En EmbLE - Ville de Lamballe
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67 > ) Avril 2012 RéuEn sir emble Journal d’informations municipales de Lamballe 6 solidarité L’Hôpital n° un patrimoine commun à tous les lamballais Deux lamballaises dans les Territoires occupés 10 finances Dépenses recettes Tout sur le Budget 12 portrait Réné Goinguenet ancien chef de corps des Sapeurs-pompiers Sommaire ( ) Un chèque de 20 000 € pour les Resto du Cœur . . . . . . . . . . . . . . p. 3 Travaux dans les Landes de La Poterie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 4 Déjections canines dans la rue : une question de civisme . . . . . p. 5 Deux Lamballaises dans les territoires occupés . . . . . . . . p.6 Jean-Pierre Le Guével : 15 années d’urbanisme à la Ville . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 7 Dossier : l’Hôpital de Lamballe . . . . . Budget . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 8 et 9 p. 10 et 11 Portrait : René Goinguenet . . . . . . . . . . . . p. 12 L’actualité au Quai des rêves et à la bibliothèque . . . . . . . . . . p. 13 Libre expression . . . . . . . . . . . . . . p. 14 Vivre sa ville Marie-Christine Cléret transmet son écharpe d’ajointe… Adjointe au Développement Social et aux Solidarités depuis 1995, Marie-Christine Cléret a choisi de cesser cette fonction en début d’année. “Lors des dernières élections de 2008, je n’imaginais pas que le Conseil général me confierait la viceprésidence aux Affaires Sociales. Bien sûr, je reste élue lamballaise et maire délégué de Maroué mais je préfère me délester du poste d’ajointe plutôt que de me disperser, d’autant que cette fonction est passionnante mais très prenante.” Marie-Christine Cléret estime qu’il faut “savoir écouter les gens” pour remplir cette fonction. Elle dit aussi avoir pris beaucoup de plaisir à travailler avec les différents services de la Ville dans l’accompagnement de personnes qui sont pour la plupart dans le désarroi et la souffrance. Elle salue les partenaires avec lesquels elle a travaillé : “Lorsque nous avons hérité de la gestion municipale en 1995, nous avons pu immédiatement vérifier combien Lamballe est une vraie terre de solidarités, en rencontrant des associations partenaires, sans jamais perdre de vue qu’il nous revient, à nous … à Thierry Gauvrit Etat civil et les questions des lecteurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 15 L’agenda . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 16 )> RéuEn siR EmbLE Décembre 2011 n° 66 Journal d’informations municipales de Lamballe les élus, d’exercer nos responsabilités.” Et Marie-Christine Cléret de conclure : “Adjoint au Développement Social et aux Solidarités est certainement le poste le plus en lien avec la vie de la commune car il nous plonge quotidiennement au cœur de la population et nous met directement en liaison avec les autres services de la Ville. Compte tenu de sa formation et de son implication dans la vie publique, Thierry Gauvrit a vraiment le profil pour me succéder.” Elu auprès de Lydie Philippe, mairedélégué de Saint-Aaron, Thierry Gauvrit (au premier plan à gauche sur notre photo) conçoit son engagement municipal comme une continuité de son investissement professionnel et associatif(1). Assistant social au Conseil général depuis 20 ans, il s’investit aussi depuis 10 ans dans la formation des futurs travailleurs sociaux et dans la pédagogie de la formation par alternance. C’est donc tout naturellement vers cet homme que Loïc Cauret s’est tourné lorsqu’il s’est agi de nommer un successeur à Marie-Christine Cléret. “Etre à l’écoute des gens, s’investir pour les autres, être le relais auprès de ceux qui connaissent des difficultés, accompagner les plus fragiles, tout cela fait déjà partie de mon quotidien” confirme l’intéressé, qui compte aussi s’appuyer sur le réseau social des “institutions et associations locales qui oeuvrent dans ce domaine.” (1) Depuis 2008, Thierry Gauvrit représente aussi le CCAS de Lamballe au sein de l’Union départementale des CCAS où il siège en tant que trésorier adjoint. 6 PATRIMOINE Une tranche de rêve Une voirie partagée pour une circulation apaisée 12 ASSOCIATIONS Loïc Cauret, Maire de Lamballe 02 96 50 13 50 Des actions de mécénat pour nos lavoirs 7 TRAVAUX Directeur de la publication pour finir l’année Un atelier TV à la MJC Rédaction, maquettes et photos Jacques Le Souder - Plaintel 06 81 59 83 77 Photo de couverture Service Info-Com Conception et réalisation graphique Roudenn Grafik - Plérin - 02 96 58 02 03 Impression Roudenn Grafik - Guingamp - 02 96 11 97 00 Labellisée Imprim’vert Imprimé sur papier recyclé Routage OCEA Routage Le retour de Roland Gombert Le départ de Jean-Pierre Le Guével (voir page 7) laissant une place vacante que Gisèle Morin n’a pas souhaité occuper, c’est Roland Gombert, en 12ème position sur la liste lors des élections de 2008, qui hérite du poste de conseiller municipal. Il s’agit d’un retour aux sources pour Roland, qui fut déjà conseiller municipal de 1998 à 2008, en remplacement de Jean Pansard. “Lors du mandat précédent, j’ai beaucoup appris sur le fonctionnement d’une collectivité et c’est avec enthousiasme que je rejoins l’équipe en place” confie Roland Gombert, également connu pour son implication dans les Lapins de Beaulieu et les animations à l’Hôpital, où il travaille de nuit. Considérant “qu’il vaut mieux bien s’investir dans seulement quelques commissions plutôt que de se disperser”, Roland se verrait bien s’intéresser aux personnes âgées et à la jeunesse, notamment sur des thèmes comme la sécurité routière et les addictions. ( Ensemble pour Eux Un chèque de 20 000 € pour les Restos du cœur L es années se suivent et la générosité est toujours au rendez-vous, même lorsque le destin frappe l’équipe des Enflammés lamballais comme ce fut le cas l’an dernier avec la disparition de l’emblématique Jojo, et plus récemment, en novembre 2011, celle de Michel Blanchard, guitariste du groupe Regards. Pour cette édition 2012, les quatre spectacles ont à nouveau fait le plein au Quai des rêves et les artistes ont régalé le public. Résultat, c’est un chèque de 20 000 € que l’association Ensemble pour Eux a remis à Daniel Le Rolland, président départemental des Restos du cœur, au cours d’une cérémonie rassemblant tous les acteurs de cette formidable aventure. “On savait que cette 18 ème édition se déroulerait dans un contexte particulier et vous avez satisfait à de très hautes exigences morales et de qualité” s’est exclamé le maire Loïc Cauret lors de cette remise de chèque, saluant “la force collective de toute l’équipe.” Liliane Le Guével, présidente d’Ensemble pour Eux, a adressé les mêmes compliments aux artistes : “Nous appréhendions ce rendez-vous mais votre volonté et votre professionnalisme ont permis ce nouveau succès.” Liliane Le Guével a aussi remercié chaleureusement les techniciens, l’équipe du Quai des rêves et tous les bénévoles pour leur travail et leur disponibilité. En remettant le chèque à Daniel Le Rolland, Mauricette a souligné le rôle du public pour son précieux soutien. Le président départemental des Restos du cœur a indiqué combien ce chèque de 20 000 €, “fruit d’artistes talentueux et de bénévoles impliqués, sera d’une grande aide auprès des plus démunis, dans une conjoncture particulièrement difficile.” Pour clore la cérémonie, les responsables d’Ensemble pour Eux ont remis les lots aux lauréats de la tombola en présence des généreux donateurs. Entourée du maire Loïc Cauret, de la présidente Liliane Le Guével et des artistes, Mauricette remet le chèque à Daniel Le Rolland. Les gagnants : un livre “La cuisine bretonne d’aujourd’hui” (de Gérard Boscher) à Monique Chiantello, Annick Bocqueret, Margot Le Faucheur, Sissi Bruneau. Une porcelaine peinte à la main (plat, service à café, vase, porte-bougies, etc.) : Chantal Ledain, Lucienne Martin, Bertine Morin, Paulette Plesse, Josiane Chapelain, Alain Bessec, Mme Labbé, Josiane Raujouan, Brigitte Morvan, Gilbert You, Michel Letellier, Joseph Harivel. Une composition florale (Eglantine) : M. Wheelen. Une photographie encadrée (de Fabienne Renault) : Gwénaëlle Landin et Mme Gaspaillard. Deux tableaux, nature morte à l’huile, signés Yvon Guilloux : Annick Amice, Jean-Paul Piton. “Rondo”, une sculpture de Margot Pitra : Jeannette Cardin. Toutes les porcelaines peintes à la main ont été réalisées par des artistes locaux. Nous sommes 12 515 Lamballais Selon les chiffres publiés par l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), au 1er janvier 2012, la population municipale de Lamballe est de 12 515 habitants. Ces chiffres portent sur l’ensemble de la ville. Dans le détail, cette répartition est la suivante : Lamballe : 4553. Maroué : 4968. La Poterie 1304. Saint-Aaron : 1310. Trégomar : 480. L’évolution moyenne annuelle 1999-2009 est de 1,4 %, sur les 3 dernières années 3,1 %, soit la plus forte progression des villes de moins de 10 000 habitants des Côtes-d’Armor. Plus de 1000 passeports délivrés en 2011 ! Le peintre Yvon Guilloux remet l’une de ses œuvres (“Voyages”) à Annick Amice. Le service état civil de la mairie a traité 1001 passeports l’an dernier. 288 de ces passeports concernaient des Lamballais, les 713 autres demandes émanaient de personnes résidant hors de Lamballe. Pour ces derniers, le Ville de Lamballe reçoit une dotation forfaitaire de 5030 € par an, somme qui ne couvre pas tous les frais. 4 ( Infos Mairie Landes de La Poterie Des travaux d’entretien et de restauration D es travaux d’entretien et de restauration du milieu naturel ont été réalisés ces derniers mois sur le site Natura 2000 des Landes de La Poterie. Ces travaux s’insèrent dans un programme d’actions plus vaste, détaillé dans le Document d’Objectifs du site et visant à restaurer et maintenir les habitats naturels et les espèces d’intérêt communautaire européen. “Les travaux nécessaires ont été divisés en cinq grands secteurs afin de limiter au maximum les nuisances pour les espèces et le milieu” explique Rozenn Guillard, chargée de mission Natura 2000 pour les Landes de La Poterie. Pour l’année 2011, ces interventions ont porté sur la parcelle communale avec la gestion des saules en milieux humides, la restauration des espaces d’intérêt et le rajeunissement de landes ; et sur une parcelle privée avec la restauration d’une ancienne prairie humide. “Naturellement, les landes évoluent progressivement vers des fourrés pré-forestiers. Ainsi, sans entretien, la végétation se banaliserait et les espèces patrimoniales telles que les orchidées disparaîtraient” reprend Rozenn Guillard. S’agissant des coûts, le contrat Natura 2000 atteint un total de 123 000 € hors taxes, sur 5 ans, subventionné dans le cadre de Natura 2000 à 50 % par l’Europe et à 50 % par l’Etat. L’ensemble du chantier a été confié à l’entreprise de travaux forestiers Alain Hervé qui a procédé à des opérations de bûcheronnage, coupes d’arbres, arrachage des petits ligneux, fauche, débroussaillage, débardage du bois et exportation du produit de fauche. Cette entreprise a travaillé avec un cheval L’entreprise Alain Hervé a fait appel à un cheval de trait pour limiter les nuisances sur cet espace naturel. de trait, notamment pour le débardage du bois, permettant ainsi de limiter les nuisances sur cet espace naturel. Tout engin mécanisé a été proscrit sur la parcelle communale au vu de la fragilité du milieu naturel et des difficultés d’accès. “Ce type de travaux se déroule en automne, lors de la période de basses-eaux pour des facilités d’accès et lorsque les espèces sont le moins sensibles : fin du cycle de reproduction pour les animaux et fin de floraison pour les plantes” précise Rozenn Guillard. Permanences association CRESUS Cette association accompagne les personnes en situation de surendettement. Espace des Augustins à Lamballe La Croix-Rouge met en place des Maraudes Dans le cadre de la convention, dont est signataire la mairie, la Croix-Rouge propose une assistance pour l’hébergement des personnes sans domicile. 24, place du Champ de Foire 02 96 31 21 86 Brezhoneg, le breton, je m’y mets ! Pourquoi pas vous ? L’office public de la langue bretonne est désormais présent dans plus de 150 communes de Bretagne. N’hésitez pas à vous renseigner ! Tél. 02 51 82 48 37 http://www.ofis-bzh.org ( Civisme Le maître, son toutou et notre environnement C ertes, les chiens sont d’agréables animaux de compagnie et font partie du paysage urbain, mais leurs déjections ne doivent pas devenir une nuisance ou un danger pour nos concitoyens, notre ville, nos visiteurs. C’est aussi une question de civisme. Pour préserver la propreté de la ville et le cadre de vie des résidants, la municipalité a depuis plusieurs années pris des mesures en ce sens. Les services techniques ont notamment procédé à la pose de quatre Canipropres, distributeurs de sacs destinés à recevoir les déchets canins. L’un est situé face à l’entrée de la Bibliothèque, l’autre sur la place du Marché (en bout de parking), et les deux autres au plan d’eau de la Ville-Gaudu. Une canisette (petit carré de sable) a également été aménagée au Jardin public.. Rappelons aux propriétaires qu’ils doivent procéder au ramassage des déjections que leur animal aurait laissées sur la voie publique. La loi est implacable : le non ramassage des déjections de son chien fait encourir à son maître une amende de 2ème classe, d’un montant de 35 €. La municipalité est déterminée à traiter efficacement les méfaits occasionnés Le but est de faire comprendre aux propriétaires de chien que ramasser : • est un geste citoyen • contribue à faire accepter son chien par les autres, • donne une meilleure image de soi et de son animal, • permet de garder la ville propre. Paulette Dobet-Pincemin, adjointe à l’environnement et au cadre de vie ; et Patrice Loyer, chef de service de la police municipale, devant le Canipropre situé près de la bibliothèque : “Le sens du civisme est l’affaire de tous.” C’est aussi une question de sécurité. A ce sujet, les statistiques prêtent à réflexion : les déjections canines provoquent chaque année dans notre pays plus de 700 accidents et quelques dizaines de contaminations humaines graves conduisant à des soins lourds ! Mais la seule volonté municipale ne suffit pas. Alors, qu’on se le dise : tout citoyen, par son attitude, est le premier défenseur de son environnement ! D’autre part, le police municipale rappelle que la divagation d’animaux est également un délit passible d’un procès-verbal. Tout propriétaire de chien doit tenir son animal en laisse. Des équipes de VTT patrouillent régulièrement autour du plan d’eau afin de veiller au respect de cette réglementation. 5 6 ( Solidarité internationale Coopération franco-palestinienne Deux Lamballaises dans les territoires occupés C hristine Prunaud, adjointe à la Vie associative et à la Citoyenneté, et Soizic Hervé, directrice des services à la population à la Ville de Lamballe, reviennent d’un séjour en Palestine où elles ont assisté aux 3ème assises de la coopération décentralisée franco-palestinienne qui se tenaient à Hébron. Durant trois jours, elles ont participé à un maximum de tables rondes sur des thèmes aussi divers que la situation politique, la place de la jeunesse et des femmes, le développement économique, l’eau et l’assainissement, la présentation du patrimoine, etc. Trois journées étaient également consacrées à des visites guidées ainsi qu’à des rencontres avec les villes partenaires, en l’occurrence Kufur Thilith, la ville ayant lié un accord de coopération avec Lamballe (voir notre encadré). Hébergées dans une famille palestinienne, Christine Prunaud et Soizic Hervé ont beaucoup échangé avec le maire, les conseillers municipaux et les enseignants de ce village : “Nous avons notamment visité deux écoles et pu constater comment l’argent apporté par Lamballe, a été très bien utilisé, notamment dans l’équipement informatique. Les Palestiniens tiennent beaucoup à l’éducation des jeunes et les classes sont confortables et fonctionnelles” Soizic et Christine ont également visité le jardin habilité et aménagé pour lequel notre ville a aussi apporté une aide financière. “Lamballe a versé 5000 € d’aide en 2010 et 2011” précisent nos deux ambassadrices, qui ont d’ores et déjà programmé l’accueil d’une délégation palestinienne lors de la Semaine de la solidarité internationale, en novembre à Lamballe. ce pays est occupé et complètement bridé dans son développement économique. Tout juste peut-il organiser une relative autonomie en matière agricole. Cela dit, les Palestiniens font l’effort constant de vivre dignement.” Au fil de leurs visites, elles ont aussi vérifié la fragmentation territoriale et politique avec la Zone C, l’occupation et la colonisation qui s’étendent à Jérusalem et ailleurs, la présence permanente des colons et l’impact du Mur d’Hébron sur la géographie du pays. “Nous avons vu un fil barbelé qui traverse la cour d’une école” témoignent-elles, avant d’affirmer : “Les élus palestiniens Pourquoi Lamballe ? Mais ce sont aussi des images d’une dure réalité que Christine Prunaud et Soizic Hervé ont ramenées de leur séjour : “En fait, la solidarité internationale est la seule branche à laquelle peuvent se raccrocher les Palestiniens pour exister et espérer se construire un jour. On voit tout de suite que sont très sensibles au fait que nous allions voir le travail qu’ils réalisent grâce à l’aide financière que nous leur apportons. Pour eux c’est une forme de reconnaissance. Mais ils sont surtout sensibles au fait que notre action n’est pas seulement humanitaire et financière, et que nous leur apportons un soutien politique en témoignant de ce qui se passe chez eux. Et avec les partenaires du monde entier qui participent à cette solidarité internationale, nous souhaitons que notre modeste accompagnement permette à ce pays de trouver un jour sa liberté.” >> C’est au cours d’une mission politique de solidarité dans les territoires palestiniens (Bande de Gaza et Cisjordanie) organisée par le Réseau de Coopération Décentralisée pour la Palestine (RCDP) et l’association Cités Unies France, en 2009, que Loïc Cauret avait pu témoigner de la situation catastrophique de la Bande de Gaza et de la détresse de tout un peuple. “Ce pays est une prison à ciel ouvert !” s’était-il indigné à son retour de Gaza Dans la continuité de la politique de coopération décentralisée, la Ville de Lamballe avait alors engagé un accord de coopération entre Lamballe, Saint-Brieuc et la ville de Kufur Thilith (5000 habitants), située au nord de la Cisjordanie. Ce choix avait été guidé par la situation dramatique de ce village qui souffre du mur de séparation coupant les territoires et les routes, et par la mobilisation très active et soutenue de son maire, Hussein Hasan Alsaifi pour protéger et développer sa collectivité. Les élus lamballais, briochins et palestiniens avaient alors choisi de placer cette coopération autour de l’environnement, la santé et l’éducation vers la jeunesse, qui avait débouché sur une action menée en 2010 par la MJC de Lamballe. Patrimoine ( 7 Jean-Pierre Le Guével “L’amour du patrimoine bâti et paysager” Un premier mandat de conseiller municipal de 1989 à 1995 dans l’opposition (sous l’ère Fernand Labbé), suivi d’un mandat en tant qu’adjoint à l’urbanisme et à l’environnement (1995-2001) puis d’un septennat comme adjoint à l’urbanisme et aux travaux (2001-2008), avant d’entamer un 4ème mandat en tant qu’adjoint à l’urbanisme et au développement durable (2008-2011), faites le compte : Jean-Pierre Le Guével a exercé durant 23 années à la mairie de Lamballe. En début d’année, comme convenu dès le début de la mandature, il s’est retiré de la vie municipale et a passé le relais à Denis Michelet, adjoint aux Travaux et à l’Habitat. Coup de projecteur sur un parcours riche en dossiers et réalisations. Pourquoi l’urbanisme ? C’est la délégation qui m’intéressait le plus. J’aime le patrimoine bâti et paysager, dont sa protection et sa mise en valeur. Et à ce titre, je dois dire que j’ai beaucoup appris au contact des Bâtiments de France. J’ai aussi beaucoup apprécié travailler sur les aménagements publics et les lotissements. Quels sont les gros dossiers qui ont jalonné vos mandatures ? Le projet de ville, dès janvier 1998, qui sera très important pour engager la révision du plan d’occupation des sols, l’étude couleurs, le plan de circulation de 1997 à 1999, deux révisions du plan d’occupation des sols en 2001 puis le passage en plan local d’urbanisme en 2010. Les trois campagnes de ravalement ont permis de restaurer plus de 300 façades dans la ville, le travail sur les enseignes et l’élaboration de la charte des devantures commerciales, le dossier des éoliennes, les lavoirs, le règlement local de Jean-Pierre Le Guével (à gauche) avec Jacky Oger (Pact-Arim) durant la campagne de ravalement des façades. publicité… et naturellement le lancement de la Zone de Protection du Patrimoine Architectural Urbain et Paysager (ZPPAUP) en 1997, un travail de longue haleine qui symbolise assez bien la capacité des habitants et des élus d’une commune à s’approprier un patrimoine et à accepter de fortes contraintes, ce qui permet une transmission efficace et pérenne aux générations futures. Les plus gros obstacles que vous ayez rencontrés ? La volonté collective de créer un règlement visant à protéger le patrimoine et les activités économiques bute parfois sur les intérêts individuels. Il faut beaucoup de pédagogie pour expliquer les dossiers, mais disons que ça se passe très bien dans plus de 95% des cas. Sur le ton de l’humour, le maire Loïc Cauret disait parfois que vous étiez l’homme qui disait toujours “non”… C’est effectivement de l’humour mais l’urbanisme est très réglementé, ce qui entraîne parfois ce genre de réponse. Néanmoins, dans ce cas, une solution peut être trouvée grâce à la concertation. Cela dit, il reste quelques dossiers mémorables ! crois que pour être adjoint à l’urbanisme il faut être rigoureux tout en restant à l’écoute des gens. Beaucoup de Lamballais me disent aujourd’hui leur bon ressenti quant à la protection de notre patrimoine, aux différents travaux réalisés et à leur harmonie avec l’existant. Les nouvelles populations qui choisissent d’habiter Lamballe nous font part également de la bonne image qu’ils perçoivent de notre ville. Une expérience humaine aussi ? Bien sûr ! Et à ce titre, je remercie Jean Benoît, ancien maire délégué de Maroué, de m’avoir invité sur sa liste en 1989, et Loïc Cauret pour m’avoir permis d’accéder à la délégation d’adjoint à l’urbanisme et soutenu dans toutes les démarches de protection et de mise en valeur de notre ville. Un merci aussi à tous ceux (électeurs, camarades élus, service urbanisme) qui m’ont permis de vivre cette aventure exaltante. On devient impopulaire à ce poste ? Si j’en juge par les relations que j’ai conservées dans la ville, ce n’est pas majoritairement le cas. Bien sûr, des réunions pour certains projets ont commencé sous une forte tension, mais les explications ont fait évoluer les choses. Je Jean-Pierre Le Guével a tenu a faire la photosouvenir avec tout le service urbanisme, sans oublier Georges Revel, parti à la retraite en 2010 et avec qui il a travaillé durant 15 années. 8 ( Dossier L’Hôpital : Comme un patrim Qui songerait aujourd’hui à effacer du paysage lamballais “son” hôpital ? Au fil des siècles, cet établissement est devenu un lieu essentiel dans la ville en même temps qu’un acteur territorial à part entière, tant au niveau sanitaire, social qu’économique. L’histoire de la ville est intimement liée à celle de son hôpital. On peut parler de patrimoine commun. Visite. Le directeur Dominique Colas, devant l’accueil de l’Hôpital de Lamballe. F ondé en 1854, l’Hôpital de Lamballe exerce sur un rayon d’action qui va bien au-delà du Penthièvre puisque des patients viennent de la Côte de Goëlo, de la région de Loudéac et de cantons plus lointains encore. Cette attractivité s’explique à la fois par la qualité de l’établissement, la capacité d’accueil et la volonté de modernisation et de formation qui anime la direction et les élus. Pour mémoire, en 2006, l’hôpital a investi 10 millions d’euros dans la construction d’un nouveau bâtiment (Pavillon du Jeu de Paume) et la rénovation des infrastructures, portant ainsi à plus de 400 le nombre de lits et places. Quels services y trouve-t-on ? Etablissement public de santé, et même s’il peut accueillir chacun d’entre nous un jour, l’Hôpital de Lamballe possède d’abord une vocation gériatrique. En matière d’hébergement, on y trouve : • Un service médecine de 22 lits. “Il s’agit d’une unité de soins de proximité où le patient est suivi par son médecin traitant ou des médecins généralistes autorisés à exercer dans l’hôpital” précise Dominique Colas, le directeur. • Un service de soins de suite et de rééducation (20 lits), qui accueille des patients après une hospitalisation en court séjour. “Sa mission est de poursuivre les soins, une fois passée la phase aiguë, en vue d’un retour à domicile” complète Dominique Colas. • Une unité de soins longue durée de 30 lits. Les patients sont très majoritairement des personnes de plus de 60 ans, en perte d’autonomie et dont l’état nécessite des soins médicaux importants et une surveillance constante. • Un Etablissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD). C’est le “cœur” de métier de l’hôpital. Il comprend 238 lits dont 8 dédiés à l’hébergement temporaire (entre un et trois mois). • Un service de soins à domicile, concernant 80 places – ce qui représente beaucoup plus de personnes prises en charge géré en concertation avec les Centres intercommunaux d’action sociale (CIAS) de Lamballe et Arguenon-Hunaudaye. • Un accueil de jour de 10 places pour les personnes âgées en perte d’autonomie ou présentant des troubles cognitifs (maladie d’Alzheimer). • Un PASA (Pôle d’activités et de soins adaptés) de 14 places. Ne dites plus “Hôpital de la Ville Deneu” ! Le Dr Sabard et Mme Ulliac, IDE, dans leur bureau de l’Unité de soins de longue durée. De nombreux Lamballais ont pris l’habitude de désigner ce lieu Hôpital de la Ville Deneu. “Or, il convient de dire Hôpital de Lamballe” rectifie Dominique Colas, qui explique : “En fait, avant de mourir à Paris en 1841, M. de la Ville Deneu fit donation de ses biens à la Ville de Lamballe. Le bâtiment historique de l’hôpital, que l’on a d’ailleurs baptisé Pavillon Ville-Deneu, a été financé par son legs. Mais l’hôpital, c’est aussi plusieurs autres bâtiments…” ( moine commun A ces services, il convient d’ajouter : • Le Centre local d’information et de coordination gérontologique (Clic) dont le rôle est d’apporter des réponses personnalisées aux questions relatives au maintien à domicile. • La Maison des droits de l’autonomie des personnes handicapées • Un service d’éducation spécialisée et de soins à domicile (SESSAD) pour les enfants • Un centre médico-psychiatrique • La Maison médicale de garde • Un gynécologue libéral ayant son cabinet au sein de l’établissement L’hôpital s’organise autour d’un projet médical, qui définit les orientations en matière de soins et de stratégie médicale, ainsi que d’un projet d’établissement, qui dessine les contours de l’environnement (stratégie générale et développement des activités, mobilier, informatique, animations…) du site. Validés par la commission des menus, les repas sont élaborés et acheminés par la Cuisine centrale du GIP du Penthièvre. Gros impact économique “Pas moins de 200 dossiers sont actuellement en attente. Et la première grosse vague des plus de 85 ans arrive en 2015, c’est demain ! Il nous faut penser au développement” révèle le directeur, qui justifie ainsi les deux grands projets actuellement dans les cartons, avec en premier lieu une extension de 60 lits pour l’EHPAD, dont une unité classique de 30 lits et une seconde unité de 30 lits dédiée aux adultes handicapés vieillissants. Le deuxième projet vise à accroître le nombre de chambres individuelles. Dominique Colas insiste également sur deux points importants à ses yeux : la formation des personnels, qui permet ainsi une prise en charge de qualité des résidants ; et une image à corriger : “L’orientation gériatrique de l’établissement a tendance à donner une impression de mouroir dans l’imagerie populaire. Or, cet hôpital est d’abord un lieu de vie et tout est mis en œuvre pour qu’il y ait de la vie dans les services.” Ajoutons que la durée moyenne de séjour pour un résidant de l’EHPAD est de 4 ans. La Maison Bleue >> Enfin, trois chiffres suffisent à situer l’impact de cet outil sur notre territoire : 300 salariés (“Et tous des emplois spécialisés !” souligne Dominique Colas), 10 millions € de charges de personnels, plus de 5 millions € de frais hôteliers, médicaments, entretien, frais financiers et amortissements. C’est dire si l’hôpital est pourvoyeur d’emplois et pèse lourd dans l’économie locale. Bientôt une fusion A compter du 1er janvier 2013, l’Hôpital de Lamballe et la Maison de retraite intercommunale (éclatée sur les sites de Langueux, Trégueux, La Méaugon et totalisant 170 lits) ne formeront plus qu’une seule entité juridique : le Pôle gériatrique du Penthièvre, avec un seul conseil de surveillance, une seule direction, un seul budget. Située à côté de la chapelle, la Maison Bleue est le joli nom donné au Pôle d’activités et de soins adaptés (PASA), inauguré en octobre dernier. “Il s’agit d’un espace aménagé au sein de l’établissement, exclusivement réservé aux personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer” prévient Dominique Colas. L’accueil fonctionne à la journée, tous les jours sauf le week-end, et peut recevoir 12 à 14 personnes. Ce service est encadré par deux animateurs ayant suivi une formation spécialisée d’aide médico-psychologique ou d’animateur auprès des personnes âgées. Accompagnés en permanence par ces animateurs, les “pensionnaires” de la Maison Bleue se voient offrir un panel d’animations très variées : exercices faisant travailler la mémoire, jeux autour de la sociabilité, activités de stimulation (lecture du journal, discussions, chants, marché…), promenades dans le parc, jardinage, peinture, etc. Les repas et collations sont pris en commun. 9 10 ( Budget ( 11 Dépenses recettes 12 ( Portrait René Goinguenet Après la caserne, les clés de Saint-Martin L a sirène peut déchirer le silence de la ville lorsque le camion des sapeurspompiers démarre de la caserne pour se rendre sur un sinistre, elle ne procure plus aucun frisson à René Goinguenet. “Depuis 11 ans, j’ai eu le temps de tourner la page” confie celui qui fut le dernier chef de corps volontaire du Centre, parti à la retraite en décembre 2001 avec le grade de commandant. Devenu sapeur-pompier par vocation, René Goinguenet ne fut pas un pompier ordinaire. “Dès l’âge de 13 ans, j’avais envie de faire ce métier. J’ai d’abord passé 3 ans à la brigade des sapeurs-pompiers de Paris avant de gravir les différents échelons et d’être nommé capitaine de la caserne de Lamballe, devenue centre de secours principal en 1983.” Partant du principe que le sens du commandement est quelques chose d’inné, René a aussi tenu à placer le relationnel au cœur de sa fonction, tant auprès de ses hommes que des élus et des institutionnels. Risques du métier obligent, il a côtoyé des drames de la route avec la mort de trop nombreux jeunes et garde en lui la cicatrice d’avoir perdu un de ses hommes en service, lors d’un incendie en 1982. “Et ça aussi, c’est terrible…” murmure-t-il pudiquement. A la fois humaniste et visionnaire, et après avoir créé une école des cadets sapeurspompiers à Lamballe, René Goinguenet est également l’homme qui, avec Robert Josse, alors proviseur du lycée Henri-Avril, lança en 1997 la première formation scolaire de futurs sapeurs-pompiers (FCIL) en France. Cette formation a depuis débouché sur un diplôme reconnu par l’Education nationale. “Attention à l’organisation opérationnelle !” Durant ses 44 années de carrière, l’homme a accompagné la modernisation de la profession avant de remiser son casque, juste au lendemain de la départementalisation, d’où son regard à la fois lucide et sans concession : “Autrefois, on nous appelait essentiellement pour des feux de cheminée ou de paille dans les fermes, aujourd’hui les risques routiers ont crû et nous avons aussi affaire à des établissements à risques, notamment sur le plan chimique. Idem pour les bâtiments qui ont, eux aussi, beaucoup Chaque matin, René Goinguenet n’a qu’à traverser la rue pour aller ouvrir les portes de l’église Saint-Martin afin d’accueillir les nombreux visiteurs. changé… J’ai toujours encouragé les chefs d’entreprise à engager ou à former un sapeur-pompier. Un pompier est un agent de sécurité dans l’entreprise. A cet égard, la départementalisation a certes favorisé le renouvellement et la répartition du matériel et des équipements au niveau du territoire, mais elle a aussi trop distendu les liens entre les communes. Il y a trop de centralisation et je crains que les élus s’éloignent de leurs sapeurspompiers. Nous avons actuellement dans les Côtes-d’Armor 2 000 volontaires et 250 professionnels : je dis attention ! Recrutons intelligemment tant dans la formation que dans l’affectation des hommes. J’avais aussi émis l’idée que, selon son importance, chaque commune forme ou recrute des sapeurs-pompiers en tant qu’employés communaux. Je ne parle pas pour Lamballe car notre ville a déjà fait ce choix. J’avais même suggéré que le Conseil général octroie une subvention aux collectivités qui font cet effort.” Jamais langue de bois, René s’interroge aussi sur la place des officiers volontaires dans la hiérarchie du SDIS (1). “Il est grand temps que l’on rouvre l’Observatoire départemental des sapeurspompiers volontaires afin de mieux cibler et coordonner les recrutements.” Notre interlocuteur se veut néanmoins optimiste pour l’avenir d’un métier qui a été sa vie : “La mixité entre les volontaires et les professionnels fonctionne bien et est indispensable. De même, les sapeurspompiers jouissent toujours d’une bonne image parmi la population.” Tout en se préparant à partir pour une partie de pêche (l’une de ses grandes occupations), René nous parle de son autre passion : l’église Saint-Martin. Enfant du quartier, il se félicite de la restauration de cet édifice prestigieux pour lequel il s’investit quotidiennement en tant que vice-président des Amis du patrimoine religieux de Lamballe. Avec son épouse Marie-Thérèse, il participe notamment à la préparation des offices religieux et des concerts, au fleurissement et à l’embellissement de “ce superbe patrimoine qui reçoit de très nombreux visiteurs chaque jour.” (1) SDIS : Service départemental d’incendie et de secours. Culture ( 13 Pour bien finir la saison Trois spectacles et la fête de la Musique ColosseS : un spectacle à voir en famille Cette pièce poétique, à voir en famille à partir de 8 ans, évoque les relations entre les enfants qui grandissent et les adultes. Un homme, sur de tout savoir, s’isole dans la tour qu’il s’est construit. Il est importuné par le chant d’une petite fille qui perce son silence... et qui cherche par tous les moyens à l’apprivoiser pour connaître ses secrets. Le silence, la nuit, l’immobilité, elle les fuit. Elle promène sa voix, ses questions. Elle attend les réponses. Vendredi 27 avril à 20h30. Tarifs : 14 €, 12 €, 11 € et 6 € scène François Rollin. Samedi 5 mai à 20h30. Tarifs : 18 €, 16 €, 14 €. > Spectacles au Quai des rêves. ColosseS : vendredi 27 avril à 20h30 / Festof de Jean-Jacques Vanier : samedi 5 mai à 20h30 / Gargantua : samedi 12 mai à 20h30. > Ballade contée : samedi 12 mai à 11h à la bibliothèque > Pour en savoir plus ou pour réserver : 02 96 50 94 80 - www.quaidesreves.com L’univers loufoque de Rabelais au travers du spectacle Gargantua et d’une ballade contée gourmande Le Festof de Jean-Jacques Vanier : une soirée d’humour Laissez-vous porter par l’humour empreint de poésie et de tendresse de ce clown décalé qui jongle avec les mots. Entre Festin et Best-Of, Jean-Jacques Vanier a concocté ce Festof : un florilège des moments les plus drôles de ses quatre premiers spectacles coécrits avec son complice et metteur en humanisme fabuleux en passant par le filtre d’une éducation basée sur la curiosité et l’expérience de la vie. Pour continuer le croisement entre littérature, théâtre et gourmandise, la bibliothèque propose une ballade contée gourmande dans le centre de Lamballe avec un arrêt sur cinq lieux pour une lecture de cinq textes choisis dans Gargantua accompagnés de petites dégustations. Quai des rêves accueillera une adaptation théâtrale de Gargantua, célèbre roman de Rabelais. Cette histoire du géant Gargantua est une farce comique où l’on entend le plaisir de la bonne chair, où l’apprend autant ce qu’à fait Gargantua à son arrivée à Paris que comment choisir le meilleur torchecul ! Mais dans cette fresque assaisonnée de bêtises et d’aventures, le géant Gargantua, prodigieusement flegmatique des fesses, devient finalement le porte-parole d’un Jeudi 21 juin : la fête de la musique ! Comme chaque année, les rues de Lamballe deviennent piétonnes pour accueillir les musiciens et danseurs amateurs sur des scènes de toutes tailles et de tout type. C’est l’occasion d’une soirée conviviale et familiale qui s’ouvre à tous les styles musicaux. Avis aux musiciens et danseurs : il est encore temps de s’inscrire auprès du service culturel (02 96 50 94 80) pour y participer ! Du 2 mai au 30 juin Explosion de couleurs et de saveurs à la bibliothèque Avant l’été, la bibliothèque vous propose un programme qui devrait flatter vos yeux et émoustiller vos papilles. A vos agendas ! différentes étapes de conception d’un livre de cuisine. Vendredi 11 mai à 18h - gratuit L’art culinaire sur le net. Atelier La couleur dans la BD. Le responsable de la librairie spécialisée BD West et un illustrateur expliqueront la mise en couleur dans la BD. Samedi 26 mai à 10h30 - gratuit multimédia abordant la mise en page de recettes de cuisine Vendredi 11 mai à 14h - gratuit Sur inscription en secteur multimédia. La réalisation d’un livre de cuisine. Le club de lecture “Des Livres et Vous !” vous propose de rencontrer JeanMarie Baudic, chef cuisinier à Saint-Brieuc et auteur du livre “Retour de marché” aux éditions La Martinière. Il reviendra sur les J’emmène quoi en vacances ? Christine Ferniot, journaliste littéraire à Télérama et Lire, présente une sélection de romans pour partir avec des valises pleines de lecture cet été. Vendredi 22 juin à 18h - gratuit En parallèle retrouvez les Mercredis des Histoires, les Sam’dis de chanter et le Samedi des Petites Histoires… Programme en détails sur www.bibliothequedelamballe.fr Gargantua. Pour vous mettre en appétit, la bibliothèque vous propose une balade gourmande dans les rues de Lamballe durant laquelle vous pourrez découvrir Garguantua, de textes en textes, de découvertes gustatives en lieux insolites. Samedi 12 mai au départ de la bibliothèque à 11h - gratuit Inscription conseillée en section adulte 14 ( Libre expression Citoyen, citoyenne, tu dois voter CITOYEN : c’était, dans la Grèce Antique, celui qui avait le droit de donner son opinion par le suffrage. CITOYEN : c’était le nom que se donnaient ceux qui, en 1789, ont rejeté leur condition de sujets soumis à la Royauté. CITOYENNE : c’est cette femme qui, aux élections municipales du 29 avril 1945, avec une grande fierté, a voté pour la 1ère fois. Elle vient de vivre dans une France oppressée par l’Occupation nazie, privée de liberté par le régime de Vichy, cette période pendant laquelle, dans la Résistance et la clandestinité, le Comité Français de Libération Nationale a accordé, en 1943, le droit de vote aux femmes. CITOYEN : c’est ce jeune de moins de 21 ans, à qui, en 1973, le droit de vote a été accordé dès l’ âge de 18 ans. CITOYENNE, CITOYEN, c’est toi qui, appartenant à notre communauté nationale, est appelé à choisir celui ou celle qui présidera la République, celles ou ceux qui nous représenteront à l’Assemblée Nationale. Par leur vote, les citoyens sont les acteurs de la démocratie. Nous devons retrouver cette conscience de notre rôle essentiel dans une société démocratique et...voter. Le vote est un acte de liberté individuelle. Il est réalisé par les citoyens, le même jour, dans les mêmes conditions, ce qui doit nous rendre conscients de notre appartenance à la Nation. Cet acte individuel est un acte de responsabilité envers la République. Au moment de prendre part à ces élections nationales, à Progressons Ensemble, nous nous souvenons que c’est la Droite qui a alourdi les charges des collectivités locales et diminué leurs moyens, que l’ UMP et Nicolas Sarkozy ne cessent de proférer des attaques de plus en plus vives contre les Régions, les Départements et les Communes parce qu’elles sont en majorité gérées par la Gauche. Nous nous souvenons que c’est la Gauche qui a décidé et mis en oeuvre les lois de décentralisation et donné ainsi à ces collectivités locales la responsabilité et les moyens de développer les équipements et les services au plus près des citoyens . C’ est pourquoi nous disons : Citoyen, citoyenne, tu dois voter. Et avec Progressons Ensemble, tu voteras à gauche. Yvon Kergroas Progressons Ensemble http://progressonsensemble.free.fr Budget : Lamballe à la croisée des chemins Le débat d’orientation budgétaire a été l’occasion de constater combien notre commune était aujourd’hui à la croisée des chemins. D’où venons-nous ? Le premier chiffre est démographique. Depuis 2000, Lamballe enregistre une croissance de sa population de 11 121 habitants à 12 391 d’habitants (chiffres retenus par l’administration fiscale) soit une augmentation de 11,41 %. Nous nous en réjouissons tous. Dans le domaine financier et fiscal, cette croissance démographique est simultanée avec trois fortes hausses. •la Ville voit son endettement passer de 15 535 000 € à 25 690 000 €, soit une augmentation de 65,37 %. •Les recettes fiscales augmentent quant à elles et passent de 3 699 000 € à 6 073 000 € soit + 64,18 %. •Les charges de personnel sont passées de 4 357 000 € à 6 665 000 € malgré la délégation de très nombreuses compétences à Lamballe Communauté, soit une augmentation de 52,97 %. Tous ces chiffres sont vérifiables sur le site du Ministère du Budget http://www.colloc.bercy.gouv.fr/, rubrique “Découvrez les comptes des communes”. A ce niveau, la hausse de la dette, de la pression fiscale et des charges de personnel ne sont plus proportionnelles à la hausse de la population. Elles le sont d’autant moins que de nombreuses compétences sont passées à la Lamballe Communauté depuis 2000 et donc de nombreux personnels ne sont plus à la charge de la Ville. Quel contexte nous prévoit-on ? •Un gel des dotations de l’Etat. Ce gel peut être légitime afin que les collectivités participent aussi à la résorption de notre dette nationale, •Une croissance des recettes fiscales notamment, due à l’augmentation du taux de l’imposition de 5% en 2010 et à la réévaluation des bases dans les quartiers de Maroué l’an passé, •Une vraie fragilité pour emprunter, parce que nous sommes déjà très endettés et parce que le crédit est rare, ce qui est une nouveauté, •Une tendance haussière sur l’intérêt de l’emprunt. Le poste des charges financières qui représente peu ou prou 1 million d’euros soit plus de 7% du budget de fonctionnement est très sensible aux fluctuations du marché. La tendance est à la hausse en ce début d’année, nous prévoyons donc un niveau des intérêts de la dette au-dessus de 1 million d’euros, niveau que nous n’avons jamais atteint depuis la restructuration de la dette par les emprunts toxiques. Que devons nous faire ? •Mieux maîtriser nos charges de personnels •Ne pas se contenter de maîtriser la dette mais engager un vrai plan de désendettement. •Se débarrasser des emprunts toxiques C’est une question de responsabilité vis-à-vis des générations qui viennent afin qu’elles puissent, elles aussi, investir en fonction de nouveaux défis qui se présenteront à elles. L’Etat a décentralisé certaines fonctions sur les collectivités locales donnant de vraies libertés aux collectivités, mais avec la liberté viennent l’initiative et la responsabilité. L’exercice nouveau peut être périlleux pour des collectivités mal préparées. Les élus sont-il tous vraiment formés à ces nouvelles responsabilités ? Véronique Delaître - Rosanne Mahé Yves Clément - Stéphane De Sallier Dupin ( Foire aux questions des lecteurs Objets trouvés, objets perdus Bonjour J’ai trouvé une paire de lunettes au jardin public, que dois-je en faire ? Thomas - Maroué Le bon réflexe est de rapporter ces objets auprès de la Police Municipale qui les recence et qui les restitue auprès de son propriétaire quand il vient les rechercher. Si celui-ci ne se présente pas au bout d’un an, l’objet trouvé est, selon sa valeur, soit vendu par le Commissariat aux ventes des domaines (Rennes), soit donné a une association caritative lamballaise (vêtements, sacs,...), conformément à l’arrêté municipal qui est affiché au poste de la police municipale. C’est quoi un Qr-Code ? Bonjour Je découvre sur les affiches du Quai des rêves un drôle de code-barre, à quoi ça sert ? Comment ça marche ? Anne-Cécile - Lamballe Ce code-barre est en fait un “Qr-code”, les propriétaires de Smartphone peuvent télécharger un logiciel libre qui permet de le scanner et les renvoyer sur la page Internet du site du Quai des rêves. On en retrouve maintenant un peu partout sur les affiches, les produits, plaquettes… Le lien se fait automatiquement vers le site Internet de l’objet en question. CAF, CPAM, Mission Locale, MSA La CAF, la CPAM, la Mission Locale et la MSA ont déménagé à l’Espace Lamballe Communauté (41, rue Saint-Martin à Lamballe), quels sont leurs horaires d’ouverture ? > CAF Horaires : mercredi et jeudi de 9h à 12h et de 13h30 à 17h Tél : 0 810 25 22 10 - Plate forme de St-Brieuc > CPAM Horaires : lundi, mardi et jeudi de 9h à 12h et de 13h à 16h Tél : 36 46 du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30 > Mission locale Horaires : du mardi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h30 (sous réserve de modifications) Tél : 02 96 50 84 50 - antenne permanente de Lamballe > MSA d’Armorique Horaires : accueil sans rendez-vous le lundi et le jeudi de 9h à 12h30 et de 14h à 17h et sur rendez-vous en appelant le 02 96 78 87 00 Etat civil Lamballe Naissances 23 octobre Baptiste DESCHAMP 29 octobre Rafael DELOURME 2 nov Alexandra DA SILVA ARAUJO 6 nov Noah MWANANDEKE MIESSI 11 nov Océane TEFY 12 nov Victor EVIN 12 déc Myley COGUEN JAN 19 déc Adèle JEAN 20 déc Simon KNAPP 29 déc Aubin LE CHEVèRE 31 déc Kiara BOUVIER 14 janvier Mila COUPÉ 17 janvier D’jems SOMBO 18 janvier Ambre DEBEURÉ 26 janvier Tilia CHEVALIER 28 janvier Juliane SIMONNET 4 février Mathis GAYE Mariages 26 décNicolas SCHAFF et Bettina SABLE 7 janvier Olivier ETIENNE et Marie-Laure SOUPLET Décès 3 juilletGeneviève BENOIT veuve GOMET 25 octobre Lucie GUÉGUEN 26 octobre Marthe RAULT veuve BARBÉ 3 nov Jean Baptiste RENAULT 6 nov Léon MORVAN 14 nov Alfred SCHAUB 16 nov Michel BLANCHARD 25 nov Maria BARBÉ veuve MACÉ 5 déc Lucien GOMET 5 déc Pierre LAPERCHE 12 déc Jean-Marc RIVET 19 déc Louise LÉVÊQUE veuve GUÉGUEN 19 déc René PAILLET 1er janvier Joseph BOUVET 19 janvier Paulette GERMAIN veuve LANNIC 20 janvier Camille ROBERT épouse CHRETIEN 21 janvier Bernard PESTEL 21 janvier Margaret PHELAN 22 janvier Yvonne GOURET veuve ATTRAIT 24 janvier Eléonore GAUVIN veuve BRIENS 29 janvier RENAULT Raphaël Saint-Aaron Naissances 20 oct 18 nov 20 déc 29 déc 12 janv 29 janv Décès 5 nov 9 nov 1er déc Carmen JOLIVET Célia DESSAUDES Maïa JEHAN Gabrielle MOIGNE Charlotte GARÇON Evan ABIVEN LUCAS Marie LORET veuve GROSMAITRE Noël CORBEL Michel CHEVALIER Maroué ( Naissances 3 juillet 20 oct 25 oct 31 oct 3 nov 7 nov 10 nov 18 nov 22 nov 30 nov 29 déc 4 fév Emmy LEMERCIER Louis LETORT SYMOND Yloé PIARD Maëla JOUANNEAU Elouan PLANTÉ Nora RESMOND Louna BALLAY Anna BEUVE Roméo PIRÈS Justyne BERTIN LE HENAFF Julia LEGALLAIS Joseph PALUCH Mariages 17 septChristophe SIXDENIERS et Karine MOLTER 24 septLudovic PERROQUIN et Charlotte LENOIR Décès 28 oct 25 nov 30 nov 20 déc 7 janv 11 janv 12 janv 15 janv 1er févr 06 févr 07 févr Jacqueline JARDIN épouse PENNELLIER Eugène CARDIN Robert JUMEL Joseph GESBERT Marcel LEROUX Patrick LE BAIL Louis GUERNION Marie ROLLAND veuve VERDES Marcel TARDIVEL Geneviève GUILLOT Veuve BRIEUC Jeanne RUFFET Veuve LONCLE La Poterie Naissances 23 nov 3 déc 11 janv 6 janv Germain DURAND Jules DUBOIS Mathéo MORZADEC Joshua WAFFO MBE Mariages 12 déc 26 déc 30 déc Christian DUROS et Annie MÉHEUST Laurent GUIVARC’H et Anne SOULAILLE Pascal MORZADEC et Vanessa TOUCHERY Noces d’or 16 juillet Bertrand et Joëlle MENGUY Décès 26 oct 12 déc Jeannine HERVÉ épouse COLLET Marguerite FALIGOT veuve BAUDET Trégomar Naissances 17 janv Gaby RIGAL AMIARD 16 ( Sortir L’agenda • Jusqu’au 31 décembre - Exposition “Empreinte d’un voyage au Japon” - Musée Mathurin-Méheut - Tél. 0296 31 19 99 Phare, cap sur les 5 sens - Maison de l’Enfance - organisée par le service Petite Enfance de Lamballe Communauté : 02 96 50 70 11 Concert de soutien organisé par l’association “Terre Fraternité” • Dimanche 22 avril - Brocante au Foyer Rural de Maroué - organisation Bike Park • Dimanche 3 juin - Vide-grenier - Esplanade du Château - Apéi Mathurin-Méheut • Mardi 8 mai - Vide-grenier - Bourg de Maroué - Amicale Laïque de Maroué • Samedi 9 juin - Cyclosportive atout cœur Centre-ville de Lamballe - Vélosport Pays de Lamballe Musique d’artillerie composée de 55 musiciens qui nous proposera un répertoire de musique de films, elle sera accompagnée : •des Kilt Brothers (des Korigans déchaînés aux accents celtes) •de Philippe Catolona, accordéoniste •de Dominique Bertin, chanteur de variétés chansons françaises des années 80 Terre Fraternité est une association loi 1901 qui vient en aide aux soldats blessés et à leurs familles. Pré-vente des billets à l’Office de Tourisme - 5 € - ou le soir du concert à l’accueil. • Dimanche 13 mai - Foire des Potiers - à La Poterie - Organisé par l’Hoté d’Potier • Mardi 15 mai - Les sens en éveil - Conférence sociologique de Jean Epstein - Espace Lamballe Communauté - Salle des Conseils - 20h30 - Organisée dans le cadre d’Enfant Phare : 02 96 50 70 11 • Samedi 16 juin - Evènement sportif Complexe sportif du Penthièvre - Service des sports de Lamballe Communauté • Dimanche 17 juin - Vide-grenier - Parking Leclerc Lamballe - Association des Crayons de couleur • Jeudi 17 mai - Tournoi de football - stade de Saint-Aaron - Club sportif aaronais • Mardi 19 juin - Fête de l’amitié - Corne-decerf - Aînés ruraux du Penthièvre • Samedi 19 mai - Ouverture sur le Japon Conférence sociologique de Jean-Luc Richard - Espace Lamballe Communauté - Salle des Conseils - 18h - Organisée par le Musée Mathurin Méheut • Jeudi 21 juin - Fête de la musique - Centreville de Lamballe - Service culturel de la Ville de Lamballe • Samedi 19 mai - Nuit des musées - 19h30-22h - Musée Mathurin-Méheut • Dimanche 20 mai - De Mémoire de roses - Haras National - organisé par l’Office de Tourisme • Vendredi 25 mai - Concours de boules - Plan d’eau Ville-Gaudu - Aînés ruraux du Penthièvre • Samedi 26 mai - Foulées lamballaises - centreville de Lamballe - Jogging du Pays de Lamballe • Vendredi 1er juin - Fête des voisins - Dans les différents quartiers de Lamballe - Service Manifestation de la Ville de Lamballe : 02 96 50 13 50 • Samedi 2 juin - Journée festive : Enfant • Samedi 23 et dimanche 24 juin - Feu de la Saint-Jean - Corne-de-cerf - Vallon-du-Liffré • Dimanche 1er juillet - Vide-grenier - Square des Chevreuils - Les chevreuils Saint-Lazare • Dimanche 10 juillet - Fête du pain d’antan - La Poterie • Jeudi 12 juillet - Régalades - Place du Marché Le vendredi 11 mai à 20h30 - Salle municipale Le Breizh Energie Tour Du 21 au 23 juin - place du Marché à Lamballe Un camion exposition vous propose de découvrir des solutions simples et concrètes pour économiser l’électricité. L’exposition itinérante, animée par des conseillers EDF, vous présentera les éco-gestes à pratiquer au quotidien et les différentes possibilités de rénovation de votre logement chauffé à l’électricité. Au programme : un parcours de panneaux explicatifs, une maquette 3D d’une maison rénovée, des animations interactives avec un jeu concours permettant de gagner un vélo électrique. • Vendredi 13 juillet - Rando de l’Espoir - Plan d’eau de la Ville-Gaudu - Jogging Pays de Lamballe • Vendredi 13 juillet - Feu d’artifice - Plan d’eau de la Ville-Gaudu - Ville de Lamballe • Du vendredi 13 au dimanche 15 juillet Championnat de Bretagne de dressage - Haras national Musée Mathurin-Méheut “Empreintes d’un voyage au Japon” Cette exposition est entièrement dédiée à l’œuvre de Mathurin Méheut, né en 1882 à Lamballe. Le peintre, issu de l’école des Beaux-Arts de Rennes, poursuit une brillante carrière à Paris avant d’entreprendre un voyage au Japon en 1914. Durant ce séjour de 9 mois, il observe les paysages et personnages rencontrés à travers les provinces d’Osaka, Nara ou encore Kyôto. Ebloui par la beauté du Japon, il réalise de nombreux croquis et aquarelles. Ce voyage au Pays du Soleil Levant confirme ses choix iconographiques et marque son style japonisant. A travers estampes et dessins, l’influence du japonisme perdure dans ses créations : compositions en obliques, découpage du motif par le cadre, ou le format en hauteur. Du Porteur de palanches à La cérémonie du thé, en passant par Les tortues sacrées, le musée présente ses propres collections enrichies de nombreuses collections particulières. Notons que cette expo s’inscrit dans le cadre Bretagne-Japon 2012, une opération réunissant 12 musées bretons présentant des collections rares et inédites au grand public, objets japonais et œuvres empruntes de "Porteur de palanche", japonisme. Jusqu’au 31 décembre 2012. musée MathurinMéheut > Toutes les infos sur www.musee-meheut.fr ou au 02 96 31 19 99. Sport et population en fête le 16 juin Un grand rassemblement sportif à l’échelle communautaire aura lieu le samedi 16 juin, au complexe sportif du Penthièvre, à Lamballe. “Avec 80 clubs, 7500 licenciés et 37 disciplines pratiquées, notre territoire a des choses à montrer et à faire connaître auprès de la population” estime Arsène Kerauffret, vice-président sports à LamballeCommunauté. Outre son caractère informatif et identitaire pour notre territoire, ce rassemblement se veut également convivial. “Nous terminerons cette journée par des grillades” indique Arsène Kerauffret, qui espère une participation massive des clubs et de la population. Lamballe Communauté, c’est 80 clubs et 37 disciplines pratiquées.
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