerle & été dëeealût en at'^ j aBt d'avoir un interpréta qui verte et comment -las deux accusés s'y
**;« i'ioterrofer en anglais. En môme s^n* pris pour nujorw les chèques' sans'
',«sp, Il a transmis a la ,»nrotô la signale* ôîFe découvert»,
M B-te, gareoj dflbareaa, gardien de
Bent ses deux antres complices.
l'entrée, a va. sortir ; Vettard apte* sapt.
L'UD est d un certain âg*>, vêtu ds noir,
jrtt*ttî d'une barhs trè» bionle, us 'peu heufesi il maiâtlect sa dâclàrh.tos malirlttianante. L'autre est. un Jeune hôBiaie gré les protestations de l'accusé.
M Ma 'tels prononce itors le réquisî
iaberbe.
NOM tiendrons nos lecteo*** au coursât îolrf . Après avoir nettement précisé le
dnwuveaux lncidents-qalte produiront.-. rôle de e-haoan des aècusée, 11" demanda
fcli, âèa oe marnent, on croît être ea pré4 .puer êox uhecondamnatloh qal s'impose,réfuter le héhé&ce des
itôoa d'ane de ces bandas -d'étr»ngisrs,.= ' mais sans leuf
:
pratiquant, le vol à rtsbreuflic et, au se 1-. clr8aBSians98 àUénuatii'tes.
L'audience. est suspendue k cinq heures
toln, le vol au chloroforma. -"'.
éÉ:lfc
On sa demanda ea qui a pa donaer l'i* et demie. »• ffl
Après sne brillante défense de MM".
te à cas trais iadlvidns de s'attaquera.
M.L»cand. N'oal-Î! va an lui qu'un ànx- R*by et Hertjrich, la jury ranà un verdict
affîrmatif avèn adâilsslan des circoastisnpliye cjasicenqne, porteur d'une certaine
MIBS? On bten i'ont-ils vu toucher cett» ces, atténuantes.
La cour eeadamna Rtverchon & deux
Maine aa Comptai? d'Kscotspte et aat-Hs
M âesa.Ue dressé leur pl&a d'agrea- asi daprjgan et 100 fraues 'd'amande; Vettard, a trois ans de prïaoa et 100 îrapes
dtamtnda.
• «s
* *
'
iy n en
„ M' S
.' ^ t!r5r dav'aatisga, maii
u nr a persiste pas moine à penser nu'l
ce trouve en présence d'an a esbreuffeurr
de. haute voiea.
Il le présentera demain an petit parquet avaat da le conduire k l'iastiu®
tiOOi
¥«n*..e (S* ch«riié. — Lavante dachar'.tô.er: fnv.eEr des œavrèl d»v la paroisse
-de Maîat jjecls ea fera l'es mercredi et
jeudi, 21 m 22 décembre,- âM% les saioag
. de l'hôtel Monnier, place gaUeooar, âl.
:' LVs trsdisions de -dévenemant et da
gfii-.ôreslté ds la villa da Lyon pour SalntBanifl «s eontlnuefoat, Epus n'en doutons pas à l'égard du guecetaaur é\x vénéré et firgfetté M. Parât. B\ i» bien s'est
fait dans cette pstoisiâ,, la Charité . lyu'h-pialsè n'y a pas été étrangère. Q i-'elia s'y
exerce en:;or* ; Il s'agît {|e maintenir des
œuvres, déjà prospères, et aa voïï' du
' aide k une population.
, éprouvée et inlé"rë-Sànteâ fhqttellè : p n <-B'wttacfee d'autant
plus qu'on la connaît .-mieux.
, Les «ions seront reeas avec reconnaissance an presbytère rue llénoo, 4, et CMPZ
M. Lépiné, cpateller, p'.aoe des Terreaux.
.^fotlre fcassa-îlaiwfe liOuS;3. - *. Nous
rappelons que ia vente annuelle de ôette
,_paroisse a lien aujourd'hui mercredi et
dffiïaia 'Jeudi 1" décembre è 1 heure,
Nous recommandons spécialement ootte
vente à la charité é-9 nSs lecteurs.'
La paroisse de -Saint-Louis, à la Gulilotlère, est la plus populeuse de la ville, et
les pauvres y sont très nombreux Pour
C'-s metifs, nous insistons auprès da tous
nos 'smls peur qu'ils viennent à cette
. 'yenw.
Jeudi soir, à 8 h. 1{2 précises, grand'
«oncert avec le gracieux concours de M. i
Ray, de Mme Promio-Evrard, professeur
de chant, de Mlle Dolfus, professeur d«
-pissa.
............
-' Oa îossradaux comédies. "
Oa trsuvera des billets à l'entrée de ia
salie.
., ÂèJ'.idisï«tio!9i. — L'ad»inîstratloH.d68
Eaux et Forêt* mettra en adjudication aux
dates el-8p>ès le dfojt da chasse dans -les
'forêts et paramètres doman'aux suivants i
: Le jeudi, 5 janvier 1899,, pour les forêts
et périmètres da l'arrondissement de Ureaobleà la préfecture de risère.
-.Le œsrai, 19 janvier 1899, pour les forêts des ËraêhaS, de CbaSsSet-ËévoletS, à
4a salle des adjudications publiques de
Vienne.
— L'a*ainistratiea des Eaux et Forêts
mettra en adjudication, aux dates ciapiès, 1® droit de pêche dans le éêpartemefit-da la Lelïe !' '
A Si Etienne, le 27 décambre 1898, à
deux heures da soir : 3 lots, de la limite
de la Haute-Loire au confluent de Ltzs.
: reà'.?
A Montbrison-, la M décembre 1896, à
deux heures du Soir : t lots; du confluent
da Lizers?n au past'de Baibîgny.
A Roanne, le 2S décambra 18138, à neuf
hearee et demi« du matin Î 14 lots, du
poDî daBalbigsy à la limite.. RVSI da départemeat âë la* Loire.
-'
A rîâsit»î-îM«ra.' — Ûi. a càndttlt'- hier
k l'II6Ul-itH*u' lé" nomma Martin, jardinl'e?'à'Collonge*-fiu-Mont ; d'Or. .
En voulant abattre un arbre 11 est tombé
par-, suite da là rupture d'ans ear'&e et 'S'est
fierai® â'és.«tﮫ da te « Pr*:a«* hï&m ». - fracturé la j&mbe droiia.
~- La Bosxsmé Laœure, &i ans, mâriai— C« soir 4 8 s», 1I2Î réaaioa hebdomasl#r â SaiEi-Germaln-sur l'Arbreelea a
d'alre du cercle démàaratique chrétieu,
et*: éffalameat admis d'arg^noe.
46, rue de la Ch»rîtô an lv étage,
.R^-ntraut ea état d'ivress« à 'saa. domlOrdre du Jour : Conférence sa? Fashoda.
Hîîlfe^-Ï eiie II fit un faax pas et dans sa chute
s'est fui ;turé le crâna,
An &mt«dl QênéeàX. — Le conseil générsl se 'réunira demain 8u novembre en
Correotioa méiltiée. — Hier, vers 8
session extraordinaire. Il s'à&lt pour cafte
.a'ssemhléa de ; danser, conformément à la heures du seir, un veloolpédiste mili.Ayant aâcqué le psq'uebot à' Marseille, "loi, son avis .sur l'élévation ie.Ia taxa sur taire descendait: snr "sa Mcycletia la rue
î' 6» retournait tout bonnement à Lon- les chiens. On sait, en eSst, que cette de; la Barre, lorsqu'un ' voyou, installé'
^1 lorsqu'il a eu l'idée da s'arrêter à. élévation est ; prévue dans .les taxes. "de "avec quelques-uns -de s«i confrères deremplacement indiquées $ar là ville de vant l'hôtel des télégraphes, l'insulta.
i! ,teatin doBc . 8 -l" !1 raconté, il des- Lyon dans, son projet da suppression des Aussitôt le «oldat descend de sa machine,
'«('approche de son lhsuitear et se met ea
«oat du train de Marseille et 11 s'en- ' droits d'octroi.
devoir de lui donner une leçon de boxe
Walt dans la vide ..'de Lyon, â ,1'avenFaculté omthol!«|ua .des lettres'. — Rô^'. pratique ; puis 11 remonta sur ea machine
su'ltat des examens de licence à la session et reprit son chemin laissant les, chevafilfÀu 1 alnsl qn ' îl &' m trouvé, prétendliers du trottoir encore tact ahuris de
da novembre.
îaol
""' !a ba'£ am . aans-savol* pourOnt été rtfçus î
leur aventure.
U. Soy a fait procéder, à trois heures,
Hr 16 moyen ae M. Chili, lnte r prêta confeiHaat l'anarlals, à un«cavf-l interrogawsae ''individu arrêté ce matin, rua
«nlts-Galttst» .^eaJWtappsfas-,L'indivi-ita a déclaré sa nommer Cnarte»
™«,âgéieiHsns, té à Québec (CaM»), le 1- juin 1834. Il s'est donné
«nme maria.
& â S #dy8 e Ia V0ÎGi t@lle < l n
l«Moo '"t ^°
^ '
^' i. P ef.«rriv.g, samedi dernier, venant de
'i-'fes etillaat k Marseille, dans linjjctioa de prendre le bateau pour la,
Càroaique Locale
riUlLL
— Yes, yzs ; mais il Ltat d'aharl voas
..dulalt. mollement aatour de ion eau et
«uivgltle doux contour de sas épaules 81- faire 'présenter k mal.
vlnes. Ses 'beaux yaux gcIntillaifEt au feu
— Atteadea t » ;
Recourus comme as foi à travers le
de» bougie», ses dents riaient avec use
gr&naiar xprimable, la luraisre Jouait eom» bal, je hahrial .piâi de six groupes de
valseurs; maa épôe s'smbarrasga deas*.
m» a&a folie sans la forêt de ses chevaux.
jSa toiletta était celle de toutes lut Jauies' me§J?infef8, je glissai sur la parquet et je
filles ; elle na portait »;;. r,Qfflffll | Um§
tombai «candeiiusemeat de toai§ ma IciSiBiopa. 'i~ „, SSaû da uaredla sur la_i.êî8.
tueur.
•iois eue en i 'iau que g us Bsue; sa j»ya
PAK
C» tut Jaha Harris qui ma rsîevâ.
g...
était..rftlevêe. pir quelques hacquets de
« Qm cherchez-vous ? dit il.
les:
élis
avait
des
fleurs
.au
•SDt^OND ABÔUT
fleutt âatsifel
— Elles sont lc4 s le les ai vues ; Ja vaîa
T»M.W.** i
eoreags et dai jg les cheveux, et quelles
- -—,
, fisara, monsîi sur? Je vous le donne m .ôpauser Mary ,Ana ; suais 11 ..faut d'ahord
que je lelî sels pîÈssSiê. FJkU 'il siodë
mille.
anglais». Aidez-moi ! ©à sent elles ? N'aî«nt "° s ils bien tâ-hA i»» „A, ^i <'
- là me rétoto rnai bresquetaent vers alla,
veà-vous pas vu une grande femme celfles mains, jô criai ; o Maryfée d'uu oiseau d« para*l<- ?
i ! a
— Oui, elle vient de quitter le bal avec
>nsieuF ma prit par la ttiaia,
k i'écart, m'examina comme use bien Jolie fille.
—. Qaittsr la feal I msiâ, môa athl, e sett
(use et me dit : a Monsieur-,
Uî ête3 çôas réi enté à e&a dames ?
la mère de Mary-Ana I
1°^ boite deïer bîaue
?
'•— Calmsg voas, BOBS la rétrouveren».
S» ST. M^ ii& Tde votr» plante k
~ " s'agit ien
l de toat cela, mes digne Ja vous ferai présenter par le ralstetre
0, ris ,ereat Q 11 Pèle- monsisar Shi irper, mon eher oncle. Ja d'Amérifue.
& 1?ïa » Totra »i"2°îî
ÏH!S Herman;ï f Eermaaa SehuHa, leur
v! *' seur n f 16,"" 811 â «B8 la taoutagne.
<5Ç â 9
V 8 boKbsHr^
'
^-âtez-vous
démettre
eompagnea
d .8 captivité, teuv «"M"» 1 &à^J%$- ' ' ^ Tâis.^^as montrer mon
ei1
"âuôitj aflward Sharper. Js l'ai laiisi ici.
Eûrêlé
a
AÈ
!
6
J 812w«en2!L aoa b ^ »
î" » «l ^ i «6 eelles,, &\Uz, depuis leur
si l>al c11*
°Bheu? n'errivalt
départ. Je vt jna ocstwal toat cela eheë ©ûdinbls s'est-il sauté? Il ne saurait
lmU
r
•Hte loin î i>
i9B y«ux à déviu t'mtfa lit T
aoce.
L'oncle Edwarâ^avait «Tisperu. J'entnurépon«t.n, Mais la g 0 a~ f :'gaTÎ3 pauvra Harrl» lusque ïur la plane
du pslais, devant l'hôtel des Etrangers.
l lJfi e tajiB II «"««nooliqneaeat meut qu'on sa
C
P
Ôa L'tpoarteraeat'
de Mma Simoss était
a atoes
avant
C' 8 bsbUfr ftJJ* t^ hls \ oft ^atre
de leur racontgr lléclairé. Au bout de quelques nflnnttyr,
': histoires.
iB^à'ell63 me cunnaisEènt, les lumières s'éteignirent. Tout ie monde
était au lit.
jcellenî monsieur SharpsrJ
: a Faisons comme eus, dit Barris. Le
Hl^nnlf IK.22 éclst *" . ,jC u
norii avons fl: né plus da dix fois ensetn-. ure argentin
bis I Je leur a . rsudu un service de cent sommeil vous calmera. Û-main entre une
et fteax, j'arrangtirRi vos aflaires- n
«d. ,-- -iw T*"~"jr - M^'-^Ann Giïil-lk
mille francs I vous? le savea bien ? chez
Je passai une nuit pire qu«; lès nuits da
ue
&'*>Yk-c tIie la v °y ;u * P«*. 'et la ;« Roi des mo ntagnsa ?
l r
r VSI8 eil
maig vous n'êtes pas. pré- ma captivité. Harris dormit avec mol,
Ya
Sa
8ori 1 P i«€iu« t .
*' »el*"îe
~
> i*'**'
c'est à dire ne dormit pas. Nous entenkfsf, « ta'ét».- f;«»e V a ^°' s '«e serrait la Bsnlé.
dions les voitures dabal.qul descendaient
C- aî ,3 &BSEit BÇ-S &i^ I* 1;B t'aS i
"~ M*»'* v ® 3a na savez dîna pas que la rue d'Hermès àvee leurs eargai-ï-ons.
tain %» en), !****»î8 ni,
- . t# mt> «uis.es posé à mille morts »©nr ma
8t,l,ft
d'anifermes et de toileltés, 8>ur les cinq
W I1" 6 •» toht^
* »l'*W«oIe : on en cfeêre Mary- A en 7
la fatigue me ferma les î'sux.
lea bals 0&1 '
Fon m* a ; mais "Voas tt'êîes -pas nôifes.
^tV^-s m»Uïïl d3ris
~
ffois heures. aorè?, DimUrl entra dans
s avats «M Sflswe présenté.
**£ *«• it i™???**
mv. ehambi* en disant ; a Granies nouM*s 2& ^ entr?U es ^rrt.-et js ia vW,
-~ KaSn, m ^nsifu'f ji dois 1 érjo'usër ;
ï
velle?
!
. îu*es "•*£*» *t»À|
erB
et
irrals.
Ne
vous
a-t-en
t>as
dit
âon
ï* fe-Sr ^- »lui,^2. 5
«ao^'
sa mèrh l'a ps
— Quoi?
,a
"îtrtli^ ?te"?.i ?
'"" qm lft î° ar où
t m 3" devais me marier aveo eite ?
~- Vos Angîaisss vio."ûsaî de parîif.
^Wtfflt' ritaTJiiî î'%ïy;e^.lfe?a lais.
-- Pw avac t d'Mra gîéseaïè.
•
~ FÙIIÏ tiù. "?
»TON,' DR [LA « FRANCS LIBR8 »
-~^_ on SB neTerabra.lSM
^m 4$ ~' '•
-
L
-
"-"'
©ra-aâ TMfitra. — Ce soir, première re
'pféseiiîtatîon &» von. Juan.
La r* prise cio ohé t ù'œr-vre da Mozart qa:
n'a pM été joSé è Lyon depais SS eus, corigtt'us ufie ati.?acti»n exe-pt.!oanRï)a rebaussé:
fE:o?ep»f oso distrltwtîon lécnlssant lai
noms da Mœti Bo^sy (dona Anna), TouraliiJCerline). MastI© (Eivîre). et da MM. Moaiiaad (don Jour.) Olunlc (Ottavio), La ïaste
(l/opoid), Sylvain (le CommaDdeur), Fuld
(Mssetto}.
GHâBLY™S
Qoiw DêucîEUl
PhsrmmiU rôts SarjMsal. 82, ww Lestera»
Sssrss de Ijrer, da ZS Roeemtn iSSS
- Bou' «'? tïès ferma ssr llmpressioa rèsaltant
d« vote <1« la Ctiambr* et aussi sur la slgaatura «I» la paix til»pano,aciérlfi.aiao.
i.«f places' étraagôn» sont tr&V termes et la
llqaidaUisu dss faleuM ft LonÊ!'*3 est très faSlt»,, A Vl*E*ffï l*s aisposlti«HS soat <»xcell»ntm et la Landsr)>g£kj qui boadalt déduit
t.#sffémp«, est. on fort* reprise sar la ceaversson d«s emprunts p.niu-amf.
Nfaaiuoln», les sSa'lren à termes ont été un
p»a moins activas p*Ht être à causa de la ré
poHs.a ârs prlm»».
3 0/9, WJ.Se, 192 275. Extéyleure, 42 .45,43.40.
Italie»), 34.9». Tore D, 22.75. Banque ettoman« US. Lauderbask, 585 504, Rio, 173.
.Chemins espogrt.oîs raSermls. Ca sont eux
qui i éuéfleitroiu U» pierialsra ds» la eoaciusioa de la palj , les recettes d'ailltiars continuent à être, «a progression.
COMPTANT
S
9i
0
,Qas,ea aoavelle rep,^.* , f-k l'Jl r^
u"
172, m la baisse était iejaitia^. p * l î!! ^"!
det, 15S3, à la. veille dû aetéphein*àjt a,. SQU '
peu. C«mté alenrdl< à *93. Kafilâ. Sfe#,< Paria,
7»0, 74®. Lotre, SOI, 204. Borai, 106 75. ïraîaways en hausse d» SJJ fr. â 211C0. L'action nou-.
velle était iiemandâe. à Î850. Tram d* Bron,
SSS; 8i9 Usines du Rhôae, s04. JCUÎSS. Lumtère, iteo, Uiê.
Ni.-és avens semarqoê fie ÊoflBes desnandes
tn obllgitioas Panama, gérait es le réveil 7
WFmèrê Mmrè
t'f traité franco-italien
Meuve. — Où annonce dans les cercles
biea informés qae le nouvèaa traité commercial fraaeo italien pourra entrer en
vigueur le 1" jaavier pro liain.
Les deux gouvernements sa sont eagagfés à faire' leur p©Rsible afin "qu'à cette
date il soit appioa**? par les Parlements .-
Âîtsfitat anarchiste
Marseille. — Une bombe a été trouvée
eej&atln, à la Parl-otte, par des asoests
au tribunal-- dé cotûmeree situé au palais
de la Bour*e.
Cette bombe était formés d'une boite
de coaaervés. El*« était munie d'une mèche qui n'a pas'brûlé-.
EUS a été Ifanifé'dfl au laboratoire municipal.
L'expert a trouvé 140 grammes de poudre et «es eloïîs. L'engin aurait pu provoquer une terrible explosion.
. JD'etirès 18 eonci'srîfe de l'immeuble, elle
aurait été dépfisôe hier soir.'
Les adieui da général lîersieï
I e Msm. — Ce soir, à 0 heures, dans U
hall de la Bourse du Commerce, les officiers de l'armé» active, de la réserve el
de la territoriale .offraient ua punch d'à
dieu au générai Mercier.
A son arrivée sur la P'.ecs do la République le gênerai Mercier a été reçu aux
acclamations de la foule massée sur son
passsge, et les cris ds : a Vive l'armée !
A bas. les traîtres ! A bas D.'eyfus I »
éclatent.
600 officiers étaient -présents. La ?alle
était décorée de drapeaux et de trophées
d'armes.-^La musique joue; la Marseillaise.
A 10 h. 1/2, le général Jollivet prend la
parole et pfononce'.un élscuurs ués applaudL
Le général Mercier, après avoir dit oomhîea il était ému des paroles d'adieu affectueuses qui viennent d'être prononcées,
s'axprl&e ainsi .:,
« Ma destinée a été plus neureuse, plus
brUlauta que Je- ne pouvais, que ja us
devais l'espérer,., mais mon véritable court.n»emeht de carriers c'est aujourd'hei.
C'est ici que ja ie reçois et c'est vous qai
me le donnez, rcon c*er compagnon d'armes, vous ma le doiiuez par cette éclatante manifestation de sympathie, par
la haute affirmation ds votre confiance
dans ma valeur professionnelle et dans
ma valeur morale,
É* Il put pour moi une compeasatlon qui
m'est offerte dan'f des circoostanc'ês auxquelles vous avez fait discrètement allusion;
«Les historletss racontent qu'au moment
même où l'armés turque forçait les remparts de Constantlnopte, d'aucuns se |disant Intellectuels discutaient passionném .^* sur les arguments théologlques.
(ÀpplmàùZir^nts).
«Nous Bubîsson»; dans cette France notre
crise de hyzafltlniem» j^îe.Uectuel de ceux
qui sont victimes d«s estts tiéeisdence morbide. Nous ne ferons rien parce que nous
ne voulons pas être des hommes ds discussion* Moui sommes des hommes diction et nous nous appliquons à nous maintenir en état de 'combattre les Turcs à
quelque frontière et sous quelque forme
qu'ils se présentent. C'est en cela que
peut consister ce grandcomplot militaire
dont tous n'êtes pas sans avoir entendu
parler.
« Voilà la- grande et noble tâche à laquelle vous vos» consacrerez. Ja bois à
ses brillants généra», à sas vaillants officiers, à ses braves soldats et surtout k
ses succès futurs. »
B?s cris de : a Vive Mercier I vive l'armée ! » ont accueilli lafinde ce discours.
rha'/V as songe nullement h une intervention aux débats. Ce n'est qu'au cas
où le procès entraînerait ia condamnation de M. Picquart qu'il «aininerait
l'opportunité d'une action ciTila contre
ce dernier.
OU S8T ZOLA '•
Londres. — Un rédacteur de l'Eûening News aurait découvert la retrait®
de il. Zola. Celui ci serait, à Chertsey,
situé sur la rive droite de la Tamise, a
environ 80 kilomètres de Londres.
f!S SES DEPtCHESWiE SUIT
ÈT>WCIVILOE LYS'H
FUNÉRAILLES DO 30 NOVEMBRE 1§98
Premier arrondissement. — Veuve Raynaud, née Antoinette Pwcud. rentière, 83
ans, rue du Jardln-des Piaules, 3, î. 9 b. —
Claude Duœurat, Serrurier, 68 ans. rus d©
TunîPl«\ 8 f i b.— Vfiuve Panly, née jolie
Re«)«don. 'cuisinière, 43 ans, rue Pitrre-Dupont. 2, I. S h.
Deuxième arrondissement. -— Veuve «QUiard, née Clavel, ménager», 58 ans, H.-D.. !..
7 li. — Elise Bardin, ouvrière 29 ans, Chfarité,
Ï.B h. — Maurice Delzappo, 2 m. 1Î2, rue du
Piat, 29, f. 2h.— Antoine Délaye, conolergs,
07 ans, rae d«< Remparts d'Alnay, 27, ï. il h.
Troisième ar ondif&ement.— Brune) Pierre,
' prêtre, 92 ans, route de Vinnne, SOS. î. 8 h.-Granger, mort né, avenue de S*x«, 320, f. 7
h. — Alllery Ktienn», concierge, 73 ans, ruai
Monor-y. 67, f. B t.— Marco:?, 2 Jours, rus des
Petites-Sœurs. H, f- 10 b.— Chaud Joséphine,
2 ans lf2, rue Sébastien Grypiie, 109, r. 11 h.—
Veuve Dvrni. fiée Martin Jeanne, tisseuse, 7S
ans, rue" Dùgucsclin, 205, t 12 h.-- Epons®
Tourenne ï "née Adrienue Ciiajpbonnier, t.- p.„,
rue du Bas-Pcrt, 2?, t S 11.
im
Quatrième arrondissement. — Ep. Boudltlon, née Marie Moatagnou, laitière, 20 ans,
hôpital Croix-Rousse, 1, 7 h.
Cinquième arrondissement. — BiRueur Mareel. 11 mois, roe Lois.elière, 7, f. 1 h. — Vva
Dnbois, nô5 Benoîte Decraud, s.' p., B7 ans,
autlguaille, i. 2 h. — Rlvoire Louis, liseur de.
desseins. 68 ans, rue de ïrîon, S, f. 9 h. Paillon François, s. p , 71 ans, rue du Jugade-F3lx. 8, f. il h. — Glvin Antoine, s. p.,
75 anr, rue des Toileries, 22, f. 3 h.
Siriàme arrondissement- — Dulwy de Peyramon, en. Talion, rentîôre, 54 ans, avenue
deNoallles, 54, f. 9 h. — .Sonneto Ange, cuisinier, 61 ans., rue Cuvier, i8, f. 1 h.
L'affaire Dreyfus
L'ATTITUDE DE LS O0U5Î DK CASSATION'
sparts. —A l'issue de la séance du
Sénat, M, Mâhau, premier président de
la cour d** cassation et sénateur d@ la
Côte -d'Or, aurait fait la déclaration
suivante :
« On ne peut qu'approuver entièrement ie langage tenu par la président
du conseil. La qusstion qui a semblé
préoccuper certains de mes ceîlègues
du Sénati. est celle relative â la comWoft d® M. Lu®lm Brun munication du dossier Picquart à la
cour de cassation. Certains ont cru
P*iW«. — Dès que la mort de Û. Lucien voir dans cette éventualité, la possifirah a été eennue dans le monde politique. Se' registre déposé chez la concierge, bilité de dessaisir ainsi le eonseil de
de ia !SBiï®n mcirtUaire 8'est couvert Ce guerre de Paris aujourd'hui régulièrement saisi de l'affaire Picquart. Je
sigbàturtB.
•
Nous avons remarqué MM. Loohet, le
suis persuadé que les membres de la
comte de Blots, jLe Prévost de -;Launay,
cour n'useraient pas d'un moyen déle haroa.'de Larè'inty," M. de'!6râ'ndm%l- . tourné de ce genre et qu'ils ne se prêteraient pas à cette sorte d'habileté,
:, son, les membres du bureau du Séaat,
Mgr Richard, MM;' Fmi de Cassagaae,
quelle que soit l'importance d'un dosBaadry d'AssoE, e c...
sier de.ee genre. Rien ne serait plus
simple à la chambre criminelle de la
JLs«*9 atSair-e® «de Grèt© cour de cassation de réclamer à
.nouveau le dossier après les débats" du
conseil de guerre s'il était nécessaire.
S, Nama EP-52
JfWne. — L'information suivant laquelle
LE DOSSIIIgR 8EOa.ET
M. Nutai Dfoz partirait pour la Crète eu
Paris.
~~~ Contrairement à ce qu'on
qualité de conseiller 'du... prince fcteorgôs .
est inexacte.
annonçait cet après-midi nous croyons
îl paraît cfirtals que des pourparlfsrs
pouvoir affirmer qu'aucune commun!sont engagés ea ce moment pour" uécidér eatlon de dossier secret n'a été faite
M. Nama.D.roz à accepter es poste.
'jusqu'à, présent, à-- la cour da cassaRéponse du tssr*
tion,
Comianiinople. — Le tsar, dans sa réL'iftTERVSfliTIOh* 0'B8TERH*2V
ponse au télégramme par lequel le sultan
Paris, — Au sujet da i'aiïaire PÎO*
lui 'demande de renoncer à la nomination
du prince Georges, dit que ses sentiments- quart en consail de guerre, M. Ested'smitié pour le sultan n'ont pas changé, Vf, y " 'T^H^^W^':'^B|
'^*^R I
:que le prince Georges se rend en Crète en
qualité de haut commissaire des quatre
puissances, que les droits de suzeraineté
du sultan sur nie seront sauvegardés.
: .— 'l*\iar frles'te.
. — Malheureux, ea eH-tu bisn sûr ?.
— C'est moi qui lss ai conduites au ha»
leau.
. . .
— Mes f auvra ami.dit Harrla en ; me
serraatiea malna, la reaonBaiss.aaee s'Impose, mais l'amour ne ââ commande
;
" -afèlàr. B Jâimu?'n-.ï!-J avait de l 'éch »
loué un 'patit hôtel dans la ville moderne,
au bord du grand ruisseau II reçoit beaucoup fit monde et sb démène actlvemPst
pour arriver au mîntstèra de la Justice;
mais il .faudra du temps. C'e*t PhotSni qui
«eut sa maison. D.mitri y va quelqasfoia
seuper et soupirer à la eaisiee.
Je n ai plus entendu parler de Mme Simons, ai d© M Stiarper, ri de Marv A»n
JS confessa- en" toute sincérité qu'il y
Djspuis es four, iSonaienr, l'ai vé«3u ..bfiftfiterv pi-!. 'Qi8ï«?nefpîs encor», au mi«DHBë les bêtes,, havahî, Éditant el-hti- lieu se fa K«U. jd"îB-"C.«a3 3« suis devant eut autrefois quelques brigands dans 1«
royaums. Les principaux ont été détroits
mant l'*ir.
elle et dm «*a longue ûgtii jBatgre se psr îlsrcala «t par Tfiôsée, qui peuvenî
J'ai exp-âilémf s cellaciioiiS à Hambourg
refléta dans ses yehâ.
être coneîdérés comme les fondateurs de
ea«s «a* ssala tear de Boryan» oaria..Alors Je m'éveilla, ja pleure à chaudes la gendarmerie grecque. Ceax qui ont
biiiè.
-^ttltlBl.*
larmes et Je mords lurleusenieât mon
échappé au bras de ces deux héros, sont
Mes amis m'ont conduit au balëan fran- .ejreviler. Ce que , .Je regretta, oroye^-l® tombés sous les coups de notre InviaoiMô
lilïj
Ce
a'asit
pas
la
femnis.
t'aet
la
forçais 1« idaâemain du bal. Ils ont trouvé
armée.
tune et ia position qai m'ont éahappé.
Bradent de faire le v«yag% pendant la
L'auteur du roman que vous m'avez
Huit, dis peur de retasontrer les soldats de Biea m'en a pris de ne pas livrer "sacs
fait l'honneur de m'envoyer a prouvé
'èdeà'rVït ja rm&s- tous les j'onrs des ac- autant d'ignorance que de mauvaise foî»
M. Fôri«U5si
de grains â raa froideur ' aalu'-.' eh -affûtant de considérer ie brigandage
Nous sommes arrivés sans escômafô tions
relie.
eormae tx& lait contemporain. Je donneau Filée; ffials à virjgt-einq brasses du
l%
rsi^ beaueèrjppour que son récit lût imtitafé, uns dessi-âouEaine de fusils iaviprimé, soit e» France, soit en Angleterre,
Lattre d'Athènes
slbHs est ehanté toat près de nos oreil. avec le nom et le portrait de M. Schcltss.
les. C'était l'adieu du. Jeli capitaine et.de
Le }*uti même où j'allais livrer k rim- Le jsaahdfe-gaurait sufij! par quels groBgea beau pays,
îiers artifices on ^sss-j-a de nous rendre
jsli parceura les tnontBgsas de Malte, pression le rec.it de M. Kfèrmann Sshattz,
mon honorable correspîiïdaîît d'Athènes
suspects â toutes les nations civilisées.
de k Stella et de l'Italie, et moa hersie?
ma renvJDjai le maa"B-.ïrit avec la lettre
'« Quant à VOKS, -. saonaieur, qui nous
s'est eariehi plus que moi. Mou père, qui
suivante :
ave-j! toujouri- rendu justice, agrées l'assuavait ea le boa esprit dà garder t»n au« Monsieur,
rance de tous les bons sentiments snveo
bwge.m'a fait savoir, k M-eraine, que mes
a L'histoire du Roi des .mo'nlasnesest lesquels j'ai rijoaneur d'être
isnvols étaient appréciés là bas. Peutl'invcntlsn d'un ennem! de la vérité et de
« Votre très reconnaissait'; serviteur,
être trcruverai-ï-3 une place sa arriva»! ;
maig J» me. suis tait une loi de ne pins îs gendarmerie^ Aucun des personnages
« PATR.K.T.18 ÏSB-Fïlâ,
qai y sont cités n'a mis le pied sur le
compter sur' rien._
« Auteuf il'eâ fo'nae -le ditÈyrainloss sue
sol
da
la
GrêcKS,
La
police
n'a
point
visé
H^rrfe est en route pocHe Japon. Dans
la régénération de la ©.rêce : rèâacîeiiï
da passe-port au nom de" Mme Simon*.
un aaoudeux.j'espère avoir dg ses nouvelAu jetiHial l'Espérance ; membre de la.
Le.commandant do Pires n'a jamais enles. Lepetit Lobster m'a «erlt cits Rome,
KooîîHé arahéoiogtqBe d'Atnènea ; iitém •
isre correspondart cta l'Académie des
il s'exerce toujours à tirer le plsto:eL tendu parler de la F«<ic// ni de M. John
Ue| Ic-tennes ; aotionnali-s de fa Comtaiacoo» continue à "eacïveter dss lettres Hit-ris. Lps fîèr«8.PoSiip as m Rouyj^npilait* nationaïa da Spartiate Paylos. •)
rieaî p's-s d'avoir employé M. Wl:l!am
la Joarat à casser ses neUettea ie «oie.
M. Mériaav a t?oavé peu? m pierre hnfyM~. KMOXR ->gfcHt diplomatique n'a
enaù daos &':3 b-jr^aax i=a Maltais du
une nëavelle iGterprôtation, feîsa.pl-as in
• %
nom de G'.aeom.û. -Foûdi. L^ banque nagfiB.i?.ute que la mienne. Ss» g'aad . travà'l sis I s>éaios!Uèae «loit sUniarimer un tkâârt* de 'G'êcs a bi#o des 'hoses à se
©a
i''a,»'teiBJr
repï«îs.(i la ^aîols
jour ci loutre. L r«roi des mootarno* a rf-p'-ô-'-h^r, m-*U elle n"? jamais en en
aépoties
ït.'&*ls
pf.bvchîat
da
brisranlâge.
Àtfeitii:^, !n?n hïl gpçij, im MfctoftAS
fait sapais avr-'c râutorité- Il construit nno
SI c'-e lîs àvt'it reçus, ellt? se cerait. îài't lec, plus v«ie's hesenî pas éeUés qui îoaî
fjraadd maùoa emr. la route du Pirutélîq^e»
mixité.
evea EU -csarp» de gtarda peur loggr vîng'.- un d'nvoiî de las coniisque? à son profit.
Je tiens à voue disposition la liste des
Wq. «ïîwares ffîWaWM mmUut, U a