o - Associazione Pionieri e Veterani Eni
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I*- (Éoc INprrEul rRAncar§ pù PErnoLf EgEaSryryIon-olClE8ls \%o § \36Ì 8EI.UtrI'RE DE RES8I1'OIn $|GINEBÈTNG 19'? Eldodc lu 2O au 2J llal. LES TEtfrDES DU RII'ERVOIR EIICIIIEERI I,E'! I 11 a été tLré alc G À. goITPEUBT c.t oBtra8.75 cr.lDlalrls. t"1L7 L95? tES ì,.nTIloDlS DU RIiSr;1ìVclÀ ti:GII:iilING .A.u fu! et à. mcsure de 1. découverte de Sisements d'hydroca!burès! iI apparait ile plus eII p].us clailellent que leut exploitatioD ne peut etre réglée de nanière op!o!tune que 6i 1'on possède une con$al66ance suffiEante de leur aaniàre d'ètre et de Ia iason dont i16 répondront aux effort6 du producteu!. Lracquisition de cette connaissance de 1a lxaniè!e drétre d'un cbadp et 1a déterninalion trréaLable de 6es réaction6 aux sol,Iicitation6 du producteìrr, consti-tuent Le bui à atteiBdre par I'in8éni.eur de réservoi!. l,robjet de 1'exposé qui suit est de préciser ce que aloit 6tre 1a oéthodè dè travail de ltinSanieur de ré§ervoir. Nou6 nous plagoll6 dans 1e cas ialéa1 où lringénieur de rése!ge voir trouve dars uno 6ociété avant que 1e réser:voir ne soit découvertl i1 va de 601 qu'il en est rale&ent aj.nsi, roais, à quelques variantes près, La Eéthode de travail denjure la Éèrde 6i f iaSénieur dle réservoir Dre6t Di6 en pLace quratr)rès 1a découverte dlu résclvoir' Noù6 distj-nguerons 6uccessiveùent dans le tlavail de I'in8éDieur de résetvoir i une phase de rensel8nenent, une phasc d'e4)loitatlon' une phase de cont!61e et pour finir une Phase de pré-déteroination. En fait, cette alistinction e6t arbitraire et Ìes diffé!cntes phases se chevaucheÀt. 11 va de 6oi, en effetr que I'observation du champ ne ce§6e pas alepuis 6a alécouvelte iusqurà 6on abaniloB e! 6ort! que les renseiSneoents ne ce66ent de staccu4uler perncttalt une révision progressive des coÌlclu6ions précédeDjnent atteinte6r révision qui entralne à chaque foj.s uBe eodificat:loB de La pré-déterrxination dos phénonène§ futurs. I1 va Etre bietl entendu que 1e llode de préEentation des chosès que nou6 avonÉ chol,si doit étrc coEpri6 co6ne se rapportant à une celtaine aate et que le néoe processus devrq §c clérouler à chaque fois que Iion lrocèdera à une Àise à iou! du travaLL. t -2 I- LX RECUEII DES RENSII GN]ù i]IiTS. La ùanière d'3tre dlrun cha,op est caractérisée par unc conn3isquc possible de toutJS les Srandeurs phy6i-ques qui cooplète 6ance aus6i Le défiaisEe, c'e6t à dirc l - PoEition géogra?hique - Courbes isobathes du toit - Courbes Lsopaques - Linite inférieure do l r ac c ur,lulatj-on aics hyalrocarbure§. A cet égard, il convienb de biÈu préciser ce quc Lron elrtendl gi6eùent: toute définition est acce!tab1e à condition drStrc précisor lar aei6 i] e6t une condition essentielle, crest que tous 1cs hydrocarbures Bugccptibles ile rejoindre les sondes de production soicnt coopris datls le portiofl de I'e6!ace qui regoit ]"c non de giserent. SriL en était autreEent, le6 balanccs de rlatéricL quc ltoa feaaient ù1téaieuredent 6e trouveraient &.ussées dès 1e départ; 1a chose est plus partic\rlièr0Blenl difficile à traiter corrccteÈent ct La définitioa - du gise]aent denandc drautant pLu6 drattentioa que lron a affaLre à un magasin présentant de6 changeaents de faciès pl-us importants ou des accidlents droralrc [éccnique ou chiliiquc plus nonbreux (flrcturcs, flssures, cavernes etc...). 2'-@: I1 sragit de 1a porosité, de Ia pcr,néabiLj-té et de6 propri.étés capill&ires de 1:l roche dan6 1s gi6eiocnt. Diune rdanière t!òs géEér'ale, les rcasei6nernents de c€tte o6pèce sont t!ès as1 !éparti6 dans Lrespace et leu! alenElté est trè6 faibl,ei leu! oauvaise réìrartition dans lrcspace provicnE en 6énéra).r de ce quren délit d'une disposition lelstiveÉen! syrdétlique des sondes, il e6à rare que chacuÀe dtetttre elles pénètre Ic aéoervoir: et,n6,rc 1e Si.scment dÀn6 toute son épaisseur. Crest ainsir par er.enpter que- dans ulr giso4cnt a ,atc! drivet aussitSt quc La lrése!}ce de lieau est leconnue, IeB 6onde6 ne 6ont pa6 àpprofonCies au-de1à drune celtairte profoadeur de fasoo à aainte- ntr lour lied suffisaaEcnt loill dc fiaquj.fère. Dans tous les cas où lrou a affaire à une roche aagasin holiogèBe, on peut se perExettre un norobre réduit de rcnseigneùentsr ri1ai6 on ne devla pas perdre de vue qu'i1 est indi6pcnsable, nérnInoinsr de 6'assuret une répartition scnsiblc:ìlcnt synétrique de ces r ens e16n ciocnts. Dans 1e ca6 où Lton a affaire à un boaizon hétérogène, et en particuller alans 1e cas de6 horizons fis6uré6, 11 est ab6olunìcnt inaliEpensable d'acquélir de6 ren6ei8nernents suffisants sur 1a lertie bcs6e dù chaùp et tout palticuLièrenent sur 1e zone dc contact initial! eau-buile, En 1rÀbsence de tcnseigneoents suflisan cnt norlbrcux et correcternedt répartist iI scra e! effetr ùltélicurcrocnt lEPo$siblc dc tilcr pelti de6 puits drobservatlon doot on dispoaera. La conùalssance ale la loche magasin alolt' si po66j.bLer stétendrc èo dcbors alu gi6or,lc[t car lc conportcnent dc6 aqulfères e6t de toute lreDièt'e l&lortancc à connattrc poui' iu8cr i.tc Irévolution iles cheùps. Lc6 chanSèÌacnts de faciàs dÀns I'aqulfèle 6ont do nature à à détrulre 1e syrnétrlo de l'écoulcùrent do Licau! il eat coùnode cle 1c6 coEnaltlc si Irocc.rsion sren présente. Dtunc fagon 5énérale, vouloir ab6trairc Ic gj-§ emelrt de 6on trlre elfeurr aussi bièn en ce qui concellte les caractéri6tiquea c6t a.qbiance quc les carac ti ristiqucs dcs fluialc6 et quc Ics conditio46 de6 roches tberdodynauiques de leu! co-er(istence. ,c- Caracté!i6tiqucG des fluideo I 11 e6t indispJnsablc ilravoir des reaselSnenents p!éci6 6u! plopriété6 volunétriqucs de6 fluides ct su. Ìcurs coDdition§ dtéquui1c. bre lorsqutlls eont susceptiblc6 de co-cxi6ter sou§ pLu6lcur6 phe§ear ce quLr saù6 6tre Io cas absoluBùnt 8énéra1, est un cas trèe fréqucnt. Lolsquc Lron a affaire à des Siscnents de falble ioPortalcet dont 1c6 coteE extrènee sont a§scz voiElncsr on pcut coo§ldérer que 1e puitB est patfaltoùcEt horiogènc ct quc §ea plopliétée soDt constantes dlrutr lor6quo lc cherp cst t!à6 épais iolnt a un- autrc; iI nten cst pa6 ale u8ire ;u lolaqur11 p!éscntc dc6 diffétenccs de cotc considélablce pa! 6uitet par oxcalLer dtun fort penda8e des couchc6. LrLnégaLj.té de6 to&pélature6 àt cclle dee !!e6siors est susceptible ilr entratùor dc§ i'!!é8a1ité6 de6 conditioùE atéqul1ible de6 phasca 6e tladulBalt Paa iles écalts de cooPo6Ltl,oÀ dtun poLnt À un autle. Dlocéaler à Dan6 l,è cas de te16 8i6cDent6 1I est donc lndispensabLn dle Aes échantllloanage6 Bultiploo et droB coaParea Lcs té6ultat6 évlte! une génélalisation pcut-ètre haoardeu§e dc ceux quc ie faqon à lrotl a obtenus dans le pieaLe! puit§i i] e6t cn effct très lriPortant ae ples6ion dc bulle drune huilc est la Éètic dans tou6 1e6 pointB 6avoi! 61 1a tl'un 8{6enetrt sous lren8}e des bal.}ncc6 de Eatéllc1 quc lion aura à faire dÀn6 ia sultcr et iL va ile soirqu'à cc titre,Les reÌatioa6 d'o!d!e Physico_ cbinLquc qui. pcuveÌrt oxi6tel cntre 1cs bydrocarburc6 ct Ia roche dagasiot doivcnt Atle pliscs cn conEidératioa. IL n'e6t pas rare quc I'on trouve dans celtains le8àsins de6 ploduLt6 noils qul occupellt unc paltic plus ou Éoins iixportant! du voluoe -dce po.e.; trinSénieur de réselvoit iloj.t 6rinté!es§c! aux rapPott§ qui Deuvent exister cntre cc6 lroduits ct lthuilc dlu ua8asin afin d'aplortet ia contribution à L'éIaboration de La vélité cn cc qui conccrnc Ia nlse eD place du pétrolc dcns un In38aEiD. -4 ParEi 1e6 fluidcE il faut avoir bi.,in soin dc 4c pas oublier lreau ca! on a!!a bcooin fréqueeoent de sa' vi6co6itér dc sa ileoslté et de 6a sallnLté quaEal on voudra trt1li6e! 1cs équatioE de Ia EécaBj,quo dle6 fluide€r discuter dcs efforts capi.llaircs et cr(ploj'ter dcs dle8laphic§ é1ec tliqueE. 4'- [email protected]!:È.-g!-t.@t I Le6 condlition6 inltj.aLe§ du cba.iop 6ont I l-a prcsslon Ia tcnpérature Le6 6aturationE I'état d'équiLible ou ale dé6équilib!è des fluidc6 dans L€ Eiserrcnt et dans llaquifèrc qui 1ui ost évcntuelleLrcnt Iié. - 4-I5gE--d"--l.g96"iog iI iÉPorte de- 6ou1i8net- la "é":::11:. dreffectucr d;;Entt6l.'s Enitiaux chaquc fois que 1'on cn a 1e Possi"biLi'tè' I1 e6t ho!§ ale notrè suiet de nous aprescnti! su! lca difficultés dreffectuer cor!ecteBcDt alès oesu!e6 ale pre6§ionr oaj.6 il e6t tout de nèoo néce6_ Eaire tlriasi.stcI. su! les avantaSe6 que Irori retile de lrcxacte connaissaocc dc la répaltition dc Ia prèssion dans L'e6pace. la cor'rpalaison des pre6oions statiques obtcnuesdans ìeE puii6 suacessivedle&t forés 6ur une 6truc_ turo lIicrger !erEct dc décelet unI éventuel coùpaftia"'ntage et ap?orter de ce falù, uaè ;i.de corxparablè à 1 int elpré tation dc tou6 Lv.s plocédés d.'ordlc 8éolhyrlque qui pc!ùetteilt 1'étebli§scnent de cor!élation6 è trave!§ Ie chalop. Drùne llanlète 6énéra1e 1'huilc de6 8i'§euents est en équilibre hyitloBtatique, nais iI arrlvc qu'il n'en §oit pe6 ainsL pat duiter pe! reconnaitrc eiouple, d;unà fultc à tlarers Le couvc.turei iI e6t utile cr.ploi.tation une ic11e abBence dtéquilibrc avalt o?ne que ae coEElencc 1r 'Ìe du cho.dp t de fagon à ne pa§ funputer 1a nise ctl proaluctlon dc phénooètlc6 qui tul 6ont étràD8e!B. - En ce oul concerne 1a tcapérature : iI cst dreutant Plu§ cet plus épais otr 6'étcnd Àéce66aire acffit §ur une p1u6 Srande hautcur. 11 convient diob6elvcr quiétaDt donnéo Ia valeur dàs cocfficients de vÀllition de§ lropriété6 lhyGiques de§ corps avec Ia teapétaturer alrune part et avec fa pression alrautt'e Paltt et éta[t donnéeg, oa_ outrer Lcs valiàtions ales pte§sion6 et dc$ teIi!élatures qul accool.iaent ua certaia cléplacenent a tlaverd 1récorce tcrleatrer quc 1a aìe la tel1!élatute et dle ses valiations c6t pl'u6 lopoltante "onnoi"àon"u encore quc La connaissances des pr,jssion6. coulanment adi4is que I'écoulclient des fLuide§ dans Nous croyons utiLe ilrattirer Lrattcntj'o!! 6ur i§otherne. c6t Ic§ Siscnents iI n'Jn est prs ainEir Ìa choae acquielt casr que da!t6 cortain6 1e fàit lioEcnt où I'on vcut cotrparcr des équilibre§ 6tati_ au Lhpoltancc toute son quos et dcs état6 dylaaiqucs. Il, est -5 Il ost bien coBau'qu€ les condj.tlo[s therDonétriques a ].riatélLeur diuD 6ondÀ8et nc 6ont pa6 les rèoes cÀ productio! et à ltalret, Èais l'o!! adBet souveDt que Ia tcnpératurc de fodd soit La oanc dans le6 deux caar crèat 1à une a6sertion qul denandle à 8t!e vélifiée chaquc fois quc Lrott tcÀtcra dle tiler partL conculaeE,lent cles Eosu!cs dc pre6sion de loÀal ot dc6 aesurc6 dl, plessiod eo tAte des luits. Ia aesurc des prc66ions et ilcs tenpératureG nc !!ésentercn géaéral, pa6 dc difflculté dajeurc ct lracquisiti-on dc rellsei8òelrents 6ufflsaBt6 e6t exclusLvencDt affaLrc de soin6 et dreffolts réI)été€. la saturation en gaz, en huL1., et en eau à cst iDfisinent p1u6 difficile à acquérirr 1a rnuLtiplicité de6 ooyens proposé6 ost bLen I'indicc de 1'lEpcrfcctj-on d(,: chacun dteux, trÀvcr6 Ie connaiEsance de cher:rp Rappelons quc .L'on ili6!o6e de6 aoyells ba6éE : - 6u! les diaSraphies élucttiques ct nuclé,\i..esi - 6ur 1e carottagc contlnu effcctué drns alc6 condli.tions priscrvant au 6oia6t La 6atulation en cau ot co[lllété pal' unc Jtudc thcrnodyna.diqìre deB fluides i - de6 Eoyen6 halirectE ba6é6 su! fa aéthodc de oaturati.on dcs état6 à. lraide dc car.otte6 é6eLoEeùt obtenues lar carottage continu. le€ Lildtatiorls de chacurre de ce6 méthodc§ 6ont trop coaòueB pou! que Lron sry attalder nais L]. nc faudlra j ar1aj.6 pordle de vue, quclque €olt le plocédé de détcrEination enpLoyé, quc 1e6 eatulatiolrs qui exiatent 1ll 6itu aont Ie flult dtéquilibrc dé1icat rnt!è Les efforts de pesanteur et Les effolts ca,pillaircs et que 1À BéaérÀLlsation ha6ardeu6e dle6 calactéristj.ques d( la rochc na8a6iE sc !épelcute directenent !rai6 avcc lrn effet Éu1tiplLé srr! 1a détclaination ile6 saturatioD6. les variatj-oaE ile faciè6r Les Bioples Dodifieation6 de gt'o6seur de6 glains constituant Ie6 6édi$eat§ sufflsent à provoquer dles variations ile saturatioD pouvant aLle! jusqurà 1.ab6ence coapLète d'huile en plein El"licu diua giseEcnt. lrintroluction du calottage au CLsEaÉt-?arEl- Ies teqì&iquds de chantier6 a acclu la rJcùpitation À un degré te1 quo les polte6 6ont etaceptioÀnel).es dans l-c6 tclrain6 consolidés, co qui donne unc valeu! Btatlstiquc à 1rÀnalyse dca carotte6 qui sren trouvaient pratiquemcnt dénuéc avcc Le carottdgc coày€aticÀneI. La_cgnJu8aioon :le6 -diagraphics ilectt'iqués et clu calottage r;récanique perÌretr en 6én.ira1, de situer lcs perteE 6an6 anbi8uLté et pernet! par conséquent, driBputcr ìrnc satulation à un échantiLlon dc rochc ap!ès quc cclui-ci ai, fatt I'objct drune exlrérience de laboratoirc6 dite alc lestaulatj-on des état6. la tcchnique auLvant laquellc c6t pratj-quée cetÈe re6taulation ées états, influc 6ur 1e ré6u1trt. II e6t certaitr qu!Ì 1a fason d'opirc! la plus correcte con6j.ste à aettao en ocuvle les fluides du giscl:lent dan6 Ie6 conoition6 n8!ie6 de p!e56ion à des telcpéletules qul sont Ic§ leu6in 6itu; i1 est alor6 difficile ale Ee6urer lcs saturaÈion6 aux différcnte6 étapc6 de p!essions capLlLaire6. Ltutj.liEatlon alu couple cau-air éxigc dcs opérctions d'une du!ée coDparablc à ce11c6 qui ont tieu avec le coulle eau-huil,c, nai6 1c faj-t -6 Ia prc66ion absolue ale I'a phacc liquldc deneure la p!ession atÉosphériquer otEplifle 8!anderÌent 1e§ chose6. draccéférer lrobLrutilisation de 1e riéthode ceotlifuge perliet 6tatiquc ct centrifuger ne tention iles !ésultats' ìrais 1e§ d e!r:( néthodc6t t'iniccti'on de melcure' condul6ent pa6 eraactcrnent aux n6$cs ré6ultats' opéra6cs condilions et plus beaucoup rapiclité Srande iar sa I emploi I avec ùarquée6 "àà"1".rt" t;rcnccE aif àcl évidc",nent ;;i;;;-;il";;-!;às"n-te que du sy6tèlie eau-buile. !a Eécessité cc cotli8er l: courbe pre6sion capLllaire Je compte pou! tenir indirectes grocécl:s I.s saturatLon obteBue par tous corrcctj'oÌl contactr de des an8les et iiiaeiorité des teniions intÉrfa;iales sceptique' fait sui tI poottion al€ 1aquc11e orì a 1(, alloit de sc dontre! tendance ùÀc certainc lrhcurc actuellet ou'il. §; desEine. ,scrxble_t-it à et coÉplexité de leur en délit plus directs À-"tifii"" ies procéaés lcs du prix éLcvé iles étude6. est Iiée à - La dételnin3tlon des 6aturalion§ dans f'Ùsplìce qìrc cerlc-ci 6oit t, aéterninatfficcncnt' pa! un aquifè!ei qurelle con6tituée §oit ooii foito al'ur1e roche compactc soit de lxouve_ 1rétat àans ce detnier cas i1 faui srcfforcer de diagnostique! Busceptiblc§ sont Les caux-douces ;;;; ;" à" repos de l'eau do lraquifère' 6uperficj'el assurant ie ro .ouuoL.'p.!ce qurel-les appartiennent à un !éseau par un certailr fccueillles quantités dreaux 1! achediÀelxent v.r. i" ""r.lcs dle mouvenclrt6 eau saIéct en iapi""irrr 6àis on est toìriouis à Ie oercir nènc ile convection. bouscuon 6aiÈ que l-e dé§équilibre qe -113g!1!ÈI9 entratne un que ce' gioencnt et le Lèrnent de ra @ant entre den§1té dc tour"ufot"nt eot d'autani p1u6 rxarqué quc la différcncc y a donc 1à unc rr'i6on ii;;, ;a Lcs hydrocarbures est plus faibter ir !fi6e en consi-a'rrig"irit-0"! saturations à lo rnèuc cotc, qui doii 6tre foi§ que ]a Lllli.te ba6§e clu SiseLrent e6t con§tituée par ae"otion "toqu" un aquifère. mesures ale c'e6t dire toute I,ioportance que rev6tent 1e6ou aprè6 Ia plession qrrl peuvcaL 6tre cffectui_cs dans lraquifère avant - alécouve!te des cbaI,lls. 5.- EvoLution du chaEp : consiituéc par lrhi§l,thlstoire de f'évoLution du cha6! estpuit6 d'observatiod stil ces et pro'luction tolrs individuelle dos pìrits de yena. con6titué{r lar 1e tr'histoire drun puits de proCuction estquril a produit et ct eau, gazr huile rcfevé dc6 quantités c1e fluj-de: aussi y été eifcctuiest qui oDt par _bienIe relevé des cesures de presÀion en oarch" qu'à ]'3rr8t. -? Ithistolr. d'un pul,ts drob6ervatj-oÀ eGt faite du relevé dee cotes dc contact ilc divels fluj.des en forctionr ilu tenP6 et des oesure§ de !res6ion éventuellencnt effcctuées. IÌ cst àr leine nécessairc ale ie souliSnerr mais i1 est indi6_ perlsable que les oesures soient cffectuaes avec un r0inioum de précLsion et surtout don6 des coneitions conparablcs cntrc .l1es tant cn c. qui concc!nÉ leur p!e6§ion qu! 1.ur espacc&ellt. Lo fait que lcs puits ne font pas lrobiet d'un contr6le de ploduction j-ndividuel exige quc fron conna.isse avoc ccrtitudc 1e6 j.ndex dc productivilé de chacun drcux et irÀpliquc quc lron aiùr sinon un enrcgistlenent de prcs§ion de surfacet du looins des ocsute§ ouffisajnxoent lappiochées dcs prcs6ioùs de fonii et Ccs pressions ùc surfacc. II- ]. IIXPIOIIATION DES RNNSEIGNEM]|]fIS. l'- Lranalvsu' fcs soulces i l t èxploitatiori lcs rcnsei8naments doit coneencer par trn tlit de rason à éIiaine! 1e6 rcnsei8ncnents erronés' Le calactère 6!roné dlruD renseignellent peut ro86ortir ales conditions mènes dsn§ lesquelles i1 a été obtenu ou bis! du fait qu'iL ne srharlronisc pas avec utl enseoble de renseigneuent6 sors déià obtenus. conditions ilan6 le6quelles ont capacité profe§§ionde8ré drinstructionr été obtenus Les !enseignene4ts ! et lion devra du E0atérieLr qualité et état drentretied lelle des hoe.de6r de soh egprit conplèteMnl surtout plendle bicn Saralc à ae ianais élininer qur11 pour étoÙnant pa6 sL notoirenellt f3ux, nu rensei.gnenent qui nrest d'apparence puisse Paraltre à pledière vuei ctest en effet le !cn6eignement àbé!!"ot" quL e6t souvant, en physiqucr ginérateur ùas llus gralìals Progrèst parce qu'i1 oontr. I'insuffiGance d'une hypothèse sriL vient à ètre confirpé. It n'ost pas rare, par exeepLcr dans lù donrainù de mcsures ale Pre§sionl que I'on soit aucné à dépLorer Lrincertitudc dan§ lftquel1e on sc trouve au 6ujet dc la prjcision drune &c§urcr paxco qurune ccatitude à cet é6ard pelnettrait de lcvet bien dcs doutcs. On devrà alonc analy6cr LeG -8 0R voit donc quc lring;nicur de réservoirt Gril n'a las dlrecteneot 6ous 6ont autolité Le p.rsonnel exécutant 1c6 nesure§, doit avoLr 1a po66ibilité alc faire conrlattle ses besoinG à ce pcr6onnel et doit ètrc ÈL o8ae, 6inon d! ccnt.òle!r du Eoins de connaltre la p!éci6ioÀ avec laqueLle Les opératour6 travaillent. on ne eaulait Stre tfotr) difficile dans cette an3.Ly6e de6 soutces de rcnseigDÈacnts car tout 1c tlavail sub6équent dépend du soin aYec 1eque1 ell.e a été faite. trexploitation de6 rcnseigner4Jnts consistc à Ie6 utiliser en vuc dtatteinelre à une descri!tion aussi parfaj-te que po6aibLe, du 6y6tène physique coDstltui par ].s glsenent ct I'aquifèle qui lul e6t Iié s!i1 yenaun. Parni Le6 renseigneI6ents recuej.llis, 1es ùns oltt utl catactère anaLytj.que, les autres ont un caractère syEthétiquer nais quril sragisse de6 uns ou ales autlcs, iI est indiEpensable qur j-Is parviennent à f iÀBénieur de réservoLr sou§ l"eu! forDc brute et avant toute interprétation. 2o- Interprétation et caLcul drerleur6 te!!!étation fairB. Ceci rlrexclÉpa6 qurÀ c6té du ren6el8nemert brut figure lriEdu reÀseigÀenrert tel qutil peut appaltenir à 6on auteur de l,a 0n exealIe fera roieux coaprendre ce que nou6 voulonG clire i Si tloi6 nc6ure6 de !!essioa sott exécutée6 dans un sonCage, iI convi-cnt que Ie6 troi6 valeurs Eoierli conBuniquées à l'1n8énieua de réGervoir à lrcxclusion dtune valeu.r aoyenIre. SL Lc laborstoire exécute dix courbes ale p!e66j.on capillaire, iÌ iriporte que ccs eix coulbes soj.cnt coarnuniquée6 à ltexcLusion ilrune courbe aoyenne, Ceci ne eignifie pa6r bicn au contraire, quc Ie personnel qui exécute Ie6 nc6u!e6 ne puisse fourELr son p!Òpre avj.s su! leur degré ale préc16ion. Nous désiro!1s seule!ìent faite bien conpreDdae quer sauf ilans le cas drune défÀillance notoirè iles hoDrres ou du natéricL e:'!!ach:at ' Lc ré6u1tat de nuÌIj-té ou drelreuls gros6j.ère6, 1l est d6raisonnabLe qurun seul osprit iléciale sans appel-, qurun l'ésultat soit bon ou aauvai6. 11 peut paralt!e étonnent que dans un douaine 6cientj.fique on puiéBe llaider Ia valeur qui 6rattache à lracquj-sition dravis éùal1ant dle pelson!ìes dj.fférentes, 1a raison en e6t que tes études ce ré6ervoir soEt lioiÀs uae science quruB art ct qùrà chaque étape du travail uae palt de Lj.bre albitre 6ub6iste qui 6itue le résultat non pa6 6ur une li6he nais daE ua faisceaui i1 eat certes dé6irabLe que ce faisceau soit aussi étloit que po66j-b1e Eai6 ce qul est e66e!tie1, crest que La vérité ne 6oit pas en dohols du fal6ceau. On congoltrdans ces conalitionB, Ia valcur qui 6rattache aux ca1cu16 dl er!eura. -9 Roprenatlt ltexeuple des Eesures de pre6§iol1 dan§ 1e ca6r par cxoùpler où lroD déslre eettle en éviilence le nouvenent de lreau il'un aquifèr.e, il e6t certaln qrre -deur( I[c6urcs de p!ession effcctuécs dans deux pu1t6 différent6 et !éduitcs à La aèsc cote pa! rapport au nivcalr de Ia rÀer, ne donnelolrt pas fa &tne valeur. IL est irlili6pc[§able de savoir sLl coDpte tenu dcs errcurs intclveoant dans les nresurcsr 1es deux chiffres leuvent etrc considéré§ coaEù concordants ou rlon. ,'-§.*p1oita@sL-È!s. l lrcxploLtation,:les renscigtìe&cnts d'o'dre analytique tels qu. ceux quL ont tlai.t à lranalyse de6 calottcs ou à lranalyse des fluide6r ne présente Ce dlfficultés qu'à I'éaeld de 1a Béné!a1ité que lion petrt leur qonféaeai ca effet, au Éoins c1an6 los débuts dÉ 1a mj-sc en exploitation drua champr période qui coincide génélaleaent avec 1a paiachèverdent de sa découvefte, il e6t rarc qua Lron disl)ose de !cnsei8neocnts doabreux et bien rélartj.s. Le calcul ,-les quantit3s en pLacc souvant basé sur ces rensci8ne!1ents analyti.ques est donc 6ujet à caution- qt il convient Je .fournlr à cette estLDalj.fn ì.lne 1i!0ite i!ìférieure ot une Ìimitt:, supérieure. l,cs lensel6ne6ents drorire synthétiqìre scnt beaucou! plus dlfficues à exlloiter irulsque Leur exploitaticn e6t lndilecte. Néanùolll§l on cherchela à, tl"!e! parti d.e§ rcnsei8ncrdcnts obtenus sur chaque puit6 indlvl-duellement en ce quj. conctllne sa paaduction et lrévol-utio$ iles pae6siott6 qui st:r nanlfesteEt, dc faqcn a contr6ler, ]'es renEeignenents aaalytlque6 d.éjà obtenus et ale fagon surtout à essayer d,obteni! de6 inforrnations sur 1c !téoani§loe ae drainagc du chaiopi conrlactre Ie aécanisEc de drai.nage oleBt àu foDò savoLr 6i lreau avance et si 1e ga6-ca! 6raccroltr cre6t en bref 6u1v!e lrévoLution Ce la masse ..lrhui.Lc rcEtrnt dans le chanp et du voluae qurel].() occupe, étant cntendu que 1e6 voLuDes qurelle llbère peuvent 8t!.e occupés solt lar Ce lreau soit par Ju gaz. L I enpl-oltation des lenseignencntij de production se trad.uit donc norÉaleoent par 1rétablisGenant alrunc balalcc de loatéri.L qui néces6j.terlour Atle correcteBent écritc, une connaissance déteiLlée des phénodènes lhy6iques qul. se font jour. 11 est ho!É du sujet de cet expo,sé dlrentre! dalls ].e détaiI de ces balances de Eatérie1 qui Ìcl.Étent, dans chaque casr une foroe partlcuÌ1èie. 10 nous apparalt ccpcn.lant i1'ores et déiàr indispensable driÀsj-6ter sut la balance dc 6atérie1 considlé!ée daÀs fo SiscDcnt et caos 1'aquLfèlc, alans 1L cas où u!ì aquifère est a6socié au Siscment' If l,|évoLution al'un teL giserÀenL est en effet fargerient conJi_ tionnée par la iianiè!e dtétre de lraquifèrc. Celle-ci se lrallifeste en tout et pou? tout par L'évolutj.on de Ia lr€ssion à ìrn.; cote de !éférence albitrai,reùent choLsle qurif cst en g.1nélal avantogeux de situe! aux alentouls Ce la cote inLtiale du contact eau-huile et par ulle d,tente volulrétrique p1u6 ou &oia6 arquéc de f rcaìr de lraquifère. Cette dételte voìuxoétlique e€t en faiq une chose Cifficile à cotlnaltle directcùent lnène quaad oÀ dlstr)ose de puits drobservation et lc plus souveBt oD est obli8é de 6e fie! à 1a balance de natiri.el pour la connattre. 0n voit donc toute ItieportancÈ !lù1 6rattache à une er(acte dételDlinatj.oE de Ì: quantité drhuile en place et à cel1è de ses propriétéE, On voit donc se deEsiner les grandes lignes Ce 1a néthode do tlavalL de lilagénieur de ré6ervoj.r, qui devta étab1i!. avec Ie p1u6 de précision possible, la quantité il I hyCloc albures cn pLace e! coaraitTc'CruÀe Éattiè?e aussi coeplètÈ quc possibler lcs ccnJitions Crévolutions thereoilynar.iqucs ales fluides Cu gisernent avant de prétcnJre à toute pré-déter- Einatlon de Lr évolution futlrl.e. 4o- Lcs rùoyens dt exploi-tation I lrobjectlf à atteindre e6t, conìne il a àéJà été ditr de di6pose! d'une degcrigtloE trè6 exacte d'un giseÉent et de son éventucL aqulfère à partir de rensei8nenents qui sont lIécessairel:jeflt aiparti§ alans l,re6pace drune fa9on iné6e1e, tout particulièleaent en ce llui concerne 1r aquLfère. I1 est conc à pr;voir' que 1rin6énicur de !é6ervoir dèvra Le,aglDo! uÀe bypothè6e 6t!ucturale qui rendo ccnrptc des faits ob6eavé6 et 11 n'cst pa6 exclù, bien éBtendur quc lolEque ces fait6 sont trop peu Doobrèux, plu6ieuls hypothèse6 physiquchent diffélentes puisseat égalelletlt en lendle coopte. On ccnprenC, dan6 ces cond:-tions, quril convieane il'ètre extrèaeoeDt E:fiant à 1'égari d'une hylothèse qui n'a !a6 été encore contlAl-éei aus6i e6t-i1 prudeDt, lorsquron Cispose d'un certain nonbte de renoeiSncficnt6 établis sur une certaine périoJe de temp6, dren !éserve! l-a delnLère partie au contr6le des hypothè6e6 suggér,1es par I t erapl, oi tation des rcn6ei6nenent6 de l-a partiè initiale. Cette fason Ce vcir a lravantage ale pelrettre à 1rin6éaieur de réservoir de nravancer u8e byt,eth;so qu'4prìs .Ìv.ir eu In pcs§ioilita ie 1e ccntrSl,cr. lréIaboration de 1'hy?othèse gagle drailleurs à. ce quc les !enselgneilent6 su! Ie6qucÌs c1]c s i appuj-e soient relativemcnt Cépoui11és et nous estixxons qu. cette éIaboration de peut Stre qurune suite dradaptation. 11 On ireut pensorr en orincipc, quo pln,Lant un laps alc teùps déterdans Ccs conditions orératoiae§ sensibLcnent constantes, 1'évolution drun Dha-6p 6o trouve con.litlonnÉe par un théncDènc pié-éoincnt tandis qurcl-Lc nrest qqc léBère&ent ÉcCclée par Ces phénouènes sccrnCaites. ct !xi.né Le prenior acte de ltin8é:1icìrr .1e réservoi! d.,it ilonc ètrc de rechercher Ie phénornèr1e lxé-éninentr La cho6e est, dan6 certaj,n cas, tròs facile Eais elLe leut aussj. étro tròs difficile. Nous venons dc Cirè quo, lans cettè rcchetche llproxiilations succe6sivesr on prenait en considéralion u!ìe celtaine?ar !ériode de tcro!6 et ccrtaincs conLlj-tj.ons cparstoire6. L!a11o46e4eÉcle 1a périorle de te p6 ou 1a nodificati"on les cirnJitilns opJrat.ires pcut changer du tout au tout, lre8lessiveaent ou brusqn€ment, le lhanofiònc pr:-élcinentr en sorte quril e6t basardeux, en tJur état ale cause Je prjtendre tourni.r de6 équations rep!éscntant 1e conportemont .lrun chaop dans toute6 l"e6 conilitions opératoile6 lossj-bles et depuis sa alécouverte jusqura! son abandon. En effetr si us certain lhénoÈòtre e6t pré-éEinent à 1'époque où Iron lrocède à 1iétude du t!àaÀp, i1 è6t a6sez facile le Jétereiner L,ilxpcrtance ale ce phénonène puisque Ìron di6?o6e not.Elaleeent de valeurs successj.vcs et bicn calactéri6ée6 des délivée6 desfonction6 par rapport au tenps. les phénoDòne6 secondaifes sont, en revancho, beaucoup plus . délicats à l,celer avec préclsicn, p.ur la raison r,rèr,:c qu;iÌs sont secondaires et si lron venait à ooCifica les conalitj,ons cpératoj-res ale faqon à faL!è pa6§e! du deuxlèrre ran6 au preai.er ua certai; phénoaène, i1 iaut bien §ratten.lre à ce que la pré -Cé t erminati on basée sur les ren6eignenents acquis dan6 1a !éliolc antérj-euror ne soit las oxacte. eile tin : exeEpLe fera saiEir pLus facile etrt ce quÉ ùcus avods vouLu Supposons llue nous ayOE6 affaire è. un Bise&elrt ,ì,huile cc,ntenant des gaz Ci6.sou6, 6ujet égaleEent à un water drivei sl nous &3intenollE Ia pres§icn au-de6su6 de Ì.r pression le bul.1e, 1iévoluticn 1e 1a lressiotr al'uE charip r La proÌuction curul;e .lthuilc et 1tévcntuel poulcentàge drcau dc Ia proluction, 6ont, au fon,1, con:litj.onnés ?ar La poussée plus ou lroint active lu water Jr1ve. Si lion :lécilc ìraccrottrc consi.térableàent 1a pro.luction du chatp, iI pcut se faile que .1run seul coup la llession Cescetlde aìr-ilessous ie 1a preGsion .lc bulfc L.t que Ia libération ;r.u gaz constitue Le phénolxène esseÈtj.el le lrévolutiJn.le la pre66ion alcrs quc jusque Ìè. crétait Ie vate, ,r,rive qui jcuait Le rOIe p.inci.!a1. San6.louter 1,étuder à priorir ie 1a roche ùa6asin, de 1a solubilLté. .lu 8az Cans 1rhuile, etc... perriettait-eIIe le sc faire une idée de 1!évolution fes choses lans cette Ceuxièrle périoic ile proluction accélérée. -12 cst certain! néaruooin§, que des phénodènes tcls qu3 La lhasc6 ì I'intéricur du gis.in!nt rt ltrnttaineoent plus ou I3oins consid6r,:bIe du lÀz Lib:aé vcr6 l-c6 celltlcE (ìe nroductionr joueror1t ull ri6l-o considé):-b1r ct difficiloLrcnt ?révisibl! à priorir d!aut.,nt .r1u6 quo 1À réactioa clc6 prc66loos .iyn.Lniqucs à tr:vers Ia chèB! sera cLle-u3ùè difficilcnrnt prévtsibli, fI nrest éviicalrcnt pas question lour LtiÀgéuicu. ile ri6!rvoi!, de rcnolrccr à ré]oncÌrc sous prétcxtc que ]e jrobLèÈc est diificilc ct i1 convj"endra quril stcfforcc ilc fixèr atcs }i:]itcs suDéri.uies et infériculc6 à 1'évcl.utioÀ du ch.ì]p. :,a nultipliciia rlee soiutions qui alcÌrcnt donc 3t,re Jnvi6-r5j-s ir,pliqu: Ia.rrés-nc( d'ruxilli"rircs rroccrnco qui sont l-ès oachincs à ciIcu1,:: ct 1c6 machinrs analytj-quos. l,cs unes ct 1c6 autrcs soht caJà'.Ì:6r 3près un) pcriod-' d- J,rjpar.tion.uffisrntit clc tournlr, dans toutr l-ur divcrsitj, l-.s solutiòns Cc6 problèirc6 dc ré6cr_ vo1r. 11 siJrétation dcE RcDrehant l..xcaplc précécìillt, on p;ut évialeùricùt écrirc la o,,.I.ìjrcc dc ,ràt ricl à L,ifltiricur du gis.r]cnt rn f.ris;Dt dj-v€rs.s hypo_ thès.s su. La sé6ré6atj.oi1 du:jrz à lrintéricur dc 1a rochc ;rag:rsin, òt divcr;.s hypotliòs16 sur f.:r ré.oariitioù dùs prc66ioi6 ,t..ns t,cspacc, hypoth:Els qui 6c dlffércncilront leB uncs de6 autles par unc v:Llcur dif f,i_ tcntc drun_ou.plu6i!ur6 pùranètro6 s.fn6 qua l.r forirc dc ÌréquatioÌl Ec trouvc loodifiéc. Ce soilt -,xactcùollt 1cs ;oiditj-ons q\rj_ !cinettcllt dréta_ blir un- fols pour toLrtc Ia lrog.:.nration d,un; nachjnc . ca1cuIùr ou 1a stiuc tLrr- druac:rìchin. rual yti{u:. Le6 dcux esp-ic.s ctr :chinjs ,t! ,sont crp,nalaBt prs rbso.luitJnt . ihtcrchangJrblos t:.ndis qu, .or-,::i jrrs sont rrè6 :.ptcs j alnortùr, très ri.iidc.:Jrìt, dc6 r(silt.t9LJsaà c-icuri i;;;.-;i"";;;ii"i.s. .ffcctués fi:,§r IcE Erchin,s analytiqu.i'E- i; flni-;ui;;ui :uly;1t..r.,Ìo.srcf.itior.s .L 6!ructLrrcs o-r La^po6sioi.IiLj ..u,_L.L:6 ont J.is,ro6cr, do fason différrhtù, 1,s Jt.:'rc:rts fàndir.:nt.;, l;r"-pi"tii,ì-.' Un excaplc !cra lxicì.rx 6ilisir ccttc dj.fféronco : Si lron s.:it o.urui 6ystè..,ù -Iin.riru, !r.r Jxc,rlfc, ct quriÌ cat. parcouru rrer un fluid_ :ouè-I,rff;tcstC,un. i.,lltiià"-Jiin" rornc aC_ tcri.rinéc qui l-r.ri cst !rposé" à I'unc a" s..s'-:xt;:;i;;; àn'ai"pouo.r, sonac dJ .1réqu.Ìtio! du ::ouvcE..nt (qu. c.Etc équ:tion .àii_-"rcou".r"ou alr)rochée, ctcst-à-dira out.:11c.:if ér obtcaric pr"__i" fr;;r.-"r"" pa.r ou 1!6 ac ihodrs 11la- ce].cul rlrepproxiartion). ],a [rachldc à ca.lculjr pJrrrcttr: trè6 facr.Icj]rnt drrbtcnir, psr t rol :ylg!o.oir foncrj-on à, t.rp"-.i-." iaisaat varicr !*i lp,I:-1 - li.. ?":1"! -La pJajtcaÒil-iti du. tirr:.in, s... poro6it-1 ct f: succcs6j'on d..is i,:rp.lIsion,s à ir.r?06!r ..u 6ys!c_Elr. la conslou.:ncu dc tous ca1c,ŗ scr:. cc?endant quc la struc_ ture-(lu systòD! rEi u -- sir,rcturvc--s Linérir. i1 6cr; néccssai"r pr. ildro entièrenlnt ta ).o;r,-.rlnatio;r si i i.n;t-,iJlià"' "il'"y.ra. c,,è rc_ ir" -L' nre6t peut-atre pas aussj. liniairc quron 1c ì)snse. La choEe cst évLdeaeeDt vi6i.b1c, laais iI arrivc que cette prograr ration exige, Ce le part ile6 lDBéniou.r6, ùD tlavai1 ilxportant plu6 llobLe certes que Itacculduletion Ce6 ca.lcu16 que 1a aachlne leur indLque de failer 6ais pénib1e cepelldant. Dan6 un tc1 c&s 1a raachitre analytique e6t certaineloent préférebLe.e ED effet, sulposon6 quc I'on Cécide de reprj6erteÌ Lc§ Edlieux poreux pa! url asseablagc ccrnveDabLe de capacitéset ale rj6ista!!ce8, ot 1a succession ,lcs iapulsions par un courant de sortie collvenablcDcnt établ,i, 11 6era l.elativeoent très facile de oodifler Ia Btructure de l"a iiachine a[alytiquc puisquril 6uffira Ctétablii iles co lexion6 coDvenab1e6 entre des é1éroent6 capacité-réGistance qui pourroBt Atre étab1i6 à Lravance; celtes ltordre de grenCeur cles résisiances et ale6 capacj.tés qui selont Iij.6e6 en jeu va influcr sur le iésultat alonné par la machine qui 6era rlonlrér !e.r e*e&p1er soì.1$ foro. ,1! courbe su! un 6scillographer et i1 faut bicr! Cire quc 1a nodificatj.on ee 1a v3leur dc ces ré6istances et de ces capacités n'est pas un! opJration irnaédiate sur une oÀchinc anaLytlque, Pa! contre, le r:techine anaLytiquo perloet a6sez faciloiìent dtapprécic! si La structule qui lui a été dolnée, Dar un certain juu alc conneraions, e6t susceptiblc draplorter Lrs r;sultats cherché6, crèst à dile il. fcul.llir uRc courbe répoDsc calabIe a]e coinci.ìer avec Ia ccurbe expélixrentablexient obtenue sur 1c chalap. On peùt se ileoan_Ìer, en définitive, 6i ce nrest pa3 Ia coajugalson de lreloploi Ccs acux genres de nachines qui fournilait 1e p1u6 rapide.rent, 1a solutir! alu !.obLènc, la. nlcbiÀé an1lytiqu! jtant utlliGée !ou! établi! 1a stlucture, et 1a aachi.tle à cs.lcu1e! pour dételdiàer, avec précision 1a graEdeu! des paradètres. 11 y aurait san6 doute bien d,autles choses à dile sur travaiÌ de lringénLeu? de réservoit et Àou6 avons voulu nous bornef à lres6entiel alaÀs 1e iloiùaine de Ia tecbnj-que. ou6 n,avoos pas voulu aborde! 1es prcblèoes drorgani6ation lu travail etest à di!e étudier les relatiolE erltrc ]-rin8énleur de résclvoi-r, f,ingéùieùi Ce prÒductio[, f in8énieur de folage, -lritt8é!Écur g691o6ue et les Ìaboratoiresi it y aurait pourtaÀt là trctière à f,ire beeucoÌrp Ce choses intéressantes eÌr s r enpalant de lriCée Béné!:Lle que chacun des glands services C,une sÒcj-été doit prendre Ees décisionE dracti!n en 6achant quril agit, de nanière coo!érative cu non, avec f ingini€u! ale réservcir. l,tabsence de coopération peut avoir se 6curce Co.n6 de6 consilérations financièrcs. Le - r-4 r'oudfal.g pou! telol'aer, soullgner quer Eril colrvleEt ce!_ telasoeut il. Às paa poldrè de teEp6 et alo lto pa6 gaspl1l6r drargeDt eE falEaat dee Eerule6 acadéElquea. et 1nutl,166r iI èatr par contle IndllBPeaseble de oon8eltir ua olnj.bu& de te&p6 et drarBedt dAB la découvglte et dè6 le début de ].roxDloltetion dlun giee&èEtr af,l! do c!ée! 1eE conditioh§ qul per!€ttrglt plualeut6 aÀBée6 aprèsr d€ foutLl! dee prévioloue lalab].os ilrure évolutLoÀ dalrt IeE conalltloDg 6eloBt illctées pa! 1o6 18lré!atl'f6 dlu oolient. ,9