the sweetness of a saffron wind

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the sweetness of a saffron wind
Nouvel album sortie le 10 juin 2013
THE SWEETNESS OF A SAFFRON WIND
Création 2013 (MK production/ MVS Anticraft) Sortie 10 juin 2013
META
META (voc, perc) JOSHUA LEVITT (sax, flûte) DAVID EL MALEK (T sax) MICHAEL FELBERBAUM (guitare) PIERRE DE BETHMANN (piano) FRANÇOIS MOUTIN (contrebasse) KARL JANNUSKA (drums) C’est un doux vent qui souffle sur ce disque. Un vent de safran, qui porte un chant
irradiant. Un chant qui raconte, entre les lignes, l’histoire de son auteur, Messaoud
Kheniche, alias Meta. Référence au personnage représentant la petite flamme d'une
publicité pour le méthane, ce surnom lui fut donné dans sa jeunesse. Bientôt le
gamin né à Vichy au printemps 1968 sera habité par le feu de la musique, cette
bande-son de ses vertes années où se croisent Oum Keltoum et Police, Roxy Music
et Touré Kunda, The Beatles et puis Miles Davis. Car c’est à la suite d’un concert
du trompettiste avec Al Foster, en 1988, qu’il choisit sa voie : ce sera le jazz au
CMCN (Centre Musical et Créatif de Nancy), où il suit les cursus de batterie, chant
et percussions. « Le jazz permet la libre expression des émotions, tout à la fois
précise lorsqu'elle est conçue en studio et abstraite lorsqu'elle est jouée sur
scène. »
Cette dualité, entre mélodie finement composée et improvisation subtilement
débridée, constitue l’un des axes permanents de la carrière de Meta, rythmicien
hors pair qui va s’illustrer sur la scène parisienne à partir du mitan des années 1990.
Il s'installe dans la capitale du jazz européen en 1995 à l'appel de François Moutin.
Dès lors, on le retrouve sur l'album Init du trio André Ceccarelli/N’Guyen
Lê/François Moutin, puis au sein de Bad Elephant, avec Daniel Casimir, Louis
Moutin, Linley Marthe et Michael Felberbaum. « Paris représente de façon
concrète l'ouverture vers les cultures du monde, les rencontres d'autres musiques,
d'autres milieux artistiques. Depuis 1996, le chanteur-percussionniste s’est illustré
dans de multiples contextes, sans gommer sa singularité : Nicolas Genest, François
Théberge, Lee Konitz, Jean-Christophe Chollet, Geoffroy de Mazure, (Nights in
Tunisia), Samy Thiébault… La liste est longue de ses participations dont il a
toujours sur tirer parti pour peaufiner sa propre vision des choses. « La leçon du
plaisir... », résume celui qui s’affirme aussi en leader. Il publie deux disques sous
son seul surnom : Secret History en 2001 et Epigram en 2008. Hormis Felipe
Saldivia, il a reconduit la même équipe pour ce nouvel album, The Sweetness Of A
Saffron Wind, dont le titre fait écho à ses origines « africaines ». Et quelle belle
équipe !
Jugez plutôt. Le pianiste Pierre de Bethmann dont « la générosité est un précieux
facteur de cohésion du groupe et l’ouverture musicale me permet d'exploiter au
maximum mes capacités d'improvisation et de prise de risque ». Le batteur Karl
Jannuska dont Meta ne manque pas de souligner l’ouverture d’esprit, la subtile
légèreté de jeux, le sens de l'écoute et l'intérêt pour la chanson, « un de nos traits
communs ». Quant au guitariste Michael Felberbaum, ami de longue date, il
souligne « sa créativité peu commune, la couleur abstraite et inattendue de son son
de guitare, la profondeur de son sens mélodique et son bonheur de partager cette
musique ». La section des deux soufflants se compose des saxophonistes Joshua
Levitt et David El Malek, tous deux fins connaisseurs des idiomes orientaux.
D’ailleurs, le premier troque plus d’une fois son sax pour le ney, le flûte des
derviches, et le second fait valoir la chaleur de son son. Au service des
compositions de Meta, l’un et l’autre ont aussi en commun d’intégrer le chanteurpercussionniste sur leurs propres projets. La musique ne se joue pas à un sens
unique. Enfin, last but not least, le contrebassiste François Moutin demeure
l’essentiel pilier, le complice depuis bientôt vingt ans. « Il m'a donné goût au jazz,
a l'improvisation et a nourri mon désir de développer tout le spectre de mon
potentiel artistique. Son amour de la musique, de toutes les musiques, son
investissement total, son énergie inépuisable, sa curiosité, son sens du partage et
de la construction – ou de la déconstruction au sens musical du terme –, sa
créativité sans limite, son sens de l'écoute, son expérience et sa fidélité amicale et
musicale nourrissent mon désir de développer tout le spectre de mon potentiel
artistique. »
Le casting raconte les enjeux de sa musique, ouverte à bien des vents pour filer
l’allégorie. Pour Meta, cette aventure, s’il l’a composée seul, s’écrit au pluriel de
leurs personnalités. Il laisse à d’autres les histoires d’ego-trip, entendant d’ailleurs
le rôle du chanteur comme celui d’un musicien : au premier plan ou plus en retrait,
en fonction de l’intention. C’est aussi de cette oreille que Meta accorde aux mots
une place différente selon la thématique. Ici, il fredonne, susurre, les éclate en
syllabes enchantées, lance des onomatopées comme d’autres scattent ; là, il caresse
les mots, leur donne des faux airs d’esperanto ; plus loin, ses lyrics se font plus
explicites, sur des chansons qui ne masquent pas son goût pour la chanson, flirtant
avec la pop et le folk. « J’ai préparé cet album en donnant la priorité aux mélodies,
sachant que l'improvisation se développerait naturellement sur scène. », analyse
celui qui avoue pour maîtres chanteurs Sting, Al Jarreau, Bobby McFerrin. Et
comme ce dernier, son sens du verbe aiguisé s’appuie toujours sur une science du
rythme affûté. « Le rythme impose sa cadence à l’écriture, et dès lors le thème est
une évidence », reprend Meta qui a signé toutes les compositions, hormis la
chanson You're in Love, co-écrite avec François Moutin et le thème final,
« Ambivalence », hommage au « compositeur et arrangeur merveilleux, très
poétique » qu’est Vince Mendoza. Comme ce dernier, Meta joue sur les timbres et
les nuances, à la manière d’un coloriste qui épice de quelques traits subtils la trame
générale. Et justement, quand il s’agit de dépeindre son album, d’en donner la
couleur fondamentale, un seul mot lui vient : safran !
Jacques Denis
META
SORTIE DU NOUVEL ALBUM
The Sweetness of a Saffron Wind
Concert exceptionnel
le 5 juin 2013
au Café de la Danse PARIS
1ere partie The Grey Meadows
....................
Cette voix, c’est celle de l’étonnant Meta,
dont la présence ne vise pas à dire mais à chanter en s’imbriquant dans
les lignes mélodiques des compositions,
tel le plus ancien des instruments.
Entendu auprès de François Théberge ou de Nicolas Genest,
le vocaliste renoue dans la liberté de son scat avec quelque chose de
primordial, d’essentiel,
une sorte de protolangue qui nous ramène aux fondements immémoriaux
de la musique.
Vincent Bessières
....................
Inattendue, la voix de Meta, ample et granuleuse.
Une voix utilisée comme une couleur instrumentale insolite.
Alex Dutilh / Open jazz
....................
Le chant et le scat de Meta sont habités par une authentique énergie
créatrice.
Fip radio
....................
Un chanteur scatteur extraordinaire : Meta, qui rappelle les vocalises de
Kurt Elling ou Milton Nascimento.
Sa voix de chamane y passe du grave diphonique mongol aux aigus
yodelés des pygmées d’Afrique
pour créer ensuite une autre mélodie bouleversante.
Radio Judaïca / JDB
....................
Meta file un chant ourlé de mystère.
Fara C. / L’humanité
....................
Meta, un vocaliste onirique, rauque et arachnéen.
Music Story / Christian Larrède
....................
Instrument parmi les instruments, en lead ou en guest, Meta crée autour
de lui le mystère de la fusion
entremêlant ses volutes vocales au jeu de ses partenaires.
Au côté des fidèles des tout premiers albums, François et Louis Moutin,
Michael Felberbaum, Linley Marthe,
ou dans ses collaborations plus récentes avec Geoffroy de Mazure, Jasser
Haj Youcef, Jean-Christophe Cholet,
pour le projet « Nights in Tunisia » ou bien encore avec Samy Thiébault
pour l’album « Clear Fire »,
la voix de Meta imprime sa touche unique.
Sur son album précédent, « Epigram », sorti en 2008 chez Nocturne, Meta
laissait libre court à l’improvisation,
à l’interaction autour d'une partition ciselée.
Avec « The Sweetness of a Saffron Wind », il nous confirme son extrême
liberté,
son goût pour la diversité à travers cette histoire, musicale et poétique,
sublimée par des musiciens qui connaissent parfaitement son univers.
Meta - Voix, percussion
François MOUTIN - contrebasse
Michael FELBERBAUM - guitares
Pierre DE BETHMANN - Piano
Karl JANNUSKA - batterie
Joshua LEVITT - soprano, ténor sax, flûte ney
(ou)
David EL MALEK - ténor sax
Pierre de BETHMANN
Piano
Parisien né en 1965, de formation musicale classique, Pierre de Bethmann s’est tourné
assez tôt vers le monde du jazz. Poursuivant parallèlement ses études générales et le
travail du piano, il est d’abord diplômé de l’ESCP en 1987, puis complète son
apprentissage musical par un an au sein du Berklee College of Music à Boston en 1989.
Il est d’abord pianiste du trio Prysm, dont le parcours dépasse largement les frontières
hexagonales (quatre albums chez Blue Note) de 1994 à 2001. Il lance en 2001 un
nouveau projet, ilium, avec lequel il sort deux albums en 5tet, puis deux en 7tet –
Cubique, sorti en 2009 (label Plus Loin), ayant été créé à l’issue d’une résidence au
Théâtre de l’Onde, à Vélizy.
Son activité de sideman est également intense. Il a régulièrement joué avec le 4tet
Moutin Réunion, David El-Malek, Stéphane Huchard, Pierrick Pedron, Rosario Giuliani,
Géraldine Laurent, Michael Felberbaum, Christophe Dal Sasso, Pierre Perchaud,
Thomas Savy, Sébastien Jarrousse, Meta, Sonia Cat-Berro, Laïka Fatien, Denis
Guivarc’h, Olivier Ker Ourio, ou Jean-Christophe Béney. Et plus occasionnellement avec
Eddie Henderson, Dave Liebman, Aldo Romano, Philip Catherine, François Jeanneau,
Patrice Caratini, Rick Margitza, Eric Le Lann, Stéphane Belmondo, Stefano di Battista,
Flavio Boltro, Sylvain Beuf, François Théberge, Julien Lourau, Norma Winstone...
Il a aussi participé à d’autres types de projets musicaux : il a tourné avec le chanteur
américain James Taylor, le chanteur réunionnais Danyel Waro, la chanteuse brésilienne
Marcia Maria, et joué récemment avec le compositeur et organiste Thierry Escaich.
Assistant au Département Jazz et Musiques Improvisées du CNSM depuis septembre
2008, il intervient également au Centre des Musiques Didier Lockwood, et a donné
plusieurs cycles de masterclasses au Cefedem Aquitaine (2009), au Conservatoire
national de Montpellier (2003-2007), et à l’occasion de stages ponctuels organisés par
divers festivals (Buis les Baronnies, Capbreton, Marciac, Salon de Provence...)
Victoires du Jazz, 2008 – Album de l’année (Oui) Prix Django Reinhardt, 2004 – Musicien
français de l’Année Django d’Or, 1998 – Formation de l’année (Prysm) Premier prix du
Concours de La Défense 1994 (Prysm)
Michael FELBERBAUM
Guitare
Guitariste, compositeur et arrangeur américano-italien né à Rome, Michael Felberbaum
donne ses premiers concerts à l’âge de 15 ans dans les clubs de jazz romains.
Il s’installe aux États-Unis à 18 ans où il travaille avec Frank Lacey, Roy Hargrove,
Joshua Redman, Mark Turner, Antonio Hart, le poète Allen Ginsburg, les Marvelettes,
Maria Muldaur. Il s’investit également dans différents projets personnels au sein
desquels il affine son talent de compositeur. Parallèlement, il suit des cours de
composition et d’arrangement à la Berklee School of Music dont il sort diplômé Bachelor
of Music avec mention spéciale Magna Cum Laude.
De retour en Europe, il s’installe à Paris où il joue et enregistre avec entre autres Johnny
Griffin, Steve Lehman, Stefano Di Battista, Lee Konitz, Marc Copeland, Stéphane
Belmondo, Glenn Ferris, Pierre de Bethmann, Sunny Murray, George Brown, Hervé
Sellin, François Théberge, Sylvain Beuf, François et Louis Moutin, Brice Wassy,
l'Orchestre de la Lune, Jean Luc Fillon, Olivier Temime, David El Malek, Stéphane
Guillaume, l'Absolute Orkestra de Toufic Farroukh, Adel Shams El-Din et St. Germain.
Projets : trio 3 Elements avec le violoncelliste Dimos Goudaroulis et le batteur John
Betsch, le duo avec le tromboniste Daniel Casimir mais également ceux de Steve Potts,
François Théberge, Jean-Luc Fillon, Michel Donato, et le trio d´Emmanuel Bex et Aldo
Romano.
Discographie : [2006] Sweetsalt (Fresh Sound New Talent)
[2004] Sharp Water (Nocturne)
Karl JANNUSKA
Batterie
Karl a commencé la batterie à l’âge de 7 ans dans sa province natale de Manitoba
au Canada. Il a achevé une licence de musique en Jazz Performance avec High
Distinction à l’université McGill de Montréal. Bénéficiaire de bourses des Conseils des
Arts du Canada et du Québec en 1999, il a passé neuf mois à New York pour étudier
avec le batteur Tom Rainey.
Karl est devenu un des batteurs les plus demandés en France depuis son
déménagement à Paris en 2001. Il a joué et/ou enregistré avec Lee Konitz, Randy
Brecker, Brad Mehldau, Sheila Jordan, Dave Liebman, Mark Turner, Kurt Rosenwinkel,
Bojan Z, Kevin Hays, Hervé Sellin, Peter Bernstein, François Théberge, David Binney,
Ben Monder, David Linx, Rick Margitza et Sara Lazarus. Sa discographie comprend plus
d’une quarantaine d’enregistrements et son premier album en tant que leader et
compositeur, Liberating Vines, sorti en 2004 pour le label Effendi, a reçu un prix Opus
en qualité d’Album de l’année – Jazz / Musique du Monde. En 2004, le batteur a
également remporté un prix de composition au Festival de jazz à Montréal.
Membre fondateur du collectif Paris Jazz Underground (www.parisjazzunderground.com),
Karl a sorti un quatrième disque, The Halfway tree, en 2012, sur le nouveau label du
collectif, PJU records.
François MOUTIN
Contrebasse
Né à Paris, il débute la guitare à 5 ans, et à 11 ans le piano et l’harmonie. Centré sur la
pratique et l’écoute du jazz, il s’oriente à 15 ans vers la guitare basse, puis la contrebasse.
Il mène parallèlement des études scientifiques de haut niveau (Maths Sup, Maths Spé, Sup
Télécom). Diplômé à 23 ans, il choisit à 24 ans d’être musicien professionnel.
À 27 ans, engagé dans le trio de Martial Solal, il est un des bassistes européens de jazz les
plus sollicités. À 29 ans, il codirige le Quintet Moutin avec son frère jumeau Louis. Cette
collaboration a évolué pour devenir aujourd'hui le Moutin Réunion Quartet. Avec ce groupe, les
jumeaux se produisent abondamment en Europe comme aux États-Unis. Le cinquième album
du Moutin Réunion Quartet, Soul Dancers (après Power Tree, Red Moon, Something Like Now
et Sharp Turns), a été publié en mars 2010.
Lorsqu’il vivait à Paris, François jouait régulièrement avec les plus grands jazzmen français :
Martial Solal, Michel Portal, Antoine Herve, Daniel Humair, André Ceccarelli, Eric Lelann,
Jean-Michel Pilc, Christian Escoudé. En de multiples occasions, il s’était aussi produit avec
Peter Erskine, Randy Brecker, Niels Lan Doky, Mino Cinelu, Dave Liebman, John
Abercrombie, Toots Thielemans, Didier Lockwood, Larry Schneider, Aldo Romano, James
Moody, Terry Lyne Carrington, Richard Galliano, Bernard Lubat, Aaron Scott, George Brown,
Sunny Murray, Michel Legrand, Archie Shepp, Claude Nougaro, Trilok Gurtu, Bob Berg, Biréli
Lagrène, Wladimir Kosma, Marius Constant, Markus Stockhausen, l’ensemble Inter
Contemporain. François s’est produit dans tous les festivals importants de la scène
européenne, et a tourné dans plus de 30 pays dans le monde.
Depuis qu’il s’est installé à New York novembre 1997, François collabore assidûment sur
scène et en studio avec les meilleurs artistes de la scène new-yorkaise : Jack DeJohnette,
Franck Wess, Jimmy Heath, Monty Alexander, Benny Powell, Don Alias, Mike Stern, Lew
Soloff, Steve Kuhn, Joe Locke, Billy Hart, Jeff Tain Watts, Victor Lewis, Billy Drummond, Richie
Beirach, Dave Liebman, Oliver Lake, Harry Belafonte, Odean Pope, James Hurt, Ari Hoenig,
Jean-Michel Pilc, Rick Margitza, Franck Kimbrough, Joel Frahm, Greg Tardy, Gene Jackson,
Dave Binney, Rudresh Mahanthappa, Vijay Iyer, Adam Rogers, David Gilmore, Ben Monder,
John Hart, Billy Drews, Jamie Haddad, Steve Hass Bob James…
Joshua LEVITT
Ténor, soprano sax & flûte ney
Joshua Levitt est né en 1972 à New York. Il est installé en France depuis 2001.
Il a un diplôme d’études de troisième cycle en ethnomusicologie (Skidmore College,
New York) et d’enseignement de la musique obtenu au Brooklyn College de New York
et une licence d’art (option : musique) obtenue à la New School for Social Research,
(New York).
Il a obtenu une bourse d’études d’un an à la New School for Jazz and Contemporary
Music (NY). Et après avoir suivi des cours particuliers avec les professeurs Bassam
Saba (NY), il maîtrise la flûte orientale (ney).
Musiques traditionnelles
Joshua Levitt a rejoint en 2006 l’Ensemble Naguila après avoir accompagné nombre
d’ensembles et d’artistes de musique orientale. Il a notamment fait partie pendant
plusieurs années de l’Ensemble Sharki et de Sultana. Il a aussi dirigé l’ensemble de
musique traditionnelle Messaouda (États-Unis).
Musiques actuelles
Il se produit également avec plusieurs groupes qui mêlent dans un répertoire commun
le jazz et la musique traditionnelle orientale : Meta, Toufic Farroukh Group, l’Oriental
Jazz Quintet (tournées dans les festivals de jazz au Pays-Bas, en Guadeloupe, au
Liban, au Maroc…). Il pratique également la clarinette et le piano. Le public l’a découvert
aux Etats-Unis dans différents ensembles de musiques actuelles (rock, jazz) comme :
Entre Amigos, Teva, Warren Smith Ensemble.
En tournée en France et à l’étranger, il accompagne ponctuellement des orchestres de
variétés et des artistes tels que Patrick Bruel, Alain Lévi ou encore Enrico Macias.
Felipe SALDIVIA
Guitare, chant
Felipe Javier Saldivia a toujours été un passionné de musique. Après une licence
licence en musicologie, il décide de devenir musicien professionnel.
Aujourd’hui, il est compositeur et musicien pour bon nombre d’artistes de variétés :
Christophe Maé, Line Renaud, Natacha St Piere…, et multi-instrumentiste : guitare,
bass, contrebasse, choriste, mandoline et programmations.
Felipe Saldivia a collaboré avec de nombreux artistes comme Féfé, Meta, Sheryfa
Luna, Dan Kamit, Tiken Jah Fakoly, Idir, Christophe Maé sur scène et aussi leurs
albums :
- Epigram (2007) - Meta
- Africa Taferca (2007) - Tiken Jah Fakoly
- Moi j'ai pas le sou (2009) - Christophe Maé
- Dingue, dingue, dingue (2010) - Christophe Maé
- La rumeur (2010) - Christophe Maé
- Je me lâche (2010) - Christophe Maé
Contact:
BOOKING:
CECILE ALLAERT
+33 6 07 89 07 68
[email protected]
PROMO Presse/Radio/TV:
Sébastien Belloir [email protected]
www.meta-music.fr
Cécile Allaert / +33 6 07 89 07 68 / [email protected]
www.meta-music.fr
Discographie
Secret history - META / 2001 / Greenjay
Epigram - META / 2008 / nocturne
Pierre de BETHMANN / piano Felipe Saldivia / voix, guitare
François MOUTIN / contrebasse
META / chant & percussions
Karl JANNUSKA / batterie
Joshua LEVITT / soprano, tenor sax & ney
David EL MALEK / tenor sax
Michael FELBERBAUM / guitares
En sideman :
Polychromy
Jean-Christophe Béney
Jean-Christophe Béney - saxophone ténor, Pierre de Bethmann - piano &
Fender Rhodes, Vincent Artaud – contrebasse, Karl Jannuska - batterie
Arnaud Frank - percussions , Michael Felberbaum - guitare
Meta - voix & udu
Soliloque François Théberge with Lee Konitz
François Théberge (ts, mélody sax, fl), Lee Konitz (as, ss),
Jerry Edwards (tb), Stéphane Belmondo (tp, bg), Alan Jones (dm),
Paul Imm (cb), Michael Felberbaum (g), Michel Côté (clb), maïkotron),
Richard Lalonde (bs), Bastien Still (tba)
Claudia Solal (vc), Meta (vc)
init André Ceccarelli, François Moutin, NGuyen Lê
invité : Bob Berg, Nika Stewart, Meta
Lékéré
Nicolas Genest
Norbert Lucarain Balafon, Jules Isaac Bikoko Basse, Cyril Atef, Daniel Garcia Bruno
Batterie, Nicolas genest Bugle, Laika Fatien, Meta Chant, Malik Mezzaddri Flûte,
Louis Winsberg Guitare, Bojan Zulfikarpasic Piano, Laurent Dehors Saxophone
Nicolas Genest, Daniel Casimir Trombone, Vincent Courtois Violoncelle....
Samy Thiebault « Clear Fire »
Samy Thiébault, saxophone ténor, compositions & arrangements
Julien Alour, trompette & flugelhorn / Meta, voix & percussions
Sylvain Romano, contrebasse
Philippe Soirat, batterie / Adrien Chicot, piano
Alexandre Freiman, guitare électrique