Minounews - Ecole du Chat Libre de Bordeaux

Minou news
• 1er semestre • 2014
C’est devenu une tradition depuis 2004…
Voici notre gazette du premier semestre 2014, dans laquelle nous souhaitons vous faire partager
quelques uns des événements déjà bien nombreux qui ont jalonné le début de cette année.
En mars, une session de formation aux captures a été
organisée pour expliquer à de nouveaux bénévoles motivés le
fonctionnement d’une cage-trappe, et leur prodiguer des conseils pour réussir le trappage de chats errants en vue de leur
stérilisation. Evénement important dans la vie de l’association :
le 6 avril s’est tenue l’Assemblée Générale Ordinaire, qui a réuni
les adhérents venus découvrir le bilan de l’année passée, et les
projets pour cette année, dont l’objectif : atteindre le nombre
symbolique de 1000 stérilisations de chats errants ! Une assemblée générale extraordinaire a également eu lieu le même jour
pour modifier les statuts. La nouvelle version de ceux-ci sont
disponibles au local ou consultables en ligne, sur le site de
l’association. Fin avril, nous avons participé à un vide-grenier
au Bouscat, grâce à Nicole, mais aussi Frédéric et Danielle qui
se sont investis dans son organisation. Merci aux personnes qui
ont donné des objets, dont la vente a permis de régler quelques
factures vétérinaires ! L’objectif principal était de faire connaître
l’association et ses actions
au public, dans une comCette gazette a été réalisée par
mune qui a choisi le ramasdes bénévoles et imprimée sans
sage des chats errants au
frais pour l’association, grâce à
lieu de leur stérilisation.
une imprimante et des consommables généreusement offerts à
l’association par une entreprise
de Cenon !
Les vides-greniers constituent un bon moyen
pour
faire
connaître
l’association et sensibil-
iser le plus grand nombre à la situation des
chats errants. Si vous
avez des amis ou de la
famille qui participent
à ce type d’événement
et soutiennent la cause
animale, n’hésitez pas à
nous contacter afin de vous donner de la documentation à
placer sur le stand ou à distribuer !
CONTACT : Céline ou Nicole au 06 82 00 91 41
par mail à l’adresse : [email protected]
Début mai, une session jardinage a réuni plusieurs bénévoles et
sympathisants au local sous un beau soleil printanier, pour nettoyer le jardin autour du local, et garnir les jardinières de plantes
diverses et variées. Parallèlement, un petit abri a été construit
sur le côté du local pour ranger du matériel. La journée s’est
terminée autour d’un goûter, où d’autres bénévoles sont venus
rejoindre les jardiniers du jour, et partager un agréable moment.
Ce fut également l’occasion de présenter les nouveaux tracts et
affiches « modernisés », réalisés par un groupe très dynamique
de bénévoles qui œuvre pour améliorer la communication de
l’association !
Ils ont besoin de vous !
Dans les pages qui suivent, vous allez découvrir l’histoire de quelques chats recueillis par l’association.
Néanmoins, notre activité ne se limite pas à ces quelques cas, loin de là!
En effet, depuis 2009, le nombre de stérilisations est passé de 602 à 963, soit une augmentation de
près de 60% !
MINOU NEWS • 1er Semestre 2014 • Ecole du Chat Libre de Bordeaux /Association Loi 1901 – N°W332008594 Préfecture de la Gironde
tons rappeler ce message
Voici QUELQUES groupes
essentiel : la stérilisation est
de chats pour lesquels nos
la seule solution humaine
bénévoles sont allés réaliset réellement efficace
er une enquête de voisinpour réduire la misère des
age, la capture et le transchats de la rue, et garanport chez le vétérinaire des
tir un environnement plus
chats, depuis novembre
serein pour les riverains.
dernier. Cela représente un
travail très lourd pour nos
Vous pouvez nous aider
bénévoles qui donnent de
à faire passer le message
leur temps en-dehors de
en faisant quelques copies
leurs activités professiondu prospectus joint à cette
nelles et/ou personnelles,
Chatons recueillis le 21 mai à Villenave d’Ornon. L’un d’entre eux
gazette, à distribuer dans
n’a malheureusement pas survécu, les autres recoivent toujours
et s’évertuent à attraper
votre entourage, à des perdes soins intensifs.
au minimum toutes les
sonnes sensibles à la misère
femelles du groupe. Cette
animale, et qui pourraient à
toute notre inquiétude et solliciter
liste n’est pas exhaustive : Nous nous
leur tour le distribuer. Ainsi, par un effet
votre aide pour franchir cette étape
réjouissons de ce résultat, mais nous res« boule de neige », l’association pourrait
difficile. Nous joignons à cette gazette
sentons cruellement la baisse de nos resdavantage être connue, autant pour recesources liée aux frais vétérinaires con- un appel au don, et nous vous remer- voir plus de soutien que pour permettre à
séquents ! De plus, les tarifs vétérinaires cions par avance de votre soutien des particuliers confrontés à un problème
ont connu une hausse non négligeable si précieux, qui nous permettra de de chat errant de savoir que nous pouvons
pour l’association depuis 2009. Aussi, nous
nous tournons vers vous pour vous dire
sauver encore de nombreux chats en
détresse ! Pour conclure, nous souhai-
peut-être les aider !
Merci de votre soutien !
quelques interventions de nos bénévoles depuis novembre 2013...
7 novembre– TALENCE 4 chats, dont 2 handicapés
17 novembre– SADIRAC 9 chats
18 novembre – BORDEAUX 1 chatte et 3 chatons
20 novembre– BEGLES Rives d’Arcins 1 chatte et 2 chatons
24 novembre LA BREDE 6 chats
8 décembre – MERIGNAC 1 chatte et 2 grands chatons
10 décembre – MARTILLAC 6 chats
15 décembre – BORDEAUX Lac 7 chats et 3 chatons
5 janvier – PESSAC 1 chatte et 4 chatons
12 janvier – CASTRES-GIRONDE 1 femelle et 2 chatons
14 janvier – BORDEAUX 2 chattes et 4 chatons
17 janvier – MERIGNAC 5 adultes et 2 grands chatons
24 janvier – COURREJAN 1 chatte et 2 chatons
28 janvier – CASTRE-GIRONDE 5 chats
10 février – CENON 4 adultes
20 février – TALENCE 7 chats
(voir l’article « Recherche jardin désespérément ! » )
25 fév – MERIGNAC 5 adultes et 3 grands chatons
4 au 10 mars – AMBARES 6 chats
10 au 25 mars – TALENCE Université 4 adultes et 5 grands chatons
7 Avril – SAINT JEAN D’ILLAC 2 chattes et 3 chatons
24 avril – BORDEAUX 1 chatte et 5 chatons
29 avril au 2 mai - GRADIGNAN 6 adultes
5 mai – BORDEAUX Lac 3 jeunes chats
10 mai – BORDEAUX Lac 3 adultes
15 mai – CENON 2 chattes et 1 chaton
16 mai – LORMONT 1 chatte et 3 chatons
21 mai – VILLENAVE D’ORNON 2 chattes et 6 chatons en très piteux état
Quelle Futée !
A la fin de l’été 2012, un ancien bénévole nous prévient qu’il a aperçu, sur son lieu de
travail près de la gare de Bordeaux, une chatte sauvage et sa portée. L’une de nos
bénévoles se déplace et découvre quatre chatons tigrés et blancs et leur maman,
sous un algeco à côté des bureaux SNCF. Plusieurs employées, émues par la vue des
bébés, leur déposent des croquettes à même le sol.
La bénévole place alors de la nourriture dans une cage-trappe pour habituer toute la troupe
à entrer dedans, et le lundi suivant, les captures commencent. Les quatre chatons se font
prendre dans la nuit, mais la maman, très méfiante et maline, ne s’approche plus des cages.
C’est souvent le cas quand une chatte assiste à la capture de ses chatons, si elle est de nature
FUtée, au moment de sa capture
très craintive et qu’elle n’est pas affamée, il peut être très difficile par la suite de la faire entrer
dans le piège. Quelle n’a pas été la surprise de notre bénévole quand, le lendemain, elle voit passer la chatte avec un gros pigeon dans
la gueule, comme si elle lui disait : « j’en ai rien à faire de tes sardines et de ta cage, je peux m’attraper moi-même ma nourriture ! ». Bien
2 • MINOU NEWS • 1er Semestre 2014
Ecole du Chat Libre de Bordeaux /Association Loi 1901 – N°W332008594 Préfecture de la Gironde
sûr, il est hors de question de ne prélever que les chatons et de
laisser la mère continuer à se reproduire. La bénévole débranche
donc les cages, et reprend toute l’opération du début. D’abord,
mettre une gamelle à 20 cm de la cage, puis petit à petit la rapprocher, jusqu’à l’entrée, et l’éloigner ensuite au fur et à mesure,
pour enfin habituer celle qu’elle a nommée la Futée à entrer
tranquillement manger au fond de la cage sans craindre qu’elle se
referme. Il faudra deux mois entiers pour que Mme Futée entre et
sorte de la cage pour s’y nourrir comme si c’était sa cantine. Enfin,
le mécanisme est branché, et le soir même, la chatte est piégée !
Stérilisée le lendemain matin, elle est relâchée sur site après avoir
passé quelques jours chez Mathilde. Mais notre bénévole nourrit
déjà un autre groupe dans le coin, elle passe donc une annonce
sur le blog pour trouver quelqu’un qui se charge de porter des
croquettes à Futée. Il faut dire, qu’une fois les chatons sortis,
plus aucune employée n’est intéressée pour nourrir une chatte
sauvage qui ne se montre pas de jour! C’est ainsi que Danielle
rejoint nos rangs. Elle prend la suite du nourrissage de Futée, en
étant prévenue qu’elle ne la verrait pas beaucoup. Mais les mois
passent, et toujours pas d’occasion d’entrevoir ne serait-ce que
le bout de la queue de la chatte... Danielle finit même par se
demander si Futée est toujours là. Après tout, les croquettes ne
sont-elles pas mangées par d’autres chats du quartier, des chiens
qui passent, les pigeons et les rats ? Futée est peut-être morte, ou
a changé de coin ? Aucun employé SNCF ne l’a vue. Pour en être
sûre, Danielle cesse de mettre des croquettes pendant trois jours.
Le 4ème, en descendant de sa voiture, que voit-elle du coin de
l’œil ? Notre Futée, tapie dans les herbes, sous le figuier ! Enfin, la
voilà ! Preuve que la faim fait sortir le « loup » du bois ! Danielle
dépose la nourriture sous l’abri en parlant à la chatte tout doucement, émue d’enfin pouvoir l’apercevoir. Et évidemment, dès
qu’elle se retourne, Futée prend la poudre d’escampette. Mais
Danielle a sa réponse : Futée est toujours là, et elle va bien. Pour
la peine, elle a une bonne gamelle de pâtée. Sait-on jamais, si ça
pouvait lui donner l’idée de se montrer de temps en temps...
Recherche jardin désespérément !
Notre association a pour but
premier la stérilisation des
chats errants, sans propriétaires. Une grande partie de
ces chats est non sociable, ce
qui fait qu’il est très difficile
de les faire adopter. Nous luttons donc pour avoir le droit
de relâcher ces animaux sur
leur site de capture. Mais, bien sûr, il se trouve quelques fois,
où il nous est impossible de le faire, parce que les lieux sont
dangereux, parce que les chats y sont indésirables, ou parce que
personne n’assurera leur nourrissage. C’est le cas d’un groupe de
chats sur lequel est intervenue, en janvier dernier, notre bénévole
Nicole. Ces chats vivaient autour d’une résidence à Talence.
Nicole a réussi à capturer toute la troupe, qui se composait de
deux chats adultes et cinq grands chatons d’environ un an. Une
voisine lui a indiqué qu’une chatte s’était fait écraser quelques
temps auparavant... Parmi ces sept chats, tous pris en charge
par l’association, quatre d’entre eux se sont révélés sociables :
l’un d’eux a déjà trouvé un nouveau foyer et, à l’heure où nous
rédigeons cette gazette, les trois autres : Izou, Igathe et Ipauline,
très gentille, mais un peu timide, attendent chacun une famille
douce et calme, qui souhaiterait les adopter et leur offrir une vie
meilleure. Le problème s’est posé pour les trois autres chats, très
craintifs. On ne pouvait pas les proposer à l’adoption comme «
chats de compagnie ». Le gardien de l’immeuble avait été très
clair : il n’en voulait plus. Les lieux n’étaient pas sûrs, près d’un
rond-point très passant. De plus, aucun riverain sérieux ne s’était
présenté pour assurer la suite du nourrissage. Mais que faire
alors de ces malheureux ?
Nous avons donc fait passer une annonce sur le blog et la page
Facebook de l’association pour chercher des personnes susceptibles d’accepter ces chats sur leur terrain, en liberté, en mettant
simplement à leur disposition une gamelle de croquettes et de
l’eau, et leur permettant ainsi de mener une vie de chats libres...
Une dame au grand cœur a répondu à notre appel à l’aide, et
recueilli un de ces chats. Elle espère, avec beaucoup de patience
et de douceur, le mettre en confiance. Après plusieurs semaines
dans une famille d’accueil, les deux autres chats ont à leur tour
retrouvé la liberté chez un monsieur qui prend soin d’eux et chez
qui ils ont fait la rencontre de nouveaux compagnons félins.
Nous avons l’expérience de ce type de situation : lorsque nous
sommes confrontés à une situation où les chats sont en danger
sur leur lieu de vie, il est très difficile de trouver une bonne âme
qui échangerait eau fraîche et croquettes contre la présence de
chats semi-sauvages dans son jardin... Et pourtant, pour ceux
qui aiment les chats et qui tiennent
à ce que des associations comme la
nôtre continuent à se battre pour éviter
les euthanasies de masse des chats
non-sociables, quelle satisfaction personnelle que de prendre part à leur
sauvetage !
Nous recherchons régulièrement des
« jardins d’accueil » pour accueillir
un ou des chats en danger, n’hésitez
pas à faire passer le mot si vous connaissez quelqu’un qui accepterait de
La jolie Ipauline
venir en aide à un ou plusieurs chats,
attend toujours
si durement rejetés par tous, et qui
SA famille !
méritent une vie plus belle !
Ififille, ou l’histoire d’une battante !
Je m’appelle Ififille, ma naissance aurait pu ressembler à
un conte de fée, je suis née dans un magnifique parc, nous étions
quatre chatons. Notre maman a été stérilisée puis relâchée dans
ce bel environnement. Mais la belle histoire s’arrête là ...enfin,
pas tout à fait … Je vous raconte : Le propriétaire n’a pas pu nous
garder tous et lorsque l’association a été contactée pour trouver
une solution, nous étions déjà grands. A plus de trois mois difficile
de se socialiser ! Le monsieur a attrapé ma sœur pour la confier à
des amis qui voulait l’adopter, mais, trop sauvage, elle a réussi à
s’enfuir dès le lendemain et nous n’avons plus eu de nouvelles.
MINOU NEWS • 1er Semestre 2014 • Ecole du Chat Libre de Bordeaux /Association Loi 1901 – N°W332008594 Préfecture de la Gironde
L’un de mes frères atteint du typhus n’a pas survécu mais
le deuxième, contaminé lui aussi, s’en est sorti, il a été
adopté et il va bien. Et moi ? Alors moi je suis partie
chez Nicole en attendant de me trouver une famille
d’accueil en cette période où l’association était
débordée avec un maximum de petits rescapés.
Moi aussi je suis tombée malade, pas de vomissement, pas de diarrhée mais de la fièvre, des tremblements, du mal à respirer, pas envie de manger
.... incompréhensible ... mais tout le monde avait en
tête ce maudit typhus.
Le dimanche suivant, Nicole a pensé que j’étais mourante et le lendemain, le cœur gros, elle m’a emmenée chez
la vétérinaire en se disant que si le test était positif, il ne faudrait
pas me laisser continuer à souffrir ainsi. Oui mais voilà, moi je ne
voulais pas mourir, pas comme ça, pas maintenant. Contre toute
attente, le test du typhus s’est révélé négatif, alors, allez savoir
pourquoi, sans traitement, sans raison apparente, mais avec
l’énergie du désespoir, j’ai décidé de me battre et de vivre. Et c’est
à ce moment là que le conte de fée a recommencé.
Bien sûr, je n’étais pas plus sociable pour autant,
mais Pascaline est entrée dans ma vie, une
adoptante comme on en rêve tous, patiente,
douce, persévérante. Au bout de quinze
jours à la fuir et à me cacher, j’ai « rendu
les armes », je suis devenue gentille et
affectueuse. Bon d’accord, c’est juste avec
elle, mais c’est bien déjà, non ?
Je vais même vous confier un secret, mais ça
c’est entre nous : le soir, je m’assois devant la
porte de la chambre, je miaule l’air de dire « c’est
l’heure vient te coucher », elle ne peut pas résister et
là je me glisse sous la couette pour un câlin. J’ai oublié de vous
préciser, maintenant je m’appelle Lucette, je sors depuis peu et
j’ai un copain : le chat du voisin. La belle vie en somme !
Vous voyez quand les gens ont de la patience et que le chat se
sent aimé la situation finit toujours par se débloquer
Chats libres
en quête d’un parrain
ou d’une marraine !
Cette nouvelle action s’adresse
aux personnes qui aiment les chats et
souhaitent participer à leur bien-être mais
qui manquent de place, de disponibilités
ou qui ne peuvent, pour diverses raisons,
en accueillir. Cependant, nous espérons
également toucher des amoureux de la
gente féline qui, bien qu’ayant déjà un ou
des chat(s) chez eux, sont sensibles au sort
de ceux qui n’ont pas eu la chance de vivre
dans un foyer douillet avec l’affection d’un
maître. L’objectif premier de l’association
est la stérilisation des chats libres. Certains
de ces chats qui n’étaient pas adoptables
car trop âgés, trop sauvageons ou épris de
liberté, mais tolérés ou acceptés par leur
environnement, ont été pris en charge par
des bénévoles qui les nourrissent sur le site
où ils ont été trouvés. Malheureusement,
avec près de 500 chats stérilisés et remis
en liberté chaque année, l’association ne
peut plus assumer financièrement le nourrissage des nouveaux groupes de chats
qu’elle a fait stériliser. Néanmoins, plusieurs bénévoles de l’association continuent
à nourrir les groupes dont elles s’occupent
depuis de nombreuse années, grâce aux
dons et à nos « opérations caddie ».
Ils vivent ainsi leur existence de chats
libres en harmonie avec la population et
les entreprises locales. Nous souhaitons
proposer à des parrains de participer à
l’amélioration de leur qualité de vie, par
l’achat de nourriture plus adaptée (pâtée
pour les vieux chats édentés), de produits
anti-puces, de vermifuges, de paniers de
transport, de matériels pour leur confectionner des abris de nourrissage ou par
la prise en charge de frais vétérinaires
occasionnels. Nous nous occupons de
chats libres sur Bordeaux (plusieurs sites),
Bègles, Martillac, Ambarès, Sainte-Eulalie,
Cavernes, Talence…
Les parrains ou marraines pourront très
prochainement aider à subvenir aux
besoins du chat ou du groupe de chats
qu’ils auront choisi parmi nos groupes de
chats libres pour le montant et la durée
souhaités. En contrepartie, ils recevront
régulièrement des nouvelles de leur(s)
protégé(s), ainsi que des photos.
Pour tout renseignement,
contactez Valérie à l’adresse :
[email protected]
L’association entre dans sa 15e année qui, pour certains, nous font confiance depuis de nombreuses
d’existence, ceci grâce à toutes les per- années !
sonnes et structures qui soutiennent MERCI aux adoptants qui ont permis d’offrir une plus belle vie à
ses actions ! Nous avons donc de nom- un (ou des) chat(s) de la rue, et ont permis à d’autres malheureux
d’être sortis de la rue!
breux remerciements à formuler :
MERCI aux personnes lucides qui, MERCI aux municipalités (Talence, Bègles, Bouliac, Canéjan,
lorsqu’elles nourrissent un groupe Sadirac, Pessac, Cenon, Fargues Saint Hilaire, Villenave
de chats, se rendent compte de d’Ornon) et aux Fondations 30 Millions d’Amis et Bourdon
l’importance et de l’utilité de la stérilisa- pour leur confiance et leur appui. MERCI aux correspondants
tion afin de ne pas se trouver dans une du journal Sud-Ouest pour leur soutien capital !
situation ingérable. Un grand MERCI aux MERCI aux magasins qui nous permettent d’organiser des colbénévoles, qui ne comptent pas leur temps lectes d’aliments et litière.
pour participer
d’une manière ou d’une autre à réduire la misère Gazette rédigée par Josiane, Maria, Valérie et Mathilde, et Nicole
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féline par leur engagement. Un grand MERCI également aux L. Mise en forme : Jessica Bauget
adhérents et aux donateurs, dont le soutien est essentiel, et
MERCI!