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Polymorphie
de gauche à droite
Lucas Garnier : claviers (Erotic Market)
Damien Cluzel : guitare baryton (Ukandanz, Kouma)
Romain Dugelay : saxophone alto, composition (Kouma, Bigre, April Fishes)
Léo Dumont : batterie (Chromb, Kouma)
MarIne Pellegrini : chant, spoken word, clavier (Erotic Market)
Clément Edouard : saxophone alto (Lunatic Toys, Irene, Snap)
Revue de presse
contact
Grolektif Productions
Joël Dziki : 04 72 53 01 32 – [email protected]
www.grolektif.com
POLYMORPHIE / VOIX
par Raphaëlle Tchamitchian // Publié le 21 janvier 2013
Marine Pellegrini (voc), Romain Dugelay (alto and baritone saxophone, composing), Clément
Edouard (alto sax, laptop, keyboard), Félicien Bouchot (trumpet), Lucas Garnier (trumpet, keyboard),
Damien Cluzel (baritone guitar), Léo Dumont (drums).
Membre du collectif lyonnais Grolektif, Polymorphie est un groupe à géométrie variable qui, sur ce disque,
prend la forme d’un septet dirigé par le saxophoniste Romain Dugelay. Voix est un mélange de poésie
sonore et de jazz rock core ou noise, où sont juxtaposés travail de trituration électrique du son et rythmique
impeccable. Marine Pellegrini dispose par-dessus cette matière vivante les mots de Nick Cave, filiation
bienvenue, comme on raconte une histoire. Quant aux soufflants, soit ils apportent un contrepoint à
l’électrique pour faire comme si c’était du jazz, soit ils se fondent avec bonheur dans le reste de
l’orchestration. Une très belle réussite.
lundi 3 septembre 2012
Polymorphie / Voix
POLYMORPHIE est un groupe étonnant. Basé à Lyon et abrité par le Grolektif, Polymorphie est surtout un
groupe à géométrie variable. La formation semble évoluer selon ses projets en cours et pour Voix, le groupe
prend la forme d’un septet placé sous la direction du saxophoniste Romain Dugelay qui a par ailleurs assuré
toutes les compositions. Il y a de quoi être intrigué parce que le line-up intègre une chanteuse/narratrice,
Marine Pelligrini, et qu’aux côtés de Romain Dugelay on retrouve avec bonheur ses deux complices de
Kouma à savoir Damien Cluzel à la guitare baryton et Léo Dumont à la batterie. Pour compléter le tableau
précisons que Polymorphie intègre également Félicien Bouchot à la trompette et au bugle, Lucas Garnier à
la trompette et au synthé (un Korg) ainsi que Clément Edouard (Lunatic Toys, IRèNE et Loup) au saxophone
et au clavier – on se sent pour ainsi dire entre de bonnes mains.
Mais résumons un peu. Dans Polymorphie il y a une voix, deux saxophonistes, deux trompettistes, un
guitariste, un batteur mais également un peu de synthétiseur et de la bidouille. Cette formation inhabituelle,
variée et protéiforme porte décidemment bien son nom et assure des paysages musicaux aussi diversifiés
que passionnants. Polymorphie est ainsi un autre excellent exemple de ces groupes et musiciens actuels qui
puisent une partie de leur inspiration dans le jazz mais ne sauraient s’en contenter, un bouillonnement
vivifiant où chacun trouve sa place mais où tout le monde garde son identité propre*.
Celle de Polymorphie vous saute d’abord à la gueule avec cette voix entre naïveté et détermination : Marine
Pelligrini se prête à l’exercice difficile de dire des textes sur de la musique. Elle ne raconte pas réellement
d’histoire(s), elle ne chante pas non plus vraiment (ce qui ne l’empêche pas de très bien vocaliser à
l’occasion), non, le résultat est quelque part entre les deux, dévoilant une sacrée présence et une insistance
toute en finesse et réellement au service des textes. Les textes ? Ah oui, les textes… En bon mélomane
avachi/vieux rocker en pantoufles/hard rocker à moitié repenti/noiseux indécrottable** on peut très facilement
écouter Voix en admettant tout simplement – mais bien trop expéditivement – que le chant/narration est
vraiment très bien et de le considérer aussi sec comme un instrument comme les autres.
Mais ce n’est qu’une grossière erreur. La toute première écoute du cinquième titre est de ce fait une
expérience assez incroyable et inoubliable : lorsque résonnent les mots « And The Mercy Seat Is Waiting/I
Am Think My Head Is Burning/And In A Way I’m Yearning/To Be Done With All This Measuring Of Truth » on
en croit tout simplement nos oreilles. Déjà on se demande (mais pas très longtemps non plus) ce que Nick
Cave vient faire là et surtout on s’ébahie devant tant de culot et devant tant de réussite. Le culot d’avoir
repris/adapté l’une des plus belles chansons de Nick Cave & The Bad Seeds et la réussite de cette version,
aussi poignante que puissante bien que forcément très différente de l’originale***.
Dès lors on écoute Voix d’une toute autre oreille et on se rend compte qu’en fait il y a deux autres textes de
Nick Cave regroupés avec The Mercy Seat au sein d’une Suite NC : Happy Birthday qui est une reprise des
Birthday Party ainsi que Where The Wild Roses Grow (que Nick Cave chantait en duo avec Kylie Minogue,
ce n’est pas non plus la meilleure qu’il ait faite dans toute sa carrière). Enfin, on remarque ce texte très beau
mais très sombre placé en début de disque : sur Le Berger – unique concession de Voix à la langue
française – l’ambiance est lourde, les mots pèsent leur poids d’interrogations et la musique est doublement
magnifique car elle n’efface pas la portée de ces mots mais leur offre un parfait écrin pour accompagner la
tristesse sourde et la tension latente que l’on croit deviner ici****.
Il n’en demeure pas moins que Voix regorge d’une musique passionnante et enlevée et que Polymorphie est
l’association de musiciens fort talentueux. Construites pour et autour des textes, les compositions de Voix
gardent cette puissance d’évocation et cette force d’attraction qui forcent le respect parce qu’elles peuvent
vous emmener très loin mais ne vous perdent pas en route. C’est évident pendant les passages avec
chant/narration mais ça l’est tout autant et de manière très différente mais imparable sur les nombreuses
parties purement instrumentales : Polymorphie y développe des idées aussi lumineuses et pénétrantes
qu’intenses et persistantes – et puisque la musique c’est aussi est un langage, on affirme que celui déployé
par Polymorphie est largement à la hauteur de la découverte.
Voix est publié en CD par le Grolektif. Des extraits sans mixage définitif sont en écoute sur la page
soundcloud du groupe. Enfin, c’est une information spécialement à l’usage des lyonnais, Polymorphie sera
de retour en concert le 28 septembre 2012 au Périscope.
* histoire d’en rajouter une couche : outre les groupes déjà cités (Kouma, Lunatic Toys, IRèNE et Loup)
ajoutons à la liste Q, DDJ, Louis Minus Seize, Woland Athletic Club, Myself, Actuum, Chromb!, Zhol, Les
Yeux De La Tête, Tapetto Traci… ça commence à faire un bon paquet, non ?
** faites votre choix
*** dîtes, jeunes gens, avez-vous raisonnablement envisagé d’envoyer votre disque à Nick Cave ? – vous
devriez
**** ce texte, Le Berger, est signé sans plus d’explications par Jean Noël Pelligrini : on comprend alors qu’il y
a un lien entre son auteur et son interprète et que cette mise en musique est également un très bel
hommage d’une personne à une autre
Etagères : Chroniques disques, Freeture
Jazz News : TOP 6 – Juin 2012
Jazz Magazine : Révélation juin 2012
Sunship – 20 mai 2012
Polymorphie - Voix
Voilà plusieurs mois que nous n'avions pas parlé en ces lignes du bouillant collectif lyonnais le Grolektif, dont
le paquebot amiral Bigre! devrait bientôt faire reparler de lui dans un nouvel et réjouissant album qu'on
attend avec impatience.
Comme dans beaucoup de jeunes collectif à travers l'hexagone, les projets sont multiples et disparates et
embrassent plusieurs styles avec bonheur et fougue sans se soucier des cases, mais bien de la cohérence
globale. C'est tout l'intérêt de musiciens comme Romain Dugelay ou Clément Edouard qui fut membre de
Bigre! avant de se concentrer sur ses beaux projets comme Irène pour le label Carton, dont l'atmosphère de
Polymorphie n'est pas éloigné.
Dugelay est lui toujours dans Bigre!. On l'avait aimé également dans RYR, et on le découvre ici
dans Polymorphie, un groupe qui a toujours tangenté l'existence du collectif avec des effectifs changeant.
On retrouve ici un septet avec un propos très contemporain, et des compositions ouvertes et nerveuses,
toutes signées Dugelay. On retrouve également, pour ce disque intitulé Voix, le timbre acidulé de Marine
Pellegrini, chanteuse de N'Relax, que nous avions déjà évoqué à l'occasion d'un disque commun avec
Bigre!. On retrouve d'ailleurs l'univers de la chanteuse dans le morceau inaugural "Le Berger", rempli de
Merveilleux et avide d'épithète qui pose l'atmosphère générale de l'album.
On appréciera notamment sa prestation sur la "Suite NC", où avec ses comparses, elle rend hommage à
des textes de Nick Cave, et notamment un fantastique "Happy Birthday". Sa fausse candeur enfantine,
celles des contes, transforme peu à peu l'atmosphère très entropique de l'orchestre en une fable à
l'étincellante noirceur où les abstractions électroniques d'Edouard font miracles. Il faut notamment entendre
le travail d'abstraction sur "Mercy Seat", dernier texte de la suite.
Le groupe, qui a bien choisi son nom, semble pouvoir embrasser plusieurs ambiances, plusieurs couleurs...
Mais c'est dans cette sécheresse de ton, qui n'empèche en rien la multitude d'images qu'il semble s'épanouir
idéalement. La fausse austérité du propos permet d'axer avant tout sur le mouvement et l'énergie,
absolument omniprésente.
Son énergie, comme sa rudesse, Polymorphie va la chercher dans des inflexions électriques appartenant au
métal, une esthétique peu éloigné de groupes comme Lunatic Toys et qui tangente la jeune génération des
improvisateurs depuis quelques années... La présence de Clément Edouard n'y est certainement pas
étrangère, mais c'est cependant la guitare baryton de Damien Cluzel, également membre du trio purement
hardcore Kouma avec Dugelay et le batteur Léo Dumont, qui forge cette esthétique. L'absence de basse,
remplacée par la guitare baryton donne une fluidité, une agilité qui précipite le groupe dans une musique
écorchée vive, acide, qui met en valeur la force omniprésente des cuivres et la puissance du batteur. Le
meilleur exemple réside sans nul doute dans "Cell", le meilleur morceau de l'album, où à l'ostinato nerveux
du guitariste répond un jeu de timbre complexes où l'on retrouve la force de frappe des soufflants de Bigre!,
les trompettistes Félicien Bouchot et Lucas Garnier en tête. Très compact, le septet trouve avec cette
formule une parfaite une grande efficacité et une liberté de ton qui font les réussites.
Un très bon disque.
Kiblind – N°41 :Mai-Juillet 2012
Est Républicain – 01 octobre 2010
Le groupe Polymorphie a conquis un public de connaisseurs. Alternant jazz et rock avec une musique d’une
grande variété, le groupe a transporté le public d’une atmosphère, d’une ambiance planante, à une autre
très rythmée. Les jeunes musiciens très prometteurs délivrent chacun des solos très virtuoses mi-écrits miimprovisés. La richesse de leur instrumentation leur permet une variété de timbres. ils jouent du plus subtil
au plus puissant, n’hésitant pas à friser l’atonalité. Parfois la voix de Marine Pellegrini se joint à l’ensemble
pour dire un texte en anglais ou vocaliser. Sa voix devient comme un instrument supplémentaire.
Polymorphie élabore une musique résolument d’aujourd’hui.
Jazz-Rhône-Alpes – 19 mars 2012
Polymorphie au tremplin de Jazz(s)RA
Ce onzième tremplin débute par un "vieux" groupe, Polymorphie, il a au moins ... six ans et un peu plus d'un
an sous ce format.
Beaucoup de monde sur scène, et du beau monde pour une musique vive et alerte qui jazz par
inttermittence. Il faut s'y faire, et c'est tant mieux, les groupes d'aujourd'hui ne font pas systématiquement la
musique de leurs aînés, même quand ils la maîtrisent sur le bout des doigts. Ils cherchent et explorent de
nouvelles voies. Polymorphie et de cette espèce de musiciens qui ont fait leurs gammes, irréprochables en
technique musicale. Et puis un beau jour, ils décident de mettre leurs savoirs et leurs compétences en
commun et ça donne Polymorphie, exprssion d'une culture polymorphe. Ça vous surprend, ça vous prend
aux tripes ... ou pas.
Si j'adopte le "je", je dirais que leur musique me branche. C'est rude, c'est âpre, ça sent les chemins de
traverse. Marine Pellegrini alterne chant et narration (en anglais), envoutante, à ses côtés Romain
Dugelay excelle au baryton et donne le ton au groupe. Le set se poursuit et le happage continue, la
trompette s'enroule autour autour du korg, la batterie devient hypnotique.
Et puis horloge oblige... ça s'arrête.
Pascal Derathé
Jazz Letter – 31 Mars 2008
Vous permettez ? On commencera par les citer l’un après l’autre. Au chant, Marine Pellegrini. Aux saxs,
Yoann Durant ,Florent Kohut et Romain Dugelay. A la trompette et au bugle, Louis Laurain et Félicien
Bouchot. Aussi à la guitare, Nicolas Frache, à la basse Raphael Vallade, aux percus et électronique, Arnaud
Lapret et, enfin, Yannick Urbani à la batterie.
Voici donc, un par un, Polymorphie. Dix musiciens/nnes qui profitent de leur rencontre pour s’aventurer dans
des paysages ignorés, en renouvelant le genre, en juxtaposant des pièces orchestrales chatoyantes, qui
retiennent l’attention. Avec eux, cette fois, Stéphane Payen, leader du groupe Thot, venu à la salle Genton
pour une rencontre prometteuse.
Pour bien faire, les dix musiciens sont venus salle Genton en résidence durant plusieurs jours. Histoire de
reculer un peu plus les limites d’un jazz en totale refabrication.
Las, au moment de restituer le travail, salle Genton, avec la grande complicité d’Agapes, il fallut se faire une
raison : peu de monde s’était déplacé pour ce set inédit co-produit par Agapes et le Grolektif. On ignore
pourquoi : il n’y avait ce soir-là à Lyon aucune grande affiche jazzy. Non, entre la fin d’A Vaulx Jazz, et
quelques autres échéances en vue, la concurrence était modeste ce soir-là. Vous pouvez m’expliquer ?
On aura donc goûté presqu’en solitaire, les thèmes joués par Polymorphie qui a l’art de réinventer les sons,
de les reclasser à sa façon. Pouvant compter sur une belle rythmique (dont des percussions dédoublées),
les cuivres et Marine, plus sérieuse que d’ordinaire, ouh-là, , savent colorer de très belle façon des
morceaux froids et abscons en apparence.
Bref, il faut se dépêcher de revoir Polymorphie ans un autre contexte. (le 11 avril au Périscope , par exemple
?)
Le Progrès - Juin 2006
Jazz XXL à Lyon Un jeune collectif lyonnais pas conventionnel bouscule depuis deux ans les lieux communs
du jazz à papa. A découvrir ce soir et demain à Belleville-sur-Saône.
Né un 1er avril, le Grolektif est certainement ce qui est arrivé de mieux au jazz lyonnais depuis des lunes :
un pied de nez printanier aux conventions d'un jazz passéiste et conservateur Et pourtant : tout commence
par un hommage aux « pères »[....]
Vers la création
Pourtant, la lassitude et le besoin d'explorer d'autres latitudes viennent à gagner nos jeunots en pleine
maturation : « On grandissait et on se sentait tourner un peu en rond avec tous ces hommages au passé ».
En 2005, le Grolektif aborde un tournant drastique et abandonne l'imitation au profit de la création.
Du collectif à géométrie variable (une vingtaine de membres) se dégage alors une dizaine de formations
originales, avec pour chacune d'elles une direction artistique singulière et une volonté de trancher avec un
jazz uniforme et standardisé : c'est l'ère de la fantaisie et de la libération au diable les carcans ! Le trio
DuLaBo jouera du Ravel si bon lui semble, RYR lorgnera quant à lui du côté d'un jazz hardcore iconoclaste
N'Relax malaxera un électro-jazz atmosphérique et scratchy, tandis que Polymorphie regroupera toutes les
forces vives du collectif à l'abordage d'une improvisation libre et actuelle, expérimentale et communicative
Une dynamique infernale, une émulation perpétuelle : nos jazz-junkies posent, chaque jour, la barre un peu
plus haut sans jamais se prendre aux sérieux pour autant (« ne jamais oublier sa date anniversaire » :
précepte grolektiviste). Un instant « clubbing-jazz » ici (P-Tank quartet) où variété-kitch remaniée
(Discobouchot), là, remettent régulièrement les pendules à l'heure de l'apéro.
Guillaume Médioni
Résidence AGAPES: Novembre 2005
« Le Grolektif en résidence - Dans la série « jeunes talents d'aujourd'hui » Agapes offre aux jeunes collectifs
de la région lyonnaise la possibilité de faire entendre sur une vraie scène les multiples formations qui les
composent. Ce trimestre nous accueillons « le Grolektif » pour un travail de création sur le thème des
compositeurs. »
Programme du Festival « Un Doua de jazz »
Info, audio, photos sur :
www.grolektif.com/polymorphie
www.polymorphie.org
www.soundcloud.com/polymorphie
LE GROLEKTIF, EN BREF
En 2004, une quinzaine de jeunes musiciens décident de se fédérer pour promouvoir leurs créations et
organiser leur diffusion autour d'un modèle original, le collectif artistique.
Voyant les choses en grand, le collectif prend le nom « le Grolektif ».
L'association Grolektif Productions est créée et organise ses premiers concerts de jazz et musiques
actuelles, animés par ses membres, dans divers cafés-spectacles de Lyon. L'association devient également
le producteur - tourneur de plusieurs groupes constitués par les musiciens du collectif.
Le collectif s'élargit rapidement à plus de 30 membres et son association soutient une dizaine de groupes,
aux directions musicales protéiformes. Solo electro-improvisé, big band de groove, combos pop, rock, blues,
jazz d'avant-garde... les projets du Grolektif ont en commun un sens de l'expérimentation et du métissage,
et se situent bien souvent au croisement des musiques savantes et des musiques populaires.
En 2007, le Grolektif est le co-fondateur du Périscope, scène Laboratoire des Musiques Actuelles
faisant la part belle au jazz. Depuis cette date le collectif assure de manière régulière des concerts et autres
événements dans cette salle labellisée Scène Découvertes par la DRAC Rhône-Alpes et la Ville de Lyon.
L'année 2008 voit la naissance de la maison de disques Grolektif Productions, qui compte aujourd'hui un
catalogue de 16 références.
Fin 2012, le Grolektif se restructure autour de ses membres les plus actifs, porteurs de projets artistiques et
parties prenantes de la gestion associative. Il compte aujourd'hui 11 membres musiciens : Romain Dugelay,
Félicien Bouchot, Nicolas Frache, Nicolas Mondon, Lucas Garnier, Léo Dumont, Romain Constant,
Olivier Armbruster (Booster), Emmanuel « Manouche » Fournier, Fred Gardette et Elodie Pasquier.
Le Grolektif est un collectif membre de la plateforme JAZZ(S)RA, des Allumés du Jazz, de la FEPPRA (1D
Rhône-Alpes) et participe à la création d'un réseau informel de collectifs artistiques, ayant pour but de
favoriser la mobilité des œuvres et des ensembles.
Le Grolektif bénéficie du soutien de la SPEDIDAM, de la Ville de Lyon, de la Région Rhône-Alpes et du
Ministère de la Culture et de la Communication.
Depuis sa création, le Grolektif a orchestré ou participé à plus de 700 événements culturels, dont 400 en
région Rhône-Alpes.
www.grolektif.com
CONTACTS
Contact musiciens : Romain DUGELAY
06 52 19 32 86 – [email protected]
Contact production, presse : Joël DZIKI
Grolektif Productions - 04 72 53 01 32 - [email protected]