DOSSIER D`INFORMATION SQUASH Jeux du Canada de 2011

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DOSSIER D`INFORMATION SQUASH Jeux du Canada de 2011
DOSSIER D’INFORMATION
SQUASH
Jeux du Canada de 2011
Halifax, Nouvelle-Écosse
DOSSIER D’INFORMATION
SQUASH
A. HISTORIQUE DU SPORT
B. HISTORIQUE DU SPORT AUX JEUX DU CANADA ET
ANCIENS RÉSULTATS
C. NOMBRE D’ATHLÈTES PAR ÉQUIPE
D. FORMAT DE LA COMPÉTITION ET RÈGLEMENTS
E. ÉQUIPEMENT ET TERMINOLOGIE
F. ADMISSIBILITÉ
G. SYSTÈME DE POINTAGE ET DE CLASSEMENT
H. ÉLIMINATOIRES ET BRIS D’ÉGALITÉ
I. TECHNOLOGIE
J. RÔLE DES OFFICIELS
K. DESCRIPTION DES SITES
L. EFFECTIFS NATIONAUX
M. ATHLÈTES À SURVEILLER
N. ANCIENS ATHLÈTES DE RENOM
O. RECORDS CANADIENS
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A. HISTORIQUE DU SPORT
Le squash tire son origine du jeu de « rackets » inspiré du jeu de paume. On raconte
qu’on y jouait au Harrow School en Angleterre au milieu du XIXe siècle. La plupart des
bâtiments qui hébergeaient les élèves de cette école privée avaient leur propre court, et
la maison du directeur en avait deux. Il n’existait encore aucune norme pour
l’aménagement de ces courts qui étaient souvent improvisés dans des salles où il y avait
des fenêtres, des portes, des tuyaux, etc. Comme l’espace était restreint, les élèves
substituaient à la balle qu’on frappait avec une raquette une balle malléable qu’ils
pouvaient écraser dans leurs mains. D’où le nom de squash, un verbe qui signifie
écraser.
Au Canada, les premiers courts de squash ont été construits au début des années 1900.
Ils étaient en bois et appartenaient pour la plupart à des particuliers. Aujourd’hui, ils sont
préfabriqués dans des matériaux de l’ère spatiale, avec un revêtement de bois au sol et
un plâtre spécial sur les murs pour créer une surface lisse et dure qui ne suinte pas.
L’Association canadienne de squash a été formée en 1913. Ses activités se limitaient au
début à Montréal et à Toronto avant de s’étendre à tout le Québec et tout l’Ontario, puis
aux provinces de l’ouest. Le nom en fut changé en 1991 et Squash Canada regroupe
aujourd’hui 12 associations provinciales et territoriales dont sont membres environ 400
clubs et 100 000 joueurs. L’organisme coordonne chaque année huit championnats
canadiens chez les hommes et chez les femmes – l’Omnium junior, le Championnat
canadien, le Championnat canadien junior, les championnats provinciaux, universitaires
et collégiaux, les tournois de double et de double mixte.
B. HISTORIQUE DU SPORT AUX JEUX DU CANADA ET ANCIENS
RÉSULTATS
Le squash a été présenté pour la première fois aux Jeux d’hiver du Canada de 1991 à
l’Île-du-Prince-Édouard et il est inscrit depuis ce temps au programme de chaque édition
des Jeux d’hiver.
1991
1995
1999
2007
2003
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C. NOMBRE D’ATHLÈTES PAR ÉQUIPE
Les équipes provinciales et territoriales sont composées chacune de 8 athlètes –
4 hommes et 4 femmes – dont 4 (2 hommes et 2 femmes) sont âgés de moins de 19 ans
et 4 (2 hommes et 2 femmes) sont âgés de moins de 17 ans.
D. FORMAT DE LA COMPÉTITION ET RÈGLEMENTS
La compétition comporte des épreuves par équipes. Il y aura une compétition pour les
femmes et une pour les hommes. Pour la première étape de la compétition, les équipes
sont groupées en deux poules et jouent un tournoi à la ronde complet à l’intérieur de leur
poule. Des matches croisés entre les poules auront lieu pendant la deuxième étape (la
ronde éliminatoire) dont les résultats détermineront le classement final de toutes les
équipes.
Le squash se joue sur un court entouré de
quatre murs. Un court de squash simple de
calibre international mesure 21 pieds de
largeur sur 32 pieds de longueur. La hauteur
du mur frontal est de 15 pieds et celle du mur
du fond est de 7 pieds. Les murs latéraux sont
bordés d’une ligne rouge qui s’étend en
diagonale du haut du mur frontal jusqu’au haut
du mur du fond. Cette ligne rouge est la ligne
supérieure qui marque la limite supérieure sur
chacun des quatre murs. Une bande de métal
de 19 pouces est fixée au bas du mur frontal
sur toute sa largeur. C’est la plaque de tôle qui
joue le rôle que joue le filet au tennis. Une balle
qui frappe la plaque de tôle est retirée du jeu.
Sur le mur frontal, une autre ligne rouge est
peinte à six pieds au-dessus du parquet; c’est
la ligne de service qu’on appelait auparavant la ligne de coupure. Au service, la balle doit
passer au-dessus de cette ligne pour que le jeu commence.
Illustration : court de squash – mur frontal (front wall); plaque de tôle (tin); ligne de service (cut line);
carrés de service (service boxes); ligne courte (short line).
La compétition se déroulera conformément aux règles de la Fédération mondiale de
squash (FMS). Deux joueurs frappent la balle à tour de rôle contre le mur frontal du court
avec leur raquette. Les joueurs peuvent frapper la balle dans les airs avant qu’elle
rebondisse ou ils peuvent attendre qu’elle rebondisse une fois sur le sol avant de la
frapper. La balle peut rebondir sur l’un des autres murs avant de frapper le mur frontal ou
après l’avoir frappé. Au squash, le but est de remporter les échanges en frappant la balle
de façon à ce qu’elle rebondisse deux fois sur le sol avant que l’adversaire ne puisse
l’atteindre. Il est aussi possible de remporter un échange en forçant l’adversaire à envoyer
la balle sur la plaque de tôle, sur la ligne supérieure ou au-dessus de celle-ci. Les deux
joueurs peuvent marquer des points à l’issue d’un échange. S’il remporte l’échange, le
joueur au service marque un point et conserve le service. Si le joueur qui reçoit le service
remporte l’échange, il marque un point et obtient à son tour le service. Un jeu se termine
lorsqu’un des joueurs marque 11 points. En cas d’égalité du pointage à 10-10, le jeu se
poursuivra jusqu’à ce qu’un des joueurs marque deux (2) points de plus que son
adversaire. Un match comprend cinq jeux et le premier joueur à remporter trois jeux
remporte le match.
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E. ÉQUIPEMENT ET TERMINOLOGIE
L’équipement de squash se résume à une raquette et une balle de squash
réglementaires.
Voici la liste des termes et des expressions employés couramment au squash.
Coup gagnant – Coup que le receveur est incapable d’intercepter avec sa raquette et
qui est utilisé principalement au service.
Appel – Demande effectuée par un joueur pour que l’arbitre intervienne à la suite d’un
problème survenu sur le court ou à l’extérieur. Dans le cadre des règlements, un appel
peut être fait seulement dans les cas suivants :
- lorsqu’un joueur souhaite l’intervention de l’arbitre à la suite d’une décision prise
par le marqueur .
- lorsqu’un joueur veut demander à l’arbitre de lui accorder un let.
Un appel doit être précédé des phrases « Appel s’il vous plaît » ou « Let s’il vous plaît ».
Ligne de plaque de tôle – Marque la plus basse sur le mur frontal au-dessus de la
plaque de tôle qui s’étend sur toute la largeur du court.
Carré de service – Carré dessiné dans chaque quart qui est délimité par une partie de la
ligne courte, une partie du mur latéral et par deux autres lignes, et où on effectue le
service.
Ligne de service – Ligne dessinée sur le mur frontal, d’une largeur de 50 millimètres (2
pouces), dont la partie supérieure est située à 1,83 mètres (6 pieds) au-dessus du sol et
s’étend sur toute la largeur du court.
Balle de jeu – L’échange suivant qui peut faire gagner le jeu au serveur. (« Balle de
jeu » est aussi l’annonce faite par le marqueur.)
Ligne médiane – Ligne au sol, parallèle aux murs latéraux et qui divise l’arrière du court
en deux parties égales, formant le T à son intersection avec la ligne courte.
Au service – Période entre le moment où un joueur devient le serveur et le moment où il
devient le receveur.
Changement de service – Remplacement du serveur par un autre joueur.
Match – Concours complet entre deux joueurs, qui commence par l’échauffement et se
termine lorsque les deux joueurs ont quitté le court à la fin du dernier échange.
Balle de match – L’échange suivant qui peut faire gagner le match au serveur. (« Balle
de match » est aussi l’annonce faite par le marqueur.)
Encoignure – Balle qui frappe l’angle formé par l’intersection du parquet et du mur et qui
ne rebondit pas. Désigne aussi cette intersection.
Quart de court – Quart de la partie arrière du court qui est divisé en deux parties égales
par la ligne médiane.
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Parallèle – Coup où la balle est frappée près d’un mur latéral et parallèlement à ce mur,
c’est-à-dire le long de la ligne ou du corridor; coup frappé avec force pour parcourir une
grande distance.
Échange – Séquence de jeu comprenant un service unique ou un service et des retours
de balle, et qui se termine lorsque la balle est retirée du jeu.
Frappeur – Joueur qui doit frapper la balle après qu’elle ait rebondi sur le mur frontal ou
qui est en train de frapper la balle ou – jusqu’au moment où son retour atteint le mur
frontal – qui vient tout juste de frapper la balle.
Stroke (gain de l’échange) – Le gain réalisé par un joueur qui remporte un échange
pendant le jeu ou auquel l’arbitre a accordé un échange, ce qui entraîne l’obtention d’un
point ou un changement de service.
Plaque de tôle ou plaque de faute – La plaque située entre la ligne de plaque de tôle et
le parquet, qui s’étend sur toute la largeur du court. Cette plaque est fabriquée de
manière à produire un son distinct lorsqu’une balle la frappe.
F. ADMISSIBILITÉ
2 hommes et 2 femmes :
âgés de moins de 19 ans au 19 février 2011
2 hommes et 2 femmes :
âgés de moins de 17ans au 19 février 2011
G. SYSTÈME DE POINTAGE ET CLASSEMENT
Compétition
Conformément aux règlements de la FMS, le premier joueur qui marque 11 points
remportera le match. Les deux joueurs peuvent marquer des points. En cas d’égalité du
pointage à 10-10, le jeu se poursuivra jusqu’à ce qu’un des joueurs marque deux (2) points
de plus que son adversaire. Un match comprend cinq jeux et le premier joueur à remporter
trois jeux remporte le match.
Pointage
Le résultat de chaque rencontre entre les équipes provinciales et territoriales sera
constitué des quatre meilleurs de cinq matches. Deux points (2) seront accordés pour
une victoire (3-1, 4-0), un point (1) pour une égalité (2-2), et aucun point (0) pour une
défaite.
H. ÉLIMINATOIRES ET BRIS D’ÉGALITÉ
Toutes les équipes joueront l’une contre l’autre afin d’établir l’ordre de mérite de la poule
qui sera déterminé par le plus grand nombre de points remportés conformément au
système de pointage (voir Section 6.0). En cas d’égalité entre des équipes, le processus
suivant sera utilisé pour briser l’égalité.
a) Si deux équipes sont à égalité, le classement sera déterminé par les résultats
tête à tête entre les deux équipes :
i) en tenant compte du plus grand nombre de matches remportés;
ii) si l’égalité persiste, en tenant compte du plus grand nombre de jeux
remportés;
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iii) si l’égalité persiste, en tenant compte de la différence entre le nombre de
points gagnés et de points concédés;
iv) si l’égalité persiste, le résultat du match entre les joueurs classés premiers de
chaque province et territoire déterminera l’équipe gagnante.
b) Si plus de deux équipes sont à égalité, le classement sera déterminé par les
résultats tête à tête parmi les équipes à égalité :
i)
ii)
iii)
iv)
v)
en tenant compte du plus grand nombre de matches remportés contre les
équipes à égalité;
si l’égalité persiste, en tenant compte du plus grand nombre de jeux
remportés contre les équipes à égalité;
si l’égalité persiste, en tenant compte de la différence entre les jeux gagnés
et perdus contre les équipes à égalité;
si l’égalité persiste, en tenant compte de la différence entre les points perdus
et concédés contre les équipes à égalité;
si l’égalité persiste, on procèdera à un tirage au sort.
REMARQUE : Si l’un ou l’autre de ces critères entraîne une égalité entre deux équipes,
il faudra reprendre le processus depuis le début, dans l’ordre des étapes (Section 5.6 A).
Bris d’égalité en ronde éliminatoire
Si une rencontre éliminatoire se termine par une égalité (chaque équipe remporte le
même nombre de matchs), le vainqueur sera déterminé :
i)
ii)
iii)
d’abord, en tenant compte du plus grand nombre de jeux gagnés;
si l’égalité persiste, en tenant compte de la différence entre le nombre de jeux
gagnés et de jeux perdus;
si l’égalité persiste, le résultat du match entre les joueurs classés premiers de
chaque province ou territoire sera le facteur déterminant.
I. TECHNOLOGIE
Les raquettes de squash étaient faites autrefois de bois laminé avec, au centre, des
cordes en boyaux naturels. Les progrès réalisés dans la conception des raquettes ont
mené à l’utilisation de matériaux composites et de cordes synthétiques, ce qui se traduit
par une raquette plus légère, mais beaucoup plus durable. Les spécifications varient
légèrement entre les différents fabricants. Les cordes sont aujourd’hui plus longues et la
« face » de la raquette plus grande et plus longue.
Fabriquées dans un matériau contenant du caoutchouc de très grande qualité, les balles
de squash durent très longtemps. Elles étaient fabriquées autrefois en caoutchouc de
moins bonne qualité dans lequel on perçait de petits trous.
J. RÔLE DES OFFICIELS
Deux officiels sont présents à chaque match de squash. L’arbitre dirige l’ensemble du
match avec l’aide du marqueur. Ils sont chargés de veiller à ce que l’issue des
échanges, et donc celle du match, soit équitable et d’assurer la sécurité des deux
joueurs.
Le marqueur annonce les mauvais services et les mauvais retours. Les mauvais
services incluent les « fautes » (balles sous la ligne de service ou qui n’atteignent pas le
bon quart du court), les balles out (au-dessus des lignes supérieures), les balles à terre
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(double rebondissement) et les coups bas (balles frappées sur la plaque de tôle ou sur
le parquet). À la fin de chaque échange, le marqueur annonce le résultat sans tarder,
mais seulement après que l’arbitre ait statué sur les appels. Le marqueur fait aussi
toutes les annonces d’introduction et les annonces entre les jeux.
C’est l’arbitre qui dirige le match dans son ensemble et qui statue sur les appels faits par
les joueurs. Un joueur peut effectuer un appel pour une annonce qui a été faite ou non
par le marqueur ou pour demander un let s’il estime qu’il a été gêné par son adversaire.
Si l’arbitre refuse d’accorder un let (« Let refusé »), le résultat de l’échange demeure
inchangé; s’il décide d’accorder un let (« Let accordé »), l’échange sera joué à nouveau;
s’il décide d’accorder un stroke (« Stroke ») à un joueur, l’échange est accordé à ce
joueur.
L’arbitre est également responsable d’infliger les pénalités pour les comportements antisportifs. Ces pénalités varient de mineures (un avertissement) à très sévères (attribution
du match à l’adversaire).
L’arbitre doit aussi faire respecter les règles relatives au temps de jeu, notamment
l’intervalle de temps permis entre les jeux, le temps de récupération à la suite d’une
blessure et le temps prévu pour le remplacement de l’équipement.
Chacun des deux officiels doit noter la progression du pointage et le côté d’où
s’effectuent les services.
K. DESCRIPTION DU SITE
Aux Jeux du Canada d’hiver de 2011, les matches de squash se dérouleront à
l’Université Saint Mary pendant la première semaine des Jeux.
Située à dix minutes du Village des athlètes, l’université offre quatre courts de squash
de calibre international avec planchers de bois franc poncés. De plus, un court
entièrement vitré sera utilisé pour les compétitions et les matches de médailles.
L. EFFECTIFS NATIONAUX
MEMBRES MASCULINS– COMPÉTITION : 10 328 (Remarque : il s’agit du nombre
d’athlètes membres et non du nombre de joueurs de compétition qui est de 70 153)
MEMBRES FÉMININS – COMPÉTITION : 3 873 (Remarque : il s’agit du nombre
d’athlètes membres et non du nombre de joueuses de compétition qui est de 28 477)
ENTRAÎNEURS INSCRITS : 3 497
OFFICIELS INSCRITS : 773
M. ATHLÈTES À SURVEILLER
ALBERTA
Danielle Letourneau
Heather Yong
Emma Yong
Evelyn Moorhouse
Entraîneur : Ian Paton
Directrice d’équipe : Lisa Henderson
Tyler Lee
Cale Williams
Jason Field
Adrian DeVries
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Le tournoi de squash des Jeux du Canada de 2011 sera une affaire de famille avec les
sœurs Heather et Emma Yong. L’équipe féminine est forte; les quatre places de l’équipe
sont détenues par les quatre meilleures joueuses de la province. L’équipe sera menée
par Danielle Letourneau, qui vient de remporter l’Open junior du Canada dans la division
GU19, en décembre dernier. Tyler Lee mènera l’équipe masculine. Les deux équipes
ont tout un défi à relever, après avoir terminé au 2e rang aux Jeux d’hiver du Canada de
2007.
COLOMBIE BRITANNIQUE
Abbey Foster
Nicole Bunyan
Brynn Daniels
Lindsay Seginson
Entraîneur : Jeff Boag
Directrice d’équipe : Karyn Trombley
Tyler Olson
Zachary Leman
Michael Thompson
Mackenzie Foster
L’équipe comptera sur le leadership de Mackenzie Foster, seul athlète de l’équipe à
revenir aux Jeux. Les yeux seront tournés vers Tyler Olson (classé 3e au pays) et
Zachary Leman (3e au BU17) ainsi que Michael Thompson, un joueur puissant de 3e
position. Chez les femmes, Abbey Foster et Nicole Bunyan joueront un rôle important,
Foster ayant terminé au 3e rang au GU17 et à l’Open junior du Canada de 2010, tandis
que Bunyan terminait au 4e rang lors du Championnat canadien junior de 2010 et au 6e
rang à l’Open junior. Avec leur 3e place aux Jeux de 2007, les deux équipes, masculine
et féminine, sont parmi les favorites.
MANITOBA
Alix Younger
Haley Clake
Hannah Blatt
Mia Kirbyson
Entraîneur : Trevor Borland
Directrice d’équipe : Nicole Mailey
Jake Hooker
Connor Turk
Andrew Thiessen
Adrian Chamberland- Mike
Seule athlète de l’équipe à revenir aux Jeux, Alix Younger occupe le 1er rang pour une
deuxième fois aux Jeux d’hiver du Canada. Younger terminait au 2e rang à l’Open junior
du Canada de 2010, également au 2e rang au Championnat junior panaméricain par
équipe au Salvador, en plus de remporter une 1re position au Championnat canadien
junior de 2010. Il va sans dire que son expérience s’avérera précieuse pour l’équipe.
Sous la direction de Trevor Borland, les deux équipes s’efforceront d’améliorer leur
classement, 6e aux Jeux de 2007 pour les hommes, 4e pour les femmes.
TERRITOIRES DU NORD-OUEST
Pooja Chugh
Sarah Nesbitt
Paulina Brooks
Dominique Jure
Entraîneur : Al Cook
Directrice d’équipe : Sharmaine Wilson
Chad Hinchey
Devin Hinchey
Travis Kamitomo
Jeremie Roy
Le squash à Yellowknife, c’est également une affaire de famille avec les frères Chad
(15) et Devin (12) Hinchey qui détiennent les deux premières positions au sein de
l’équipe. Trois des quatre athlètes masculins de 2007 seront de retour. Menée par Al
Cook, l’équipe masculine tentera d’améliorer son classement (9e aux Jeux de 2007).
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Pour sa part, l’équipe féminine en sera à sa première présence aux Jeux du Canada
depuis 1995.
NOUVELLE-ÉCOSSE
Arielle Petropolis
Niamh Campbell
Emily Terry
Maryam Aly
Entraîneur : Chris Petropolis
Directrice d’équipe : Colleen Sharpe
Matthew Sharpe
Theo Petropolis
Chad Hagan
Thomas Starratt
Chez les femmes, Arielle Petropolis et Niamh Campbell seront de retour aux Jeux et
Matthew Sharpe mènera l’équipe masculine. Arielle sera accompagnée de son jeune
frère Theo et de son père, l’entraîneur Chris Petropolis. Les deux équipes chercheront à
améliorer leur classement : 7e pour les hommes et 9e pour les femmes.
ONTARIO
Hollie Naughton
Michelle Gemmell
Alyssa Mehta
Jillian Baker
Entraîneur : Patrick Ryding
Directrice d’équipe : Nicole Pirko
Tyler Osborne
Michael McCue
Joshua Sekhar
Cameron Seth
Les champions en titre chez les hommes et les femmes auront toutes les équipes à
leurs trousses. L’équipe a perdu sa joueuse étoile Laura Gemmell, mais elle accueille en
ses rangs sa jeune sœur, Michelle. L’équipe féminine fait encore bonne figure cette
année, avec Naughton (championne U17 à l’Open junior du Canada de 2010, et une 2e
place au Championnat junior panaméricain par équipe), Gemmell (championne
canadienne junior U17) et Mehta (championne U15 à l’Open junior du Canada de 2010,
et championne canadienne junior U15). Les hommes n’ont rien à leur envier avec
Osborne (champion U19 à l’Open junior du Canada de 2010, champion U19 à l’Open
junior d’Écosse de 2010, et une 3e place au Championnat du monde junior par équipe
de 2010), McCue (4e place U19 à l’Open junior du Canada de 2010), Sekhar (3e place
U17 à l’Open junior du Canada de 2010, et champion canadien junior U17) et Cameron
Seth (2e place à l’Open junior du Canada U17 de 2010).
ÎLE-DU-PRINCE-ÉDOUARD
Ryann Jinks
Quincy Becks
Whitney MacDonald
Elizabeth McKenna
Entraîneur : Derek Lawther
Directrice d’équipe : Cynthia Dunsford
Nicki Trainor
Connor Jinks
Jordan Sampson
Brandon Higginbotham
Encore une histoire de famille au squash... avec le duo Jinks : Ryann menant l’équipe
féminine et son frère Connor au 2e rang des hommes. Sous la direction de l’entraîneur
Derek Lawther, les deux équipes s’efforceront d’améliorer leur performance respective,
12e position pour les hommes et 7e position pour les femmes.
SASKATCHEWAN
Brooke Shmon
Neekha Patel
Rebecca Kohlrus
Chris Tunnicliffe
Matthew Mutschler
Benjamin Foreman
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Zoe Hanson
Entraîneur : Christopher Martin
Directrice d’équipe : Lori-Ann Martin
Thomas King
Seule membre de l’équipe à retourner aux Jeux, Brooke Shmon devra composer avec
l’absence de sa sœur Amber pour mener son équipe. Sous la direction de l’entraîneur
Christopher Martin, lui aussi de retour, l’équipe cherchera à améliorer son classement,
les hommes et les femmes ont terminé au 5e rang aux Jeux de 2007.
QUÉBEC
Lindsay Bovaird
Chloe Chemtob
Marcia Filginao
Olivia Tory
Entraîneur : Joshua Schwartz
Directrice d’équipe : Anne-Christine Lajoie
Chris Defour
George Henderson
Calvin Wren
Mathieu Diab
Lindsay Bovaird sera la seule joueuse de l’équipe de retour aux Jeux. Avec Chloe
Chemtob qui a fini au 2e rang de l’Open junior du Canada de 2010 et du Championnat
canadien junior de 2010 U15, l’équipe tentera de faire mieux que sa 6e place de 2007.
Les hommes s’efforceront d’améliorer leur 4e position.
YUKON
Sophie Flather
Kelly Panchyshyn
Shermaine Chua
Tia Oster
Entraîneur : Koong Chua Stephen Grundmanis
Mustafa Syed
Zain Syed
Coleman Newell
La famille, toujours la famille… L’équipe du Yukon comptera sur la présence des frères
Mustafa et Zain Syed (2e et 3e positions). Shermaine Chua en sera à sa première
présence aux Jeux du Canada, en compagnie de son père, Koong Chua, qui sera
entraîneur pour la première fois. De retour aux Jeux, mais sans sa sœur, Sophie Flather
tentera de stimuler l’équipe féminine (8e position en 2007), tandis que les hommes
s’efforceront d’améliorer leur classement (11e position de 2007).
N. ANCIENS ATHLÈTES DE RENOM
Colin West
• Jeux d’hiver du Canada de 2007, Équipe Ontario
• Recrue de l’année de la ligue Ivy en 2006
• 1re place au Championnat individuel de squash CSA de 2010
• 4e place au Championnat mondial universitaire par équipe de 2010 (Melbourne)
• 5e place au Championnat mondial universitaire individuel de 2010 (Melbourne)
Nicholas Sachvie
• Jeux d’hiver du Canada de 2007, Équipe Ontario
• 1re place U17 au Championnat junior du Canada de 2008
• 2e place U19 au Championnat junior du Canada de 2010
• 3e place au Championnat du monde junior par équipe de 2010 (Équateur)
• 1re place U19 au Championnat U.S. Open junior de 2010
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Laura Gemmell
• Jeux d’hiver du Canada de 2007, Équipe Ontario
• 1re place au Championnat CSA individuel de 2010
• 4e place au Championnat mondial universitaire par équipe de 2010 (Melbourne)
Samantha Cornett
• Jeux d’hiver du Canada de 2007, Équipe Ontario
• 2e place en équipe au Championnat panaméricain de 2009 (Équateur)
• Membre de l’équipe canadienne aux Jeux du Commonwealth de 2010 (Delhi)
• 2e place en équipe au Championnat panaméricain de 2010 (Guatemala)
• Membre de l’équipe canadienne au Championnat mondial par équipe de 2010
(Palmerston North)
• 86e place au classement de la Women’s International Squash Profession
Association (WISPA)
Stephanie Edmison
• Jeux du Canada d’hiver de 2003, Équipe Ontario
• Membre de l’équipe canadienne au Championnat panaméricain de 2006
• Membre de l’équipe canadienne au Championnat mondial par équipe de 2010
• 2e place en équipe au Championnat panaméricain de 2010 (Guatemala)
• Membre de l’équipe canadienne aux Jeux du Commonwealth de 2010 (Delhi)
• 88e place au classement de la Women’s International Squash Profession
Association (WISPA)
Ashley Clackson
• Jeux du Canada d’hiver de 1999 et de 2003, Équipe Colombie-Britannique
• Membre de l’équipe canadienne au Championnat panaméricain de 2004 et de 2005
Douglas Parent
• Jeux du Canada d’hiver de 1991, Équipe Alberta
• 7 fois champion canadien junior (1990-1996)
• Membre de l’équipe canadienne au Championnat panaméricain de 1998
(Guatemala)
Marnie Baizley
• Jeux du Canada d’hiver de 1991, Équipe Manitoba
• Membre de l’équipe canadienne au Championnat panaméricain de 1999 – médaille
d’or
• Membre de l’équipe canadienne au Championnat du monde de 2000 (Angleterre)
• 1re place au Championnat mondial universitaire de 2000
• 2e place au Championnat mondial universitaire par équipe de 2000
• Médaille d’or au Championnat panaméricain de 2002 (Équateur)
Ian Power
• Jeux du Canada d’hiver de 1991, Équipe Ontario
• Médaille d’or au Championnat panaméricain de 2002 (Équateur)
Viktor Berg
• Jeux du Canada d’hiver de 1995, Équipe Colombie-Britannique
• Membre de l’équipe canadienne au Championnat panaméricain de 1998
(Guatemala)
• Médaille d’or au Championnat panaméricain de 2002 (Équateur)
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O. RECORDS CANADIENS
Jonathon Power : classé premier au monde au moment de sa retraite, Jonathon Power
a remporté 36 titres sur le circuit de l’Association professionnelle des joueurs de squash
(PSA) et 58 finales de la PSA. Il est reconnu comme étant le joueur de squash nordaméricain le plus prolifique. Il a récemment été intronisé au Temple de la renommée du
sport canadien.
Sharif Khan : fils du légendaire Hashim Khan, Sharif a gagné le North American Open à
douze reprises avant sa retraite en 1982.
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