Documents annexes à l`Etude de programmation
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PROJET DE CONSTRUCTION D’UNE CASERNE DE GENDARMERIE COMPOSEE DE DEUX UNITES Documents annexes à l’Etude de programmation Précisions sur l’expression des besoins COMMUNE DE SALBRIS 33, boulevard de la République - 41 300 SALBRIS Tél : 02.54.94.10.40 – Fax : 02.54.97.11.54. ANNEXE 1 – Chambre forte. Locaux de service FICHE CHAMBRE FORTE CF Locaux de service Chambre forte Bureau Cdt unité Surface (m²) Nbr unité Selon programme SU Selon programme Destination et usage Stockage des dossiers et matériels sensibles. La présente fiche technique a pour objet de préciser les prestations à imposer au concepteur des locaux de service. En annexe, figurent les schémas représentant les possibilités d'implantation. Conception spatiale et liaisons fonctionnelles SITUATION. La chambre forte est accessible uniquement du bureau du commandant de l'unité ou bureau du gradé supérieur adjoint dans les unités importantes. Elle ne doit pas faire saillie dans ce local ni dans la pièce contiguë si celle-ci est à usage de bureau. Par contre, elle peut faire saillie dans un local de stockage ou dans les sanitaires. Ces dispositions visent à l'intégrer le plus discrètement possible dans la structure du bâtiment. La porte d'accès doit être centrée sur le panneau de façade pour des raisons d'aménagement intérieur. L'ouverture sera réalisée de telle manière que la chambre forte bénéficie de l'éclairement naturel. Descriptif technique Données techniques : murs en béton armé de 0,15 m d'épaisseur minimum, planchers haut et bas en béton armé, parois intérieures lisses permettant l'application d'une peinture acrylique, aération (haute et basse, ne doivent pas donner à l'extérieur), local aveugle, Le bloc-porte : porte anti-effraction voir détail dans paragraphe “descriptif porte” ci-après. Alarme : Les chambres fortes sont à équiper d'un système d'alarme anti-intrusion et détection incendie (liaison local du planton). Râtelier d'armes : Doit permettre le stockage de tous les types d'armes en dotation dans l'unité. Le râtelier est solidaire des parois de la chambre forte, il est mis en place au cours de la construction selon les indications de l'officier affaires immobilières de la légion de gendarmerie départementale. Le câble qui enchaîne les armes doit être ancré en 1 point dans le mur de la chambre forte. Descriptif porte (2040 mm/830 mm). • Bâti en tôle d'acier 25/10ème, formé de 12 plis et destiné à recevoir des cloisons de 150 mm, avec réservation pour pêne de serrure 5 points par support acier 20/10ème pour éviter toutes coulures du béton. • 10 pattes à scellement en acier. • Barre de seuil soudée. • Porte en tôle acier 20/10ème, double parois, épaisseur 45 mm avec ossature intérieure composée de : - 1 oméga vertical 250 mm (pour renfort serrure), 4 omégas horizontaux 180 mm et 2 bouchons d'extrémité . • Remplissage entre paroi d'un matelas de laine de roche. • 4 paumelles type "Maroc", 140 mm sur butée à billes. • 3 antidégondages soudés côté paumelles. • 1 profil antipince extérieur de protection. • 1 plaque acier de 4 mm sur la face intérieure de la porte au droit de la serrure, servant de renfort et de calage. • 1 serrure "poussant" 5 points à tringlerie apparente, clefs cruciformes à bille flottante d'un modèle breveté interdisant la reproduction hormis chez le fabricant. • Tôle acier T.C finition époxy gris. Important - modalité de pose : • Le bloc-porte doit être scellé : - d'aplomb, de niveau - porte montée avec calage correspondant au jeu de 2 mm côté paumelles et 4 mm côté serrure. ANNEXE 2 – Pôle garde à vue. Nom du local : Fiche PGV A 1 ANNEXE LOCAL AUDITION page 1/1 Fonction du service : audition des personnes placées en garde à vue. Secteur fonctionnel : Pôle garde à vue. Situation dans le bâtiment : Accessible depuis le local fouilles-consignes quand il est présent sinon depuis une circulation. Surface (en m²) : 12 m² Nombre d'unité (s) : 1 HSP (m) : 2,50 Le local doit permettre l'audition d'une personne gardée à vue dans le cadre d’une enquête judiciaire sans l'extraire de la zone autonome sécurisée dénommée "pôle garde à vue". Les personnes présentes dans le local ne doivent pas être vues de l’extérieur. Le local est conçu pour éviter les tentatives de fuite, suicide et défenestration. Le local est accessible depuis un dégagement et contigu au local multifonction. Charges 250 daN/m² D'exploitation Hauteur sous plafond Confort thermique Acoustique 2,50 m Porte Bloc porte isophonique 40 dBA avec serrure et ferme porte 1 ventail, largeur : 0,83 m Électricité Revêtement de Carrelage U4P3 Informatique sol Soubassement dur et lessivable Revêtement (h = 1,20 m). téléphone mural Toile de verre peinte audessus 19°C avec ralenti pendant l'inoccupation. Aucun corps de chauffe apparent DnAT ≥ 45 dBA/ locaux adjacents Plafond et 40 dBA/circulation 0,5 s≤Tr≤0,8 s 1 prise domestique à proximité de la porte d'entrée 1 poste de travail réseau encastré Oui (compris dans le poste de travail) Peinture lessivable. les plafonds suspendus Réseau TV/FM Sans objet sont proscrits Eclairage artificiel 300 lux Ventilation Éclairage naturel Oui avec protection solaire extérieure selon exposition Climatisation Non Menuiserie extérieure Dispositif pour éviter les défenestrations. Équipements Sans objet Vitrage antivandalisme plomberie (classe P3A mini.) et sanitaires translucide 50 m3/h Réseau vidéo Équipements Divers Non 1 table plateau bois avec bancs opposés solidaires, le tout fixé au sol Bouton d'appel positionné sous le plateau de la table, inviolable avec report du signal au planton de la BT. Possibilité de déconnexion en cas d'utilisation abusive. C:\Documents and Settings\PORTABLE02\Bureau\Annexes Programme.doc Bloc A – Pôle garde à vue Chambres de sûreté A3 Audition A1 Fouille/ consigne B1 Confection repas B2 Multifonction A2 Sanitaires H/F B3 CHAMBRE DE SURETE Surface (m² SU) 7 Hauteur Sous plafond (m) 2,50 FICHE PGV.CS UNITE A3 Nbr Total unité (m²) 2 14 1. Emplacement. Partie intégrante des locaux de service et au même niveau : ³ à proximité de l'accès de service de l'unité et d'une salle de travail, ³ dissimulée par rapport à l'espace accueil du public et à l'accessibilité du bureau du commandant de l'unité, ³ protégée du dégagement par un sas de1,50 m minimum de profondeur sur toute la largeur des chambres, accessible par une baie libre de 1,50 m de large ³ accessible par un dégagement d'une largeur minimale de 1,20 m, ³ en façade postérieure de la construction. 2. Équipement d'environnement. ³ un point d'eau sur déversoir dans un placard entretien, ³ un placard vestiaire de chaque côté du sas (entre le mur du dégagement et le mur des chambres) sur une profondeur de 0,60 m.. 3. Aménagement intérieur (voir schémas paragraphes 6 et 7 ci-après). Données de base : éviter tout ce qui peut permettre à l'occupant de la chambre de sûreté : ³ de se mutiler ou de se suicider (aucune canalisation ne doit traverser les chambres de sûreté), ³ de se soustraire à la surveillance directe du personnel. Dimensions et surface minimales : 2,80 m x 2,50 m, soit une surface 7 m². Parois et planchers (haut et bas) : 0,15 m minimum d'épaisseur de béton armé, avec angles saillants arrondis (R : 0,05 m). Isolation : si réalisée par l'intérieur, la cloison de doublage est à prévoir en blocs de béton pleins d'une épaisseur de 0,10 m et enduit ciment lissé. Insonorisation : Les bruits venant des chambres de sûreté ne doivent pas être une source de nuisance pour les occupants des éventuels logements contigus ou à l'étage des locaux de service. Porte (annexe 2, paragraphe “descriptif porte chambre de sûreté” ci-après) : ³ Dimensions : 2,04 m x 0,83 m. ³ L'occupant de la chambre de sûreté ne doit pas pouvoir s'opposer à son ouverture, elle doit s'ouvrir impérativement vers l'extérieur. ³ Le personnel de l'unité doit voir toute la pièce dès l’entrebâillement de la porte (sens d'ouverture - à droite ou à gauche - à choisir judicieusement). ³ Les angles saillants de l’ébrasement de la porte seront arrondis (R : 0,05 m). ³ Elle doit répondre aux prescriptions énumérées au paragraphe “descriptif porte chambre de sûreté” ci-après. Bat-flanc (1 par chambre) : ³ dimensions habituelles 2 m x 0,70 m x 0,30 m de haut, ³ muret fermé surmonté d'une dalle en ciment à bord arrondis, (rayon 0,05 m y compris l'arête verticale) parements soignés. Matériel de literie : Néant au titre du marché (paillasse ignifugée à fournir par le corps). Orifice d'aération : ³ ventilation haute : la ventilation sera réalisée par l'intermédiaire d'un extracteur, (un par chambre ou une extraction centralisée). L'aspiration se fera à partir d'un orifice en plafond, non accessible à partir du bat-flanc, protégé en surface de la dalle haute des chambres de sûreté par deux plaques perforées avec trous en quinconce. ³ ventilation basse : réalisée par un jour de 2 cm environ entre le sol fini et la porte, ³ dans tous les cas de figure, l'orientation préférentielle sera une façade non exposée ou protégée du rayonnement solaire. Éclairement naturel : ³ La chambre doit toujours bénéficier d'un éclairement naturel (éviter le second jour). Il est réalisé par un panneau en béton translucide armé, posé au nu intérieur, composé de 2 rangées de 3 briques de verre. ³ En toute hypothèse, l'occupant ne doit pas pouvoir communiquer avec l'extérieur, les châssis, orifices et barreaux doivent rester hors de portée (partie haute, côté opposé au bat-flanc). 3 barreaux seront scellés dans l’appui de baie et dans la voussure entre le nu extérieur et le panneau de béton translucide. W-C : ³ une cuvette à la turque en acier inoxydable, d'une seule pièce emboutie, à alimentation horizontale (pas de queue de carpe), non dissimulée par une amorce de cloison, seuls les trois types énumérés en annexe 3/5 répondent aux exigences de la gendarmerie en matière de sécurité des personnes (annexe 2, fiche 3/5), ³ encastré et scellé dans une forme en béton préparée à l'avance pour épouser la forme de la cuvette (pas de trémie, dalle ferraillée), ³ les bords supérieurs du périmètre de l'appareil seront impérativement raccordés d'une façon jointive au sol fini et sans différence de niveau avec ce dernier, ³ relié au réseau général d'évacuation des eaux vannes (pas de tinette visitable), l'étanchéité sera soignée entre la dalle et la cuvette. Une pente générale de 1 % ramène les eaux de lavage vers l'évacuation, ³ avec effet d'eau, commandé de l'extérieur de la chambre. Chauffage : plancher chauffant assurant une température minimale de 14 °C. Éclairage : Lampe encastrée dans la paroi (au-dessus de la porte), accessible et commandée seulement de l'extérieur de la chambre, protégée par une brique de verre. Aucune cloison ni amorce de cloison dans la chambre. Peinture : parois et plafond parfaitement lissés (pour éviter les blessures) permettant de recevoir une peinture acrylique de propreté. Sol : chape ciment comprenant un adjuvant antipoussière ou revêtue d'une peinture à base de résine époxydique (le carrelage est rigoureusement proscrit). 4. Cuvette de WC à la turque antivandalisme avec alimentation intégrée. 1 - TYPE :"B linox" (54, route de Brignais – CD 42 – 69630 CHAPONOST - Tel : 04 78 56 33 33 - FAX / 04 78 56 17 51) Le W-C d'un encombrement de 700 x 700, sera livré prêt à sceller au sol, avec un tuyau d'arrivée des eaux d'un ∅ de 32 ext., de longueur 300 mm, ainsi qu'un orifice d'évacuation de ∅ 100. Il sera exempt d'arête coupante. 2 - TYPE :"SERINOX" (Route de St Marguerite . BP 70 - 63307 THIERS CEDEX - Tel : 04 73 80 22 01 - FAX / 04 73 80 72 85) Le W-C d'un encombrement de 700 x 700, sera livré prêt à sceller au sol, avec un tuyau d'arrivée des eaux d'un ∅ de 32 ext., de longueur 300 mm, ainsi qu'un orifice d'évacuation de ∅ 100 et de longueur 100 mm. Il sera exempt d'arête coupante. 3 - TYPE :"SENS TOLERIE" (ZI des Vauguillettes, 6 rues des Longues Raies - 89100 SENS - Tel : 03 86 65 47 24 – FAX / 03 86 95 17 88) Description : Cuvette à la turque en acier inoxydable 700 x 700 sans partie coupante, tube d'arrivée d'eau en inox, longueur 300 mm ∅ 32 mm, siphon d'évacuation ∅ 100 mm en inox. Préciser le sens d'évacuation par rapport à l'alimentation siphon soudé (référence produit : GE 001, WC turque, et GE 002, WC turque avec siphon inox). 4. Descriptif porte chambre de sûreté. • Bâti en tôle d'acier 25/10ème, formé de 12 plis et destiné à recevoir des cloisons de 150 mm, avec réservation pour pêne de serrure 5 points par support acier 20/10ème pour éviter toutes coulures du béton. • 10 pattes à scellement en acier. • Barre de seuil soudée. • Porte en tôle acier 20/10ème, double parois, épaisseur 45 mm avec ossature intérieure composée de : - 1 oméga vertical 250 mm (pour renfort serrure), - 4 omégas horizontaux 180 mm, - 2 bouchons d'extrémité, - 1 renfort pour judas central. • Remplissage entre paroi d'un matelas de laine de roche. • 4 paumelles type "Maroc", 140 mm sur butée à billes. • 3 antidégondages soudés côté paumelles. • 2 serrures type "santé" sur même variure avec gâche O.R.D soudée côté bâti ou d'une serrure multipoints (tringle d'une épaisseur minimum de 5 mm ou pêne rond) en applique extérieur (dans ce cas, prévoir une poignée tubulaire à l'extérieur). La fixation des serrures type “santé” est assurée par quatre boulons à tête ronde (côté intérieur), à écrous soudés (côté extérieur). • 1 judas optique 200° grande vision. • Un détalonnage de 20 mm est prévu en partie basse de la porte pour réaliser la ventilation basse. • Tôle acier T.C finition époxy gris. Important - modalité de pose : • Le bloc-porte doit être scellé : - d'aplomb, - de niveau, - porte montée avec calage correspondant au jeu de 2 mm côté paumelles et 4 mm côté serrure. Schéma de principe chambre de sûreté. DISTRIBUTION Chambre sûreté de 2,50 m dégagement Sas Placards de rangement 1 PERSPECTIVE Bouche d'extraction en plafond (Détail 3) Briques de verre (détail 2) Paillasse (2x0,70x0,30 (h) à bords arrondis VUES en PLAN Isolation par l'extérieur Isolation par l'intérieur (protégée par un mur plein de 0,10 m) 0.15m 0.15m Briques de verre Bouche d'extraction Paillasse Angle d'observation Commande de chasse judas optique grand angle 0.15m 5. 6. Schémas de détails de l'éclairage et de la ventilation. DETAILS Détail 2 - Eclairage naturel Surface d'éclairement 0, 2166 m² (2 rangées de 3 briques) Barreaudage Détail 1 - Eclairage artificiel Armatures Briques de verre Ventilation haute Fixation Brique de verre (0,19 x0,19 x 0,08) Réflecteur Ventilation basse Dégagement Chambre Détail 3 - Ventilation par extraction Extracteur Comble Dalle haute Chambre Plaques perforées (trous en quinconce) ANNEXE 3 – Coffret arme de poing. Entrée logement logement Placard Coffret arme de poing COFFRET ARME DE POING FICHE FT 3 UNITE CAP Destination et usage Rangement de l'arme de service . Situation - Référence - Divers SITUATION. Prévoir l'installation à l'intérieur du placard du hall d'entrée du logement (ou placard le plus proche du hall) qui est luimême équipé d'une serrure à clef. REFERENCES. ● Circulaire n° 1945 DEF/GEND/OE/RE du 19 juillet 1993 (Class : 96-34) – paragraphe 1- 11 – 111 page 2. ● Dossier plans n° 2004001 du 24/03/2004 transmis à DGGN/PM/IE/BEQ sous BE n° 334/2 CTGN/SCM/SERE/BAL du 24 mars 2004. DIVERS. Le coffret de sécurité doit être réalisé et mis en place au titre du marché de construction. Descriptif technique ● ● Le coffret sera réalisé conformément aux plans détaillés ci-après. Il sera scellé par vis, Ø 6 mm minimum, à têtes rondes ou bombées et serrées avec des rondelles plates, les chevilles seront appropriées au mur support qui sera de préférence un mur plein (structure, refend). Désignation indice modif. 2003 2003 2003 2003 2003 2003 0090 0100 0110 0120 0130 0140 Plan Charnière piano 20 mm DOSSIER REFERENCE N° 2003 0085 Ce plan est la propriété de la Gendarmerie Nationale et ne peut être reproduit ou communiqué sans son autorisation Coffret de sécurité pour pistolet automatique 9mm Assemblage FINITION MATIERE Nom PROTECTION MTU BERTHIAS CENTRE TECHNIQUE DE LA GENDARMERIE NATIONALE Service Central des Matériels Fond du coffret Couvercle du coffret Logement chargeurs P.A. Logement U.C.P.A. Tablette chargeurs FAMAS Axe de pontet Date Dessiné 26/11/03 24/03/04 Vérifié Echelle 1 2 3 4 5 6 Repères Anneau brisé O 15 Chainette 4 5 Serrure contacteur cylindrique à 2 contacts - angle de rotation 180° Patte acier 5,2x2,3x0,2 Soudure par point 6 2 3 Fond feutre noir collé 1 (1) 2 7,60 DOSSIER REFERENCE (1) N° 2003 0090 Ce plan est la propriété de la Gendarmerie Nationale et ne peut être reproduit ou communiqué sans son autorisation TOLERANCE +- 0,5GENERALE indice modif. ACIER Désignation Matière Nombre FINITION MATIERE Nom PROTECTION MTU TÔLE ACIER PEINTURE RAL 9001 20/10 BERTHIAS CENTRE TECHNIQUE DE LA GENDARMERIE NATIONALE Service Central des Matériels Coffret de sécurité pour pistolet automatique 9mm FOND DU COFFRET Pièce 1 RAYON DE PLIAGE INTERIEUR MINI Soudure TIG Goujon soudé M6x20 Soudure par point Date Dessiné 26/11/03 24/03/04 Vérifié Echelle Côtes en cm Repères 3 2 1 3 3 3,50 (1) 15,20 (1) (1) 0,60 34,50 27,50 (1) 8,50 1,60 13,00 3,00 20,60 (1) (1) (1) 3 3 Soudure TIG 0,80 Oblong 20x17 A 8,00 0,15 0,20 0,27 Ø0,25 1,60 ACIER COUVERCLE DU COFFRET Coffret de sécurité pour pistolet automatique 9mm Pièce 2 2 Matière Nombre FINITION PROTECTION PEINTURE RAL 9001 CENTRE TECHNIQUE DE LA GENDARMERIE NATIONALE Service Central des Matériels Désignation MATIERE Nom MTU TÔLE ACIER 20/10 BERTHIAS DOSSIER REFERENCE N° 2003 0100 Ce plan est la propriété de la Gendarmerie Nationale et ne peut être reproduit ou communiqué sans son autorisation TOLERANCE GENERALE +- 0,5 indice modif. Date Dessiné 26/11/03 24/03/04 Vérifié Echelle Côtes en cm Soudure TIG 1,00 RAYON DE PLIAGE INTERIEUR MINI PONTE - TÔLE 15/10 A 6,00 Repères 17,40 1,60 2,00 Repère A A 35,20 20,50 Date 26/11/03 MATIERE Acier 12/10 FINITION PROTECTION PEINTURE RAL 9001 7,00 1,12 TOLERANCE GENERALE +- 0,5 DOSSIER REFERENCE N° 2003 0110 Ce plan est la propriété de la Gendarmerie Nationale et ne peut être reproduit ou communiqué sans son autorisation Pièce 3 LOGEMENT CHARGEURS P.A. Coffret de sécurité pour pistolet automatique 9mm CENTRE TECHNIQUE DE LA GENDARMERIE NATIONALE Service Central des Matériels 1,12 indice modif. Nom MTU BERTHIAS 1,00 24/03/04 Vérifié Echelle Côtes en cm Dessiné 4,50 Bord à l'anglaise 5,50 4,70 1,70 34,10 Ø 0,25 Ø 0,25 2,00 TOLERANCE +- 0,5GENERALE DOSSIER REFERENCE N° 2003 0130 Ce plan est la propriété de la Gendarmerie Nationale et ne peut être reproduit ou communiqué sans son autorisation TABLETTE CHARGEURS FAMAS Pièce 5 FINITION Nom MATIERE PROTECTION MTU Acier 12/10 PEINTURE RAL 9001 BERTHIAS CENTRE TECHNIQUE LA GENDARMERIE Service DE Central des Matériels NATIONALE Coffret de sécurité pour pistolet automatique 9mm 0,42 indice modif. Date Dessiné 26/11/03 24/03/04 Vérifié Echelle Côtes en cm 1,70 6,60 M6 Ø2, 07 3,50 6,00 0,20 0,30 0,80 Date Nom Dessiné 26/11/03 MTU Vérifié 24/03/04 BERTHIAS Echele Côtesencm MATIERE FINITION PROTECTION PA6NOIR CENTRETECHNIQUEDELAGENDARMERIENATIONALE ServiceCentraldesMatériels Coffretdesécuritépourpistoletautomatique9mm indicemodif. AXEDUPONTETP.A. Pièce6 CeplanestlapropriétédelaGendarmerieNationaleetnepeutêtrereproduitoucommuniquésanssonautorisation TOLERANCEGENERALE + -0,5 DOSSIERREFERENCE N° 20030140 COFFRE • Le coffre mis en place sera le modèle de référence 820 de chez Bricard ou similaire et de qualité équivalente. Annexe 4 – local radio brigade territoriale. FICHE LR.B Module accueil Module accueil LOCAL RADIO Local radio Accueil Planton Surface (m² SU) 18 (2x9) Hauteur Sous plafond (m) 2,50 Nbr Total unité (m²) 1 18 Destination et usage Le local est destiné à recevoir l'ensemble des moyens de transmissions. Il doit permettre la répartition et la gestion des réseaux téléphonique et informatique. Conception spatiale et liaisons fonctionnelles SUPERFICIE. local, d'une superficie totale de 18 m², est réalisé en deux parties séparées par une cloison et une porte, une partie technique de 9 m² et une partie exploitation de 9 m². SITUATION. fait partie intégrante du module accueil. Il doit obligatoirement être réalisé à proximité du local planton. Il ne sera accessible que depuis ce dernier ou par l'intermédiaire d'un dégagement s'il se trouve en contiguïté du local planton. Lorsque le planton travail dans la partie "exploitation", il doit pouvoir contrôler d'une par la zone accueil et d'autre part les accès de la caserne (portail et portillon). La partie technique ne sera accessible que depuis le local exploitation. Le cheminement du réseau informatique entre le local technique et le poste de travail informatique le plus éloigné ne devant pas dépasser 90 mètres, il est donc nécessaire de prendre en compte cet élément pour déterminer l'emplacement du module accueil dans le bâtiment. Descriptif technique Pièces jointes. CAHIERS TECHNIQUES (paragraphes en fin d'annexe) : ● des recommandations de pose et d'installation des réseaux locaux à hauts débits, ● des spécifications techniques des matériels pour l'installation des réseaux locaux à hauts débits, 1.1 Descriptif technique local et éléments extérieurs s'y rapportant. ENVELOPPES. ● Cloisons lourdes dimensionnées pour se prémunir de toutes dégradations et permettre l'accrochage de matériels (même principe de cloisonnement que les bureaux). ● La cloison de séparation avec le planton recevra sur toute sa longueur un châssis fixe vitré avec un vitrage retardateur à l'effraction de classe P3 minimum, sur allège pleine de 1,10 m. SOL. Même revêtement que les bureaux. ACCES : ● Accès local radio : ◘ porte de 0,80 m de passage, ◘ serrure à cylindre sur organigramme identique à celle des bureaux, ◘ le panneau de hauteur de la porte sera vitré (vitrage résistant au vandalisme de classe P3 minimum) et le panneau d'appui sera plein. ● Accès partie technique : ◘ porte pleine de 0,80 m de passage, ◘ munie d'un ferme porte, ◘ serrure à pêne dormant avec cylindre à bouton (bouton côté partie technique), ◘ ouverture vers partie technique, ◘ détalonnage (prise d'air) de 2 cm minimum, en fonction des besoins d'entrée d'air demandés par la VMC, ◘ l'huisserie sera placée à 20 cm minimum du mur perpendiculaire. VENTILATION. ● Assurée par ventilation mécanique contrôlée deux parties. ● Prise d'air sur l'intérieur par détalonnage de la porte. ÉCLAIRAGE. ● Éclairage artificiel uniquement (pas d'ouverture sur l'extérieur). ● Partie technique : réalisé par un hublot en plafond. ● Partie exploitation : éclairage identique à celle d'un bureau. ÉQUIPEMENT. ● Partie exploitation : ◘ Ameublement : ▪ Plan de travail de 0,80 m de profondeur placé à 0,72 m du sol, il sera mis en place sur au moins deux murs perpendiculaire dont celui ou se trouve le châssis vitré. ◘ Électricité : ▪ Goulotte de 60 x 160 mm, à deux compartiments et couvercles indépendants (un courant faible et un courant fort), au-dessus du plan de travail et à 0,90 m du sol permettant la mise en place des prise ci-dessous : • 1 poste de travail informatique comprenant 6 prises (indépendantes des prises ci-dessous détaillées) 220 V 10/16 A 2 P + T dont 3 sauvegardées(1) et 3 secourues(2), 2 prises RJ 45. les prises seront placées contre le mur de séparation avec la partie technique. • 7 prises 220 V 10/16 A 2 P + T secourues(2). ▪ 1 prise 220 V 10/16 A 2 P + T encastrée, placée en partie basse près de la porte d'accès pour le branchement du matériel d'entretien. ● Partie technique : ◘ Électricité : ▪ Goulotte de 60 x 160 mm, à deux compartiments et couvercles indépendants (un courant faible et un courant fort), sur toute la périphérie du local et à 0,90 m du sol permettant la mise en place des prise ci-dessous : • 1 prise RJ 45 (téléphone). • 6 prises 220 V 10/16 A 2 P + T sauvegardées(1). • 3 prises 220 V 10/16 A 2 P + T secourues(2). ◘ Conduits câblés : ▪ Arrivée des réseaux composants les postes de travail informatique (informatique téléphonique, électricité sauvegardée…). ▪ Liaison entre la partie technique et la platine de rue ci-dessous décrite. Le conduit sera équipé de 2 câbles avec écrans 5 paires 6/10ème. ▪ Liaison téléphone de service entre la partie technique, les logements et l'hébergement des gendarmes adjoints volontaires. Les prises et les conduits seront équipés de câble téléphonique avec écran 4 paires 6/10ème. ▪ Liaison téléappel de service entre la partie technique, les logements et l'hébergement des gendarmes adjoints volontaires. Les conduits seront équipés de câble téléphonique avec écran 5 paires 6/10ème. ▪ Liaison report d'alarme entre la partie technique et la (ou les ) chambre forte et les locaux pour lesquels une liaison d'alarme est spécifiée dans sa fiche technique (ou colonne "caractéristiques" de la fiche d'expression des besoins générale). Les conduits seront équipés de câble en fonction de l'alarme mis en place. Le tableau de commande des alarmes ainsi que la ou le sirènes seront placés dans la partie exploitation. ▪ Alimentation gâche électrique du portillon d'accès public. Celle-ci sera commandé depuis le planton le câble passera par la goulotte courant faible. Le conduit câblés peut arriver directement au niveau du planton sans passer par le local technique. ◘ Réservations : ▪ Prévoir en plafond une réservation Ø 100 pour le passage du câble d'antenne. Elle sera placée à l'aplomb du mur de séparation avec la partie exploitation et de l'emplacement du poste de travail de la partie exploitation (voir schéma de principe). Le cheminement du câble se fera par goulotte en partie verticale et sur chemin de câble en partie horizontale et les passages de dalles par fourreau Ø 100. ▪ Fourreau entre les deux parties pour le passage des câbles au niveau des goulottes et à l'aplomb de la réservation pour le passage du câble d'antenne. ▪ Fourreaux aiguillés pour : • l'arrivée de la tête de ligne France Télécom (le fourreau ne devra pas comporter de raccord entre le local et la chambre de tirage). ◘ Matériels de secours à mettre en place au titre du marché: ▪ Onduleur : un onduleur sera mis e place au titre du marché. Sa puissance sera déterminée en fonction du bilan de puissance déterminé en fonction du réseau sauvegardé (ensemble des unités de la résidence) qui comprend : • 2 prises 220 V 10/16 A 2 P + T par poste de travail informatique des divers bureaux, • les 3 prises 220 V 10/16 A 2 P + T du poste de travail informatique de la partie exploitation (§ ci-dessus), • les 6 prises 220 V 10/16 A 2 P + T de la partie technique (§ ci-dessus), • les prises du local transmissions de la compagnie (cf. FT n° 4bis). ▪ Groupe électrogène : un groupe électrogène sera mis en place au titre du marché. Sa puissance sera déterminée en fonction du bilan de puissance de l'ensemble des réseaux à secourir détaillé au paragraphe suivant : (1) sauvegardée = protégée par onduleur. (2) secourue = protégé uniquement par groupe électrogène. RESEAUX A SECOURIR POUR L'ENSEMBLE DES UNITES DE LA RESIDENCE. ● L'onduleur. ● Prises de courant : ◘ Les prises secourues (220 V 10/16 A 2 P + T) des parties exploitation (7 prises) et technique (3 prises) – cf. § ci-dessus, ◘ les 3 prises 220 V 10/16 A 2 P + T du poste de travail informatique de la partie exploitation (§ ci-dessus), ◘ et le cas échéant, les prises secourues (220 V 10/16 A 2 P + T) des locaux radio des autres unités de la résidence. ● Points lumineux : Un point lumineux dans tous les bureaux, de l'accueil, du planton, des deux parties du local radio, des couloirs de circulation et des locaux du pôle garde à vue (idem pour les autres unités de la résidence). ELEMENTS EXTERIEURS. ● Pylône radioélectrique : ◘ Principe : A) L'installation d'un mât haubané sur l'immeuble (toiture du bâtiment des locaux de service dans la plupart des cas) constitue la règle générale en matière d'installation des moyens aériens de transmissions. La fourniture et la pose sont à la charge de la gendarmerie. Les points d'ancrage de ce support seront réalisés au titre du marché de construction selon les caractéristiques figurant au paragraphe "Schéma types ancrages pylônes radioélectriques (BALMET)" ciaprès. B) Si pour des raisons techniques liées aux télécommunications (contraintes radioélectriques…), l'installation d'un pylône autoportant s'impose, le coût de cette opération est à la charge de la gendarmerie. C) Dans tous les autres cas où l'option du pylône autoportant est retenue, son installation demeure à la charge du maître d'ouvrage. En cas de nécessité de recourir à l'édification d'un pylône autoportant, il conviendra de s'assurer de l'obtention des autorisations nécessaires. En outre, les travaux relatifs aux réservations, canalisations, fondations, devront être inclus dans le gros œuvre et respecteront les caractéristiques détaillées dans la fiche technique "PYLÔNE AUTOPORTANT" ci-après. A cet effet, il est indispensable que le dossier soit étudié en concertation entre le service des affaires immobilières et celui chargé des télécommunications et de l'informatique au sein du groupement concerné. ◘ Accessibilité : Pour des raisons de sécurité, l'accessibilité au pylône se fera par l'intermédiaire d'une fenêtre de toit indépendante de l'exutoire de fumées. Elle sera placée dans un rayon de 2 à 5 m de l'embase du pylône. Une ligne de vie sera mise en place entre la base du pylône et la fenêtre de toit. NOTA : Les câbles sont décrits dans les cahiers techniques (§ ci-après). ● Platine de rue téléphonique "AMPHITEC" - mise en place réalisée par la gendarmerie : Prévoir la confection d'une protection contre les intempéries enrobant la platine de rue à positionner suivant la configuration de l'espace d'accueil de la brigade. ◘ Ce portier prendra place soit dans une niche d'encastrement aménagée dans le mur d'enceinte, soit sur un pilier support du portillon d'entrée du public. Pour l'intégration de ce portier, il faut prévoir l'arrivée du fourreau d'alimentation équipé de 2 câbles avec écrans 5 paires 6/10ème, au fond de la niche (cf. plan côté de la platine de rue ci-après). ◘ Cette niche d'encastrement ou cette protection devra être aménagée aux dimensions supérieures à l'encombrement de la platine de rue présentée, pour les besoins de la maintenance. ◘ DESSERTE DES BATIMENTS FAMILLES ET HEBERGEMENT - ÉQUIPEMENT DE L'ENTREE D'UN LOGEMENT ET DE L'HEBERGEMENT DES GENDARMES ADJOINTS VOLONTAIRES: ● Principe de desserte des bâtiments familles et hébergements : ◘ La liaison entre le bâtiment de service et les bâtiment familles et hébergement se fera pour chaque réseau (téléphone, téléappel,…) par un câble, suffisamment dimensionné en fonction du nombre de logements, sous fourreau conformément aux prescriptions détaillées dans les cahiers techniques ci-après. ◘ À l'intérieur du bâtiment les fourreaux passeront dans une gaine technique spécifique gendarmerie, qui sera juxtaposée aux autres gaines, d'un minimum de 50 cm de large pour 40 cm de profondeur (mise en place de répartiteur, etc.). ◘ Un fourreau câblé entre la gaine technique et l'entrée du logement (voir paragraphe ci-dessous). ● Équipement de l'entrée d'un logement : ◘ A 30 cm du sol : un conduit câblé (câble téléphonique avec écran 04 paires 6/10ème) équipé d’une prise téléphonique de service, en cas de duplex, prévoir également une prise dans le couloir de distribution de l'étage. ◘ A 1m50 du sol, un conduit équipé d’un câble téléappel (câble téléphonique avec écran 05 paires 6/10ème). L'utilisation de déport radio nécessite l'absence de tout autre appareil dans un rayon de 30 cm autour de ce conduit. ◘ Un fourreau aiguillée, en réserve, arrivant sur une boîte encastrée pour appareillage avec couvercle. ● Équipement de l'entrée d'un hébergement gendarme adjoint volontaire : ◘ A 30 cm du sol : un conduit câblé (câble téléphonique avec écran 04 paires 6/10ème) équipé d’une prise téléphonique de service, ◘ A 1m50 du sol, un conduit équipé d’un câble téléappel (câble téléphonique avec écran 05 paires 6/10ème). L'utilisation de déport radio nécessite l'absence de tout autre appareil dans un rayon de 30 cm autour de ce conduit. PLAN DE LA PLATINE DE RUE "AMPHITEC". Épaisseur de la tôle : 1,5 mm Les six trous de fixation de la face présente un diamètre de 3 mm avec filetage ISO. Par construction, le support du portier actuel est constitué de deux pièces emboîtées et soudées. SCHEMA DE PRINCIPE DU LOCAL RADIO. Dans le cas d'une unité sise au sein d'une compagnie, un des côtés verra sa longueur portée à 3 mètres. Arrivée desRZO... téléphone, 3 fourreaux 3 Châssis accueil Module vitré Cahier des clauses techniques particulières du mât haubané. PREAMBULE. Cahier établi par la Direction Générale de la Gendarmerie Nationale, Service des Plans et Moyens, Sous-Direction des Télécommunications et de l’Informatique, Bureau de la Télécommunication et de la Télématique, Section Segment radio. Pour tous renseignements complémentaires, contacter : Le service télécommunication et informatique de la région de gendarmerie à laquelle l'unité est rattachée. ● CASERNE BRIGADE TERRITORIALE ◘ Local radio : Voir descriptif dans les paragraphes de la présente fiche technique. ◘ Support d'aériens: L'installation d'un mât haubané sur l'immeuble (toiture du bâtiment des locaux de service dans la plupart des cas) constitue la règle générale en matière d'installation des moyens aériens de transmissions. La fourniture et la pose sont à la charge de la gendarmerie (voir paragraphe "ELEMENTS EXTERIEURS" de la présente fiche technique). Les points d'ancrage de ce support seront réalisés au titre du marché de construction selon les caractéristiques figurant au paragraphe "Schéma types ancrages pylônes radioélectriques (balmet)" ci-après. SUPPORT D'EMBASE POUR MAT VIDEO 10 cm 4 cm 25 cm 25 cm Sens de traction des haubans A B Rayon de 80 à 100 mm ANCRAGE HAUBANS Fer plein de 20 à 25 mm Fer plein, diamètre 12 à 14 mm ANCRAGE HAUBANS A : Modèle adapté aux grands pylônes permettant la juxtaposition et le réglage de plusieurs tendeurs et le réglage de plusieurs tendeurs orientés dans le même sens de traction des haubans. B : Modèle réservé à l’ancrage des haubans pour mâts de moins de 20 mètres de hauteur. ● Contraintes appliquées à chaque point d’ancrage, par élément de 4 mètres installé : ◘ Réaction verticale pondérée : 170 kg, ◘ Réaction horizontale pondérée : 130 kg, ◘ Réaction totale soumise : 300 kg, ◘ Réaction verticale pondérée appliquée au pied du pylône, par élément de 4 mètres : 220 kg. ● ● ● ● ● ● Le tube renforcé à l’embase du mât doit avoir un diamètre extérieur maximum de 40 mm pour permettre l’emboîtement du pied de mât. Ce tube support (en fer plein) doit dépasser la plaque d’acier ou le dé porteur en béton d’au moins 100 mm. Chaque point d’encrage (modèle courant B) doit être confectionné à partir d’un acier de 12 à 14 mm de diamètre, en tenant compte d’une part de la résistance mécanique nécessaire suivant l’aérien retenu, et d’autre part du passage de l’anneau de fixation du tendeur pour hauban, limité à 14,2 mm. Pour les ancrages renforcés (modèle A), l’utilisation d’une manille pour l’attache des haubans, permet l’emploi d’un acier de section supérieure (20 à 25 mm). Quelque soit la solution retenue, le support d’aérien sera muni d’un paratonnerre avec une descente de cuivre de 30 x 2 mm (cf. groupement). Dans tous les cas, il est indispensable que le dossier soit étudié en concertation entre le service des affaires immobilières et celui chargé des télécommunications et de l'informatique au sein du groupement concerné. Accessibilité : Pour des raisons de sécurité, l'accessibilité au pylône se fera par l'intermédiaire d'une fenêtre de toit indépendante de l'exutoire de fumées. Elle sera placée dans un rayon de 2 à 5 m de l'embase du pylône. Une ligne de vie sera mise en place entre la base du pylône et la fenêtre de toit. Cahier des recommandations de pose et d'installation des réseaux locaux à hauts débits. PREAMBULE. Cahier établi par la Direction Générale de la Gendarmerie Nationale, Service des Plans et Moyens, Sous-Direction des Télécommunications et de l’Informatique, Bureau de la Télécommunication et de la Télématique, Section Segments Filaires. Pour tous renseignements complémentaires, contacter : Le service télécommunication et informatique de la région de gendarmerie à la quelle l'unité est rattachée. Le présent document a pour objet de définir les règles de câblage à appliquer pour la réalisation d’un réseau local. Il s’appuie sur les documents normatifs listés au paragraphe suivant. DOCUMENTS NORMATIFS. ● • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • norme européenne EN 50173 – caractéristiques des systèmes génériques de câblage, norme européenne EN 50174 – règles d’ installation, norme européenne CEI 801-2, CEI 801-3, CEI 801-4, norme européenne IEE 802-3, IEE 802-3u, IEE 802-3z, IEE 802.5j, norme ISO/CEI 11801 relative aux technologies de l’information – câblage générique des locaux, norme EN 55022 relative aux perturbations radio-électriques, norme EN 188202 – IEC 60 793-2, norme EN 188201 – IEC 60 793-2 , norme EN 188101 – IEC 60 793-2 , norme EN 50265 2.1 non propagation de la flamme, norme EN 50266 non propagation de l’incendie, norme EN 50200 résistance au feu, norme EN 50268 normes d’émission de fumées, norme EN 50267 2.1, 2.2 normes d’émission de gaz toxiques et corrosifs, norme ISO 8877, IEC 603-7 banalisation de la connectique, norme ISO/IEC 11801 Generic Cabling for Customer Premises, normes ISO- SC25/WG3, ISO 8877, ISO 10173 normes CENELEC – HD608 – spécifications de câbles normes AFNOR NFC 93530, NFC 93531 norme C 11.000 relative aux conditions techniques auxquelles doivent satisfaire les distributions d’énergie électrique. norme C 91.100 et additifs relatifs aux perturbations radioélectricité norme C 12.200 et additifs relatifs à la protection des travailleurs dans les établissements qui mettent en œuvre des courants électriques. norme C15.100 et additifs relatifs aux règles d’exécution et d’entretien des installations de la catégorie. norme C15.111 relative au passage de canalisation électrique dans les espaces aménagés dans les parois des édifices. norme C 20.010 relative au degré de protection du matériel électrique. norme C51.100 relative aux règles ensembles et éléments préfabriqués. ● AVERTISSEMENTS. Les règles définies dans le présent document doivent être appliquées lors de la réalisation de tout câblage de sites. La partie électrique est traitée au cahier des suggestions énergie et protection. PRINCIPES GENERAUX A RESPECTER. ● DEFINITION. Câbler un bâtiment ou un site gendarmerie consiste à doter ceux-ci d’un réseau de câble et de la connectique associée pour permettre à ses occupants actuels ou futurs de connecter en tous lieux, d’une part n’importe quels types de matériels informatiques ou de télécommunications disponibles sur le marché d’autre part éventuellement des équipements participant à la gestion administrative et technique du bâtiment ou de sa sécurité. ● CARACTERISTIQUES PRINCIPALES DU CABLAGE. Le câblage doit être simultanément : • Systématique, Des prises sont disponibles dans chaque bureau ou équivalent bureau pour permettre le raccordement des postes de travail ou leur déplacement sans avoir à rajouter de câbles ; • Reconfigurable, Les configurations et les reconfigurations topologiques (organisation des liaisons entre les matériels) à réaliser suivant les réseaux doivent pouvoir être effectuées de manière rapide, économique et sans modification structurelle du câblage ; • Banalisé, Les câbles de distributions, les prises sur lesquels ils aboutissent, et leur convention de raccordement doivent être identiques en tout point du bâtiment quelles que soient les topologies et les types de réseaux devant être supportés • Universel , L’infrastructure idéale est adaptable à tous les matériels réseaux (voix, données, images) les plus fréquemment rencontrés. Pour ce faire, ses composants câble, connectique etc.…, doivent avoir des performances de transmission au moins égales ou supérieures aux différentes normes mondiales. Note : les normes relatives aux réseaux locaux évoluant plus vite que les normes concernant les câblages, il y a lieu d’intégrer les exigences de performance requises pour la couche infrastructure des réseaux hauts débits. (Réseau 100 mgbts - ou Gigabites ). ORGANISATION DU CABLAGE. ● REGLES GENERALES DU CABLAGE. Un précâblage universel et banalisé doit supporter tout type d’application selon toutes les topologies possibles. Un précâblage structuré se compose de tout ou partie des sous-ensembles suivants. Celui-ci reprend la terminologie de la norme ; la correspondance avec le vocabulaire retenu est la suivante : • LTS : Local Technique de Site. C’est un local technique de bâtiment particulier correspondant au répartiteur de site qui peut être fusionné avec le local de bâtiment, • LTB : Local Technique de Bâtiment correspond au Répartiteur Général RG, • LTE : Local Technique d’Etage correspond au Sous-Répartiteur SR, • P : Point de connexion composé de prises ISO 8877 (RJ 45) ou optiques (SC ou ST) (1), • Câblage primaire de site = câblage du réseau fédérateur de site, • Câblage primaire rocades = Câblage du réseau fédérateur de bâtiment, • Câblage horizontal = Câblage du réseau de distribution. NB : l’équipement terminal peut être aussi un téléphone ou un autre dispositif raccordé au câblage. De même, la prise RJ 45 peut être remplacée par une prise optique de type SC ou ST ou MT-RJ. Représenté dans un immeuble, le câblage est constitué du raccordement en étoile de prises (RJ 45) ou optiques (SC ou ST), connectés à des locaux techniques d’étages (LTE), eux-mêmes interconnectés entre eux à un local technique de bâtiment (LTB) par des rocades. Le poste de travail peut être un micro ordinateur, un téléphone ou tout autre dispositif raccordé au câblage. De même les prises RJ 45 peuvent être remplacées par une prise optique de type SC ou ST ou MTRJ. NB :La configuration d’un poste de travail est composé (sauf spécifications particulières) de 2 RJ45 et 6 prises électriques dont 2 prises secteur détrompées (sauvegardée) et 4 prises non détrompées permettant de fournir un courant électrique non ondulé pour des équipements du style écran, imprimante, … (1) Le point de connexion doit aussi être composé d’au moins 3 prises secteur détrompées permettant de fournir un courant électrique ondulé ou non aux équipements d’extrémité. Il est souhaitable que la disposition des prises secteur et la fourniture de l’alimentation électrique des équipements soient traitées en harmonie avec l’installation du câblage. ● CABLAGE DE DISTRIBUTION. Le câblage des liaisons individuelles (prises) sera toujours réalisé en étoile autour d’un local technique d’étage ou de bâtiment (LTE ou LTB). Ce dernier est situé au plus près du milieu de la zone à distribuer pour minimiser le coût des câbles et surtout réduire la longueur des liaisons (90 mètres) jusqu’aux prises de raccordement des équipements d’extrémité (micro-ordinateurs, téléphone, imprimante, lecteur de badge …). Les composants du câblage de distribution sont les suivants : • Prises type ISO 8877 (RJ 45) adaptables, • Prises optiques de type SC, ST ou MT-RJ, • Câbles 8 paires pour les liaisons banalisées (4 paires par prise RJ45, 100 Ohms) (2), • Câbles optiques multimodes pour répondre à des besoins spécifiques, • Câbles optiques monomodes pour répondre à des besoins spécifiques dans des cas bien identifiés, • Composants de connexion au LTE identifié en bleu (notamment de type module sur ferme de brassage, éventuellement de type panneau de brassage). • Chemins de câbles et accessoires adaptés, goulottes et accessoires adaptés, • Locaux techniques d’étage (LTE). Les normes ISO/CEI 11801 et EN 50173 fixent la longueur maximale de la liaison de distribution à 100 mètres (90 mètres + 2x5 mètres de cordons). Chacun des éléments composant le câblage de distribution sera conforme au corpus normatif cité au préambule , ainsi qu'au cahier des spécifications techniques des matériels pour l'installation des réseaux locaux à hauts débits. ● CABLAGE FEDERATEUR DU BATIMENT. Pour réaliser l'interconnexion des différents répartiteurs situés à l'intérieur d'un bâtiment, le câblage fédérateur sera fait par de la fibre optique multimode. Des câbles multipaires 100 Ohms pourront compléter le dispositif pour permettre la mise en œuvre d’applications téléphoniques, vidéo ou autres de type sécurité, gestion technique ou administrative du bâtiment. Ces câbles assurent d’une part, l’interconnexion des LTE entre eux pour véhiculer les informations, et d’autre part l’interconnexion directe avec les LTB. Ceci peut induire un double cheminement des câbles réseau fédérateur de bâtiment de nature à pallier la rupture d’un câble. Le dimensionnement du réseau fédérateur de bâtiment sera adapté en fonction de chaque cas concret. En cas de besoin particulier (exemple : la téléphonie ), en plus des câbles optiques, des câbles multipaires (de capacité 32, 64, 128 paires …) pourront être ajoutés. Les composants du câblage fédérateur de bâtiment peuvent être : • câble fibres optiques multimodes à gradient d’indice 9/125, 62,5/125µ ou 50/125µ, (au minimum 6 brins), • câble cuivre d'un minimum de 32 paires (100 Ohms, écranté par faisceau de 4 paires). • composant de connexion identifié en vert pour les locaux techniques LTE ou LTB (notamment de type panneau de brassage pour l’informatique, éventuellement de type module sur ferme de brassage), • chemin de câbles, • locaux techniques de bâtiment (LTB). Chacun des éléments composant le câblage fédérateur du bâtiment sera conforme au corpus normatif cité au préambule, ainsi qu'au cahier des spécifications techniques des matériels pour l'installation des réseaux locaux à hauts débits. ● CABLAGE FEDERATEUR DE SITE. Pour réaliser l'interconnexion des répartiteurs de bâtiments, le câblage du réseau fédérateur d’emprise sera fait au moyen de câbles optiques composés de fibres optiques multimodes ou monomodes. Des câbles multipaires 100 Ohms pourront compléter le dispositif pour permettre la mise en œuvre d’applications téléphoniques, vidéo, autre de type sécurité, gestion technique ou gestion administrative de bâtiment. Ces câbles assurent d’une part l’interconnexion des LTB entre eux pour véhiculer les informations, et d’autre part l’interconnexion directe avec le LTS. Ceci induit un cheminement des câbles du réseau fédérateur d’emprise de type maillage de nature à pallier une rupture de câble. Le dimensionnement du réseau fédérateur d’emprise sera adapté en fonction de chaques cas concret. En cas de besoin particulier (exemple la téléphonie), en plus des câbles optiques, des câbles multipaires (de capacité 32, 34 ou 128 paires …) de caractéristiques électriques similaires à celles des câbles individuels 4 paires pourront être ajoutés. Les composants du câblage fédérateur d’emprise peuvent être : • câble multipaires 100 Ohms (à utiliser exceptionnellement pour l’informatique). Sont autorisés (pour les capacités 32, 64 ou 128 paires écrantées) pour les applications téléphoniques, vidéo ou autre de type sécurité, gestion technique ou administrative du bâtiment, (2) Lorsque la limite de la norme applicable au câble cuivre sera dépassée, il conviendra d’installer un câble optique multimode (monomode sur contrainte spécifique) en remplacement du câble cuivre. • câble fibres optiques extérieure multimode à gradient d’indice 9/125, 50/125 et 62,5/125µ , (6, 12 ou 24 brins ou d’un nombre de fibres approchant offert par un câble standard au catalogue d’un fournisseur), • composants de connexion aux locaux techniques LTB ou LTC (composant identifié en vert notamment de type panneau de brassage pour l’informatique, éventuellement de type module identifié en vert sur ferme de brassage pour d’autre usage en particulier pour la téléphonie), • raccordement du bâtiment au réseau de canalisations multitubulaires par 4 Ø 55/60 minimum PRINCIPALES REGLES D'INGENIERIE ET COMPOSANTES. ● CAS DES LOCAUX TECHNIQUES. Le local devra être éloigné d’au moins 3 mètres des principales sources parasites (transformateurs, onduleurs, ascenseurs, …). Les locaux techniques devront correspondre aux caractéristiques prévues dans les normes de réalisation (Éclairage, plancher technique, porte d’accès, etc.), voir paragraphe "descriptif technique local et éléments s'y rapportant" de la fiche technique 'local radio" ou "local technique" concernée. ● REPARTITION. L'ensemble des matériels décrits ci-après devra répondre au cahier des spécifications techniques des matériels pour l'installation des réseaux locaux à hauts débits. Chaque répartiteur devra posséder une disponibilité d'au moins 30%. ◘ Connectique de brassage Le brassage devra être réalisé de façon esthétique et de manipulation aisée. ◘ Panneaux de brassage «cuivre » RJ 45 Intégrés dans les baies 19 pouces, les panneaux de brassage informatique «cuivre » reçoivent les embases ISO 8877 (RJ 45), à raison d’une par extrémité d’élément de câble (une prise ISO 8877 pour chaque groupe de 4 paires). Une attention toute particulière sera portée à l’identification et aux repérages des extrémités (cf. paragraphe «repérage et identification»). Le raccordement du câble 8 paires sur chaque bloc de prise est réalisé en assurant un dégainage (écran) le plus court possible sur 50 mm maximum et un détorsadage inférieur à 13 mm. ◘ Panneaux de brassage «optique » SC ou ST Intégrés dans les baies 19 pouces, les panneaux de brassage «optique » reçoivent les connecteurs d’extrémités de type SC ou ST. Le raccordement vers les équipements est réalisé au moyen de «jarretières» optiques. Elles doivent disposer d’un rayon de courbure de 30 mm au maximum et d’une endurance mécanique de 1000 connexions – déconnexions. De type SC ou ST, les jarretières optiques seront duplex en cas d’utilisation de fibre optique multimode. Pour être exploitables, les connecteurs optiques doivent être montés sur des supports permettant de lover les fibres et de les protéger contre les contraintes mécaniques. Les têtes de câble permettant l’épanouissement du câble et le raccordement des fiches seront réalisées dans des tiroirs adaptés. L’atténuation apportée par un connecteur optique devra être inférieure à 0,5 dB et 0,3 dB. ◘ Brassage par ferme Dans le cas d’application ne requérant pas un brassage par RJ 45, l’installation de châssis de répartition (ferme) utilisant un brassage par module pourra être effectuée à proximité immédiate des baies ou des produits actifs spécifiques. Les cordons de brassage 100 ou 120 Ohms catégories 5E minimum pour ferme devront être entièrement compatibles avec les caractéristiques du système de brassage par module retenu. ● CODIFICATION FONCTIONNELLE, REPERAGE. Les composants de connexion (panneau de brassage ou ferme) sont repérés par une couleur identifiant les fonctions qu‘ils remplissent . Remarque : Ce repère sera le composant lui-même avec une étiquette. Type de raccordement Couleur Raccordement des postes de travail Bleu Raccordement des rocades entre LTE, LTB, LTC Vert Raccordement des sources (informatiques, téléphoniques…) Jaune Raccordement des systèmes de gestion technique du bâtiment ou de sécurité rouge Toutes les prises et tous les composants de connexion doivent porter une identification clairement lisible, et permettant une correspondance sans équivoque entre prise et composant de connexion. Les règles d’étiquetage sont définies au paragraphe «repérage et identification». ● LE CABLAGE. Le système de câblage sera toujours réalisé à partir de composants conformes au minimum à la catégorie 5E (câbles cuivre de type 100 Ohms écranté). Des câbles composés de fibres optiques multimode ou monomode compléteront le système de câblage. Tous les câbles seront repérés individuellement à chaque extrémité. La convention de câblage sera effectuée suivant la norme en vigueur. Le code couleur de la famille des câbles utilisés par une même emprise doit être homogène (divers codes de couleurs existent sur le marché). ● POINT DE CONNEXION. Les accès au réseau sont réalisés dans chaque pièce par des «points de connexion» regroupant un ensemble de 2 prises (RJ 45) ou optiques et des prises secteur. Ceux-ci sont disposés en mural sur des murs ou cloisons fixes à l’exclusion de toute cloison mobile ou sur des perches adaptées, le cheminement des câbles étant effectué en goulotte à l’intérieur de la pièce ou dans la perche. L’installation des prises secteur fait partie du "cahier des spécifications techniques des matériels pour l'installation des réseaux locaux à hauts débits". Sauf spécifications particulières, il convient de prévoir 6 prises secteur dont 2 sauvegardées (onduleur) pour 2 prises RJ 45. Règle : Chaque pièce comprend en règle générale 1 poste de travail pour 6 m2. Pour une pièce de 12 m², 2 points de connexions sont préconisés. Les prises informatiques seront étiquetées conformément au plan de numérotation explicité au paragraphe «repérage et identification». La convention de branchement sur les panneaux de brassage et des prises terminales doit être identique, suivant la norme en vigueur. Les prises seront repérées individuellement par une étiquette (cf. paragraphe repérage et identification). ◘ Adaptation à la prise ISO 8877 (RJ 45) Cette possibilité de duplication permet de raccorder ponctuellement un nombre de terminaux plus important qu’initialement prévu. Le partage des liaisons implique d’utiliser un câble présentant d’excellentes caractéristiques en diaphonie. ◘ Longueur maximale des câbles Le câble utilisé pour un câblage doit être conforme à la catégorie 5E au minimum. La longueur du câble de distribution entre la prise terminale et le brassage est limitée à 90 m. ● MISE EN ŒUVRE DES COMPOSANTS. ◘ Support des câbles. ▪ Dans les parties communes. Les chemins de câbles supportent les câbles reliant les postes de travail aux répartiteurs les câbles rocades (cuivre et optique) de liaison inter-répartiteurs d’une part, les câbles reliant les armoires électriques et les prises de courant d’autre part. Ils sont situés : en colonne montante, dans les faux plafonds des couloirs et de certains bureaux, dans les galeries ou planchers techniques. L’organisation des chemins de câbles sera conçue de sorte que les câbles de transmission de données, qu’ils contiennent, soient à l’abri des principales sources de pollution électromagnétique. Dans les zones à fort rayonnement électromagnétique le chemin de câbles courant faible sera muni d’un couvercle plein et relié directement à la terre électrique (réseau de masses). Lorsque les chemins de câbles suivent un parcours parallèle, sur le même plan horizontal ou vertical, à celui des câbles d’alimentation électrique, ils seront séparés par une distance de 30 cm. Il sera tenté de réserver un côté du couloir aux câbles de transmissions de données et l’autre aux câbles électriques. Par ailleurs, la distance chemins de câbles/tubes fluorescents sera de 50 cm au moins, en particulier si les tubes fluorescents sont équipés de starters. Les chemins de câbles seront munis à espacements pertinents d’une étiquette avertissant de leur spécificité, ce afin de les garantir contre l’adjonction de conducteurs de nature «non compatible» avec leur affectation. ▪ Dans les bureaux. La solution idéale est de faire aboutir aux postes de travail, les câbles de transports de données et les câbles d’énergie par des cheminements nettement différents (plafond et plinthe ou goulotte installée sur des murs opposés). Dans le cas où l’on ne saurait éviter le côtoiement entre les courants forts et les courants faibles, les règles d’éloignement définies pour les cheminements dans les couloirs seront respectées. Les conduits «PVC» en encastré sont proscrits. Dans tous les cas de figure, les séparations entre courants forts et faibles devront être les suivantes : Longueur de cheminement supérieur à 5 mètres : écartement minimum = 50 cm, comprise entre 2,5 m et 5 m : écartement minimum = 5 cm, inférieure à 2,5 mètres : écartement minimum = 3 cm. Tolérances de cheminement contigu par séparation de 30 cm. Les goulottes utilisées devront impérativement être munies de compartiments et couvercles indépendants afin de respecter les contraintes mentionnées ci-dessus. Les créations de chemins de câbles et des goulottes se feront en préservant le mieux possible l’esthétique du site. ▪ Pose et cheminement des supports de câble. De façon générale l’ensemble de la distribution s’effectuera par des chemins de câbles auto-portants réservés et repérés pour la distribution informatique dans les colonnes montants, dans les galeries techniques ainsi que dans les couloirs de chaque niveau. Les chemins de câbles seront fixés sur les parois à l’aide d’équerres. La distribution depuis les chemins de câbles est faite en respectant les contraintes d’éloignement avec les courants forts. De façon générale les supports de câbles seront dimensionnés afin de préserver 30 % de réserve. L’équipotentialité des éléments de chemins de câbles sera assurée conformément à la norme NFC-15-100. ◘ Recommandations d'installation fibre optique. Les recommandations données ici pour l’installation et la préparation des câbles optiques sont similaires aux procédures habituellement utilisées pour les câbles coaxiaux ou les câbles téléphoniques. Cependant, certains aspects critiques concernant les câbles optiques sont à traiter avec plus de détails. Les forces exercées sur la fibre lors de son installation sont toujours beaucoup plus grandes que toutes autres forces que l’on rencontrera dans la vie du câble une fois installée. Ainsi, des rayons de courbures inférieurs au rayon de courbure de l’installation, devront à tout prix être évités, ainsi que les forces de tension supérieures aux tensions maximales d’installation. De même pour les forces de traction qui sont plus grandes que la force compressive. Voici quelques exemples qui permettent de démontrer les différentes étapes à suivre lors du routage d’une fibreoptique et de son installation, afin de s’assurer d’une opération sans ennui. Si un problème spécial se produit, il est impératif d’en informer le maître d’ouvrage ou son représentant. Les accidents causés à une fibre-optique pendant l’installation sont quelques fois irréversibles (les réparations coûtent chères et prennent du temps). ▪ Cheminement extérieur. Lors de l’installation du câble dans une canalisation souterraine, il faut graisser le câble de manière à minimiser les frictions. Il faut éviter, de toute manière, les petits rayons de courbure à l’aide de rouleaux adaptés. Les intervenants doivent être sensibilisés à la fragilité de l’ouvrage. Lorsque l’on extrait un câble d’une tranchée et qu’on le dépose à côté pour continuer l’installation, il faudra le ranger en forme de 8 afin d’éliminer les nœuds et les torsions. Il sera ainsi beaucoup plus facile de récupérer ce câble en 8 pour continuer le tirage. Le rayon minimal de courbure à l’installation ne devra jamais être dépassé. Pour contourner un angle acéré, il faudra s’y prendre avec beaucoup d’attention. En cas de tirage de la fibre à travers des canalisations plus longues que 50 mètres, des précautions particulières devront être prises en fonction de la nature de la fibre. Lorsque l’on tire une fibre optique, il est recommandé d’utiliser un outil de traction du type maillage autoserrant, ce qui répartit la force de traction sur une très grande partie du câble et, de ce fait, diminue les pressions localisées. Lorsqu’on ne dispose pas de tels outils, le câble optique peut être fixé au câble tracteur (l’aiguille) sur une section de 50 cm de long avec un ruban adhésif. Dans une boîte de jonction, la fibre optique devra avoir un rayon de courbure le plus grand possible (22 mm au minimum). Une réserve de 10 mètres de câble fibre optique est nécessaire à chaque extrémité. La fibre optique pourra ainsi être stockée sous le faux plancher ou dans une tranchée voisine. Cette réserve permettra de pouvoir déplacer les équipements de transmission. Afin d’éviter les coins abrupts (par exemple, l’entrée d’une fibre optique dans une pièce à partir de l’extérieur), on peut rajouter une boîte de jonction qui permettra d’augmenter le rayon de courbure. Des marquages clairs sur le câble fibre optique tout au long du parcours sont nécessaires afin de mieux le repérer lors de maintenance ou de modification. ◘ Méthodes de raccordement. ▪ Raccordement des modules dans les fermes. La connexion des câbles 8 paires s’effectue toujours sur les contacts supérieurs des modules. Le repérage des modules s’effectue toujours de gauche à droite, et sans laisser d’emplacements libres. ▪ Dégainage et raccordement d’écran. Du point de vue de la compatibilité électromagnétique, un câble est dit «étanche » s’il est écranté et ne laisse pas pénétrer l’énergie parasite extérieure. Cette pénétration d’énergie peut se faire à travers le blindage, par les épissures et la connectique. Pour le blindage, on définit son efficacité par la notion d’impédance de transfert. Le câble est d’autant plus étanche que son impédance de transfert est faible. Pour la connectique, il y a pénétration d’énergie incidente par ouverture due à l’absence de blindage tubulaire même s’il est prolongé par le fil de continuité. Comme l’impédance de transfert ne peut être aussi basse que souhaitable et que de toute façon son effet est hypothéqué par la connectique, il faut apporter un soin particulier à la pose du câble et à son raccordement. Au niveau de la baie de brassage, le câble doit être épanoui au plus près du bloc sur lequel il doit être raccordé. La gaine et l’écran sont coupés à ce niveau là et le fil de continuité d’écran, qui est fixé sur le dispositif de raccordement avec une longueur aussi courte que possible et ne dépassant pas 3 cm. Au niveau du point d’accès, la gaine et l’écran sont maintenus au plus près des points de connexion de la prise terminale. Le fil de continuité d’écran est raccordé sur le plot qui lui est réservé. En liaison entre bâtiment : si l’équipotentialité des terres est assurée, l’écran est raccordé à la terre aux deux extrémités. s’il n’y a pas d'équipotentialité, l’écran est raccordé à la terre côté répartiteur de départ et laissé isolé, accessible, côté bâtiment distant. Au niveau du raccordement de brassage, le pas de torsade doit être conservé au plus près du point de raccordement (13mm). ● REPERAGE ET IDENTIFICATION. Le repérage est fondamental pour une exploitation efficace du précâblage. Il ne peut être considéré comme opérationnel tant que l’étiquetage n’est pas complètement réalisé. ◘ Identification dans les locaux techniques. Les locaux de répartition constituent le principal composant d’un précâblage ; ils doivent être identifiés en premier. Exemple d’identification d’un local de répartition : Le local de répartition du bâtiment 1, rez-de-chaussée, est désigné de la façon suivante : Local de répartition LTB (LTE ou LTS) 01 00 rez-de-chaussée bâtiment ◘ Identification des répartiteurs. Les répartiteurs doivent être identifiés et leur nom doit être noté sur une étiquette placée sur la partie haute visible du répartiteur ou de la baie. Le numéro du répartiteur sera défini à partir du répartiteur de site par un numéro de 1 à X, en partant dans le sens des aiguilles d'une montre (le numéro 00 étant attribué au répartiteur de site). Les sous répartiteurs seront identifiés par rapport au répartiteur général du bâtiment en partant de la gauche vers la droite. Exemple d’identification : d’un sous répartiteur d'étage : 01 00 03 02 sous-répartiteur n°2 répartiteur n°3 (00 répartiteur de site) rez-de-chaussée bâtiment ◘ Identification des rocades. Chaque rocade (connectique de couleur verte) est identifiée par un porte étiquette sur lequel on spécifie le tenant et l'aboutissant. Exemple d’identification : d’une rocade entre sous répartiteur : ROC numéro du sous répartiteur d'arrivée numéro du sous répartiteur de départ numéro du répartiteur de bâtiment Rocade d’une rocade entre répartiteurs de bâtiment : ROC 01 02 numéro du répartiteur général d'arrivée numéro du répartiteur général de départ Rocade ◘ Identification des modules ou prises de répartition. On procède ici par une identification par demi module ou prise. Le numéro des pièces est défini en partant du répartiteur (d'étage, de bâtiment) dans le sens des aiguilles d'une montre. Le numéro des postes de travail est établi par rapport à la porte principale d'entrée dans une pièce et de la gauche vers la droite. 01 00 15 01A poste de travail 01A pièce n°15 rez-de-chaussée bâtiment n°1 ◘ Identification du poste de travail. Chaque poste de travail possède une étiquette fixée solidement, indiquant le demi module ou la prise du répartiteur auquel il est rattaché. 00 15 01A poste de travail 01A pièce n°15 étage du répartiteur ● 01 02 03 VERIFICATION – RECETTE TECHNIQUE ◘ Vérification du câblage. La recette technique est l’opération qui permet de garantir à l’utilisateur final (maître d’ouvrage, responsable informatique) que l’installation répond à l’expression initiale du besoin en respectant la norme. La recette technique est à réaliser de préférence par un organisme indépendant (bureau de contrôle) des parties impliquées dans la réalisation. Lors de l’étape de validation, le contrôle porte sur la totalité des prises. Un dossier de recette devra être impérativement remis par l'installateur. Par ailleurs, l'administration se réserve le droit d'effectuer une contre recette technique par prélèvement. Les éléments constituant du dossier de recette sont décrit ci-après. Les contrôles portent sur les différents points suivants : ▪ Examen de l’installation. Cet examen a pour objet de s’assurer que l’installation a été réalisée suivant les spécifications techniques. Les points suivants sont contrôlés : la documentation de la fourniture (plan, chemin de câbles, dossier de mesure), la distribution des câbles (emplacement par rapport aux sources parasites, protection électromagnétique), la terre informatique (indépendance, continuité), les locaux techniques (accès, superficie, ventilations), la pose physique des câbles (fixation mécanique, rayon de courbure), le repérage des prises par rapport aux répartiteurs, l’application de la norme de compatibilité électromagnétique EN 55022, la vérification de l’origine des composants et la conformité aux EN 50173 et EN 50174. ▪ Tests statiques sur le câble cuivre et optique Les tests ont pour objet de s’assurer que les connexions électriques du câblage sont réalisées correctement et que les câbles n’ont pas été endommagés durant la pose : l’isolement entre les conducteurs est correct, la continuité de chaque conducteur est obtenue, l’ordre de connexion des conducteurs est conforme aux spécifications (appairage, spécification de raccordement de type BCS), les longueurs des liaisons ne dépassent pas les valeurs imposées par la norme (90 m maxi) pour l’informatique, ▪ - Tests dynamiques sur le câble cuivre et optique Il est demandé d'effectuer à l’aide d’un testeur de câblage, jusqu'à 150 Mhz au minimum pour les câbles cuivre, et d'un réflectomètre, à 850 et 1300 Nm, pour la fibre optique, le contrôle de chaque liaison. Ces tests ont pour but de s’assurer que : l’atténuation mesurée en ligne est cohérente avec les valeurs imposées par la norme par rapport à la longueur de la ligne, les valeurs de paradiaphonie entre deux paires d’un même câble sont inférieures à la limite définies par la norme, et ce dans les 2 sens de transmission, le rapport signal à bruit est satisfaisant, le bruit induit dans le câble par l’environnement électromagnétique est de niveau inférieur à la norme, les valeurs de la réflectométrie pour chaque fibre sont inférieures à la limite définies par la norme. Cahier des spécifications techniques des matériels pour l'installation des réseaux locaux à hauts débits. PREAMBULE. Cahier établi par la Direction Générale de la Gendarmerie Nationale, Service des Plans et Moyens, Sous-Direction des Télécommunications et de l’Informatique, Bureau de la Télécommunication et de la Télématique, Section Segments Filaires. Pour tous renseignements complémentaires, contacter : Le service télécommunication et informatique de la région de gendarmerie à la quelle l'unité est rattachée. EQUIPEMENTS POUR LE CHEMINEMENT DES CABLES ET L'ACCUEIL DES CONNEXIONS. ● CHEMIN DE CABLES. Les chemins de câbles et leurs accessoires satisferont aux caractéristiques suivantes : ◘ être de type acier et fils d’acier soudés ou tôle d’acier perforée ; ◘ être d’une longueur maximum de 3 mètres ; ◘ les bordures auront une hauteur minimum de 60 mm ; ◘ en 2 longueurs (minimum 150 mm et minimum 300 mm) ; ◘ l’équipement en couvercle n’est pas obligatoire ; ◘ ils devront être reliés à la terre, ◘ la continuité électrique devra être assurée tout au long du chemin de câble, ◘ réaliser un maillage électrique entre tous ces chemins de câble aussi souvent que possible de façon à obtenir un réseau équipotentiel de masse. ● ACCESSOIRES DE MONTAGE MOSAÏQUE. ◘ kits d’assemblage ; ◘ systèmes de fixation au plafond ; ◘ systèmes de fixation au sol ; ◘ systèmes de fixation au mur ; ◘ couvercles ; ◘ accessoires assurant la continuité de masse. ● PROFILES DE BUREAU. Les profilés et leurs accessoires satisferont aux caractéristiques suivantes : ◘ être en P.V.C. avec un classement au feu M1 ; ◘ avoir un système de pose simple ; ◘ avoir un système de séparation des fluides par compartiments (limité à 3) ; ◘ en 2 largeurs (largeur minimum 100 mm et largeur minimum de 160 mm) ; ◘ profondeur minimum de 60 mm ; ◘ pouvoir être posé en plinthe ou en allège ; ◘ pouvant accepter des appareillages 45x45 mm avec un espace réservé pour le cheminement des câbles ; ◘ être de couleur blanche, ◘ accessoires (angles plats, intérieurs, extérieurs, tés de dérivation dans leurs différentes configurations, joints de couvercles, embouts et couvercles) ; ◘ avoir une bonne tenue et résistance en torsion. ● ACCESSOIRES DE MONTAGE MOSAÏQUE. Les accessoires de montage sont entièrement compatibles avec le profilé de bureau décrit au paragraphe précédent. Ils satisferont aux caractéristiques suivantes : ◘ posséder peu d’accessoires de pose ; ◘ être d’un montage et démontage simples et robustes ; ◘ accepter des appareillages 45x45 mm ; ◘ être de couleur blanche ; ◘ les plastrons seront plats afin d’accepter des adaptateurs 50x50 mm sur l’appareillage 45x45 mm ; ◘ les plastrons seront prédécoupés suivant deux formats : ▪ un poste pour accueillir un appareillage 45x 45 mm ; ▪ deux postes, bien séparés, pour accueillir deux appareillages 45x 45 mm. ● BOITIERS DE CONNEXION. Les boîtiers de connexion satisferont aux caractéristiques suivantes : ◘ fixation murale ; ◘ posséder peu d’accessoires de pose ; ◘ les plastrons devront être d’un montage et démontage simple et robuste ; ◘ accepter deux appareillages 45x45 mm pour réseaux hauts débits type RJ45 ; ◘ la face avant du boîtier devra être plate afin d’accepter éventuellement des adaptateurs 50x50 mm sur l’appareillage 45x45 mm ; ◘ l’alimentation en câble du boîtier devra pouvoir s’effectuer par le haut, l’arrière, le bas, la droite et la gauche ; ◘ être de couleur blanche. CABLE CUIVRE POUR LE CABLAGE DES INSTALLATIONS INTERIEURES ET DE TRANSMISSIONS DE DONNEES A HAUTS DEBITS. Les câbles décrits ci-après doivent répondre au minimum à la catégorie 5E . ● CABLES A 4 PAIRES. Le câble 4 paires est constitué de : ◘ conducteur en cuivre rouge massif de diamètre nominal 0,5 mm, ◘ isolation en polyéthylène massif ou cellulaire, ◘ ruban de protection en matière synthétique, ◘ écran général constitué d’un ruban aluminium polyester (alu intérieur), ◘ filin de déchirement, ◘ gaine de protection en matériau sans halogène. Code couleur des fils dans chaque paire : ● Fil a Fil b Paire 1 Bleu Blanc/bleu Paire 2 Orange Blanc/orange Paire 3 Vert Blanc/vert Paire 4 Marron Blanc/marron Principales caractéristiques du câble : ◘ comportement au feu en conformité avec la norme CEI 60332-3C, ◘ avoir une impédance de 100 Ohms. CABLES A 8 PAIRES. Le câble 8 paires est constitué de deux faisceaux de 4 paires suivant les descriptions du paragraphe précédent et gainés en matériau sans halogène de façon à obtenir une structure de type divisex. Exigences de transmission minimales : FREQUENCE Mhz 1 4 10 16 20 31,25 62 ,5 100 ● AFFAIBLISSEMENT Maximum DB/km 2,1 4,3 6,6 8,2 9,2 11,8 17,1 22 - PARADIAPHONIE Minimum DB 65,3 56,3 50,3 47,2 45,8 42,9 38,4 35,3 CABLES A 32 PAIRES. Le câble 32 paires est constitué de huit faisceaux de 4 paires écrantées. Chaque faisceau est constitué de : ◘ conducteur en cuivre rouge massif de diamètre nominal 0,5 mm, ◘ isolation en polyéthylène massif ou cellulaire, ◘ ruban de protection en matière synthétique, ◘ écran général constitué d’un ruban aluminium polyester (alu intérieur) ◘ filin de déchirement, ◘ gaine de protection en matériau sans halogène. ACR Minimum DB/100m 63,2 52 43,7 39 36,6 31,1 21,3 13,3 - CABLAGE EN FIBRE OPTIQUE. ● FIBRES OPTIQUE. La fibre optique sera multimode de 6, 12, 24 brins, à gradient d’indice, le cœur de la fibre aura une taille de 50, tandis que la gaine sera de 125 microns. Elle sera utilisable en 2 longueurs d’onde définies comme suit : ATTENUATION BANDE PASSANTE Maximum Minimum nm dB/km Mhz/km 850 <=3,5dB/km >=600MHz.km 1300 <=1dB/km >=1200MHz.km La fibre optique sera multimode de 6, 12, 24 brins, à gradient d’indice, le cœur de la fibre aura une taille de 62,5, tandis que la gaine sera de 125 microns. Elle sera en 2 longueurs d’onde définies comme suit : LONGUEUR D’ONDE LONGUEUR D’ONDE nm 850 1300 ATTENUATION Maximum dB/km <=3,5dB/km <=1dB/km BANDE PASSANTE Minimum Mhz/km >=200MHz.km >=500MHz.km La gaine 900 µm enveloppant la fibre sera à structure serrée à double couche, une couche primaire et une gaine externe à LS0H (Low Smoke Zero Halogen). Le rayon de courbure sera au maximum de 15 cm. Utilisation : Intérieur ou extérieur, pose en chemin de câble ou en conduite. ● CONNECTEURS. Les connecteurs seront de type ST et SC pour raccordement sur la fibre définie supra et une conception à contact physique offrant une perte moyenne de 0,2 dB. Ils pourront être de type ST/ST, ST/SC, SC/SC, MT-RJ/SC, MT-RJ/ST et MT-RJ/MT-RJ. ● RACCORDEMENT DES CONNECTEURS. Les coffrets muraux devront pouvoir se fixer indépendamment de tous racks, fermes, châssis de répartition ou baies 19 pouces. Les panneaux d’interconnexion devront pouvoir accepter, au minimum, 6 connecteurs, correspondant au paragraphe 32, avec une possibilité de 6 autres connexions, ou éventuellement des panneaux de 24 connecteurs. Les coupleurs « multimode » seront de type ST/ST. ● CORDONS DE BRASSAGE OPTIQUE. Les jarretières optiques seront : ◘ réalisées avec des connecteurs ST, SC, MT-RJ ; ◘ proposées en plusieurs longueurs de 1, 2, 3 ou 5 mètres ; ◘ disponibles en diamètre de cœur 9/125, 50/125 et 62/125 µm ; ◘ constituées de deux brins optiques. BAIES, FERMES, CHASSIS ET RACKS POUR LA REPARTITION. ● BAIES. Le titulaire doit fournir des baies devant répondre aux contraintes d’installation de système de câblage, d’intégration de matériels actifs et satisfaire aux caractéristique suivantes : ◘ être disponibles en différentes hauteurs 18, 24, 30, 36 et 42 U, ◘ avoir une profondeur minimale de 600 mm, ◘ avoir une largeur comprise entre 550 mm et 1000 mm et se décliner en deux largeurs : 600 mm x 600 mm et 800 mm x 600 mm, ◘ posséder une ossature compacte permettant une accessibilité maximale (panneaux latéraux amovibles), ◘ permettre le passage de câbles sur les côtés, ◘ posséder de série une tresse de masse, ◘ posséder de série un système d’alimentation électrique de type rampe 6 ou 7 pc avec disjoncteur vigi 30mA pour les matériels qui y seront intégrés, ◘ permettre le contrôle visuel permanent des matériels, ◘ être munies d’une poignée escamotable et d’un système de fermeture à clé, ◘ et pouvoir recevoir les accessoires jugés utiles compatibles. ● ● ● FERMES. Le titulaire doit fournir des fermes adaptables sur des racks 19 pouces. Elles sont équipées : ◘ d’une poutre en aluminium fixée par des équerres réglables, ◘ de rails en aluminium, ◘ de goulotte d’une section minimale de 160x200 mm, ◘ de peigne de passage du câble au pas de 16 mm, ◘ de serres-câbles réglables, ◘ d’anneaux métalliques pour passage et repérage des jarretières, ◘ d’anneaux diviseurs de flux, ◘ de tresses de masse et visserie, ◘ éventuellement, un capot à porte pleine, ◘ d’une capacité de 900 paires. CHASSIS. Ils sont composés : ◘ de deux fermes répondant aux caractéristiques du paragraphe 41 ; ◘ d’un capot amovible à porte pleine, ou transparente ; ◘ d’une capacité minimum de 256 paires, jusqu’à 700 paires. RACKS. Les racks au format 19’’ doivent pouvoir accueillir : ◘ les tiroirs fibres optiques, ◘ les panneaux pouvant accueillir des prises RJ 45, ◘ les étagères pouvant intégrer des matériels actifs, ◘ les châssis pour montage des modules, ◘ les rampes 6 ou 7 PC avec disjoncteur différentiel 30mA format 19 pouces avec système de fixation horizontal ou vertical, ◘ les rampes 8 ou 9 PC format 19 pouces avec interrupteur avec système de fixation horizontal ou vertical. ● COFFRETS AU FORMAT 19 POUCES. Les coffrets au format 19 « doivent répondre aux caractéristiques suivantes : ◘ être disponibles en différentes hauteurs, 12, 15, et 18 U, ◘ avoir une profondeur minimum de 550 mm, ◘ avoir une largeur minimum de 550 mm, ◘ posséder un système simple de fixation au mur, ◘ avoir une ouverture haute et basse pour l’arrivée des câbles, ◘ être munis d’une poignée escamotable et d’un système de fermeture à clé, ◘ posséder une ossature compacte permettant une accessibilité maximale (panneaux latéraux amovibles ou châssis pivotant), ◘ posséder de série une tresse de masse, ◘ posséder de série un système d’alimentation électrique de type rampe 6 ou 7 PC avec disjonction vigi 30mA pour les matériels actifs qui y seront intégrés, ◘ permettre le contrôle visuel permanent des matériels ● COFFRETS MURAUX POUR FIBRE OPTIQUE. Les coffrets au format 19 « doivent répondre aux caractéristiques suivantes : ◘ être indépendant de tous racks, fermes, châssis de répartition ou baies, ◘ posséder un système d’épanouissement et de protection des fibres optiques, ◘ pouvoir accueillir au minimum 6 coupleurs multi modes de type ST/ST et SC/SC. MODULES DE CONNEXION. ● MODULES. Le matériel doit être entièrement compatible avec les fermes ou châssis de répartition décrits aux paragraphes ci-dessus. Les modules sont de 8 paires, à contact auto-dénudants (CAD) à coupures, à fourches, protégés, équipés de canaux passe fils en paires, à connexion rapide des écrans du câble sur 240° et d’un système d’étiquette latérale pour le repérage des postes. Ces modules doivent présenter les caractéristiques en atténuation ≤ à 0,4 dB, en diaphonie ≥ à 40 dB et un affaiblissement de réflexion (Return Loss) ≤ à 14 dB. Ils sont capables de recevoir en face avant des jarretières, des cordons à circuit imprimé et à verrouillage, et être entièrement compatibles avec le câble retenu pour la distribution. Ils sont sous quatre couleurs : bleu, jaune, vert et rouge. Des modules porte-étiquette faciale seront proposés pour la signalisation des différents éléments implantés sur le répartiteur. CONNECTIQUES TERMINALES. ● PRISES TERMINALES. Les prises répondent aux caractéristiques suivantes : ◘ posséder un noyau central acceptant des plastrons, avec porte étiquette, de différentes couleurs (bleu, jaune, vert et rouge) ; ◘ être proposées en versions écrantées ; ◘ pouvoir accepter des adaptateurs ; ◘ être câblées en 4 paires sur contacts auto-dénudants suivant la convention EIA/TIA 568A ou EIA/TIA 568B ; ◘ être d’un format 45 x 45mm. CORDONS DE BRASSAGE. Les cordons décrits ci-après doivent répondre au minimum à la catégorie 5E. Les différents cordons sont compatibles avec les modules de connexion et répondent à la norme 100 ohms. ● CORDONS A VERROUILLAGE. Les cordons de brassage sont proposés en deux version : avec écran et sans écran, accrochables, déverrouillables avec détrompeur repéré. Ils sont fournis en longueurs comprises entre 1,00 m et 3,50 m. ● CORDONS A CIRCUIT IMPRIME. Les cordons de brassage à circuit imprimé sont : ◘ simple face, ◘ proposés en quatre versions : une paire sans écran, une paire avec écran, deux paires sans écran et deux paires avec écran, ◘ fournis en longueurs comprises entre 1,00 m et 3,50 m. ● CORDONS POUR PANNEAUX ET POSTES DE TRAVAIL. Ces cordons proposés en 100 Ohms, réalisés à partir d’un câble FTP 4 paires écranté, équipé à chaque extrémité d’une prise RJ 45 mâle blindée et surmoulée, assurent la continuité de masse et sont compatibles avec la prise terminale décrite au paragraphe 3.2.1.4. Proposés en quatre longueurs différentes c’est-à-dire en 2, 3, 5 et 10 mètres, ils sont câblés suivant les conventions EIA/TIA 568 A ou EIA/TIA 568 B. Ils sont disponibles en plusieurs couleurs et notamment en rouge, vert, bleu, blanc/ivoire, jaune et gris avec des accessoires de repérage, ou de bagues de couleur (panel de plusieurs couleurs). OUTILLAGE. Le titulaire proposera un outil CAD multifonction compatible aux produits proposés. ANNEXE 5 – Hébergement individuel des gendarmes adjoints. Zone logements Zone logements HEBERGEMENT INDIVIDUEL Bâtiment Hébergements individuels Bâtiment(s) Logements familles Surface (m² SU) 24 Hauteur Sous plafond (m) 2,50 FICHE HI Nbr Total unité (m²) 3 72 Note liminaire L'hébergement des gendarmes adjoints sera intégré à la zone"vie" des familles en caserne. En cas de construction mixte abritant à la fois les logements familiaux des sous-officiers et l'hébergement individuel des gendarmes adjoints, cette deuxième fonction sera regroupée dans une partie du bâtiment et disposera d'un accès autonome (cage d'escalier indépendante par exemple). La réalisation d'un bâtiment isolé entièrement dévolu à l'hébergement des gendarmes adjoints sera privilégiée. L'hébergement individuel sera réalisé en fonction de la nature du projet, selon deux solutions : Dans le cadre d'un projet de reconstruction globale, d'une construction en extension ou d'une réhabilitation d'un bâtiment existant le module aura une surface de 24 m², dite "solution haute", sous réserve de confirmation de la faisabilité spatiale exacte du site au vu de l'application des contraintes urbanistiques ou de la faisabilité technique par rapport à l'état des lieux des ouvrages existants. Dans le cadre d'un projet de restructuration globale, d'une construction en extension ou d'une réhabilitation d'un bâtiment existant le module aura une surface de 18 m², dite "solution basse", en présence de contraintes urbanistiques et techniques limitatives. Descriptif technique COMPOSITION ET SURFACE. Solution haute Espace Chambre Sanitaires Désignation- usage Entrée Zone vie Equipement de cuisine Rangement 3 fonctions Surface totale Solution basse Superficie 2,00 m² 17,00 m² Espace Chambre 1,50m² 3,50 m² 24,00 m² Sanitaires Désignation- usage Entrée Zone vie Equipement de cuisine Rangement 3 fonctions Surface totale Superficie 2,00m² 11,00 m² 1,50m² 3,50 m² 18,00 m² DONNEES TECHNIQUES. • Données communes. ¬ Chauffage : collectif, de type central à eau chaude avec chaudière à combustible liquide ou gazeux. Dans le cas d'une production d'eau chaude sanitaire collective tous les logements seront équipés d'un compteur. ¬ Revêtement de sol : carrelage grès cérame ou revêtement souple naturel (type linoléum) ou vinylique, en lés soudés, de classement U4 P3. Revêtement textile proscrit. ¬ Plafond : peinture. ¬ Alimentation énergétique cuisinette : tout électrique (gaz proscrit). ¬ Alimentation en eau potable : comptage individuel (sous compteur). • Entrée. ¬ Ouverte ou fermée sur la zone vie de la chambre. ¬ Rangement : placard de 0,60 m² minimum, hauteur d'étage, profondeur 0,60 m, portes coulissantes ou pliantes avec serrure à clé. Ce placard sera aménagé pour partie en penderie, et pour l'autre partie, en rangement (4 étagères minimum). La partie penderie sera équipée d’un coffret de sécurité pour arme de poing (cf. fiche technique jointe en annexe et à NE 3178 DEF/GEND/LOG/MAT.CD du 26/10/93 et circulaire n° 550/DEF/ GEND/OE/EMP/REGL du 20/01/1999 – Class. 96-34). La partie haute sera totalement libre (rangement des bagages). C:\Documents and Settings\PORTABLE02\Bureau\Annexes Programme.doc ¬ Porte d'entrée : porte palière serrure trois points (avec un porte étiquette). Prévoir une sonnerie. ¬ Revêtement mural : peinture sur toile de verre ou similaire. ¬ Eclairage : un point lumineux central équipé d'une vasque ou d'un luminaire. • Chambre. ¬ Cuisinette : meuble intégral – encombrement de 0,84 m² au sol comprenant : ³ Partie basse : un réfrigérateur, un caisson de rangement (contenant une poubelle à ordures ménagères), un tiroir, une niche contenant un coffret et les protections des équipements électriques. ³ Partie médiane : un évier en acier inoxydable, un robinet mitigeur, deux plaques électriques de cuisson, un plan de travail en acier inoxydable. ³ Partie haute : une étagère sur toute la largeur du meuble, une niche pour four micro-ondes, un four microondes, une hotte aspirante à recyclage interne avec dispositif d'éclairage intégré. ¬ Ameublement : il sera fourni et mis en place par la gendarmerie un lit de 0,90 m, un chevet et une table de travail avec une chaise. ¬ Rangement : placard de 0,90 m² minimum, hauteur d'étage, profondeur 0,60 m, portes coulissantes ou pliantes, aménagé pour partie en penderie et pour l'autre partie, en rangement (4 étagères minimum). La partie haute sera totalement libre (rangement des bagages). ¬ Fenêtre avec volet d'occultation. ¬ Electricité : ³ alimentation cuisinette ; ³ 1 point lumineux central équipé d'une vasque ou d'un luminaire (commandé depuis l'entrée de la chambre et au chevet du lit) ; ³ 1 point lumineux, de type applique, sur le mur où sera placée la table de travail (commande sur l'applique) ; ³ 4 prises 2 P+T 10/16 A, dont une au chevet du lit et une près de la prise de téléphone privé ; ³ 1 prise TV/FM ; ³ 1 prise téléphone service dans l'entrée ; ³ 1 prise téléphone privé installée près de la table de travail ; ³ l'installation d'une ligne de type "téléphonique – câble 5 paires" destinée au téléappel radio, arrivée sur boîte de raccordement dans l'entrée. ¬ Revêtement mural : peinture sur toile de verre ou similaire. SANITAIRES. Accessible uniquement depuis l'entrée par une porte ouvrant à la française. ¬ Equipement : ³ 1 ensemble meuble plus lavabo avec robinetterie mitigeuse, miroir, applique lumineuse et prise rasoir ; ³ 1 ensemble W-C de marque NF, réservoir équipé d'un mécanisme à double chasse ; ³ 1 bac douche 800 x 800 fermé par une porte coulissante ou ouvrant à la française, équipé d'une robinetterie mitigeuse ; douchette sur flexible 1,50 m et barre verticale chromée, support de douchette coulissant ; ³ accessoires : 1 distributeur de papier hygiénique, 1 porte-serviettes double. ¬ Revêtements muraux : ³ carreaux de faïence sur toute la hauteur et la totalité des pans de murs recevant les appareils sanitaires et peinture pour le reste. ¬ Ventilation :VMC. ¬ Electricité : 1 point lumineux central équipé d'une vasque ou d'un luminaire. Le principe d'installation d'un bloc sanitaire modulaire, en matériaux composites, trois fonctions (lavabo, douche, WC) peut être envisagé. LOCAUX COMMUNS. Locaux Lingerie (lavage séchage repassage) Espace de convivialité Bagagerie (ou cave) Local cycles Local ménage (entretien locaux communs) Local technique (chauffage, électricité…) Local poubelles Stationnement Circulation, dégagement Surface en m²/Nbr. personne 0,2/1 0,2/1 0,2/1 1/1 0,2/1 Selon le projet ou le bâtiment existant Commun à ceux de la caserne 1 place/1 Selon le projet ou le bâtiment existant avec un minimum de surface de 4 m². Prévoir les réservations pour une machine à laver le linge et un sèche linge pour 6 personnes. Pour un effectif > à 18, prévoir des réservations pour des matériels de type industriel à raison de une machine pour12. à réaliser à partir de 6 chambres avec un minimum de surface de 9 m². à réaliser à partir de 6 chambres avec un minimum de 2 m². C:\Documents and Settings\PORTABLE02\Bureau\Annexes Programme.doc SCHEMA DE PRINCIPE. MODULE (18 ou 24 m²) CHAMBRE Zone vie (sommeil, alimentation, travail, loisirs) Sanitaires Entrée LEGENDE. Liaison directe Contiguïté sans liaison Activité Groupement d'activités. Accès