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SYMPOSIUM 11 et 12 juin 2015 KEDGE BUSINESS SCHOOL Campus de Toulon, France APPEL A COMMUNICATIONS L’Apport des Communautés de Pratiques et des Réseaux de Pratiques dans les Organisations et dans les Villes Intelligentes Les Communautés de pratiques (CoPs) sont des groupes d’individus informellement engagés autour d’une expertise ou une passion partagée (Wenger, 1998, 2002, Amin, Roberts, 2008). Selon Wenger, les CoPs sont formées par des gens situés sur le même lieu et qui travaillent ensemble sur des pratiques communes. Les membres des CoPs s’engagent dans un processus d’apprentissage collectif (Jacob et al. 2009). Les CoPs ont été identifiées comme des véhicules efficaces pour soutenir le partage de connaissances basé sur la pratique. Plusieurs chercheurs et praticiens ont discuté le concept de communauté pour expliquer l’apprentissage et le partage de connaissances à travers une variété de métiers tels que l’assurance, la réparation des photocopieurs, la santé, la politique publique (Lave and Wenger, 1991; Wenger, 1998, 2002; Orr 1996; Brown and Duguid, 1991, Bate and Robert, 2002; Creplet et al. 2001; Lindkvist 2005). 1 Depuis de nombreuses années des communautés de pratiques (CoPs) émergent dans les organisations et sont cultivées (Cohendet et al. 2010). Ces communautés sont de véritables réseaux sociaux liant des individus installés sur le même lieu de travail. Elles sont caractérisées par un engagement mutuel, une entreprise commune et un répertoire partagé de ressources (Wenger, 1998). Dans ce type de communautés de pratiques des interactions sociales se développent entre les membres. Les membres créent ou adoptent tout au long de leur histoire des outils et des artefacts qui peuvent jouer le rôle d’objets-frontière entre deux communautés situées sur des lieux différents (Goglio-Primard, 2010, Certains membres jouent aussi le rôle d’acteurs-interface catalyseurs et fédérateurs pour consolider la confiance et pour faciliter le partage de connaissances entre différentes communautés de pratiques (Goglio-Primard and Crespin-Mazet, 2011). Dans un contexte de globalisation des marchés, la connaissance est souvent dispersée à travers différents lieux. Les organisations doivent faire face au challenge de comment organiser le partage de connaissances entre des unités dispersées géographiquement (Becker, 2001). Le développement de réseaux de pratiques (NoPs, Network of practices) plus larges connectant des acteurs dispersés géographiquement est souvent mis en place pour consolider les interactions et le partage effectif de connaissances autour de pratiques communes locales et nationales (Agterberg et al. 2010). Selon Agterberg et al. (2010), trois niveaux d’encastrement permettent le partage effectif des connaissances entre acteurs dispersés géographiquement: - Encastrement du NoPs dans les pratiques locales : plus les connaissances partagées dans le réseau sont perçues comment importantes par les membres pour leurs pratiques locales de tous les jours plus ils sont motivés à partager leurs connaissances ; - Encastrement social du NoPs, par un ensemble de liens sociaux, dont l’émergence ou la stabilisation sont permises par des outils (base de données, forums de discussions, guide…). Ces outils permettent aussi d’identifier les acteurs travaillant sur des projets similaires, qui sait quoi et leur localisation ; - Encastrement organisationnel du NoPs : en conférant une légitimité à la fois aux acteurs des CoPs ainsi mises en réseau mais aussi aux acteurs et dispositifs organisés (groupe de travail…) soutenant le travail des NoPs. Cette légitimité leur permet d’exercer un certain contrôle sur les connaissances qui circulent dans le réseau. 2 L’action positive de ces communautés et réseaux de pratiques ne se limite pas aux affaires. Il est intéressant de dépasser le cadre des organisations et d’analyser l’apport de ces communautés et réseaux de pratiques dans les villes. En 2030, deux habitants sur trois vivront en ville. Cette concentration de personnes en ville crée à la fois des opportunités et des problèmes dans la gestion urbaine. Dans « Regards sur les communautés intelligentes » Divay et Charbonneau (2014), notent que « Dans le palmarès annuel de l’Intelligent Community Forum, Québec et Montréal figurent dans les 21 premières places en 2014. Québec s’est même hissée dans les sept premières en 2012. La publicité faite à ces classements a montré que le Québec, par ses municipalités et ses milieux de recherche-développement, participait pleinement à un large mouvement international de renouveau de la gestion urbaine. Cette nouvelle gestion se démarque par l’exploitation du potentiel des nouvelles technologies de l’information et des communications (TIC). L’idée de ville intelligente n’est cependant pas entièrement nouvelle. Elle s’inscrit dans une tendance dominante des deux dernières décennies : l’utilisation progressive et envahissante des TIC dans toutes les activités des municipalités (informatisation, géomatique, GPS, Internet, médias sociaux…) ». En effet, les technologies de l’information et des communications ont fait émerger de nombreux projets de gestion urbaine avec des utilisateurs (citoyens) totalement partie prenante dans ces différentes actions. Le développement de ces projets a pour objectif d’améliorer et de simplifier la vie des citoyens. Ainsi, pour devenir des communautés intelligentes, les municipalités actuelles devront développer de nouveaux services performants dans tous les domaines (Cohendet et al. 2011) (économie d’énergie, transport et mobilité intelligente, habitat intelligent, réseaux d’infrastructure). L’intelligence est la capacité de développer ces nouveaux services par la collaboration de différents acteurs. On peut parler d’intelligence collective (Divay, Charbonneau, 2014). Les municipalités fonctionnent de plus en plus comme des communautés intelligentes voire même comme des réseaux de pratiques liant des acteurs souvent dispersés géographiquement. Dans la création de ces villes intelligentes, la ville devient un lieu d’interactions sociales entre différents acteurs (institutionnels, gestionnaires de réseaux d’énergie, opérateurs de réseaux de transport, architectes, sociétés de services en informatiques ….). La mise en place et la cultivation de ces réseaux de pratiques ont des effets positifs au service de la société civile. Le programme de l’Union Européenne sur la région de la mer du Nord est un bon exemple. Il a pour objectif de faire de 3 cette région un meilleur lieu de vie, de travail et d’investissements. Ce projet est la création d’un réseau de pratiques regroupant des villes, des partenaires académiques (instituts de recherche) et des entreprises des technologies de l’information et des communications pour développer et délivrer de meilleurs services aux citoyens et aux entreprises dans la région de la Mer du Nord (Deakin et Allwinkle, 2006). La notion de villes intelligentes en tant que fournisseurs de services électroniquement renforcés est devenue populaire avec les écrits de Graham et Marvin (1996) et Mitchell (2000). Les chercheurs ont exploré le potentiel des communautés de pratiques pour développer des modèles intégrés de services de e-gouvernement (e-government services : Curwwell et al. 2005, Lombardi et Curwell, 2005). Deux grandes thématiques seront donc abordées lors de notre symposium (ce qui n’excluent pas toutes autres manières d’interroger le sujet): 1 - Les mécanismes organisationnels qui permettent de favoriser l’émergence de NoPs et les leviers qui soutiennent la continuité et la réussite de tels réseaux : Dans les organisations étendues géographiquement, le challenge de maintenir un réseau de pratiques effectif est primordial. De nombreux grands comptes dans le secteur des technologies de l’information et des communications (BurgerHelmchen and Cohendet, 2011), dans le secteur de l’énergie développent de véritables réseaux de pratiques spécialisés par compétences. En particulier dans le secteur informatique et télécommunications certaines entreprises intégrateurs systèmes soutiennent que la Gamification peut adresser ce challenge. La Gamification est le concept d’appliquer une pensée conçue sur le jeu à des applications qui ne relèvent pas du jeu pour les rendre plus fun et plus engageante (Nicholson, 2012). Au-delà de ce concept de Gamification, de nombreux facteurs clés de succès des NoPs peuvent être analysés : -Compréhension des membres sur le sens du réseau de pratiques (pourquoi? Quelle valeur) -Engagement des managers (expliquer la valeur du réseau et supporter les bons comportements). -Engagement et confiance des membres (masse critique des membres et qualité du contenu) -Création d’indicateurs de performance clés (KPI) (outils pour conduire les bons comportements dans le réseau). 4 2 - L’apport des communautés de pratiques et réseau de pratiques dans la société civile. Les facteurs clés de succès des NoPs analysés du côté des organisations sont-ils transposables du côté de la société civile ? De la même manière que les business units des organisations ont à apprendre les unes des autres, les villes et les pays ont à apprendre les uns des autres. Les communautés de pratiques et les réseaux de pratiques ont émergés dans les entreprises mais elles peuvent être aussi très bénéfiques dans la société civile. De nombreux facteurs clés de succès permettant l’émergence et la continuité de ces CoPs et NoPs dans les villes peuvent être étudiés: -Créer des réseaux de pratiques sur des communautés existantes. L’existence préliminaire de CoPs par exemple dans les quartiers facilite le partage de connaissances entre des citoyens dispersés géographiquement dans la ville. Les citoyens membres de ces CoPs ont déjà une culture du partage et une entreprise commune partagée. -Encastrer le réseau dans les pratiques locales des différents quartiers. Le lien du réseau avec les pratiques locales des citoyens est très important pour les engager à partager leurs connaissances. L’usage du réseau doit être vu comme une opportunité pour accéder rapidement vers la bonne information. -Superviser le réseau et dédier des ressources. La définition des rôles et des responsabilités est très importante dans la réussite d’un réseau global interconnecté à l’échelle de la ville voire même à l’échelle planétaire. Les organisations aussi bien que les villes et les pays doivent mutualiser leurs efforts pour identifier les opportunités. Les besoins d’apprendre au-delà des frontières des organisations et au-delà des frontières des villes, des pays se développent (partenariat inter-organisationnel, partenariat inter-ville, partenariat inter-pays) (Cohendet et al. 2008). Les approches communautaires sont aussi bien au service des organisations que de la société civile. Références académiques Agterberg, M., Van den Hooff, B., Huysman, M., Soekijad, M. (2010), “Keeping the wheels turning: The dynamics of managing networks of practice”, Journal of Management Studies, vol. 47 no. 1, pp. 85-108. Amin, A., Roberts, J., (2008). Community, Economic Creativity, and Organisation, Oxford University Press, Oxford. 5 Bate, S.P., Robert, G., (2002). “Knowledge management and communities of practice in the private sector: lessons for modernizing the National Health Service in England and Wales”. 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Cohendet, P., Grandadam, D., Simon, L.; (2011) «Rethinking Urban Creativity: Lessons from Barcelona and Montreal», City Culture and Society, Vol. 2, no 3: 151-158. Creplet, F., Dupouet, O., Kern, F., Mehmanpazir, B., Munier, F., (2001). “Consultants and experts in management consulting firms”. Research Policy 30, 1517–1535. Curwell, S., Deakin, M., Cooper, I., Paskaleva-Shapira, K., Ravetz, J. and Babicki, D. (2005) Citizens expectations of information cities: implications for urban planning and design’, Building Research and Information, 22, (1): 55-66. Deakin, M and Allwinkle, S. (2006) The IntelCities community of practice: the e-learning platform, knowledge management system and digital library for semantically-interoperable e-governance services, International Journal of Knowledge, Culture and Change Management 6, (3):155-162. Divay, G and Charbonneau E. 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(2009) «Compétitivité, savoirs stratégiques et innovation: Les leviers de l'apprentissage collectif en contexte de réseau», Développer les compétences au travail, sous la direction de Dominique Bouteiller et Lucie Morin, Gestion - revue internationale de gestion, Collection: Gestion et Savoirs, p. 630-646 Mitchell. W. (2000) e-Topia: Urban Life, Jim But Not as You Know It, Cambridge Massachusetts, MIT Press. Nicholson, S. (2012). Strategies for meaningful gamification: Concepts behind transformative play and participatory museums. Presented at Meaningful Play 2012. Lansing, Michigan. Available online at http://scottnicholson.com/pubs/meaningfulstrategies.pdf Lave, J., Wenger, E., (1991). Situated Learning: Legitimate Peripheral Participation. Cambridge University Press, Cambridge. Lindkvist, L., (2005). “Knowledge communities and knowledge collectivities: a typology of knowledge work in groups”. Journal of Management Studies 42 (6), 1189–1210. Lombardi, P. and Curwell, S. 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Le symposium sera ponctué par : - A l’ouverture (séance plénière jeudi 11 juin 2015 matin), une conférence inaugurale où nous aurons l’honneur d’accueillir Etienne WENGER qui apportera son éclairage théorique et de terrain sur les communautés de pratiques. - Une table ronde composée d’Etienne WENGER, de professeurs, de professionnels et de représentants des institutions locales clôturera la première journée du symposium, jeudi 11 juin. Elle mettra en débat l’apport des communautés et réseaux de pratiques dans les entreprises et dans les villes. Co-présidents du comité scientifique : Karine Goglio-Primard, Professeur Associé, Kedge Business School Toulon Réal Jacob, Professeur, HEC Montréal Thierry Burger-Helmchen, Professeur, Université de Strasbourg Membres du comité scientifique : Isabelle Bourdon, MCF HDR, Polytech Montpellier, Université Montpellier 2 Thierry Burger-Helmchen, Professeur, Université de Strasbourg Catherine Chasteney de Géry, Professeur, Novancia Business School Florence Crespin-Mazet, Professeur, EM Lyon Andrée De Serres, Professeur, Université du Québec à Montréal UQAM, Montréal Gérard Divay, Professeur, Ecole Nationale d’administration publique ENAP, Montréal Olivier Dupouët, Professeur Associé, Kedge Business School Bordeaux Corinne Grenier, Professeur, HDR, Kedge Business School Marseille 8 Claude Guittard, MCF, Université de Strasbourg Pierre-Léonard Harvey, Professeur, Université du Québec à Montréal UQAM, Montréal Caroline Hussler, Professeur, IAE Lyon 3 Réal Jacob, Professeur, HEC Montréal Sajjad Jasimuddin, Professeur Associé, Kedge Business School Marseille Francis Munier, Professeur, Université de Strasbourg Patrick Llerena , Professeur, Université de Strasbourg Sophie Peillon, MCF, Ecole Nationale Supérieure des Mines, Saint Etienne Nathalie Tessier, Professeur, Université Catholique de Lyon Nassera Touati, Professeur, Ecole Nationale d’administration publique ENAP, Montréal Comité d’organisation : Karine Goglio-Primard, Professeur Associé, Kedge Business School Toulon Agnès Gaudart, Responsable Marketing, Kedge Business School Toulon Processus de sélection des communications et calendrier 1 - Projet de communication : Vous devez rendre deux documents Word: Un premier document intitulé NomPrénom.doc (résumé de 3 pages comprenant nom, coordonnées et e-mail du ou des auteurs, titre de la communication, présentation de la problématique, résumé du cadre théorique, terrain, principaux résultats et références bibliographiques). Un second document intitulé NonNominatif.doc (résumé de 3 pages comprenant titre de la communication, présentation de la problématique, résumé du cadre théorique, terrain, principaux résultats et références bibliographiques). Les deux documents sont à adresser à: [email protected] le Lundi 26 janvier 2015: Date limite de réception des projets de communication 9 Vendredi 20 février 2015 : Retour des évaluations aux auteurs : Décision d’acceptation ou de refus de la communication par le comité scientifique 2- Textes complets: Vous devez rendre deux documents Word: (Chaque texte complet doit comprendre : Un résumé qui ne doit pas dépasser 100 mots. L’article limité à 25 pages (références comprises − tableaux, figures et annexes non compris) saisis à double interligne, format lettre É.-U. (215,9 × 279,4 mm), police 12 pts). Un premier document intitulé NomPrénom.doc (Texte complet comprenant nom, coordonnées et e-mail du ou des auteurs) Un second document intitulé NonNominatif.doc (Texte complet non nominatif). Les deux documents sont à adresser à: [email protected] le Vendredi 24 avril : Date limite de réception des textes complets. Politique de publication Pour les communicants qui le souhaitent, une seconde sélection (à l’aveugle) des communications sera opérée pour publication dans le numéro thématique d’une revue académique à comité de lecture classée B. Frais d’inscription et de participation Les frais d’inscription couvrent les repas, le diner de Gala, les pauses-cafés et l’accès aux communications : - étudiant et doctorant : 190 euros - enseignant, professeur, professionnel, autre : 450 euros Mode de règlement : - par chèque à l’ordre de KEDGE Business School - par virement bancaire. 10
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