Dossier 75e congrès du Spelc
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e congrès du Spelc Dossier 75 RAPPORT D'ACTIVITÉ Le Spelc, un grand syndicat ! Luc Viehé a salué les 250 délégués et remercié chaleureusement l’équipe organisatrice, ainsi que le secrétariat administratif pour l’énorme travail de préparation accompli. Il a ensuite présenté l’activité de la fédération dont voici quelques points-clés. scolaires, le Spelc ne s’est jamais opposé à une organisation libre et intelligente de l’année scolaire, à condition, une fois de plus, qu’elle se fasse en concertation avec l’équipe éducative et dans l’intérêt des jeunes. Les textes sur les obligations de service sont en cours de finalisation, dans l’attente du feu vert du Conseil d’État. Nous avons contesté le fait que, une fois de plus, il ait fallu un texte spécifique pour l’enseignement privé. Enfin, et pour la première fois, toutes les missions des enseignants sont écrites dans un texte. Deux observations : - la prime (ISAE) de 400 € par an pour les enseignants du 1er degré n’est pas satisfaisante, loin s’en faut. Nous allons continuer à nous battre pour qu’elle atteigne l’équivalent de ce que perçoivent les enseignants du 2nd degré ; - dans le 2 nd degré, la nouvelle répartition des heures de 1re chaire, des majorations ou minorations de service, va toucher un nombre important de personnes. Nous ne pouvons pas cacher que certains y perdront, mais la majorité sera gagnante. Les indemnités pour missions particulières (IMP) viennent couronner un système d’indemnisation. Nous regrettons une fois de plus l’absence de l’égalité salariale dans le 1er degré. La grande question, outre le montant, le nombre d’heures rémunérées, reste le mode de décision. Qui va en bénéficier, dans quelle proportion ? Le ministère, certainement après des pressions dont on peut imaginer l’origine, n’avait prévu aucune procédure, aucune obligation. Si le texte avance comme nous le souhaitons et comme nous l’avons voté lors du Comité ministériel des maîtres de l’enseignement privé (CCMMEP), les chefs d’établissement seront tenus, avant de répartir les IMP, de consulter les professeurs et de leur communiquer la décision prise par le recteur. C’est une réelle avancée, qui a été portée par le Spelc ; notre ténacité a fini par payer. La situation scandaleuse des maîtres délégués est au cœur de nos préoccupations. Le Spelc ne lâchera pas la pression tant que le décret sur la rémunération © SPELC J e voudrais commencer par les salariés des établissements. Dans ce domaine, nous atteignons des sommets de contradictions, d’intérêts divergents, voire de mauvaise foi confinant au cynisme pour certains. Nous avons signé l’accord sur le temps partiel consécutif à l’accord interprofessionnel. Le Spelc a fait des propositions responsables, en avançant un temps de travail minimum modulé en fonction de la taille des établissements, afin de tenir compte des réalités de terrain et des intérêts mutuels des établissements et des salariés. Rien n’y a fait, même le collège employeur a refusé : ce serait 17,5 heures pour tous, partout ! Deux certificats de qualification professionnelle ont été mis en place pour les responsables de vie scolaire et les adjoints de direction. Bien entendu, ce sont de bonnes mesures car elles valorisent la carrière des salariés. Tout au plus peut-on regretter qu’elles ne concernent pas ceux qui se trouvent “au bas de l’échelle salariale”. L’accord sur la complémentaire maladie devra entrer en vigueur au 1er janvier 2016. Les discussions suivent leur cours, pas toujours tranquille, mais le dossier avance. La palme revient sans aucun doute aux négociations sur la convention collective ! Depuis des mois, les représentants du Spelc travaillent dans le seul intérêt des salariés. Soyons fiers de notre indépendance et mettons tout en œuvre pour la préserver. Elle est le meilleur garant d’une action syndicale de qualité et d’efficacité. (8 Le journal du Spelc CHRÉTIEN La réforme des rythmes scolaires a fait couler beaucoup d’encre. Sans militer pour le raccourcissement des vacances Info titre Dossier ???? LE RAPPORT D’ACTIVITÉ DE LA FÉDÉRATION A ÉTÉ ADOPTÉ À 85,5 %. des suppléants ne sera pas pris. On nous a promis qu’il le serait à la prochaine rentrée, ne baissons pas la garde. Tous les suppléants, du 1er et du 2 nd degrés, seront rémunérés sur l’échelle des MA II et bénéficieront donc d’une petite perspective de carrière. C’est un progrès, mais il ne nous satisfait pas car ni les recteurs, ni les chefs d’établissement ne peuvent verser aux délégués un “sursalaire” comme dans le public, ce qui aggrave la disparité que nous dénonçons depuis des années. Les élections professionnelles ont été un grand moment dans la vie du Spelc. Nous avons recueilli plus de 26 % des voix au CCMMEP, soit 3 élus titulaires sur 10. En France, rarissimes sont les syndicats autonomes, non adhérents à une confédération, à obtenir un tel résultat. Vous avez été les acteurs de terrain de ce succès. C’est à vous que nous devons ce score qui consolide notre représentativité et notre audience. Le S p e l c e s t d o ré n ava n t considéré comme un grand syndicat, d’autant que nous obtenons, pour la première fois, un siège dans l’enseignement agricole. Le journal du Spelc CHRÉTIEN La diversité de nos adhérents est une de nos principales forces. Actifs et retraités, enseignement agricole et enseignement général, enseignants et salariés de droit privé, chefs d’établissement, tous ont le même droit d’être représentés, informés et défendus par le Spelc. Quand le Spelc parle d’un sujet, il le fait avec la légitimité que lui confère son fort ancrage territorial auprès de tous les acteurs de l’enseignement privé sous contrat et auprès du ministère. Je voudrais également redire l’importance que nous accordons à la présence des retraités, et ils sont nombreux à rester fidèles au Spelc. Cette fidélité est certainement due à l’attachement à nos valeurs, aux convictions que nous portons, mais aussi au travail des responsables de la commission des retraités. Le lien entre les générations est essentiel à nos yeux. Les retraités sont une aide précieuse, ils offrent leur temps – une de leurs plus belles conquêtes – à condition qu’ils ne soient pas “surbookés” ! Nous portons la voix d’au moins un quart des personnels, enseignants et salariés de droit privé. Nous voulons promouvoir notre vision d’un syndicalisme moderne, tourné vers la défense des salariés, mais n’avons pas dans nos objectifs la lutte pour la lutte, le refus pour le refus et le dénigrement stérile. Oui, sans forfanterie, mais sans fausse pudeur, osons affirmer que le Spelc est un grand syndicat, fortement ancré dans le paysage éducatif français. Cette position, nous l’avons conquise ensemble, faisons la prospérer ensemble. Gwénaël Le Bideau, président du Spelc Morbihan, syndicat organisateur, a ouvert le 75e congrès de la fédération en donnant le ton de ces 4 journées : travail et convivialité. Jean-Yves Thoraval et Jean-Jacques Hauck ont présenté les comptes de la fédération. LE BILAN FINANCIER A ÉTÉ ADOPTÉ À 89,44 % ET L’AUGMENTATION DE LA COTISATION FÉDÉRALE À 77,08 %. Luc Viehé Tout au long du congrès, des échanges nombreux avec la salle. (9 e congrès du Spelc Dossier 75 ASSEMBLÉE GÉNÉRALE Interventions des régions Lors de chaque assemblée générale, les syndicats adhérents sont invités à s’exprimer sur le rapport d’activité de la fédération et à présenter leurs commentaires sur l’année syndicale. Nous vous présentons les différents intervenants et un extrait de leur déclaration. Spelc Centre-Poitou-Charentes Spelc Franche-Comté ▼ Spelc Bretagne ▼ ▼ Il faut du travail concret de communication, et pas seulement des effets d’annonce. Le Spelc ne doit pas se perdre dans les dédales de la CESI. Emmanuel Pierre. Spelc Lyon ▼ Nous trouvons à la fédération des personnes qui savent nous accompagner dans nos démarches et défendre ardemment la place du Spelc dans les instances nationales. Mais nous attendons également une impulsion particulière pour notre vision syndicale. C’est notre rapport à la société qui doit être défini plus clairement. Philippe Franceschetti. (10 À court terme, ne faudra-t-il pas revoir la désignation des conseillers fédéraux pour qu’une représentation plus nationale apparaisse ? Cela obligera peutêtre certains syndicats départementaux à se rapprocher pour être plus forts et plus représentatifs. Pierre Ojardias. © SPELC Spelc Provence-Méditerranée Spelc Antilles-Guyane ▼ Forts du renouvellement de nos équipes, nous nous sommes mobilisés autour de trois thèmes : l’introduction du numérique tant pour la communication que dans nos activités pédagogiques, les élections professionnelles 2014 et la poursuite du travail sur le terrain, en particulier auprès de nos collègues salariés des établissements. Annick François-Haugrin. Le journal du Spelc CHRÉTIEN Nous regrettons le manque de réflexion de notre fédération sur les sujets majeurs visant à exposer clairement notre conception du système éducatif. Nous nous interrogeons sur le fait que les syndicats adhérents, personnes morales membres fondateurs de la fédération, ne soient pas représentés au conseil fédéral. Marie-France Galloux et Laurent Cadena. Nos structures doivent se rapprocher à travers le dialogue. Des temps de partage doivent être prévus à toutes les réunions nationales de responsables locaux. Désormais, via le Net, les informations circulent rapidement. Gardons-nous le temps pour le débat participatif. Anne Le Méner, Karine Guervilly et Anne Jaouen. Info titre Dossier ???? Spelc Isère ▲ Nous sommes fiers de participer à un syndicat majeur dans notre branche. Il a su, jusqu’à présent, conserver sa spécificité, son autonomie, son indépendance, mais aussi son attachement aux valeurs chrétiennes et sociales qui nous animent, tant vis-à-vis des élèves et des familles que des personnels enseignants et salariés Ogec, face à des autorités publiques (rectorat, DSDEN) et privées telles que les chefs d’établissement et la DDEC, qui imposent de plus en plus souvent des directives mal appréciées des enseignants, en matière de pastorale notamment. Jean-Louis Gaulin, Florence Pontet, Xavier Cottalorda et Élisabeth Lacombe. Les affiches de la fédération, outil indispensable de syndicalisation, auraient besoin d’un rafraîchissement pour les rendre plus jeunes, plus percutantes et plus “flashies”. Nous demandons à la fédération de mettre à disposition des départements une communication prête à l’emploi sur les sujets d’actualité. Vinciane Thomas. © SPELC Spelc Aquitaine ▼ Spelc Pays de la Loire ▲ Nous poursuivons notre engagement syndical au sein dune nouvelle structure : le Spelc Pays de la Loire. Les Spelc(s) sont morts, vive le Spelc ! Si nous nous sommes ainsi organisés, c’est aussi parce que nous pouvons nous appuyer sur une structure fédérale puissante, active, investie et à l’écoute. Que serait un syndicat régional sans sa fédération ? Nadine Marcé, Philippe Pineau (en haut à droite), et toute l’équipe du nouveau Spelc Pays de la Loire. Hervé Le Scanff Didier Martin, responsable des votes, une fonction ô combien importante ! “Je me suis sentie autorisée à affirmer à la tribune où, pour la première fois, les responsables nationaux avaient donné la parole aux retraités, que nous étions heureux au Spelc !” (Claire Merckling). LA DEMANDE D’ADHÉSION DU NOUVEAU SPELC PAYS DE LA LOIRE À LA FÉDÉRATION DES SPELC A ÉTÉ ADOPTÉE À 87,9 %. Le journal du Spelc CHRÉTIEN Les responsables de secteurs ont présenté leur actualité avant de répondre aux questions des délégués. (11 75e congrès du Spelc RAPPORT D’ORIENTATION 2015-2018 Le texte adopté lors du congrès Convaincre de la nécessité de l’action syndicale • Réflexion L’action syndicale est souvent jugée, a priori, comme éloignée des préoccupations des collègues. Souvent, le rôle du syndicat n’est pas bien connu. • Actions Poursuivre nos efforts de pédagogie syndicale en mettant en avant les caractéristiques professionnelles du Spelc et ses valeurs (indépendance, proximité, compétence). Rendre nos éléments de langage plus compréhensibles par tous. Informer et débattre : - sur les projets en cours dans les ministères ; - sur les orientations souhaitées par les instances de l’enseignement privé et particulièrement par les chefs d’établissement ; - sur les négociations concernant les salariés de droit privé. Informer sur les avancées obtenues par le Spelc, au niveau national, mais aussi au niveau local. • Évaluation Évolution des adhérents, résultats aux élections. Renforcer notre implantation dans les établissements • Réflexion Le Spelc a la volonté de densifier sa présence dans les établissements. Les collègues adhérents sont les relais de l’action syndicale sur le terrain. • Actions Les élections professionnelles pour les enseignants et les salariés des établissements ont été – et seront – un axe d’action important pour renforcer notre présence, avoir plus d’élus et donc de responsables clairement identifiés Spelc. Des actions de formation plus locales et un accompagnement sur le terrain seront mis en place pour (12 leur donner confiance, accroître leur compétence et les informer sur les fondamentaux du Spelc. À propos de l’action des élus Spelc (CE, DUP, CCM…) : préparer, faire et faire savoir pour améliorer notre présence sur le terrain. • Évaluation Évolution du nombre d’élus dans les différentes instances, du taux de représentativité. Développer notre capacité d’écoute et d’accueil auprès des collègues, notamment les plus jeunes • Réflexion Les collègues ont non seulement besoin d’être informés sur leur situation administrative, sur la position particulière de l’enseignement sous contrat, sur le statut des personnels de droit public et droit privé, mais aussi d’être défendus par les représentants Spelc et conseillés à toutes les étapes de leur parcours professionnel, y compris pour la préparation et le déroulement de leur retraite. • Actions Aller vers eux, notamment les entrants dans nos métiers, en les contactant directement et individuellement pour se présenter et présenter le Spelc. Certains sont en situation précaire, envisager des actions spécifiques pour les délégués auxiliaires (DA) et suppléants (affichage ciblé et lisibilité). L’information sur les orientations pédagogiques et les réformes scolaires sera développée. Les efforts pour développer la communication Spelc sur les réseaux sociaux seront intensifiés : - créer des blogs ; - ouvrir une ou plusieurs pages Facebook ; - tenir compte des changements de comportements des jeunes enseignants ; - se servir de Twitter pour maintenir la communication. Cela facilitera l’échange de points de vue, d’idées et permettra de créer des liens. • Évaluation Suivre la pyramide des âges de nos adhérents, les interroger sur leurs motivations à adhérer. Faire évoluer notre action si nécessaire. 2e axe : à destination des instances de l’Enseignement catholique et de l’administration Occuper toute notre place dans les instances et auprès de l’administration • Réflexion Chaque fois que possible, pour être entendus, nous serons présents et actifs avec la volonté de faire avancer nos revendications. • Actions Définir une ligne cohérente à tous les niveaux : avoir un discours volontariste et une posture identifiable par nos interlocuteurs. • Évaluation Évaluer notre efficacité et notre représentativité dans les instances. Agir avec détermination pour une meilleure reconnaissance de nos métiers • Réflexion Beaucoup d’avancées restent à obtenir pour les enseignants, les chefs d’établissement du premier degré, les salariés des établissements. • Actions Se battre pour un vrai dialogue social et une meilleure reconnaissance de tous nos métiers : - faire de la formation initiale et continue un vecteur fort de recrutement et de progression de carrière, notamment salariale ; - obtenir rapidement une véritable convention collective pour les salariés des établissements ; - améliorer les textes actuellement en vigueur (classifications…) ; - être le moteur de l’action syndicale. • Évaluation Exprimer nos revendications et en mesurer les avancées. Suivre les résultats aux élections. Le journal du Spelc CHRÉTIEN 1er axe : à destination des collègues enseignants et personnels salariés de droit privé. Dossier © SPELC Jean-Yves Thoraval a présenté le rapport d’orientation établi par le conseil fédéral. Œuvrer pour l’équité public-privé • Réflexion Nous sommes encore loin d’une réelle équité dans plusieurs domaines (carrière, cotisations, retraite…). Il convient d’obtenir une clarification juridique du statut du maître contractuel. Des améliorations législatives sont attendues tant du côté de l’Éducation nationale que de l’enseignement agricole. • Actions Utiliser le levier des comités ministériels pour faire avancer ce dossier. À chaque fois que cela est possible, réaffirmer nos revendications (administration, élus…), mettre en place un groupe de travail ad hoc (études juridiques, rédaction d’un livre blanc). Obtenir des pouvoirs publics une juste revalorisation des forfaits permettant de lutter contre la précarité subie par les personnels des établissements (CDD, bas salaires, temps partiels imposés). • Évaluation Suivre pas à pas les avancées en la matière (critères quantitatifs et qualitatifs). 3e axe : en interne au Spelc, améliorer encore l’interactivité entre la fédération et les instances locales du Spelc. Le journal du Spelc CHRÉTIEN Entre la fédération et les syndicats adhérents • Réflexion Beaucoup d’efforts sont faits, ils seront à approfondir pour nous faire gagner en efficacité. • Actions Bien définir ce qui est du ressort de la fédération et ce qui est de la responsabilité des syndicats adhérents, établir un cahier des charges de part et d’autre. Promouvoir une meilleure expression des responsables locaux. Proposer aux syndicats adhérents CE RAPPORT D’ORIENTATION A ÉTÉ ADOPTÉ À 85,8 % DES SUFFRAGES EXPRIMÉS. les outils pour mettre en œuvre la politique de communication de la fédération. Décentraliser des réunions de responsables en région. Concrétiser le travail sur l’évolution de nos statuts. • Évaluation E n c o u r a g e r l ’e x p r e s s i o n d e s responsables des syndicats adhérents sur le sujet pour mesurer leur degré de satisfaction. Entre syndicats adhérents • Réflexion La mutualisation des ressources facilite le travail de chacun et le rend plus efficace. • Actions Densifier la communication entre les syndicats adhérents, encourager les échanges de compétences, mettre à la disposition des syndicats adhérents les outils de communication horizontale. Avec une administration de l’enseignement de plus en plus déconcentrée, favoriser des banques de données consultables par tous les responsables pour relier les expériences. La tenue des réunions nationales de responsables des syndicats adhérents permettra de mutualiser concrètement les pratiques et d’échanger les expériences. • Évaluation E n c o u r a g e r l ’e x p r e s s i o n d e s responsables des syndicats adhérents sur le sujet pour mesurer leur degré de satisfaction. S’adapter à la réforme territoriale et favoriser des rencontres et des actions entre syndicats adhérents concernés. 4e axe : l’ouverture du Spelc sur l’extérieur Poursuivre notre implantation auprès des médias et dans la société • Réflexion Notoriété et visibilité du Spelc peuvent encore progresser. • Actions Pour s’ouvrir davantage : - pour notre communication, être accompagnés par un professionnel ; - organiser un événement, un colloque, des tables rondes ; - anticiper sur l’actualité ; - préparer des documents en lien avec nos professions. Conserver le recul nécessaire pour ne pas être entraînés dans des polémiques stériles ou dévastatrices pour l’image de notre syndicat et de nos professions. Communiquer avec discernement : veiller à la cohérence entre les valeurs prônées par le Spelc et ses prises de position sur les questions de société concernant en particulier l’éducation, le système de santé, la place des aînés. Donner aux retraités les moyens de maintenir le lien avec la profession afin qu’ils puissent continuer à s’investir au Spelc et dans les organismes qui leur sont ouverts, en mettant leur expérience et leur compétence au service des générations suivantes. • Évaluation Mesurer notre audience et son évolution. Concrétiser l’ouverture européenne • Réflexion Voir plus loin que la scène nationale p o u r n o u r r i r n o t re ré f l e x i o n quotidienne. • Actions Inscrire l’ouverture à l’Europe dans notre action, échanger avec des partenaires européens, mettre en place une structure interne, souple et informelle, et la doter de moyens humains et matériels. Produire des “retours” concrets de ce qui est vécu au niveau européen. Expliquer la dimension européenne dans le devenir de notre métier. • Évaluation Étude qualitative et quantitative des réalisations au bout d’un puis deux ans. (13 75e congrès du Spelc Le président de la Fnogec à la rencontre des Dans son introduction, M. Quesnot a fait le point des négociations en cours sur la situation des salariés des établissements privés et sur le dialogue social dans la branche. Il a réaffirmé la volonté de la Fnogec de sortir des difficultés sur la convention collective, mais aussi de financer les organisations syndicales pour qu’elles puissent avoir des représentants. “Mais on ne pourra pas distribuer 30 % d’augmentation car il faut distinguer la situation de certains gros établissements qui peuvent se le permettre de celle des très nombreuses petites structures qui n’en ont pas les moyens.” Il a ensuite répondu aux questions de l’assistance. Voici quelques extraits de ses réponses. Institutions représentatives du personnel (IRP) Une grande majorité d’établissements n’en disposent pas. Comment instaurer un véritable dialogue social ? Le collège employeur refuse localement toute négociation pour des accords régionaux sous prétexte qu’elle est du ressort de l’établissement. Il y a là une contradiction flagrante. Personnellement, je suis pour la représentation syndicale et c’est aussi le cas des organisations professionnelles d e c h e fs d ’ é t a b l i s s e m e n t , a u niveau national. Quand on n’a pas d’interlocuteurs, c’est très difficile, mais nous devons rester dans le cadre de la loi française. Ce n’est pas une volonté du collège employeur. Nous souhaitons avoir des syndicats forts et organisés en face de nous parce qu’il nous faut des interlocuteurs compétents. Les accords qui nous régissent sont des accords de branche et celle-ci est nationale. Rien n’empêche les discussions locales, mais les décisions ne peuvent être prises qu’au niveau national, selon la loi. Ce n’est pas notre rôle de créer des institutions nationales. (14 Contribution des familles Certains établissements souhaiteraient accorder une réduction supérieure à 30 %. Pourquoi maintenir votre recommandation à cette limite ? “Un établissement qui veut faire plus, c’est son affaire”. Sur le principe, l’enseignement est gratuit en France, mais nous avons en charge le caractère propre et l’entretien des bâtiments. Cela coûte cher. Pour les salariés des établissements, nous sommes tenus d’appliquer les règles de l’Urssaf qui considère la part supérieure à 30 % comme un avantage en nature. Je ne vois pas pourquoi nous ne demanderions pas le même effort aux enseignants, par un principe d’équité et d’éthique. De plus, notre personnel, enseignant ou salarié, bénéficie d’une priorité d’inscription. Fiche de poste des salariés Pourquoi cette obligation n’est-elle pas respectée pour tous les salariés ? S’il s’agit de gros établissements, ce n’est absolument pas normal. Utilisez toutes les procédures à votre disposition. Mais il y a aussi le problème des directeurs de petits établissements qui changent très souvent et qu’il faut à chaque fois former, et souvent à partir de zéro. Il faut réussir à professionnaliser nos gestionnaires. Formation des responsables des Ogec Je suis chef d’établissement depuis 16 ans. À ce jour, j’ai travaillé avec 7 présidents d’Ogec, parfois compétents et parfois incompétents. J’ai connu également un trésorier qui a confondu sa trésorerie personnelle avec celle de l’école ! Au nom de mes collègues, nous attendons une organisation professionnelle de nos Ogec ! C’est une question vitale. Mais nous devons faire face au problème de leur disponibilité. Nous avons un énorme problème de “recrutement” pour cette fonction. Ce sont les limites du bénévolat. Comment les obliger à se former ? Il faudra peut-être envisager le regroupement des Ogec avec, si cela se fait, une éventuelle indemnisation de la fonction. Luc Viehé a conclu en remerciant très sincèrement M. Quesnot pour la franchise de ses propos. “Il y a une chose qui nous rassemble, c’est que chacun, à sa manière et avec ses convictions, a l’objectif final de conduire ensemble cette grosse barque qu’est l’Enseignement catholique, même si les discussions sont parfois polluées par des archaïsmes, tant patronaux que syndicaux”. Hervé Le Scanff Le journal du Spelc CHRÉTIEN Représentativité dans les Codiec La nouvelle répar tition de la représentation des membres des communautés éducatives ne nous paraît pas très démocratique. Elle ne l’est pas car ce n’est pas une instance paritaire ; elle a été créée par le nouveau statut de l’Enseignement catholique, sous le contrôle des évêques. C’est un outil de travail, d’organisation. La Fnogec n’y est pas mieux représentée que les organisations syndicales. Dossier s délégués Spelc © SPELC Le président de la Fnogec a répondu aux nombreuses questions des délégués. RENOUVELLEMENT DU CONSEIL FÉDÉRAL Les élu(e)s lors du congrès d’Erdeven Martine Sabine Pierre André Élisabeth Annick Daniel Bernard Marc Régine Madeleine Jean-Yves Daniel Philippe Stéphanie Jean-Yves Enseignante en lycée professionnel Professeur des écoles Enseignant en lycée Enseignant en collège Enseignante en lycée Enseignante en lycée Professeur des écoles Enseignant en lycée agricole Professeur des écoles Chef d’établissement 1er degré Enseignante en lycée Enseignant en lycée Professeur des écoles Chef d’établissement 1er degré Enseignante en collège et lycée Enseignant en lycée Le journal du Spelc CHRÉTIEN Les nouveaux élus, de gauche à droite : Daniel Péault, Sabine Berani, Philippe Pineau, Pierre Bury, Régine Mahé, Madeleine Menzein, Daniel Gengenbach, Stéphanie Schnell, Élisabeth Ferret, Marc Lizère, Annick François-Haugrin. Spelc Bourgogne Spelc Languedoc-Roussillon Spelc 06 Spelc 07 Spelc 42 Spelc Antilles-Guyane Spelc Lorraine Spelc 59 Spelc 74 Spelc 22 Spelc 24 Spelc 06 Spelc Pays de la Loire Spelc Pays de la Loire Spelc 67 Spelc 22 © SPELC AUBLANC BERANI BURY FARGIER FERRET FRANCOIS-HAUGRIN GENGENBACH LEPERS LIZÈRE MAHÉ MENZEIN MURGUE PÉAULT PINEAU SCHNELL THORAVAL (15 75e congrès du Spelc Dossier UNE RÉFLEXION AVEC BERNARD TOULEMONDE SUR LES MAÎTRES CONTRACTUELS Quel statut ? Quels contrats ? Quelles perspectiv Pourquoi ces questions ? Sans doute un héritage de l’histoire, a souligné Luc Viehé dans son introduction à l'intervention de Bernard Toulemonde. La situation des maîtres s’est souvent forgée par agrégat, par évolution, par méandres. On arrive à un résultat pas toujours cohérent mais qui tient la route et qui nous permet d’avancer, de comprendre qui nous sommes et pourquoi nous sommes là. C e statut du maître contractuel est hybride car nous sommes des agents de l’État, de droit public, mais nous exerçons dans des établissements privés. Il s’ensuit des injustices, notamment une impression d’être des “sous-enseignants” en raison d’un manque de textes écrits pour l’enseignement privé. Juriste de formation, spécialiste de l’Enseignement privé, inspecteur général honoraire, chargé de l’enseignement privé au ministère entre 1982 et 1987, Bernard Toulemonde a également été recteur et a conseillé plusieurs ministres. Reconnu unanimement, il est venu apporter son éclairage sur ces questions de fond de notre activité syndicale. Nous l’en remercions très chaleureusement. Une situation assez compliquée et très spéciale Peu de personnes aujourd’hui arrivent à se retrouver dans le fouillis de lois, de décrets, d’arrêtés, de pratiques qui gèrent votre profession, avec les problèmes et les injustices cités précédemment, et à juste titre. Je n’évoquerai dans mes propos que la situation des maîtres contractuels travaillant dans les établissements sous contrat d’association. Leur situation découle de l’article 4 de la loi Debré de 1959, inscrite aujourd’hui dans le Code de l’éducation, à l’article L. 442-5. La loi Debré a été complétée par la loi Guermeur de 1977, instaurant la parité entre les maîtres contractuels du privé et les fonctionnaires du public, et la Loi Censi de 2005, désignant clairement l’État comme employeur et donnant des garanties d’emploi aux maîtres. Les dispositions statutaires prises pour les maîtres du privé le sont sur la base de décrets en Conseil d’État. Des ambiguïtés - Vous êtes agents contractuels de l’État exerçant dans un établissement privé, c’est une rareté ! Ce mélange des genres cause des difficultés, notamment entre règles de droit privé et de droit public (indemnités de licenciement, de départ à la retraite), même si la Loi Censi a supprimé quelques incertitudes. Il est clair aujourd’hui que les conflits entre maîtres et chefs d’établissement, pour les fonctions d’enseignement, relèvent de la juridiction administrative et du droit public. En revanche, elle a laissé une situation hybride car une partie du droit privé continue à s’appliquer : droit syndical et droit de représentation (instances représentatives du personnel -IRP-, paiement des heures de délégation dans le cadre de la “communauté de travail” de l’établissement privé, reconnue par la Cour de cassation). - Le Conseil d’État interprète de manière très restrictive la Loi Guermeur et le principe de parité : elle n’a eu ni pour objet ni pour effet de supprimer toute différence de traitement dans la gestion de la situation respective des deux catégories d’enseignants, publics et privés, ni de rendre inapplicables des dispositions spécifiques propres aux seuls maîtres de l’enseignement privé. On a progressé, mais à pas comptés ! C’est le cas pour les congés et disponibilités depuis 2008, la prise en compte de différents services dans le calcul de l’ancienneté, les décharges de direction d’école. Mais il reste des bizarreries : s’il faut généralement des textes particuliers pour transposer les dispositions prises pour les maîtres du public à ceux du privé, on a appliqué à ces derniers, directement et par circulaire, la date de départ en retraite (au 31 août) des professeurs des écoles du public, au Le journal du Spelc CHRÉTIEN (16 © SPELC En accord avec la direction de l’établissement, l’enseignement est confié soit à des maîtres de l’enseignement public soit à des maîtres liés à l’État par contrat. Ce contrat et l’accord du chef d’établissement sont les bases juridiques du statut des maîtres de l’enseignement privé. Info titre Dossier ???? titre du principe de parité ! On aimerait que cela soit le cas dans d’autres domaines... - Vous êtes agents contractuels de l’État mais différents du droit commun des agents non titulaires de l’État, catégorie “fourre-tout” dans laquelle personne ne s’y retrouve (intérimaires, suppléants, vacataires, contractuels, auxiliaires). Heureusement, vous avez une protection supérieure. Même les juristes y perdent parfois leur latin ! Vous n’avez pas de véritable contrat car vous ne pouvez pas en discuter les termes, en matière de rémunération notamment ! Vous êtes soumis à une situation statutaire et réglementaire que l’on vous impose. Cette situation génère des difficultés, des disparités et des injustices qu’il faut essayer de réparer. Comment mettre un peu de cohérence dans tout cela ? Le Spelc a de la continuité puisque en 1983, M. Mortel, votre secrétaire général, avait déjà porté un projet de statut du maître contractuel, adapté aux conditions de l’époque. Il faut vous donner un maximum de garanties sans faire de vous des fonctionnaires puisque ce n’est pas possible, l’histoire ayant tranché. Des options Créer un véritable statut de maître contractuel de l’enseignement privé. Depuis 1945, les emplois dans les services de l’État doivent être pourvus par des titulaires, des fonctionnaires. Ce n’est que par dérogation, dans des conditions précises, que l’on peut nommer des agents non titulaires, des agents contractuels. On ne peut donc Le journal du Spelc © SPELC Après les nombreuses questions de la salle, les délégués se sont répartis en ateliers pour discuter des sujets évoqués par M. Toulemonde. Sous le pilotage de Jean-Yves Murgue (à droite sur la photo), ils ont ainsi entamé le travail de la fédération sur ce statut du maître contractuel. CHRÉTIEN es ? pas appliquer le statut de la fonction publique Rien n’interdit dans la loi Debré de bâtir un véritable statut par décret. Mais il faut de nouveaux textes législatifs pour changer les lois. Bâtir entièrement un nouveau statut prendrait donc énormément de temps. Lister les discriminations les plus graves et cibler les urgences. - Le lien entre contrat d’enseignant et contrat de l’établissement. Si un poste ou des heures sont supprimés, le maître perd son contrat. Même si les accords sur l’emploi donnent une priorité, l’obtention d’un nouveau contrat est liée à l’accord d’un chef d’établissement. Une piste : modifier cette disposition pour obtenir que le maître qui ne peut pas être “recasé” conserve son grade et sa rémunération, même s’il ne conserve pas son emploi. - Le service incomplet “imposé” n’existe pas dans le public. Depuis 1960, le contrat est lié à l’obtention d’au moins un demi-service. Il faut obtenir le service complet comme principe de base, libre à chacun de choisir un temps partiel s’il le souhaite. - La possibilité de détachement (dans l’enseignement supérieur, l’agricole, passage du 1er au 2nd degré) n’existe pas. Cela donnerait des chances réelles de mobilité. - L’inscription aux concours d’inspecteurs (IPR ou IEN). Il suffirait également d’un décret. - La situation des maîtres délégués (DA) et suppléants. Leur situation est plus que précaire et leur rémunération très faible, surtout en 1er degré ! Dans le public, les recteurs ont une marge de liberté pour “surclasser” un maître dans une échelle de rémunération. Conserver des spécificités utiles - Le droit de représentation et le droit syndical. Les IRP permettent de défendre également des personnels de droit privé qui n’ont pas souvent la parole et ne sont pas toujours très bien traités. - Les accords internes de l’emploi. L’employeur a le devoir d’organiser le mouvement des personnels. Il ne peut pas sous-traiter. Il peut y avoir des commissions internes de l’emploi mais à chacun son rôle : elles soumettent des propositions aux autorités académiques qui doivent vérifier que les procédures sont bien respectées. - L’accord du chef d’établissement. On ne changera pas cette disposition. Constituer son équipe, ça ne veut pas dire être arbitraire ! Il faut en faire quelque chose d’utile pour le bien des élèves et de l’établissement. Il faut bien distinguer autonomie de l’établissement et autonomie du chef d’établissement. C’est un pouvoir qui doit être partagé, concerté avec les maîtres. Le Spelc devra établir des choix. Il me paraît extrêmement important qu’un éventuel nouveau statut donne toute sa place aux enseignants, cadres dans un établissement, “marges d’intelligence” qu’il faut absolument savoir utiliser au service de tous. Synthèse établie par Hervé Le Scanff La vidéo complète de cette intervention est en ligne sur www.spelc.fr. N’hésitez pas à la visionner. (17 75e congrès du Spelc Dossier OUVERTURE SUR L’EUROPE Le Spelc demande son adhésion à la CESI En présence de Klaus Heeger, secrétaire général de la Confédération européenne des syndicats indépendants (CESI), Luc Viehé et André Fargier ont rappelé la volonté du Spelc de s’inscrire dans une démarche d’ouverture sur l’Europe, actée dans son rapport d’orientation 2012-2015. C Il nous fallait trouver un organisme dont nous étions certains qu’il respecterait nos valeurs, nos convictions, notre histoire. Il fallait rejoindre une organisation qui nous procurerait un regard au-delà de l’enseignement privé français. Nous avions l’engagement de prendre notre place dans les débats de société et notre société dépasse incontestablement le cadre national. Il y a un an, nous avons obtenu le statut d’observateur à la CESI, et j’ai eu l’honneur de participer à plusieurs réunions du bureau et du Conseil © SPELC omment ne pas rester isolés dans un environnement largement ouvert ? Comment partager notre vécu syndical, nos convictions sans prendre le risque d’être dilués ou de devoir renier notre socle de convictions ? Comment ne pas se retrouver inféodés à une organisation politisée ou guidée par des intérêts contraires aux nôtres ? Il apparaissait de plus en plus improbable de trouver un terrain d’entente avec une organisation française. professionnel EDUC. Cela m’a permis de voir comment fonctionne la CESI, ce qu’elle peut nous apporter mais surtout de m’assurer que notre indépendance serait préservée. Quelques points me paraissent essentiels : - nous n’attendons pas de la CESI qu’elle fasse le travail à notre place. Elle ne décidera pas de notre politique, elle ne prendra pas position en notre nom ; - en revanche, la CESI sera notre porte d’entrée sur l’Europe. Si celle-ci Luc Viehé, Klaus Heeger et André Fargier lors du débat sur la demande d’adhésion du Spelc à la CESI. n’a aucune prérogative en matière d’éducation, domaine régalien s’il en est, surtout en France, il n’en reste pas moins que, de plus en plus, ses décisions nous concernent directement ; - la CESI, et particulièrement le conseil professionnel qui nous concerne, est également un lieu d’échanges, de partage de vécu et de pratiques. Nous avons pu vérifier la grande variété des politiques scolaires qui vont du presque tout privé au tout étatique. Luc Viehé André Fargier a présenté le travail de la commission structures qui, à la demande du bureau fédéral, a pris en charge ce dossier, afin de donner aux délégués une vision aussi complète que possible des domaines d’action de la CESI et de son organisation. (18 Découvrez le diaporama spécial 75e congrès et les photos individuelles des responsables sur www.spelc.fr. Le journal du Spelc CHRÉTIEN La demande d’adhésion du Spelc à la CESI a été soumise au vote des délégués. En voici les résultats : - pour une demande d’adhésion : 73,7 % ; - contre : 23,3 %. La fédération a donc formulé officiellement à la CESI sa demande d’adhésion. Celle-ci se prononcera lors d’une prochaine réunion. Info titre Dossier ???? Des départs marquants Les remerciements aux conseillers fédéraux qui terminaient leur mandat resteront un des temps forts de ces journées. Un grand merci à ces collègues qui ont écrit une page de l’histoire du Spelc. Nous pensons également à Anne-Sophie Clavet et Fabrice Huet, absents lors du congrès. Marie Buissière Philippe Mesnager Bernard Ryo Jean-Jacques Burgaud Bernard Monéger Jean-Jacques Hauck Pierre Ojardias Le journal du Spelc CHRÉTIEN Le nouveau conseil fédéral © SPELC Le nouveau bureau fédéral Nos remerciements chaleureux à M. Gérard Pierre, conseiller départemental du canton de Quiberon, qui a tenu à être présent à cette soirée. (19 75e congrès du Spelc Souvenirs, souvenirs… La célébration Merci à Nathalie pour la préparation, Luc pour la célébration et Benoît pour l’accordéon ! Bravo et merci ! La tradition, ça a du bon ! Les membres du cercle celtique Sevenadur bro Belz ont initié les congressistes aux danses bretonnes. Merci à toute l’équipe du Spelc 56 qui a parfaitement organisé ce congrès. Le répertoire des chants de marins est illimité pour L’équipage de Saint Goustan. Malgré une visite guidée passionnante, les alignements de Carnac conservent tout leur mystère. À la découverte de la région La Côte sauvage était bien calme sur la presqu’île de Quiberon. Depuis 1932, la conserverie la belle-iloise vit au rythme des marées. Suivez le guide ! Convivialité (20 Le journal du Spelc CHRÉTIEN Soleil, terrasse, buffet de fruits de mer, des moments à ne pas manquer !
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