Pierre citron - Golden Brain

Pierre citron
Pierre citron
Du réalisme virtuose à l’Abstraction lyrique : la
révélation d’un maître au Vitriol
Au gré des révolutions
de son art et de ses
recherches, l’Œuvre de
Pierre Citron étonne,
choque et bouleverse
tour à tour, tant par la
virtuosité
technique
que par la prégnance
d’un monde de tension
vers
l’absolu,
qui
l’inscrit d’emblée dans
la lignée des grands
maîtres de la peinture.
Pierre Citron, Totalité et infini, encre de chine (détail)
Né en 1971, Pierre Fontanier, auto-proclamé «Citron», se découvre dès son plus
jeune âge une passion pour le dessin, qu’il pratique dès lors en autodidacte. Les
expériences communautaires (création du label «Organic Comix» à la fin des années
1980, appartenance au groupe «Eux Fecal Je» de 1994 à 2004) en créations solitaires,
il poursuit son périple dans des squats d’artistes. Il créera et fera vivre une résidencegalerie d’artistes baptisée «Le 13», à Lyon pendant 5 ans y recevant artistes français et
etranger alterground. C’est à cette période que se passe la rencontre et la collaboration
avec Otto Muhl, qui le prendra sous son aile, nourrissant pour lui une affection quasi filiale.
« Ordo ab chao »
Ses premières créations (qu’il qualifie lui-même de «Genèse» et délimite comme datant
de la période 1987-1992), allégories hallucinées et fantastiques à caractère graphique,
établissent sa maîtrise de l’encre de Chine – matériau de prédilection dont il développera
la technique tout au long de sa carrière. Exécutées dans la veine de la bande dessinée,
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elles sont riches et complexes. Elles déploient sur toute la surface du support une
surabondance de symboles, si inextricablement entrelacés qu’ils en interdisent presque
l’accès. L’oeil du spectateur, privé d’espaces libres et de points de focalisation, se perd
dans un enchevêtrement presque abstrait de formes concrètes, oppressantes par leur
profusion. Il est condamné à errer parmi les formes fantastiques et morbides, où l’homme
n’est plus tout à fait homme, et se confond avec l’animal, le squelette et la machine. On y
trouve les balbutiements d’un univers intérieur déjà bien présent, qui explose sur la toile.
Ses dessins apparaissent comme les premiers témoins d’un regard cru et désenchanté,
mélancolique, qu’il porte sur le monde.
Sous sa plume habile, l’artiste s’efforce de conjurer la mort, le sexe, la cruauté, la
dénaturation de la condition humaine dont on ne doit jamais croire qu’elle est unilatérale.
Pierre Citron nous offre donc un premier aperçu de son univers chaotique, mais qui révèle
déjà une maîtrise de la forme, de la représentation, et un puissant désir d’expression
d’une sensibilité exacerbée.
Son Couple irradié à Hermès (cf page 3), transfigure l’utilisation de l’encre, se jouant de la
précision des détails, contrastes et clairs-obscurs, effets d’ombre et de lumière, jusqu’à
atteindre un résultat d’une telle richesse et d’une telle profondeur que l’on en oublie qu’il
naît d’un matériau unique.
Pierre Citron, Hermès, encre sur papier, 30x38cm
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Entre 1993 et 1999, l’artiste se tourne vers le figuratif et s’ouvre à la peinture à l’huile, sur
toile comme sur bois, étendant ses œuvres au grand format. La facture lisse et maîtrisée
de ses huiles leur confère un aspect tendant à l’hyperréalisme, à la puissance quasiexpressionniste. Le dessin s’étend sur des toiles de grandes dimensions, s’épure comme
pour gagner en profondeur. Pierre Citron entre dans une deuxième étape, centrée,
méthodique, d’appréhension du monde, à la poursuite d’une quête dont il ignore le nom
et qui pourtant le définit : celle de l’humanité.
A partir des années 2000, Pierre Citron opère un revirement total dans ses recherches
plastiques. En rupture avec l’académisme figuratif dont il était passé maître, l’artiste
semble se détacher de la problématique du fond pour se concentrer sur la forme. Sans
jamais se libérer du joug du sujet, il tend à le faire disparaître sous des explosions de
couleurs et effets de matière (agglomérats, aplats...).Au premier regard, les œuvres de
cette période sembleraient l’inscrire dans la mouvance de l’art informel d’après-guerre,
de l’Abstraction Lyrique, dans la lignée de De Kooning, Tapies ou Kandinsky.
Pierre Citron, Rivages du discours, encre sur papier, 50x65cm
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Développant son travail sur la matière, il explore de multiples procédés : collage, introduction
sur la toile d’éléments hétéroclites tels que la bande vidéo. Sa virtuosité expérimentale
se confirme lorsqu’il parvient à transcender l’unilatéralisme d’un simple stylo bille pour
exécuter une œuvre telle que La source. En effet, cette œuvre indéfinissable et d’une
perspective étonnante, plonge le spectateur au cœur de la matière et de ses reliefs, à
la manière d’un trompe l’œil. Évoquant à la fois les replis de la chair et les aspérités de la
roche, l’interprétation de La source répond à la sensibilité de tout un chacun, et dépasse
la notion de représentation pour nous faire pénétrer dans la volupté de la matière
constitutive, féminine, qui n’est pas sans rappeler l’origine du monde de Courbet.
Pierre Citron, La source, stylo bic, 21x30cm
En quête perpétuelle de nouveaux supports d’expression et de nouvelles clés de
compréhension du monde dans lequel il cherche de manière belle et désespérée à trouver
sa place, Pierre Citron illustre la quête de soi, notre recherche de vérité. De souffrances
en illuminations, d’espoirs en désillusions, il exprime et travaille sans concession sa vérité
intime, exhumant de son intériorité les moyens d’avancer toujours, de repousser les
limites, de tailler notre pierre brute pour la façonner et la polir.
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La plongée en soi : « Visita interiora terrae
rectificando invenies occultum lapidem »
Pénétrer dans l’univers de Pierre Citron, c’est prendre part au voyage initiatique de
l’artiste en quête d’individuation, d’identité, et, participer à la recherche de notre vérité. La
catharsis de Pierre Citron participe de la quête d’absolu d’un artiste hyperesthésique, qui
s’efforce d’appréhender un monde qui le blesse, et auquel il ne parvient pas à s’adapter,
lutte incessante pour y trouver sa place.
Une incursion dans l’univers de Pierre Citron revient à pénétrer en profondeur dans
le cerveau reptilien, à comprendre les pulsions archaïques que l’Homme moderne
s’applique à dissimuler au mieux, à enfouir sous des couches successives de censure,
d’éducation et de moral.
L’Œuvre de Pierre Citron est viscéral : c’est pourquoi il dérange, et choque. L’observateur
est confronté à la souffrance de l’artiste, à sa vérité, paradoxalement débarrassée
du filtre de la représentation. Il participe à sa catharsis, à ses efforts désespérés pour
conjurer l’horreur du monde sur sa toile, dans l’espoir de s’en libérer enfin. Témoin de
la confrontation du peintre avec l’ombre, il éprouve la sienne, rencontre ce qu’il nie, ce
qu’il fuit, ce qu’il ne veut pas voir. La souffrance intime de l’artiste, reflet de l’inconscient
collectif, révèle celle de l’observateur : c’est ce qui fait la puissance de son œuvre, son
universalité.
Un des plus beaux tableaux de Citron est
intitulé Secret (la licorne) (encre sur papier,
28x32cm). Il est aussi le plus paradoxal :
en décalage flagrant avec le reste de
son œuvre, il est celui qui le représente le
plus. Œuvre bucolique, d’une tendresse
inattendue, son Secret révèle le portrait
d’une petite fille en tutu de danseuse.
Couronnée de ce que l’on suppose être
un nid d’oiseau, la petite fille au doux visage
est agenouillée aux côtés d’un papillon,
symbole de métamorphose et de beauté
révélée. L’œuvre témoigne de l’amour
innocent, enfantin et sublimé qu’il porte à
sa nièce, son modèle. Elle peut aussi être
interprétée comme la rencontre de l’artiste
avec l’anima, étape primordiale de sa
quête d’individuation. C’est cette beauté,
cet amour, cet espoir d’idéal, ce motif de la
pure âme immortelle qui porte Citron, qui
l’aide à transcender sa souffrance pour
atteindre sa vérité.
Pierre Citron, Secret (la licorne), encre sur
papier, 28x32cm
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Dans ses autres créations, l’Homme se dépouille de sa civilisation, comme pour mieux
en prendre conscience afin de se la réapproprier pleinement. Il expose sa nudité crue,
s’éloigne de l’individualisme forcené, auquel il ne semble plus croire, pour assumer
pleinement sa dualité, tendant à l’hybridation – mi humaine, mi animale, voire bestiale.
C’est dans ce caractère hybride qu’il va trouver son unité, dans le chaos qu’il va puiser,
aspirant à se connaître, à se (re)construire.
« La quête de sublime, d’absolu »
Pierre Citron, Duel à l’aveugle, encre sur papier
Aspirant à un ancrage dans le monde, une incarnation, l’être humain est au centre-même
de l’œuvre figurative de Pierre Citron. Plongé dans un univers de violence, de mort et
de sexualité, il devient un leitmotiv obsédant et multiple qui se décline sous plusieurs
aspects : il peut être cet homme de tous les jours, ventripotent, flasque, barbu et ridé,
charnel et incarné sans pour autant gagner en individualité (Chrétien, Bon débarras) ni
en identité.
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Il peut aussi être cette figure décharnée,
voire désincarnée, dépourvue de tous
signes d’individualité, crâne chauve,
regard vitreux aux pupilles souvent
inexistantes, au visage parfois effacé,
au corps lisse et cireux qui l’éloigne de
l’humanité tout en la capturant toute
entière. L’homme se dématérialise,
passe à l’âme, se transforme en icône
fantomatique, au squelette apparent, qui
se tort, se contorsionne puis s’accroupit,
animal.
Une figure, autoportrait en double et
pourtant toujours solitaire, marque
l’œuvre de l’artiste. Ce thème témoigne
de la dualité de l’artiste qui s’observe,
poursuivant sa quête d’humanité mais
conscient de son animalité et de son
damon.
Enfermé dans sa solitude sans jamais
être libre, l’être humain apparaît souvent
attaché, enchaîné ou retenu à une chaise
ou en laisse, tenue par une main invisible
ou par un autre lui-même.
La série Fraternité, constituée de trois
huiles sur bois de 120x100cm (Avalanche,
Frères de fuite et Carrefour) témoigne de
l’appropriation de la bestialité de l’homme,
dernier stade avant son hybridation
Dans le chef d’oeuvre Promenade
au bord du lac gelé (Huile sur bois,
160x95cm), double autoportrait nu de
l’artiste personnalisé dans lequel l’un,
debout, souriant et triomphant, tient
l’autre en laisse, accroupi à la manière
d’un chien. L’homme tient son animalité
en bride, et à la fois se laisse guider par
elle, sur un fil, dans un équilibre précaire.
Pierre Citron, Promenade au bord du lac gelé, huile
sur bois, 160x95cm
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Dans Équivoque (l’autophage), un homme nu et sans visage, accroupi, dévore les entrailles
de son double au visage dessiné, gisant sur le sol. L’artiste dépeint ici le dernier stade de
reconnaissance de la dualité et de la bestialité primitive de l’être humain, reconnaissance
portée à un tel paroxysme qu’il se fait disparaître, s’ingère lui-même comme pour mieux
trouver son unité. Plonger en soi est la voie pour se nourrir, se construire.
La forme hybride, entre l’homme et le poulet, aboutissement de cette animalité de l’homme,
revient dans plusieurs oeuvres, à différents stades de la métamorphose (Triptyque du
gallinacé – l’âge des compétitions, l’âge des résignations). Le choix du poulet est-il dû à sa
condition d’oiseau incapable de voler vraiment, symbole de l’homme aspirant à l’élévation
sans toutefois y avoir pleinement accès ? Faut-il voir dans le poulet l’allégorie de l’homme
d’élevage, sans réelle identité, d’une banalité tendant à la vulgarité, qui se multiplie sans jamais
se différencier vraiment ? Faut-il y déceler l’impuissance de l’artiste à accéder à cette quête
d’absolu qui le porte?
Pierre Citron, Equivoque
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Dans les années 2000, quand les
recherches plastiques de Pierre Citron le
portent vers l’Abstraction lyrique, on note
cependant un écart majeur : les notions
de figuration et de sujet ne sont pas
omises, mais sciemment niées. Atteint
dans son intégrité, l’artiste semble rejeter
massivement la figure humaine, la réalité
physique – et donc représentative – du
corps.
En témoigne le processus créatif qui
s’instaure alors : le sujet est esquissé,
désigné par un titre évocateur, parfois
même représenté. Puis, dans un
processus libératoire, de crises et d’accès
de rage, quasi-schizophrénique, Pierre
Citron le fait disparaître sous des strates
successives d’explosions de couleurs,
et de recouvrement de couches de
peinture et matériaux hétéroclites. Les
œuvres Copulants (huiles acryliques,
50x65cm) et Azurs, peculs et palettes
(techniques mixte, 50x65cm) illustrent
parfaitement les effets de matière
naissant de ce procédé : empâtements,
coulures et reliefs.
Pierre Citron, Sioux, technique mixte, 50x65cm
Pierre Citron, Pompier en plein job, technique
mixte, 50x65cm
Pierre Citron, Temple à Ganesh, technique mixte,
50x65cm
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Par la suite, il retravaille avec assiduité ses toiles ainsi modifiées, pour maitriser les excès
tout en gardant l’émotion, l’instinct, mais sublimé, où se révèle la beauté. Au croisement
d’une figuration niée et d’une abstraction qui n’en est pas, les créations de cette période
sont les témoins d’une recherche d’élévation spirituelle de l’artiste. Dans son grand œuvre,
riche et complexe, témoignant de sa dextérité et de son génie, Pierre Citron réussit le tour
de force de nous offrir un accès au Sublime par une esthétique virtuose de la laideur et
des démons intérieurs, trouvant son unicité dans la discordance et la déchirure. Viscéral
et spirituel, son art en quête d’absolu trouve sa résonance dans l’inconscient collectif,
dans la quête de soi, dans le désir d’être, de se construire, Homme.
Pierre Citron, Jour anniversaire de la noyade de maman, encre sur
papier
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en quelques mots
Pierre Citron
Pierre « Citron » Fontanier, est artiste peintre et
dessinateur, français né à Lyon en 1971, vit et crée à
Marseille à la Belle de Mai. Artiste précoce, il découvre
et apprend seul les techniques des maîtres anciens,
italiens et flamands. Souvent qualifié de nouveau
maitre, son style raffiné aborde des thèmes peu
académiques. Son travail figuratif évoque crument la
noirceur de l’âme humaine, la violence de la sexualité
et de ses pulsions, l’inceste et les brutalités carcérales.
Citron explore aujourd’hui d’autres dimensions
plastiques autour des notions d’abstraction lyrique et
d’émancipation de radicalités picturales produisant
une œuvre à la fois libérée et intense.
Pierre Citron, Frères de fuite, huile sur
bois, 100x120cm
Cote 2010 - 6 000€
Expositions / événements
2011
Chic Dessin, Atelier Richelieu, Paris
Séléctionné pour le Prix Chic 2011
2010
2009
CUTLOG, Foire Internationale d’Art Contemporain, Paris
Exposition (n’)AYEZ (pas) PEUR, Galerie Golden Brain, Paris
Exposition GOLDENB_ART, Guerlain, Paris
Collectif L’Embobineuse, La Belle de Mai, Marseille
94-2004 Gère et expose l’atelier galerie «les limbes» puis la galerie «le 13», Lyon
Hommage à Otto Muehl et l’Actionnisme Viennois, Le 13, Lyon
2002
Exposition Heart Gallery
2001
Galerie du passage, Lyon
Galerie Pez Ner
2000
Musée d’Art Contemporain de Pérouge
Entrepot-Morphisme, Espace Intervention, Lyon
80’
Création label Organix Comix
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La Collection Golden Brain
« Rentrez en vous-même. Cherchez la raison
qui, au fond, vous commande d’écrire. […]
Creusez en vous-même jusqu’à trouver la raison
la plus profonde. […] Et si de ce retournement
vers l’intérieur, de cette plongée vers votre
propre monde, des vers viennent à surgir, vous
ne penserez pas à demander à quiconque si ce
sont de bons vers. »
Lettres à un jeune poète, Rainer Maria Rilke,
1929.
Eric Boyer, Saddhu
Tirage argentique papier baryté, 90x120cm
Après les dérives spéculatives du marché de l’art contemporain et à l’instar des désirs et des demandes des
collectionneurs d’arts actuels, Golden Brain - Art Investment & Promotion renoue avec la tradition des grands
marchands d’art des 19ème et 20ème siècles (Durant-Ruel, Kahnweiller, Vollard...) qui, par passion, ont fait
accéder à la postérité des artistes alors dissonants tels que Manet, Picasso ou encore Matisse.
Pour cela, Golden Brain - Art Investment & Promotion investit dans des œuvres majeures
d’artistes contemporains afin de constituer une collection dont l’esprit véhicule la philosophie
intemporelle de l’art : quête du sublime, expression de vérités intimes et de sentiments
universels, afin de faire rentrer ses artistes dans l’histoire de l’art.
Mêlant Art Brut et Art Savant, les œuvres représentatives de la collection Golden Brain sont significatives
à la fois d’une grande maîtrise technique et d’une recherche pure d’émotion. Poétiques, décalées ou
dérangeantes, elles exposent la vérité intime de l’artiste et questionnent le spectateur sur sa propre
existence.
« Les artistes sont des voyants « Arthur Rimbaud
La collection Golden Brain présente des artistes de nationalités d’âges et de styles différents mais aux
recherches identiques. D’une énergie hors norme, ces artistes en voie de légitimation sont regroupés autour
de valeurs libertaires, hédonistes, fraternels, humanistes et métisses. Ils tendent à créer une œuvre forte aux
nombreux degrés de lecture. Leur art est viscéral, critique, esthétique, philosophique, symbolique. Ils sont ce
que Burkhardt aurait appelé des Grands Hommes, ceux qui incarnent l’esprit du temps, d’une époque, pour
laisser un message impérissable, une trace, par ce qu’ils montrent, mais aussi par ce qu’ils sont.
Golden Brain Art Investment & Promotion sélectionne à travers sa collection ce que Nietzsche appelait des
artistes-philosophes qui apportent un regard sur l’Homme et la Société et initient des débats tant esthétiques
qu’éthiques.
La collection Golden Brain interroge sur les grandes questions universelles et sociétales et montre que l’Art est
une clef d’entrée philosophique, esthétique, de compréhension subtile, sensible et sublime du monde. L’Art
est producteur de visions, de valeurs sociétales alternatives, l’apport de nouveaux référentiels culturels. L’Art
est culture, recherche de la perfection, de la connaissance, de la sagesse, dépassement de soi, partage de
l’essentiel, Art de Vie.
La collection Golden Brain pose, à travers un ensemble d’œuvres (peintures, photos, sculptures,
installations, …) qui se répondent, la puissance de l’art comme signifiant d’une époque et montre qu’à
partir de l’art et des artistes une renaissance de la civilisation est possible.
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Pierre Citron est représenté par Golden Brain Art Investment & Promotion
Siret 518 441 050 00011 RCS Paris, sise au 5bis rue chauvelot - 75015 paris
Président Yannick Le Guern - [email protected] - Tel +33 6 30 90 53 30
Contact : [email protected] - www.goldenbrain.fr
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