L`élevage - Informetiers.info
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Coups d’œil sur… L’élevage en Bretagne et Pays de la Loire Spécial CDISalle des profs L a Bretagne et les Pays de la Loire sont les deux premières régions agricoles françaises avec chacune une forte spécialisation dans l’élevage. La Bretagne fournit à elle seule 55 % de la production nationale de viande porcine et les Pays de la Loire produisent 20 % de la viande bovine. Un secteur économique dynamique, certes, mais qui rencontre aussi des difficultés importantes liées à la protection de l’environnement, à un contexte économique parfois défavorable, aux conditions de travail pas toujours faciles... Mais le secteur de l’élevage représente une grande variété de métiers et de formations et les professionnels sont souvent des passionnés amoureux de leur métier. A côté des métiers classiques, on trouve aussi des professionnels moins nombreux et moins connus comme les éleveurs de chiens et de chats, d’huîtres, de chevaux, d’autruches... Sans oublier les métiers connexes comme vétérinaire, conseiller agricole, agronome... Bref, un secteur varié pour ceux qui aiment la nature et les animaux. VRAI/FAUX ? Pas de débouchés dans l’élevage : FAUX La diminution du nombre d’exploitations va entraîner une baisse de l’emploi agricole mais cela ne signifie pas qu’il n’y aura plus de débouchés pour les jeunes. Les exploitations des agriculteurs qui partent à la retraite ne sont pas toutes absorbées par des plus grosses. Il en restera à prendre par des jeunes agriculteurs d’autant plus que la génération du baby-boom d’après guerre qui arrive à l’âge de la retraite est particulièrement nombreuse. De son côté, l’agrandissement de la taille des exploitations aura comme effet un besoin croissant de techniciens d’élevage salariés capables de s’occuper d’un grand cheptel. Il y aura donc toujours besoin de nouveaux professionnels capables de maîtriser un élevage souvent de grande taille que ce soit en tant qu’exploitant ou en tant que salarié. Des métiers manuels : VRAI ET FAUX Le métier d’agriculteur est un métier dur physiquement mais la modernisation des outils de production et de gestion a nettement amélioré les conditions de travail. Il existe, par exemple, aujourd’hui des robots qui permettent à l’éleveur de surveiller à distance la traite des vaches ! L’éleveur prévenu par son téléphone portable, relié directement au robot de traite, intervient seulement en cas de problème (toutes les vaches ne sont pas à l’aise avec l’informatique !) et pour vérifier la qualité du lait. D’une manière générale le métier se technicise. L’agriculteur doit maîtriser et se tenir au courant des nouvelles technologies pour être performant dans un contexte de pression économique grandissante. Toutefois, la connaissance du vivant et de la nature dont il reste dépendant constitue toujours le cœur de son métier quel que soit le degré de modernisation. Un éleveur n’a pas de vacances : FAUX Les conditions de travail et de vie s’améliorent grâce à une organisation plus collective des exploitations. Aujourd’hui, 40 % des surfaces travaillées le sont sous une forme sociétaire. Ce qui permet aux agriculteurs d’avoir des week-ends et des vacances. Des services de remplacement se développent, ils proposent du personnel qualifié et permettent d’assurer la continuité de l’exploitation dans des bonnes conditions en cas de maladie ou de vacances de l’exploitant. Mais soyons clairs, il faut nourrir les bêtes plusieurs fois par jour, traire les vaches, surveiller les mises bas... le métier d’éleveur nécessite une grande disponibilité. Actuellement il faut être enfant d’agriculteur pour s’installer comme éleveur : FAUX Quelle que soit la taille de l’exploitation, il faut maîtriser les outils modernes de plus en plus complexes. Les nouvelles technologies et l’automatisation ont fait une entrée en force dans l’agriculture depuis quelques années. On ne s’improvise pas agriculteur. Même enfant d’agriculteur, il faut une formation solide pour se faire une place dans cette profession. Plus de la moitié des élèves de l’enseignement agricole n’est pas issue du milieu agricole. Ce ne sont plus des métiers réservés aux enfants d’agriculteurs. ECLAIRCIES N°62 MARS © Onisep Bretagne 2005 1 Des professionnels... «Je n’aime pas rester enfermé toute la journée» A savoir... ➜ Au niveau national, on comptait en 2000 (dernier recensement agricole source AGRESTE) autour de 600.000 exploitations agricoles sur lesquelles travaillaient 1.300.000 personnes. ➜ Les emplois agricoles représentent 4 % de la population active nationale. On compte 51.000 exploitations en Bretagne et 53.500 en Pays de la Loire. Sur ces exploitations travaillent aujourd’hui environ 100.000 actifs en Bretagne et 112.000 en Pays de la Loire. Mais chaque emploi agricole induit environ trois emplois autour de lui : machinisme et mécanique agricoles, négoce, aliments pour bétails, industrie agro-alimentaire, commerce... ➜ L’emploi salarial représente en Bretagne 19 %, et en Pays de la Loire 27 %, de l’ensemble de l’emploi agricole. ➜ Le secteur des cultures aquacoles des deux régions occupe une part importante dans la production nationale. La Bretagne produit par exemple 40 % des huîtres françaises et 30 % des moules. ➜ Dans le domaine de l’élevage équin, on comptait lors du dernier recensement agricole 42.500 équidés dont 13.900 juments en Pays de la Loire et 25.850 équidés dont 9.200 juments en Bretagne. Gaël Souvestre est éleveur de porcs près de Vitré en Ille et Vilaine. L’originalité de son élevage réside dans le fait que ses truies sont élevées en plein air. Un choix motivé d’abord par sa préférence pour le travail en plein air. Avant de s’installer à son compte, il avait travaillé dans une porcherie hors sol. «Mais je n’aime pas rester enfermé dans des bâtiments toute la journée et je préfère voir les cochons gambader dehors», confie-t-il. Il trouve même très agréable de travailler dehors même si la pluie, l’hiver avec les pieds dans la gadoue, peut parfois être un peu pénible. Ce qu’il apprécie particulièrement, en plus de travailler dans la nature et avec les animaux, c’est surtout l’autonomie dans le travail. Comme il le dit, «on gère soit même sa boutique et son temps». C’est d’autant plus appréciable, vu «qu’on n’a pas de la route à faire pour aller travailler mais de l’autre côté on y est aussi tout le temps ! », avoue-t-il. Eleveurs de porcs et de vaches laitières : «nous sommes devenus des entrepreneurs» Anthony et Olivier sont d’accord : « nous sommes devenus des entrepreneurs, mais il ne faut pas oublier l’essentiel, l’amour des animaux ! » «On donne la vie, ajoute Anthony : un vêlage, c’est toujours un moment extraordinaire ! » Olivier, d’ordinaire plus réservé que son frère, renchérit «je passe volontiers un quart d’heure à me faire bouffer les pieds par mes cochettes…» Ils parlent aussi de la diversité des tâches de l’éleveur : des végétaux aux techniques animales en passant par la mécanique agricole… Indépendance, variété, mais aussi cadre de vie : les choses ont bien évolué au GAEC des Bouillères : les deux frères ont, par exemple, fait beaucoup d’efforts pour améliorer la qualité de la vie sur l’exploitation, notamment au niveau de l’environnement… Et puis, « il faut avoir des projets, martèle Anthony, pour réussir dans ce métier ! » Et de la passion, serait-on tenté d’ajouter quand on l’entend proclamer : « J’adore mon métier ! » On ne s’improvise pas éleveur canin «Suite aux crises à répétition du marché porcin, beaucoup d’agriculteurs éleveurs ont tenté de se lancer dans l’élevage © Onisep Bretagne canin mais sans grand succès», souligne M. Goisbeau, propriétaire d’un chenil au nord de Rennes. L’élevage de chiens ou de chats qui ressemble, certes, beaucoup aux autres activités d’élevage a des particularités fortes. «L’élevage d’un chien ou d’un chat, c’est plus que de mettre ensemble un mâle et une femelle, on vend un chien avec un caractère, une personnalité», expliquet-il. Ce dont il est question dans l’élevagedressage canin-felin c’est le rapport de la bête, chien ou chat, à l’homme alors que cette dimension n’existe pas dans l’élevage porcin. Il faut apprendre aux bêtes à aimer l’homme dans un environnement humain et urbain, leur apprendre à connaître et à se familiariser avec les bruits des aspirateurs, des machines à laver, des voitures... Sinon ils vont devenir peureux, stressés ou agressifs s’il s’agit de gros chiens ce qui peut entraîner de véritables catastrophes. Eleveur d’autruches, «ce n’est pas du travail mais un plaisir» En France, l’élevage d’autruches est une filière toute récente puisqu’il n’est autorisé que depuis 1993. Il présente un certain nombre d’avantages. Les autruches sont des animaux très rustiques qui tombent rarement malades et peuvent rester dehors toute l’année. Il y a peu d’achat de matériel. C’est aussi un élevage qui ne demande pas trop de surface si l’on ne produit pas la nourriture. « Le démarrage est long. Je n’ai pas eu de rentrée d’argent pratiquement pendant trois ans, précise François Moulin, éleveur d’autruches en Ille et Vilaine. Au départ, j’ai dû travailler la nuit à l’extérieur et le jour je montais les enclos. » Les plus gros investissements de départ sont l’achat de reproducteurs et les clôtures. L’autruche est en effet un animal sauvage et il faut un double grillage. « En cas d’attaque, on peut ainsi se mettre à l’abri entre les deux, explique François Moulin. Au moment de la reproduction, les mâles peuvent être très agressifs. Ce sont des animaux qui ont un sens très vif de leur territoire. Une autruche peut courir à 70 kms/ heure et un coup de pied est mortel. » Assistante vétérinaire, entre la secrétaire médicale et l’infirmière. Vanessa exerce aujourd’hui dans une clinique où l’on soigne essentiellement des « NAC » (Nouveaux Animaux de Compagnie). Elle accueille ainsi des chats, des chiens, des furets, des lapins… Mais aussi quelques veaux que les agriculteurs amè- 2 nent pour des soins lourds. Le travail de Vanessa est très varié, et nécessite une grande polyvalence, toujours au service des animaux. « Sur 30 heures de travail, je fais autant d’accueil, de secrétariat que de soins. Il nous appartient aussi de nettoyer et de désinfecter les locaux, les cages et le matériel de soins. » Côté secrétariat, elle assure essentiellement l’accueil des clients, mais peut aussi prendre les rendez-vous, gérer les dossiers des « patients », ou encore établir et suivre les actes d’honoraires, gérer les stocks de médicaments. En tant qu’auxiliaire médicale, Vanessa assiste le vétérinaire lors des soins, mais aussi des opérations, les prépare avant l’intervention (administration de médicaments, rasage,…), prodigue et assure le suivi des soins aux animaux, durant la période postopératoire. « Je m’occupe de l’animal après, en fonction des prescriptions du vétérinaire. Mais attention, je travaille toujours sous sa responsabilité, et s’il m’arrive de suggérer une prescription, je ne l’administre qu’avec son accord. » Conseiller agricole : organisation et sens du contact Sensibiliser à l’agriculture raisonnée, réaliser un diagnostic d’exploitation, animer une journée d’information sur une race bovine... Christophe Dodard travaille en relation avec les agriculteurs. Il leur fournit un appui technique et les aide dans la mise en route de leurs projets. Un des 100 conseillers de la Chambre d’agriculture d’Ille-et-Vilaine, il partage son temps entre 2 missions : développer l’agriculture raisonnée sur le département, d’une part, participer à l’organisation de salons et prévoir des animations pour faire connaître des races bovines, d’autre part. Contrairement à ses collègues spécialisés dans un domaine (filière porcine, avicole, bovine...), il cultive une certaine polyvalence. « Le dossier agriculture raisonnée concerne l’exploitation dans sa globalité », précise-t-il. Le dispositif vise, en effet, à mettre en place diverses pratiques agricoles pour réduire les impacts négatifs sur l’environnement, maîtriser les risques sanitaires, veiller au bien-être des animaux. © Onisep Bretagne Vacher, le responsable du troupeau « Avec la taille des exploitations qui augmente, le métier de vacher (et de porcher ndlr) devrait se développer, précise Joseph Desprès exploitant agricole. C’est, pour l’exploitant, un avantage appréciable. Cela permet de se libérer en toute tranquillité un week-end de temps en temps. Doté d’une formation de technicien supérieur agricole, mon vacher a la responsabilité du troupeau, au niveau de l’alimentation, de la reproduction ou de la santé. Il travaille 35 heures par semaine. » Le matin et le soir, le salarié s’occupe de la traite, il nourrit les veaux et mène le troupeau aux champs. Il adapte les compléments nutritionnels donnés aux vaches en fonction de la qualité du lait produit, de la richesse des pâturages… C’est lui qui établit le planning de reproduction. Il surveille les chaleurs pour savoir quand il faut inséminer une vache. Il connaît l’anatomie des animaux et peut, quand il y a un problème de digestion, par exemple, savoir pourquoi et donner le traitement adéquat. Il est capable, entre autres, de faire une intraveineuse si besoin. Il participe aux réunions techniques. Il reçoit le contrôleur laitier qui vient tous les mois et qui analyse, pour chaque vache, la qualité et la quantité de lait fourni. Eleveur de chevaux : «on ne fait pas ça pour l’argent» L’éleveur de chevaux assure la gestion et la conduite de l’élevage (alimentation, reproduction, surveillance du troupeau, poulinages, ...), ce qui, vu la petite taille des élevages équins, n’occupe souvent qu’une partie de son temps. Les élevages spécialisés ont davantage recours à une main-d’œuvre salariée. D’autres activités s’y ajoutent, selon la valorisation choisie : débourrage, dressage, pré-entraînement, accueil du public pour le loisir, randonnées, guide de tourisme équestre... Les métiers du cheval ? Des métiers passions. Tous les professionnels le disent, que ce soit dans le secteur des courses ou dans celui des loisirs équestres. Et ils sont à peu près unanimes pour ajouter que la rémunération n’est pas proportionnelle à la qualité du travail fourni. « On ne fait pas cela pour l’argent ! » disent même certains qui considèrent comme un privilège d’être payés pour pratiquer une activité qu’ils aiment. Le profil du bon chercheur Jean-Louis Peyraud, chercheur à l’INRA spécialisé dans la recherche sur le lait, explique que le grand débat au sein de la communauté des chercheurs se fait aujourd’hui autour de la question de savoir si le chercheur doit se contenter de comprendre ou bien s’il faut aussi essayer de maîtriser les choses, «le tout génétique est merveilleux, mais tout limiter à ça est aberrant, il faut prendre en compte tous les éléments d’un problème. Il ne suffit pas de comprendre sa composition génétique pour reconstituer un individu. Pour le lait, c’est la même chose, on peut connaître les gênes du lait mais cela ne suffit pas pour traiter les problèmes de la production du lait.» Pour lui le profil du bon chercheur, «c’est quelqu’un qui est curieux, qui aime comprendre les choses pour mieux les maîtriser... » 3 Pour en savoir plus... ➜ Publications ONISEP • Régionales : - Regards sur... L’agriculture biologique (Onisep décembre 2001) - Le savoir vert en Bretagne (DRAF Edition 2004) en ligne aussi sur le site du CRIPT (cf. ci-dessus) - Le savoir vert / Métiers et formations dans les Pays de la Loire (édition 2005) • Nationales : - Parcours Les métiers de l’agriculture et de l’élevage (02/2004) - Parcours Des métiers pour s’occuper d’animaux (01/2005) Pour en savoir plus ou pour construire un projet professionnel : vous pouvez aussi contacter la Chambre d’Agriculture de votre département. Elle vous proposera un entretien, une mise en relation avec des professionnels… Les formations Une des caractéristiques du monde agricole est le lien étroit entre la profession et les établissements dispensant des formations professionnelles et technologiques. Ces formations sont connues et reconnues par les milieux professionnels en grande partie parce que ces derniers sont associés à leur élaboration. L’enseignement agricole est également proche géographiquement du milieu professionnel du fait de l’existence de nombreux établissements de petite taille implantés en milieu rural. SOMMAIRE L'élevage © ONISEP ➜ Sites internet [liste non exhaustive] - Onisep Bretagne : www.nadoz.org - Onisep Pays de la Loire : www.meformer.org - La Chambre d’Agriculture de Bretagne : www.agrimetiers.com - La Chambre d’Agriculture des Pays de la Loire : www.agrilianet.com - L’enseignement agricole public : www.educagri.fr - Le complexe régional d’information pédagogique et technique (CRIPT) : www.cript-bretagne.fr/ - Le ministère de l’agriculture, de l’alimentation, de la pêche et des affaires rurales : www.agriculture.gouv.fr - La direction régionale de l’agriculture et de la forêt : http://draf.bretagne.agriculture.gouv.fr/ Les métiers et formations de l’élevage .................................... 03 • Anthony et Olivier Rousseau : La passion de l’élevage ......................................................06 • Elevage de porcs plein champs : G. Souvestre, exploitant agricole, éleveur de porcs et de bovins ..............................................08 • Et les vaches seront bien gardées : Joseph Desprès, exploitant agricole producteur de lait ..............10 • Des poulets soignés «aux petits oignons» : Christine Lairy, éleveuse de poulets «label rouge» ....................13 • Quand la passion ne rime pas toujours avec raison : Eleveur de chevaux & Palfrenier-soigneur .............................. 15 • Le chenil «Le Marly» : Apprendre aux chiens à aimer l’Homme .................................18 Quelques élevages particuliers ....... 20 • Eleveur d’escargots : Espèce en voie de disparition en France ? ..............................21 • La politique de l’autruche : François Moulin, éleveur d’autruches ....................................22 • Pisciculture : Philippe, pisciculteur de poissons d’étang ..............................24 Formations d’élevage ...................... 34 • Les formations aux métiers de l’élevage : De tous les niveaux et pour tous les goûts .............................35 • Les formations généralistes de l’élevage : Les piliers des exploitations agricoles ...................................36 • Formations d’élevage aquacole et piscicole : Au menu : poissons et crustacés .........................................40 • Formations d’élevage canin et félin : Des formations pour les mordus ..........................................42 • Formations d’élevage équin : Des formations pour les passionnés .................................... 43 • Pour devenir vétérinaire : Le Diplôme d’Etat de docteur vétérinaire ............................... 45 • Une formation pluridisciplinaire pour des futurs cadres de l’élevage : Ingénieur agronome spécialisation sciences & techniques animales option élevage à l’ENSA de Rennes ......................................46 Métiers d’aide aux éleveurs ............ 25 • Vétérinaire de campagne : Pour en savoir plus .......................... 48 Une relation privilégiée avec les éleveurs ...............................26 • Une professionnelle au service des animaux : Vanessa, assistante spécialisée vétérinaire ...........................28 • Conseiller agricole : LES SITES INTERNET DE L’ONISEP © Onisep Bretagne • Le bonheur est dans les pâturages : J-L. Peyraud, chercheur, directeur de l’unité de recherche «Production de lait» à l’INRA de Rennes .................................................32 © ONISEP www.nadoz.org www.meformer.org www.onisep.fr www.onisep.fr/bretagne www.onisep.fr/nantes Si vous voulez mon avis .....................................................30 Le dossier complet «Regards sur L’élevage» est rangé dans le casier C02© ONISEP Bretagne/Pays de la Loire - 01/2005 Regards sur L'élevage 05 de l’Autodoc au CDI ou au BDI. On2 peut aussi le consulter dans tous les CIO (Centres d’information et d’orientation). 4