Dole - Jeunes sapeurs-pompiers

N°152
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ré ie trale
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rs- cen
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Septembre 2013
Pays Dolois
Un vrai journal GRATUIT d’informations
Jeunes sapeurs-pompiers
Dole Nos secouristes de demain !
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L’info auto-moto
de votre région !
La section doloise des Jeunes Sapeurs-Pompiers (JSP)
a été créée en 1954 et compte aujourd'hui 24 jeunes recrues.
Agés de 12 à 17 ans, ils apprennent les rudiments du métier
durant quatre années.
p. 13
PAYSAGISTE
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Création et aménagement de bassins, massif…
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1
2 l’essentiel de l’info
INFOS PRATIQUES
KLAXON AUTONEWS
HORS-SÉRIE DU MOIS !
Chaque mois, vous découvrirez un nouveau
Hors-Série en cahier central de notre journal.
Ce mois-ci,“Klaxon” consacre quelques pages
aux actualités de tout ce qui roule.
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le “Pays Dolois” en lecture numérique. Et surtout
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www.paysdolois.fr. A noter que vous y trouverez
également tous nos précédents numéros.
n SUR
Cet été à Dole, vous y étiez !
Barbecues paysans, concerts en plein air, exposition de la Griffe du chat : les animations estivales
de la ville de Dole ont remporté un succès record.
La soirée de clôture de l’aquaparc Isis vendredi
30 août marquée par de nombreuses animations
ainsi que la Grande Braderie ont clos les
festivités estivales et ouvert le bal de la saison
culturelle aux couleurs plus automnales...
Le mois prochain, notre HS “Igloo” sera
consacré à l’habitat, puis nous penserons
aux Jurassiennes... au féminin.
n EN
Pays Dolois n°152 - Sept. 2013
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Pays Dolois, BP 212, 39100 Dole Cedex.
Concerts des Mardis
Alors que l’été touche à sa fin, l’heure est au bilan
pour les associations et le service culturel de la mai­
rie de Dole. Tous sont unanimes pour dire que les
manifestations ont connu cet été une affluence
record. Si la météo favorable explique en partie ce
succès, d’autres paramètres sont à prendre en
compte. Les concerts des mardis, organisés par la
mairie doloise, ont attiré à chaque rendez­vous entre
400 et 700 spectateurs, contre une centaine lors de
la première édition en 2008. “D’année en année, on
a senti croître l’engouement, mais nous sommes
montés d’un cran cette année” s’enthousiasme Chris­
tian Parent, adjoint en charge de la culture. Le public,
fidélisé au fil des concerts, se constituait des habi­
tants de Dole et du Grand Dole, et des touristes de
passage. “C’était au départ un public de mélomanes
curieux, séduits par des propositions artistiques
variées et de qualité. Puis, très nettement nous nous
sommes aperçus que nous avons créé un rituel, une
habitude en matière de culture” analyse l’élu.
6 000 participants aux barbecues paysans
Les jeudis aussi étaient jours de fête cet été à Dole ! Le
long du Cours Saint­Mauris, entre les concerts organisés
par le Comité des fêtes et les barbecues paysans proposés par l’association “Rendez­vous des saveurs
bio et des savoir­faire”, ce sont plus de 3 000 personnes qui arpentaient chaque jeudi la promenade.
Pour les neuf barbecues de la saison, 6 000 participants ont répondu présents, contre 2 000 en 2012
sur les six repas. Dolois, touristes, mais aussi visiteurs de la région, de Besançon et de Dijon ont appré­
cié les produits locaux autour d’un moment festif et convivial. “C’est un énorme succès, tout le monde
est surpris de cette réussite” commente Steeve Crétiaux, président de l’association Rendez­vous des
saveurs bio et des savoir­faire. “Je reçois souvent des messages, les gens me disent que c’était leur
meilleure soirée de la semaine. La météo clémente explique ce succès bien sûr, mais aussi une habi­
tude qui s’est installée chez les Dolois au fil de l’été”. Les marchés du jeudi, eux, se poursuivent...
La “Griffe du chat” prêt à rebondir en 2014
Toujours en matière de culture, les promeneurs ont pu cet été découvrir le patri­
moine dolois d’une façon incongrue, via une exposition d’œuvres d’art contempo­
rain disséminées à travers la ville, en intérieur et en extérieur. Pour l’occasion, la
“Griffe du chat” a investi des sites patrimoniaux habituellement fermés au public,
tels que l’église des Carmélites et l’église des Jésuites. Là aussi, l’association organi­
satrice Artpol se félicite du plébiscite du public. Au 15 août dernier, les 36 exposants
avaient déjà accueilli 1 500 visiteurs. Une belle occasion d’échanger, partager, expli­
quer leurs techniques artistiques avec un public curieux et intéressé. “C’est un com­
plet aboutissement de nos objectifs fixés” commente, ravie, Isabelle Grandvaux, pré­
sidente de l’association Artpol. “Le mariage entre art contemporain et patrimoine
classique est une réussite. Les gens ont parfois été surpris, mais les réactions ont tou­
jours été positives. Nous avons eu des retours magnifiques”. Une expérience à
renouveler en 2014 ? “On repart à 200 % !” répond du tac au tac Isabelle Grand­
vaux. “Les artistes ont adoré Dole et ont été tellement bien accueillis !”.
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Tél. 03 84 82 50 21 - Fax : 03 84 72 37 81 - n°ISSN : 1 778-820X
Rédaction : [email protected] - Imprimé en France
2
Claude Chalon et Jacques
Quastana, nouveau préfet du Jura
Une journée marathon qui a permis au nou­
veau préfet de prendre connaissance des
grands dossiers structurants de l’aggloméra­
tion : visite de la zone Innovia, du Centre
d’activités nouvelles, des Mesnils Pasteur, de
la gare, du futur site d’implantation d’Inter­
marché, de l’Aquaparc, et de la confluence
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Moins de deux mois après son installation, Jacques Quastana, nouveau préfet
du Jura, effectuait sa première visite officielle au Grand Dole le 26 août dernier.
Doubs­Loue à Parcey. “Une visite de terrain
complète et diverse” a souligné Jacques
Quastana. Arrivé des Hautes­Alpes où il avait
su unanimement se faire apprécier, ce der­
nier s’est défini comme un homme de dia­
logue et de terrain auprès de Claude Chalon.
“Il nous a dit que l’Etat tiendrait son rôle,
mais tout en réfléchissant ensemble” com­
mentait le président du Grand Dole. “Il veut
connaître ses dossiers à fond et souhaite
mettre en place une collaboration précise,
avec un rendez­vous mensuel. Durant cette
journée, nous avons souhaité montrer l’am­
pleur de nos dossiers, ce qu’il a compris”.
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Pays Dolois n°152 - Sept. 2013
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4 l’essentiel de l’info
ÉCHOS DE LA BLOGOSPHÈRE
ET TWITTOSPHÈRE LOCALES
CHRISTOPHE PERNY, PRÉSIDENT
DU CONSEIL GÉNÉRAL DU JURA
CONCERNANT LE DÉCÈS D’ANDRÉ
LAMY, CONSEILLER GÉNÉRAL
ET VICE-PRÉSIDENT DÉLÉGUÉ AUX
TRANSPORTS
“(...) André Lamy était un homme de luttes.
Luttes syndicales, il aura mobilisé, revendiqué,
manifesté, obtenu par le combat syndical tant
de droits, d’avancées sociales pour les autres.
Luttes politiques, au service de ses idéaux et
de ses convictions, pour un autre monde plus
tourné vers l’homme et libéré de la toute
puissance de l’argent”
BLOG DU PARTI COMMUNISTE
DOLE-JURA
CONCERNANT LE DÉCÈS D’ANDRÉ
LAMY
“Ceux qui ont parlé pour te rendre hommage
portaient en eux outre l’émotion qui étreignait
chacun de nous, un peu de toi, de ta vie, de tes
luttes, de ta façon respectueuse de débattre…
(...) Nous avons partagé ces chansons de Jean
Ferrat que tu aimais tant, écouté chaque mot
d’Aragon ou Eluard prononcé par tes amis, tes
camarades. Pour toi, nous avons chanté à plein
poumons le Chiffon rouge”.
“QUOI DE NEUF DANS LE JURA”
BLOG D’INFORMATION
JURASSIENNE
“Pour le Jura, [les réserves parlementaires] se
sont élevées en 2012 à 1 118 437 euros pour les
2 sénateurs et les 3 députés. Elles sont en légère
augmentation par rapport à 2011. Cette somme
est répartie de la manière suivante : Jacques
Pélissard : 477 963 euros soit 42,73 % de la
réserve parlementaire jurassienne. MarieChristine Dalloz : 249 481 euros soit 22,30 %.
Gilbert Barbier : 159 890 euros soit 14,30 %.
Gérard Bailly : 129 000 euros soit 11,53 %.
Jean-Marie Sermier : 102 103 euros soit 9,13 %.
JEAN-CLAUDE WAMBST,
MAIRE DE DOLE
CONCERNANT L’INSTALLATION
DES GENS DU VOYAGE
“Quand on parle de l’installation anarchique
des gens du voyage dans nos communes, la
question n’est cependant pas de savoir s’il est
bien de démissionner ou pas… la question est
de savoir quand et comment nous apporterons
enfin une réponse concrète et durable à ce
problème persistant. Il faut arrêter de taper
bêtement sur telle ou telle colonie de gens du
voyage. C’est ridicule… Tout le monde mérite
d’être accueilli dignement et nous maires, nous
ne demandons qu’à pouvoir le faire dans de
bonnes conditions”.
JEAN-MARIE SERMIER
BLOG DU DÉPUTÉ DU JURA
“94,03 % : c’est le taux général de réussite
au bac général (S, L, ES) sur les lycées de Dole.
Soit nettement plus haut que la moyenne
départementale : 85,42 %”.
3
L’OT de Dole labellisé
“Qualité tourisme”
L’office de tourisme de Dole a obtenu
cet été la marque Qualité tourisme.
Créée par l’Etat afin d’améliorer la qualité des
prestations touristiques en France, la marque
Qualité tourisme a déjà été attribuée à dix
établissements dans le Grand Dole, dont
récemment son office de tourisme. En,
France, seuls 7 % des OT sont à ce jour label­
lisés. Un travail de longue haleine pour la
structure doloise qui s’y prépare et s’est enga­
gée dans cette démarche depuis trois ans.
Avec ce label, attribué pour trois ans après un
audit réalisé en avril et mai 2013, l’OT s’en­
gage à considérer le client au cœur de ses pré­
occupations. “Cela passe par une information
claire et précise, un accueil personnalisé, le
confort des lieux, la satisfaction du client...”
explique Stéphane Triboulet, directeur de l’of­
fice de tourisme dolois. “En interne, la marque
nous encourage à réfléchir sur un accueil per­
sonnalisé. Nous avons un manuel qualité où
chaque action est justifiée”. Concrètement, la
5
structure se dote de nouveaux outils qui aide­
ront à la mise en place de ces objectifs : des
enquêtes consommateurs, questionnaires de
satisfaction, fiches de suggestion ou de récla­
mation, mise en place d’un groupe de travail
qualité local... Les prestations seront désor­
mais soumises à des contrôles inopinés via
des clients ou appels mystères. En 2016, l’OT
devra passer par un nouvel audit afin de pro­
longer l’attribution de la marque. Si un maca­
ron “Qualité tourisme” devrait bientôt être
apposé sur les murs de l’OT, les utilisateurs
franchiront­ils pour autant davantage les
portes de la structure ? “Nous sommes
conscients que les touristes ne viendront pas
plus à Dole car nous avons ce label” répond
Stéphane Triboulet. “En revanche, c’est impor­
tant vis­à­vis de nos partenaires car nous
avons l’ambition de devenir une destination
qualité”.
C.G.
l’heure du bilan
Lors 14 et 15 août derniers, les Forges
de Fraisans ont accueilli le No Logo
Festival. Avec une programmation
essentiellement basée sur le reggae, le
No Logo a réussi à réunir plus de 19 000
personnes en deux jours. Florent San­
seigne, responsable de Mediacom tour,
organisateur du No Logo, confirme ce
succès même en dehors des frontières
françaises : “Les retours de l’ensemble
des festivaliers sont très positifs. On a
constaté que les gens sont venus des
quatre coins de la France (Bordeaux,
Lille, Rouen, Lyon, Nice…) et des pays limitrophes comme la suisse, l’Italie et
la Belgique. Les retours des artistes sont également élogieux. Ils ont été ravis
de jouer au festival NO LOGO et adhérent aux valeurs du festival NO LOGO”.
L’organisation est d’ailleurs en pleine réflexion sur la future édition 2014.
© No Logo Festival
ILS L’ONT DIT
Pays Dolois n°152 - Sept. 2013
Comment expliquer cet enthousiasme ?
Avec plus de 14 artistes dont des internationaux, le No Logo a su attirer les
foules avec une programmation de qualité et un prix d’entrée relativement
bas. 25 euros pour le week­end au No Logo contre 17 euros pour la soirée
du festival Rockalissimo à Saint Aubin. Pour Denis Jeunet, président de la
Communauté de communes Jura Nord, le festival No Logo est une réussite
totale. “Pour un coup d’essai, c’était un coup de maître avec une organisation
qui s’est bien passée. La Communauté de communes se félicite d’avoir été au
côté de la mairie de Fraisans à l’origine pour créer ce site des forges et nous
espérons que les entrepreneurs qui ont contribué à ce spectacle continueront
à l’organiser sur Fraisans dans les années qui viennent. Je suis extrêmement
heureux que nous posions sur la carte des festivals de France 2013 le site de
Fraisans comme un festival incontournable du reggae.”
Jacquesson Claire
4
SPORT
C’est parti
pour la traversée
du Grand Dole !
La 5e édition de la traversée du Grand Dole se tiendra les 14 et
15 septembre sur l’ensemble des communes de l’agglomération.
Une compétition sportive sous le signe de la convivialité, c’est le
maître mot de la traversée du Grand Dole. Préparé par la
Champvans Amicale Coureurs (CAC39), cet événement est une
course pédestre non chronométrée sur routes ouvertes à la cir­
culation, dont le but est de relier les 42 communes du Grand
Dole. Le mot course n’est d’ailleurs pas forcément adapté, car
chaque participant peut arrêter le parcours et le reprendre au
prochain relais. De cette manière, chaque coureur est libre d’ef­
fectuer le nombre de kilomètres qu’il souhaite. Une opportunité
qui contribue au succès de cette manifestation.
Nouveauté Cette nouvelle édition sera marquée par une étape
spéciale. Le samedi, les participants pourront participer à une
course à pied ainsi qu’à un parcours en canoë­kayak. Une étape
parallèle mise en place grâce au soutien du Canoë­kayak dolois.
Moyennant une inscription obligatoire, les amateurs de sports
travailleront aussi bien leurs jeux de jambes que de bras le
temps de l’étape Dole­Choisey ! La mise à l’eau se fera dans le
Claire Jacquesson
canal au niveau du pont de la Corniche.
Plus de renseignements : http://www.traverseedugrand-dole.fr
CAC 39 - 15 rue de Foucherans 39100 Champvans
6
Œnotourisme
une application
smartphone
Le CDT du Jura vient de lancer une application
smartphone pour découvrir le vignoble jurassien.
Le Comité départemental du Jura met le
paquet sur la communication numé­
rique. Après la réalisation d’une tablette
tactile l’été dernier à l’Aire du Jura,
c’est maintenant une application pour
I­Phone et Androïd qui vient de voir le
jour. Ses trois fonctions principales per­
mettent aux utilisateurs de préparer leur
séjour dans le Jura, de sélectionner les
bonnes adresses des vignerons et res­
taurateurs, ou tout simplement d’en
savoir plus sur les vins du Jura. D’autres
fonctionnalités permettent de partager
des photos, trouver les coordonnées des
offices de tourisme, d’en savoir plus sur
la marque “Vignobles et découvertes”...
Téléchargement gratuit sur l’Apple Store
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Pays Dolois n°152 - Sept. 2013
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6 l’essentiel de l’info
EXPRESS
DÉFIBRILLATEURS
UN RÉSEAU DE SECOURS INÉDIT
Le Service départemental d’incendie et de
secours du Jura vient de lancer Défibril Jura,
dispositif qui recense les défibrillateurs installés
sur le département. Lorsque les sapeurs-pompiers
prennent connaissance de l’installation d’un
nouveau défibrillateur, ils l’ajoutent dans cette
base de données. Ce recensement fait l’objet
d’une cartographie précise pour indiquer le
défibrillateur le plus proche. Le site Internet
www.defibril-jura.fr met à la disposition du
grand public l’ensemble des informations ainsi
que de précieux conseils sur le comportement
à adopter lorsqu’on est témoin d’un arrêt
cardiaque. Les Sapeurs-Pompiers du Jura se
tiennent à la disposition des maires pour
dispenser à leurs habitants des informations
gratuites de groupe sur les défibrillateurs.
7
Pays Dolois n°152 - Sept. 2013
Environnement Un expert international se penche sur le cas de l’apron
Petit poisson de nos rivières comtoises ayant
pratiquement disparu dans la Loue jurassienne,
l’apron est l’objet d’une attention particulière.
Cousin de la perche commune et du
sandre, l’apron, appelé aussi “Roi du
Doubs”, est noyé dans une situation plus que critique. En
effet, ce percidé, historiquement présent dans la Loue et
le Doubs franco­suisse, a aujourd’hui quasiment disparu
dans le tronçon de la Loue entre Arc­et­Senans et Parcey,
comme dans d’autres parties de ces rivières. Classé
“espèce en danger critique d’extinction”, il a été l’objet
d’une plainte de trois ONG, Pro­Natura en Suisse, le WWF
Suisse et la Fédération Suisse de Pêche, alarmées par
cette situation. En 2011, ces associations déposent une
plainte pour infraction à la Convention de Berne, dénon­
çant l’inaction des Etats suisses et français face à la dispa­
rition de l’Apron. Un an après, le collectif SOS Loue et
rivières comtoises et France nature Environnement ­
Franche­Comté se joignent à cette plainte, en y intégrant
la Loue. Pour rappel, la Convention de Berne, signée en
1979, ayant pour but la protection de la vie sauvage, a été
créée par le Conseil de l’Europe (organisation internatio­
nale à ne pas confondre avec l’Union européenne),
regroupant 47 nations, dont la Suisse.
JURA UN NOUVEAU PRÉFET
Dès ses premières paroles face à la presse,
Jacques Quastana livrait ses méthodes de
travail :“simplicité et échange”. Un ton qui
tranche avec celui de son prédécesseur… Le
nouveau préfet du Jura a pris ses fonctions le
8 juillet dernier. Il succède à Francis Vuibert, qui a
quitté le département après 26 mois de service
pour rejoindre l’administration centrale du
Ministère de l’Intérieur à Paris. Jacques Quastana
arrive du département des Hautes-Alpes où il
officiait depuis le 19 mars 2012.“Je suis tout entier
dans le Jura et au Jura” indiquait-il, en précisant
qu’il privilégiera le dialogue et le terrain.“Je
passerai tout l’été dans le Jura afin de m’y
promener les dimanches et m’imprégner du
département”. Le nouveau préfet s’est livré de
bon gré aux jeux des questions concernant la
sphère privée :“Je n’aime pas l’arrogance. J’aime
l’Asie et son invitation à la sérénité. J’y vais
souvent. J’aime également les bandes dessinées”.
Concernant les dossiers “épineux” jurassiens, le
représentant de l’Etat avait déjà été informé
des tensions entre les maires des communes
jurassiennes et les services de l’Etat :“Je leur
apporterai une écoute attentive, avec une
méthode d’échange, dans l’égalité de tous
et le respect des lois”.
Le comité de la Convention de Berne
mandate un expert
En novembre 2012, un expert scientifique est mandaté. “Au
terme des trois jours d’expertise au début de l’été, l’expert
est reparti avec l’ensemble de nos dossiers et de nos données
scientifiques” explique Marc Goux, fondateur du collectif
SOS Loue et rivières comtoises. “Il y a eu de l’écoute et du
dialogue. Après son départ, nous avons établi avec les ONG
une liste de recommandations qui lui ont été transmises”. En
décembre, le comité devra décider des suites de ce dossier.
“Nous attendons que nos recommandations soient prises en
compte et que les Etats les entendent et apportent des
réponses” reprend Marc Goux.
Pour la basse vallée de la Loue,
deux facteurs en cause
L’agriculture serait sans surprise un des fac­
teurs expliquant la disparition de l’apron dans
la Loue jurassienne. “Quand elle arrive à Arc­
et­Senans, la Loue véhicule des quantités
importantes d’azote et de phosphore. Cette
eutrophisation provoque une explosion
d’algues et de cyanobactéries. Nous avons étu­
dié que 95 % des causes de l’eutrophisation de
la Loue sont d’origines agricoles” reprend l’ani­
mateur du collectif. Et d’accuser sans ménage­
ment la filière Comté, responsable de l’as­
phyxie des sols causée par la monoculture
d’herbe. Second paramètre : les lourds travaux
d’aménagement de la rivière dans les
années 60, suite à de fortes crues, afin de fixer
son lit. “Après Arc­et­Senans, la Loue arrive
dans un endroit complètement redressé, où un
lit artificiel plus étroit a été créé. La rivière s’en­
fonce dans son lit, et cette situation de creuse­
ment abaisse le niveau de la nappe alluviale.
Aujourd’hui, on ne trouve même plus de hotus
dans cette partie de la Loue”. Parmi les recom­
mandations des associations, la désintensifica­
tion de la production agricole figure en tête de
proue. Mais également la suppression des
rejets directs des stations d’épuration dans les
rivières. “Pour la basse vallée de la Loue, l’Etat
doit impérativement mettre en place un plan
de renaturation de la rivière sur les 40 km, et
lui redonner sa largeur et son domaine de
liberté”.
8
Céline Garrigues
Audrey
Laxenaire,
responsable
du dispositif
pour le Jura,
présente
la Carte
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La Carte jeunes
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phénomène qui ne cesse de progresser d’année en
année. Ainsi l’édition 2012­13 s’est écoulée à plus
de 23 500 exemplaires. Un succès qui semble se
poursuivre au vu des prévisions 2013­14, avec l’arri­
vée de 25 partenaires et l’ouverture en 2013 du
point Information Jeunesse au 24 place nationale à
Dole.
Nouveauté. En plus de l’arrivée de 25 partenaires
jurassiens, les adhérents auront la possibilité de créer
un espace personnel sur le site www.jeunes­fc.com.
De cette manière, ils seront informés des diffé­
rentes sommes économisées tout au long de l’an­
née tout en bénéficiant d’exclusivités web.
C.J.
Plus d’informations : http://www.jeunes-fc.com
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Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays Dolois n° 152
Monsieur le consul de Chine inaugurant
le restaurant, le vendredi 30 août 2013.
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l’essentiel de l’info 7
Pays Dolois n°152 - Sept. 2013
9
Gestion des déchets
10
Le Conseil général
s’engage
avec le Sydom
Une charte a été signée pour formaliser son
inscription dans une démarche éco-exemplaire.
Alexis Vuillermoz
un Jurassien
au Tour de France
“Nous animons le programme local de
prévention des déchets ménagers et
assimilés du Jura depuis juillet 2009”,
annonçait Guy Saillard, vice­président
du Sydom, en préambule de la signature
du président Christophe Perny pour que
le Conseil général s’engage dans la
démarche “Collectivité Eco­exemplaire”.
“L’objectif de ce programme est de
réduire la quantité et la nocivité des
déchets : une baisse minimale de 7 %
des déchets ménagers et assimilés est
attendue d’ici 2014”. Cet objectif
concerne évidemment tous les Juras­
siens. Mais le Sydom incite d’abord les
collectivités à montrer l’exemple comme
il l’a lui­même mis en place dans ses ser­
vices. Le Conseil général a souhaité lui
aussi être “exemplaire”, faire “un acte
symbolique”, a souligné Christophe
Perny. Une signature a officialisé le choix
de cette démarche au début de l’été. Le
Conseil général du Jura est ainsi le pre­
mier département en France à s’engager
dans un programme d’exemplarité en
matière de prévention des déchets.
Le sanclaudien Alexis Vuillermoz, s’est lancé dans le grand bain en
octobre 2012 en signant dans l’équipe professionnel sur route la
“Sojasun”. Pour la première année sur route, le Jurassien a été
retenu pour le 10e Tour de France sous ses nouvelles couleurs.
Pour sa première apparition au plus haut niveau le jeune coureur
de 25 ans s’est très bien dérouillé puisqu’il pointe en 46e position
au classement général final. “Pour ma première saison sur route,
participer au Tour de France a été une très belle surprise pour moi.
Je suis parti dans l’inconnu. Mon objectif était de prendre part aux
échappées ; je pense avoir réussi dans ma mission en me distin­
guant dans la 3e étape en Corse où j’ai disputé le maillot du
meilleur grimpeur et lors de l’avant­dernière étape où je suis sorti
avec Pierre Roland et Tejay Van Garderen. Se retrouver à la 46e
place est une belle aventure pour moi car au bout de cinq jours de
course, je me demandais déjà comment j’allais pouvoir tenir trois
semaines.” Les prochaines courses du Jurassien Alexis Vuillermoz
seront le Grand Prix de Fourmies le 8 septembre, le tour du Doubs
à la mi­septembre puis la Forestière le 22 septembre, le tour du
Givaudan les 28 et 29 septembre, le tour de Vendée le 6 octobre
et le week­end des 12 et 13 octobre le Roc d’Azur pour terminer
l’année 2013.
Plusieurs politiques
dans ce domaine
Le Conseil général ne devrait pas avoir de
difficulté à obtenir, une fois les actions
engagées, le label “collectivité éco­exem­
plaire jurassienne”. “Cette démarche est
en cohérence avec l’esprit des politiques
qu’on essaie d’initier”, a rappelé Chris­
tophe Perny, renvoyant vers la mise en
place de l’Agenda 21, l’organisation de la
première semaine du développement
durable, le remplacement du parc auto­
mobile classique par des véhicules
“propres”, le tri du papier dans les
bureaux, le lancement et le financement
d’une politique globale de déplacements
doux... Les signataires de la charte espè­
rent aussi que les 1 400 employés du
Conseil général adopteront à la maison les
réflexes environnementaux qu’ils ont
acquis au travail. Le Sydom souhaite
encore que d’autres collectivités suivent
les pas du Conseil général : syndicat mixte,
EPCI (établissement public de coopération
intercommunale), communes...
Céline Trossat
DERNIERE MINUTE
JEAN-MARIE SERMIER ABANDONNE LA PRÉSIDENCE
DU GROUPE D'OPPOSITION AU CONSEIL GÉNÉRAL
Alors que ses fonctions de président du groupe UMP au Conseil général
du Jura couraient jusqu’en 2015, Jean-Marie Sermier a démissionné de son
poste ce lundi 9 septembre à 20 h. Une décision murie en amont, afin de
se consacrer pleinement à sa future campagne pour les municipales 2014
à Dole. “A l’approche de la nouvelle année au Conseil général, le travail pour
le groupe d'opposition est important. J’ai donc décidé de m'impliquer
complètement à Dole” commentait le député de la 3e circonscription
du Jura. Souvent taclé sur le cumul de ses mandats, Jean-Marie Sermier a
également annoncé qu'il renoncerait à son poste de conseiller général
s'il est élu maire de Dole. Enfin, si le projet de loi sur le non-cumul des
mandats est voté par le Sénat et que celle-ci impose de choisir entre
un mandat de parlementaire et un mandat local, “Je choisirai Dole si
les Dolois me donnent leur confiance en mars” affirmait le député.
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8 Ville &
Pays Dolois n°152 - Sept. 2013
Village
Le centre de la ville a conservé de grandes vitrines, bien que les
commerces aient beaucoup évolué au cours du 20e siècle. Une certitude :
les anciens Dolois qui ont connu la première guerre mondiale ne s’y
retrouveraient pas ! Seul le terme “commerce” n’a pas changé…
Dole, commerces d’hier et d’aujourd’hui
Le commerce est l’une des plus anciennes inventions de
l’homme. En 1900, Dole comptait 14 500 habitants et
les trois rues principales du centre­ville étaient déjà bor­
dées de boutiques de toutes sortes. Au fil du temps, les
façades se sont restaurées et les vitrines agrandies. Cer­
tains magasins ont été divisés et d’autres réunis. Bref, si
les magasins et le commerce sont toujours présents,
rares sont les enseignes qui ont traversé le siècle ! Le
métier d’épicier a pris un tout autre sens… Alors qu’un
office du commerce vient d’être créé afin que commer­
çants et élus travaillent ensemble au sein de l’agglomé­
ration, un petit retour dans l’histoire du commerce
dolois peut satisfaire la nostalgie des anciens, et peut­
être donner des idées aux plus jeunes.
Albert, décédé en 1944,
est de retour en 2013 !
Certes, il cherche les Allemands et n’en trouve pas ! Alors,
il reprend ses habitudes et souhaite d’abord acheter un
vélo. Il se souvient de Maréchal au 74 rue des Arènes. Il
vendait, louait et réparait des cycles. Le magasin n’existe
plus et même le numéro a disparu ! Souhaitant se rensei­
gner, il entre dans une boutique située à la même place.
Là, on lui propose du repassage ! Il décide alors d’aller voir
Charles Contrejean, pas très loin au 71, mais il a disparu
également. Au 58, les cycles Capelle sont devenus le Cré­
dit Immobilier de France. Ne voyant plus aucun cycliste en
ville, il fait ses courses à pied. Au 59 rue des Arènes, au
magasin “Les Comestibles”, il achetait le poisson, la volaille
et le fromage. L’enseigne d’aujourd’hui “Royal Kebab” le
laisse un peu perplexe et il continue son chemin. Chez
Charles Franck au 39 rue des Arènes, il achetait son vin.
Hélas, la librairie des Fleurs a pris la place ! Désorienté,
notre Dolois d’avant­guerre décide d’aller boire un verre
au café du Jura au N° 50. SYM l’accueille mais pas de petit
blanc ! Au 12, le Grand Bazar est devenu Nocibé, boutique
de parfums. Remontant la rue, il cherche les enseignes
d’antan et n’en trouve aucune. De nombreux numéros ont
disparu des façades ! Comment s’y retrouver ! La petite
épicerie Pouthier­Gillot au 2 rue des Arènes est devenue
un magasin de cosmétiques Yves Rocher. C’est ici qu’il
achetait son matériel de pêche. Juste en face, la bonnete­
rie Select est transformée en vêtements pour enfants avec
l’enseigne “Z”. Un drôle de nom pense Albert ! Au 57 rue
de Besançon, l’ancienne épicerie Hermann Poux est deve­
nue une boutique américaine. L’enseigne “the phone
house” perturbe le vieux Dolois convaincu que des Libéra­
teurs de 1944 sont vraisemblablement restés. Tiens, voilà
le N° 54. Les chaussures Bata ont remplacé le beau maga­
sin “A la flotte anglaise”. Ayant aperçu plusieurs magasins
de chaussures, l’ancien se demande bien où sont passés
les cordonniers ! Aux 33 et 35, le vaste magasin Hudry où
Albert achetait ses vêtements a été transformé en banque
postale. Même la confiserie Fagot au 31 a jeté l’éponge !
Au 30, l’ancien magasin de tissus, vêtements et lingerie est
devenu Devred. Ouf, le café Parisien est toujours là, au
N° 24 ! Notre ami désorienté s’y engouffre et même s’il ne
reconnaît personne, il peut enfin déguster son petit verre.
L’épicerie de Charles Faivre au 18 de la même rue n’est
plus ! Séparée en deux, elle est devenue un marchand de
machines à coudre et une boutique. “Lingerie ligne S – Jar­
din secret” lit­il sur l’enseigne. La vitrine est alléchante et
finalement plus belle qu’au temps du Charles ! Et la dro­
guerie Galuzet au 10 ? Incroyable ! Antoinette et Jean
Ramel y vendent des plats tout préparés ! Au 11, la pâtis­
serie­confiserie de Victor Moreau “Aux Délices Comtoises”
est devenue une boutique de bijoux fantaisie baptisée
“Payotte”. Allant de surprise en surprise, Albert arrive
Place Grévy. Il ne peut même plus boire un coup au café
de Lyon ! Il décide de rejoindre la Grande Rue. Ô surprise
au 41, le bar de l’ancienne poste est devenu la BNP ! “Au
Grand Déballage” au 36 a succédé la droguerie Bertand et
en bas, au n° 20, l’épicerie Fiquet n’existe plus. Albert
reconnaît la Pomme d’Or. Un autre verre lui fera du bien !
Ce n’est plus madame Gaubert. Elle est même inconnue !
Finalement, Albert n’a rien dans son sac. Il a néanmoins
trouvé un journal, “Pays Dolois”, gratuit. Autrefois, il ache­
tait l’Action Jurassienne… Regagnant son domicile par la
place Nationale, il remarque que des lunettes sont en
vitrines à l’ancienne droguerie Lavrut. Ayant repéré un
petit Casino au 28 rue de Besançon, il s’y rend pour ache­
ter enfin quelques provisions…
20e siècle : le monde
commercial fait sa révolution
Dans l’histoire, le 20e siècle restera celle de l’évolution
industrielle commencée au 19e, mais aussi celle de la
métamorphose du commerce entraînant un change­
ment radical des mœurs de chacun. La naissance des
supermarchés dans les banlieues des villes est une révo­
lution en soi. Plutôt que d’entrer dans plusieurs bou­
tiques pour faire leurs courses, les clients ont répondu
favorablement au nouveau concept commercial qui leur
a été proposé : garer sa voiture à la porte du magasin
qui vend de tout. C’est d’ailleurs l’une des causes de la
désertification du centre­ville.
A Dole, Robert Léculier fut le précurseur, adoptant de
nouvelles méthodes de vente. Mais c’est SUMA (société
Cédis) qui fut vraiment la première surface commer­
ciale. Ce magasin aménagé dans l’ancien garage et sta­
tion­service “le Relais de la route blanche” situé Avenue
de Paris ouvrait le 4 novembre 1965. On y trouvait tous
les produits d’alimentation et autres. Six caisses étaient
disposées en sortie. Les prix étaient dits attractifs et ce
magasin ne fermait pas le midi. Tout était réfléchi pour
attirer le client. Soixante personnes y travaillèrent. Les
Doloises qui durent faire leurs courses en poussant un
“caddie” s’habituèrent rapidement.
JEAN-CLAUDE LAVAL :
“Où sont les années 60 !”
De 1962 à 1994, Jean-Claude Laval a exploité la librairie-papeterie qui portait son nom au cœur de la ville. Retraité, ce Dolois a bien
connu le commerce il y a 50 ans : “Dans les années 60, le problème n’était pas la vente, mais de trouver de la marchandise. Tout était à
faire ! Il y avait une fédération commerciale très dynamique. Je me souviens que l’arrivée de l’enseigne "La ville de Roubaix" avait donné un
coup de fouet au commerce” Ce libraire qui a vu l’arrivée du stylo à bille a reçu de grands écrivains en dédicace. Il cite André Besson évidemment, mais aussi Bernard Clavel, Henri Vincenot qu’il fallait allait chercher, Hervé Bazin, Alain Decaux, René Fallet… “Mon regret est
de ne pas avoir eu Marcel Aymé ! Tout a changé ! Il y avait quatre librairies (Jacques, Verniaux, Roux et Laval), et ça marchait… Il y avait de
la circulation en ville. Les rues piétonnes n’ont pas amené plus de monde. Pour moi, le véritable déclin a commencé au début des années 90”.
Les nouvelles Peugeot chez Armand Coulon
ville et village 9
Pays Dolois n°152 - Sept. 2013
A PARAÎTRE EN OCTOBRE 2013
CHEZ DMODMO ÉDITIONS
Dole au XXe - Métamorphose de la cité
Une deuxième étape :
des enseignes plus éloignées de la ville
Le centre-ville aujourd’hui
SUMA s’avéra rapidement trop petit et, malgré des refus
d’installation qui finirent par se transformer en autorisa­
tions, les Dolois assistaient le 14 mai 1980 à l’ouverture
d’un Mammouth (Cédis) sur le port, à l’emplacement de
l’usine Lucco qui avait fermé ses portes en 1977. Embau­
chant les 63 personnes mises au chômage et quelque
90 autres, Cédis créait des emplois sur le port, au détri­
ment des petits magasins du centre­ville. Deux années
plus tard, le 12 mai, Cora ouvrait à Choisey. 155 emplois
étaient créés pour faire fonctionner ce magasin qui, pro­
gressivement, allait contribuer à la fermeture des épice­
ries et autres commerces qui, depuis toujours, animaient
la ville. Les vastes parkings ouverts furent dévastateurs,
alors qu’il devenait de plus en plus difficile de circuler
dans la ville. Le mouvement était ainsi lancé et d’autres
supermarchés suivirent : UGA, Intermarché… La nouvelle
zone des Epenottes fut créée en 1985. Des enseignes
s’installèrent, ainsi que des magasins discount. Aujour­
d’hui, elles naissent et meurent dans ces zones dites de
chalandise…
Des rues piétonnes ont été créées pour permettre aux
Dolois de “faire la ville” sans emprunter les vieux trot­
toirs étroits. Certes, elles accueillent les promeneurs par
beau temps. Aujourd’hui, pour une grande majorité de
personnes, qui dit “courses” dit supermarché. On se
rend en ville pour des démarches bien précises.
Quelques boutiques de vêtements, chaussures et autres
ont encore leur clientèle. Banques, opérateurs télépho­
niques, agences immobilières et de voyages, produits de
beauté, salons d’esthétique et de coiffure, et quelques
autres enseignes ont pris possession du centre­ville. Les
merceries, chapelleries et autres petits commerces
répandus autrefois se font rares. Même les librairies dis­
paraissent et pour cause ! Lire n’est plus un loisir. C’est
plus simple de regarder un écran et, pour les bibliophiles
qui aiment encore se plonger dans un bon ouvrage lit­
téraire, le louer à la médiathèque est moins onéreux,
même si posséder certains livres fait encore partie des
plaisirs que l’on peut offrir. Ainsi est appelée à dispa­
raître la librairie de Joël Vuillaume qui avait repris et
fusionné les librairies Laval et Jacques. Une supérette
Casino s’installera dans cet espace historique. Seule la
Passerelle de Philippe Thiéfaine demeurera sur la place
face à la sous­préfecture. Agrandie, elle offre un très
grand choix d’ouvrages de toutes sortes.
Les achats par internet font du dégât, mais on trouve
encore de tout dans cette belle cité de Pasteur, à condi­
tion de bien se chausser pour battre le pavé. Trois fois
chaque semaine, le marché couvert s’anime et la place
du général est couverte de camelots. Notre ami Albert
s’est vite habitué à la vie d’aujourd’hui. Il a repéré les
cafés et restaurants encore bien présents… on peut en
effet en dénombrer pas moins de 47 en ville.
Un siècle de vie doloise
Dans cet ouvrage en deux tomes,
Jacques Tétu évoque avec beaucoup
de détails et d’illustrations cet aspect
commercial de la ville de Dole.
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et grandes surfaces de la région doloise et chez l’éditeur
au 13 rue Alexandre Vialatte à Dole.
Jacques Tétu
DAMIEN BENETOT
Fidèle au poste depuis 1900
A la même adresse depuis les années 1900, la boutique Benetot
régale les petits et grands Dolois au 26 rue de Besançon. Une aventure que nous conte Damien Benetot l’actuel propriétaire de l’endroit : “Cela fait quatre générations qui se sont succédé à la boutique. Mes parents ont tenu le commerce
pendant plus de trente années, ensuite ils nous ont passé le flambeau en 2009. Mon père s’était spécialisé
dans la pâtisserie, nous avons gardé la tradition et avons développé des spécialités en chocolat et macarons. Nous avons même lancé une confiserie, une coque de nougatine avec une noisette entière et du praliné, appelé le 26B en hommage à notre adresse. Tout ce que j’espère au moins continuer autant de temps
que mes parents."
L’ancienne épicerie Hermann-Poux au cœur de la ville
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10
Comité des Vins du Jura
Jean-Charles Tissot reprend du service
Jean-Charles Tissot
succède à
Marie-Christine
Tarby à la
présidence
du Comité
Interprofessionnel
des Vins du Jura,
pour les deux
années à venir.
C’est son second
mandat.
Bien connu dans le milieu viticole jurassien, Jean­Charles
Tissot reprend les rênes de l’Interprofession des Vins du
Jura, après son premier mandat de 2009 à 2012. Un nou­
vel exercice qui lui permettra de mener à bien les dos­
siers initiés il y a quelques années. Parmi ses priorités, il
souhaite renforcer la notoriété des vins du Jura, en pas­
sant notamment par une nouvelle signalétique liée à l’œ­
notourisme : “Des structures artistiques mettront en
avant les quatre AOC géographiques” explique le viticul­
teur de Montigny­les­Arsures. “En plus, des panneaux
d’accueil matérialiseront les entrées des vignobles. C’est
plaisant de reprendre la main, car cela permet de voir
aboutir les dossiers”.
Pour consolider sa stratégie de communication, le
Comité devra nécessairement continuer de développer
les nouveaux outils digitaux, tels Facebook et blogs. “Un
E TAT C I V I L
NAISSANCES
Lila de Amaury GUILLEMIN et de
Amélie BILLEY, Abergement la Ronce
Victoria de Adrien PRUDENT et de
Angélique PY, Arbois
Maxence de Jacques CRINQUAND et
de Gaëlle RIBOT, Arbois
Hugo de Aurélien MORARD et de
Elodie BATOT, Arbois
Emile de Cédric RODRIGUES et Anne­
Cécile Valcher, Balaiseaux
Inès de David MOREIRA e de
Gwendoline KERAVEC, Baverans
Louise de Laurent MARCHANT et de
Merryl JACQUIN, Baverans
Maïa de Pierric LAPORTE et de Emilie
MOUCHOT, Brevans
Camille de Frédéric VARVARANDE et
de Angélique SALOMON, Champvans
Mathilde de Dimitri GUYOT et de
Estelle VALLEAU, Chaussin
Lorenzo de Damien VINCENT et de
Maud MONTUELLE, Chaussin
Inès de Sullyvan VAUTHEY et Vanessa
PIQUARD, Chaussin
Leyna de James LE BESCOP et de
Jessica RODRIGUES, Damparis
Leny de Sébastien PERNELLE et de
Djazia ROY, Damparis
Moana de Nicolas BOICHUT et
Gabrielle ROUSSET, Damparis
Lena de Emilien BONNOT et Elodie
KOZMIK, Damparis
Haroun de Lhoussaine SEKAK et de
Hava KÖKEN, Dole
Bella de Yohan CHANOIS et de Estelle
HOYMANS, Dole
Saona de Laurent COLAS et de Priscilla
CHEIKH BEN KADDOUR, Dole
Kamelya de Karim KHOFFI et Amelle
BRICK, Dole
Isaline et Stéphane de Frédéric
BERTHET et de Claire MAIGNAN, Dole
Tessa de Kujtim GJOKA t de Alketa
SEJDIA, Dole
Zeynep de Serkan ÖZDURAN et de
Nurhan DELICE, Dole
Quentin de Sylvain JEANNET et de
Anaïs SOSSAYA, Dole
Lili de Junichi IIDAA et de Naoko
AKIMOTO, Dole
Augustin de Antoine BINET et de
Delphine ARTAUD, Dole
Manel de Yassine OUFROUT et de
Prissie GUICHARD, Dole
ANNÉES DE SUIVI DES OISEAUX
AVEC LE PROGRAMME STOP-EPS
Les oiseaux et leurs populations font l’objet de suivis réguliers par des
ornithologues amateurs ou professionnels, structurés en réseaux. Les
espèces rares ou patrimoniales sont étudiées depuis longtemps, ce qui a
permis un comptage fin des effectifs en Franche-Comté. Les espèces
communes, plus abondantes et largement réparties sont de bons
indicateurs de l’état de conservation et du fonctionnement des milieux
naturels. Depuis 2001, la LPO Franche-Comté décline au niveau régional le
programme de Suivi temporel des oiseaux commun (STOC). Ce
programme permet d’obtenir des informations sur l’état de santé de ces
populations et des habitats qu’elles fréquentent. Afin de faire connaître le
programme STOC-EPS, principal suivi des espèces communes, la LPO
Franche-Comté vient de faire paraître une plaquette de sensibilisation a
ce programme. La plaquette est téléchargeable sur : http://goo.gl/wMfRa.
CHAUSSIN
INTER’VIL’STAGES SAUCE PLAINE JURASSIENNE
Le club de foot de Chaussin accueille depuis
quelques années déjà une animation estivale
de plus en plus appréciée. Encadrés par Gilles
Bugnon et une équipe de 7 animateurs qui se
distinguent par leur jeunesse et leur bénévolat,
ce sont un peu plus de 150 jeunes de 5 à 14 ans
qui ont eu la joie de découvrir le sport et les
jeux plein air sous toutes ses formes avec des
nouveautés au programme de cette saison
comme Fort Boyard ou une chasse aux trésors.
site ne peut plus suffire” continue Jean­Charles Tissot. “Reste aujour­
d’hui à convaincre les vignerons et les négociants de s’emparer de ces
technologies. Le but est d’avoir à terme un bon noyau qui y contribue
et s’en sert”. Lancée en mai dernier, la page Facebook compte aujour­
d’hui plus de 1200 mentions “J’aime”.
L’export à développer
Pour attirer de nouveaux consommateurs, le nouveau président des
Vins du Jura misera sur sa stratégie globale : “On trouve toujours un vin
à son goût dans le Jura”. Si les vins rouges sont plus à la peine, le Cré­
mant du Jura reste une valeur sûre : reconnu au­delà des frontières du
département, il représente 55 % des vins exportés. Les actions menées
à l’export seront d’ailleurs aussi renforcées, via une réorganisation de
la mission export vers les USA et Londres. Un programme précis sera
établi pour les trois prochaines années, en parallèle d’actions plus
ponctuelles à Londres.
C.G.
Aïcha de Nourredine ABDELLI et de
Fatima SACI, Dole
Thyméo de Jonathan BALAND et de
Gwendoline VERJUS, Dole
Thibault de Benoît GASTALDELLO et
de Marion GINESTET, Dole
Ishaq de Abdellah KLILI et de Soumia
CHOUKROU­ALLAH, Dole
Sirine de Ferhat BOUKHELOUT et de
Souad DIOUANE, Dole
Nadir de Mohammed OUHMID et de
Houria AÏT BBA, Dole
Enis de Selami ZECIROVIC et de Florije
SADIKU, Dole
Amir de Suvad DURAKOVIC et de
Nadia EL MEZOUGHI, Dole
Mathéïs de Oussou AFFRIEE et de
Isabelle LE GOFF, Dole
Anaïs de Jean­Sébastien FOURNIER et
de Carole PEDRONETTO, Dole
Shérine de Younes ENIL et Najia
AOUSSIF, Dole
Adina de Hamdija HUSIC et Selma
SELIMOVIC, Dole
Achille de Mayeul ALBA­FOUILLE et
Eglantine COLIN, Dole
Arman de Gürkan ÖZDEMIR et de
Melek GORAL, Dole
Aïwen de Alexandre ODOBEZ et de
Cécile BOUILLERET, Dole
Éloane de Michaël BARBE et de Alicia
LAURENT, Dole
Manon de Julien BEAUVAIS et
Stéphanie MAGNIEN, Eclans­Nenon
Anaïs de Ludovic MIGNE et de Emilie
MENOUILLARD, Foucherans
Klélya de Alexandre BONGAIN et
Sandrine LAURENT, Foucherans
Kaïs de Ibrahim DIALLO et Malia
MOKHTARI, Foucherans
Timéo de Alexandre GRIMAUD et de
Sandrine FORESTIER, Foucherans
Antoine de Marc BARRAUX et de
Elodie GOSSOT, Gevry
Alice de Sylvain MARANDET et de
Aurélie PARLA, Grozon
Axel de Fabien GILLOT et de Stéphanie
LAUBIER, Jouhe
Cassandra de Anthony ETHEVENON
et de Jessica FAYE, La Bretenière
Louca de Gaëtan SORNAY et de
Morgane SABOT, Lavans les Dole
Marius de Alexandre VERPEAUX et de
Julie LEGORGEU, Les Hays
Luis de Jérémy GALLOT et Elise
BRULEBOIS, Longwy­sur­le­Doubs
Baptiste de Christophe DUFOUR et de
Anne DUHAUPAND, Malange
Lorette de Mathieu BARBARIN et Elfi
FARGEAS, Malange
Mila de Emmanuel SPITERI et de
Gaëlle MOREAU, Molay
Cléo de Julien PERRET et de Aurélie
DELORME, Mont sous Vaudrey
Louciann de William GOSSARD et de
Florence GROSS, Mont­sous­Vaudrey
Naoufal et Zakaria de Ahmed BENADDI
et de Hagar ZARZOURI, Montbarrey
Juliette de Jean­Baptiste JOUVELOT et
de Fanny DURAND, Mutigney
Léo de Thierry MOUGEL et Adeline
HUMBLOT, Neublans­Abergement
Maëlle de Alexandre PETIT e de
Caroline TIGNOLET, Offlanges
Capucine de Alexandre DUTHEIL et de
Joanna OETTINGER, Orchamps
Tom de Alexandre LEBRASSEUR et de
Amandine PERNOT, Orchamps
Sarah de Ludovic SAPIN et de
Stéphanie NOBLOT, Ougney
Noé de Nicolas BRENIÈRE et de Marie
DUPIRE, Ounans
Léonie de Matthieu CÊTRE et de
Florine DUGOURD, Parcey
Noé de Benjamin PILLOT et de Anaïs
FROMONT, Parcey
Soren de Tony DELVAL et de Anne­
Françoise BRUAND, Parcey
Victor de Bruno BOUCQUAERT et de
Déborah LINCLAU, Petit­Noir
LA RÉNOVATION DU COLLÈGE SE POURSUIT
Après avoir rénové les façades extérieures, le
Conseil général effectue des travaux de
rénovation à l’intérieur des bâtiments du
collège de Chaussin : réaménagement des
deux logements de fonction et
aménagement d’un Centre de
documentation et d’information dans
l’ancien préau intérieur, pour un montant de
Lyloo de Jordan BOYET et de Claudine
DESCHAMPS, Petit­Noir
Mia de Mohammed DELAGNEAU et
Priscilla COELHO, Petit­noir
Paul de Matthieu MOREAU et
Sandrine LEROY, Petit­Noir
Yann de Damien LOYER et de Laetitia
SEPREZ, Pleure
Mayssa de Jean­Baptiste FRANÇOIS et
de Fatima LANAYA, Saint­Aubin
Maëlys de Nicolas ROY et de Béatrice
TOURY, Saint­Aubin
Pierre de Gaël CHAPOUTOT et de
Caroline LACAILLE, Saint­Loup
Alonso de Emmanuel DE OLIVEIRA et
de Anabela DA COSTA, Sampans
Marine de Cédric JEANNEAUX et de
Aude SALET, Santans
Léa de Sébastien BENNETON et de
Kelly CHAMPLITTE, Souvans
Juliette de Pierre GUILLAUME et de
Charline LUCASELLI, Tavaux
Manoa de Manuel SOMMIER­HAMBLIN
SERRETTE et Martine SERRETTE, Tavaux
Gabin de Matthieu CHMIDLIN et de
Angélique BEGIN, Tavaux
Lalie de Alex DEGAY et de Frédérique
BURATTO, Vaudrey
Lenzo de André VELLETTA et de Nora
TREFF, Vaudrey
Emmy de Steeve CULEMBOURG et de
Céline PYANET, Villers­Robert
Antoine de Alexande FAUDOT et de
Emilie TOLLÉ, Vriange
390 000 euros. Cette première opération
sera suivie l’année prochaine de la
rénovation des bureaux administratifs et de
la salle des professeurs, avant de pouvoir
dans un troisième temps construire un
préau extérieur et des sanitaires reliés
directement à ce préau et à la cour de
récréation.
Georges VIVET, Dole, 82 ans
Jeanne PANNAUX veuve ISARTE, Dole,
94 ans
Yves ROUSSET, Dole, 89 ans
Janine JEANNISSON, Dole, 85 ans
Monique HUGOT veuve LESCALIER,
DÉCÈS
78 ans
Charlotte COUDERT, Authume, 94 ans Dole,
Robert EMARD, Dole, 56 ans
Xavier GUICHARD, Authume, 85 ans
Marc VIAL, Dole, 67 ans
Germaine GRIMAUD veuve BULLIER,
André JACQUES, Dole, 87 ans
Champdivers, 91 ans
Fernand DUGAND, Dole, 67 ans
François FRÈVILLE, Champvans, 66 ans Jacques LANAUD, Dole, 75 ans
Jeanne FERRY, Champvans, 94 ans
Claude MOUILLARD, Dole, 67 ans
Jacques VITALI, Chatelay, 72 ans
Delphine PATEL, Dole, 39 ans
Renée SALEZ veuve DAUTUN,
Eliane LAGÉ, Dole, 75 ans
Chaussin, 101 ans
Liliane CORNE VEUVE VADANT, Dole,
Joseph PESSÉ­GIROD, Chaussin, 85 ans 82 ans
Louis GRAS, Chaussin, 92 ans
Maurice GARDIEN, Dole, 78 ans
Alain GUILLE, Chaussin, 66 ans
Jean­Sébastien THÉVENARD, Dole, 41 ans
Colette ROYET veuve CLER, Chaussin, Roger FANTÉ, Dole, 91 ans
85 ans
Marie JET veuve DÉGOUILLE, Dole, 89 ans
Robert VAUCHEREY, Crissey, 93 ans
Lucienne TISSOT, Dole, 88 ans
Claude BOITET, Damparis, 70 ans
Marie­Line BERT, Dole, 34 ans
Antonio CEBALLOS CAMPOS, Damparis, André GIBOUDEAUX, Dole, 63 ans
90 ans
Suzanne BUGUET, Dole, 94 ans
Raymonde COINCENOT veuve
Medjia KANE, Dole, 31 ans
ROLLAND, Dampierre, 91 ans
Simone FANKHAUSER veuve JEANDOT,
Madeleine FAIVRE épouse SUREAU,
Dole, 93 ans
Dampierre, 88 ans
Jean DECUREY, Dole, 70 ans
Louis GIBOUT, Dole, 83 ans
Berthe LOMBARD, Dole, 89 ans
Pierre LADANT, Dole, 74 ans
Denise DUPUIS veuve SARAS, Dole, 93 ans
Henri TOURNIER, Dole, 73 ans
Gisèle COULON épouse FOURNIER,
Foucherans, 89 ans
Henri CABUT, Foucherans, 88 ans
Yvonne BEAUMONT veuve DÉCUREY,
Fraisans, 96 ans
Isabelle PARIS veuve LHÉRITIER,
Grozon, 96 ans
Paulette ZOANI épouse CUBY, La Ferté,
78 ans
Jeanne GUYÉNOT veuve CAMUSET, La
Loye, 89 ans
Marcel PROST, Moissey, 89 ans
Pierre CARON, Ounans, 67 ans
Michel CHANCENOTTE, Parcey, 69 ans
Michel SAUDÉ, Petit­Noir, 76 ans
Marie­Louise ROUHARD veuve
BAUDET, Pleure, 93 ans
Maurice BOURGES, Rahon, 79 ans
Émile JUILLET, Rouffange, 86 ans
René REGAD, Sampans, 86 ans
Marguerite GANTER épouse GENTEL,
Tavaux, 84 ans
Geneviève RENAUD veuve ANDRE,
Tavaux, 89 ans
René MARÉCHAL, Thervay, 82 ans
Stéphania DALKA veuve FAVIERA,
Thervay, 88 ans
POMPES FUNÈBRES TANIER
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BR
È
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FU
ES
MP
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P
POUR UNE AUTRE APPROCHE
DU RECUEILLEMENT ET DES OBSÈQUES
Funérariums
ARBOIS
03 84 37 50 89
Pays Dolois n°152 - Sept. 2013
DOLE
03 84 71 71 71
Les Pompes Funèbres TANIER sont à votre écoute avec une assistance 7j/7j et 24h/24h
POLIGNY
03 84 37 14 94
TAVAUX
03 84 80 06 05
ASNANS
03 84 81 79 11
Mont s/s VAUDREY
03 84 81 50 21
11
Pays Dolois n°152 - Sept. 2013
Finalistes du concours CSO
le 25 août 2013
I Publirédactionnel
www.ecuriedelapetitefee.com
22 septembre
Journée du cheval
29 septembre
Concours de CSO, HUNTER
6 octobre
de la
Petite Fée
le Pays de Cocagne des chevaux !
Idéalement située aux confins de Souvans, l’écurie de la Petite Fée est entourée de vastes prairies et se loge dans un écrin
de verdure. Le personnel de qualité assure toute l’année les cours et le travail des chevaux de propriétaires.
Située au cœur du Val d’Amour, l’écurie de la Petite
Fée est un véritable palace pour tous les équidés !
La structure vous accueille dans une ambiance
conviviale et professionnelle, que ce soit pour la
pension de chevaux ou les cours pour adultes ou
enfants. A deux encablures de la Loue et de la forêt
de Chaux dans une nature préservée, les installa­
tions proposent 24 boxes de 4 X 3, deux carrières
(60 X 40 m et 30 X 40 m),
un rond de longe, de
nombreux paddocks
et 10 ha de prés atte­
nants. Ces boxes
spacieux assurent un
confort sans commune
mesure pour nos compagnons de tous crins qui
sont entourés par des professionnels à leur service.
Les chevaux sont sortis tous les jours et reçoivent
les soins quotidiennement. Logés sur place, les
maîtres des lieux, Sylvie et Michel Bailly assurent
une surveillance permanente des occupants à qua­
tre pattes, sept jours sur sept et toute l’année. Ils
projettent d’ailleurs d’équiper les installations de la
vidéo surveillance pour l’hiver afin de garantir des
conditions d’hébergement optimales aux proprié­
taires. A deux pas du manège, les deux carrières
proposent un terrain de qualité pour le plus grand
bonheur des cavaliers et de leur monture ainsi
qu’un solarium pour les chevaux. Un gage de qua­
lité pour les cavaliers de haut niveau qui reviennent
régulièrement participer à différents concours !
Des cours toute l’année
En parallèle de la pension de chevaux, l’équipe pro­
pose des cours toute l’année pour cavaliers
débutants ou confirmés, adultes ou enfants (dès
3 ans avec le baby poney). Les amazones s’attachent
à faire découvrir la pratique via des intervenants de
tout horizon : cavaliers professionnels, juge dres­
sage, champion de voltige… “Pour montrer
l’équitation sous toutes ses facettes” glisse Sylvie
Bailly, soucieuse d’enseigner un sport qui ne se limite
pas à une seule discipline. Chaque vacances, une
pléiade d’animations sont proposées à tous, même
aux non­licenciés.
9 rue de Salins - 39380 Souvans - Tél. 03 84 80 00 40 - 06 80 30 69 38
Pensez à vous inscrire
maintenant pour
nos cours et stages !
Pension de chevaux
Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays Dolois n°152
L’écurie
Concours de Dressage
12
Pays Dolois n°152 - Sept. 2013
Consommer autrement !
Implanté depuis plus de 25 années sur le bassin dolois, l’enseigne
Réponse Nature sensibilise ses clients à l’alimentation biologique.
Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays Dolois n° 152
I Publirédactionnel
BIOCOOP Réponse Nature sélectionne rigoureusement
des produits issus de l’agriculture biologique, mais
aussi du commerce équitable afin d’offrir un choix très
étendu d’écoproduits et de cosmétiques labélisés.
Formée tout au long de l’année, l’équipe de l’enseigne
est là pour vous conseiller au gré des saisons et de
votre budget pour vous permettre de consommer dif­
féremment tout en respectant la planète.
BIOCOOP
Depuis quatre ans, Réponse Nature bénéficie de l’ex­
périence et de la notoriété de BIOCOOP : le pilier
français de la distribution alimentaire biologique.
En intégrant le réseau Biocoop, les clients ont l’assu­
rance de bénéficier d’une Bio d’excellence. La qualité
d’une bio plus rigoureuse est visible, tant sur la compo­
sition des produits – qui vont bien au­delà des cahiers
des charges de l’Agriculture Biologique – que sur la
réduction des emballages, que sur les conditions d’éle­
vage et une rémunération honnête de ses fournisseurs.
De cette manière, l’établissement œuvre pour l’écono­
mie agricole doloise Bio en privilégiant les producteurs
et les coopératives locales.
Un achat chez Réponse Nature, c’est l’assurance d’une
traçabilité et du respect de l’environnement aussi bien
dans la production que dans l’acheminement des pro­
duits à l’étalage.
Magasin d’alimentation biologique et écoproduits
“ Notre biocoop est bien plus
qu’un simple magasin
de distribution de produits bio !
Située à quelques pas du
centre­ville, c’est un magasin
de proximité qui allie choix
et qualité des produits Biocoop,
conseil et convivialité. Réponse
Nature est aussi un lieu
d’échanges dans lequel nous
faisons se rencontrer consomma­
teurs, produits et producteurs
locaux. Nous portons et
partageons les valeurs, les
engagements du réseau : le
développement de l’agriculture
biologique et le développement
de la bio en France ! ”
Une partie de l’équipe
de Biocoop Réponse Nature
L’équipe de Réponse Nature.
Pour nous un produit local est cultivé
ou fabriqué dans le département,
ou les départements limitrophes
de notre Biocoop.
Horaires d’ouverture : Le lundi 14 h -19 h
L’EARL Les Maraîchers du Val d’Amour, producteurs
en Agriculture Biologique pour Réponse Nature
Mardi au vendredi 9 h 30 - 19 h et samedi 9 h 30 - 18 h
Réponse Nature - 65 avenue Eisenhower - 39100 DOLE - Tél. 03 84 82 11 29
I Publirédactionnel
Artisans à domicile
Travaux de jardinage
Petits travaux
de bricolage
Affiliée à la Fédération française des coopé­
ratives et groupement d’artisans (FFCGA), en
2008 Artisans à domicile a été la première
coopérative artisanale de “Services à la per­
sonne” de France agréée par les services
de l’Etat. Un indispensable sésame qui lui a
été renouvelé cette année par la Direction
régionale des entreprises, de la concurrence,
de la consommation, du travail et de l’emploi
(DIRECCTE) et qui lui est désormais définiti­
vement acquis. Créé à Lons­le­Saunier le
18 avril 2008 avec 14 artisans, ce groupement
de professionnels émérites, qui vient de fêter
son cinquième anniversaire, compte désor­
mais 49 entreprises adhérentes réparties ça
et là un peu partout dans le département.
Fruit de la collaboration active engagée par la
Chambre des métiers et de l’artisanat du Jura,
par des artisans jurassiens soucieux de faire
bénéficier d’avantages fiscaux à leur clientèle,
la FFCGA et l’ex­Direction départemen­
tale du travail, Artisans à
domicile intervient
Artisans à Domicile ­ JURA
17, rue Jules Bury
39000 LONSLESAUNIER
dans quatre domaines distincts : l’entretien
des parcs et jardins, le petit bricolage, l’assis­
tance, l’installation et le dépannage
informatique, et le nettoyage domestique à
destination des particuliers. S’appuyant sur
une gestion administrative centralisée et effi­
cacement organisée, la structure peut faire
valoir une complémentarité de compétences,
une réactivité optimale due à sa proximité
avec les donneurs d’ordre, des savoir­faire
reconnus, une pratique quotidienne basée
sur la discrétion des interventions et
l’application au quotidien d’une charte déon­
tologique qualitative sans faille qui séduisent
une clientèle chaque jour plus importante.
Car n’intègre pas le réseau Artisans à domi­
cile qui veut : les professionnels qualifiés
candidats à l’intégration au sein de la coopé­
rative doivent au préalable montrer patte
blanche et justifier a minima de trois ans
d’inscription à la Chambre de Métiers et/ou
au registre du commerce. Au surplus, toutes
les prestations effectuées par les artisans
coopérateurs ouvrent droit à des réductions
ou des crédits d’impôts et peuvent être
réglées par chèque bancaire et postal ou
au moyen de chèque emploi service (CESU)
préfinancés. Solidement implanté dans le
département, où ses compétences sont una­
nimement reconnues (selon les résultats
d’une enquête diligentée par ses soins auprès
de ses clients, la coopérative recueille un taux
de satisfaction de 99 %), le groupement
dispose d’un site Intranet qui concoure à
optimiser les relations clients­coopérateurs.
Par ce biais, Artisans à domicile délivre devis,
factures et autres attestations fiscales, rédui­
sant ainsi les coûts de fonctionnement liés
à l’activité. Des économies répercutées au
bénéfice de la clientèle sur des tarifs déjà
particulièrement attractifs et qui soulignent
si besoin était le caractère innovant d’une
entreprise mutualiste qui fait de l’excellence
son exigence. En 2012, La coopérative a reçu
le Prix Régional “Stars et Métiers” dans
la catégorie stratégie globale d’innovation,
concours organisé par la BPBFC.
Tél. : 03 84 35 87 25
[email protected]
Travaux
ménagers
Assistance
informatique
Vos petits travaux à domicile
et services à la personne effectués
par des artisans qualifiés
www.artisansadomicilejura.fr
Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays Dolois n°152
l’exigence de l’excellence
Septembre 2013
lois
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Hors-s
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AUT
BORNES DE RECHARGE
Voitures électriques
Poligny candidate
Les bornes de recharge pour véhicules électriques pourraient bientôt se multiplier
en Franche-Comté. Poligny et Champagnole se sont portées villes candidates.
La préfecture de région vient d’initier un plan
de développement de ces bornes. Dans le
Jura, les villes de Poligny et Champagnole ont
déposé leur candidature.
C’est au printemps dernier que ce plan de déve­
loppement pour les communes de plus de
3 500 habitants a été lancé par la préfecture de
région. La mairie de Poligny a saisi l’occasion :
“Nous avons tout de suite été intéressés”
explique Dominique Bonnet, le maire de la
commune, qui a déjà acquis deux véhicules
électriques pour ses services techniques. “Je
suis sensible à ce nouveau type de véhicules et
nous souhaitons inciter les Polinois à s’équiper”.
Pour l’heure, une phase de consultation auprès
des équipementiers pour un achat groupé est
en cours et devrait se finir en octobre. La muni­
cipalité envisage d’installer deux bornes : une
sur le Champ de Foire, au cœur de la ville, et
une seconde Route de Dole, à proximité de la
zone commerciale et industrielle. Ces bornes
offriront trois possibilités de recharge : lente, de
cinq à six heures, pour une recharge complète
de la batterie, médiane de deux à trois heures
pour une recharge partielle, et rapide d’une
heure. Si la préfecture de région est à l’origine
de cette démarche collective, charge sera aux
communes de financer l’installation des bornes.
“Entre 8 000 et 10 000 euros par borne, sans
compter une éventuelle réduction pour un
achat groupé” annonce le maire. Quant au coût
de l’énergie, il devrait être également en partie
à la charge de la mairie : “Nous pensons démar­
rer gratuitement, ou à très bas coût”. Si la
démarche aboutit, les bornes pourraient être
C.G.
installées au printemps 2014.
LES MÉCANIQUES D’EXCEPTION
MÉRITENT UNE ATTENTION PARTICULIÈRE…
NOUS VOUS PROPOSONS
L’EXCELLENCE BMW AU MEILLEUR PRIX…
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2
Hors-série septembre 2013 -
Pays Dolois
Dole
EXPRESS
AUTO
BIENTÔT, L’APPEL AU SECOURS
AUTOMATIQUE
D’ici 2015, tous les véhicules seront équipés
d’un bouton SOS pour appeler les secours
en cas de malaise ou d’accident. On estime
que 2 500 vies pourraient être épargnées
chaque année grâce au dispositif “e-call”. Il
s’agit d’un équipement intégré au véhicule, capable d’appeler tout seul les secours
en cas de détection d’un accident grave. Ce
sont des capteurs embarqués qui enregistrent la survenue d’un accident, par exemple grâce au déclenchement de l’airbag.
NOSTALGIE
UN TOUR DE FRANCE
DE VOITURES ANCIENNES
DE PASSAGE À DOLE
Le club de voitures anciennes Panhard &
Levasseur organisait à l’occasion de ses
40 ans un tour de France au volant de voitures d’époque durant la dernière quinzaine du mois de juillet. Le 15 juillet dernier,
ils ont fait étape à Dole... Quatre Jurassiens
dont le dolois René Guédet y participaient.
Les membres du Old cars club ont accueilli
les participants autour d’un apéritif. C’est
également le Old cars Club qui a organisé
le 7 et 8 septembre dernier la 16e édition
des “Routes du Jura”.
Le carrefour
des
Epenottes
enfin
aménagé
Démarrés en juin, les travaux du carrefour des Epenottes s’achèveront en novembre
pour laisser place à un rond-point.
Ce dossier était un véritable serpent de mer. On en parlait depuis longtemps, mais les travaux promis restaient de vains mots. Le
chantier est aujourd’hui concret puisqu’il a débuté en juin dernier. Il consiste à remplacer l’ancien carrefour à feux, dangereux et
souvent encombré, par un giratoire. Cette opération devrait permettre d’améliorer la fluidité du trafic ainsi que la sécurité. Le projet
est financé par le Conseil général du Jura à hauteur de 1,2 million d’euros.
Parallèlement à ces travaux, la ville de Dole a souhaité réaménager l’avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny, afin d’offrir une
entrée de ville sécurisée et agréable. Le Conseil général, propriétaire initiale de cette avenue, a rétrocédé la voie à la ville de Dole,
après avoir réalisé un nouveau revêtement. Les services techniques de la ville ont pu par la suite entamer les travaux de réseaux
et d’éclairage. Trois giratoires devraient également voir le jour, permettant de réduire la vitesse et faciliter l’accès en ville. Enfin, une
piste cyclable est en cours d’aménagement sur cette même avenue, partant du rond­point des Epenottes, jusqu’à la Chambre de
Commerce et d’Industrie, au début de la rue Louis de la Verne. Ces travaux devraient être également terminés en novembre, à
l’instar du giratoire des Epenottes.
Intermédiaire en Opérations de Banque spécialisé en regroupement de crédits
I Publirédactionnel
Lors de notre précédente rencontre avec
Guy Bellefoy, gérant du cabinet Idésia à
Damparis, ce dernier nous avait éclairés sur
un métier mal connu. Depuis huit ans, cet
Intermédiaire en Opérations de banque spécialisé en regroupement de crédits, apporte
des solutions adaptées aux ménages, là où
les établissements bancaires traditionnels
ne répondent pas toujours présents.
Véritable relais entre l’institution bancaire, et le client,
Idésia et ses équipes proposent des formules adaptées
aux ménages, parfois confrontés à des situations finan­
cières extrêmement délicates : endettement, accidents de
la vie, dépenses inattendues, fins de mois difficiles…
Depuis cette rencontre, les choses ont évolué : la profes­
sion est désormais reconnue à sa juste valeur. Le nouveau
décret concernant les statuts des intermédiaires en opé­
rations de banque, voté en janvier 2012 et applicable
depuis janvier 2013, impose de nouvelles obligations pour
exercer notre activité. Idésia répond à toutes ces obliga­
tions : notre cabinet est inscrit à l’Orias, organisme recen­
sant tous les intermédiaires en opérations de banque et
chargé de contrôler la bonne qualification de chacun d’en­
tre nous. La garantie pour le consommateur d’avoir en
face de lui un professionnel éclairé à son écoute.
Oui, le premier réflexe reste Internet. Mais face à la
complexité du montage des dossiers et l’offre plétho­
rique recensée sur la Toile, beaucoup n’ont pas trouvé
satisfaction. Certains me disent : “On a essayé Internet,
mais on a loupé”. Nos clients ont besoin d’un accom­
pagnement, on ne peut pas faire un bon regroupement
de crédits de la même façon que l’on commande une
paire de chaussure !
Points et perspectives avec Guy Bellefoy :
Mais n’est­ce pas le rôle des banques d’orienter les
clients vers vous ?
Si, mais elles ne font pas systématiquement la démarche.
Guy Bellefoy, lors de notre dernière rencontre, vous
nous aviez présenté votre métier. Cela a­t­il permis de
démystifier une profession méconnue ?
Oui, de nombreuses personnes m’ont contacté suite à
cette interview. Beaucoup de foyers sont demandeurs et
ont des besoins. Nous ne pouvons pas vivre à contre­cou­
rant de la société, puisque la société elle­même dans sa
globalité s’endette, les nations comme les particuliers.
Mais vous n’êtes pas le seul sur le marché à proposer
des services de regroupement de crédits…
Sous­entendez­vous que les banques ne font pas
correctement leur métier ?
Non, il n’y a pas de bonnes ou de mauvaises banques.
Elles ont des orientations différentes et des obliga­
tions internes. En fait beaucoup connaissent très mal
notre profession et n’ont malheureusement pas le
réflexe de se diriger vers un regroupement de crédits
ou l’ont un peu trop tardivement. Pour le client : c’est
Guy Bellefoy, responsable Idésia pour le Jura et le Doubs
bien dommage, car quelque fois, lorsqu’ils nous
demandent d’intervenir, il est trop tard, toutefois c’est
aussi a lui d’anticiper.
Qu’est­ce qui fait la marque de fabrique d’un bon
banquier / Intermédiaire en Opérations de banque ?
Il sait apporter de l’humanité dans la relation, il comprend
la situation, n’attend pas le dernier moment pour interve­
nir, et, à l’image de mes collaborateurs qui ont un devoir
de conseil, se déplacent au domicile des clients pour ana­
lyser la situation, prennent le temps de discuter, font un
projet d’avenir avec eux. Pour notre activité, nous sommes
avant tout des spécialistes du regroupement de crédits,
nous ne faisons que cela, sans nous perdre dans la com­
mercialisation de multiples autres produits.
Que direz­vous en conclusion à nos lecteurs ?
N’hésitez pas, anticipez, posez vos questions. Il y a souvent
des solutions et il est très dommageable de passer a coté.
N’attendez pas qu’il soit trop tard. Contactez­nous.
Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.
SARL SACOLIN (Société indépendante franchisée au réseau Idésia) – Intermédiaire en opérations de banque, travaillant sans exclusivité – 9, rue des Cosaques – 39500 DAMPARIS – RCS LONS LE SAUNIER 507 459 170 – Code APE 6619B – n° Orias : 13002908 – www.orias.fr.
Sous le contrôle de l’ACP (Autorité de Contrôle Prudentiel) – 61, rue Taitbout 75009 PARIS – Assurance de Responsabilité Civile Professionnelle conforme à la législation des IOBSP – Service Réclamation : 9, square de Liège 54500 VANDOEUVRE­LES­NANCY.
Idésia - 9 rue des Cosaques - 39500 Damparis - Tél. 09 62 18 81 49 - www.idesia.fr
Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays Dolois n°152
Le spécialiste en regroupement de crédits
du bassin dolois
3
Pays Dolois - Hors-série septembre 2013
PRESENTATION
Fiat 500L
Trekking
En attendant la 500X…
Pour combler l’absence d’un SUV dans sa gamme, Fiat dote sa 500L d’une finition Trekking
mijotée à la sauce baroudeur. C’est un peu juste pour transformer le minispace italien en véhicule tout terrain, mais suffisant pour lui permettre de faire illusion et ainsi coller à la tendance.
Pour marquer d’emblée sa différence avec le reste de la
gamme 500L, la 500L Trekking adopte deux nouvelles
selleries Bi­Color : gris avec inserts en simili cuir chocolat
pour une ambiance tout­terrain ou noir avec inserts
blanc en simili cuir dans un style chic. Apposé au som­
met du dossier des sièges avant, un logo 500 ajoute un
soupçon de caractère supplémentaire tandis que la
planche de bord se pare d’une peinture effet laqué
assortie au coloris extérieur.
Pour le reste, la 500L Trekking reprend, point par point, les
qualités intrinsèques de la 500L, à commencer par son
habitabilité digne d’un mini monospace compact, mais
elle n’en conserve pas moins un gabarit réduit (4,27 x 1,80
x 1,68 m). Fort d’un empattement conséquent (2,61 m), le
multispace Fiat peut accueillir confortablement cinq pas­
sagers et leurs bagages. Le coffre, dont le volume varie de
343 à 400 litres grâce à la banquette arrière coulissante,
rivalise avec celui d’une berline compacte. Il bénéfi cie en
outre d’un accès aisé par un grand hayon, d’une plage
arrière rigide réglable sur trois niveaux. Par ailleurs, le
Cargo Magic Space permet de séparer objets lourds ou
fragiles, sales ou propres, secs ou mouillés.
155, AV. EISENHOWER - DOLE - 03 84 82 19 01
COLIN
FRERES
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Vie à bord
Fiat des villes et Fiat des champs
La 500L Trekking hérite également de la modularité de son
aînée. Ses sièges arrière coulissent sur dix centimètres et
se rabattent séparément. On peut ainsi jouer, à l’envi, sur
le volume de chargement. De plus, la fonction Fold &
Tumble facilite le rabattement des dossiers et des assises.
Il suffit d’une main pour transformer l’espace arrière en
une vaste soute au plancher plat. A l’avant, le dossier du
siège passager se rabat pour assurer le transport d’objets
longs, jusqu’à 2,40 m. On dénombre au total 1 500 confi­
gurations d’aménagement différentes.
Toujours plus connecté
Un parfum d’évasion
Conçue pour les amateurs d’activités sportives et de plein air, la nou­
velle Fiat 500L Trekking enfile la tenue du parfait baroudeur. Grâce à des
attributs esthétiques spécifiques lui conférant une véritable identité de
crossover urbain, elle se distingue, au premier coup d’œil, du reste de
la gamme 500L. Plus longue (+12 cm), plus large (+1,6 cm) et plus haute
(+1,3 cm), la 500L Trekking gagne en assise et en stature.
Un look résolument moderne en phase
avec sa vocation de crossover urbain
Pour parfaire son style décalé, la 500L Trekking chausse de nouvelles
jantes en alliage Bi­Color de 17 pouces, sur lesquelles sont montés des
pneus M+S, dits snowflake (flocon de neige), chargés d’optimiser la
tenue de route sur revêtement dégradé. Disponible en 7 coloris (4 pas­
tels et 3 métallisés), la 500L Trekking se décline en 17 combinaisons de
couleurs différentes dont un nouveau jaune soleil que l’on peut assortir
à un toit blanc ou noir. Les designers du Centro Stile Fiat sont ainsi par­
venus à concevoir une automobile attachante à la personnalité propre.
Situé au centre de la planche de bord, à la portée du
conducteur et de son passager, l’écran tactile (5 pouces)
reçoit le système UConnect de dernière génération per­
mettant la gestion, sans fil, de l’ensemble des contenus
médias présents dans le véhicule (navigation, radio, télé­
phone, mediaplayer, i­Pod…). Le conducteur peut écouter
la radio ou ses musiques préférées via son smartphone,
téléphoner ou écouter ses sms sans retirer les mains du
volant avec la fonction reconnaissance vocale. Parmi ses
développements futurs, cet interface convivial promet,
notamment, une connexion simple et rapide à Internet
afin de maintenir le contact avec ses proches via Facebook
ou Twitter.
Sur la route
Plus de motricité pour élargir l’horizon
Malgré son look de baroudeur, la Fiat 500L Trekking n’as­
pire pas au franchissement. Elle bénéficie cependant d’un
système de motricité renforcée grâce auquel elle est capa­
ble de s’extirper de situations très délicates avec la dexté­
rité d’un 4x4. Tel un contrôle de la traction, le dispositif
“Traction+” intervient sur le circuit de freinage pour optimiser la
motricité. Il simule électroniquement le comportement d’un différen­
tiel autobloquant électromécanique, mais il intervient de manière
plus modulée. Il est aussi plus léger et coûte moins cher qu’un
système 4x4 classique. Activable par un bouton situé au pied du
levier de vitesses, il fonctionne jusqu’à 30 km/h.
En termes de tarifs
Ouverte à la commande depuis le 7 juin, la Fiat 500L Trekking donne
le choix parmi quatre motorisations (2 moteurs essence et 2 blocs
Diesel), dix­sept combinaisons de couleurs de carrosserie incluant
deux teintes de toit (noir ou blanc) et cinq types de jantes alliage
(17 pouces ou 16 pouces chaînables). Au total, 210 combinaisons
sont possibles. En termes de tarif, il convient de retenir que :
­ La 500L Trekking débute à 18 950 €, soit le prix de la 500L Lounge
à motorisation équivalente.
­ Les versions Diesel varient de 21 050 € (85 ch) à 22 050 € (105 ch).
­ Avec les options pack confort (650 €) et le toit vitré panoramique
(800 €), la 500L Trekking dispose de la même dotation qu’une 500L
Lounge, sans compter son design de crossover urbain, ses équipements
spécifiques comme le système “Traction+” ou les jantes de 17 pouces.
4
Hors-série septembre 2013 -
Pays Dolois
€
90 000
UN RADAR
PÉDAGOGIQUE
VOLÉ EN
NORMANDIE
INSOLITE
IL CHANGE UNE ROUE
ET PERD 90 000 EUROS
On a déjà vu des radars automatiques
vandalisés. Mais les nouveaux radars
pédagogiques y passent aussi.
Depuis l’année dernière, le gouvernement
a multiplié les radars pédagogiques sur
les routes et autoroutes françaises, où ils
remplacent souvent les panneaux
annonçant les radars fixes. C’est l’un de
ces radars pédagogiques qui vient de subir
une fin brutale en Normandie, à l’entrée
de la commune d’Angiens sur la route
départementale 37. Dans la nuit du
premier mars, le radar pédagogique a été
démonté de son emplacement et déplacé
dans un autre endroit, où les voleurs ont
récupéré ses éléments comme le panneau
solaire. Ils ont ensuite laissé le mât du
radar sur place. Un geste étonnant qu’on
ne devra sans doute pas mettre sur le
compte d’un révolté des radars fixes,
puisque l’ablation d’un radar pédagogique
rend forcément plus facile le fait de se faire
surprendre par un radar fixe. Une chose est
sûre, le montant du préjudice est estimé à
environ 3 500 euros.
Vous connaissez le calvaire de la roue de secours à
changer sous la pluie en plein milieu de la nuit ? Ditesvous que ça pourrait être bien pire encore…
USAIN BOLT EN CITROËN 2 CHEVAUX
Usain Bolt est un spécialiste de l’accélération pure. La
Citroën 2 Chevaux, un peu moins. Et pourtant, les deux
ensembles, c’est possible.
Usain Bolt est l’être humain le plus rapide de la planète sur l’exercice du
100 mètres et du 200 mètres départ arrêté. L’intouchable Jamaïcain est aussi
un fan d’automobile de sport, lui qui possède quelques coupés très sportifs
dans son garage. Nissan a d’ailleurs profité de son image en communicant sur
Usain Bolt et la GT-R, cette dernière étant elle aussi très douée pour bondir au
démarrage avec seulement 2,7 secondes nécessaires pour passer de 0 à
100 km/h. Mais au meeting Areva, le 6 juillet dernier, où il a survolé l’épreuve
du 200 mètres, Usain Bolt a pris place dans une automobile largement moins
rapide que ses montures habituelles. Une Citroën 2 Chevaux verte de la
société “Quatre roues et un parapluie”, qui propose de visiter Paris dans la
vieille voiture française. Une automobile qui mettrait sans doute plus de
temps que le sportif jamaïcain pour franchir la barre des 100 mètres et un
beau coup de projecteur pour cette société.
Qui n’a jamais connu le terrible calvaire de la crevaison ? Une
crevaison qui tombe généralement au pire moment lorsque vous
êtes seul, que vous circulez la nuit et qu’il pleut. Là, il faut alors
donner de sa personne et retrousser ses manches, à condition déjà
que votre véhicule soit équipé d’une roue de secours. Entre le temps
perdu et les éventuelles salissures sur vos vêtements, il y a de quoi
être agacé.
Mais il y a pire, donc. Demandez à ce malheureux employé d’une
banque ce qu’il en pense. Alors qu’il transférait 90 000 euros
d’argent en liquide dans un autre bâtiment quelque part en
Autriche, il a eu le malheur de subir une crevaison. Là, il s’arrêtait
pour changer le pneu crevé et posait le sac contenant l’argent à côté
de la voiture (probablement pour récupérer la roue de secours qui se
trouvait dessous, sous le coffre). Malheureusement pour lui,
l’accotement de la route était en forte pente et le sac a dévalé une
colline pour finir dans un torrent. Là, impossible de mettre la main
sur le sac. La police est arrivée, ses équipes n’ont pu récupérer que
3 000 euros et le reste a probablement été dispersé dans les
courants. Compte tenu de la topographie extrême des lieux
(cascades en série et fort relief), il sera difficile de récupérer le reste.
L’employé a été viré par la banque, pour une raison de non-respect
de la procédure à suivre. Un vrai cauchemar, donc.
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5
Pays Dolois - Hors-série septembre 2013
Rentrée des Les nouveautés du
Transports réseau du Grand Dole
EXPRESS
VOS DROITS
COMMENT RÉCUPÉRER LES
POINTS DE SON PERMIS ?
Les nouveautés de la rentrée pour le réseau TGD, ce
sont d’abord de nouveaux visages que vous apercevrez
dans les bus du Grand Dole. Yohann Guedet et Sofiane
Guerab, deux ambassadeurs du transport, seront à bord
afin de renseigner les passagers.
Et ce sont également les horaires qui seront plus stables,
et moins soumis aux modifications. En effet, en 2012,
les horaires des transports ont été bouleversés à deux
reprises : en septembre afin de coïncider avec la rentrée
scolaire, puis après les vacances de Noël afin de coller
aux horaires des lignes TER. Désormais, les modifica­
tions d’horaires n’auront lieu qu’une fois par an, le
deuxième dimanche de décembre afin de coïncider avec
le changement des horaires des trains.
Cet été, la route de vos vacances a croisé
celle des radars... mode d’emploi pour
reconstituer votre capital points.
Tout d’abord, consultez votre solde de
points gratuitement à la préfecture, muni
d’une pièce d’identité et de votre permis
ou sur telepoints.info avec codes d’accès.
S’il ne vous reste que 4 points, deux solutions s’offrent à vous. Patientez 6 mois, si
le retrait est d’un seul point seulement ; au
delà il vous faudra conduire pendant 2 ou
3 ans sans aucune infraction. Si vous avez
pratiquement épuisé votre capital de
points, il ne vous en reste plus que 3, 2
voire 1 seul. Deux options s’offrent à vous :
vous attendez de les récupérer automatiquement en courant le risque de voir votre
permis invalidé ou, plus prudent(e), vous
suivez un stage de sensibilisation à la sécurité routière, qui vous permettra de récupérer jusqu’à 4 points. Ce dernier est assuré
par des organismes agréés par la préfecture et est payant. Comptez de 230 à
260 euros. Listes des centres à la préfecture
du Jura ou sur permisapoints.fr.
Une fréquentation en légère hausse
FUTUR
Avec la rentrée scolaire, le réseau de transport du Grand Dole bénéficie
de plusieurs évolutions. L’occasion de faire le point sur la fréquentation
du réseau et l’enquête de satisfaction lancée au printemps 2013.
Les derniers chiffres de fréquentation du Grand Dole
pour le début de l’année 2013 font état d’une légère
croissance (+ 0,5 %). Les services Flexi­village et flexi­
job connaissent la plus forte progression : + 90 % pour
le premier (13 330 usagers contre 7 056 en 2012) et
+ 26,7 % pour flexi­job (8 629 passagers contre 6 812
en 2012). Les statistiques montrent également une
fidélisation du public avec 13 % d’abonnés supplémen­
taires. L’enquête de satisfaction, obligatoire pour le
prestataire, a été confiée à la société OP Marketing. Elle
fait état d’un taux de satisfaction de 96 %, et livre une
analyse des habitudes de transport des utilisateurs :
Lionel Gatinault (second en partant de la gauche), co-président de la commission transports / déplacements
/infrastructures / voirie au Grand Dole, entouré de la nouvelle équipe du service transport.
68 % sont des usagers quotidiens, et les trajets domi­
cile­étude, domicile­travail et domicile­loisirs sont
répartis homogènement.
Lancement de T-Libre
Le dispositif de co­voiturage spontané du Grand Dole,
T­Libre devrait être opérationnel à partir du 18 septem­
bre, si le nombre d’inscrits est suffisant. Il s’agit d’un sys­
tème d’autostop sécurisé. Les associations ont été
contactées afin de relayer l’information, et de nombreux
stands seront installés dans la ville (gare, Cora, lycées...)
pour renseigner le public et enregistrer les inscriptions.
A ce jour, le Grand Dole a reçu une quinzaine d’inscrip­
tions, et une cinquantaine de personnes s’est montrée
intéressée. Un minimum de 100 personnes sera néces­
saire pour lancer le service.
VOITURES SANS CHAUFFEUR,
ROUTES SANS BOUCHONS
Avec des voitures sans chauffeur et
capables de communiquer entre elles, la
capacité des autoroutes pourrait plus que
tripler ! La conduite automatisée, de la
science-fiction ? peut-être pas... la technologie est déjà là. Plusieurs constructeurs,
comme BMW, Mercedes ou Ford, peaufinent actuellement leur système d’automatisation sur autoroute. L’allemand Bosch
teste des voitures sans conducteur sur
les autoroutes outre-Rhin.
6
ASSURANCE AUTO
POUR LES ETUDIANTS :
COMMENT CHOISIR ?
Comment choisir une assurance
quand on est jeune conducteur
étudiant ?
La surprime d'assurance auto n'est réduite
qu’avec la conduite accompagnée.
Assimilés à des jeunes conducteurs, les
étudiants tombent sous le coup de l'Article
A335-9-1 du code des assurances, lequel
dispose qu'en “assurance de responsabilité
civile automobile, la prime de référence […]
peut donner lieu, pour les assurés ayant un
permis de moins de trois ans et pour les
assurés ayant un permis de trois ans et
plus mais qui ne peuvent justifier d'une
assurance effective au cours des trois
dernières années précédant la souscription
du contrat, à l'application d'une surprime.”
Comme précisé dans l'article de loi cité cidessus, le seul moyen de réduire cette
surprime est d'avoir passé son permis de
conduire dans le cadre de la conduite
accompagnée.
Comparer les assurances auto étudiant
pour économiser
Les offres labellisées “Assurance auto pour
étudiant” fonctionnent davantage comme
des produits d'appel que comme des
contrats spécifiques aux étudiants les
faisant bénéficier d'avantages tarifaires.
N’hésitez pas à passer par un comparateur
d'assurances sur le net et de comparer
plusieurs contrats par le biais d'une
simulation d'assurance.
Pays Dolois
Nouveaux 1.6 Turbo pour les Opel Astra,
Zafira Tourer et Cascada
L’Astra, le Zafira Tourer et le cabriolet Cascada sont les premiers modèles à bénéficier de
l’arrivée de nouveaux moteurs et de nouvelles boîtes dans le cadre du vaste programme
de modernisation des groupes motopropulseurs, qui verra l’offre de motorisations Opel
renouvelée à 80 % d’ici à la fin 2016.
Trois familles de moteurs entièrement nouvelles – se
déclinant en 13 motorisations différentes – et de nom­
breuses nouvelles transmissions vont permettre à une
large gamme de produits Opel de disposer de technolo­
gies de pointe et de performances de premier plan.
Le programme commence avec l’arrivée de nouveaux
moteurs de 1,6 litre turbo, première concrétisation de la
nouvelle génération de familles de moteur diesel et
essence de cylindrée intermédiaire. Ces moteurs répon­
dent à une forte demande de la clientèle, qui recherche
des moteurs “downsized”, offrant beaucoup de puissance
et de couple tout en se montrant sobres et peu émet­
teurs de CO2. Les deux blocs se caractérisent par leur
densité de puissance et leur silence de fonctionnement.
Le nouveau moteur essence 1.6 SIDI Turbo, disposant
d’une injection directe développe 125 kW/170 ch et
280 Nm de couple. Il est maintenant disponible dans
l’Astra GTC et le nouveau cabriolet Cascada. Le nouveau
1.6 CDTI de 100 kW/136 ch, premier moteur diesel tout
aluminium d’Opel, se distingue dans sa catégorie en
offrant une puissance au litre de 85 ch. Il fait ses débuts
sur le Zafira Tourer en 2013 et sera également introduit
dans d’autres modèles Opel au fil du temps. Les deux
moteurs sont accouplés à des boîtes manuelles de nou­
velle génération, qui se démarquent par la qualité de
leur passage de vitesses.
© GM Company
PRATIQUE
Hors-série septembre 2013 -
Le nouvel Opel 1.6 CDTI : Un diesel puissant et sobre, pour le Zafira Tourer
Plus puissant, plus sobre tout en abaissant ses émissions et ses rejets de CO2, la nouvelle génération de 1,6 litre turbodiesel
Opel inaugurée par le Zafira Tourer offre des performances de premier plan en consommant 4,1 l/100km en cycle mixte. Il allie
une puissance et une grande sobriété. Par rapport à l’actuel moteur 2.0 CDTI disposant de la même puissance, il permet une
réduction de 10 % de la consommation et des émissions de CO2.
7
MONDIAL DU QUAD
© Florent Ramel
Pays Dolois - Hors-série septembre 2013
DE FRANCFORT À SAN FRANCISCO
LORS DU SALON DE FRANCFORT, LA BMW I3 VA PARCOURIR
9 100 KM UNIQUEMENT À L’ÉNERGIE ÉLECTRIQUE
BMW i
Suzuki s’invite
au palmarès…
Yoann Ciclet, Yann Magnin, Florent Ramel
dans la cour des grands
Cet été, le département de l'Ain a accueilli l'évènement
phare de la planète quad. Les 30, 31 août et le 1er septembre, Pont-de-Vaux est devenu la capitale mondiale du tout
terrain le temps d'un week-end.
Florent Ramel en pleine course
En effectuant 5 relais contre 6 pour leurs adversaires,
Yoann Ciclet, Yann Magnin et Florent Ramel remportent
pour la deuxième année consécutive le Mondial de Pont­
de­Vaux. Les deux Yam officiels de Cheurlin et Couprie
complètent le podium.
L’an dernier Yoann Ciclet avait émis l’idée d’effectuer des
relais plus long, 2 heures au lieu d’1 h 40… soit cinq pas­
sages à son stand contre 6 pour ses adversaires directs. Ils
se sont entraînés durant l’année en conséquence. Ils l’ont
appliqué ce week­end. La stratégie du pilote manager de
Haute­Savoie paie. Certes, 58 secondes au bout de deux
heures les séparent seulement de la Yamaha officiel d’An­
toine Cheurlin. Autant dire rien après un demi tour d’hor­
loge dans les bras, mais au final, la victoire pour le team
Comas Motos et un feu d’artifice de sourires pour l’en­
semble de l’équipe.
Florent Ramel : “Avec mes coéquipiers Yoann Ciclet et
Yann Magnin, nous remettions en jeu notre titre, au gui­
don d'un Suzuki 450 LT­R. Le niveau s'annonçait très relevé
avec la présence du Team anglo­américain (Joël Hetrick,
Adam Mc Gill, Paul Holmes), des Anglais (Paul Winrow,
Jason Macbeth, Stephan Murphy) ainsi que des Français
(Romain Couprie, Yoann Gilllouin, Julien Marin) et
(Antoine Cheurlin, Mathieu Ternynck, Clément Jay) entre
autres. Lors des chronos samedi matin, nous nous plaçons
en 5e position.
Lors de la 1re manche (15 h­18 h) samedi après­midi, je
prends le départ, je suis 3e au premier virage. Nous appli­
quons notre stratégie qui est de faire des relais de 2 h afin
de limiter le nombre de ravitaillement. Après 2 h de mano à
mano avec mes adversaires, je passe le relais à Yoann Ciclet
en 1re position. Nous terminons second à 27 sec des leaders.
En deuxième manche (20h­1h) samedi soir, je pars en 4e
position, je roule 1 h puis passe le relais en tête à Yann Mag­
nin qui lui roule 2 h. Yoann Ciclet termine cette 2e manche en
tête, en roulant 2 h. À ce moment­là, nous sommes premiers
du classement provisoire : en troisième manche (13 h 30­
17 h 30) dimanche, je prends à nouveau le départ et m'ar­
rête immédiatement ravitailler. Yann Magnin roule 2 h puis
passe le relais à Yoann Ciclet qui gère sa course avec le car­
burant restant et termine 3e de cette troisième manche. Au
classement général nous sommes donc en tête du mondial
du quad. Nous n'avons connu aucun problème mécanique,
le quad a parfaitement fonctionné. Chacun d'entre nous a
très bien roulé. C'est avec une joie immense que nous réité­
rons l'exploit de remporter le mondial du quad de Pont de
Vaux pour la seconde année consécutive.
La remporter est quelque chose d'incroyable pour moi.
C'était même un rêve. D'autant plus que c'est la dernière
course à laquelle mon frère Sylvain a participé avant son
accident. Quand nous avons gagné l'année dernière, les
conditions étaient totalement différentes de cette année.
Il y avait beaucoup de boue, certaines personnes ont
pensé que nous avions eu de la chance, de plus nos 2 prin­
cipaux adversaires avaient connu des casses mécaniques.
Cette année, nous avons prouvé que nous étions capables
de gagner sur le sec et avec des adversaires qui avaient
une revanche à prendre.
Notre objectif est de gagner Pont de Vaux
une 3e fois consécutive, ça serait du jamais vu !
Notre point fort dans cette épreuve est que nous
sommes avant tout 3 potes qui avons les mêmes ambi­
tions. Notre quad est fiable et nous sommes entourés
d'une équipe compétente.”
Cette année, la présence de
BMW à l’IAA (Salon international de l’automobile de Francfort) sera marquée par la
présentation en avant-première
des BMW i : la BMW i3, entièrement électrique, et la BMW i8,
une sportive hybride rechargeable. Au cœur du stand se trouve
un circuit en forme de symbole
infini, sur lequel la BMW i3 et
d’autres véhicules BMW seront
dévoilés au public pour la première fois avant leur lancement
sur le marché. Au cours des 12
jours du salon, ce sont au total
© BMW group
9 100 km qui seront parcourus –
soit l’équivalent de la distance entre Francfort et San Francisco – uniquement à l’énergie électrique et donc
sans aucune émission. Indépendamment des présentations BMW organisées toutes les heures sur la scène
principale, l’espace “BMW i Walk” offrira aux visiteurs la possibilité de prendre place dans cinq BMW i3 affichant des configurations différentes. Des “BMW Product Genius” formés spécialement pour l’occasion seront
présents pour répondre aux questions sur les caractéristiques du véhicule. Devant le Hall 11, un espace sera
consacré à l’exposition d’autres voitures BMW i et au thème des infrastructures de recharge. BMW renouvelle
ainsi la tradition inaugurée en 2009 voulant que ses stands de salon soient centrés sur une approche active
de la conduite. Les visiteurs de l’IAA pourront observer sous toutes les coutures les caractéristiques impressionnantes des nouveaux produits. Grâce à un concept à mi-chemin entre salon et manifestation automobile,
aux avant-premières mondiales de plusieurs véhicules et à l’architecture unique de leurs stands, les marques
de BMW Group offriront à chaque visiteur de l’IAA une expérience complète, à 360°.
vivre ici 13
Pays Dolois n°152 - Sept. 2013
De belles performances en Guadeloupe
pour les jeunes sapeurs-pompiers dolois
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Ils étaient 19 Jurassiens dont 3 Dolois à participer
aux phases finales des épreuves sportives des
sapeurs-pompiers en Guadeloupe au début de l’été.
Association départementale, la section doloise des
Jeunes Sapeurs­Pompiers (JSP) a été créée en 1954 et
compte aujourd’hui 24 jeunes recrues. Tous béné­
voles, ils sont âgés de 12 à 17 ans et seront nos futurs
secouristes de demain. Pendant quatre années, ils
apprennent les rudiments du métier via divers exer­
cices : lutte contre les incendies, sauvetages, aide
médicale… Au terme de cette formation accessible par
des tests sportifs et de culture générale, le brevet de
JSP leur permettra peut­être de devenir sapeurs­pom­
piers volontaires. Rigueur et motivation sont les
maître­mots de cette école de la vie. “Un JSP non
motivé démissionne dans les quatre mois” souligne
l’adjudant Jacky Guiboux qui encadre la section des
jeunes sapeurs­pompiers de Dole. “Ils portent la tenue
à l’intérieur, mais le respect de la tenue se fait aussi à
l’extérieur”. Les jeunes Dolois sont également le fanion
de la section lors des différentes épreuves sportives
des sapeurs­pompiers, tels que le cross départemen­
tal, et le “challenge de la qualité”. Compétition d’ath­
létisme regroupant diverses disciplines (800 m, fond,
demi­fond, sprint, saut en hauteur, grimper de corde,
poids et parcours sportif des pompiers), le challenge
de la qualité récompense les meilleurs compétiteurs
lors des phases départementales, régionales, puis
nationales. Le Saint Graal pour les sapeurs­pompiers et
jeunes sapeurs­pompiers en lice. “Durant
l’année, chaque jeune choisit une discipline
qui sera reconnue lors des différentes
phases du challenge” poursuit Jacky Gui­
boux. Lors des éditions précédentes, la
section doloise des JSP a déjà sorti son
épingle du jeu. Cette année, trois Dolois
décrochaient leur ticket pour les Finales
nationales, qui se déroulaient en Guade­
loupe du 3 au 10 juillet.
Céline Garrigues
LAURA NOBLOT, UNE JEUNE SAPEUR-POMPIER EN OR
Dylan Perreaux, 15 ans, Laura Noblot, 17 ans et Camille Rousselet, 15 ans, s’envolaient tous trois au début de l’été
direction Baie-Mahault en Guadeloupe pour en découdre avec les meilleurs Français dans leur discipline et
catégorie. Dylan, qui entame sa troisième année à la section des JSP de Dole, s’est spécialisé en saut en hauteur. Il
termine 6e, avec un bond à 1,65 m. Une place honorable au vu du niveau élevé de ses concurrents. “Je garde de très
bons souvenirs de cette journée car il est difficile d’accéder à cette phase” commente le jeune homme qui aspire à
devenir pompier professionnel. Camille Rousselet, en quatrième année, termine 5e en grimper de corde.
Perfectionniste, la jeune fille demeure déçue de ses résultats au vu de ses précédentes réalisations. Laura Noblot
décroche quant à elle la médaille d’or en grimper de corde, devant sa famille qui avait fait le déplacement. La
concrétisation d’une année d’entraînement. “J’ai eu la chance de passer en dernière et de pouvoir observer et me
situer” commente la jeune fille. “C’est une belle récompense après autant de temps passer à s’entraîner”.
Le partenariat
continue
Après six années de partenariat
avec l’Education nationale, le Pays
Dolois renouvelle sa démarche
dans le cadre du projet des Petites
Plumes. Présentation.
Six années déjà que les écoles du bassin dolois participent à la réussite de ce par­
tenariat pédagogique. Chaque année, c’est avec enthousiasme qu’enseignants et
élèves s’immergent dans le monde de la presse écrite. Un enthousiasme sans
lequel ce projet n’aurait pu voir le jour. Pour la septième année consécutive, la col­
laboration est donc reconduite. Après Cramans, Rahon, Parcey et Etrepigney en
2012­2013, quatre nouvelles classes laisseront cette année leurs empreintes dans
les colonnes de notre journal. Les élèves des écoles de Gatey, Santans, Chaussin,
et Amange écriront ainsi tour à tour un article sur une thématique libre, et diffusé
dans le “Pays Dolois”. En préambule de ce partenariat, un journaliste se rendra
dans ces quatre classes afin de livrer une première approche du journalisme et de
la presse écrite. Les élèves réfléchiront ensuite ensemble à un projet d’écriture, sur
un thème et un questionnement les concernant directement. Les classes réalise­
ront chacune deux articles qui devront répondre aux règles du genre.
Une visite à la rédaction pour clore l’année
Au terme de chaque année de collaboration, les classes sont invitées à visiter les
locaux du journal, ainsi que l’imprimerie LIG située à proximité, afin d’appréhen­
der au mieux la totalité de la chaîne graphique. Fin juin, nos journalistes en herbe
se sont donc rendus à l’agence du “Pays Dolois”, afin de découvrir in situ les dif­
férents services et leur fonctionnement : régie publicitaire, rédaction, studio gra­
phique... Piqués de curiosité, les questions des enfants ont abondé : qui finance,
qui distribue... Une demi­journée riche en échange et en enseignements !
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PAR LA MUTUALISATION DE DOLE
ET DU GRAND DOLE
Tel est le chiffre mis en avant par l’association du Concours
national des villes qui a récompensé Dole et le Grand Dole en ce
début d’été. Les deux collectivités ont ainsi reçu le prix de la
mutualisation pour “l’exemplarité de la démarche de
mutualisation des services”. Initiée en janvier 2012, son objectif
était d’améliorer les services rendus à la population, tout en
garantissant plus de fluidité.
LA SLAMEUSE CHLOÉ M. ÉCRIT L’HYMNE
NATIONAL HANDISPORT
Nous vous avions déjà parlé de cette talentueuse jeune slameuse. La Doloise de 15 ans a
récemment gagné le concours du club des supporters handisport, concours qui consistait à
écrire l’hymne du club. Sur plus de 100 participants, son texte a été retenu pour devenir
officiellement l’hymne national des supporters handisport. Elle est entrée cet été en studio
pour enregistrer la chanson et le clip avec Lorie, Zaho, Vadel et Soprano.
LAVANGEOT
LUTTE CONTRE LA CHRYSOMÈLE DU MAÏS
Début août, une chrysomèle des racines du maïs a été identifiée sur la commune de
Lavangeot. Depuis, 43 autres adultes ont été capturées dans la même parcelle. Pour lutter
contre cet insecte particulièrement ravageur, des pièges seront relevés chaque semaine
jusqu’au 30 septembre. De plus, un arrêté préfectoral a été pris afin de limiter l’expansion
du parasite.
service à la personne
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Chevigny, au nord de Dole
Direction Gray (à 5 minutes de l’A36)
Covoiturage possible depuis Dole
Jardiner pour s’insérer
dizaine de familles, toutes bénéficiaires d’accompa­
gnement social, ont déjà eu l’opportunité de tra­
vailler la terre. Aujourd’hui, le projet continue et
entame sa deuxième saison. Six jardins sont actuel­
lement cultivés (à Brevans, Sainte­Agnès, Clairvaux­
les­Lacs, Saint­Amour et deux à Poligny), et plusieurs
sont en attente. “Il n’est pas évident de mettre en
adéquation les demandes et les terrains” explique
Anne­Marie Daloz, coordinatrice des jardins.
“Aujourd’hui, nous avons une quinzaine de terrains à
disposition, mais il nous manque des demandeurs”.
Par le biais des assistantes sociales, les bénéficiaires
du RSA désireux de se lancer dans l’expérience sont
mis en relation avec Anne­Marie Daloz. De son côté,
elle recherche des terrains en zone rurale, qu’ils
soient communaux ou privés. “Cela crée du lien dans
les deux sens, permettant par exemple à la grand­
mère qui ne peut plus entretenir son jardin d’être
accompagnée” poursuit la coordinatrice. Chaque jar­
dinier est accompagné par un parrain qui le guide et
le conseille pour le lancement des cultures. “Le jardin
offre une activité au bénéficiaire, il lui permet de sor­
tir, de voir des gens, tout en produisant de bons pro­
duits naturels” reprend Guy Forest, le vice­président
de l’association. “Mais nous avons du mal à nous
mettre en place aujourd’hui, car les gens en difficulté
sont souvent marginalisés par la société”.
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Mis en place par l’association Resa 39,
les “Jardins du partage” permettent
aux bénéficiaires du RSA d’avoir une
activité tout en créant du lien.
Créer du lien social pour des personnes qui en sont éloignées, tout en goûtant
aux joies du jardinage : voici le concept des Jardins du partage, dispositif mis
en place par l’association Resa 39 (Réseau entraide solidarité agricole du Jura)
dans le département. Depuis 20 ans, cette structure intervient auprès des
agriculteurs en difficulté, afin de leur apporter soutien et écoute. C’est en
2012 que l’association se lançait dans le projet des Jardins du partage. Une
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Pourtant, François Jallabert, qui s’occupe du jardin de Sainte­Agnès près de
Lons­le­Saunier, n’a rien d’un marginal. Bénéficiaire du RSA depuis années, il
a entendu parler des Jardins du partage via son assistante sociale. Il s’est lancé
en avril avec une assiduité et une constance indispensables à cette activité.
“J’ai commencé par les pommes de terre, puis les oignons, salades, carottes,
tomates… Cela demande beaucoup de travail, il faut y être tous les jours”
insiste­t­il. A un kilomètre de son domicile, le jardin l’oblige à sortir tous les
jours : “Ça me fait du bien de prendre l’air. Je pense aussi acheter un livre pour
avoir plus de connaissances”. En attendant, les surplus de sa production sont
partagés et échangés avec ses voisins : encore une occasion de créer du lien…
Céline Garrigues
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obtenus et à prendre en main, grâce aux effets
bénéfiques des plantes, le bon fonctionnement de
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Dans ce suivi personnalisé, les consultations sont
La stabilisation, une étape primordiale
gratuites. Seuls les compléments alimentaires qui
Beaucoup pourront en témoigner : le plus difficile
ne sont en aucun cas des substituts de repas ou
n’est pas de perdre du poids, mais de stabiliser le
des coupe­faim, sont à la charge du client.
résultat obtenu. La phase de stabilisation est donc
une étape essentielle pour parvenir à votre objec­
tif et le pérenniser. C'est pour cette raison que
Naturhouse accorde une attention toute particu­
lière au suivi de ses clients(e)s. Après la première
phase de rééquilibrage, une période de deux mois
de stabilisation prendra le relais, pendant laquelle
la personne sera accompagnée à raison d’une
séance toutes les deux semaines. Conseillé par la
diététicienne, vous saurez comment réintégrer les
aliments “plaisir” : quelle quantité, à quel
moment, quelle fréquence… Après ces deux mois,
une nouvelle phase d’entretien de six mois per­
mettra de faire le point mensuellement sur votre
poids, et sur vos nouvelles habitudes alimentaires.
Grâce à ce suivi personnalisé, les kilos perdus ne
réapparaîtront pas dans le cadre d'une alimenta­
tion équilibrée. Mais surtout, en appliquant ces
conseils, votre confiance en vous sera reboostée :
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ment sur une alimentation équilibrée. Ce concept
créé en 1995 a déjà permis de satisfaire plus de
quatre millions de personnes grâce à la prise en
charge par une diététicienne diplômée qui, après
un bilan complet, met en place votre plan diété­
tique personnalisé. Travailler sur un rééquilibrage
alimentaire permet d’affirmer au client qu’il
entame sa dernière démarche de perte de poids.
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Pays Dolois n°152 - Sept. 2013
Mobilité Taco 39, une coopérative qui roule !
Lancée en mars 2012, la coopérative
TACO 39 est désormais opérationnelle.
23 artisans taxis jurassiens se sont fédérés pour travailler en réseau et
répondre à un numéro unique dans
tout le département.
31
ANNONCES
DE LOGEMENT
VIA LOCAPPRENTI
Ce récent dispositif a été mis en place par la
Chambre régionale de métiers et de l’artisanat,
et est relayé dans le Jura. Peu connu, il est
pourtant une mine d’or pour tous les apprentis
en recherche d’un logement à proximité de
leur lieu de travail. Cette bourse de logement
met en relation les particuliers bailleurs et les
apprentis. “Ils ont parfois du mal à se loger
lorsqu’ils s’éloignent de leur domicile” explique
Virginie Buatois, directrice du service Emploi
compétence à la CMA du Jura. “Et c’est aussi
plus rassurant pour les parents de se tourner
vers ce genre de formule”. Destiné aux jeunes
de moins de 26 ans en contrat d’alternance,
Locapprenti propose via un site une large
gamme de types de logements : studio,
appartement, meublé ou non, collocation,
logement collectif en internat, chambre chez
l’habitant, collocation intergénérationnel... Le
site met également à disposition une partie
législative, avec des conseils juridiques et des
modèles de documents administratifs.
http://www.artisan-comtois.com
Pour commander un taxi, il existe désormais un
numéro unique pour tout le Jura : 03 39 39 96 39.
Ce tout nouveau dispositif, né à l’initiative d’une
partie des taxis jurassiens et porté par la Chambre
de métiers et de l’artisanat du Jura (CMA), est un
des rares en France à se déployer à l’échelle d’un
département entier. A l’origine de cette coopéra­
tive, quelques professionnels sollicitaient un coup
de main de la CMA afin de se regrouper et travailler
ensemble. Dans le Jura, une centaine de taxis sont
référencés, pour une moyenne de 110 000 km par
an, par taxi. Tous indépendants jusque­là, ces pro­
fessionnels devaient faire face à des difficultés
d’agenda, pour gérer des courses souvent aux
mêmes heures. “A cela s’ajoutent des tensions sur
les budgets des collectivités comme le Conseil géné­
ral qui finance certains transports médicaux”
explique Fabienne Badet, chargée de développe­
ment économique à la CMA du Jura. “L’idée était
donc d’améliorer l’organisation de ces artisans, en
apportant de nouveaux outils”. En mars 2012 la
coopérative TACO 39 est créée, après six mois de
rencontres et de réunions d’information avec les
professionnels. 16 artisans, (dont un retraité) se
lancent dès le début dans l’aventure. 7 nouveaux
coopérateurs les rejoignent en 2013. Ils exercent
sur les quatre secteurs jurassiens : Lons­le­Saunier,
Dole, le Haut­Jura, et le Triangle d’Or. Pour faciliter
cette mise en réseau, la CMA du Jura a proposé de
nouveaux outils : après un appel, une application
smartphone enregistre la commande, puis le sys­
tème informatique redistribue la course au taxi
disponible le plus proche.
Pérenniser les entreprises
Yves Alluin, taxi dans le secteur de Lons­le­Saunier,
et un des trois gérants de la coopérative. Il s’est
rapidement aperçu qu’en tant qu’entreprise indivi­
duelle, il est difficile de s’organiser lorsque la
demande est importante, notamment pour les
transports réguliers (80 % des courses sont des
transports médicaux). “On a du mal à prendre nos
congés, on doit rester d’astreinte les week­ends. Le
but avec la coopérative est de pérenniser nos entre­
prises, tout en travaillant plus sereinement. Sans
compter les économies : en s’organisant ensemble,
on évite les trajets à vide, on gagne du temps, et
dans l’avenir, on réalisera des économies sur le car­
burant, les pneumatiques, les pièces mécaniques…”.
A terme, le dispositif pourrait aussi permettre aux
artisans de diversifier leur clientèle. Des formations
pour répondre aux appels d’offres ont été propo­
sées par la CMA, et permettront de répondre de
manière groupée aux collectivités. Depuis la mise
en place de TACO 39, un contrat a déjà été signé
avec la SNCF. Les professionnels ciblent également
d’autres secteurs comme les hôteliers, restaura­
teurs, assureurs…
Céline Garrigues
EMPLOI DES EMPLOIS D’AVENIR POUR L’AGRICULTURE
En juillet, les acteurs de la profession agricole de Franche-Comté ont signé une convention de partenariat pour la mise en œuvre et le suivi des emplois
d’avenir dans la région. Avec 40 000 emplois non délocalisables et résistants bien à la crise, le monde agricole tient à rappeler que les métiers du
vivant (agriculture, agroalimentaire, bois et forêt) représentent des métiers d’avenir. Dans le Jura, ce sont environ 10 000 emplois concernés. “Avec le
service de remplacement, cela représente 160 000 heures par an, soit 110 équivalents temps plein” rappelle Etienne Rougeaux, directeur de la FDSEA
du Jura. Contrairement aux idées reçues, la précarité des emplois saisonniers n’est plus légion. “Dans le Jura, on a fait le pari de l’emploi partagé”
repend Etienne Rougeaux. “Si les exploitations agricoles ne sont pas en capacité seules d’embaucher, elles peuvent se regrouper à plusieurs pour créer
un emploi. Et cela en s’ouvrant à d’autres secteurs d’activités : par exemple, un salarié peut cumuler un mi-temps dans une exploitation, et un mitemps dans le bâtiment”. L’objectif à terme étant de pérenniser ces emplois : “Il est intéressant d’avoir une main-d’œuvre qualifiée. L’enjeu est d’avoir
sur le territoire des personnels compétents et non précaires”. La convention signée en juillet fixe un objectif d’une centaine d’emplois d’avenir pour
l’année 2013-2014 pour la Franche-Comté. Etienne Rougeaux y voit un bon outil, mais regrette toutefois que ces emplois d’avenir ne soient pas orientés
davantage vers une main-d’œuvre plus qualifiée, de type Bac Pro et BTS, là où la demande est la plus importante.
COMMERCES ET SERVICES
UN GUIDE SUR L’ACCESSIBILITÉ
A l’aube 2015, les établissements recevant du public devront être mis aux normes afin d’accueillir les
personnes handicapées. Une échéance qui arrive à grand pas, et qui doit être considérée dès aujourd’hui.
“Beaucoup de commerçants, artisans et services ne sont pas encore conscients de ce que cette échéance
implique” explique Emmanuel Bredon, responsable Action collective commerces et services à la Chambre
de commerce et d’Industrie du Jura. Afin d’accompagner au mieux ses ressortissants vers cette transition,
la CCI a organisé cinq réunions de sensibilisation en 2012. “Il n’y a pas que les fauteuils roulants qui sont
concernés” reprend Emmanuel Bredon. “Il y aussi les femmes enceintes, les poussettes, les personnes
blessées en béquilles, les personnes âgées, le chargeur avec son diable…. la cible est large, et c’est dès
maintenant qu’il faut s’en occuper. Aujourd’hui, nos commerçants ne sont pas prêts !”. Sachant que le prix
moyen de mise aux normes pour un commerce est de 10 000 euros, l’inquiétude demeure vive du côté
des commerçants sur les coûts et le financement. Des dérogations exceptionnelles pourront toutefois
être accordées, en cas par exemple d’impossibilité technique, ou de montant de travaux disproportionné
par rapport au chiffre d’affaires. Afin de poursuivre son accompagnement, la CCI vient de faire paraître un
petit guide accessibilité, déjà diffusée à 3 800 exemplaires, et également téléchargeable sur le site. Très
complet, ce guide se penche sur les contraintes réglementaires, les différents types d’aménagement, le
financement… ainsi qu’un guide d’auto-diagnostic. “Depuis la diffusion du guide, on commence à nous
appeler” poursuit Emmanuel Bredon. “Je me déplace chez les commerçants afin d’étudier la configuration
du local. Si les travaux semblent trop importants, nous préconisons un diagnostic accessibilité”. Rappelons
qu’en cas de non mises aux normes, la loi prévoit une amende de 45 000 euros.
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le lundi 26 août sur Choisey.
Le magasin “Codi Cash” Dole
implanté dans la ZI du Tumulus
à Dole est devenu fin juin “Pro à
Pro Cash & Drive”. Ce point de
vente libre-service pour les
professionnels et les
associations en a profité pour
ouvrir un drive et étoffer son
offre produit.
Ouverture depuis le 26 juillet au
20 rue des Arènes à Dole d’une
boutique de jouets en bois “Aux
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début juillet dans son salon les
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Pays Dolois n°152 - Sept. 2013
Crédit photo : The North Face Ultra-trail du Mont-Blanc - Pascal Tournaire
Rugby
Une victoire “made in Jura”
Un Jurassien dompte le Mont Blanc
Le Jurassien Xavier Thévenard a soufflé le vent de l’exploit
le 31 août dernier à Chamonix. L’ancien biathlète du
Massif Jurassien a remporté l’Ultra­trail du Mont­Blanc
(UTMB), un des trails les plus difficiles – si ce n’est le plus
difficile – au monde, en 20 h 34’. Cette victoire “made in
Jura”, Xavier Thevenard l’a dédié à ses terres d’origine, car
c’est en brandissant le drapeau jaune et rouge “Made in
Jura” que le champion a franchi la ligne d’arrivée. Joint par
téléphone le surlendemain de sa victoire, Xavier avait
encore la tête dans les nuages : “Il n’y a pas de mots pour
décrire ces émotions, c’est quelque chose d’unique, c’est
grandiose !”. Et d’être encore surpris de cette victoire. “Je
ne m’attendais pas à gagner. En 2012, je n’ai pu faire
l’UTMB à cause d’une fracture au ménisque, et j’avais donc
plus envie de réussir cette année”. Sa recette ? Rester
mobilisé et concentrer tout au long de l’épreuve. “C’est
une course tellement exigeante qu’il ne faut pas essayer
d’aller accrocher d’autres concurrents dès le départ. C’est
une course qui se fait seule avec soi­même. Je suis parti sur
un bon rythme, sans jamais m’affoler, mais en maintenant
la même allure. A la fin, j’étais dans un tel état de fatigue
qu’il a fallu aller chercher loin en moi. Même sur les 10 der­
niers kilomètres, alors que j’avais 20 minutes d’écart avec
le second, je suis resté concentré”. A son arrivée, quelque
10 000 personnes étaient présentes pour ovationner le
champion, dont les Jurassiens. “Des amis le long du par­
cours m’ont donné le drapeau Made in Jura, mais j’avais
également le logo floqué sur mon sac à dos. J’ai voulu pas­
ser le message à mes coéquipiers que le Jura propose aussi
de belles séances d’entraînement et qu’il n’est pas néces­
saire d’aller chercher les Alpes et les grosses montagnes !”.
Dole et Tavaux se retrouvent
le 22 septembre à Bobin
C’est reparti pour les deux clubs phares du Nord
Jura en Fédérale 3, L’US Dole et l’US Tavaux Dam­
paris Abergement depuis quelques semaines. Le
championnat quant à lui reprendra ses droits dès
le 15 septembre prochain.
L’US Dole qui a été repêché par la Fédération Fran­
çaise de Rugby ne veut pas recommencer une sai­
son catastrophe. Pour ce faire, elle a recruté de
nombreux éléments pour renforcer son dispositif.
Ronald Del Fabro qui évoluait à Dijon en Fédé­
rale 1 a été le premier à signer du côté du stade
Robert Bobin, puis un centre argentin a rejoint
l’équipe de Mathieu Marcelli, Lissandro Garcia.
Tout comme de nombreux joueurs de 3e et
2e Ligne : Fabrice Loye, Alexandre Bernabé,
Rodolphe Bathelier… L’équipe B n’a pas été
oubliée puisqu’un nouveau duo d’entraîneurs a
été constitué : Mickael Rambaut et Fabien Mos­
son. De nombreux joueurs ont également été
recrutés. “Notre objectif sera de retrouver le plai­
sir de bien jouer” précise le président. “Si on est
juste derrière les qualifiés, on aura rempli notre
contrat”.
L’US Tavaux Damparis Abergement qui a terminé
en tête de la poule lors de la précédente saison et
qui s’est faite sortir sur le fil pour l’accession en
Fédérale 2, a autant d’ambition cette saison. L’ob­
jectif principal sera bien sûr la qualification. De
nombreux joueurs sont venus rejoindre l’équipe de
Didier Dejean et Christophe Vojetta. “Nous
sommes tombés dans une poule où il y a de nom­
breux derby, en plus toutes les équipes se sont bien
renforcées et ne se laisseront certainement pas
déborder, on sera attendu à chaque déplacement”
explique l’entraîneur des ¾ Didier Dejean. “Notre
début de saison sera compliqué car nous avons déjà
deux déplacements chez deux voisins à négocier,
j’espère qu’on ne rentera pas bredouille.”
15 septembre Dole-Belleville, Besançon-USTDA
22 septembre Dole-Tavaux
Louis Pasteur 2013
634 cyclosportifs se sont présentés dimanche 25 août sous les ordres du starter pour
participer à la 19e édition de la Louis Pasteur. Cette année, le Vélo Club Dolois avait
innové, en organisant la veille une randonnée VTT en Forêt de Chaux qui a réuni une
trentaine de concurrents et surtout en réduisant le kilométrage du Grand Parcours
(de 176 à 136 km) pour permettre à plus de concurrents de s’élancer sur cette distance.
Au niveau des résultats, c’est un sociétaire du club d’Etupes, Sébastien Bergeret qui a
réglé le sprint à l’arrivée du Grand parcours sur l’avenue Eisenhower.
Céline Garrigues
La rentrée est toute proche…
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sports 19
Pays Dolois n°152 - Sept. 2013
VTT et Randonnée - Les Trente clochers
Record d’affluence
1 768 vététistes et marcheurs ont participé dimanche 1er septembre à la
9e édition des 30 clochers organisé par l’ACDTR. “Nous sommes très satisfaits de
cette 9e édition, car cela reste une fête du VTT et de la randonnée, nous détenons
un nouveau record” souligne Alain Gourlot. “Nous avons proposé aux participants
une belle palette de circuits presque tous inédits avec une nouveauté : la traversée
de la Loue sur des canoës à Parcey. Nous voulons continuer à pérenniser notre
épreuve familiale.”
Baseball - 3e saison pour les Titans de Rahon…
Handball Nationale 3 F
Toujours à la recherche d’un terrain
Une 3e saison en N3 pour les Doloises
Jura Dolois Basket
Sur les rails
La saison 2013-2014 de Jura Dolois Basket
est sur les rails, l’entraînement a repris
depuis la mi-août, de nouveaux joueurs
sont venus renforcer l’effectif de l’équipe
de Jonathan Ruiz. Jean-Louis Cuisant nous
confie l’objectif de son équipe pour ce nouvel exercice qui débute par un déplacement le 21 septembre à Saint-Apollinaire
Président votre équipe a réalisé une saison
mi-figue mi-raisin, quel est votre objectif
pour cette nouvelle saison ?
Oui nous n’avons pas réussi notre saison
2012-2013, nous avons changé d’entraîneur
au cours de ce championnat. Maintenant
nous sommes stabilisés, quelques départs
dont notre meneur Julien Senaillet, nous
avons recruté en conséquence ; notre objectif sera bien sûr de jouer le haut du tableau
mais de nombreuses équipes ont annoncé
le désir d’évoluer en Nationale 2.
Quatre joueurs dont le meneur ont quitté
le navire à l’intersaison, vous avez recruté
quatre nouveaux basketteurs châlonnais,
quel est votre sentiment sur les premiers
entraînements de vos hommes ?
Abdel Jalil Sahraoui, en provenance de l’Elan
Chalon B est un vrai meneur qui sait
défendre. Yohan Poulier ailier va nous
apporter toute sa dextérité aussi bien sous
le panier qu’à l’aile son poste de prédilection. Pas de chance pour Emilien Mardon
qui est déjà blessé, mais c’est également une
bonne recrue. Quant à Miguel Menargues,
17 ans, le jeune ailier (cadet France) de l’Elan
Chalon est un joueur qui a un grand avenir
devant lui. Ces quatre joueurs vont vite nous
faire oublier les Senaillet, Renard, Moundy…
Vous êtes tombés dans une poule où vous
connaissez de nombreuses équipes : Lons,
Rixheim, Pfastatt, Dadolle, Besançon,
Montmorot le promu… Est-elle abordable ?
Oui c’est une poule abordable pour jouer
les premiers rôles, mais déjà des clubs ont
annoncé la couleur : Besançon, Pfastatt, St
Priest…
Le club de Baseball de Rahon, les Titans reprennent
leurs activités en ce début septembre. Le club de
Romaric Diètre compte actuellement une vingtaine de
licenciés. Les Titans ont déjà participé à deux saisons de
championnat uniquement en Bourgogne car il n’y a pas
d’équipe en Franche-Comté. La prochaine saison
débutera en mars 2014. Pour être au top au printemps
prochain, les Titans s’entraînent deux fois par semaine
sur le stade de Rahon.“Nous sommes un club qui se
déplace tout le temps car nous n’avons pas de terrain.
Nous sommes toujours à la recherche d’un terrain pour
nous installer définitivement. Il nous faudrait un hectare
pour qu’on soit à l’aise, cela représente deux terrains de
football. Avec un terrain plus grand, on pourrait
développer le club en effectuant des entraînements
avec les jeunes. Pour l’instant, nous n’acceptons les futurs
licenciés qu’à partir de 16 ans, âge auquel ils peuvent
participer aux rencontres seniors.” explique le coach
président des Titans.
Entraînement : jeudi soir 18 h à 20 h
et le samedi de 10 h à 12 h 30 sur le stade.
Les Doloises continuent leur aventure en Nationale 3 cette saison grâce à la
Fédération Française de Handball suite à une réorganisation des poules de
Nationale. C’est donc une troisième saison que les protégées de Guy Cortat vont
jouer cette saison 2013-2014. Pour ce nouveau championnat, c’est Anne Julie
Chaniet, seule aux commandes de l’équipe qui essaiera par ses entraînements de
mener à bien cette formation dont l’objectif sera un maintien confortable.“Nous
avons eu à l’intersaison une grosse perte de l’effectif qui n’était pas prévu avec le
départ d’Isabelle Bailly, mais nous allons faire face avec les jeunes qui montent tout
doucement en puissance” précise Guy Cortat le président du DHB. “Nous allons
viser le maintien en montrant ce dont on est capable de réaliser.”
Les garçons visent l’accession tout de suite…
Pas mal de départ chez les garçons après la saison catastrophique réalisée sous la
Houlette de Philippe Dehaese. Pour ce retour en Prénationale après six saisons en
Nationale 3, les Dolois se sont donné comme objectif la remontée en N3. C’est
Antoine Lugand qui sera aux commandes de l’équipe de Prénat, de nombreux
jeunes ont rejoint l’équipe de Christophe Guyon et l’amalgame commence à se faire
sentir lors des premières rencontres amicales du DHBM.“L’objectif est la remontée en
N3” Indique le président Guy Cortat.“Nous ne voulons pas nous éterniser en
Prénationale. Nous avons de nombreux jeunes qui poussent au portillon et qui ne
demandent qu’à jouer au plus haut niveau.”
Nationale 3 F : 14-09-13 Coupe de France Dole-Palente
28-09-13 Championnat N3F Dole-Longvic
Prénationale : 21-09-13 Dole-Talant
J U R A D O LO I S F O OT
Nouvelle saison nouvelles ambitions
Les filles ont réussi un beau championnat
lors de la précédente saison, qu’en sera-t-il
cette année ?
Cette saison, on ne sait pas trop bien où l’on
va car notre meneuse Justine Gruet a
décidé d’arrêter, alors on va voir comment
cela se déroule. L’objectif sera de se maintenir dans la première moitié du championnat de Prénationale.
Les footballeurs du
JDF vont repartir
pour une nouvelle
saison avec des
ambitions revues à
la hausse. L’équipe 1
visera un retour
en championnat
Honneur de Fran­
che­Comté et la
réserve une accession en
1re division de district. Dans cet objectif, le
club a bénéficié d’une image améliorée
pour attirer vers lui plusieurs joueurs de
qualité. La plupart d’entre eux sont
d’ailleurs d’anciens licenciés du club comme Benoît Legrand, Adrien Decombe, Jordan Collet ou Sébastien Rader. Franck Hotel­
lier retourné à la formation après une année de mise à disposition des seniors, la responsabilité technique a été confiée à Lau­
ris Catelin assisté de Cédric Bonnot et de Yaya Sylla. La période de préparation a été suivie sérieusement par un groupe étoffé
allant des seniors aux U18. Les résultats des rencontres amicales ont montré un état de forme et un rendement s’améliorant au
fil des jours. Reste qu’il faut maintenant traduire ces impressions sur le terrain du championnat…
Le prochain match à la salle Belvoye de
Damparis : 28 septembre 20 h Jura Dolois –
Union Auxerre
Prochains matchs du JDF senior A : samedi 4 octobre à 16 h à Tavaux JDF - Morbier
En U15 Interligue : dimanche 15 septembre à 15 h à Tavaux : JDF - Belfort
Dimanche 29 septembre à 15 h à Tavaux : JDF - As PTT Dijon (L’interligue est le plus haut niveau de la FFF pour les 15 ans)
Lors de la précédente saison, l’équipe 2 a
dû abandonner le championnat en cours
de saison, cette année aurez-vous une
équipe réserve digne de ce nom ?
Nous aurons une équipe 2 avec de nombreux joueurs qui n’évolueront pas en N3,
car nous avons 14 joueurs et ceux qui ne
seront pas sélectionnés seront à la disposition de l’équipe 2. Nous avons pour objectif
de revenir le plus rapidement possible en
Prénationale.
20 loisirs
Pays Dolois n°152 - Sept. 2013
JOURNÉE DU PATRIMOINE
La culture vous ouvre ses portes
La 30e édition des journées du patrimoine se
tiendra les 14 et 15 septembre, autour du thème
1913-2013 : cent ans de protection. Dans le Jura,
de nombreux lieux seront ouverts gratuitement
ou à prix réduits, en visite libre ou commentée.
Préparez dès maintenant votre programme !
ARBOIS
- Apothicairerie de l’Hôpital : visite guidée sam et dim.
à 16 h. Réservation nécessaire. Gratuit.
- Cité historique : découverte de la ville du Moyen-Age
à nos jours sam et dim à 14 h 30 sur réservation. Gratuit.
- Eglise Saint-Just : sam et dim visites libres de 8 h 30 à
18 h; visite commentée et montée au clocher. Gratuit.
- Maison de Louis Pasteur : du jardin à la chambre,
du salon billard au laboratoire, découvrez ce lieu de
mémoire.
- Musée d’Art Sarret de Grozon : Visite libre sam et dim
de 15 h à 18 h 3 0, visite guidée sam et dim à 15 h 30 et
17 h. Gratuit.
- Musée de la vigne et du vin : visites guidées du musée
samedi et dimanche à 10 h 30, 14 h 30 et 16 h 30.
Animations : chasse au trésor pour les enfants. Les
vendanges à l’ancienne, par le Comité des fêtes de la ville
d’Arbois. Gratuit.
CHAUSSIN
Visite guidée du moulin Taron. Gratuit. Dégustation à
base de gaude, préparée par Christophe Bach. Stands de
produits régionaux. Exposants des métiers de l’artisanat.
Samedi 14 septembre de 9 h à 18 h.
DOLE
- Ancien couvent des Carmélites : visite guidée de
l’ancien couvent et de l’ermitage des surs, assurée par
un guide conférencier. RdV : 14 h, 15 h, 16 h, 17 h, cour
intérieure, 14, rue Mont-Roland. Gratuit.
- Chapelle des Jésuites : samedi et dimanche de 14 h
à 18 h. Gratuit.
- Collège clunisien Saint-Jérôme : visite libre et guidée de
l’auditorium Karl-Riepp. Samedi et dimanche de 14 h à
18 h.
- Collégiale Notre - Dame et clocher : RdV : 14 h 30, 15 h 30
et 16 h 30, au pied de la tribune de l’orgue.
- Collégiale, clocher, orgue : inscription obligatoire à
l’Office de Tourisme jusqu’au samedi midi. Gratuit.
- Conservatoire à rayonnement départemental : samedi
et dimanche de 14 h à 17 h. Gratuit.
- Eglise Saint - Jean : samedi et dimanche de 14 h 30 à
17 h 30. Gratuit.
- Hôtel-Dieu : présentation commentée de l’ancienne
pharmacie, du bureau de la Maîtresse et de la chapelle
par Renato Meneghel et les étudiants de BTS Tourisme
du Lycée Nodier.
- Hôtel de ville : samedi de 14 h à 16 h et dimanche de 10 h
à 12 h, visite libre (cour intérieure, salle du conseil, salon
d’honneur). Visite du bureau du premier magistrat de la
ville par Jean-Claude Wambst, maire de Dole. Gratuit.
- Maison des orphelins : samedi et dimanche de 14 h à
18 h. Gratuit.
- Musée de la Maison natale de Pasteur : sam et dim
de 14 h à 18 h. Gratuit.
- Musée des Beaux-Arts : dim à 14 h 30. Gratuit.
Palais de justice (ancien couvent des Cordeliers) : Samedi
et dimanche de 14 h à 18 h. Gratuit.
TAVAUX-DAMPARIS
- Visite commentée de l’église et du vieux cimetière de
Damparis : 9h, 10h, 11h, 14h, 15h, 16h.
- Le 14 septembre, Opération “Cités à Comparaître”.
Découverte en bus avec 4 arrêts et autant de saynettes
rappelant le contexte des années 30 et l’arrivée de Solvay
dans ce pays essentiellement rural. Durant deux heures,
le guide fera vivre cette épopée extraordinaire avec la
constructions des cités ouvrières, sa hiérarchisation, le
paternalisme, les anecdotes pendant que les comédiens
d’Alter Ego attendront le public à 4 endroits. Inscriptions à
l’Office de Tourisme Tarif : 9 euros. Contact : 03.84.72.11.22
- Le 15 septembre, 300 cartes postales anciennes seront
exposées à la salle des fêtes de Damparis. Plus d’un siècle
en images sera présenté.
“VERDI C’EST FOU”
EXPRESS
DAMPARIS
“HISTOIRE DE LA VIE SUR TERRE”,
EXPOSITION DE FOSSILES EST
MINÉRAUX
Du 21 au 26 septembre, la section de Dole du
groupe paléontologique et minéralogique de
Franche-Comté organise avec la mairie de
Damparis une exposition minéraux et fossiles
à la salle des fêtes. Les 21 et 22 septembre seront
ouverts au public, et le reste de la semaine aux
scolaires. Sur le thème “Histoire de la vie sur terre”,
l’exposition traversera toutes les époques, du
Précambrien (avec notamment un morceau de
roche datant de 4 milliards d’années !) à
aujourd’hui, en passant par l’Ere Primaire et le
Jurassique. “Chaque étage géologique sera
représenté, avec un ou deux spécimens” précise
Robert Donet, vice-président de la section doloise
du groupe. Du côté des minéraux, les vitrines
présenteront les différentes sortes de
cristallisation des minéraux, et leur échelle de
dureté, du talc au diamant.
DOLE
UNIVERSITÉ OUVERTE :
POUR SES 30 ANS, ENCORE PLUS
DE CONFÉRENCES !
L’antenne doloise de l’Université ouverte fera sa
rentrée le 25 septembre à 17 h au Manège de
Brack à Dole. Trente années après sa création,
l’antenne doloise de l’Université ouverte attire
toujours autant de curieux, voguant chaque
saison autour d’une culture riche et foisonnante.
Ses 400 adhérents sont libres d’assister aux
conférences doloises, mais aussi à toutes celles du
programme régional. La rentrée sera ouverte à
tous, à l’instar des premières conférences de
chaque cycle accessibles aux non-adhérents. Le
prix de l’inscription à l’antenne doloise est de
64 euros et donne accès à l’ensemble des cours. Le
programme intégral sera remis lors de la rentrée,
le 25 septembre de 17 h à 20 h au Balcon du
Carroussel (Manège de Brack, place Barberousse).
LA COMMANDERIE
LE SPECTACLE DE LA RENTRÉE !
MELTING POTES, LE 28 SEPTEMBRE
À 20h30
A l’occasion du bicente­
naire de la naissance du
célèbre compositeur
italien, la compagnie
doloise Alter Ego s’est
lancé dans un pari fou :
retracer la vie de Giu­
seppe Verdi au sein d’un
spectacle mêlant théâ­
tre, chœur, chant et
musique. Une ode qui
rend hommage au génie
romantique dans toutes
ses dimensions. “J’ai
rétrécit le texte de
Florence Forgeot, soprano
départ pour y insérer
plus de musique et plus
d’airs, car c’est ce que les gens attendent” explique
Patrice Ducordeaux, l’auteur du scénario et de la mise
en scène. Deux personnages dérouleront la vie du
compositeur : Verdi lui­même et Falstaff. Quand ils
évoqueront la création des œuvres, les airs seront lan­
cés. “Ce spectacle est un bon ambassadeur de l’opéra,
tout en restant populaire” reprend Patrice Ducordeaux.
Un chœur de 120 choristes a été spécialement recruté
pour l’occasion, et sera dirigé par Florence Forgeot.
C’est 35 musiciens, chanteurs et chanteuses qui se
réunissent pour donner au profit de l’enfance en
difficulté. Composée de musiciens pour la plupart
professionnels et venant de tous musicaux,
Melting Potes propose un répertoire varié, de
Goldman à Aznavour, Phil Collins, de Tina Turner
à Adele, dans un esprit bon enfant et sans se
sérieux. Depuis 10 ans maintenant, ils ont réuni
à Dijon prêt de 15 000 spectateurs et de 60 000 €
à différentes associations locales.
Une troupe de nouveau cirque légendaire en
France, installée en Ardèche. Plein d’artistes de
haut niveau, d’horizons et de disciplines diffé­
rentes : clowns, acrobates, musiciens qui font
des trucs incroyables, sur un fil ou sur un tram­
poline, ceux qui jonglent avec des objets
improbables, des acrobates au sol ou sur cycle,
un gars qui semble avoir avalé une batterie...
Le 13 octobre à la Collégiale de Dole, le 12 octobre à
l’Oppidum de Champagnole, et le 3 novembre à Tavaux.
De 10 à 15 euros. Mardi 1er octobre à 20 h 30
à La Commanderie de Dole
CIRQUE EN CASCADE
CABARET INÉDIT
LE 1er OCTOBRE À LA
COMMANDERIE DE DOLE
Contact : Jean-Pascal Couton 06 74 45 15 45
loisirs 21
Pays Dolois n°152 - Sept. 2013
Scènes du Jura
Le début d’une belle saison...
La nouvelle édition sera présentée le 13 septembre à 20 h
et sur le bassin lédonien le 14 septembre. Les deux soirées
commenceront à 20 h aux théâtres des villes respectives.
L’entrée est libre mais soumise à réservation.
Scènes du Jura est une scène conventionnée de multi­sites jurassiens. Ces principales missions sont le sou­
tien à la création contemporaine, la diffusion de spectacles vivants ainsi que la mise en place d’une politique
d’éducation artistique et culturelle.
Auteurs en résidence et label “Scène Nationale”
Qu’a changé l’attribution du label “Scène Nationale” en avril 2013 par Aurélie Filippetti, ministre de la Cul­
ture et de la Communication ? Concrètement plus de budget, une programmation étoffée et une politique
menée depuis 4 ans par sa directrice, Virginie Boccard en matière d’accessibilité de la création contempo­
raine au plus grand nombre qui s’en trouve renforcée. Cela a permis à Scènes du Jura de soutenir son pro­
gramme d’auteurs en résidence. Une manière de rester proche des racines jurassiennes en travaillant avec
des artistes du cru pour la saison à venir quelle que soit leur spécialité dans les arts vivants.
Des têtes d’affiches
Parmi les figures marquantes de la nouvelle saison, le chanteur suisse Stephen Eicher. De l’incontournable
’’Déjeuner en paix’’ au nouvel opus de l’artiste ’’ L’envolée’’, le spectacle promet d’être au rendez­vous.
Tout aussi connu mais dans un autre registre, Arno approuvera les foules de ses bonnes paroles. Mêlant gui­
tares acoustiques et électriques alliées au charisme d’un chanteur qui n’a pas sa langue dans sa poche, celui
qui a arrêté de boire pour se consacrer à la scène
vous promet un cocktail détonnant.
Destination l’Espagne
Bien que dans l’esprit, Scènes du Jura reste forte­
ment ancré sur son département natal, le dispo­
sitif met à l’honneur chaque année la culture
d’un pays étranger. Cette année le public juras­
sien découvrira l’Espagne. Du 13 au 23 mai 2014,
plusieurs spectacles présenteront le pays sous
divers aspects : des plus typiques de la culture
espagnole avec le flamenco aux moins connus
comme le théâtre.
Claire Jacquesson
Plus de détails sur http://www.scenesdujura.com
FÊTE DU CHEVAL
DIMANCHE 22 SEPT. 2013
À parr de
14 h
Entrée gratuite
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de dressage et d’obstacles,
carrousel, etc.
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22 loisirs
BESANÇON
Pays Dolois n°152 - Sept. 2013
66e festival de musique
Du 13 au 28 septembre, le 66e festival de musique de Besançon Franche­Comté investira les lieux de concerts de
la région. Classé parmi les plus anciens et les plus prestigieux festivals de musique en France, cet événement, ouvert
aux récitals et à la musique de chambre, fait chaque année la part belle au répertoire symphonique. Comme pour
chaque édition, le festival est couplé au Concours international de jeunes chefs d’orchestre (16 au 21 septembre),
un des concours les plus côtés dans sa catégorie.
Programmation : http://www.festival-besancon.com/
La Rodia fait sa rentrée
Après une grosse préparation estivale, La Rodia repart pour un trimestre riche et dense avec des découvertes, des
stars internationales, des artistes nationaux, deux festivals, des rencontres, des formations... Après son succès de
rentrée en 2012 (3000 spectateurs, 29 groupes), la salle de musiques actuelles bisontines veut réitérer ce succès.
Les trois soirées s’articuleront autour de trois esthétiques musicales distinctes : electro / swing le 26 septembre,
pop / rock le 27, et hip­hop / dubstep / electro le 28 septembre.
Programmation : www.larodia.com/
DIJON Réouverture du Muséum
Le Muséum du Jardin des sciences de la ville de Dijon a rouvert ses portes au début de l’été, après deux années de
travaux portant sur la rénovation des espaces muséographiques. Entre connaissances scientifiques actuelles et sen­
sibilisation citoyenne, découvrez l’importance de la préservation de la biodiversité, enjeu fondamental du dévelop­
pement durable.
Museum Jardin des Sciences de l'Arquebuse - 1, avenue Albert 1er (Pavillon de l'Arquebuse) et 14, rue Jehan de Marville
(Pavillon du Raines) Dijon. Tél. 03.80.48.82.00
LA ROUTE DES VILLAGES…
Mercredi 11 Septembre
Publics. Eglise St-Jean à 20 h. Billeterie
cure de Dole, 9 rue Carondelet. Tél.
03.84.72.20.25
Dole
Le club vous propose : Gym douce
maintien en forme le mercredi et le
vendredi de 10h à 11h à l’école Pointelin
à Dole salle de boxe ; Tonic gym le
mercredi de 20h15 à21h15 à l’école Rockefeller à Dole et le vendredi de 12h15 à
13h15 à l’école Pointelin salle de boxe.
Reprise des cours et séance découverte
gratuite le mercredi 11 septembre
Vendredi 13 Septembre
Marché de producteurs locaux
Programme des journées
européennes du patrimoine 2013
Club de gym
“Concorde Maintien en forme”
Fraisans
Une trentaine de producteurs locaux
proposent leurs produits ou production sur la place de l'Islote, de 16 h à
20 h. Marché uniquement alimentaire.
Un moment convivial par excellence
animé par quelques airs d'accordéon.
L'association Articom, organisatrice des
marchés récupère aussi à cette occasion bouchons en plastique et
anciennes lunettes de vue ou solaire
dans un but humanitaire.
Les diablesses reprennent du service
Pleure
Reprise des entraînements de danse
les mercredis de 17 h à 19 h 15 selon
l'âge à la salle des fêtes. Inscription au
préalable car places limitées. Renseignements auprès de Magali au
06.49.25.84.56 pour les filles de 4 à
14 ans. Groupe de danse moderne,
pompon girls, majorette ...
Marché bio
Saint-Loup
Marché bio de producteurs locaux de
16h30 a 19h au centre du village
Jeudi 12 septembre
Spectacle musical
Chaussin
"Operation Lunapolis", Cie Chickadee.
Spectacle musical organisé par la
médiathèque à 20h30 à la salle des
fêtes. Tout public - Durée : 1h40’.
Samedi 14 Septembre
Voir programme en page 20
Kermesse et concert solidaire
Franxault
Soutenue par l'association PITCH ADO,
les habitants de Franxault se mobilise
pour COUP D'POUCE, organisation
dijonnaise qui aide les enfants
atteints du cancer en Bourgogne par
le biais du service d'hémato oncologie
pédiatrique du CHU de Dijon. Dès
14h : dans le Parc au centre du village,
grande kermesse solidaire avec de
nombreuses animations et avec la
présence notamment de Bilel
Latrèche, d'une délégation de Miss
Prestige et de Super Mamie 2012 ! Dès
20h30 : Concert gratuit à l'église de la
chorale "La Vouge au Choeur" d'Aubigny en Plaine. 70 choristes reprennent
des grands standards de la chanson
française, de Bourvil à Johnny Hallyday
en passant par Cali ou Yannick Noah !
Mardi 17 Septembre
Cours de Yoga
Chaussin
Reprise des cours à 19h. Inscription
à 18 h 30 à la salle Jean Guillemot.
Concert du groupe chrétien
“Héritage” - Cantiques & Hymnes
Dimanche 22 Septembre
Dole
Sébastian Demrey et Jimmy Lahaie en
concert avec leurs musiciens. Tous
Chaussin
Loto organisé par le Cercle des
Nageurs Dolois salle des fêtes à 14 h.
Loto
Concert
Chaussin
Concert de la Saint Maurice 17 h en
l’église de Chaussin. A la trompette :
Tomoko Ono ; à l’ orgue : Akiko Kan
Dieu. Tarif : adulte 10 € ; 5 € pour les
moins de 16 ans
Vendredi 27 Septembre
Concert
Villette-Les-Dole
Concert avec le groupe Hérit'âges qui
interprète les plus beaux standards de
la chanson française. Salle polyvalente,
20 h 30.
Samedi 28 Septembre
Séance "Bébé lecteurs"
Chaussin
A 11h, séance "Bébé lecteurs" à la
médiathèque. Pour les enfants de 0 à
2 ans. Venez passer un bon moment
autour des livres avec votre tout-petit.
Les 28 et le 29 Septembre
Grande Foire d’automne
Longwy-Sur-Le-Doubs
700 à 800 exposants et attire près de
50 000 visiteurs sur 11 hectares de foirail et 22 hectares de parkings aménagés. Ouverture de la Foire, dès 8 h du
matin. Parking visiteurs : 5 € par véhicule – Accès libre à la foire.
Journée à Paris
Losne
Le comité des fêtes de Losne organise
une journée à Paris. Tarif : transport :
40 € Départ : 5h, retour : 23 h. Renseignements et inscriptions : 03 80 77 92 43
ou 06 66 61 36 74
Dimanche 6 Octobre
Vide-greniers de la maison du
Patrimoine
Saint-Aubin
Vide-greniers autour de la maison du
Patrimoine 2 € le mètre pour les exposants, entrée gratuite visiteurs. De 7 h
à 18 h. Sans réservation
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Trier, ce n’est pas très compliqué et pourtant, nous sommes autour de 23 % d’erreur de tri. Autrement dit, plus d’1 déchet sur 5 mis en bac couvercle jaune ne devrait pas y être !
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CARTONETTES
Bouteilles et flacons
Pour des raisons techniques et économiques, les gros cartons
ondulés, marron, ne sont pas à mettre en bac couvercle jaune,
destiné aux Emballages Recyclables Ménagers
À déposer en déchèterie
Déchèterie
BOUTEILLES, BOCAUX ET POTS EN VERRE
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Seuls les emballages en verre sont à mettre en point d’apport
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Les plastiques enveloppant les revues sont à enlever, les
mettre dans le bac d’Emballage Ménagers Recyclables,
couvercle jaune, s’ils sont étirables.
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