Guide du dosage du cortisol avec un test SNAP
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Guide du dosage du cortisol avec un test SNAP
Guide du dosage du cortisol avec un test Snap Suivi de traitement au Mitotane (Lysodren ) ® ® Test de stimulation à l’ACTH Protocole diagnostique pour les cas suspects d’hypo et d’hypercorticismes Commencer le traitement par une phase d’induction avec une dose d’attaque de 40 à 50 mg/kg par jour répartie en prises lors des repas. Surveiller l’apparition des signes suivants : diminution de l’appétit, diminution de la quantité d’eau consommée (<60 ml/kg/j), vomissements, diarrhée ou apathie. Anamnèse, examen clinique, numération et formule sanguines, biochimie, électrolytes et analyse urinaire compatibles avec un syndrome de Cushing ou un hypercorticisme. Si au bout de 7 à 10 jours de la phase d’induction, le chien ne présente aucune réponse au traitement ou d’effets indésirables. Mesure de la cortisolémie basale Diagnostiquer et traiter des cas suspects d’hypo et d’hypercorticismes (Cushing et Addison) Réaliser un test de stimulation par l’ACTH Arrêter le traitement au mitotane. Si l’animal est apathique ou malade, administrer la prednisone pendant 2 semaines. Si l’animal est cliniquement sain, ne pas commencer la prednisone mais une dose faible de maintenance au mitotane dans 2 semaines. Arrêter le traitement au mitotane. Si l’animal est apathique ou malade, administrer la prednisone pendant 2 semaines. Si l’animal est cliniquement sain, ne pas commencer la prednisone. Recommencer la phase de maintenance au mitotane dans 2 semaines, mais en réduisant la dose de 25%. <28 nmol/l (<1 µg/dL) 28-138 nmol/l (1-5 µg/dL) >138 nmol/l (>5 µg/dL) Continuer la phase d’induction au mitotane pendant 3 à 7 jours*. Vérifier à nouveau entre 3 à 7 jours. Bien surveiller l’animal comme indiqué ci-dessus. Commencer la phase de maintenance au mitotane entre 25 et 50 mg/kg par semaine à répartir en plusieurs prises. Continuer pendant un mois. Réaliser un test de stimulation par l’ACTH <28 nmol/l (<1 µg/dL) 28-138 nmol/l (1-5 µg/dL) >138 nmol/l (>5 µg/dL) Augmenter la dose hebdomadaire ou renouveler la dose de charge initiale pendant 3 à 7 jours. Surveiller l’apparition d’effets indésirables comme ci-dessus puis augmenter la dose d’entretien hebdomadaire. Maintenir la dose actuelle. Renouveler par la suite le test de stimulation par l’ACTH toutes les 3 à 4 semaines. Utiliser les critères d’évaluation du traitement ci-dessus afin de vous assurer du bon dosage du mitotane. traiter * Si la stimulation à l’ACTH est toujours >138 nmol/l (>5 µg/dl) après la poursuite de 3-7 jours, poursuivre avec la dose de charge pendant 3-7 jours supplémentaires, en surveillant l’apparition d’effets indésirables. Les recommandations contenues dans ce document sont données à titre indicatif uniquement. Comme pour tout diagnostic ou traitement, l’appréciation clinique de chaque patient devra être basée sur une évaluation complète de ce dernier comprenant l’anamnèse, un examen clinique et un bilan complet des données de laboratoire. En ce qui concerne les traitements médicamenteux et leur suivi, référez-vous à la notice du médicament en question pour les doses, les indications, les interactions et les précautions d’emploi. IDEXX France www.idexx.fr © 2008 IDEXX Laboratories, Inc. All rights reserved. • 09-61738-06 FR SNAP est une marque déposée de IDEXX Laboratories aux Etats Unis d’Amérique et autres pays. Lysodren est une marque déposée de Bristol-Meyers Squibb Company ou d’une autre division ou filiale au groupe Bristol-Meyers Squibb Company. Cortrosyn est une marque déposée de Amphastar Pharmaceuticals, Inc. Vetoryl est une marque déposée de Dechra Veterinary Products. Réaliser un test de stimulation à l’ACTH et injecter 0,25 mg/chien de Synacthène® IV Mesure de la cortisolémie à t + 1h. Pré- et/ou Post-ACTH <55 nmol/l (<2 µg/dL) Post-ACTH 55-166 nmol/l (2-6 µg/dL) Pré-ACTH : 55-166 nmol/l (2-6 µg/dL) Post-ACTH: 166-497 nmol/l (6-18 µg/dL) Si les deux résultats sont <55 nmol/l (<2 µg/dL), ils sont compatibles avec un hypoadrénocorticisme. Non concluant Normal Démarrer le cas échéant le traitement avec des minéralocorticoïdes et/ ou des glucocorticoïdes si nécessaire. Post-ACTH 497-607 nmol/l (18-22 µg/dL) Pré- ou Post-ACTH >607 nmol/l (>22 µg/dL) Non concluant, syndrome de Cushing possible Compatible avec un syndrome de Cushing Réaliser un test de freinage à la dexaméthasone à forte dose pour déterminer l’origine (hypophysaire ou surrénalienne) par: • un test de freinage à la dexaméthasone à dose forte • un dosage de l’ACTH • imagerie (échographie/scanner) diagnostiquer Guide du dosage du cortisol avec un test Snap Suivi de traitement au Mitotane (Lysodren ) ® ® Test de stimulation à l’ACTH Protocole diagnostique pour les cas suspects d’hypo et d’hypercorticismes Commencer le traitement par une phase d’induction avec une dose d’attaque de 40 à 50 mg/kg par jour répartie en prises lors des repas. Surveiller l’apparition des signes suivants : diminution de l’appétit, diminution de la quantité d’eau consommée (<60 ml/kg/j), vomissements, diarrhée ou apathie. Anamnèse, examen clinique, numération et formule sanguines, biochimie, électrolytes et analyse urinaire compatibles avec un syndrome de Cushing ou un hypercorticisme. Si au bout de 7 à 10 jours de la phase d’induction, le chien ne présente aucune réponse au traitement ou d’effets indésirables. Mesure de la cortisolémie basale Diagnostiquer et traiter des cas suspects d’hypo et d’hypercorticismes (Cushing et Addison) Réaliser un test de stimulation par l’ACTH Arrêter le traitement au mitotane. Si l’animal est apathique ou malade, administrer la prednisone pendant 2 semaines. Si l’animal est cliniquement sain, ne pas commencer la prednisone mais une dose faible de maintenance au mitotane dans 2 semaines. Arrêter le traitement au mitotane. Si l’animal est apathique ou malade, administrer la prednisone pendant 2 semaines. Si l’animal est cliniquement sain, ne pas commencer la prednisone. Recommencer la phase de maintenance au mitotane dans 2 semaines, mais en réduisant la dose de 25%. <28 nmol/l (<1 µg/dL) 28-138 nmol/l (1-5 µg/dL) >138 nmol/l (>5 µg/dL) Continuer la phase d’induction au mitotane pendant 3 à 7 jours*. Vérifier à nouveau entre 3 à 7 jours. Bien surveiller l’animal comme indiqué ci-dessus. Commencer la phase de maintenance au mitotane entre 25 et 50 mg/kg par semaine à répartir en plusieurs prises. Continuer pendant un mois. Réaliser un test de stimulation par l’ACTH <28 nmol/l (<1 µg/dL) 28-138 nmol/l (1-5 µg/dL) >138 nmol/l (>5 µg/dL) Augmenter la dose hebdomadaire ou renouveler la dose de charge initiale pendant 3 à 7 jours. Surveiller l’apparition d’effets indésirables comme ci-dessus puis augmenter la dose d’entretien hebdomadaire. Maintenir la dose actuelle. Renouveler par la suite le test de stimulation par l’ACTH toutes les 3 à 4 semaines. Utiliser les critères d’évaluation du traitement ci-dessus afin de vous assurer du bon dosage du mitotane. traiter * Si la stimulation à l’ACTH est toujours >138 nmol/l (>5 µg/dl) après la poursuite de 3-7 jours, poursuivre avec la dose de charge pendant 3-7 jours supplémentaires, en surveillant l’apparition d’effets indésirables. Les recommandations contenues dans ce document sont données à titre indicatif uniquement. Comme pour tout diagnostic ou traitement, l’appréciation clinique de chaque patient devra être basée sur une évaluation complète de ce dernier comprenant l’anamnèse, un examen clinique et un bilan complet des données de laboratoire. En ce qui concerne les traitements médicamenteux et leur suivi, référez-vous à la notice du médicament en question pour les doses, les indications, les interactions et les précautions d’emploi. IDEXX France www.idexx.fr © 2008 IDEXX Laboratories, Inc. All rights reserved. • 09-61738-06 FR SNAP est une marque déposée de IDEXX Laboratories aux Etats Unis d’Amérique et autres pays. Lysodren est une marque déposée de Bristol-Meyers Squibb Company ou d’une autre division ou filiale au groupe Bristol-Meyers Squibb Company. Cortrosyn est une marque déposée de Amphastar Pharmaceuticals, Inc. Vetoryl est une marque déposée de Dechra Veterinary Products. Réaliser un test de stimulation à l’ACTH et injecter 0,25 mg/chien de Synacthène® IV Mesure de la cortisolémie à t + 1h. Pré- et/ou Post-ACTH <55 nmol/l (<2 µg/dL) Post-ACTH 55-166 nmol/l (2-6 µg/dL) Pré-ACTH : 55-166 nmol/l (2-6 µg/dL) Post-ACTH: 166-497 nmol/l (6-18 µg/dL) Si les deux résultats sont <55 nmol/l (<2 µg/dL), ils sont compatibles avec un hypoadrénocorticisme. Non concluant Normal Démarrer le cas échéant le traitement avec des minéralocorticoïdes et/ ou des glucocorticoïdes si nécessaire. Post-ACTH 497-607 nmol/l (18-22 µg/dL) Pré- ou Post-ACTH >607 nmol/l (>22 µg/dL) Non concluant, syndrome de Cushing possible Compatible avec un syndrome de Cushing Réaliser un test de freinage à la dexaméthasone à forte dose pour déterminer l’origine (hypophysaire ou surrénalienne) par: • un test de freinage à la dexaméthasone à dose forte • un dosage de l’ACTH • imagerie (échographie/scanner) diagnostiquer Suite de la page précédente Test de freinage à la dexaméthasone à dose faible Test de freinage à la dexaméthasone à dose forte Pour les cas suspects de syndrome de Cushing Pour la détermination de l’origine hypophysaire ou surrénalienne du syndrome de Cushing Suivi de traitement au Trilostane (Vetoryl )* ® Amélioration très faible ou nulle Amélioration significative Jour 1 Anamnèse, examen clinique, numération et formule sanguines, biochimie, électrolytes et analyse urinaire compatibles avec un syndrome de Cushing Le diagnostic de Syndrome de Cushing a été confirmé précédemment Mesure de la cortisolémie basale Mesure de la cortisolémie basale Réaliser un test à la dexaméthasone à dose faible par injection IV de 0.01 mg/kg de dexaméthasone Réaliser un test de freinage à la dexaméthasone à dose forte par injection IV de 0.1 mg/kg de dexaméthasone Mesure des cortisolémies à t + 4 et t + 8 heures (réaliser tout d’abord la mesure à t + 8h. La mesure du t + 4h n’est peut être pas nécessaire). 4 heures 8 heures <28 nmol/l (<1 µg/dL) <28 nmol/l (<1 µg/dL) Normal 28-41 nmol/l (1–1.5 µg/dL) >41 nmol/l <41 nmol/l >41 nmol/l (>1.5 µg/dL) (<1.5 µg/dL) (>1.5 µg/dL) et >50% de la ou <50% de la et >50% de la cortisolémie basale cortisolémie basale cortisolémie basale 28-41 nmol/l (1–1.5 µg/dL) >41 nmol/l >41 nmol/l >41 nmol/l (>1.5 µg/dL) (>1.5 µg/dL) (>1.5 µg/dL) et >50% de la et >50% de la et <50% de la cortisolémie basale cortisolémie basale cortisolémie basale Valeurs limites. Refaire un freinage à dose faible éventuellement dans 6 a 8 semaines.* Compatible avec un syndrome de Cushing (origine non déterminée) Syndrome de Cushing probablement d’origine hypophysaire. Compatible avec une lésion hypophysaire Réaliser le test de freinage à la dexaméthasone à dose forte associé éventuellement à des examens d’imagerie et/ou mesurer les concentrations d’ACTH plasmatiques * En cas d’erreur due à un problème technique, attendre au minimum 48 heures avant de renouveler le test. Démarrer le traitement au Trilostane. Administrer le matin, avec le repas. Se référer au tableau de la fiche technique. Cortisolémie post-ACTH <200 nmol/l (<7.2 µg/dL) Jour 10 Examen clinique, test de stimulation à l’ACTH et suivi 4 heures après la gélule du matin. Analyses biochimiques y compris les électrolytes. Test de stimulation à l’ACTH à 22-24 heures Mesure de la cortisolémie à 4 heures Mesure de la cortisolémie à 8 heures <41 nmol/l (<1.5 µg/dL) ou <50% de la 4 heures cortisolémie basale <41 nmol/l >41 nmol/l >41 nmol/l (<1.5 µg/dL) (>1.5 µg/dL) (>1.5 µg/dL) ou <50% de la et >50% de la et >50% de la cortisolémie basale cortisolémie basale cortisolémie basale >41 nmol/l (>1.5 µg/dL) et >50% de la cortisolémie basale <41 nmol/l >41 nmol/l <41 nmol/l (<1.5 µg/dL) (>1.5 µg/dL) (<1.5 µg/dL) ou <50% de la et >50% de la ou <50% de la cortisolémie basale cortisolémie basale cortisolémie basale 8 heures Compatible avec un Syndrome de Cushing d’origine hypophysaire Probablement d’origine surrénalienne, mais d’autres examens (imagerie, dosage d’ACTH) sont nécessaires pour en avoir la certitude. Cortisolémie post-ACTH >200 nmol/l (>7.2 µg/dL) Cortisolémie post-ACTH <50 nmol/l (<1.8 µg/dL) et bon état clinique Cortisolémie post-ACTH >50 nmol/l** (>1.8 µg/dL) et bon état clinique Interrompre le traitement pendant 7 jours. Recommencer à dose plus faible. Poursuivre le traitement à la dose actuelle REVENIR AU JOUR 1 28 Jours Examen clinique, test de stimulation à l’ACTH 4 heures après la gélule. Analyses biochimiques y compris les électrolytes. Evaluer le degré d’amélioration clinique (pour plus d’informations, se référer aux informations sur la chronologie des signes cliniques) Suite en page suivante Augmenter la dose quotidienne une fois puis REVENIR AU JOUR 1 Présence de signes cliniques compatibles avec : 1. Une insuffisance “relative” en cortisol; syndrome de privation en corticoïdes, caractérisé par une faiblesse, de la léthargie, une démarche raide, de l’anorexie, de la fièvre durant les 10 premiers jours du traitement. 2. Un hypocorticisme, avec anorexie, léthargie/dépression, faiblesse, tremblements/ secousses, vomissements, diarrhée, bradycardie, choc. Arrêter le traitement au Trilostane. Confirmer si les signes cliniques sont dus à un hypocorticisme avec un test de stimulation à l’ACTH et des analyses sériques des électrolytes (Na et K en particulier). Traiter les symptômes si besoin, par ex. • dexaméthasone pour traiter une hypocortisolémie. • NaCl 0,9% IV pour corriger une hyperkaliémie. * Modifié par rapport aux recommandations sur le dosage du Vetoryl® et son suivi 22-24 heures Cortisolémie post-ACTH >200 nmol/l (>7.2 µg/dL) Cortisolémie post-ACTH <200 nmol/l (<7.2 µg/dL) Administration en 2 prises par jour nécessaire Eliminer des affections concomitantes Contacter le fabriquant pour des conseils sur la dose à administrer Cortisolémie post-ACTH <50 nmol/l (<1.8 µg/dL) et bon état clinique Interrompre le traitement pendant 7 jours. Puis recommencer à dose plus faible Cortisolémie post-ACTH 50200 nmol/l (1.8 -7.2 µg/dL) Poursuivre le traitement à la dose actuelle REVENIR AU JOUR 1 Continuer à surveiller suivant les recommandations de la fiche technique. Réaliser un test de stimulation à l’ACTH 4 heures après la gélule du matin. ** Si la cortisolémie post-ACTH est >250 nmol/l (9.1 µg/dl) et les signes cliniques d’hyperadrénocorticisme sont marqués, vous pouvez alors envisager d’augmenter la dose à ce stade. Augmenter la dose par incréments les plus petits possible. Cortisolémie post-ACTH 200-250 nmol/l (7.2 -9.1 µg/dL) Poursuivre le traitement à la dose actuelle mais surveiller attentivement la survenue d’une récidive par les signes cliniques Cortisolémie post-ACTH >250 nmol/l** (>9.1 µg/dL) Augmenter la dose du matin REVENIR AU JOUR 1 Suite de la page précédente Test de freinage à la dexaméthasone à dose faible Test de freinage à la dexaméthasone à dose forte Pour les cas suspects de syndrome de Cushing Pour la détermination de l’origine hypophysaire ou surrénalienne du syndrome de Cushing Suivi de traitement au Trilostane (Vetoryl )* ® Amélioration très faible ou nulle Amélioration significative Jour 1 Anamnèse, examen clinique, numération et formule sanguines, biochimie, électrolytes et analyse urinaire compatibles avec un syndrome de Cushing Le diagnostic de Syndrome de Cushing a été confirmé précédemment Mesure de la cortisolémie basale Mesure de la cortisolémie basale Réaliser un test à la dexaméthasone à dose faible par injection IV de 0.01 mg/kg de dexaméthasone Réaliser un test de freinage à la dexaméthasone à dose forte par injection IV de 0.1 mg/kg de dexaméthasone Mesure des cortisolémies à t + 4 et t + 8 heures (réaliser tout d’abord la mesure à t + 8h. La mesure du t + 4h n’est peut être pas nécessaire). 4 heures 8 heures <28 nmol/l (<1 µg/dL) <28 nmol/l (<1 µg/dL) Normal 28-41 nmol/l (1–1.5 µg/dL) >41 nmol/l <41 nmol/l >41 nmol/l (>1.5 µg/dL) (<1.5 µg/dL) (>1.5 µg/dL) et >50% de la ou <50% de la et >50% de la cortisolémie basale cortisolémie basale cortisolémie basale 28-41 nmol/l (1–1.5 µg/dL) >41 nmol/l >41 nmol/l >41 nmol/l (>1.5 µg/dL) (>1.5 µg/dL) (>1.5 µg/dL) et >50% de la et >50% de la et <50% de la cortisolémie basale cortisolémie basale cortisolémie basale Valeurs limites. Refaire un freinage à dose faible éventuellement dans 6 a 8 semaines.* Compatible avec un syndrome de Cushing (origine non déterminée) Syndrome de Cushing probablement d’origine hypophysaire. Compatible avec une lésion hypophysaire Réaliser le test de freinage à la dexaméthasone à dose forte associé éventuellement à des examens d’imagerie et/ou mesurer les concentrations d’ACTH plasmatiques * En cas d’erreur due à un problème technique, attendre au minimum 48 heures avant de renouveler le test. Démarrer le traitement au Trilostane. Administrer le matin, avec le repas. Se référer au tableau de la fiche technique. Cortisolémie post-ACTH <200 nmol/l (<7.2 µg/dL) Jour 10 Examen clinique, test de stimulation à l’ACTH et suivi 4 heures après la gélule du matin. Analyses biochimiques y compris les électrolytes. Test de stimulation à l’ACTH à 22-24 heures Mesure de la cortisolémie à 4 heures Mesure de la cortisolémie à 8 heures <41 nmol/l (<1.5 µg/dL) ou <50% de la 4 heures cortisolémie basale <41 nmol/l >41 nmol/l >41 nmol/l (<1.5 µg/dL) (>1.5 µg/dL) (>1.5 µg/dL) ou <50% de la et >50% de la et >50% de la cortisolémie basale cortisolémie basale cortisolémie basale >41 nmol/l (>1.5 µg/dL) et >50% de la cortisolémie basale <41 nmol/l >41 nmol/l <41 nmol/l (<1.5 µg/dL) (>1.5 µg/dL) (<1.5 µg/dL) ou <50% de la et >50% de la ou <50% de la cortisolémie basale cortisolémie basale cortisolémie basale 8 heures Compatible avec un Syndrome de Cushing d’origine hypophysaire Probablement d’origine surrénalienne, mais d’autres examens (imagerie, dosage d’ACTH) sont nécessaires pour en avoir la certitude. Cortisolémie post-ACTH >200 nmol/l (>7.2 µg/dL) Cortisolémie post-ACTH <50 nmol/l (<1.8 µg/dL) et bon état clinique Cortisolémie post-ACTH >50 nmol/l** (>1.8 µg/dL) et bon état clinique Interrompre le traitement pendant 7 jours. Recommencer à dose plus faible. Poursuivre le traitement à la dose actuelle REVENIR AU JOUR 1 28 Jours Examen clinique, test de stimulation à l’ACTH 4 heures après la gélule. Analyses biochimiques y compris les électrolytes. Evaluer le degré d’amélioration clinique (pour plus d’informations, se référer aux informations sur la chronologie des signes cliniques) Suite en page suivante Augmenter la dose quotidienne une fois puis REVENIR AU JOUR 1 Présence de signes cliniques compatibles avec : 1. Une insuffisance “relative” en cortisol; syndrome de privation en corticoïdes, caractérisé par une faiblesse, de la léthargie, une démarche raide, de l’anorexie, de la fièvre durant les 10 premiers jours du traitement. 2. Un hypocorticisme, avec anorexie, léthargie/dépression, faiblesse, tremblements/ secousses, vomissements, diarrhée, bradycardie, choc. Arrêter le traitement au Trilostane. Confirmer si les signes cliniques sont dus à un hypocorticisme avec un test de stimulation à l’ACTH et des analyses sériques des électrolytes (Na et K en particulier). Traiter les symptômes si besoin, par ex. • dexaméthasone pour traiter une hypocortisolémie. • NaCl 0,9% IV pour corriger une hyperkaliémie. * Modifié par rapport aux recommandations sur le dosage du Vetoryl® et son suivi 22-24 heures Cortisolémie post-ACTH >200 nmol/l (>7.2 µg/dL) Cortisolémie post-ACTH <200 nmol/l (<7.2 µg/dL) Administration en 2 prises par jour nécessaire Eliminer des affections concomitantes Contacter le fabriquant pour des conseils sur la dose à administrer Cortisolémie post-ACTH <50 nmol/l (<1.8 µg/dL) et bon état clinique Interrompre le traitement pendant 7 jours. Puis recommencer à dose plus faible Cortisolémie post-ACTH 50200 nmol/l (1.8 -7.2 µg/dL) Poursuivre le traitement à la dose actuelle REVENIR AU JOUR 1 Continuer à surveiller suivant les recommandations de la fiche technique. Réaliser un test de stimulation à l’ACTH 4 heures après la gélule du matin. ** Si la cortisolémie post-ACTH est >250 nmol/l (9.1 µg/dl) et les signes cliniques d’hyperadrénocorticisme sont marqués, vous pouvez alors envisager d’augmenter la dose à ce stade. Augmenter la dose par incréments les plus petits possible. Cortisolémie post-ACTH 200-250 nmol/l (7.2 -9.1 µg/dL) Poursuivre le traitement à la dose actuelle mais surveiller attentivement la survenue d’une récidive par les signes cliniques Cortisolémie post-ACTH >250 nmol/l** (>9.1 µg/dL) Augmenter la dose du matin REVENIR AU JOUR 1 Suite de la page précédente Test de freinage à la dexaméthasone à dose faible Test de freinage à la dexaméthasone à dose forte Pour les cas suspects de syndrome de Cushing Pour la détermination de l’origine hypophysaire ou surrénalienne du syndrome de Cushing Suivi de traitement au Trilostane (Vetoryl )* ® Amélioration très faible ou nulle Amélioration significative Jour 1 Anamnèse, examen clinique, numération et formule sanguines, biochimie, électrolytes et analyse urinaire compatibles avec un syndrome de Cushing Le diagnostic de Syndrome de Cushing a été confirmé précédemment Mesure de la cortisolémie basale Mesure de la cortisolémie basale Réaliser un test à la dexaméthasone à dose faible par injection IV de 0.01 mg/kg de dexaméthasone Réaliser un test de freinage à la dexaméthasone à dose forte par injection IV de 0.1 mg/kg de dexaméthasone Mesure des cortisolémies à t + 4 et t + 8 heures (réaliser tout d’abord la mesure à t + 8h. La mesure du t + 4h n’est peut être pas nécessaire). 4 heures 8 heures <28 nmol/l (<1 µg/dL) <28 nmol/l (<1 µg/dL) Normal 28-41 nmol/l (1–1.5 µg/dL) >41 nmol/l <41 nmol/l >41 nmol/l (>1.5 µg/dL) (<1.5 µg/dL) (>1.5 µg/dL) et >50% de la ou <50% de la et >50% de la cortisolémie basale cortisolémie basale cortisolémie basale 28-41 nmol/l (1–1.5 µg/dL) >41 nmol/l >41 nmol/l >41 nmol/l (>1.5 µg/dL) (>1.5 µg/dL) (>1.5 µg/dL) et >50% de la et >50% de la et <50% de la cortisolémie basale cortisolémie basale cortisolémie basale Valeurs limites. Refaire un freinage à dose faible éventuellement dans 6 a 8 semaines.* Compatible avec un syndrome de Cushing (origine non déterminée) Syndrome de Cushing probablement d’origine hypophysaire. Compatible avec une lésion hypophysaire Réaliser le test de freinage à la dexaméthasone à dose forte associé éventuellement à des examens d’imagerie et/ou mesurer les concentrations d’ACTH plasmatiques * En cas d’erreur due à un problème technique, attendre au minimum 48 heures avant de renouveler le test. Démarrer le traitement au Trilostane. Administrer le matin, avec le repas. Se référer au tableau de la fiche technique. Cortisolémie post-ACTH <200 nmol/l (<7.2 µg/dL) Jour 10 Examen clinique, test de stimulation à l’ACTH et suivi 4 heures après la gélule du matin. Analyses biochimiques y compris les électrolytes. Test de stimulation à l’ACTH à 22-24 heures Mesure de la cortisolémie à 4 heures Mesure de la cortisolémie à 8 heures <41 nmol/l (<1.5 µg/dL) ou <50% de la 4 heures cortisolémie basale <41 nmol/l >41 nmol/l >41 nmol/l (<1.5 µg/dL) (>1.5 µg/dL) (>1.5 µg/dL) ou <50% de la et >50% de la et >50% de la cortisolémie basale cortisolémie basale cortisolémie basale >41 nmol/l (>1.5 µg/dL) et >50% de la cortisolémie basale <41 nmol/l >41 nmol/l <41 nmol/l (<1.5 µg/dL) (>1.5 µg/dL) (<1.5 µg/dL) ou <50% de la et >50% de la ou <50% de la cortisolémie basale cortisolémie basale cortisolémie basale 8 heures Compatible avec un Syndrome de Cushing d’origine hypophysaire Probablement d’origine surrénalienne, mais d’autres examens (imagerie, dosage d’ACTH) sont nécessaires pour en avoir la certitude. Cortisolémie post-ACTH >200 nmol/l (>7.2 µg/dL) Cortisolémie post-ACTH <50 nmol/l (<1.8 µg/dL) et bon état clinique Cortisolémie post-ACTH >50 nmol/l** (>1.8 µg/dL) et bon état clinique Interrompre le traitement pendant 7 jours. Recommencer à dose plus faible. Poursuivre le traitement à la dose actuelle REVENIR AU JOUR 1 28 Jours Examen clinique, test de stimulation à l’ACTH 4 heures après la gélule. Analyses biochimiques y compris les électrolytes. Evaluer le degré d’amélioration clinique (pour plus d’informations, se référer aux informations sur la chronologie des signes cliniques) Suite en page suivante Augmenter la dose quotidienne une fois puis REVENIR AU JOUR 1 Présence de signes cliniques compatibles avec : 1. Une insuffisance “relative” en cortisol; syndrome de privation en corticoïdes, caractérisé par une faiblesse, de la léthargie, une démarche raide, de l’anorexie, de la fièvre durant les 10 premiers jours du traitement. 2. Un hypocorticisme, avec anorexie, léthargie/dépression, faiblesse, tremblements/ secousses, vomissements, diarrhée, bradycardie, choc. Arrêter le traitement au Trilostane. Confirmer si les signes cliniques sont dus à un hypocorticisme avec un test de stimulation à l’ACTH et des analyses sériques des électrolytes (Na et K en particulier). Traiter les symptômes si besoin, par ex. • dexaméthasone pour traiter une hypocortisolémie. • NaCl 0,9% IV pour corriger une hyperkaliémie. * Modifié par rapport aux recommandations sur le dosage du Vetoryl® et son suivi 22-24 heures Cortisolémie post-ACTH >200 nmol/l (>7.2 µg/dL) Cortisolémie post-ACTH <200 nmol/l (<7.2 µg/dL) Administration en 2 prises par jour nécessaire Eliminer des affections concomitantes Contacter le fabriquant pour des conseils sur la dose à administrer Cortisolémie post-ACTH <50 nmol/l (<1.8 µg/dL) et bon état clinique Interrompre le traitement pendant 7 jours. Puis recommencer à dose plus faible Cortisolémie post-ACTH 50200 nmol/l (1.8 -7.2 µg/dL) Poursuivre le traitement à la dose actuelle REVENIR AU JOUR 1 Continuer à surveiller suivant les recommandations de la fiche technique. Réaliser un test de stimulation à l’ACTH 4 heures après la gélule du matin. ** Si la cortisolémie post-ACTH est >250 nmol/l (9.1 µg/dl) et les signes cliniques d’hyperadrénocorticisme sont marqués, vous pouvez alors envisager d’augmenter la dose à ce stade. Augmenter la dose par incréments les plus petits possible. Cortisolémie post-ACTH 200-250 nmol/l (7.2 -9.1 µg/dL) Poursuivre le traitement à la dose actuelle mais surveiller attentivement la survenue d’une récidive par les signes cliniques Cortisolémie post-ACTH >250 nmol/l** (>9.1 µg/dL) Augmenter la dose du matin REVENIR AU JOUR 1 Suite de la page précédente Test de freinage à la dexaméthasone à dose faible Test de freinage à la dexaméthasone à dose forte Pour les cas suspects de syndrome de Cushing Pour la détermination de l’origine hypophysaire ou surrénalienne du syndrome de Cushing Suivi de traitement au Trilostane (Vetoryl )* ® Amélioration très faible ou nulle Amélioration significative Jour 1 Anamnèse, examen clinique, numération et formule sanguines, biochimie, électrolytes et analyse urinaire compatibles avec un syndrome de Cushing Le diagnostic de Syndrome de Cushing a été confirmé précédemment Mesure de la cortisolémie basale Mesure de la cortisolémie basale Réaliser un test à la dexaméthasone à dose faible par injection IV de 0.01 mg/kg de dexaméthasone Réaliser un test de freinage à la dexaméthasone à dose forte par injection IV de 0.1 mg/kg de dexaméthasone Mesure des cortisolémies à t + 4 et t + 8 heures (réaliser tout d’abord la mesure à t + 8h. La mesure du t + 4h n’est peut être pas nécessaire). 4 heures 8 heures <28 nmol/l (<1 µg/dL) <28 nmol/l (<1 µg/dL) Normal 28-41 nmol/l (1–1.5 µg/dL) >41 nmol/l <41 nmol/l >41 nmol/l (>1.5 µg/dL) (<1.5 µg/dL) (>1.5 µg/dL) et >50% de la ou <50% de la et >50% de la cortisolémie basale cortisolémie basale cortisolémie basale 28-41 nmol/l (1–1.5 µg/dL) >41 nmol/l >41 nmol/l >41 nmol/l (>1.5 µg/dL) (>1.5 µg/dL) (>1.5 µg/dL) et >50% de la et >50% de la et <50% de la cortisolémie basale cortisolémie basale cortisolémie basale Valeurs limites. Refaire un freinage à dose faible éventuellement dans 6 a 8 semaines.* Compatible avec un syndrome de Cushing (origine non déterminée) Syndrome de Cushing probablement d’origine hypophysaire. Compatible avec une lésion hypophysaire Réaliser le test de freinage à la dexaméthasone à dose forte associé éventuellement à des examens d’imagerie et/ou mesurer les concentrations d’ACTH plasmatiques * En cas d’erreur due à un problème technique, attendre au minimum 48 heures avant de renouveler le test. Démarrer le traitement au Trilostane. Administrer le matin, avec le repas. Se référer au tableau de la fiche technique. Cortisolémie post-ACTH <200 nmol/l (<7.2 µg/dL) Jour 10 Examen clinique, test de stimulation à l’ACTH et suivi 4 heures après la gélule du matin. Analyses biochimiques y compris les électrolytes. Test de stimulation à l’ACTH à 22-24 heures Mesure de la cortisolémie à 4 heures Mesure de la cortisolémie à 8 heures <41 nmol/l (<1.5 µg/dL) ou <50% de la 4 heures cortisolémie basale <41 nmol/l >41 nmol/l >41 nmol/l (<1.5 µg/dL) (>1.5 µg/dL) (>1.5 µg/dL) ou <50% de la et >50% de la et >50% de la cortisolémie basale cortisolémie basale cortisolémie basale >41 nmol/l (>1.5 µg/dL) et >50% de la cortisolémie basale <41 nmol/l >41 nmol/l <41 nmol/l (<1.5 µg/dL) (>1.5 µg/dL) (<1.5 µg/dL) ou <50% de la et >50% de la ou <50% de la cortisolémie basale cortisolémie basale cortisolémie basale 8 heures Compatible avec un Syndrome de Cushing d’origine hypophysaire Probablement d’origine surrénalienne, mais d’autres examens (imagerie, dosage d’ACTH) sont nécessaires pour en avoir la certitude. Cortisolémie post-ACTH >200 nmol/l (>7.2 µg/dL) Cortisolémie post-ACTH <50 nmol/l (<1.8 µg/dL) et bon état clinique Cortisolémie post-ACTH >50 nmol/l** (>1.8 µg/dL) et bon état clinique Interrompre le traitement pendant 7 jours. Recommencer à dose plus faible. Poursuivre le traitement à la dose actuelle REVENIR AU JOUR 1 28 Jours Examen clinique, test de stimulation à l’ACTH 4 heures après la gélule. Analyses biochimiques y compris les électrolytes. Evaluer le degré d’amélioration clinique (pour plus d’informations, se référer aux informations sur la chronologie des signes cliniques) Suite en page suivante Augmenter la dose quotidienne une fois puis REVENIR AU JOUR 1 Présence de signes cliniques compatibles avec : 1. Une insuffisance “relative” en cortisol; syndrome de privation en corticoïdes, caractérisé par une faiblesse, de la léthargie, une démarche raide, de l’anorexie, de la fièvre durant les 10 premiers jours du traitement. 2. Un hypocorticisme, avec anorexie, léthargie/dépression, faiblesse, tremblements/ secousses, vomissements, diarrhée, bradycardie, choc. Arrêter le traitement au Trilostane. Confirmer si les signes cliniques sont dus à un hypocorticisme avec un test de stimulation à l’ACTH et des analyses sériques des électrolytes (Na et K en particulier). Traiter les symptômes si besoin, par ex. • dexaméthasone pour traiter une hypocortisolémie. • NaCl 0,9% IV pour corriger une hyperkaliémie. * Modifié par rapport aux recommandations sur le dosage du Vetoryl® et son suivi 22-24 heures Cortisolémie post-ACTH >200 nmol/l (>7.2 µg/dL) Cortisolémie post-ACTH <200 nmol/l (<7.2 µg/dL) Administration en 2 prises par jour nécessaire Eliminer des affections concomitantes Contacter le fabriquant pour des conseils sur la dose à administrer Cortisolémie post-ACTH <50 nmol/l (<1.8 µg/dL) et bon état clinique Interrompre le traitement pendant 7 jours. Puis recommencer à dose plus faible Cortisolémie post-ACTH 50200 nmol/l (1.8 -7.2 µg/dL) Poursuivre le traitement à la dose actuelle REVENIR AU JOUR 1 Continuer à surveiller suivant les recommandations de la fiche technique. Réaliser un test de stimulation à l’ACTH 4 heures après la gélule du matin. ** Si la cortisolémie post-ACTH est >250 nmol/l (9.1 µg/dl) et les signes cliniques d’hyperadrénocorticisme sont marqués, vous pouvez alors envisager d’augmenter la dose à ce stade. Augmenter la dose par incréments les plus petits possible. Cortisolémie post-ACTH 200-250 nmol/l (7.2 -9.1 µg/dL) Poursuivre le traitement à la dose actuelle mais surveiller attentivement la survenue d’une récidive par les signes cliniques Cortisolémie post-ACTH >250 nmol/l** (>9.1 µg/dL) Augmenter la dose du matin REVENIR AU JOUR 1 Guide du dosage du cortisol avec un test Snap Suivi de traitement au Mitotane (Lysodren ) ® ® Test de stimulation à l’ACTH Protocole diagnostique pour les cas suspects d’hypo et d’hypercorticismes Commencer le traitement par une phase d’induction avec une dose d’attaque de 40 à 50 mg/kg par jour répartie en prises lors des repas. Surveiller l’apparition des signes suivants : diminution de l’appétit, diminution de la quantité d’eau consommée (<60 ml/kg/j), vomissements, diarrhée ou apathie. Anamnèse, examen clinique, numération et formule sanguines, biochimie, électrolytes et analyse urinaire compatibles avec un syndrome de Cushing ou un hypercorticisme. Si au bout de 7 à 10 jours de la phase d’induction, le chien ne présente aucune réponse au traitement ou d’effets indésirables. Mesure de la cortisolémie basale Diagnostiquer et traiter des cas suspects d’hypo et d’hypercorticismes (Cushing et Addison) Réaliser un test de stimulation par l’ACTH Arrêter le traitement au mitotane. Si l’animal est apathique ou malade, administrer la prednisone pendant 2 semaines. Si l’animal est cliniquement sain, ne pas commencer la prednisone mais une dose faible de maintenance au mitotane dans 2 semaines. Arrêter le traitement au mitotane. Si l’animal est apathique ou malade, administrer la prednisone pendant 2 semaines. Si l’animal est cliniquement sain, ne pas commencer la prednisone. Recommencer la phase de maintenance au mitotane dans 2 semaines, mais en réduisant la dose de 25%. <28 nmol/l (<1 µg/dL) 28-138 nmol/l (1-5 µg/dL) >138 nmol/l (>5 µg/dL) Continuer la phase d’induction au mitotane pendant 3 à 7 jours*. Vérifier à nouveau entre 3 à 7 jours. Bien surveiller l’animal comme indiqué ci-dessus. Commencer la phase de maintenance au mitotane entre 25 et 50 mg/kg par semaine à répartir en plusieurs prises. Continuer pendant un mois. Réaliser un test de stimulation par l’ACTH <28 nmol/l (<1 µg/dL) 28-138 nmol/l (1-5 µg/dL) >138 nmol/l (>5 µg/dL) Augmenter la dose hebdomadaire ou renouveler la dose de charge initiale pendant 3 à 7 jours. Surveiller l’apparition d’effets indésirables comme ci-dessus puis augmenter la dose d’entretien hebdomadaire. Maintenir la dose actuelle. Renouveler par la suite le test de stimulation par l’ACTH toutes les 3 à 4 semaines. Utiliser les critères d’évaluation du traitement ci-dessus afin de vous assurer du bon dosage du mitotane. traiter * Si la stimulation à l’ACTH est toujours >138 nmol/l (>5 µg/dl) après la poursuite de 3-7 jours, poursuivre avec la dose de charge pendant 3-7 jours supplémentaires, en surveillant l’apparition d’effets indésirables. Les recommandations contenues dans ce document sont données à titre indicatif uniquement. Comme pour tout diagnostic ou traitement, l’appréciation clinique de chaque patient devra être basée sur une évaluation complète de ce dernier comprenant l’anamnèse, un examen clinique et un bilan complet des données de laboratoire. En ce qui concerne les traitements médicamenteux et leur suivi, référez-vous à la notice du médicament en question pour les doses, les indications, les interactions et les précautions d’emploi. IDEXX France www.idexx.fr © 2008 IDEXX Laboratories, Inc. All rights reserved. • 09-61738-06 FR SNAP est une marque déposée de IDEXX Laboratories aux Etats Unis d’Amérique et autres pays. Lysodren est une marque déposée de Bristol-Meyers Squibb Company ou d’une autre division ou filiale au groupe Bristol-Meyers Squibb Company. Cortrosyn est une marque déposée de Amphastar Pharmaceuticals, Inc. Vetoryl est une marque déposée de Dechra Veterinary Products. Réaliser un test de stimulation à l’ACTH et injecter 0,25 mg/chien de Synacthène® IV Mesure de la cortisolémie à t + 1h. Pré- et/ou Post-ACTH <55 nmol/l (<2 µg/dL) Post-ACTH 55-166 nmol/l (2-6 µg/dL) Pré-ACTH : 55-166 nmol/l (2-6 µg/dL) Post-ACTH: 166-497 nmol/l (6-18 µg/dL) Si les deux résultats sont <55 nmol/l (<2 µg/dL), ils sont compatibles avec un hypoadrénocorticisme. Non concluant Normal Démarrer le cas échéant le traitement avec des minéralocorticoïdes et/ ou des glucocorticoïdes si nécessaire. Post-ACTH 497-607 nmol/l (18-22 µg/dL) Pré- ou Post-ACTH >607 nmol/l (>22 µg/dL) Non concluant, syndrome de Cushing possible Compatible avec un syndrome de Cushing Réaliser un test de freinage à la dexaméthasone à forte dose pour déterminer l’origine (hypophysaire ou surrénalienne) par: • un test de freinage à la dexaméthasone à dose forte • un dosage de l’ACTH • imagerie (échographie/scanner) diagnostiquer Guide du dosage du cortisol avec un test Snap Suivi de traitement au Mitotane (Lysodren ) ® ® Test de stimulation à l’ACTH Protocole diagnostique pour les cas suspects d’hypo et d’hypercorticismes Commencer le traitement par une phase d’induction avec une dose d’attaque de 40 à 50 mg/kg par jour répartie en prises lors des repas. Surveiller l’apparition des signes suivants : diminution de l’appétit, diminution de la quantité d’eau consommée (<60 ml/kg/j), vomissements, diarrhée ou apathie. Anamnèse, examen clinique, numération et formule sanguines, biochimie, électrolytes et analyse urinaire compatibles avec un syndrome de Cushing ou un hypercorticisme. Si au bout de 7 à 10 jours de la phase d’induction, le chien ne présente aucune réponse au traitement ou d’effets indésirables. Mesure de la cortisolémie basale Diagnostiquer et traiter des cas suspects d’hypo et d’hypercorticismes (Cushing et Addison) Réaliser un test de stimulation par l’ACTH Arrêter le traitement au mitotane. Si l’animal est apathique ou malade, administrer la prednisone pendant 2 semaines. Si l’animal est cliniquement sain, ne pas commencer la prednisone mais une dose faible de maintenance au mitotane dans 2 semaines. Arrêter le traitement au mitotane. Si l’animal est apathique ou malade, administrer la prednisone pendant 2 semaines. Si l’animal est cliniquement sain, ne pas commencer la prednisone. Recommencer la phase de maintenance au mitotane dans 2 semaines, mais en réduisant la dose de 25%. <28 nmol/l (<1 µg/dL) 28-138 nmol/l (1-5 µg/dL) >138 nmol/l (>5 µg/dL) Continuer la phase d’induction au mitotane pendant 3 à 7 jours*. Vérifier à nouveau entre 3 à 7 jours. Bien surveiller l’animal comme indiqué ci-dessus. Commencer la phase de maintenance au mitotane entre 25 et 50 mg/kg par semaine à répartir en plusieurs prises. Continuer pendant un mois. Réaliser un test de stimulation par l’ACTH <28 nmol/l (<1 µg/dL) 28-138 nmol/l (1-5 µg/dL) >138 nmol/l (>5 µg/dL) Augmenter la dose hebdomadaire ou renouveler la dose de charge initiale pendant 3 à 7 jours. Surveiller l’apparition d’effets indésirables comme ci-dessus puis augmenter la dose d’entretien hebdomadaire. Maintenir la dose actuelle. Renouveler par la suite le test de stimulation par l’ACTH toutes les 3 à 4 semaines. Utiliser les critères d’évaluation du traitement ci-dessus afin de vous assurer du bon dosage du mitotane. traiter * Si la stimulation à l’ACTH est toujours >138 nmol/l (>5 µg/dl) après la poursuite de 3-7 jours, poursuivre avec la dose de charge pendant 3-7 jours supplémentaires, en surveillant l’apparition d’effets indésirables. Les recommandations contenues dans ce document sont données à titre indicatif uniquement. Comme pour tout diagnostic ou traitement, l’appréciation clinique de chaque patient devra être basée sur une évaluation complète de ce dernier comprenant l’anamnèse, un examen clinique et un bilan complet des données de laboratoire. En ce qui concerne les traitements médicamenteux et leur suivi, référez-vous à la notice du médicament en question pour les doses, les indications, les interactions et les précautions d’emploi. IDEXX France www.idexx.fr © 2008 IDEXX Laboratories, Inc. All rights reserved. • 09-61738-06 FR SNAP est une marque déposée de IDEXX Laboratories aux Etats Unis d’Amérique et autres pays. Lysodren est une marque déposée de Bristol-Meyers Squibb Company ou d’une autre division ou filiale au groupe Bristol-Meyers Squibb Company. Cortrosyn est une marque déposée de Amphastar Pharmaceuticals, Inc. Vetoryl est une marque déposée de Dechra Veterinary Products. Réaliser un test de stimulation à l’ACTH et injecter 0,25 mg/chien de Synacthène® IV Mesure de la cortisolémie à t + 1h. Pré- et/ou Post-ACTH <55 nmol/l (<2 µg/dL) Post-ACTH 55-166 nmol/l (2-6 µg/dL) Pré-ACTH : 55-166 nmol/l (2-6 µg/dL) Post-ACTH: 166-497 nmol/l (6-18 µg/dL) Si les deux résultats sont <55 nmol/l (<2 µg/dL), ils sont compatibles avec un hypoadrénocorticisme. Non concluant Normal Démarrer le cas échéant le traitement avec des minéralocorticoïdes et/ ou des glucocorticoïdes si nécessaire. Post-ACTH 497-607 nmol/l (18-22 µg/dL) Pré- ou Post-ACTH >607 nmol/l (>22 µg/dL) Non concluant, syndrome de Cushing possible Compatible avec un syndrome de Cushing Réaliser un test de freinage à la dexaméthasone à forte dose pour déterminer l’origine (hypophysaire ou surrénalienne) par: • un test de freinage à la dexaméthasone à dose forte • un dosage de l’ACTH • imagerie (échographie/scanner) diagnostiquer
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N 204-EXE - L`Essentiel
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