Les chevaliers de la Table ronde

Les chevaliers
de la Table ronde
de Louis-Auguste-Florimond Ronger,
dit Hervé (1825-1892)
Opéra-bouffe en trois actes.
Livret d’Henri Chivot et Alfred Duru.
Créé au Théâtre des Bouffes-Parisiens le 17 novembre 1866.
Repris avec des changements au Théâtre des
Folies-Dramatiques à Paris, le 2 mars 1872.
Version pour treize chanteurs et douze instrumentistes.
Transcription Thibault Perrine.
NOUVELLE PRODUCTION
avec la compagnie LES BRIGANDS
Création le dimanche 22 novembre 2015
à l’Opéra National de Bordeaux
Production déléguée Palazzetto Bru Zane —
Centre de musique romantique française.
Production exécutive compagnie LES BRIGANDS.
Coproduction Opéra de Reims, Centre des bords de Marne scène publique conventionnée du Perreux-sur-Marne,
La Coursive – Scène nationale La Rochelle
Avec le soutien d’Arcadi Île de France,
de la SPEDIDAM et de l’ADAMI,
Avec l’aide de la DRAC Île de France,
En partenariat avec Angers Nantes Opéra.
nanTes ThéÂTre grasLin
samedi 9, dimanche 10 , mardi 12,
mercredi 13, jeudi 14 janvier 2016
angers granD ThéÂTre
samedi 16, dimanche 17 , mardi 19 janvier 2016
en semaine à 20h, le dimanche à 14h30
représentations avec audiodescription
accessibles aux aveugles et malvoyants
73
n°
saison 2015 | 2016
La distribution
Transcription
Thibault Perrine
Christophe Grapperon
Mise en scène, costumes et scénographie Pierre-André Weitz
Assisté deVictoria Duhamel, Mathieu Crescence
et Pierre Lebon
Lumière Bertrand Killy
Direction Musicale
Nicolas Ducloux et Christophe Manien
Iris Florentiny et Yacnoy Abreu Alfonso
Régie générale Pierre Le Bon
Chef de chant
Travail corporel
Rodomont, le duc
Damien Bigourdan
Antoine Philippot
Merlin, enchanteur Arnaud Marzorati
Médor, jeune ménestrel Mathias Vidal
Totoche, la duchesse Ingrid Perruche
Angélique, sa belle-fille Lara Neumann
Mélusine, magicienne Chantal Santon-Jeffery
Roland, chevalier errant Rémy Mathieu
Amadis des Gaules David Ghilardi
Lancelot du Lac Théophile Alexandre
Renaud de Montauban Jérémie Delvert
Ogier le Danois Pierre Lebon
Fleur-de-Neige Clémentine Bourgoin
Sacripant, sénéchal
Musiciens de la compagnie LES BRIGANDS À Angers
À Nantes
Violon 1 Vanessa
Ugarte Abou
Alto Vincent Debruyne
Violoncelle Jérôme Huile
Contrebasse Benjamin Thabuy,
puis les 12,13
et 14/01/2016
Simon Drappier
Flûte Boris Grelier
ClarinetteFrançois Miquel et le 14/01/2016
Christian Laborie Basson Audrey-Anne Hetz
Cor Pierre Rougerie
Trompette Vincent Mitterrand
Percussions Eriko Minami
Piano Nicolas Ducloux Violon 1Vanessa
Violon 2 Clara
Violon 2Clara
Ugarte
Abou
et le 19/01/2016 Anaïs Flores
Alto Laurent
Camatte
Huile
ContrebasseSimon Drappier
Violoncelle Jérôme
et le 19/01/2016
Benjamin Thabuy
Flûte Charlotte Bletton
Clarinette Christian Laborie
Basson Audrey-Anne Hetz
Cor Camille Lebrequier
Trompette Vincent Mitterrand
Percussions Eriko Minami
Piano Nicolas Ducloux
Décor fabriqué par les ateliers de l’Opéra de Reims
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L’histoire
OUVERTURE
Il était une fois un pays improbable, entre l’an 800 et l’an 2017, où tout est encore possible et
merveilleux.
ACTE I
Les chevaliers Amadis, Ogier, Renaud et Lancelot découvrent que leur ancien camarade Roland
a renoncé à sa vie trépidante à cause de l’enchanteresse Mélusine : folle amoureuse, elle
le tient enfermé chez elle et condamne ce héros à une vie d’oisiveté. Ils veulent profiter de
l’annonce faite par Merlin d’un grand tournoi pour l’arracher à ce joug autoritaire.
Le duc Rodomont, qui organise la joute, offre la main de sa fille Angélique en prix de
consolation.
Ruiné, il compte sur ce mariage pour redorer son blason. Il s’étonne du luxe qu’affiche sa
femme, la duchesse Totoche. Il la soupçonne d’être entretenue par un amant. Rodomont se
promet de démasquer le coupable. De son côté Angélique est impatiente de découvrir les
plaisirs de l’amour que lui a vantés son précepteur, Médor, secrètement épris d’elle. Roland,
tombé lui aussi sous le charme de la jeune fille, est prêt à s’élancer au combat pour la
conquérir, délaissant pour de bon Mélusine.
ACTE II
Totoche, Angélique et Sacripant (Grand Sénéchal, et… amant de Totoche) travaillent aux
préparatifs du tournoi. La duchesse s’affole : elle a vendu la couronne de Rodomont, dernier
vestige de sa fortune, pour financer sa garde-robe et plaire à Sacripant. Merlin, chargé
d’apporter une imitation en zinc, est introuvable. Or le tournoi commence, Rodomont réclame
sa couronne. Restée seule avec Sacripant, Totoche lui confie son angoisse. Interrompue par
son mari de plus en plus impatient, elle est à deux doigts d’avouer qu’elle a vendu son bien
le plus précieux, quand soudain Merlin arrive, muni du substitut. Rodomont croit reconnaître
sa couronne chérie. Le tournoi s’achève, Roland a raflé la main d’Angélique. Au moment de
fêter les héros, Rodomont surprend Totoche en train d’embrasser Merlin avec effusion : il croit
tenir son rival. Médor et Mélusine, mus par le dépit amoureux, s’introduisent dans le château
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l'histoire
sous des habits de ménestrels. Ils chantent pour distraire l’assistance. Mélusine en profite pour
verser, ni vue ni connue, un somnifère à Roland qui s’effondre. Rodomont cherche des sels pour
le ranimer, et tombe sur une liste de factures, toutes acquittées. Persuadé de tenir la preuve de
la trahison de Totoche, qui ne peut tenir cet argent que de son amant, il explose.
L’assemblée, Sacripant en tête, s’éclipse pour échapper à la colère du duc. Mélusine en profite
pour enlever Roland. Rodomont réclame des aveux à sa femme. Cette dernière croit que le duc
veut parler de l’affaire de la couronne et finit par livrer le nom de son complice : Merlin.
Les cloches du mariage sonnent : Médor apparaît sous l’armure de Roland pour épouser
Angélique à sa place. Rodomont ordonne qu’on jette Totoche et Merlin, qu’il tient pour son
amant, en prison, au milieu de la liesse du mariage.
ACTE III
Chez Mélusine : le philtre de l’enchanteresse agit plus qu’elle n’aurait voulu, Roland dort
depuis quinze jours. Arrivent trois saltimbanques, en fait Merlin, Totoche et Sacripant déguisés,
ce dernier ayant délivré ses deux complices de leurs chaînes. Entre après eux Rodomont, qui
entend mettre la main sur Roland. Ce dernier a en effet mystérieusement disparu au lendemain
de son union avec Angélique, et les quatre chevaliers envoyés à sa recherche ne sont jamais
revenus, ensorcelés par les voluptés prodiguées chez Mélusine. Rodomont est suivi d’une
Angélique éplorée et du malheureux Médor, obligé de cacher sa véritable identité de mari.
Fou d’amour après la nuit passée incognito auprès de la fille du duc, il s’est attaché au service
de Rodomont pour ne pas la quitter. Quand Roland se réveille enfin, il n’a aucun souvenir des
heures exquises qu’évoque la jeune fille. Et pour cause, il n’y était pas. Tous se demandent
alors qui se cachait sous l’armure. Pour Rodomont c’est clair, il s’agit de Sacripant, lui aussi
disparu sans raison depuis quinze jours. Il tombe sur lui justement, dans son costume de
saltimbanque, et lui demande de s’expliquer, prêt à pardonner. Sacripant, interloqué de le voir
si bien disposé, lui avoue benoîtement... qu’il est l’amant de Totoche. Rodomont fulmine, mais
une ruse de Totoche le force à ployer pour le dénouement final. Les faux-semblants sont levés
et les couples rassemblés. Rodomont, défait, cède Totoche à Sacripant, Angélique s’épanouit
dans les bras de Médor et Roland dans ceux de Mélusine. Tout est bien qui finit bien.
Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants.
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Les Brigands
En 2000, Loïc Boissier ouvre avec le pianiste Nicolas Ducloux la
partition du Barbe-Bleue d’Offenbach et propose à quinze de ses
collègues du Chœur des Musiciens du Louvre d’en monter une version
légère sur la scène nationale de Montbéliard. L’équipe s’organise en
2001 pour faire tourner ce spectacle en France. Elle s’intitule Les
Brigands, du nom d’un ouvrage d’Offenbach. Benjamin Lévy dirige
et Stéphan Druet met en scène : Geneviève de Brabant et Le Docteur Ox (Offenbach) puis Ta Bouche (Yvain)
en 2004, dont les représentations à l'Athénée Théâtre Louis-Jouvet leur valent un succès considérable.
Les distributions se régénèrent sans cesse et le baryton Christophe Grapperon devient en 2007 directeur
musical de la compagnie. De 2008 à 2011, la compagnie collabore avec le Théâtre musical de Besançon
et s’ouvre à de nouvelles collaborations : 26000 couverts, Johanny Bert, Pierre Guillois. Partenaire
important de la compagnie, la scène nationale de La Rochelle accueille en 2013 la création de La Grande
Duchesse de Gérolstein (Offenbach). Depuis 2012, Les Brigands sont associés au Centre des bords de Marne
au Perreux-sur-Marne.
www.lesbrigands.fr
Le Palazzetto Bru Zane
Centre de musique romantique française
Le Palazzetto Bru Zane – Centre de musique romantique française a pour
vocation de favoriser la redécouverte et le rayonnement international du
patrimoine musical français du grand XIXe siècle (1780-1920) en lui assurant
le rayonnement qu’il mérite.
Installé à Venise dans un palais de 1695 restauré spécifiquement pour l’abriter,
ce centre, inauguré en 2009, est une réalisation de la Fondation Bru. Il allie
ambition artistique et exigence scientifique, reflétant l’esprit humaniste qui
guide les actions de la fondation.
Les principales activités du Palazzetto Bru Zane, menées en collaboration
étroite avec de nombreux partenaires, sont la recherche, l’édition de partitions
et de livrets, la production et la diffusion de concerts à l’international, le
soutien à des projets pédagogiques et la publication d’enregistrements
discographiques.
bru-zane.com
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Portraits d’artistes
Christophe
Grapperon
direction musicale
Christophe Grapperon a étudié l’accordéon, la musicologie, le chant puis la
direction de chœur et d’orchestre avec Pierre Cao, Catherine Simonpietri
et Nicolas Brochot.
Engagé comme baryton par plusieurs ensembles vocaux (Soli Tutti, Les
Jeunes Solistes, Séquenza 9.3) ou de musique ancienne comme Diabolus in
Musica, il chante également en soliste avec Marc Minkowski au Théâtre du
Châtelet et à l’Opéra national de Paris.
Son activité l’amène à créer des œuvres de Régis Campo, Marc-Olivier
Dupin, Thierry Escaich, François Narboni, Bernard de Vienne, Romain
Didier…
De 1995 à 2002, il est directeur pédagogique à l’Académie de musique des
grandes écoles et universités de Paris dirigée par Jean-Philippe Sarcos. Il anime de nombreux stages de
chant choral, d’orchestre ou de musique de chambre.
En janvier 2000, il assiste Marc Minkowski pour Manon (Massenet) à l’Opéra de Monte-Carlo, qui lui
propose ensuite la direction du chœur des Musiciens du Louvre de 2002 à 2007.
Depuis 2007, Christophe Grapperon assure la direction musicale de la compagnie Les Brigands pour
diriger les ouvrages rares que sont Arsène Lupin banquier (Lattès), La Cour du roi Pétaud (Delibes) ou encore
Croquefer ou le dernier des paladins (Offenbach).
En Avril 2010, Laurence Equilbey lui propose de collaborer avec le chœur de chambre Accentus, puis de
devenir chef associé en 2013.
Des Madrigaux italiens (Schütz) au Un Requiem allemand (Brahms), de La Traviata (Verdi) à Phi-Phi (Christiné),
l’éclectisme musical et le plaisir partagé sont les maîtres mots de son parcours musical.
Thibault Perrine
transcription de la partition
Violoniste de formation, Thibault Perrine a étudié l’harmonie avec JeanClaude Raynaud, l’écriture avec Thierry Escaich, l’orchestration avec JeanFrançois Zygel, la direction d’orchestre avec Nicolas Brochot et la direction
de chœur avec Catherine Simonpietri.
Depuis douze ans, il a réalisé les arrangements musicaux de nombreux
spectacles lyriques, notamment pour la compagnie Les Brigands (Docteur
Ox/Offenbach, Ta Bouche/Yvain, La Grande Duchesse de Gérolstein/Offenbach),
le Théâtre du Châtelet (Le Chanteur de Mexico/Mariano) ou plus récemment
pour l’Académie de l’Opéra national de Paris (Iphigénie en Tauride/Gluck).
Des orchestrations lui ont été commandées pour divers enregistrements
avec Marie-Nicole Lemieux, Anne Gastinel, évènements (Concert de Paris
2014) ou films documentaires (Ils ont libéré Paris en 2014 et Verdun : ils ne passeront pas diffusé en 2016).
Soucieux de pédagogie, il collabore régulièrement avec Jean-François Zygel dans le cadre de ses émissions
Les Clefs de l’orchestre ou La Boîte à musique, ainsi que pour ses spectacles au Théâtre du Châtelet.
Il enseigne l’écriture au conservatoire à rayonnement régional de Paris et l’arrangement au pôle supérieur
d’enseignement artistique Paris Boulogne-Billancourt.
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mise en scène, décor et costumes
Pierre-André Weitz fait ses premiers pas sur scène au théâtre du peuple de Bussang à l’âge de 10 ans. Il y joue,
chante, fabrique et conçoit décors et costumes jusqu’à ses 25 ans.
Parallèlement, il étudie à Strasbourg l’architecture et rentre au conservatoire d’art lyrique. Pendant cette
période, il est choriste à l’Opéra national du Rhin.
En 1989, il rencontre Olivier Py. Il réalise depuis tous ses décors et costumes. De cette collaboration décisive va
naître une pensée de scénographie où les changements de décor sont dramaturgiques et revendiqués comme
chorégraphie d’espace.
Il signe plus de cent cinquante scénographies depuis ses 18 ans avec divers metteurs en scène au théâtre
comme à l’opéra (Jean Chollet, Michel Raskine, Claude Buchvald, Jean-Michel Rabeux, Ivan Alexandre, Jacques
Vincey, Hervé Loichemol, Sylvie Rentona, Karelle Prugnaud, Mireille Delunch, Christine Berg…)
Cette recherche sur l’espace et le temps le pousse à se produire comme musicien ou comme auteur sur
certains spectacles. À l’Opéra national de Paris dans Alceste (Gluck), il dessine pendant trois heures tous les
décors en direct affirmant ainsi une esthétique picturale de l’éphémère ; métaphore de la musique.
Sa première mise en scène à Strasbourg est une recherche de l’espace et du temps, jouant trois fois de suite La
Sœurinette (Py) dans trois dispositifs différents et trois esthétiques différentes créés avec vingt scénographes. Il
prouve ainsi que la scénographie peut changer le sens et l’essence d’une œuvre sans la trahir.
Il enseigne cette discipline depuis vingt ans à l’école supérieure des arts décoratifs de Strasbourg.
À Nantes et à Angers, Pierre-André Weitz a signé les décors et costumes du Vase de Parfums (Giraud/Py) créé en
2004, puis présenté au Théâtre de la Ville à Paris, à Caen, à Lausanne en 2005, de Tristan et Isolde (Wagner) en
2009 et de L’Enfant et la nuit (Villard) en 2012.
Bertrand Killy
lumière
Trois rencontres marquent jusqu'à présent la carrière de Bertrand Killy : Pierre Barrat qui lui fait découvrir
l'opéra et le théâtre musical ; François Tanguy et le Théâtre du Radeau ; Olivier Py avec qui il travaille depuis
2000, pour le théâtre et l'opéra. Avec Pierre Barrat, Bertrand Killy signe les lumières du Grand mystère de la passion (Carmina Burana), La Flûte
enchantée (Mozart), L'Orestie (Eschyle), Orfeo 2, Le Combat de Tancrède et Clorinde (Monteverdi), Le Château de BarbeBleue (Bartók), Le Racine/Qu'un corps défiguré. Avec François Tanguy, il travaille sur Ricercar, La Bataille de Tagliamento, Choral, Chant du Bouc, Fragments forains.
Avec Olivier Py, il réalise la lumière du Freischütz (Weber), des Contes d'Hoffmann (Offenbach), La Damnation de
Faust (Berlioz), Tristan et Isolde (Wagner), Tannhaüser (Wagner), Lulu (Berg) à Genève, Curlew River (Britten) à
Edimbourg et Lyon, Pélleas et Mélisande (Debussy) à Moscou, The Rake’s Progress (Stravinsky), Mathis le peintre
(Hindemith), Alceste (Gluck), Aida (Verdi) à l’Opéra national de Paris, Idoménée (Mozart) au festival d’Aix-enProvence, Roméo et Juliette (Gounod) à Amsterdam et Copenhague, Les Huguenots (Meyerbeer) à Bruxelles, Hamlet
(Thomas) à Vienne et Bruxelles, La Force du destin (Verdi), Carmen (Bizet), Claude (Escaich) à Lyon, Le Trouvère
(Verdi) à Munich, Dialogues des carmélites (Poulenc) au Théâtre des Champs-Elysées à Paris, Ariane et Barbe-Bleue
(Dukas), Pénélope (Fauré) à l'Opéra national du Rhin et Le Vaisseau fantome (Wagner) à Vienne.
Pour le théâtre et les œuvres d’Olivier Py : L'Apocalypse joyeuse, Les Vainqueurs, Les Illusions comiques, Orlando,
L’Énigme Vilar, Faust nocturne, L’Orestie, Les Enfants de Saturne, Adagio, Roméo et Juliette, Orlando ou l’impatience, Le Roi
Lear, Die Sonne à Berlin, A Cry From Heaven (Woods) à Dublin, Vitrioli (Mavritsakis) à Athènes, Hacia La Alegria à
Madrid, Le Soulier de satin (Claudel), les adaptation de contes de Grimm. Il a également collaboré avec MarieGeneviève Massé, Sylvie Reutena, Viviane Théophilides, Ivan Alexandre, Bernard Bloch, Dominique CollignonMorin, Matthias Langoff, Marc François, Jean-Michel Rabeux, Roland Shön, Jacques Vincey, Jean Paul Wenzel.
À Nantes et Angers, Bertrand Killy a signé la lumière du Vase de parfums (Giraud/Py) en 2004.
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portraits d’artistes
Pierre-André Weitz
portraits d’artistes
Damien
Bigourdan
ténor
Rodomont
Damien Bigourdan a d’abord été formé comme comédien au cours Florent
puis au conservatoire national supérieur d’art dramatique. Catherine
Hiegel l’invite en 2000 à jouer à la Comédie française (Le Retour/Pinter) et
Olivier Py dans Le Soulier de satin (Claudel). En 2003, il est engagé comme
chanteur dans Le Lac d’argent (Weill), mis en scène par Olivier Desbordes. Il
a depuis chanté dans des opéras de Leoncavallo, Mascagni, Puccini, Glass,
Stravinsky ou Offenbach. Depuis 2010, il est membre de l’ensemble musical
Le Balcon qui lui a déjà confié plusieurs rôles et la mise en scène du Balcon
(Eötvös). En 2015, il s'est produit au festival d’Aix-en-Provence dans Le
Monstre du labyrinthe (Dove) sous la direction de Sir Simon Rattle.
Antoine Philippot
baryton
Sacripant
Après des études littéraires, Antoine Philippot intègre la classe de la
Comédie de Reims où il travaille avec Jean-Pierre Garnier, Emmanuel
Demarcy-Mota ou François Regnault. Il rentre au Théâtre national de
Strasbourg. Sorti en 2008, il travaille avec Olivier Py, Christine Berg, JeanMichel Ribes… Il découvre l’opéra et se passionne pour le chant grâce
à Louis Bronner et Pierre-André Weitz. Il commence sa formation à
Vincennes auprès de Mary Saint-Palais, passe par le conservatoire national
supérieur de musique de Paris, et obtient son diplôme d’Etudes musicales
de chant au conservatoire de Bobigny. Il chante depuis avec Les Brigands
(La Grande Duchesse de Gerolstein/Offenbach) ou avec Olivier Dejours (Didon
et Enée/Purcell). Antoine Philippot fait partie depuis 2009 du Nouveau
Théâtre Populaire.
Arnaud Marzorati
baryton
Merlin
Arnaud Marzorati est diplômé du conservatoire national supérieur de
musique et de danse de Paris où il obtient un premier prix de Chant.
Il chante un répertoire qui va de la musique baroque à la création
contemporaine. Avec son ensemble Lunaisiens, il est en résidence à la
Fondation Royaumont et partenaire du Palazzetto Bru Zane. Il vient de
sortir un disque sur les révolutions du XIXe siècle sous le label Paraty. les chevaliers de la table ronde
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ténor
Médor
Après des études de musicologie à Nice, Mathias Vidal étudie le chant
auprès de Christiane Patard et intègre le conservatoire national supérieur
de musique de Paris d’où il sort diplômé en 2003. Cette même année, il est
lauréat de l'audition annuelle du Centre français de promotion lyrique puis
« Révélation classique » de l’ADAMI en 2007.
Son répertoire comprend les rôles du bel-canto italien mais aussi le
répertoire baroque, la musique légère et le contemporain. Il se produit en concert avec de nombreux ensembles et orchestres et
collabore fréquemment avec le Palazzetto Bru Zane de Venise et le Centre
de musique baroque de Versailles.
À Nantes et à Angers, Mathias Vidal a interprété Cecco (Le Monde de la lune/
Haydn), l’Aumonier (Dialogues des Carmélites/Poulenc), le rôle-titre de Barbe-bleue (Offenbach).
Ingrid Perruche
soprano
Totoche
Après une licence de lettres, Ingrid Perruche intègre le conservatoire
national supérieur de musique de Lyon puis celui de Paris dans les classes
de Glenn Chambers. Elle est « Révélation artiste lyrique de l’année » aux
Victoires de la musique classique. Son aisance dans le répertoire baroque
lui permet d’aborder les grands rôles de Lully et Haendel avec notamment
Christophe Rousset. Sa carrière internationale la conduit à New-York,
Londres, Vienne, Lausanne, Genève ainsi qu’en Turquie, en Espagne
et au Japon. En France, elle se produit au Théâtre des Champs-Elysées,
au Théâtre du Châtelet, l’Opéra-Comique, Salle Pleyel ainsi qu’à Lyon,
Versailles, Montpellier, Beaune, Bordeaux, Nancy…
Récemment, on a pu l’applaudir dans Pelléas et Mélisande (Debussy) à Rouen
et Nancy, Atys (Lully) à New-York, Orphée et Eurydice (Gluck) à Saint-Etienne, Versailles, Marseille, Bilbao
et Oviedo, Diane (Les Aventures du Roi Pausole/Honegger) à Genève, La Vie Parisienne (Offenbach) à Toulon,
Les Fêtes de l’Hymen et de l’Amour (Rameau) avec Opera Lafayette à Washington et New-York.
Parmi ses projets, citons, La Vie Parisienne (Offenbach) à Avignon et Cosí Fan Tutte (Mozart) à Marseille.
Lara Neumann
soprano
Angélique
Lara Neumann étudie le théâtre aux Cours Simon et aux Enfants Terribles
(1997-2001).
Elle interprète Lucienne (Lucienne et les garçons) et reçoit le prix Spedidam
(2006), Félicie (O mon bel inconnu/Hahn) à l’Opéra de Rennes et à l’Opéra de
Metz (2009), Aspasie (Phi-Phi/Christiné) avec la compagnie Les Brigands
(2010-2012), Fleur (Mon amie Cordy !) spectacle qu’elle écrit avec Emmanuel
Touchard et Flannan Obé.
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portraits d’artistes
Mathias Vidal
portraits d’artistes
Chantal
Santon-Jeffery
soprano
Mélusine
Chantal Santon-Jeffery est aussi à l’aise dans la miniature d’une consort
song que dans le grand répertoire romantique. Elle chante tout aussi bien
Mozart : Donna Anna (Don Giovanni), Fiordiligi (Cosí Fan Tutte), la Comtesse
(Les Noces de Figaro), Sandrina (La Finta Giardinera), la création contemporaine
(Lolo Ferrari/Fourgon) que Senta (Le Vaisseau fantôme/Wagner) en version
française, la Gouvernante (Le Tour d’écrou/Britten), Tancrède (Campra), ou
Le Roi Arthur et Didon et Enée (Purcell). Passionnée par le renouveau du
répertoire français classique et romantique, elle participe à de nombreux
concerts et enregistrements soutenus par la Fondation Bru Zane. En 20142015, elle chante le rôle-titre d’Armida (Haydn) dans une mise en scène
de Mariame Clément et la Folie (Platée/Rameau) à Budapest puis retrouve
Hervé Niquet, Gilles et Corinne Benizio dans Don Quichotte chez la Duchesse (Boismortier), l’ensemble Les
Agrémens pour Le Temple de la gloire (Rameau) et François-Xavier Roth dans Christophe Colomb (David).
Clémentine
Bourgoin
soprano
Fleur-de-Neige
Après une licence de musicologie, Clémentine Bourgoin étudie le chant au
conservatoire à rayonnement régional de Grenoble. Elle chante dans The
Fairy Queen (Purcell) mis en scène par Laurent Pelly puis La Folie (Platée/
Rameau) avec Mirella Giardelli et l'Atelier des Musiciens du Louvre.
Installée à Paris, elle se perfectionne auprès de Sophie Marin-Degor et
Françoise Tillard. Elle chante les rôles d’Eurydice (Orphée et Eurydice/Gluck),
Oreste (La Belle Hélène/Offenbach) et le Magnificat (Berio). Elle participe au
tournage de Noces (Stravinsky), un long-métrage de Philippe Béziat. Elle a
récemment participé au spectacle Attention maîtres chanteurs ! au Théâtre
des Deux Ânes à Paris, puis à la production du Petit Faust (Hervé) au Théâtre
Déjazet, avec l'orchestre Les Frivolités parisiennes.
Rémy Mathieu
ténor
Roland
Rémy Mathieu débute le chant enfant dans la maîtrise des Petits Chanteurs
de Monaco. Il fait ses études au conservatoire de Nice, au conservatoire
national supérieur de musique de Lyon puis durant une année avec le
ténor Francesco Araiza à Stuttgart avant d’intégrer, en 2012, le Studio
de l'Opéra national de Lyon. Il débute à la scène en 2010 avec l'Ensemble
Justiniana dans le rôle du Coq (Renard/Stravinsky). Il chante ensuite Tony
(West Side Story/Bernstein) avec Les Solistes de Bernard Tétu. A l’Opéra
national de Lyon, il prend part aux productions de La Petite Renarde rusée/
Janácek), Claude (Escaich), La Flûte enchantée (Mozart) dans la mise en
scène de Pierrick Sorin, Dialogues des carmélites (Poulenc) mis en scène
par Christophe Honoré et Tenderland (Copland). Fin 2013, il chante Laerte
(Hamlet/Thomas) au Théâtre Royal de la Monnaie à Bruxelles dans une mise en scène d’Olivier Py sous la
direction de Marc Minkowski.
À Nantes, Rémy Mathieu interprétait Albert (La Ville morte/Korngold) en 2015 ainsi que lors des
représentations à l’Opéra national de Lorraine.
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ténor
Amadis des Gaulles
David Ghilardi a chanté dans Cadmus et Hermione (Lully) à l'Opéra-Comique
en 2009. Il interprète Saphir (Barbe-Bleue/Offenbach) à l’Opéra de Fribourg
et à Besançon en 2010, Azor (Zémire et Azor/Grétry) à l’Opéra-Comique avec
Les Lunaisiens (2010). Il joue dans L’Enfant et les sortilèges (Ravel) à la Salle
Pleyel en 2011. Il interprète Don Ottavio (Don Giovanni/Mozart) en tournée
avec Opéra-Eclaté en 2013 et 2014. Il collabore pour la quatrième fois
avec la compagnie Les Brigands après Les Brigands (Offenbach) où il joue
Le Prince, puis Hector (La Botte Secrète/Terrasse) et Krak (La Grande Duchesse
de Gérolstein/Offenbach).
Théophile
Alexandre
contre-ténor
Un chevalier
C’est à Naples lors du concours Francesco Provenzale avec Sara Mingardo
que Théophile Alexandre se fait remarquer et débute sa carrière en
chantant le rôle-titre d’Orlando (Haendel) sous la direction de Jean-Claude
Malgoire.
Il se produit par la suite à l’Opéra national de Lyon, au Théâtre national
de Chaillot, à l’Opéra royal de Versailles, au Centre lyrique d’Auvergne, à
l’Opéra de Vichy, au Teatro de Reggio Emilia, à l’Auditorium Conciliazione
de Rome, au Théâtre royal de Namur, au Grand Théâtre de Luxembourg.
Théophile Alexandre a travaillé sous la direction de chefs tels que JeanClaude Malgoire, Gabriel Garrido, Sébastien d’Hérin, Bernard Tétu, Daniel
Cuiller et Stradivaria, ensemble baroque de Nantes, Franck-Emmanuel
Comte ainsi que des ensembles tels que la Camerata de Lyon, l’Ensemble Instrumental de Corse, Carpe
Diem, et dirigé par des metteurs en scène comme Montalvo/Hervieu, Pierre Kuentz, Caroline Mutel.
L’oratorio tient une place importante dans sa carrière et il participe à de nombreuses productions
telles que Le Messie et Dixit Dominus (Haendel), Nisi Dominus, Gloria et Dixit Dominus (Vivaldi), Stabat Mater
(Pergolèse ; Scarlatti ; Haydn) et Membra Jesu Nostri (Buxtehude).
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portraits d’artistes
David Ghilardi
portraits d’artistes
Jérémie Delvert
baryton
Un chevalier
Après des études d’histoire, Jérémie Delvert intègre le conservatoire
à rayonnement régional de Paris et se forme à l’art lyrique au sein du
département supérieur pour jeunes chanteurs dirigé par Laurence Equilbey,
où il obtient son Diplôme d’Etudes Musicales à l'unanimité en 2008. Il est un des membres fondateurs de l’ensemble vocal Aedes dirigé par
Mathieu Romano.
Passionné par le répertoire choral, il interprète opéras, oratorios et cantates
sous la direction de nombreux chefs.
Il est régulièrement invité en tant que baryton solo dans le Requiem (Fauré),
interprète le Christ (Saint François d’Assise/Gounod) sous la direction de
Patrick Marco avec Jean Guillou à l’orgue au Annecy Classic Festival, ainsi
que Jésus (Via Crucis/Liszt) avec l’ensemble Aedes.
En 2015 il rejoint la compagnie Les Brigands pour la production Les Chevaliers de la table ronde (Hervé).
Pierre Lebon
baryton
Un chevalier
Pierre Lebon débute sur scène à l’âge de huit ans à la maîtrise de l’Opéra
national de Paris. Très vite il se fait remarquer et interprète des rôles
solistes aux côtés d’artistes comme Roberto Alagna, Stéphane Degout et
Lambert Wilson. Il est diplômé de l’École nationale des Beaux-Arts de Lyon
et de l’École supérieure des arts décoratifs de Strasbourg.
Dans différents ateliers de construction de décors, il se perfectionne aux
techniques de la menuiserie, tapisserie, serrurerie, peinture et machinerie.
Il assiste de nombreux metteurs en scène et décorateurs (Rodolfo Natale,
Ramona Poenaru, Jean Guy Lecat à Broadway, Pierre André Weitz,
Olivier Py…).
Passionné par la danse et désireux de connaître tous les métiers de la
scène, il intègre la compagnie de danse La Verrière en 2008 à Lyon et participe à de nombreux projets
chorégraphiques avec le centre national de la danse de Lyon avec lequel il signe sa première création
en 2010. En 2012, il écrit et met en scène sa première pièce, Carré noir, présentée à Lyon, qui remporte
le prix de la jeune création.
Depuis, il participe à de nombreux projets devant et derrière le rideau de scène : Il danse dans La Petite
Renarde rusée (Janácek) mise en scène par Robert Carsen à l’Opéra national du Rhin ; il écrit et met en
scène une adaptation pour enfants de l’opéra Hansel et Gretel (Humperdinck) ; il est sur scène dans Alceste
(Gluck) où il dessine les décors en direct à l’Opéra national de Paris.
les chevaliers de la table ronde
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Retour sur le programme d’action culturelle
Les Chevaliers de la Table ronde de Hervé,
une opération Opéra dans la cité
Après Histoires sacrées de Marc-Antoine
Charpentier et Carissimi, et avant Svadba de
Ana Sokolovic, Les Chevaliers de la Table ronde de
Hervé est l’une des propositions Opéra dans la
cité 2015/16.
Quatre territoires, quatre opérations sur
mesure pour un spectacle d’intervention
Hervé comment ? présenté in situ.
En complément de rencontres et de médiations
menées par le service des relations avec le
public d’Angers Nantes Opéra en direction
particulièrement d’habitants des quartiers
Nord et Centre à Nantes, d’enfants et de leurs
familles de Trélazé, d'acteurs de territoires et
de professions diverses en Maine-et-Loire,
Angers Nantes Opéra a choisi de présenter, en
guise de préparation idéale à l’opéra bouffe
Les Chevaliers de la Table ronde, un spectacle
d’intervention : Hervé comment ? ou par qui et
comment l’opérette fut inventée :
Une « folie » musicale où un chanteur, un
acteur et un pianiste interprètent autant de
facettes du personnage de Hervé… présentée
par la compagnie LES BRIGANDS, sur une
proposition de Laurent Charpentier.
Ce spectacle d’intervention commence comme
une conférence et fini par une pièce musicale
inédite et délirante, donnée par un seul
chanteur, jouant tous les rôles. On y apprend
beaucoup de choses sur le compositeur, Hervé,
son époque, les conditions de création, ses
batailles personnelles, dont celles contre
Offenbach. C’est un truculent avant-goût de
la créativité de cet artiste aux mille facettes.
les chevaliers de la table ronde
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À Nantes, au Quartier Nord…
Une initiative présentée avec les centres
socioculturels Accoord, la ville de Nantes et
le soutien de l’Etat — Préfet de la région Pays
de la Loire — direction régionale des affaires
culturelles, politique de la ville.
Les Chevaliers de la Table ronde et l’énergie
scénique de la compagnie des Brigands,
étaient l’occasion de proposer aux quartiers
nantais de poursuivre leur parcours lyrique
initié cette saison avec Histoires sacrées.
A Nantes Nord, quartier partenaire de l’opéra
depuis deux saisons maintenant, les habitants et
professionnels des centres Accoord, ludothèque
et médiathèque se sont mobilisés pour que de
nouvelles personnes découvrent à leur tour le
spectacle vivant et l’art lyrique, en famille.
Après le travail thématique d’une semaine
porté par les animateurs et professionnels,
Hervé comment ? a été proposé le 15 décembre
2015 à 20h aux familles dans l’une des
maisons de quartier, Le Bout des Landes, dans
la salle La Machine à bulle.
Soixante personnes du quartier Nord ont
été ensuite conviées à la représentation des
Chevaliers de la Table ronde du 10 janvier 2016,
au Théâtre Graslin.
…et pour le tout public
Pour les spectateurs du centre de Nantes, et ainsi
que pour certains groupes, tels des classes de
section d’enseignement général et professionnel
adapté — SEGPA —, des spectateurs aveugles et
malvoyants et des jeunes sensibilisés grâce au
partenariat avec la Mission de lutte contre le
décrochage scolaire du Lycée Goussier de Rezé,
Hervé comment ? a été présenté à la Salle Vasse, le
7 janvier 2016 à 19h.
retour sur le programme d’action culturelle
En Maine-et-Loire Pour les enfants médiateurs à Trélazé…
Avec la fédération des œuvres Laïques la
ville de Trélazé et avec le soutien de l’Etat —
Préfet de la région Pays de la Loire — Direction
régionale des affaires culturelles, politique de
la ville.
En 2012, grâce à l’accompagnement scolaire
proposé par la Fédération des Œuvres Laïques
— FOL — et en partenariat avec Angers Nantes
Opéra, plusieurs dizaines de familles de Trélazé
avaient pu découvrir L’Enfant et la nuit, opéra
de Franck Villard.
Quatre ans plus tard, le souvenir est très
présent et l’opération a pu se reconduire.
Angers Nantes Opéra a retrouvé les cinq
écoles de Trélazé engagées dans le travail de
réussite éducative avec l’accompagnement
scolaire assuré par la Ligue de l’enseignement,
Fédération des Œuvres Laïques.
C’est avec l’implication des animateurs, la
complicité des comédiens chanteurs de la
compagnie LES BRIGANDS, l’accueil de la
ville de Trélazé et le soutien de la Direction
régionale des affaires culturelles, que le
travail d’action culturelle s’est remis à l’œuvre
pour entraîner parents et enfants dans une
nouvelle aventure lyrique.
Après le prélude Hervé comment ? une
cinquantaine de personnes, de familles de
Trélazé ont découvert Les Chevaliers de la Table
ronde l’opéra-bouffe de Hervé présenté au
Grand Théâtre d’Angers le 17 janvier 2016.
Pour des professionnels et bénévoles dans le
cadre d'une rencontre interprofessionnelle
“culture et territoire”.
Autour de la production Les Chevaliers de la
Table ronde, Angers Nantes Opéra, le pôle
métropolitain Loire-Angers, l’Anjou bleu —
Pays Segréen, le département de Maine-etLoire (Direction de la Culture et du Patrimoine)
et la commune de Pellouailles-les-Vignes ont
proposé un stage par et pour les acteurs des
territoires sous le signe de « la connaissance
et de la reconnaissance ».
À l’occasion de la (re)découverte d’une
structure culturelle (cette année la maison
de production lyrique Angers Nantes Opéra),
bibliothécaires, responsables et professeurs
d’écoles de musique, médiateurs culturels,
diffuseurs, conseillers pédagogiques, relais
du champ social, élus, animateurs, et autres
professionnels et bénévoles œuvrant sur
des espaces communs se sont rencontrés
et ont partagé leur expérience (ou première
tentative) de l’action culturelle pour tous les
publics.
Le spectacle d’intervention a été présenté en
clôture du stage et les participants ont assisté
ensuite à la représentation des Chevaliers de la
Table ronde le 19 janvier 2016 au Grand Théâtre
d’Angers.
Le spectacle d’intervention Hervé comment ?
ou par qui et comment l’opérette fut inventée
programmé dans le cadre de l’action culturelle
sur le territoire en prélude à l’opéra-bouffe Les
Chevaliers de la Table ronde de Hervé aura été
représenté :
à Trélazé (49) à l’Avant-scène théâtre
le 14 décembre 2015 à 17h
à Nantes (44) à la Machine à bulle
(Bout des pavés) le 15 décembre 2015 à 20h
à Pellouailles-les-Vignes (49)
au Carré des Arts le 5 janvier 2016 à 17h30
à Nantes (44) à la salle Vasse
Le 6 janvier 2016 à 19h
L’entrée y était gratuite – sur réservation - et
près de deux cent cinquante personnes auront
été accompagnées dans leur découverte de
l'opéra… bouffe.
les chevaliers de la table ronde
14
anGers nantes opéra est financé par
nantes Métropole et la ville d’angers,
l’état – préfet de la région pays de la Loire – direction régionale des affaires culturelles,
le conseil régional des pays de la Loire,
le département de Loire-atlantique,
et reçoit l’aide du département de Maine-et-Loire.
Monochrome Noir
LOGOTYPE 2015
pour la promotion france Musique, fip, ouest france et Télérama.
Le logotype Nantes Métropole est une entité immuable, dont les transformations envisageables sont définies
dans la charte graphique. Toutes autres interprétations graphiques de l’identité visuelle sont interdites.
Pour tout complément d’information, contactez le Service Communication externe de Nantes Métropole.
Les partenaires de la nouvelle production avec la compagnie Les briganDs
pour les chevaliers de la table ronde de hervé
créée le dimanche 22 novembre 2015 à l’opéra national de bordeaux
Décor fabriqué par les ateliers de l'opéra de reims.
production déléguée Palazzetto Bru Zane — Centre de musique romantique française.
production exécutive compagnie LES BRIGANDS.
coproduction opéra de reims / centre des bords de Marne, scène publique conventionnée du perreux-sur-Marne /
La coursive – scène nationale La rochelle
avec le soutien d’arcadi Île-de-france, de la speDiDaM et de l’aDaMi,
avec l’aide de la Drac Île-de-france,
en partenariat avec Angers Nantes Opéra.
les chevaliers de la table ronde
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réalisation programme :
Noir Métropole
Noir 100 %
Les prochains rendez-vous
d’Angers Nantes Opéra
Histoires sacrées
Oratorios
Jonas et Jephté de Giacomo Carissimi
Le Reniement de saint Pierre de Marc-Antoine
Charpentier
Mise en scène Christian Gangneron
Costumes Claude Masson
Avec Hervé Lamy, Jonas, Jephté ;
Hadhoum Tunc, la fille de Jephté ;
Francisco Fernandez Rueda, Pierre.
le Chœur d’Angers Nantes Opéra,
dirigé par Xavier Ribes
Stradivaria, ensemble baroque de Nantes,
dirigé par Bertrand Cuiller
ANGERS COLLÉGIALE SAINT-MARTIN
Mardi 15, mercredi 16, vendredi 18,
dimanche 19 mars 2016
À 20h en semaine et 14h30 le dimanche.
Don Giovanni
de Wolfgang Amadeus Mozart
(1756-1791)
NOUVELLE PRODUCTION
Direction musicale Mark Shanahan
À Nantes
Du Berceau à la tombe
Concert de l’ensemble DA CAMERA
Richard Wagner, Siegfried Idyll ;
Claude Debussy, Children’s Corner ;
Gustav Mahler, Kindertotenlieder.
Vendredi 11 mars 2016 à 20h
À la rencontre de Elena Mendoza,
compositrice
concert dans le cadre des Rencontres
Utopik. Œuvres de Anton Webern,
Claude Debussy et Elena Mendoza
Samedi 19 mars 2016 à 20h
Le 26e festival de cinéma
espagnol de Nantes
Soirée Courts métrages - Lundi 21 mars 2016 à 20h
Soirée de Clôture - Lundi 28 mars 2016 à 20h
Concert du Quatuor Liger
Vendredi 22 avril 2016 à 20h
et aussi
Concert des élèves du
Conservatoire de Nantes
Mise en scène Patrice Caurier
et Moshe Leiser
Dimanche 24 janvier 2016 à 11h
au Théâtre Graslin
Entrée libre en fonction des places disponibles
NANTES THÉÂTRE GRASLIN
Vendredi 4, dimanche 6, mardi 8,
jeudi 10, samedi 12 mars 2016
Conférence du
Cercle Richard Wagner
ANGERS GRAND THÉÂTRE
Mercredi 4, vendredi 6, dimanche 8 mai 2016
en semaine à 20h, le dimanche à 14h30
Maria Republica
de François Paris (né en 1961)
CRÉATION MONDIALE
Opéra pour sept chanteurs, ensemble de
quinze musiciens et électronique.
Livret de Jean-Claude Fall, d’après le roman
Maria Republica de Augustín Gómez-Arcos.
Créé au Théâtre Graslin de Nantes, le mardi
19 avril 2016.
Direction musicale Daniel Kawka ;
Mise en scène Gilles Rico ;
Préparation des chanteurs Rachid Safir
NANTES THÉÂTRE GRASLIN
Mardi 19, jeudi 21, dimanche 24,
mardi 26, jeudi 28 avril 2016
en semaine à 20h, le dimanche à 14h30
Les œuvres symphoniques de Richard
Wagner par Emmanuel Hondré,
directeur du département concerts et
spectacles de la Philharmonie de Paris
Samedi 9 janvier 2016 à 15h
au Foyer du Théâtre Graslin
Renseignements / Réservations www.angers-nantes-opera.com
Nantes :
Billetterie au Théâtre Graslin
ouverte le mardi de 14h à 18h ;
du mercredi au samedi de 12h à 18h
Par téléphone : 02 40 69 77 18
Angers :
Le Quai :
Billetterie ouverte du mardi au vendredi
de 13h à 19h et le samedi de 15h à 18h
Tél. 02 41 22 20 20
Grand Théâtre : Billetterie ouverte
du mardi au samedi de 12h à 18h30
Tél. 02 41 24 16 40