Air France : 70 ans au service du Sénégal

Roissy, Dakar, le 12 mai 2006
N° 5053
Air France : 70 ans au service du Sénégal
Air France fête cette année le 70ème anniversaire de la liaison passagers Paris-Dakar : le 31 mai
1936 en effet, la compagnie inaugurait son premier service hebdomadaire entre la France et le
Sénégal en trimoteur Dewoitine 338. Ces avions transportaient 15 passagers à la vitesse de
275 km/h.
« Dakar occupe depuis lors une place éminente dans l’histoire de la compagnie », a déclaré
Jean-Claude
Cros,
directeur
général
du
réseau
Afrique/Moyen-Orient
d’Air
France.
« Aujourd’hui, la desserte du Sénégal s’inscrit dans notre stratégie de développement mondial.
Entre Roissy-Charles-de-Gaulle et Dakar-Yoff, Air France exploite ses avions les plus
modernes. Nous dotons cette escale des outils technologiques les plus avancés. Nous y avons
créé une cellule d’experts pour la préparation des documents nécessaires au chargement de
nos appareils sur l’ensemble du continent africain, hors Maghreb. Air France est et sera toujours
fidèle à l’Afrique. »
L’histoire de l’escale de Dakar se confond avec l’histoire de l’aviation : c’est d’ici que Jean
Mermoz s’élance à la conquête de l’Atlantique Sud. C’est là qu’Antoine de Saint-Exupéry
effectue en 1937 un voyage d'études pour Air France et le ministère de l'Air. Dakar fut aussi la
première destination commerciale du Concorde, en route pour Rio de Janeiro, le 21 janvier
1976.
Aujourd’hui, Dakar est reliée tous les jours à Paris en 5 heures et 45 minutes en Boeing 777200 équipé de 270 sièges. Les horaires de la ligne sont spécialement aménagés pour assurer à
la clientèle de très nombreuses correspondances à Roissy. Avec un trafic de près de 160 000
passagers par an, Dakar se classe parmi les tout premiers marchés d’Air France en Afrique.
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Air France emploie 144 agents au Sénégal. Onze d’entre eux constituent l’équipe responsable
de la préparation des documents de chargement pour les 5 000 vols de la compagnie décollant
chaque année de 23 aéroports d’Afrique. Ces documents réglementaires sont envoyés par
liaison électronique ou par satellite aux escales concernées pour être soumis à la signature des
commandants de bord, avant chaque départ pour Paris.
« Dakar est, avec Roissy, la seule escale d’Air France à accueillir un tel dispositif transnational »
a commenté Jean-Claude Cros. « La centralisation des devis de masse et de centrage, c’est
l’assurance d’une sécurité des vols renforcée et d’une ponctualité encore améliorée. Déjà,
d’autres opérateurs tels qu’Air Austral ou l’Armée de l’Air font appel à ce service. Bientôt, plus
de 7 000 vols par an seront traités à Dakar. Les personnels d’Air France au Sénégal peuvent en
concevoir une fierté légitime. »
Le dossier de presse complet peut être consulté sur www.airfrance.com/corporate
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LE CENTRE D’ELABORATION DOCUMENTAIRE DE DAKAR
(CENTRALIZED LOADING DOCUMENTS / CLD) :
ASSURER LE CHARGEMENT DE 7 300 VOLS PAR AN EN TOUTE SECURITE
Le centre d’élaboration documentaire de Dakar (CLD) a été mis en service le 1er août 2003.
Dix agents et un chef de service très qualifiés y ont a la responsabilité de la préparation du
chargement des vols au départ d’Afrique (passagers, bagages et fret). Les documents
réglementaires (plans et états de charge) sont envoyés par liaison électronique ou par satellite
aux escales concernées pour être soumis à la signature des commandants de bord avant
chaque départ pour Paris.
Les vols Air France au départ des 23 escales passagers en Afrique sont traitées par le CLD :
Dakar depuis août 2003, Nouakchott (septembre 2003), Conakry et Djibouti (janvier 2004), Port
Harcourt (mars 2004), Lagos (avril 2004), Johannesbourg (mai 2004), Luanda (juin 2004),
Yaoundé et Douala (janvier 2005), Cotonou et Kinshasa (février 2005), Niamey et
Ouagadougou (mars 2005), N’Djamena, Bangui et Libreville (juillet 2005), Abidjan, Brazzaville,
Pointe-Noire et Malabo (août 2005), Lomé (septembre 2005) et Bamako (octobre 2005).
Actuellement, 5 000 vols Air France sont traités dans l’année, auxquels il faut ajouter près de
370 vols en Airbus A310 de l’Armée de l’Air française ainsi qu’une centaine de vols Air Austral
au départ de Johannesbourg.
Le traitement des vols d’Air France Cargo au départ de Dakar a débuté en février 2006. Dans
les mois qui viennent, le CLD préparera les chargements des vols cargo au départ de Koweit
(avril 2006) puis de Djibouti, Dharan, Nairobi, Djeddah et Abu Dhabi.
D’ici la fin 2006, le nombre total de vols traités en année pleine s'élèvera à environ 7 300.
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Opérationnel 24 heures sur 24, le CLD est installé dans de nouveaux locaux à l’escale de
Dakar-Yoff depuis le 1er mai 2005. Il occupe une surface de 63 m² et est équipé de :
6 postes de travail (dont quatre avec double écran), reliés aux applications informatiques
centrales d’Air France.
1 poste en « back-up » avec accès à internet en haut débit
30 lignes téléphoniques
1 téléphone portable et 1 téléphone Iridium (liaison satellite)
L'alimentation électrique est fournie par la SENELEC (société nationale d'électricité du Sénégal)
au moyen d’un câble dédié. Cette alimentation est secourue par un groupe électrogène dédié
également, ainsi qu'un onduleur protégeant les installations informatiques et de communication.
Le CLD représente un investissement d’environ 75 000 d’euros, soit 50 millions de francs CFA.
Les agents du CLD se sont impliqués dans une démarche « ISO » pour valider leur activité.
Pas moins de 180 heures ont été nécessaires pour analyser les processus du traitement des
vols. A l’issue de ce travail, un protocole a été signé entre l’escale de Dakar et la direction
Afrique/Moyen-Orient d’Air France.
Unique en son genre en Afrique, le CLD répond à la volonté d’Air France de maintenir ses
services en Afrique aux meilleurs standards de qualité et de professionnalisme.
Son développement s’inscrit dans un plus large ensemble, mis en oeuvre par Air France, en
partenariat avec les autorités locales, les prestataires de services et les aéroports. Ce dispositif,
appelé « AIDA » et localisé dans plusieurs Etat africains (Mali, Sénégal, Gabon, Congo…), vise
à renforcer la sécurité du traitement des vols en Afrique.
C’est dans ce cadre que la compagnie a constitué à Libreville (Gabon) une agence fournisseur
d’ingénierie informatique pour l’ensemble de ses escales et agences en Afrique et au MoyenOrient, ainsi qu’auprès d’une douzaine de sociétés clientes.
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De même, l’Institut Africain des Métiers de l’Aérien (IAMA) a ouvert ses portes à Bamako
(Mali) en novembre 2005. La vocation de cette structure, financée en partenariat avec
l’ASECNA (Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar) et Air
France, est d’assurer la formation des personnels des compagnies d’assistance aéroportuaire,
des compagnies aériennes africaines, des transitaires et des agences de voyage.
Les formations dispensées par l’IAMA sont aux normes réglementaires internationales et
nationales de l’OACI et de la DGAC. Elles sont divisées en deux catégories :
Réglementation (exemple : stage « marchandises dangereuses »)
Technique des métiers (exemple : stage « enregistrement »)
Des formations délocalisées sont également proposées dans plusieurs pays africains afin d’en
faciliter encore plus l’accessibilité.
L’institut emploie huit instructeurs et accueillera environ 1 500 stagiaires la première année de
fonctionnement.
Enfin, Air France a mis en place une équipe dédiée de cinq experts, dont la mission est
d'assister et de conseiller les différentes sociétés d'assistance aéroportuaire en matière
d'équipements au sol : après un audit complet de l'existant, ces experts sont capables de
mettre en oeuvre des mesures très concrètes s'agissant de l'entretien curatif et préventif des
matériels de piste, du dimensionnement des parcs, des plannings d'entretien, d'organisation, de
contrôle qualité et de formation.
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HISTORIQUE DE LA DESSERTE DU SENEGAL PAR AIR FRANCE
1919 – 1933 : l’ère des pionniers
En 1919, Pierre-Georges Latécoère et Beppo de Massimi, tous deux passionnés d’aviation,
décident de réaliser un rêve : créer une ligne aérienne commerciale entre la France et
l’Amérique du Sud. Le 23 décembre de cette année, le lieutenant de vaisseau Lefranc, venu
d’Agadir, parvient à poser son hydravion Donnet-Denhau dans la baie de Dakar.
La première traversée aérienne du Sahara est réalisée en 1920 par le commandant Vuillemin et
le lieutenant Chalus : leur Bréguet 16 a pour itinéraire Paris – Alger -
Tamanrasset -
Tombouctou et Dakar, où ils arrivent le 31 mars, après 42 jours de voyage !
En octobre 1927, les lignes Latécoère sont reprises par l’Aéropostale. Déjà, le courrier est
acheminé en quelques heures entre la France et le Sénégal, alors que dix jours sont
nécessaires par bateau.
Enfin, le 12 mai 1930, l’équipage Mermoz-Dabry-Gimié, aux commandes du Latécoère 28
« Comte de La Vaulx » effectue la première liaison entre Dakar et Natal, au Brésil, en 21 heures
d’un « vol sans histoire ».
1933 – 1940 : à la conquête de l’Atlantique Sud
Piloté par Mermoz, le trimoteur « Arc en Ciel » décolle du Bourget le 12 janvier 1933 avec six
personnes à bord. Après deux escales à Istres et à Port-Etienne, l’appareil quitte Saint Louis du
Sénégal le 16 janvier et atterrit le jour même à Natal, après 14 heures et 27 minutes de vol.
Dès le 29 octobre 1933, soit 22 jours seulement après la création d’Air France, la compagnie
inaugure une liaison postale entre Marseille, Dakar et Santiago du Chili.
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Le 31 mai 1936, le premier service hebdomadaire Paris-Toulouse-Dakar d’Air France est ouvert
au trafic de passagers. La ligne est assurée en trimoteur Dewoitine 338 à la vitesse de 275
km/h.
En janvier 1937, Antoine de Saint-Exupéry effectue un voyage d'études pour le compte d'Air
France et du ministère de l'Air. Ce voyage, long de 15 000 km, suit l’itinéraire suivant : Le
Bourget, Marseille, Casablanca, Tindouf, Bamako, Dakar. Le retour reconduit le célèbre piloteécrivain au Bourget via Atar, Fort Gouraud, Tindouf, Oran et Alger.
Jusqu’en 1939, Air France relie régulièrement Dakar à l’Europe et à l’Amérique du Sud avec
une fréquence hebdomadaire puis bi-hebdomadaire.
La 512ème et dernière traversée entre Natal et Dakar est effectuée le 2 juillet 1940 par le
Farman F-AQCX « Ville de Natal » piloté par Marcel Reine.
De 1946 à nos jours : l’essor de la ligne en grandes étapes
Bouleversé par la guerre, le réseau aérien français se réorganise rapidement.
La ligne d’Air France Paris-Dakar via Casablanca est ouverte aux passagers le 23 juin 1946 par
le DC4 F-BBDI. Cette ligne est prolongée sur Recife, Rio de Janeiro, Montevideo, Buenos Aires
et Santiago du Chili.
Les premiers vols sans escale Paris-Dakar sont effectués à partir du 1er décembre 1952, grâce
à la mise en service du Super Constellation. Ces vols, offrant à la clientèle des fauteuilscouchettes, sont appelés « Etoile de Dakar ». Le voyage dure dix heures.
Le Sénégal entre dans l’ère des jets en avril 1960, avec la première liaison Paris-Dakar
effectuée en Boeing 707.
Le 28 décembre 1971, la Caravelle F-BHRC « Anjou » est aménagée par Air France pour la
présidence de la République du Sénégal. L’avion est convoyé de Toulouse à Dakar après avoir
subi, dans les ateliers du centre de révision de Montaudran, les travaux de grande visite et les
aménagements nécessaires.
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Air France met en ligne le Boeing 747 sur Paris-Dakar le 1er juin 1973.
Le 21 janvier 1976, le Concorde effectue la première escale commerciale de son histoire à
Dakar. Le supersonique est accueilli à Yoff par le président Léopold Sédar Senghor.
Aujourd’hui, la ligne Paris-Dakar est assurée tous les jours en Boeing 777-200 de 270 sièges
dont 12 en cabine l’Espace Première, 56 en cabine l’Espace Affaires et 202 en cabine Tempo.
Les vols partent à 16h30 du Terminal 2E de l’aéroport Charles-de-Gaulle. Ils arrivent à 20h15
locales à Dakar. La durée du parcours est de 5 heures 45 minutes.
Au retour, les vols partent de Dakar à 23h00 et arrivent le lendemain à Roissy-CDG2E à 6h20.
La durée du voyage est de 5 heures 20 minutes. (La différence de temps de vol avec le sens
nord-sud est due à l’effet des vents en haute altitude).
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AIR FRANCE EN AFRIQUE
DES ATOUTS STRATEGIQUES FACE A UNE CONCURRENCE RENFORCEE
Le chiffre d’affaires annuel « passage » Afrique / Moyen-Orient s’élève à 1,92 milliard d’euros
soit + 9,6% (groupe AIR FRANCE KLM, avril 2004 à mars 2005).
L’activité des lignes Afrique / Moyen-Orient représente 13,6% du chiffre d’affaires total
« passage » d’AIR FRANCE KLM
1) Une concurrence renforcée
Air France proposait, à l’été 2001, 82 fréquences hebdomadaires entre la France et l’Afrique.
Les compagnies concurrentes, principalement Air Afrique, Air Gabon, Cameroon
Airlines,
Sabena et Swissair, exploitaient alors 258 fréquences.
A l’été 2006, Air France offre, sur la même zone, 104 fréquences hebdomadaires, soit une
augmentation de 27% en 5 ans. Or, pour leur part, les compagnies concurrentes actuelles
assurent 435 possibilités d’acheminement hebdomadaires de et vers la France, directes ou via
leur hub, soit une augmentation de 69%.
Ainsi, on observe :
la croissance des compagnies du Maghreb, en particulier Royal Air Maroc, Air Algérie ou
Afriqiyah qui ont développé des hubs nord-sud puissants,
le développement de nouvelles compagnies africaines qui prennent également place sur
le marché, comme Air Sénégal (groupe RAM)
le retour des compagnies européennes (SN Brussels, Swiss),
l’émergence d’opérateurs dits « de sixième liberté », captant en particulier des trafics
Afrique/Asie (Emirates, Ethiopian, …)
Face à cette concurrence, Air France dispose d’atouts stratégiques qui permettent à la
compagnie
de
remporter
la
confiance
de
sa
clientèle :
un
réseau
puissant,
complémentaire avec celui de KLM, des hubs efficaces, des services aux standards
internationaux, le maintien d’une relation durable et stable avec l’Afrique.
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2) Les atouts stratégiques d’Air France en Afrique
Un réseau étendu : 23 destinations, 104 vols par semaine, 20 pays desservis
(programme été 2006) …
23 DESTINATIONS
104 VOLS PAR
SEMAINE
20 PAYS
Abidjan
7
Côte d’Ivoire
Bamako
7
Mali
Bangui
1
République Centrafricaine
Brazzaville
3
Congo
Conakry
4
Guinée
Cotonou
5
Bénin
Dakar
7
Sénégal
Djibouti
1
Djibouti
Douala
7
Cameroun
Johannesbourg
10
Afrique du Sud
Kinshasa
3
Rép.Démocratique du Congo
Lagos
7
Nigeria
Libreville
4
Gabon
Lomé
5
Togo
Luanda
1
Angola
Malabo
4
Guinée Equatoriale
N’Djamena
5
Tchad
Niamey
2
Niger
Nouakchott
6
Mauritanie
Ouagadougou
5
Burkina Faso
Pointe Noire
3
Congo
Port Harcourt
4
Nigeria
Yaoundé
3
Cameroun
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… très complémentaire avec celui de KLM.
Ensemble, Air France et KLM sont leaders entre l’Europe et l’Afrique, avec 24 % de part de
marché. Air France est traditionnellement présente en Afrique de l’Ouest et en Afrique centrale.
KLM, qui assure 57 fréquences par semaine sur le continent, est bien représentée en Afrique
orientale, notamment grâce à son alliance avec Kenya Airways. La complémentarité des
réseaux est évidente. Sauf pour Johannesbourg et Lagos, les destinations africaines de KLM ne
sont pas desservies par Air France : Abuja (Nigeria), Kano (Nigeria), Accra (Ghana), Addis
Abeba (Ethiopie), Le Cap (Afrique du Sud), Dar es Salam (Tanzanie), Entebbe (Ouganda),
Khartoum (Soudan), Kilimandjaro (Tanzanie), Nairobi (Kenya).
Une majorité de passagers en correspondance qui profite de l’efficacité des hubs de
Roissy et d’Amsterdam
Près de 60% des clients d’Air France de et vers l’Afrique sont en correspondance à Paris, vers
les Etats-Unis, l’Asie, l’Europe ou la province française. Le hub de Roissy est aujourd’hui le plus
efficace d’Europe, en termes de possibilités de correspondances, loin devant Heathrow,
Francfort ou Munich. Le hub d’Amsterdam-Schiphol est reconnu pour la qualité de ses
prestations. En un mot, passer par Roissy ou par Amsterdam, c’est avoir plus de choix
d’horaires et de tarifs que par un autre hub européen.
Une gamme de services aux standards internationaux
La gamme de services proposée par Air France a fortement évolué. Face à une concurrence
particulièrement agressive, Air France offre un service reconnu comme de tout premier ordre
par la clientèle internationale : flotte ultra-moderne, prestations au sol et à bord aux standards
internationaux, programme de fidélité « Flying Blue » permettant d’accumuler des Miles et de
gagner des primes (billets gratuits, …) sur Air France, KLM, des dizaines de compagnies
aériennes et d’autres partenaires (hôtels, loueurs de voitures …).
Au service de l’économie africaine, la compagnie a innové en janvier 2004 en lançant Dedicate :
des lignes régulières et des vols directs pour faciliter les voyages professionnels vers les
chantiers, sites de production et zones d’activités économiques même dans les régions les plus
éloignées. C’est ainsi qu’Air France a lancé les dessertes de Pointe Noire en République du
Congo et de Malabo en Guinée-Équatoriale.
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Enfin, Air France propose régulièrement à sa clientèle d’importantes promotions tarifaires. Par
exemple, pour des voyages en mai et juin 2006, Air France a mis en vente des billets à partir
de 420 euros, aller et retour, vers des destinations telles que Bamako, Dakar, Libreville ou
Abidjan. Au départ d’Afrique, Air France propose l’aller et retour Dakar-Paris pour 280 000
francs CFA (transport jusqu'au 23 juin) ou Bamako-Paris pour 250 000 francs CFA.
Air France : une relation durable et stable avec l’Afrique.
Air France est présente en Afrique depuis 70 ans et a toujours montré sa fidélité dans les
périodes difficiles : l’Angola pendant la guerre de libération, la Côte d’Ivoire aujourd’hui. La
compagnie a même renforcé ponctuellement sa présence, à la demande expresse des Etats
africains, après la disparition d’Air Afrique, de Sabena et de Swissair en 2001. Enfin, Air France
assure la pérennité de ses lignes quand certaines offres concurrentes ne sont que saisonnières.
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