Les Cendres du Phénix

Transcription

Les Cendres du Phénix
Livre IV
(Une guilde du jeu Dofus d’Ankama Games, serveur Silvosse)
« DOFUS » et les illustrations de ce document sont la propriété d'Ankama Games (Copyrights 2005-2010). Toute autre information RolePlay ou en relation avec la Guilde les « Cendres du Phénix » est la propriété du meneur de la Guilde, Phredix-osa ou des auteurs mentionnés
le cas échant (Copyrights 2007-2010). Le logo est créé par Xaklor et est partiellement basé sur des images d’Ankama Games.
Les Cendres du Phénix ; Livre IV
Version 0.2
p. 2/22
Préface :
Ce livre fait parti d’une série de livres rassemblant les textes ayant subsisté au poids des
années et issus des membres de la Guilde les « Cendres du Phénix » (jeu « Dofus » ; Serveur
« Silvosse »).
Vous y trouverez :
 des extraits des « Mémoires d'un osa, aventurier et Meneur de la Guilde 'Les Cendres
du Phénix' » par Phredix-osa ;
 des extraits du « Carnet de route » d’Hillis Parton ;
 de précieuses contributions de nombreux membres de la Guilde, Prisce, Wilwarin,
Magician-ofearth, Fussoireboy, etc. ;
 quelques autres documents ou informations ;
 mais aussi des gravures (appelées « Pho-tho »), car parfois une simple image vaut
1000 mots !
Merci aux « Cendres » et aux amis, joueurs, auteurs ou lecteurs.
-- Phredix-osa
Attention! Moult 'spoilers' (indices sur le jeu pouvant vous
sont
présents au fil de ces histoires. Lisez
à vos risques et périls !
gâcher la surprise de les découvrir par vous même)
Les Cendres du Phénix :
Forum : http://cendresphenix.forumsactifs.com
Site : http://www.freewebs.com/cendresphenix
Version 0.2
p. 3/22
Historique
Version Date aaaammjj
0.1
20100402
0.2
20100528
Auteur
Phredix
Phredix
Commentaire
Cordomagie Crocoburiale ; chapitre 4
Buchormanie, vent de colère
Version 0.2
p. 4/22
Sommaire
Préface ........................................................................................................................................ 2
Historique ................................................................................................................................... 3
Sommaire ................................................................................................................................... 4
4 Apreriel 640 : Cordomagie Crocoburiale (suite) ..................................................................... 5
20 Apériel 640 : blop, blop, et blop! Gloups les Blops !............................................................ 7
24-25 Apérirel 640 : Savoureuses défaites ................................................................................. 8
30 Apérirel - 1 Maisial 640 : Le Tanukouï San n’a pas froid aux …. yeux ............................. 11
2 Maisial 640 : Xelo Bricolo .................................................................................................... 13
Nuit du 5 au 6 Maisial 640 : Desty et le trousseau. .................................................................. 13
6 Maisial 640 : Gemme? J'aime! .............................................................................................. 14
9 Maisial 640 : Bûcheromanie ................................................................................................. 14
9 Maisial 640 : BûchORManiE ................................................................................................ 15
14 maisial 640: Comme un désir de Bulia. .............................................................................. 17
25 Maisial 640: Un vent de colère ........................................................................................... 18
1 Juinsidor 640 : Hommage à Magician-ofearth ...................................................................... 20
4 juinsidor 640: le tremblement de Terre « Ciremya » ............................................................ 21
Version 0.2
p. 5/22
4 Apreriel 640 : Cordomagie Crocoburiale (suite)
Chapitre 4.
Lorsque j’ouvris les yeux au matin du 4 Aperirel 640, je mis du temps à me souvenir quelles
avaient été mes dernières pensées. Il me fallu plusieurs heures pour comprendre les mots que
les silhouettes autour de moi prononçaient. Quelques heures, supplémentaires pour enfin
reconnaitre ma douce compagne Prisce, notre fille adoptive Hillis ; Magician-ofearth dans le
coin de la chambre, avec Ruth, Karcham, Zia, Ephie, Mimosa et bien d’autres. Enfin, une nuit
me fut nécessaire pour pouvoir articuler mon premier mot depuis des mois.
C’est Hillis qui me raconta ce qui c’était passé depuis ce jour maudit de Septange 639.
J’avais disparu depuis des semaines. Officiellement, on disait que je m’étais retiré pour
étudier et que j’avais du voyager très loin pour ce faire. Mais au sein de la Guilde, tout le
monde savait que ça n’était qu’un mensonge. Longtemps les Cendres m’avaient cherché, mais
le temps passant, beaucoup s’étaient découragée. Sans un Leader, nombreux étaient ceux qui
avaient alors quitté la Guilde, Novices comme Séniors de la Guilde.
Hillis elle-même m’avoua qu’elle avait baissé les bras et s’était alors retiré dans la maison
d’Astrub, d’où elle ne sortait quasiment jamais plus. Xelo se retrancha dans le travail encore
plus qu’avant ; il s’occupait des Dragodindes et vivait chez moi à Brakmar.
Nowel avait été bien triste cet hiver là, d’autant qu’une bête immonde ravageait sans cesse les
quartiers de Bonta. La maison « Lewis Parker », résidence de Prisce avait elle-même subit
quelques dommages. Personne ne savait ce que c’était, mais certains murmuraient des
histoires à propos d’un homme à peau de Crocodaille, mais les gens effrayés sont prèts à
interpreter n’importe quelle pseudo-information sortie de son contexte et mes proches
n’avaient plus le cœur de suivre les actualités.
Mais alors que tout le monde tournait la page, Prisce au contraire s’acharna. Un jour, elle
remit la main sur quelques unes de mes notes et, y étant fait mention, elle relut une copie de la
Légende de Crocoburio à la bibliothèque d’Amakna. C’est en discutant encore et encore avec
Mamyprisce et Xelo, qu’elle finit par comprendre ce qui était arrivé depuis le jour où j’avais
aidé la cordonnière à devenir cordomagicienne.
Dès le 31 Descendre 639, l’adepte de Cra mit cap vers les marécages. Sa mission : tuer un
Crocodaille bien particulier : le Crocoburio. Plusieurs semaines de traque furent nécessaires
pour enfin être sur sa piste, un mois de plus pour arriver enfin à le discerner dans le brouillard
malodorant. La Guilde, ou plutôt ce qu’il en restait, mit alors au point un plan pour venir à
bout de la réincarnation du fils de Crocabulia.
C’est le 17 Martalo 640 que l’attaque fut prévue. Un jour symbole, car Phrédix avait mis en
place pour les Cendres une tradition de fête et de descente de fûts de bière ce jour là tous les
ans, il l’appelait le jour Paddy. Mais cette année il n’y aurait pas de bière. Les Cendres durent
s’y reprendre à deux fois avant d’arriver à tuer Crocoburio. Sa carapace d’écaille ne laissait
passer quasiment aucune arme ou sort. De plus, le Commandeur Crocadaille invoquait ses
congénères au combat. Mais les Cendres avaient apprit par le passé qu’il était parfois
important d’échouer et commettre des erreurs afin d’apprendre et d’évoluer. Forts de leur
expérience elles revenaient alors au combat grandies.
Version 0.2
p. 6/22
Lorsque Crocoburio s’écroula de tout son long au sol, une brume verdâtre s’échappa du corps
de la victime en laissant place à la silhouette d’un adepte d’Osamodas. Prisce obtenait
confirmation de sa théorie et retrouvait enfin son compagnon de toujours. J’avais
immédiatement été escorté chez un grand maître Eniripsa. Celui-ci ne pouvait encore se
prononcer sur mes chances de survies; mon état avait alors été jugé critique. Après presque
trois semaines d’un profond coma, J’avais enfin rouvert les yeux. Coïncidence ou pas, les
actes de vandalisation de Bonta s’arrétèrent au même moment.
Alors que j’écris ces lignes je ne comprends pas encore la folie qui m’a poussé à cette
transformation. Il y avait plus d’un an maintenant que j’avais tout juste commencé à résoudre
l’énigme de la Légende de Crocoburio. J’avais depuis érré presque neuf mois sous l’emprise
maléfique de la Crocobur. Pourtant la quête d’un pouvoir ultime aussi destructeur n’avait
jamais été de celles que je voulais accomplir. Je me battais justement pour éviter que de tels
pouvoirs, notamment ceux des Dofus, ne tombent entre de mauvaises mains. Quelle
malédiction m’avait donc atteinte alors que je parcourais les marécages et m’avait poussé à
extraire l’Epée de son socle?
Aujourd’hui j’essayai seulement de mettre cet épisode derrière moi, tachant d’en tirer les
leçons nécessaires.
Après une absence si longue, je devais me remettre à l’entrainement. L’ile Otomaï, les
randonnés vers le Craqueleur Légendaire ou les Firefoux allaient me redonner la maîtrise de
mes sorts. Hillis m’accompagnait parfois et reprennait elle aussi goût à l’aventure après une si
longue retraite. Alkaïa et Wilwarin reprirent également du service sous le blason bleu et
argent. Rien ne semblait avoir changé, même si le monde me paraissait plus calme. Mes yeux
semblaient voir de nouveaux détails, de jours en jours le monde me semblait plus beau. (et
plaf, je case l’explication pour la 2.0 :D ), mais était-ce simplement la joie d’être en vie et de
retrouver les miens ?
Version 0.2
p. 7/22
20 Apériel 640 : blop, blop, et blop! Gloups les Blops !
HRP
Je suis allé au Dj blop multi avec Hillis pour faire une capture multi blop (et remplacer celle
qu’on n’avait pas capturée l'autre jour avec Wil et Prisce-Ruth).
Alors voilà en gros le résumé des actions:
 Le Blop Indigo invok glouto dès son 1er tour, et plop le bleu!
 Un peu plus tard le rouge invoke glouto et plop le rouge.
 Puis plus tard encore le marron invok glouto et plop ... le multi! (grâce à une superbe
double action de placement, merci Hillis)... puis plop un tronko et enfin plop le
marron!
 A ce moment là le vert n'avait plus que 200 pdv!
Résumé du résumé, sur 5 blops royaux, j'en ai tué 1 xD ; 13 minutes de combat intense xD.
Voilà le screen collector!
Version 0.2
p. 8/22
24-25 Apérirel 640 : Savoureuses défaites
Alors que les Cendres reprennaient doucement du service et que j'avais moi même passé du
temps à l'Entraînement. Le miens d’abord, après les mois passés dans le corps de Crocoburio,
j’avais besoin de quoi me dérouiller. Celui d'Hillis aussi, qui avait arreté l'aventure jusqu'a ce
qu'on me retrouve. Puis enfin celui des nouvelles recrue comme la Iopette rose Desty-Niss, il
était important pour nous tous d'arriver à nouveau à cerner où se trouvaient nos limites afin de
pouvoir les repousser sans cesse.
Lorsque l'on cherche ses limites, inévitablement on les dépasse! Sans quoi, bien sur, rien ne
prouverait que nous avions atteint une quelconque limite. Qui dit dépassement des limites dit
apprentissage, mais dit aussi défaites ... et donc apprentissage par la défaite ! Je n’avais jamais
caché que j’étais adepte de l’apprentissage par l’erreur.
J'avais (osa 187) subit quelques, et heureusement rares, défaites ces derniers jours. Et
honnêtement, cela m'avait fait un bien fou. Je me sentai revivre après avoir été prisonnier du
cuir de Crocoburio. Je voyais en elles de nouveaux challenges et la place pour en apprendre
plus et encore.
Certaines défaites sont de celles qui plaisent à Ecaflip. Je veux perler des coups de chance ou
plutôt dans notre cas de malchance !
Par exemple lors d'un assaut du Donjon Wa avec Wilwarin (eni 119), Alkaïa (iop 72) et Hillis
(sacri 145), les Wobots avaient été plus chanceux que jamais.
J'avais entendu parler des coups parfaits de Wassue Wotative, mais n'en avait vu qu’un seul
parfaitement exécuté jusque là.
Or c'est trois de plus dont je fus témoins au cours d'un même combat en ce jour du 25 Apérirel
640. L'un d'eux avait seulement renvoyé Bworky à Osamodas. Le suivant m'avait laissé seul
d'une seule et unique frappe, mes 3 amis ayant tous sucombés instantanément à celle-ci. Je
restais seul face aux huit Wobots encore debout. Les probabilités étaient maintenant contre les
Wobots. Les chances d'arriver à aligner une troisième frappe "critique" étaient infimes. Mais
les Wobbots n'avaient que faire des probabilités, c'est surement la réflexion qu'ils avaient eu
lorsque la 3em vint mettre un terme au combat et me renvoya rejoindre mes camarades alors
que je n’avais réussi à réduire leur groupe que de deux individus.
A peine soigné, nous décidâmes d'aller retenter la chance immédiatement, et cette fois les
Wobots n'arrivèrent pas à ajuster leur frapper. Malgré cela nous étions restés un peu plus sur
la défensive car une deuxième défaite aurait fait mauvais genre alors que ces wobots ne
présentaient aucun challenge pour notre équipe, si ce n'étaient ces coups "critiques".
D’ailleurs peu après je tenais un second Dofus Cawotte. Il présentait de nombreux défauts, et
ne vallait pas grand chose, mais Hillis elle en dégotta un aussi quasi parfait que celui que je
possédais déjà (+48). Wilwarin et Alkaïa jugèrent les leurs accèptables, mais comptaient déjà
venir retenter leur chance sur l'Ile Wabbit.
D'autres défaites sont de celles incombant aux Dieux, contre lesquelles il n'y à rien à faire et
pour lesquelles il faut savoir rester fataliste. C’est ce qui ce passa alors qu'avec Hillis je
progressai verticalement vers le Maitre Pandôre.
Au beau milieu d'un combat, alors qu'un seul ennemis restait en vie, et je devrais dire à peine
en vie, Osamodas et Sacrieur décidèrent de nous convoquer sans délais à un entretien (HRP
bug de la box! /HRP) de routine. On ne faisait pas attendre un Dieu, même si cela contrariait
Version 0.2
p. 9/22
nos plans. Le tofu que j’avais laissé sur place ne fit malheureusement pas de miracle er Je ne
vis donc pas le Maitre Pandôre ce jour là.
D'autres défaites encore sont de celles qui démontrent qu'une stratégie adéquate à un endroit
ne le sont pas forcément à un autre.
Avec Hillis j'allignais les Firefoux pour nourrir notre élevage de Tifous. Ils présentaient un
gain d'expérience en combat intéressant, mais j'avoue ne présentaient plus un réel challenge.
Ces alors qu'après nos Tifous rassasiés, nous décidâmes de franchir le pont qui mène à Grobe.
J'avais maitrisé les rares combats que j'avais faits ici, mais j'avais défié des groupes que j'avais
jugés équitables.
Mais aujourd'hui je voulais tenter plus grand. Dés les premières frappes de nos assaillants, en
particulier du fantôme Yokai, Je compris que la stratégie des Firefoux où Hillis peut se
permettre de supporter une meute à elle seule et se contenter de mes soins animaux ne
conviendrait pas ici. Un repli était nécessaire, mais déjà je devais occuper les fantomes,
revitaliser Hillis de ma Laisse Spirituelle, la soigner... c'était trop et lorsque mon craqueleur
s'écroula alors que je venais à peine de l'invoquer, j'étais le suivant à sentir les griffes
fantômes lacérer mon enveloppe charnelle.
Puis d'autres défaites sont si cuisantes, que choqué, il nous faut un long moment pour digérer
et pour commencer à tirer les premières conclusions.
Alors que nous cherchions comment occuper notre soirée, l'idée fit son apparition: le
Sphincter Cell.
Hillis, Ruth-Abaga, Prisce, Wilwarin, Alkaïa et moi même (146, 110, 128, 119, 72, 187)
disposions tous du jeu de clefs nécessaires pour pénétrer au plus profond des galleries et des
égouts sous Astrub et le Château d'Amakna.
Les rats avaient de la vitalité ici, mais notre groupe n'éprouva aucun mal à progresser, rattatinant rat après l'autre, pour enfin pénétrer dans la salle du trône de sa majestée Sphincter
Cell.
Malheureusement nous dérangions une réunion au sommet car les intendants Rats des égouts
de Bonta et Brakmar, respectivement les Rats Blanc et Noir étaient là. Ils se souvenaient de
nous. Nous les avions vaincus séparément dans chacune des deux cités ennemies.
J'eu un moment d'hésitation ... un mauvais présentiment.
Heureusement le combat fut court!
Le Rat Noir vint nous cracher sa peste et son Kackitu. Alkaïa et Hillis nous quittaient déjà,
puis le Sphinter Cell se jeta sur nous, Prisce sucomba et je la rejoignis très vite. 9 minutes
après les premiers coups, les Rats nous avaient boutés hors de leur territoire sous terrain.
Je me demandai comment nous allions un jour prendre notre revanche.
Le combat fut si court, que j'ai appris assez peu. Mais petit à petit il parru évident que la
chance avait eu un rôle ici encore. Je me rappelais que sous Brakmar, j'avais failli perdre un
jour, car le rat Noir venait tout juste d'améliorer sa malédiction Kackitu (v1.28 bug fix de ce
sort!). Nombreux avaient été les aventuriers à y avoir succombé dans la surprise. Car en effet,
depuis ce moment, subir la moindre attaque physique sous cette malédiction, signifiait la
mort. Je m’y étais frotté plusieurs fois depuis et il était incontestable qu’il était devenu bien
plus dangereux qu’il ne l’était avant. Wilwarin était venu s’en rendre compte par lui-même à
mes côtés. Pourtant, pour un Bontarien, percer Brakmar n’était pas toujours une tâche simple.
Je lui avais alors révellé une des failles de Brakmar, ma ville que j’aimais tant, bien que je
n’appartenais à aucun alignement. En effet les réseaux miniers, et en tant que Maitre mineur
j’étais bien placé pour le savoir, étaient presque tous reliés par un système de voies ferrées
dans d’étroites galleries. A partir d’une de ces mines et contre une bourse de kamas, le mineur
sombre Feltz Paffe permettait l’accès au chariot qui allait nous faire parcourir bien des
Version 0.2
p. 10/22
kilomètres. Seul inconvénients, c’est que Feltz Paffe, conduisait le chariot d’une manière pour
le moins aléatoire. L’on savait toujours d’où l’on partait mais jamais où l’on arriverait. Avec
un peu de chance et quelques essais, on finissait par échouer dans la mine sous Brakmar.
Celle-ci étant connectée aux égouts, l’entrée du Donjon du Rat Noir pouvait être atteinte sans
jamais croiser le moindre garde Brakmarien qui ne s’aventurait jamais sous terre. Après
plusieurs essais infructueux par les entrées Nord, Sud ou Est de Brakmar, Wilwarin avait
assez simplement réussi son intrusion dans les égouts de la Cité sombre en suivant cette
méthode et rencontrer le Rat Noir. Nous l’avions aisément battu ce jour là, mais depuis sa
maîtrise de l’envoutement Kackitu il fallait rester concentré tant qu’il était en vie car ses
raffales devenaient mortelles.
Aujourd'hui le Rat Noir avait été trop proche de nous dès le début du combat et, sans pouvoir
se préparer, le Kackitu avait semé son lot de panique dans nos rangs. Mais cela n'était pas tout
le Sphincter Cell était puissant lui aussi. Nous essayerons d'être plus aguéris lors de notre
prochaine rencontre.
Il s'agissait de rares défaites dans un océan de victoires, mais elles avaient leur importance,
peut être même plus que nos fréquentes victoires. Nos victoires contre le Gourlo, le Rasboul
majeur, le Meulou, le Blop Multi ou le Craqueleur légendaire étaient vites oubliée car elles
faisaient partie de la routine. D'autres victoires étaient plus savoureuses, comme celle que
j’avais obtenue contre un Roissingue et sa cours, car jusque là il m'avait tenu en echec, même
si cela faisait un moment que je ne l'avais pas taquiné. Mais au-delà des victoires, ce qui nous
redonnait goût au challence en ce moment c'était les récentes défaites. Car en effet c'est aussi
cela qui nous faisiait aller de l'avant, qui nous permettaient de nous améliorer, qui nous
motivait et qui nous assurerait un grand sentiment de joie et de fièreté lorsque inévitablement
nous vaincrions.
Un sentiment que nous avions vécu lors de notre première et encore unique rencontre avec
Crocabulia et, chez les Cendres, un sentiment naissait : le désir de rencontrer une nouvelle
fois la mère de Crocoburio pour confirmer notre précédente victoire. Après ce qui m’était
arrivé dans les marécages, j'y faisais une affaire personnelle.
Phredix
Version 0.2
p. 11/22
30 Apérirel - 1 Maisial 640 : Le Tanukouï San n’a pas froid
aux …. yeux
Le nuage de Cendres empéchait bien un Poolay de s’envoler ces derniers temps (NdR : Clin
d’oeuil quasi obligé à l'éruption du volcan l'Eyjafjöll le 20 mars 2010 dans leu Sud de
l'Islande et dont le nuage de cendre (en particulier la silice pouvant endomager les moteurs) à
cloué au sol les avions europééns pendant plusieurs semaines). En effet, même si leur nombre
était réduit en ce moment, les membres actifs de la Guilde les Cendres du Phénix allaient de
l’avant.
Wilwarin, Alkaïa, Xelo travaillaient dur dans leurs métiers respectifs. Prisce, Ruth, Wilwarin,
Hillis et moi-même, adepte Osamodas, nous entrainions dur et traversions de nombreux
donjons. Wil entrainait une jeune sram, Cartapus, je ne déserpérait pas de la voir porter le
blason bleu et argent un jour. De plus, une jeune Iop m’avait rejoint à un cercle de grade 3 en
tant que stagiaire pour étudier nos techniques de combat. Contrairement à ce que l’on pourrait
croire, et en dépis du rêve avéré de Desty-Niss de maîtriser l’élément Terre et augmenter sa
force, elle n’en demeurait pas moins une élève sérieuse et appliquée. En quelques jours à nos
côtés elle maîtrisait l’incantation de Puissance (cercle 48). Avant de gagner en force elle
gagnait donc en sagesse et en expérience.
J’avais une hâte non dissimulée de la voir se mettre en colère contre certaines créatures du
monde des Douze. Desty-Niss prendrait surement parfois la place de Mimosa-Sensitive
(Sadie) ou d’Ephie (Eni) lorsque le besoin de force pure se ferait ressentir.
Mais pour aujourd’hui nous avions décidé d’aller explorer quelques cryptes du cimetière
d’Amakna. Dans la première, battre le vampire Dupyr et ses tofus très maléfiques nous
avaient fait subir une malédiction. C’est transformé en Goules que nous revîmes la lumière du
jour. Nous en ri-goulâmes espérant que la malédiction ne soit que temporaire, mais déjà le
désir d’en savoir plus sur ces cryptes nous fit retourner sous terre. C’est là que nous
rentontrâme le livide Enutrof Jorbak Il n’était pas prét à partager ses secrets. Il ne fallait pas
se fier aux apparences. Il avait bien des ressources le viel Enu. L’incantation du Dragon
lanceur de rochers me laissait entendre qu’il connaissait bien les Dragoeufs et vu son âge, on
aurait même pu croire qu’il en avait subit les assauts lorsque Amakna se trouvait encore sur ce
qu’on appelle de nos jours la presqu’ile des Dragoeufs. La vue de l’ombre d’un Dragon était
digne de nous glacer le sang, mais nous avions bien compris qu’en restant séparés, la frappe,
si elle était rude pour quelques uns d’entre nous, elle n’aurait que peu d’impact sur notre
groupe globalement. Hillis arriva à coincé Jorbak, et celui-ci ne resista pas longtemps apres
cela. Il emporta son secret de prospection dans la tombe, car c’est bredouille que nous
resortions. Nous avions perdu notre apparence hideuse de Goule et étions riche d’une
nouvelle aventure qui nous rechauffa le cœur et nous en savions plus sur cet endroit aussi
beau que lugubre.
Ayant passé la journée au fond des cryptes, nos yeux habitués à l’obscurité, nous en
profitames pour aller dérober un autre coffre, celui des Forgerons, a quelques enjambées du
cimetière.
Puis je jour suivant, le 1 Maisial 640, alors que Prisce et Hillis cueillaient du Muguet pour
embellir leurs maisons, Wilwarin nous convia à une traversée du sanctuaire Kitsoune, celle-ci
commandée par Chris de Naire. Après nos récentes défaites, aussi utiles et excitentes fussent« DOFUS » et les illustrations de ce document sont la propriété d'Ankama Games (Copyrights 2005-2010). Toute autre information RolePlay ou en relation avec la Guilde les « Cendres du Phénix » est la propriété du meneur de la Guilde, Phredix-osa ou des auteurs mentionnés
Version 0.2
p. 12/22
elle, entendre le nom « Tanukouï San » me donna des frissons. Certes, nous l’avions déjà
vainqu avec Prisce, Ruth, Magi et Karcham (ou était-ce Xaklor), mais je me rappelle aussi de
la correction qu’il nous avait infligé quelques jours avant cela. Nous avions été submergés,
projetés et les coups étaient si rudes que nos soins ne suffisaient pas à nous redonner du
souffle pour le combat.
Le Tanukouï fait partie de ces créatures puissantes contre lesquelles il faut rester concentré.
Avec une lègère appréhension, nous traversâmes donc le magnifique temple Kitsoune à l’Est
de Pandala. Ma première crainte était que nous devions régulièrement nous séparer en deux
ou trois groupes pour pouvoir ouvrir les portes et progresser. Prisce et Ruth formaient un duo
de choc, mais avec nous Cartapus et Desty étaient des novices sur qui, sans aucun manque de
respect pour elles, nous ne pouvions pour le moment compter ici. Les Kitsous, en particulier
les Nufeus, se révellent être des créatures corriaces, puissantes et mesquines, capables de se
dédoubler en apparence et de se camoufler pour brouiller les pistes. Heureusement nous
avions de quoi faire 3 groupes pouvant relever le challenge, même si, fait rarisime, Hillis et
Phredix devaient se séparer l’espace d’un combat.
Le Tanukouï San, perché sur ses échasses (afin que sa parure de bijoux de famille ne traine
pas au sol) montra les crocs et sortis les griffes à notre vue. En quelques secondes, les novices
Cartapus et Desty-Niss avaient été mises hors d’état de nuire et le « Tanu » appelait à lui une
partie de son harème. Je pouvais fouêter l’une d’elles de temps à autres, mais les coups étaient
rudes. Hillis avait du mal à garder sa place près du Tanu pour le dissoudre, car les Chan,
jalouses de ce contact rapproché, venait expulser la Sacrieur à l’autre bout de la pièce.
Pendant ce temps le reste du groupe éliminait les quelques kitsous qui restaient.
Mais, malgré la difficulé et les blessures profondes que nous ne pouvions éviter, nous étions
des aventuriers contre lesquels le maitre des Kitsous n’avait que peu de chance, je m’en rendis
compte et cela me soulagea. Ca n’était qu’une question de temps, mais il ne fallait pas perdre
sa concentration. Le combat n’était pas encore gagné. Les soins étaient nécessaires.
En attendant, il était frustrant de se faire pousser d’un côté et de l’autre, et de se faire assez
lourdement blesser, tout en voyant le Tanu être bichonner par ses invocations de Tanuki Chan
que je n’arrivais pas à rammener à Osamodas.
Malgré cela, le maitre des lieux faiblissait. Puis, alors que mon rôle avait été de gérer les
Tanuki Chan, et la motivation des troupes, mes invocations comprises, sous un coup de sang,
je me risquai à deux frappes craqueleur pensant finir l’échassier. J’avais mal jugé, il lui restait
encore un peu de vitalité après cela et il put invoquer à nouveau. Une de ses Chan le soigna un
peu plus et je subis quelques dégats, lourds mais rien d’inquiétant. Heureusement Ruth et Wil
mirent un terme au jeu du Tanu et de ses femelles qui commencait à nous irriter.
Hillis si concentrée sur le placement de ses dissolutions n’avait même pas pensé Punir alors
que les conditions avaient été optimum pendant un laps de temps assez long. Je préférai ne
pas lui faire remarquer, mais c’est elle-même qui s’en excusa le lendemain.
Nous étions passés tout près de la crise de Nerfs, mais Wilwarin pouvait aller rapporter à
Chris De Naire sa victoire et obtenir la clef du challenge suivant. Je le connaissais déjà ayant
déjà été commandité par Chris et j’avais hâte d’accompagner Wil’ et de revoir mon ami le
Koulosse.
Phredix
Osa 187, sacri 147, eni 120, cra 128, enu 111, sram 38, iop 44
Version 0.2
p. 13/22
2 Maisial 640 : Xelo Bricolo
Félicitation à Xelo (phredix-xelo, cousin Xelor de phredix-osa ^^) pour sa parfaite maîtrise du
Bricolage, obtenues lors d’une confection d’un lot de prismes de conquête et que quelques
objets d’élevage commandés par Desty-Niss pour aider Polka Merer sur l’Ile d’Otomai.
Déjà Maitre Alchimiste et Joaillomage, Xelo promet maintenant de combler les 6 cercles
manquant pour parfaire l’art de la Bijouterie.
Nuit du 5 au 6 Maisial 640 : Desty et le trousseau.
-= Matin du 6 Maisial 640 ; Entretien avec Desty-Niss, jeune aventurière Iop, Temple Iop =Je m’appelle Desty-Niss. Je suis Iop.
A une réunion Iop, un grand orateur avait dit « Je parle peu, mais bien ». C’est tout ce qu’il a
dit ce jour là. Ca me ressemble aussi.
Avec des efforts, je vais raconter mon évolution chez les Cendres !
Je suis stagiaire. J’étudie beaucoup. Je combats aux côtés de Maître Phredix et Maître Hillis.
Nous avons beaucoup travaillé sur les Firefoux ! Phrédix m’a accompagné sur Otomai. Car
bientôt l’alchimiste m’aidera à me concentrer sur ma force.
Hier avec Phredix et Hillis nous avons tué deux Meulous. Avant-hier aussi, avec Wilwarin,
Cartapus, Prisce et Ruth. Je les aime bien. Ils sont forts. Nous en tuerons demain aussi
sûrement. Mais je ne veux plus prendre les clefs de Phredix !.(RIRES) Il me faut un trousseau.
J’apprends beaucoup, mais je combats peu. Souvent je suis inconsciente avant la fin.
(RIRES). Les créatures sont fortes aussi. Dès mon cercle 3 j’étais aux Firefoux ! Pas seule,
heureusement. Les Firefoux ne sont pas des pious ! (RIRES puis RESPECT).
Mais pour avoir un trousseau je dois être seule. Personne ne peut m’aider. Un temple c’est
sacré. On ne peut pas combatre un dopeul à plusieurs. Ca ne va pas être facile. Dieu Iop ne
m’aidera pas. Je suis habillée en Prespic, je n’ai rien de mieux. (RIRES) Je ressemble plus à
Nova qu’à Iop1 ! Bientôt je serais en Meulou. (RIRES). Iop sera fier de moi.
Le Dopeul Cra reste trop loin. Il m’a eu. J’ai vu Prisce combatre. J’aurais du le savoir.
Le Dopeul Féca est plus facile. Il resiste bien. Il à été plus malin. Il m’a eu aussi. (RIRES).
Mais j’ai appris. Je sais comment le battre. Alors j’y suis allé encore. Je l’ai tué ! Le maître
Féca m’a donné un doplon. J’ai acheté le trousseau. J’étais fière. Phredix va être content !
Je suis allé à mon Temple. Je dois tuer le Dopeul Iop pour apprendre Brokle. Sinon, mon
maitre ne me l’apprendra pas. C’est dur. Ca me met en colère. Je suis courageuse. Je le
battrai. Les Cendres viendront m’apprendre à invoquer un Chaferfu. Ca m’aidera aussi.
Bientôt je serai forte.
Desty-Niss (55)
1
Nova, déesse de la Sagesse et femme du Dieu Iop.
Version 0.2
p. 14/22
6 Maisial 640 : Gemme? J'aime!
(HRP)
Drop d'une Guildalogemme aux Canidés hier soir! Je vais peut être finir par créer une Guilde
moi...
J'ai eu une pléthore de gemmes à Nowel (j'en ai même vendues par 10!), quelques unes dans
les poubelles d'Astrub (dont LA gemme!), mais celles droppées en combat sont bien plus
rares. Je me rappelle d'une aux Maitres Bolets il y à bien longtemps et peut être une autre de
plus depuis.
Ca n'a plus trop rien de spécial (surtout à cause des cadeaux de Nowel), mais c'est toujours
bien de trouver quelque chose de rare dans sa ligne de drop... un jour peut être cette chose rare
sera un oeuf de dragon.
Phredix
9 Maisial 640 : Bûcheromanie
C'est en ce jour du 9 Maisial 640 que Wilwarin obtint son 90ième grade de bûcheron. Moins
de 11h plus tard ce même jour, bravant bien des dangers et agressions, perçant les secrets de
nombreux labyrinthes et de passages secrets, il avait coupé les 6 Ormes majestueux connus en
ce bas monde2, si bien que seul le septième Orme, l'Orme d'Incarnam, se tenait encore droit et
fière comme l’Eniripsa bûcheron qui avait coupé ses frères.
Heureusement, grâce à Osamodas et à Sadida, les arbres repoussent vite dans le monde des
Douze.
2
En ce jour nous connaissons les six Ormes suivants (sans compter Incarnam) : l’orme des Abraknydes, des
Koalaks (découvert par hasard par phredix le 19 Jouiller 638, voir histoire correspondante ^^), du Crackeleur
Légendaire, de la banlieue Sud d’Akwadala, d’Amakna et enfin celui du Dark Vlad. Nous espérons que bien
d’autres Ormes restent encore à découvrir.
Version 0.2
p. 15/22
9 Maisial 640 : BûchORManiE
Par Wilwarin
Cela faisait très longtemps que j’avais laissé ma plume de tofu de côté pour vivre mes
aventures. Cependant, il est venu le temps où je la reprends pour vous conter quelques une de
mes histoires.
Je me rappelle encore lorsque j’avais appris le métier de bûcheron, j’étais jeune et les Kamas
se raréfiaient. Certes il n’était pas évident de gérer mon argent lorsque je faisais du lèchevitrines en passant devant les hôtels de vente, voyant ces nouveaux équipements dernier cri
qui offraient toujours plus de puissance et que je m’empressais d’acheter.
À l’époque, j’avais rencontré Oli Venders. C’est lui qui m’avait enseigné tous les rudiments
du métier de Bûcheron. Je m’en allais donc couper du frêne –un bois pas trop dur pour le
jeune novice que j’étais. Rapidement, je coupais les châtaigniers, puis les noyers, les chênes,
les bombus, les oliviolets, ensuite vînt les érables (qui constituent toujours une grande partie
de mon capital) et les charmes (ah, ces bons vieux charmes) !
Mais je n’avais encore jamais coupé d’ormes. Cet arbre si majestueux qui ne pousse que dans
trop peu d’endroits et qui surplombe les forêts. J’avais les frissons rien qu’en pensant, qu’un
jour, je pourrais en couper un !
Et ce jour arriva, le dimanche neuf maisial de l’an six-cent-quarante à treize heures et sept
minutes. Je possédais enfin assez de connaissances pour pouvoir m’attaquer à un orme.
Je chevauchai OrangeCannelle qui comprit tout de suite, à mon enthousiasme, que je voulais
en couper un. Elle démarra en quatrième vitesse en direction du portail Zaap le plus proche !
Je lançai quelques Kamas sur le portail qui ouvra un vortex pour le village de Pandala Eau.
C’est avec hâte que je galopai (enfin, que OrangeCannelle galopa) au sud du village.
HORREUR ET DAMNATION, quelqu’un était déjà passé avant moi.
Je pris donc le Zaap pour Sufokia et remontai la forêt d’Amakna depuis le sud. « Par la déesse
Eniripsa ! » m’écriai-je « Celui-ci aussi a été coupé ! » que pouvais-je bien faire ?
Je me souvins alors d’une rumeur à Astrub qui disait qu’il y avait un orme à l’orée de la forêt
des Abraknydes. Je me mis donc en quête de cet orme et après des escaliers, des échelles et
moult trous, j’arrivai finalement devant ce dieu des arbres.
Mon envie de lui trancher sa base était telle que mon cœur fit un bond gigantesque faisant
presque exploser ma cage thoracique. Puis une force inexplicable s’empara de mon corps
donnant un premier coup de hache sur son tronc massif. Je sentais l’arbre frémir sous les
coups de ma hache et chaque coup me rapprochait de mon but. Sous un coup ultime, l’arbre
perdit son feuillage, tanga et tomba à même le sol écrasant un gobelin qui passait par là.
Mes désirs n’étant pas assouvis, je me mis à la recherche d’autres somptueux dieux de la
forêt. Par conséquent, j’empruntai le chemin du Koulosse -qui s’avéra être très long à cause
des agressions, mais heureusement Alkaia m’accompagnait- bifurquai à droite, passai par un
trou et montai une échelle pour me retrouver devant un monument de la nature que j’abattis
une fois encore !
Version 0.2
p. 16/22
J’annonçai la nouvelle à Phredix-osa qui, par la suite, me proposa de faire le donjon des
Craqueleurs pour couper l’orme se trouvant à la plus haute altitude du monde des douze. C’est
avec joie que j’acceptai l’invitation. De ce fait, j’avais déjà coupé trois des six ormes connus
(peut-être qu’il y en a qui ne sont pas encore découverts !) de Dofus. Je retournai à Pandala
eau puis dans la forêt d’Amakna et, avec mon plus grand plaisir, je m’aperçu qu’ils étaient
réapparus. Je m’attelai à la tâche et les coupai les deux.
Fin des comptes, il me restait un seul et unique orme à couper. Il était vingt-trois heures et
demi, le lendemain je devais me réveiller pour mon entraînement de combat, alors autant dire
qu’il était irraisonnable de s’aventurer dans le labyrinthe sombre et sanguinaire qu’est la forêt
maléfique -surtout que Phredix-osa et ses compagnons ne pouvaient m’accompagner. C’était
une mission impossible, mais imaginant le sentiment de satisfaction que je ressentirais en la
réussissant (car j’aurais coupé tous les ormes le jour de mon grade nonante dans l’art de
bûcheronner), je ne pouvais renoncer !
Alkaia décida de m’accompagner un fois de plus. Nous nous rendîmes à l’entrée de la forêt.
On pouvait si bien sentir les maléfices de la forêt dans l’air que ce dernier était presque
palpable. Nous parlâmes au chasseur Lanseuft de Troille qui gardait l’accès, il voulait des
ongles de chevaucheurs de Karne, nous lui en donnâmes et pénétrâmes dans l’obscurité de
plus en plus envahissante de la forêt. Par je ne sais quel miracle, nous fûmes agressés
seulement à deux reprises. Heureusement qu’Alkaia m’accompagnait, car les Chafers Archer
me pompaient littéralement l’intelligence ! Le chemin fut très court, de par le peu
d’agressions, par conséquent, nous atteignîmes très rapidement l’orme jalousement garder par
le Dark Vlad –qui n’était pas là d’ailleurs.
À vingt-trois heures et cinquante-cinq minutes, j’avais abattu le dernier dieu des forêts et
toujours avec les mêmes palpitations cardiaques. C’est alors que je m’épris d’une joie énorme
et racontai à tout le monde mon histoire, mais tout le monde dormait !
Voyage en Amakna, Wilwarin, Maisial 640.
Version 0.2
p. 17/22
14 maisial 640: Comme un désir de Bulia.
[osa 188, sacri 150, cra 130, eni 121, enu 112, iop 73, eni 101, eca (10 à 17 jusqu'à bulia, puis
22 après le boss!)]
Depuis notre première visite chez Crocabulia pour lui soutirer des informations à propos de
son fils (et qui incidemment ména à un triste épisode de mon histoire, prisonnier du corps de
Crocoburio) nous n'étions pas retourné aux tréfonds du sanctuaire Dragoeuf. Notre victoire
avait été difficile, une de nos plus belles et depuis un moment le désir de retourner nous
mesurer à Crocobulia flottait dans l'esprit des Cendres.
Nous savions qu'il nous était aisé d'arriver jusqu'à elle, mais depuis notre première visite elle
avait atteint sa taille et poids maximum (lv480, par rapport à notre 1ere fois, lv400). J'avoue
que c'est avec une certaine appréhension que je pris part au combat. Vue les difficultés de
notre premier combat, je ne savais pas encore où nous placer dans l'échelle de valeur face à la
Dragonne et maintenant qu'un peu de temps avait passé depuis la mémorable nuit du 10 au 11
Jouillet 639. A l'époque, nous étions 5 aventuriers face à elle. Prisce, Ruth, Wilwarin, Hillis
m'y accompagnaient.
Cette fois un peu d'aide pourrait venir compléter l'équipe, ou surtout une excuse d'offrir aux
plus jeunes une bonne expérience de combat. Ainsi Ephie, qui cette fois avait pris le soin
d'apporter une clef, Alkaia, et Cathy-Minie se joignirent à nous. Mais très vite nous
comprîmes que Crocabulia ne pourrait plus grand chose contre nous.
Certes elle tapait fort, et, l'heure tardive dans la nuit n'arrangeant rien, lorsque nous la
blessions alors que son Cri résonnait encore, elle décuplait d'autant plus ses forces. Mais nous
n'avions presque rien à craindre même dans ces cas là, et – bien que je l’utilisai pour faire
revivre Ephie - il ne me fut même pas vraiment nécessaire d’utiliser ma laisse spirituel.
Comparé à notre première rencontre, nous combations là un combat presque trop facile, même
si nous manquions encore d’un membre capable de maitriser la force de l’élément Terre pour
profiter des faiblesses de Crocabulia.
Un peu déçu, je lancai à mes amis:
"Crocabulia n'est plus ce qu'elle était."
Wilwarin me corrigea.
"Nous ne sommes plus ce que nous étions!"
"Exact!"
En effet. Le Maître Eniripsa avait raison. Crocabulia était en réalité plus forte qu'à notre
première rencontre. Mais nous étions nous beaucoup plus fort que lors de cet épique combat.
Je n’aurais jamais pensé que le chemin parcourru entre nos deux visites renverserait aussi
totalement le sentiment que nous avions sur ce combat. Crocabulia, jadis redoutée et contre
laquelle nous avions eu l’impression de réaliser un exploit par notre première victoire,
devenait une créature que nous ferions maintenant sans crainte et juste pour une question
d’exercice ou de récolte d’objet, ou bien sur pour lui subtiliser le Dofus Vulbis.
Je garderais toujours le souvenir et l’incroyable sentiment de notre premiere rencontre, mais
déjà les Cendres parlaient de retourner régulièrement rendre visite à Bulia, si bien qu’elle
devenait maintenant un vulgaire Meulou ou Bouftou Royal. Ces prochaines rencontres
souligneraient plutôt le gain de puissance que nous avions gagné plutôt qu’un nouvel exploit,
mais cela, finalement, était tout aussi important.
--Phredix
Version 0.2
p. 18/22
25 Maisial 640: Un vent de colère
Je sentais monter la colère chez certaines de nos Cendres... ça n'était pas forcément pour me
déplaire!
Desty-Niss était déjà cercle 93. Je pouvais lire dans les yeux de la Iop une saturation des
études et une envie de libérer toute sa force contre les créatures que nous combattions. Sa
colère grandissait et j'estimais comme étant proche le jour où elle éclaterait. Très bientôt elle
serait prète à aller changer de composition chez Otomaï.
Puis c'est une colère entre Zia et Hillis, dans des circonstances qui leur appartiennent à elles
seules, mais qui faisiait que jamais plus mes deux amies ne pouvaient se trouver au même
endroit au même moment.
Cela m'attristait car j'avais beaucoup d'amour paternel pour elles deux.
Hillis bien sur que j'avais recueilli alors qu'elle était bébé, et Zia que j'avais formée avec la
Sacrieur. Zia m'avait attendue de longs mois au bord des marécages alors que la malédiction
de la Crocobur s'était emparée de moi. Je lui en étais reconnaissant. Elle n'avait pas combattue
aux côtés de Prisce, car son état de santé s'était dégradé après de si longs mois inhalant les
vapeurs du marécage, mais elle faisait partie des personnes portant mon corps à l'infirmerie
Eniripsa après que l'âme de Crocoburio s'en fut allé grâce aux flèches de ma compagne Cra.
Au combat, je devais donc faire avec l'une ou l'autre de mes amies. Les talents de gestion du
placement de la Sacrieure pouvaient être remplacés par ceux de la Pandawane lorsqu'Hillis
prenait des congés, mais mon désire de voir ces deux talents se complémenter au sein d'un
même combat restait frustré.
Ceci jusqu'en ce jour du 24 Maisial où Shaanxi, Pandawane elle aussi décida de se joindre à
nous. En voyant les couleurs de son clan, fièrement brodé sur sa robe et sa coiffure, je cru
d'abord voir Zia. Mais la jeune femme au pelage blanc et noir se présenta comme étant
Shaanxi.
Aujourd'hui quelques jours plus tard, je doute encore. S’agit-il de la même personne sous
deux identités différentes? Peut être est-ce la solution que Zia à trouvé pour continuer à
évoluer parmi nous et au contact d’Hillis, tout en gardant l'honneur sauf de je ne sais quelle
chamaillerie avec la Sacri ?
Je n'ose en parler à Hillis, car pour le moment elle apprécie la compagnie de notre nouvelle
recrue et ne semble vouloir faire le même rapprochement que moi.
J’espère pouvoir voir les deux femmes Pandawane cote-à-cote un jour pour m’enlever
définitivement ces doutes. Car en effet il est probable et plus plausible que l’explication la
plus simple soit la bonne. Shaanxi est elle-même ! D'ailleurs alors que Zia préférait rester
sobre et ne consommait qu’en grande majorité de l'eau, Shaanxi elle ne refusait pas une bonne
chopine et semblait préférer le vent et la terre. L'agilité et la force de la Pandawane restait
encore à développée, même si c'est avec grâce qu'elle faisait danser sa robe sur le son des
gratares des Léopardo et autres Firefoux que nous combattions pour l’entrainer (elle et une
nouvelle portée de tifoux !). Shaanxi avait déjà vaincu des Chafers et appris l'invocation de
Chaferfu; elle avait vaincu des Dopeuls également pour apprendre la potion d'ivresse, tantôt
soignante, tantôt piègeante. Elle était déjà assez forte pour porter l'un de nous où une créature
sur ses épaules et bientôt elle serait capable de le jetter au loin. Et bientôt, tout comme Desty,
Version 0.2
p. 19/22
elle aussi pourrait contrôler sa colère pour l'utiliser au combat, en faisant appel à la colère de
Zatoïshwan. Ce jour là viendrait surement très vite car les recrues étaiant très studieuses ces
temps-ci.
Cela ouvrirait des possibilités pour les Cendres plus anciennes. Cette pensée m’apaisait.
--Phredix
Phredix (189), Hillis (154), Zia (54), Shaanxi (22), Desty (93) le 27 maisial 640
Version 0.2
p. 20/22
1 Juinsidor 640 : Hommage à Magician-ofearth
Phrédix se rappelait encore avec émotion du dernier message reçu en provenance de
Magician-ofearth, peut avant que la malédiction ne coupe l’adepte d’Osamodas du monde des
Douze.
29 Fraouctor 639
*Revenant d'un périple si loin*
Bonjour à tous, les Cendres !
Je vous fais part de ce message pour annoncer mon retour juste pour
discuter de temps en temps avec vous, les Cendres. Je ne pourrais plus
progresser avec vous le temps que le dieu Xelor cesse de me ralentir à
cause d'un malentendu entre nous deux. Dès que je ne serais plus au
ralentit, je pourrais revenir et gravir beaucoup de choses.
Je laisse le ministère des Loisirs et de la Culture à Phredix, jusqu'à ce
que je revienne.
Sur ce je vous laisse, je m'en vais à des occupations diverses et
variées.
--Magician-ofearth
*Range sa plume temporel et s'en va*
C’était le dernier contact que l’invocateur eut avec le ralentisseur. Et en ce jour du 1
Juinssidor 640, Silvosse, le Dieu Protecteur des Arbres et de notre Univers, décida de couper
le lien télépathique unissant les membres les membres d’une Guilde, considérant le Xelor
perdu à jamais.
La nouvelle était triste, alors que le monde devenait plus beau aux yeux de l’Osa (2.0 prévue
le 4/juin/2010 pour silvosse) et que de nouvelles aventures se tramaient, si l’on tenait compte
des rumeurs et des prédictions de la voyante Yova Etna et les racontards du pécheur John
Loque.
Phrédix (osa 189) rendit un dernier hommage à Magi (xel 166), mais comme disait Yrucrem
du clan Magik Riktus : « Chomeussgohone » et il s’en retourna entrainer les dernières recues,
Shaanxi par exemple (pandawa 55) et travailler sur ses invocations, notamment son
craqueleur, qui bientôt serait plus fort, il le sentait.
Version 0.2
p. 21/22
4 juinsidor 640: le tremblement de Terre « Ciremya »
Le grand tremblement de terre "Ciremya" du 3 juinssidor 640 avait détruit presque tout le
continent. (NdR : le Serveur Silvosse passe en 2.0 le 4 juin 2010 ^^)
Heureusement les Dieux passèrent la nuit à reconstruire le monde et les cités et les habitants
mirent la main à la tâche pour peaufiner les derniers détails, notamment pour redécorer les
habitations.
Au matin du 4 Juinsidor, le monde semblait être ce qu'il avait toujours été. Mais il n'en était
rien. Ma plus grande surprise fut de voir que lors de la reconstruction de Brakmar, mon enclos
n'était plus placé dans la cour de ma maison. Il était compréhensible que les intendants de
Brakmar aient perdu les plans de la ville et que, dans la précipitation de la reconstruction, les
villageois n'avaient pas vraiment été consultés. Qu'importe, Ephie, Shaanxi, Desty-niss,
Shelly-Parton et Mimosa-sensitive décidèrent d'acheter ensembles une maison à Brakmar à
deux pas de notre enclos reconstruit. Celui ci était d'ailleurs légèrement plus grand.
Bonta avait subit les mêmes dommages, mais Prisce fut, elle, agréablement surprise lorsque
l'on lui remit les clefs de sa nouvelle maison Bontarienne. Elle était maintenant à un lancé de
flèche de la Banque et du Zaap en plein centre ville.
Astrub avait subit son lot de destruction et de reconstruction, mais, probablement car la vielle
cité était très bien connue de tous, elle était quasiment restée à l'identique à celle conservée
dans ma mémoire et Hillis n'eut aucun mal à retrouver son habitation. Certes les Banquiers
Hiboux avaient inversé la place des deux coffres, mais il ne manquait pas un bout de blop ou
de pierre de diamant à l'intérieur. Le travail réalisé était remarquable.
Depuis ma libération de la malédiction de la Crocobur, mes yeux s'étaient réhabitués au
monde des Douze et je le voyais tous les jours un peu plus beau. Je ne sais si le tremblement
de Terre avait finalisé les connexions de mon cerveau, secoué comme nous l'avions tous été,
mais ce matin je n'avais jamais trouvé le monde si coloré, le flot de détail m'écrasait même
parfois.
Hillis et Shaanxi m'accompagnèrent à Pandala Feu pour vérifier que notre magie était toujours
la même. Le chemin de Feudala était plat maintenant, conséquence du Tremblement de Terre
Ciremya, j'avais la nostalgie du sentier montagneux qui existait là avant. Les foux s'étendaient
maintenant un peu plus, ils avaient profité de la panique pour agrandir légèrement leur
territoire, cela n'était pas pour me déplaire! Un peu étourdis au début, je retrouvai assez vite
mes marques. Les tifoux purent manger à leur faim.
Les jours qui suivirent les Cendres m'accompagnèrent dans le sanctuaire Dragoeufs battre
Crocabulia et s'entrainer dans le Royaume du Blop Multicolor et du Meulou par exemple.
Mais le 5 Juinssidor était aussi le jour où Wilwarin, que je ne reconnu pas tout de suite car il
était transformé en Manitou grâce à son baton magique, me fit part de son voyage vers une ile
nommée Sakai.
Version 0.2
p. 22/22
Wilwarin (en Manitou Zoth) et phredix
Le Tremblement de Terre avait il fait émerger cette nouvelle ile, où venait-on simplement de
la découvrir? Il semblait que la seconde solution était la bonne. Nombreux étaient les
aventuriers à avoir fait le voyage par curiosité, nombreux était les aventuriers qui comme Wil
avaient été surpris pas la puissance des créatures qui subsistaient la bas. Au jour du 7
Juinssidor où j'écris ces mots, je n'ai pas encore fait le voyage. Je sens que bientôt j'aurais la
force d'invoquer un Craqueleur plus fort et résistant, et c'est ce sur quoi je voulais me
concentrer pour le moment.
Phredix: Osa (189 et 80%), Hillis: sacri 156, Prisce: cra 133, Wilwarin: eni 123, Shaanxi:
panda 64, Desty-niss: iop 93; Ephie: Eni 101; etc..

Les Cendres du Phénix

Transcription

Documents pareils

de La Guilde

Y a un nouveau au bureau ! L`add on Guild event manager nous

Y a un nouveau au bureau ! L`add on Guild event manager nous

Ankama présentera 6 nouveaux produits au Festival International

[INFO] Financer le Serveur TS - Les Templiers - Archimonde

Ankama – Auchan : une opération exclusive « back to school

Cendres volantes

a mass for ash wednesday messe pour mercredi des cendres

AVIS DE CONVOCATION ASSEMBLÉE GÉNÉRALE MARDI 20

Les Cendres du Phénix

Les Cendres du Phénix