Dossier Mon Royaume - Théâtre de la Maison du Peuple
Transcription
Dossier Mon Royaume - Théâtre de la Maison du Peuple
Le Théâtre des Crescite 57, rue de la République 76000 Rouen Président : Thierry Pascal Jullien Secrétaire : Mélissa Bé Trésorière : Nancy Tarrius [email protected] http://www.theatredescrescite.com Mon Royaume Pour Un Cheval D’après l’œuvre de William Shakespeare Traduction : Alexis Magenham Mise en scène Angelo Jossec Avec : Florent Houdu, Sophie Lebrun et Joana Rosnoblet ou : Angelo Jossec (ou Damien Avice), Alice Lestienne et Lauren Toulin TARIF : nous consulter Pour 3 classes : JOUR 1 : 2 représentations (1 classe et demie par représentation) JOUR 2 : 2h d’intervention du comédien, par classe (initiation) A la charge de l’établissement : 3 repas Jour 1 et 1 repas Jour 2 (Nous pouvons aussi intervenir pour 4, 5 ou 6 classes.) Un dossier d’accompagnement pédagogique est proposé pour préparer les élèves à l’intervention Contact : [email protected] / Barbara Daussy : 06 75 64 59 25 Crescita scolaire : Mon Royaume Pour un Cheval (ou Une Nuit Apprivoisée) Le Théâtre des Crescite (croissances ou excroissances en italien) a été créé le mardi 19 mai 2009 à Rouen (Haute - Normandie) sous la forme d’une association, loi du 1er juillet 1901 par Marjolaine Boudet, Angelo Jossec, William Langlois et Alexis Magenham. Cette association a pour objectif la création théâtrale ainsi que toutes actions, promotions et diffusions couvrant le champ artistique, mais gardant toutefois pour spécialité le domaine du théâtre. Son siège social est situé à Rouen. Avec ce projet, le Théâtre des Crescite a à cœur de promouvoir son travail au sein du jeune public et de proposer aux enseignants un assistanat pratique quant au programme théâtral qu’il doit défendre et aux études de textes qu’il doit mener. Le Projet : Son objectif : L'idée est de partager, de transmettre l'univers et la vitalité du théâtre shakespearien. Il s’agit moins d’un spectacle que d’un prétexte pour discuter Shakespeare, sa langue et le théâtre londonien du 16ème siècle. L’élève pourra expérimenter cette « langue » au travers de la représentation puis d’un atelier de pratique théâtrale. Il s'agit donc d'une forme hybride où la pièce, l'histoire choisie, vaut tout autant que la découverte de l'homme qu'était Shakespeare, le théâtre de son époque, ses conditions de travail et une vue d'ensemble des thématiques qui lui sont chères. Une forme sans cesse interrompue par de brèves recontextualisations historiques et sociales. Ces dernières sont moins là pour inscrire l’intervention dans une perspective historique que pour donner les clefs d’une œuvre et d’une langue vieille de plusieurs siècles. Nous avons choisi d’axer le travail sur l’histoire de Roméo et Juliette en se permettant quelques interférences avec Hamlet, Le Roi Lear ou encore Macbeth afin de garder une porte ouverte, une invitation à découvrir et un appuie pour le professeur face au programme qu’il doit mener. La représentation est suivie d'un atelier de mise en jeu (2 heures) sur des textes de Shakespeare. Il s'agit de faire découvrir, de donner le goût de cette langue d'un autre temps, de comprendre sa richesse en restant dans le concret, le ludique et surtout le plaisir. L’atelier est axé sur le travail de chœur et la constitution du groupe. Comment travailler ensemble vers un même objectif. Le combat, les batailles sont au cœur des intrigues shakespeariennes « fights » et c’est ce qui constitue le noyau de l’atelier. Sans violence évidemment, afin de transmettre aussi des notions de théâtralité. Enfin, les morceaux de texte portés par les élèves seront dans la langue originale de l’auteur pour permettre une immersion plus grande. Notes d’intention : Quelle est la Genèse du Projet ? L'idée de cette forme est née du souvenir, de mon propre souvenir d'élève face aux écritures théâtrales. J'avoue aujourd'hui ne me souvenir que de peu de choses. Quelques bribes d'une scène de Dom Juan, ou l'étude du Jeu de l'amour et du hasard de Marivaux. Je ne me souviens que d'une étude de texte, une étude de la langue, une chose nécessaire mais qui me passionnait peu. Le Marivaux étant au programme de mon bac de Français je me trouvais dans l'obligation de le travailler, de l'étudier. Un jour, fatigué de ce texte et fatigué de travailler, je me suis assis face à mon ordinateur et me suis mis, pour rire, à m'enregistrer, lisant certaines scènes avec différentes voix. Et tout à coup, l'amusement venant, je commençais à comprendre, sans m'en rendre compte, la pièce, ses enjeux et surtout la langue et son humour. Je poursuivis ma formation de comédien, cofondai un collectif en 2009 et commençai à m'interroger sur mon rôle au sein de cette société. Au départ, une envie de se tourner vers les jeunes publics, qui sont nos spectateurs de demain, d'abord par des ateliers au travers du CDR de Rouen pour des CP, CM2 ou classes de 1ere mais cela ne me semblait pas suffisant. Alors le souvenir de ma rencontre avec le théâtre au collège et lycée qui m'avait laissé de marbre me revint. Aujourd'hui, faisant ce métier et redécouvrant régulièrement ces textes classiques, je ne comprends pas pourquoi ils me rebutèrent tant à l'époque. Alors à mon niveau, en tant que jeune comédien, jeune metteur en scène, jeune directeur de troupe et avec le souvenir de ma rencontre avec le théâtre classique, je me dis que je me dois de faire quelque chose, de compléter ce que les enseignants n'ont plus le temps de faire. J'imagine donc cette action, cette forme, qui s'invite au sein de la classe comme une rencontre avec Shakespeare... Pourquoi Shakespeare ? Fort de l’expérience du premier volet de ces actions avec « L’Imaginaire Forcé » autour de Molière j’ai eu l’envie de poursuivre dans cette voie. Pour ces actions j’ai encore l’envie de me tourner vers les textes classiques car ils sont de prime abord ceux qui rebutent le plus pour les collégiens ou lycéens. J’ai voulu alors m’attaquer à Shakespeare pour ses qualités d’auteur bien évidemment mais également pour tout le « magma » historique, théâtral et des légendes qui l’entourent car c’est par cette porte que nous ferons notre entrée pour faire découvrir cet auteur. L’écriture de Shakespeare est propice à notre fantaisie dans le contexte de la classe. Cette parenté au théâtre médiévale, aux allégories ainsi que la simplicité scénique avec laquelle les choses se faisait au sein du globe permettent de faire découvrir ces œuvres, cet univers et le théâtre de cette époque par des biais simples et jouant, tant pour les comédiens que pour les spectateurs. Pourquoi intervenir en milieu scolaire ? En menant mes différents ateliers et en conversant avec les enseignants, j’ai compris que la difficulté première pour faire découvrir le théâtre aux élèves n'était pas l'envie, bien sûr, ni le prix de la place de spectacle au théâtre, car tous ces lieux font aujourd'hui des efforts. Le vrai problème pour les établissements concerne le prix du transport des élèves jusqu'au lieu de la représentation. C'est donc à nous, comédiens, de venir à eux. D'autre part, venir dans la salle de classe est sans doute plus marquant pour les élèves qu'une quelconque sortie, où la forme prend souvent le pas sur le fond. Venir dans la classe, être dans cette proximité avec les élèves marquera peut-être plus. D'autant que la chose se fera pour un nombre restreint : une classe et demi à la fois, mettant chaque élève dans une situation privilégiée. Les comédiens acceptent de faire cet impromptu comme les élèves acceptent de jouer le rôle du public. Ces derniers se sentent impliqués dans la forme, dans le spectacle qui se crée devant eux. C'est un choix de leur part d'accepter d'entrer dans la danse. En effet, ils sont témoins des changements à vue, des changements de personnage, et ne sont donc jamais pris pour dupe. Une sensation d'être à la fois dans la coulisse du comédien et spectateur dans la salle. Dans quel but ? Encore une fois, il ne s'agit pas d’offrir un spectacle, de monter telle ou telle pièce de Shakespeare. Il s'agit de présenter une forme qui permettra aux élèves de voir que la langue de Shakespeare n'est pas une littérature vieillotte que l'on doit étudier parce qu'elle est au programme mais que c'est une langue vivante, drôle, encore aujourd'hui. Il s'agit d'une expérience commune entre les élèves, l'enseignant et trois jeunes comédiens ; expérience sur laquelle il est possible de rebondir dans l’étude du programme scolaire. Il faut donc aujourd'hui trouver les raisons qui font que ces histoires raisonnent encore en nous à travers notre époque et ce qui l'a marqué. En d'autres termes, trouver la porte d'entrée. Il ne s'agit pas d'actualiser pour actualiser en insérant du téléphone portable et de l'Ipad là où ils n'ont pas lieu d'être, mais de parler aux gens d’aujourd’hui avec les codes que nous connaissons tous car vivant tous dans la même cité. Je rêve que cela soit un véritable appui pour rendre plus digeste le programme théâtral de la classe. C'est pourquoi nous réservons une place toute particulière aux (re)contextualisations de l'homme qu'était Shakespeare, de son époque et du théâtre du 16ème car il est difficile sans cela de comprendre pourquoi Shakespeare écrit ainsi. Ce n'est qu'un appui pour rebondir et provoquer chez les élèves une approche positive de ces textes. C’est une forme libre, où il n'y a pas de frontière scène-salle, où toute la salle de classe fait scène, où les élèves ont le droit de se retourner pour voir ce qui se passe derrière, où l'on peut voir le comédien changer de costume, que cela n'est que du théâtre, que nous ne faisons que semblant. Et c'est cela qui rend possible l'acceptation du "spectacle". L’élève se sent impliqué car privilégié. C'est un peu comme être dans la coulisse du magicien, à la fois on voit la préparation, on voit le truc, mais lorsqu'il sera sur scène je m'amuserai à faire semblant avec lui... Biographies ANGELO JOSSEC Après une Licence de Biologie Moléculaire et un DEUG d’arts du spectacle, Angelo Jossec se forme à l'ACTEA en classe probatoire et professionnelle puis en tant que comédien compagnon (GEIQ) au Théâtre des deux rives CDR de Rouen. En tant que comédien, il travaille avec Stéphane Fauvel (Amerika ou le disparu en 2013), Amélie Clément (L'Aquarium en 2005, Show Room en 2006, Le Monde + Moi = Eldorado en 2008 et Tous à Table en 2012 pour la compagnie Le Ballon Vert), Ophélie Brunet (Cosmose en 2008 pour la cie Les Chronophages), Olivier Lopez (Innocences en 2007, La Cerisaie en 2008, Forêts en 2009, Addictions 2013 cie ACTEA), René Paréja (Le Tartuffe, cie Nord Ouest Théâtre en 2008), Annie Pican (La ronde en 2011, cie Théâtre de la Rampe), Alice Lestienne (L’empreinte d’L en 2011, Joanne of Arc en 2012 collectif Les Temps d’Arts), Mattia Scarpulla (Un Amore, cie l’Etrangère en 2012). Au sein du GEIQ, Angelo Jossec a travaillé pour Bernard Rozet (Portrait de groupe avec Molière CDR Théâtre des 2 Rives; Déjeunons sur l’herbe CDR Théâtre des 2 Rives / Normandie Impressionniste en 2010), Thomas Jolly (MaKing 1 Henry 6 en 2010), Sophie Lecarpentier (Labo 3 Folles Journées en 2010) Bernard Rozet et Elizabeth Maccoco (Le saut de la tortue en 2011 CDR Théâtre des 2 Rives). Au sein du collectif Théâtre des Crescite Angelo Jossec travaille dans Les Monologues de l’Animal en 2008 et Le musée du doute en 2009 tout deux mis en scène par Alexis Magenham ; en 2010 il met en chantier L’inconnue d’Arras de Armand Salacrou qu'il met en scène. Il assiste par ailleurs Olivier Lopez à la mise en scène de La Griffe en 2010 ; Les visites théâtralisées de la ville de Caen en 2011 et Jérôme Hankins pour le projet Everyman en 2012 (CDR Rouen). Il mène aussi différents ateliers de pratique artistique pour des classes de CP, CM2 et 1° en 2010/2011/2012/2013 pour le CDR de Rouen sous la direction de Catherine Dewitt (directrice de formation) et pour le groupe amateur d’ACTEA en 2011/2012. Il a également à charge les journées au théâtre pour les classes de primaire (CDR Rouen). Il suit également un stage en mai 2012 sur « L’art et la manière d’intervenir en milieu scolaire » avec Bernard Grosjean et Sylvie Fontaine. DAMIEN AVICE 2014 Henry VI, Shakespeare, mes par Thomas Jolly 2013 Mon Royaume pour un cheval, mes par Angelo Jossec 2011 La Dame de chez Maxime, Feydeau, mes par Bernard Rozet Au GEIQ théâtre Haute-Normandie, Damien Avice a travaillé pour Bernard Rozet (Portrait de groupe avec Molière CDR Théâtre des 2 Rives ; Déjeunons sur l'herbe CDR Théâtre des 2 Rives / Normandie Impressionniste en 2010), Thomas Jolly (MaKing Henry VI en 2010), Sophie Lecarpentier (Labo 3 Folles Journées de Beaumarchais en 2010), Bernard Rozet et Elizabeth Macocco (Le saut de la tortue en 2011 CDR Théâtre des 2 Rives). En 2009 avec la compagnie Pierre Debauche et l'école du Théâtre du Jour il participa à 39 : ils arrivaient en Espagne, La Retirada, écrit et mis en scène par Robert Angebaud ; La Tempête de Shakespeare, mis en scène par Alan Boone ; Ma Famille de Carlos Liscano, mis en scène par Nicolas Brugières ; La Baraque de l'électric'bazar de Morwenna Prigent, mis en scène par Morwenna Prigent et Philippe Pezant ; La Vie Parisienne, Offenbach, mis en scène par Robert Angebaud. FLORENT HOUDU Il a fréquenté les conservatoires du XXème et du XVIIIème arrondissements, puis l'école O Clair de lune à Paris. Il a joué dans Je, tu, il de François Tardi, présenté dans plusieurs salles parisiennes. Dans ce cadre du GEIQ Théâtre en Haute-Normandie, il suit des studios d'interprétation avec Didier Bernard, Yann Dacosta, Guy Delamotte, Catherine Delattres, Jérôme Hankins, Brigitte JaquesWajeman, Elizabeth Macocco, Claude-Alice Peyrottes, Sergueï Vladimirov. Il prend part aux lectures dirigées par Brigitte Jaques-Wajeman lors d'un Travaux Publics et à celles du Festival «Ecrire et mettre en scène aujourd'hui» organisé par le Panta Théâtre. Il joue dans les créations de Du côté d'Alice 1 / En attendant la récré de Catherine Anne, mis en jeu par Yann Dacosta, Le Numéro d'équilibre d'Edward Bond, mis en scène par Jérôme Hankins, Une nuit chez les Ravalet, mis en scène par Thomas Jolly, Le jeu de l'amour et du hasard de Marivaux, et L'étourdi de Molière mis en scène par Catherine Delattres. Il joue également dans Drink me, Dream me, Carnets de Parents et Le Village en Flammes mis en scène par Yann Dacosta. ALICE LESTIENNE Après un DEUG d’arts du spectacle, Alice Lestienne se forme au Conservatoire à rayonnement régional de Rouen puis en tant que compagnonne au GEIQ Théâtre de Haute-Normandie. En tant que comédienne elle travaille pour Denis Buquet (Mélite, La place royale, L’illusion Comique de Pierre Corneille avec la troupe de La Canaille), avec le collectif du Safran (Heureux qui comme Ulysse ; Modeste proposition, mis en scène par Thomas Rollin). Au sein du GEIQ, Alice Lestienne a travaillé pour Bernard Rozet (Portrait de groupe avec Molière CDR Théâtre des 2 Rives; Déjeunons sur l’herbe CDR Théâtre des 2 Rives / Normandie Impressionniste en 2010), Thomas Jolly (MaKing 1 Henry 6 en 2010), Sophie Lecarpentier (Labo 3 Folles Journées en 2010) Bernard Rozet et Elizabeth Maccoco (Le saut de la tortue en 2011 CDR Théâtre des 2 Rives). Par ailleurs, elle inaugure la naissance du Collectif Les Temps d’Arts par la création de L’Empreinte d’L qu’elle écrit et met en scène. Elle mène également différents ateliers théâtre pour des enfants et des adolescents à La Maison pour Tous à Sotteville-Lès-Rouen et au Théâtre des 2 rives de Rouen. SOPHIE LEBRUN Après un BAC option théâtre puis des études de sociologie, Sophie Lebrun se forme à l’ACTEA à Caen. Au sein de l’ACTEA elle joue dans Hamlet m.e.s d'Emmanuel Ray (2006), La Mouette m.e.s de Christian Geffroy (2006), Innocence de Dea Loher/m.e.s d'Olivier Lopez (2007), Forêts de Wajdi Mouawad/ m.e.s d'Olivier Lopez (2009). Par ailleurs elle travaille avec Alain Béhar (Sérénité des impasses au festival In Extremis à Toulouse en 2007), Dorian Rossel pour une création collective au sein de la Cie Supertroptop (Libération sexuelle, Suisse, 2008), Marion Duval (Les Vanités Vivantes, Lausanne, 2010), Amélie Clément (Les Rêves, Caen, 2011). D’autre part elle cofonde le collectif La Cohue en 2009 à Caen et participe à différents projets : Les somnambules parce qu’ils s’ennuient le jour création (2009), Perfusion (2010), Liddl TCHEKHOV texte d'Anton Tchekhov (2011). Elle jouera cette saison dans Visage de feu de Marius von Mayenburg, mis en scène par Martin Legros, avec le collectif La Cohue. JOANA ROSNOBLET Formée à l'ACTEA à Caen de 2009 à 2012. En 2009 elle travaille avec Jean-Luc Pérignac au sein de la compagnie Caboch'art. En 2012, elle joue dans une adaptation de la Métamorphose de Kafka de la compagnie du Cadavre Exquis. Elle jouera également cette saison dans Visage de feu de Marius von Mayenburg, mis en scène par Martin Legros, avec le collectif La Cohue. LAUREN TOULIN Après s’être formée au Conservatoire à Rayonnement Régional de Rouen sous la direction de Maurice Attias, Lauren Toulin intègre la seconde promotion du GEIQ théâtre en Haute -Normandie au Théâtre des Deux Rives. Au sein du Conservatoire elle travaille sur Intimité (Montage de textes) Maurice Attias, Face au mur (Martin Crimp) Création Collective, Tout va mieux (Martin Crimp) Création Collective, Amarcord Fellini (Montage) Maurice Attias, Théâtre de Sang (textes Shakespeare) Maurice Attias. Au GEIQ Théâtre Haute-Normandie Lauren Toulin a travaillé pour Bernard Rozet (Portrait de groupe avec Molière CDR Théâtre des 2 Rives ; Déjeunons sur l’herbe CDR Théâtre des 2 Rives / Normandie Impressionniste en 2010), Thomas Jolly (MaKing 1 Henry 6 en 2010), Sophie Lecarpentier (Labo 3 Folles Journées en 2010) Bernard Rozet et Elizabeth Maccoco (Le saut de la tortue en 2011 CDR Théâtre des 2 Rives). En tant que comédienne elle travaille aujourd’hui avec Catherine Delattres (Le Jeu de l’Amour et du Hasard de Marivaux ; L’Étourdi de Molière) ; Jefferson Desmoulins (Électre) ; Le Caliband Théâtre (Pinocchio) ; et Angelo Jossec (L’Imaginaire Forcé, Mon Royaume Pour un Cheval, et Macbeth (fatum)). Mise en scène : Lecture de Laure, Flaubert et moi… Maupassant de Cécile Delîle par la compagnie La 6ème Heure.