dossier de presses Sylvia Bruyant

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dossier de presses Sylvia Bruyant
Sylvia Bruyant
Comédienne
www.sylviabruyant.com
Tel : 06.10.65.65.50
Agent Olivia Hamelin
DOSSIER DE PRESSES
Réactualisé le 10/09/2010
7 mars 2011
A propos de L’amante anglaise
S'il y a certes au départ, un très beau texte de Marguerite Duras, le succès remporté par la
pièce tient surtout à la performance d'une grande comédienne : Sylvia Bruyant
JC Domenger
Janvier 2011
A propos de Madame Marguerite
Sylvia Bruyant est une comédienne exceptionnelle. Ceux qui l’ont vu dans "Oléanna",
"L’amante anglaise", "Vernissage" ou dernièrement "Le baiser de la veuve" en
conviendront aisément. (…) la comédienne incarne ici dans la traduction de l’auteur,
une Madame Marguerite encore plus âpre et cinglante que la précédente. Elle est
impériale d’un bout à l’autre, tenant sa partition avec une force et une acuité
impressionnantes et montant en puissance jusqu’à l’apothéose finale. (…)C’est du très
grand art. Tout est rythmé, précis ; la gestuelle et le travail du corps sont remarquables.
Et si le final la laisse exsangue, le public est, quant à lui, sous le choc et admiratif de la
performance. On devrait l’écrire au tableau noir pour s’en souvenir : il faut absolument
aller voir "Madame Marguerite" !
Nicolas Arnstam
1
UN FAUTEUIL POUR L’ORCHESTRE
Janvier 2011
A propos de Madame Marguerite
Il fallait donc une énergie semblable à celle mise en œuvre par la comédienne Sylvia
Bruyant pour réussir la juste adéquation entre réalité tragique et légèreté. Un juste
milieu ne condamnant ni l’un ni l’autre, et nous invitant doucement à « y voir un peu
clair »… La jeune femme possède la faculté d’instaurer une réelle communication avec
le public, suffisamment subtile, légère juste comme il faut pour que l’assemblée soit
destinée, lors d’une distribution de concombres à retourner sur les bancs de l’école ! Un
dialogue humanisant le personnage, une envie délirante de transmettre un savoir, les
grands yeux d’une comédienne ou le reflet d’une âme attendrissante qui aime ses élèves.
Une harmonieuse combinaison.
Bettina Jacquemin
Janvier 2011
A propos de Madame Marguerite
Sylvia Bruyant fait entendre le son de cloche d'une maîtresse au tempérament généreux
et hirsute, au caractère opaque et machiavélique, à l'allure fuyante et extravertie.
(…)Un beau texte interprété avec force et persuasion par cette comédienne captivante,
bouleversante et sacrément attachante. La mise en scène de Bruno Bayrou se veut
simple et exigeante, spontanée et réfléchie, tendre et émouvante. Madame Marguerite,
une bien jolie pièce sur la scène du Guichet-Montparnasse. »
Par Philippe DELHUMEAU
Juin 2010
A propos du Baiser de la veuve
«(…) la comédienne Sylvia Bruyant est remarquable : sa vaste palette de jeu touche juste,
tout comme sa voix grave qu’elle sait moduler pour révéler toute la complexité de son
personnage. »
Lison Crapanzano
2
Juin 2010
N°581
A propos du Baiser de la veuve
« Sylvia Bruyant incarne Betty avec une variation de jeu remarquable. »
Nadja Pobel
*
30 Juillet 2010
A propos de Madame Marguerite
« Il y a ici une remarquable interprète, Sylvia Bruyant. Elle est jeune, elle est jolie, et s’offre
toutes les folies. Au masque de son personnage, elle peint mille couleurs, la menace, la
tendresse, le délire, la sensualité, la fermeté, la sévérité, l’extrême passion jusqu’au pétage de
plomb ! Quand la langue de Roberto Athayde claque dans sa bouche, ça déchire l’espace, un
mal qui vous veut du bien. A l’issue de la représentation, la comédienne est applaudie à tout
rompre. »
Sophie Bauret
Juillet 2010
A propos de Madame Marguerite
Sylvia Bruyant, avec sa somptueuse voix grave porte ce texte à merveille.
À la fois autoritaire et sensuelle. Elle excelle dans ce monologue d'une heure et quart où elle
passe des messages sérieux et moraux. Une vraie performance d'actrice, dans laquelle
elle nous fait très peur et rire niaisement comme à nos 15 ans. Un excellent retour sur les
bancs du collège.
Alexandre Ricard – Juillet 2010
3
La République du Centre
30 janvier 2010-09-28
A propos de L’amante anglaise
Sylvia Bruyant est une Claire Lannes convaincante, fascinante, mystérieuse et effrayante.
Oscillant entre folie, machiavélisme et lucidité, l’actrice se fond littéralement dans les traits
de la tueuse. Elle nous bouleverse, nous émeut et nous fait froid dans le dos. (…) Sylvia
Bruyant est donc époustouflante.
Sophie Stadler
L’écho Républicain
2 février 2010
A propos de L’amante anglaise
Totalement métamorphosée, Sylvia Bruyant incarne avec Brio cette vieille femme. Son
extraordinaire jeu d’acteur, les tics, les yeux pleureurs et sa voix sans âme nous font vibrer.
A propos de Madame Marguerite
Ce monologue puissant et dévastateur a été un véritable exploit physique pour cette
jeune actrice et forme l’admiration. La classe était traumatisée, mais conquise. » Le
patriote du 27 août 2009
4
Juillet 2009
A propos de L’amante anglaise
Autant le dire tout de suite, ce spectacle n’existerait pas sans l’implication étourdissante de la
comédienne, Sylvia Bruyant. Jeune femme ravissante (c’est un choc de le découvrir pendant
les saluts !), elle parvient par d’infimes tics visuels – un froncement de sourcils, un
pincement de lèvres… – à se grimer en une femme sans âge, hors de toute catégorie. Elle est
là, immobile, et reste un mystère, un bloc d’opacité que fissure simplement, cruellement sa
voix. Cette voix d’outre-tombe est un effet dramaturgique à part entière, apte à faire vibrer
toutes les subtilités, les non-dits et les silences lourds de sens qui pullulent dans l’œuvre de
Duras. L’émotion aussi qui sourd, lentement mais sûrement, de ce portrait de femme bridée
toute sa vie dans l’impossibilité d’exprimer sa sensibilité exacerbée, sur-humaine, « par-delà
le bien et le mal »…
Sarah Elghazi
Juillet 2009
A propos de L’amante anglaise
Sur scène, deux acteurs, habités par les personnages qu'ils interprètent : Sylvia Bruyant EST
Claire Lannes.
M.F. Alibert
LA REVUE MARSEILLAISE DU THEATRE
Août 2009
A propos de L’amante anglaise
On ne peut qu’être fasciné voire interloqué par le jeu de Sylvia Bruyant qui nous invite avec
une profondeur époustouflante à pénétrer dans la cellule cérébrale de cette protagoniste
énigmatique.
Christelle Brémond
5
Juillet 2009
A propos de L’amante anglaise
Les deux comédiens S.Bruyant et Brice Notin sont d’un professionnalisme assourdissant. Ils
ont maîtrisé la scène du début à la fin. On ne peut rien dire de la mise en scène à part qu’elle
était à la hauteur des comédiens. Et vice-versa. Tout était parfait. Un spectacle divin qui
donne envie d’aller au théâtre.
Alexandre Ricard
Juillet 2008
A propos de L’amante anglaise
« Les spectacles du Off sont plus nombreux d’année en année. Montée de manière classique,
L’amante anglaise, de Marguerite Duras, du Théâtre Cavalcade, révèle une excellente jeune
interprète, Sylvia Bruyant, qui joue avec finesse et retenue ce personnage de femme âgée,
tétanisée, incapable d’expliquer le crime qu’elle vient de commettre. » Joëlle Kwaschin
Avril 2008
A propos de L’amante anglaise
Sylvia Bruyant est une remarquable comédienne. On le savait depuis "Oléanna" de David
Mamet, où elle était sensationnelle en étudiante timide qui relevait peu à peu la tête pour
devenir le bourreau de son professeur au fur et à mesure de leur échange. Elle nous offre ici
une autre facette de son talent dans un rôle encore plus éloigné d’elle : un travail de
composition impeccable et rigoureux - chaque mouvement du corps, d’un hochement de tête
à un geste de main semblant marqué par la vie pénible de cette femme trop ordinaire. Elle est
Claire Lannes, ça ne fait aucun doute. (…) Un spectacle au mystère opaque et la prestation
convaincante d’une comédienne fascinante.
Nicolas Arnstam
6
Juillet 2008
A propos de Vernissage
Quant à Sylvia Bruyant, elle est parfaite. Et sa performance dans ce festival, d’endosser à
quelques heures d’intervalle, deux rôles aussi exigeants que Claire Lannes dans "L’amante
anglaise" et la bourgeoise de Vernissage prouve qu’elle est définitivement une comédienne
d’exception comme on en compte peu.
Nicolas Arnstam
Juillet 2007
A propos de Oléanna
Il faut donc aller voir ce spectacle pour se faire son opinion, mais aussi, et surtout, pour
découvrir Sylvia Bruyant (l’étudiante) extraordinaire de sensibilité et de justesse. Elle réussit
à installer son personnage dès le début de la pièce avec très peu de mots. L’évolution du
personnage est crédible. Il n’y a aucun artifice.
Célio-Noël MENARD
7
INTERVIEW DU 17 JUILLET 2007
Sylvia Bruyant se met au service du metteur en scène
L’édition 2007 du Off d’Avignon est l’occasion, pour ceux qui ne la connaissent pas, de
découvrir Sylvia Bruyant, vingt-huit ans, dans deux pièces.
Oléanna tout d’abord, à l’Albatros. Une pièce de David Mamet, mise en scène par Bruno
Dairou, qui nous parle d’un professeur et de son étudiante. Sylvia Bruyant incarne cette
étudiante timide et réservée qui va détruire la vie d’un professeur (Bruno Ladet), hautain et
orgueilleux. Changement de registre ensuite, au Théâtre des Lucioles, dans Fin de terre, de
Georges de Cagliari, mis en scène par Sara Veyron. Elle y interprète le rôle de Madame.
Cette femme d’une soixantaine d’années vit recluse dans un blockhaus avec Annia (jeune
fille qu’elle a recueillie), alors qu’à l’extérieur, les changements climatiques amènent les
hommes à vivre au temps de la préhistoire.
Dans ces deux pièces, la comédienne fait preuve d’une même qualité. Elle impose son
personnage et occupe le plateau même quand elle n’a pas de texte. Les artifices ne font pas
partie de son jeu. Elle reprend le rôle de Madame tenu, lors de la création de Fin de terre, par
Yolande Folliot. Elle pallie la différence d’âge entre elle et son emploi en s’inspirant du
personnage tenu par Jean de Coninck (John Voltness), comédien depuis le milieu des années
soixante. Elle l’observe pour donner plus de poids et de justesse à leurs échanges et ainsi
donner corps à une Madame réelle, vivante.
Sylvia Bruyant a une formation universitaire en lien avec le théâtre et les politiques
culturelles. Sa formation de comédienne, elle la forge entre 1998 et 2000 à l’Atelier
international de théâtre de Blanche Salant et Paul Weaver, mais aussi à travers différents
stages (stage avec Stanislas Nordey au sein du TGP de Saint-Denis, stage au cours Florent
avec Sandy Ouvrier, stage avec Jack Waltzer de l’Actor’s studio, etc.).
Elle fait aussi de la mise en scène. Elle en parle avec humilité, mais sans fausse modestie. Et
puis quand elle est actrice, elle se met au service du metteur en scène, ne remettant jamais en
cause les partis pris de celui-ci dès lors qu’elle se lance dans l’aventure. Elle ne mélange pas
les genres, s’employant à remplir au mieux la place qu’elle occupe.
Pour ce qui est du cinéma, elle interprète le rôle d’Elsa dans le court métrage Travel Lost, de
Pierre Ryngaert, et fait de la figuration notamment dans Tanguy et Napoléon. Elle avoue
qu’elle aimerait en faire plus, mais sait aussi dire la chance qu’elle a d’avoir autant de
propositions en théâtre. On peut d’ailleurs dire, car elle n’oserait pas, que la chance n’y est
pour rien et qu’elle mérite amplement que les metteurs en scène lui fassent confiance, tant
pour ces qualités de comédienne que pour ces qualités humaines, générosité et simplicité
entre autres.
C’est donc une comédienne dont le parcours est à suivre et que l’on retrouvera en tournée
cette saison, notamment dans Fin de terre et Oléanna et en voix du documentaire Tassili
N’Ajjer peuples de peintres et de graveurs, réalisé par Théodore Robichet.
Célio Noël MENARD
8
Juillet 2006
A propos de Oléanna
« C’est Sylvia Bruyant qui endosse, dans un jeu poignant et nuancé, le rôle tapageur de
l’étudiante insurgée »
Bérenice FANTINI
Juillet 2006
A propos de Oléanna
Dans ce jeu perpétuel des rapports ambigus, où séduction rime avec manipulation, les acteurs
jouent fort, très fort. Ainsi dans les douces et très belles lumières des persiennes — signées
Alexandre Ursini — une splendide comédienne se détache — Sylvia Bruyant — dans un rôle
qui lui colle à la peau.
Sophie Bauret
Juillet 2002
A propos de Sentinelle
« Sylvia Bruyant nous fait ressentir subtilement les écorchures de son corps et de sa pauvre
petite vie. »
Vincent Cambier
9
Juillet 2002
A propos du quai
« …la voix grave et l’indéniable présence de Sylvia Bruyant relancent notre attention, notre
compassion. »
Jean-Louis Challes
Juillet 2003
A propos de Sentinelle
« Sylvia Bruyant, une jeune comédienne touchante par son jeu, sa sincérité et sa simplicité.
Elle est à la manufacture dans « Sentinelle » de Philippe Beheydt. »
Sophie Bauret
10