Actualité de la profession

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Actualité de la profession
Dossier de presse
Janvier 2010
Contacts presse :
Marie-Amélie Roguet
Cohn & Wolfe
37, rue de Bellefond
Tél : + 33 1 49 70 43 55
Fax : +33 1 49 70 44 03
Email : [email protected]
SOMMAIRE
I - Actualité de la profession
1. L’engagement concret de la profession en faveur de l’environnement s’amplifie
2. L’investissement et la création d’emplois entravés par l’augmentation significative de la
pression fiscale
3. Protection des consommateurs et réputation de la profession : deux préoccupations plus
que jamais d’actualité
II - La profession se dénombre pour la première fois de façon exhaustive
1. La distribution d’ameublement et d’équipement de la maison : des effectifs salariés
importants
2. Quelques grandes entreprises et une multitude de PME
3. Une capacité de création d’emplois préservée
4. Quelques chiffres
III - Résultats 2009- Perspectives 2010
2009 : une année contrastée
• Une baisse du marché globalement contenue
• Des performances contrastées en termes de produits
• Et de circuits de distribution
• Les perspectives 2010
IV – La FNAEM, fiche d’identité
1. Une organisation professionnelle nationale unique à forte représentativité
2. Trois missions :
• L'animation économique et l'information
• L'activité sociale et juridique
• La représentation de la profession auprès de ses interlocuteurs principaux
Annexes :
 Enseignes adhérentes
 Partenaires FNAEM
 Conseils aux consommateurs
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I – Actualité de la profession
1. L’engagement concret de la profession en faveur de
l’environnement s’amplifie
Une préoccupation constante et concrète
Les distributeurs de meubles sont collectivement et individuellement engagés depuis longtemps
dans des actions concrètes en faveur de la protection de l’environnement et de la santé des
consommateurs.
Ainsi, au cours des dernières années, ils ont publié une recommandation sur la certification des
bois en 2004, signé avec leurs partenaires fabricants et sous l’égide de la DGCCRF un code de
bonne conduite sur la sécurité générale des produits en 2005, soutenu la création et la montée
en puissance des éco organismes mis en place pour les papiers et les produits électroménagers
(2006 et 2007).
Appelée à s’amplifier en 2010
Dès 2008, la profession appelait de ses vœux la mise en place d’une filière de collecte, tri et
recyclage des meubles en fin de vie, estimant que la mise en place d’une telle filière pourrait
constituer un axe de développement majeur du marché.
Dans cet esprit, la Fédération s’est activement impliquée en 2009 dans les premiers travaux
visant à la mise en place d’une éco-filière meuble, dont le principe a été inscrit dans la loi
« Grenelle I de l’environnement ».
Les principales enseignes et de nombreux négociants indépendants ont participé fin 2009 à
l’enquête confiée par l’ADEME à un cabinet privé, visant à estimer le gisement annuel de vieux
meubles susceptibles d’être collectés.
Les premiers résultats pourraient en être connus au cours du premier semestre 2010. Ils
dicteront la configuration de la future éco-filière et ses spécificités.
Les spécificités suivantes peuvent d’ores et déjà être relevées :
•
•
•
une longue durée de vie des meubles par rapport à d’autres produits (literie 12 ans,
cuisine 20 ans etc),
des habitudes des consommateurs éloignées du principe « d’une reprise pour une
vente » constaté pour d’autres produits comme l’électroménager,
une seconde vie des meubles fréquente (résidence secondaire, installation de la
génération suivante etc)
La mise en place de l’écofilière et ses conditions de succès : actualité de 2010 et
sans doute 2011
Sous réserve des résultats des études en cours, l’ensemble de la filière (fabrication et
distribution) pense préférable l’organisation d’une filière dédiée à l’ameublement avec ses
financements propres (type électroménager ou papier), plutôt qu’une initiative d’ordre
2
purement fiscal. La motivation principale doit en effet demeurer la protection de
l’environnement par des moyens adaptés et proportionnés à cette justification !
La création d’une éco fiscalité dans l’ameublement devra par ailleurs s’accompagner de la
redéfinition de certains impôts actuellement appelés au titre des évacuations de vieux meubles
(taxe d’enlèvement des ordures ménagères, droits d’accès aux déchéteries).
L’expérience des autres écofilières montre que deux à trois ans sont nécessaires pour qu’une
ecofilière puisse effectivement être fonctionnelle.
2. L’investissement et la création d’emplois entravés par
l’augmentation significative de la pression fiscale !
La réforme de la Taxe professionnelle : « vrai faux cadeau » pour l’ameublement…
Contrairement à la présentation qu’en ont fait les pouvoirs publics, la réforme de la taxe
professionnelle ne se traduira pas par un cadeau fiscal pour nombre de distributeurs de
meubles !
L’importante surface des magasins (justifiée par la nature, les dimensions et les exigences de
présentation du produit meuble) pénalise en effet l’activité en accroissant l’impact de la
nouvelle contribution foncière.
Les simulations effectuées montrent que cette réforme se traduira, notamment pour les
réseaux multi points de vente, par une augmentation comprise entre 3 et 10% par rapport à
l’ancienne TP.
La multiplication et l’augmentation des taxes diverses
La multiplication et l’augmentation de taxes de toute nature aux côtés de la TASCOM (taxe sur
les surfaces commerciales - ex TACA) et des deux contributions appelées à remplacer la taxe
professionnelle contribuent significativement à l’augmentation de la pression fiscale.
Rien qu’en 2009, on citera pour mémoire l’augmentation sensible de la taxe foncière, la
nouvelle taxe sur les publicités extérieures, la taxe transport, mais aussi les pénalités relatives
aux quotas seniors et l’augmentation des pénalités dues dans certaines entreprises au titre de
l’insertion des personnes handicapées.
A surfaces et chiffres d’affaires égaux, la contribution fiscale de notre profession
aura ainsi progressé de plusieurs points en 2009 !
La plupart de ces taxes sont assises soit sur la masse salariale, soit sur l’outil de travail
(magasin, panneaux publicitaires…). Elles pénalisent donc doublement l’investissement et la
création d’emplois, jusqu’à présent constante dans la distribution de meuble et d’équipement
de la maison.
A titre d’exemple, la seule taxe sur les publicités extérieures créée au profit des communes
peut représenter pour un seul magasin de vente à emporter jusqu’à 15 000€, soit l’équivalent
annuel d’un emploi de vendeur à mi temps !
La profession appelle à une meilleure prise en compte de ses spécificités lors des révisions déjà
annoncées de la fiscalité, dans les prochains mois.
Une application obligatoire du nouvel indice de révision des loyers commerciaux ILC s’impose
rapidement !
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3. Protection des consommateurs et réputation de la profession :
deux préoccupations de terrain plus que jamais d’actualité
La profession est engagée depuis plusieurs années aux côtés de la DGCCRF et d’associations
de consommateurs pour la protection des consommateurs et la lutte contre les pratiques
irrespectueuses de publicité trompeuse, au nom de la défense de sa réputation.
Dans le contexte actuel de crise et de forte attente des consommateurs en termes de prix, une
recrudescence de ces pratiques de fausses remises calculées à partir de prix artificiellement
gonflés est constatée.
Plusieurs dizaines de points de ventes nomades (car installés pour quelques semaines
seulement) sont simultanément actifs dans toutes la France. Des milliers de consommateurs
sont ainsi actuellement trompés sans possibilité de réparation !
Les 32 délégations territoriales de la FNAEM maintiennent et amplifient donc contre ces
CANI* :
•
•
des actions de conseils aux consommateurs à titre préventif (cf. annexe « Mise en
garde aux acheteurs de meubles »),
des poursuites sous forme de constitutions de partie civile aux côtés des DDCCRF,
des consommateurs et de leurs associations. En 2009, la Chambre Criminelle de la
Cour de Cassation a confirmé à deux reprises (13 janvier 2009 et 5 mai 2009) le
délit de publicité trompeuse
Les résultats d’une nouvelle vague d’enquête nationale menée par la DGCCRF sur ce sujet
devraient être connus dans les prochaines semaines.
*Les CANI sont des pratiques qui consistent à vendre au consommateur attiré par des cadeaux
à retirer dans le magasin, de fausses remises à partir de prix artificiellement majorés.
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II – La profession se dénombre pour la
première fois de façon exhaustive !
Pour la première fois, les commerces d’ameublement et tapis moquette régis par la convention
collective gérée par la FNAEM se sont comptés à l’échelle de tout le secteur. De nombreux
chiffres jusqu’à présent jamais calculés sont désormais disponibles. Ces données confirment
l’importance sociale du secteur, sa dispersion entre de multiples PME et sa capacité constante à
créer des emplois.
La FNAEM est représentative de ces différents métiers, avec la présence dans ses rangs des
principales enseignes du négoce spécialisé (Saint Maclou, Mondial Moquette, Keria Luminaire…)
et de négociants indépendants.
1. La distribution d’ameublement et d’équipement de la maison : des effectifs
salariés importants
Les 6260 entreprises de distribution d’ameublement et tapis moquettes emploient près de
68 000 salariés dans 8840 établissements (données 2008 les plus récentes), répartis de la
façon suivante :
•
•
Meubles : 5800 entreprises, 7570 établissements, 61 500 salariés
Tapis-Moquettes : 460 entreprises, 1270 établissements, 5950 salariés
Si on ajoute à ces effectifs une partie de ceux de la distribution de luminaires également régis
par la convention collective de l’ameublement et comptant 3420 entreprises, ce seraient plus
de 92 000 salariés qui seraient ainsi employés dans la filière.
Répartition des 9.680 entreprises* employant au moins un salarié selon les
métiers (source INSEE)
Tapis-moquettes (NAF 524 U) :
460 entreprises
5%
Luminaires (NAF 524 J) :
35%
3.420 entreprises
60%
Meubles (NAF 524 H) :
5.800 entreprises
* parmi celles employant au moins un salarié
5
Les régions Ile de France (20% des effectifs), Rhône Alpes (9,5%) et Provence Alpes Côte
d’Azur (9%) rassemblent à elle trois près de 40% des effectifs salariés du secteur.
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2. Quelques grandes entreprises et une multitude de PME
Seules 62 entreprises (1% du total) emploient plus de 50 salariés, 340 (5%) en emploient de
20 à 49, tandis que les 5860 autres (94%) salarient moins de vingt personnes.
Rappelons que la distribution d’ameublement et de tapis moquette compte un peu moins de
1000 établissements succursales sur les 8840 dénombrés.
3 Une capacité de création d’emplois préservée
Rien que pour l’ameublement, les effectifs ont ainsi crû de 21% de 2000 à 2008, passant de
50 800 à 61 000 salariés sur cette période (source UNEDIC).
De 2007 à 2008, les effectifs ont crû de près d’un 1%, avec un solde positif de près de 1000
emplois, auxquels il convient de rajouter 9600 CCD pour surcroît d’activité liée aux foires et
salons.
Pour 2009, en dépit des plans de restructurations annoncés et du flux habituel de fermeture de
points de vente, les prévisions laissent anticiper une croissance de l’emploi, essentiellement liée
aux ouvertures de grandes surfaces de vente à emporter et aux créations de petits magasins
spécialistes de l’agencement et de la cuisine.
Les créations d’emplois induites chez les sous traitants et partenaires de la distribution,
notamment en logistique, livraison, pose, installation ; activités de plus en plus souvent
confiées à des entreprises extérieures, sont aussi à prendre en compte.
Tous ces emplois présentent l’avantage d’être non délocalisables.
4. Quelques chiffres
50% d’hommes, 50% de femmes
92% des salariés employés sous CDI
83% des salariés à temps complet
38,5 ans d’âge moyen
9 ans d’ancienneté moyenne
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III – Résultats 2009-Perspectives 2010
2009 : une année contrastée
Une baisse du marché globalement contenue
Le marché du meuble français a connu un recul de 3,1 % en valeur, à surfaces évolutives et en
euros courants, pour atteindre 9,3 milliards d’euros TTC. Dans le concert européen, la France
est le marché dont la consommation de meubles s’est le mieux maintenue.
Le recul des ventes s’explique avant tout par :
•
la baisse de 21% des transactions immobilières (FNAIM) et de 13,9% des mises en
chantiers (source FFB) de logements qui touchent particulièrement les marchés de la
cuisine et des meubles de rangement ;
•
la prime automobile qui a clairement orienté les arbitrages des ménages en faveur de
ce secteur. Les ménages français n’ont pu se permettre d’investir à la fois dans le
changement d’une voiture, dans le renouvellement de leur canapé ou dans l’achat d’une
cuisine intégrée, par exemple ;
•
une baisse de fréquentation des magasins de meubles particulièrement forte au premier
semestre 2009. Les mois d’octobre, novembre et décembre ont permis au plus grand
nombre de points de vente de rattraper, en partie, la baisse d’activité du début
d’année ;
•
une baisse des prix des principaux « meubles d’équipement » dans la Grand Distribution
de l’Ameublement favorisant ainsi l’accès au marché pour un nombre croissant de
ménages en situation budgétaire difficile ;
•
le report d’achats de meubles milieu-haut de gamme face à une conjoncture incertaine.
Avec 9,3 milliards d’euros, le marché du meuble domestique français reste à un de ses plus
hauts niveaux depuis les dix dernières années.
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La consommation de meubles (en milliards d’euros courants TTC)
Des performances contrastées en termes de produits …
Les ventes de literie se maintiennent grâce à une animation commerciale permanente et à de
nombreuses retombées presse « grand public » des actions de l’Association de Promotion de la
Literie ;
La cuisine connaît son premier retournement de tendance depuis 2003. La baisse des
transactions immobilières a directement impacté ce secteur, tout comme celui de
l’électroménager qui a baissé de 4,4% (12 mois glissants à fin novembre, source Gifam) ;
Les meubles meublant (rangement, lit, table, chaises, etc…) accusent une baisse en valeur et
en volume directement liée à l’immobilier mais aussi au report d’achats ;
Les canapés et fauteuils sont « dans le rouge » avec un effet « report d’achat » spectaculaire
et des baisses de prix public importantes dans les réseaux de Grande Distribution de
l’Ameublement ;
Les meubles de salle de bains sont, eux aussi, touchés par la baisse des mise en chantier de
logement ;
Le mobilier de jardin n’a pas vraiment profité de la saison et reste fortement impacté par les
déclinaisons « entrée de gamme » des nouvelles tendances …
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Et de circuits de distribution
Le phénomène majeur de la distribution en 2009, dans le meuble en particulier, a été la très
nette baisse de fréquentation des points de vente, surtout au cours du premier semestre. Dans
les magasins milieu-haut de gamme, cette baisse de fréquentation s’est accompagnée d’une
hausse du panier moyen auprès de consommateurs ayant décidé d’arbitrer en faveur de
l’aménagement, de l’amélioration et de la décoration de leur maison. Ce profil de clientèle n’a
pas répondu aux nombreuses sollicitations de prix plus bas mais a préféré investir dans son
projet. En 2009, on distingue encore mieux les deux marchés de l’ameublement : un marché
d’équipement et un marché de renouvellement. Le premier a fortement été touché par la
baisse des transactions immobilières et la concurrence prix face à la paupérisation d’une partie
de la clientèle, le second a subi l’impact des nombreux reports d’achats mais a bénéficié d’une
implication budgétaire plus forte de consommateurs voulant concrétiser leurs projets
d’aménagement et de décoration de leur maison.
Evolution des circuits de distribution en 2009
Circuits de distribution
Part de marché
Chiffre d'affaires en mds d’euros
Evolution 2009/2008
Equipement du Foyer
25,1%
2343
-3,1%
Jeune Habitat
22,8%
2129
3,2%
Ameublement milieu de gamme (1)
13,1%
1225
-5,9%
Spécialistes Cuisine
10,2%
956
-2,3%
Artisans
4,1%
379
-9,0%
Ameublement Haut de gamme
4,3%
402
-4,9%
Spécialistes Salon
2,2%
210
-6,6%
Autres magasins spécialisés (2)
5,0%
465
-5,0%
Total circuits spécialisés
86,8%
8109
-2,5%
Vente à distance
4,3%
399
-9,2%
Grande Surface de Bricolage
4,0%
370
-4,3%
Hypermarchés
1,4%
130
-5,6%
Grands Magasins
0,6%
57
-3,2%
Autres circuits non spécialisés (3)
2,9%
281
-9,6%
13,2%
1237
-7,2%
100,0%
9346
-3,1%
Total circuits non spécialisés
TOTAL
Source IPEA
(1) Spécialistes ameublement et petits généralistes
(2) Spécialistes literie, meubles anglais, placard
(3) Quincailleries, solderies, boutiques de décoration, magasins corporatifs
Les perspectives 2010
La fin programmée de la prime automobile ne devrait plus tronquer les arbitrages des
consommateurs en faveur d’un secteur ou d’un autre. Cependant, la poursuite annoncée du
chômage sera le facteur déterminant d’une certaine retenue des ménages qui devrait se
traduire par l’augmentation du taux d’épargne qui bat d’ores et déjà des records pour atteindre
17% en France contre 9,7% en Allemagne et 4,7% aux Etats-Unis.
Malgré une légère reprise, le secteur de l’ameublement ne pourra pas vraiment compter sur
l’immobilier qui devrait connaître une croissance limitée en 2010.
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Face à ces facteurs peu stimulants, les intentions d’achats des ménages français en
ameublement sont en hausse : 27,3% des français déclarent avoir l’intention d’acheter un
meuble en 2010 contre 26,1% l’an dernier (source : IPEA). Reste à savoir le type de meubles
qu’ils souhaiteront acquérir au regard des pièces qu’ils préfèrent dans la maison.
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III - La FNAEM, fiche d’identité
Dans un contexte de vive concurrence, d’internationalisation croissante des réseaux de
distribution et de concentration des acteurs, la FNAEM accompagne la profession et ses
entreprises en veillant également à mener des actions et des politiques favorables au
consommateur.
1. Une organisation professionnelle nationale unique à forte
représentativité
La Fédération française du négoce de l'ameublement et de l'équipement de la maison est
depuis 2002 l’unique organisation professionnelle représentant au niveau national la
branche du négoce de l'ameublement.
La FNAEM représente 2400 points de vente répartis sur l’ensemble du territoire national,
soit environ 75% du marché national.
Fort de cette représentativité couvrant tous les types de distribution (du négoce
indépendant à la grande distribution succursaliste), la FNAEM constitue l’organisation de
référence des distributeurs de meubles et de produits d’équipement de la maison.
Sous l’autorité de son Conseil d’Administration, présidé par M. Didier Baumgarten, elle
représente et coordonne les intérêts de ses adhérents auprès des pouvoirs publics et des
consommateurs aux échelons régionaux, nationaux et européens. Elle agit dans trois
domaines précis.
2. Trois missions
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L'animation économique et l'information
Via sa publication mensuelle « La Lettre de la FNAEM » et l’extranet de son site
www.fnaem.fr, la FNAEM tient ses adhérents en permanence informés des évolutions des
réglementations fiscales, commerciales et économiques.
Elle représente les distributeurs au sein de l’IPEA (Institut d’Etude et de Promotion de
l’Ameublement), en charge des données statistiques du marché.
Par un cycle régulier de réunions, elle informe ses adhérents sur les principaux sujets
économico-juridiques qui les intéressent (publicité à la télévision, développement
durable…).
L'activité sociale et juridique
La Fédération négocie avec les partenaires sociaux la convention collective, les accords
salariaux, la politique de formation et tous les accords de branches nécessaires.
Ses adhérents disposent en outre de l'appui permanent d'un service juridique spécialisé en
droit social.
La représentation de la profession auprès de ses interlocuteurs principaux
Au plan local : la FNAEM encourage ses 32 Chambres régionales et départementales, qui
maillent la totalité du territoire national, à entretenir des relations régulières avec les
représentants de l'Administration (DGCCRF…), des collectivités locales et avec tous les
partenaires économiques, politiques et sociaux de la profession.
Au plan national : la FNAEM entretient des relations constantes avec les ministères
compétents (économie, finances, consommation, entreprise, développement durable,
emploi) et l'ensemble des administrations centrales ayant à connaître la profession.
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ANNEXES
ENSEIGNES ADHERENTES
PARTENAIRES FNAEM
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