La Trilatérale est au service du Nouvel Ordre Mondial,Les
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La Trilatérale est au service du Nouvel Ordre Mondial Publié le mai 20, 2009 | Par AMIFr Par Pierre Hillard La Trilatérale est une organisation méconnue du public français. Croyant que le suffrage universel représente l’arme décisive pour changer le cours des choses, les Français ignorent en fait que les véritables acteurs de la vie politique et économique se trouvent au sein de « centres de réflexion » nourris par des multinationales. Des groupes ultra puissants comme le Bilderberg, le Lucis Trust, le Council on Foreign Relations (le CFR pour les EtatsUnis concernant la politique étrangère), l’European Council on Foreign Relations (l’ECFR pour l’Union européenne), la Fondation Bertelsmann pour ne citer que ces cas représentent les relais du pouvoir mondial en gestation. Coopérant étroitement entre eux, ces groupes élitistes constituent les différents musiciens permettant à l’orchestre mondialiste de jouer une partition intitulée : « Vers une gouvernance mondiale ». Dans cette affaire, un groupe solidement implanté joue aussi son rôle en faveur d’une unification planétaire : la Trilatérale. Créée en 1973 par Zbigniew Brzezinski (conseiller du président Obama) et David Rockefeller (ancien président du CFR pour ne citer que ce cas), la Trilatérale est constituée de trois entités : l’Amérique du Nord, l’Europe et le Japon. L’objectif de la Trilatérale comme l’affirme Brzezinski dans un article du Figaro est de permettre aux Etats de « faire face à des problèmes de plus en plus partagés – financiers, économiques et stratégiques – et qu’ils sont de moins en moins en mesure de régler, sans au moins se concerter plus étroitement dans leur propre intérêt et dans celui du reste du monde (…). D’où l’idée d’un groupe non gouvernemental de réflexion et de proposition, une centaine d’hommes et de femmes – d’Etat comme d’affaires, de syndicat comme d’université -, qui pourrait nous habituer à travailler ensemble et à mieux réconcilier nos politiques. Un groupe qui a eu le bonheur de compter dans ses rangs des Français tels que Paul Delouvrier, Robert Marjolin, Raymond Barre, Simone Veil, François de Rose, Hubert Védrine, parmi tant d’autres … (…). La Trilatérale a beaucoup fait en son temps pour nous rapprocher – nous Américains, Européens et Japonais (…). L’un de ses rejetons a été le groupe des Sept (le G-7) » . En fait, la Trilatérale œuvre en faveur d’une gouvernance mondiale en procédant par étape. Ainsi, l’une d’entre elle consiste à créer un bloc euro-atlantique unifié dans les domaines politiques, économiques et militaires. Les personnes clefs à la tête de cet institut le confirment aisément. Le président de la Trilatérale Europe est l’Irlandais Peter Sutherland. Outre son passage à la tête de l’OMC (Organisation Mondiale du Commerce), il est aussi le président européen d’un institut euro-américain ultra puissant oeuvrant en faveur d’une Union atlantique : le TPN (Transatlantic Policy Network, réseau politique transatlantique). Ce TPN soutenu par les grandes multinationales (Boeing, Michelin, Coca-Cola, Bertelsmann, Nestley, Microsoft, etc) a affiché clairement ses objectifs : la création d’un seul bloc atlantique à l’horizon 2015. Le rôle de Peter Sutherland à la tête de ces deux instituts est de mener à bien cette ambition. Face à ces objectifs, il n’est donc pas étonnant de relever le nom du vice-président de la Trilatérale Europe, Hervé de Carmoy. En effet, ce dernier est l’auteur d’un ouvrage au titre explicite et résumant Euramérique. la finalité du projet transatlantique, Dans ce travail de fond, la Trilatérale ne laisse rien au hasard. En effet, lors des travaux Giscard en 2003/2004 en faveur d’une constitution européenne, le véritable meneur fut l’Anglais Lord Kerr of Kinlochard, membre de la Trilatérale Europe. Ancien président de la société pétrolière Shell, ancien ambassadeur aux Etats-Unis, il fut aussi le secrétaire général à la Convention européenne auprès de Valéry Giscard d’Estaing. Une telle fonction est logique puisqu’il s’avère nécessaire de créer un pilier politique européen associé au pilier nord-américain dans le but de donner naissance à une Union atlantique. Cet idéal était déjà affiché par le Fondateur de la Paneurope, Richard de Coudenhove-Kalergi qui, dans un discours de 1950, appelait à la naissance d’une « Union atlantique » aboutissant à une « fédération à trois », « l’Angleterre faisant le pont entre l’Europe et l’Amérique ». Ces informations soulignent l’importance de la Trilatérale. Son action doit être dénoncée car elle participe à la formation d’une gouvernance mondiale destructrice des nations et des traditions. Les Juifs qui ne le sont pas Les Rockefeller, Juifs ou WASP ? Dans une conversation sur la conjoncture actuelle ou sur un problème de société, si quelqu’un vous sort, comme un cheveu sur la soupe, le nom de Rockefeller : vous pouvez être sûr que dans les trois minutes qui suivent, il va évoquer le mondialisme, la « finance » (haute, ou mondiale, ou internationale), le cercle Bilderberg, la Trilatérale ou les Illuminati. Ou encore, les chemtrails ou le Mossad. Même si votre interlocuteur se garde bien d’employer le mot juif, vous avez affaire, de façon quasiment certaine, à quelqu’un qui voit un complot derrière le communisme et le capitalisme, derrière les crises économiques et derrière le 11 septembre, derrière la baisse de son pouvoir d’achat. Peutêtre que oui ou peut-être que non. Rockefeller sans terre ? Mais pourquoi Rockefeller ? Eh bien, puisque les Juifs sont riches, c’est bien connu, alors les riches sont juifs ; et les Rockefeller, étant très riches, sont sûrement très juifs ! En fait les Rockefeller sont des Huguenots, originaires de France et émigrés pour cause de persécutions. Wikipedia, sur John Davison Rockefeller : « Baptiste, sa mère lui apprend très jeune que le devoir de tout chrétien est de donner la dîme au Seigneur. » Il était aussi avancé, à un moment donné, que sa grand-mère aurait été d’origine française et « portait le nom de Roquefeuille ». Et plus tard, dans sa vie d’adulte, « Il est un fidèle de la congrégation baptiste d’Erie Street. La piété est une ligne directrice tout au long de sa vie, et Rockefeller voyait volontiers dans son succès un signe d’élection : « L’argent me vient de Dieu ». Il se sent justifié par la maxime de John Wesley [prêtre et théologien anglican] « Faites de votre mieux, épargnez ce que vous pouvez épargner, donnez tout ce que vous pouvez donner. » » On pourrait l’exprimer dans un meilleur français, mais c’est clair. Le fondateur de la dynastie Rockefeller n’était pas plus juif que Smith et Wesson… je veux dire, Smyth et Wesley. L’épouse de John Davison Rockefeller Senior s’appelait Laura Spelman, un nom que certains obsédés rapprochent de Spielmann et de ses variantes, mais elle n’était absolument pas Juive. Son père, Harvey Spelman, descendait d’une famille de protestants puritains, et sa mère, Lucy Henry, était également chrétienne. John Davison Rockefeller Junior était le cinquième enfant et le seul fils de John Davison Rockefeller. Il épousa Abby Greene Aldrich, la fille du sénateur Nelson Wilmarth Aldrich. Rien de juif là non plus. David Rockefeller est l’un de leurs six enfants, et le père de David Rockefeller Junior. John Davison, fils de John Davison… David, fils de David… Aije besoin d’ajouter qu’un fils portant le même prénom que son père, cela n’existe tout simplement pas chez les Juifs ? Ceci dit, David Rockefeller et sa famille font partie du premier cercle, les 8 familles qui dirigent le monde et veulent un gouvernement mondial totalitaire à leur profit exclusif. C’est avéré et les preuves pullulent, y compris venant de sa propre bouche. Ils ont fait leur fortune avec le pétrole, leur homme de main est Henry Kissinger, et David a inventé le club Trilatérale afin de dominer le monde. Pas un gentil coco ! Bon ! Cet article ne vise nullement à défendre les Juifs. On ne peut qu’être violemment critique de certaines choses, dont certaines confinent aux crimes de masse, comme en Palestine. Le sionisme est une idéologie à combattre, tout comme il ne faut pas admettre les thèses tordues des antisémites. Ce site-ci, algarath.com ne roule aucunement pour les Juifs, pas plus qu’il ne s’autorise à les ostraciser, et ici on n’est pas des Juifs. C’est un fait que la finance mondiale est à grande majorité juive, que ses croyances sont juives (Shemitah / Julbiée) mais ce sont eux, les financiers banksters qu’il faut combattre, pas la communauté dont ils proviennent. Ne pas faire l’erreur de se livrer à ce qu’on appelle en bon français une fausse récurrence. Les lecteurs et commentateurs ici, comme ses auteurs, sont des gens équilibrés, sages, modérés et justes, non sujets à des haines incontrôlées. Il y a des tas de sites qui laissent les gens se défouler contre les Arabes, les Musulmans, les Juifs, ou que sais-je encore. Ce n’est pas ici. Désolé si cette précision nette, claire, et sans ambiguïté, éloigne certains lecteurs de ce site qui n’y retrouveront pas un partage complaisant de leur obsession, mais je pense que la vérité que nous cherchons tous n’est pas dans la haine d’une communauté, quelle qu’elle soit. Elle se trouve dans la recherche des causes qui nous tiennent esclaves et surtout de la finance mondiale et de son élite. Algarath La commission Trilatérale On ne peut pas sérieusement comprendre comment ce monde est soumis à une élite sans comprendre ce que sont la Cité de Londres, Washington DC, le Vatican, le Bilderberg, Le CFR, le Siècle, les Francs-Maçons, les Jésuites, et il y en a d’autres. Parmi eux la Trilatérale, dont je parle ici. On peut la relier à David Rockfeller, Henry Kissinger et Zbignew Brzezinski, des poids lourds du Nouvel Ordre Mondial, mais pas qu’à eux comme on va le voir. On a aussi des politiciens au plus haut niveau comme Georges Bush, Jimmy Carter, Bill Clinton et Hillary Clinton. Dans le domaine économique, Tim Geithner, Paul Volcker, Alan Greenspan en sont membres. Ces gens-là ont façonné la finance américaine et la Réserve Fédérale pendant près de 20 ans. En Europe beaucoup de dirigeants de l’Union Européenne sont membres de la Trilatérale. La Trilatérale joue un rôle énormément plus important dans certains pays et gouvernements, et notamment aux Etats-Unis, alors qu’en France ils jouent un rôle très mineur. La Trilatérale joue un rôle important dans l’Administration Obama. Bon ! Allons-y pour quelques pages sur cette organisation très puissante. Algarath Comment David Rockefeller et ses amis dirigent le monde La Commission Trilatérale (parfois abrégée en Trilatérale) est une organisation privée qui fut créée en 1973 à l’initiative des principaux dirigeants du groupe Bilderberg et du Council on Foreign Relations, parmi lesquels David Rockefeller, Henry Kissinger et Zbigniew Brzezinski. Regroupant 300 à 400 personnalités parmi les plus remarquées et influentes – hommes d’affaires, hommes politiques, décideurs, « intellectuels » – de l’Europe occidentale, de l’Amérique du Nord et de l’Asie du Pacifique (États dont la plupart sont également membres de l’OCDE), son but est de promouvoir et construire une coopération politique et économique entre ces trois zones clés du monde, pôles de la Triade. À l’instar du groupe Bilderberg, il s’agit d’un groupe partisan de la doctrine mondialiste, auquel certains attribuent, au moins en partie, l’orchestration de la mondialisation économique. L’oligarchie US défend ses intérêts de classe et garde le contrôle du pouvoir politique à l’échelle nationale en s’appuyant sur des sociétés secrètes telles que les Skull & Bones ou des clubs sélects comme le Council on Foreign Relations(CFR). Au plan international, elle utilise des groupes élitistes, par exemple le groupe de Bilderberg qui cherche à intégrer à son projet les oligarchies d’autres pays pour l’émergence d’une gouvernance mondiale. Le rôle de la Commission Trilatérale avait été remis en lumière avec la nomination du chef de sa section Europe, Mario Monti, comme Premier ministre italien, qui ne l’est plus aujourd’hui. La Trilatérale et Obama Pendant ses dix premiers jours de sa présidence, Barack Obama a nommé onze hauts fonctionnaires issus de la Commission trilatérale à des postes clés de son administration, introduisant ainsi une puissante force extérieure dans le leadership de son gouvernement, mais avec un agenda de base qui porte plutôt préjudice aux citoyens des États-Unis. Outre ces nominations, Obama a appelé à la Maison-Blanche plusieurs membres illustres de la Commission trilatérale, dont Zbigniew Brzezinski, son principal conseiller en politique extérieure. Brzezinski est cofondateur de la Commission (1973) avec David Rockefeller. La Commission trilatérale a une grande responsabilité dans l’état actuel du monde. Elle fut constituée en 1973 comme un forum mondial de « penseurs », devenus les artisans du tournant multinational pris par le capitalisme dans le sens d’une radicalisation du courant de pensée keynésien le plus classique de l’économie : rôle de l’État, intensification de l’exploitation mondiale du travail, hégémonie militaire mondiale des pays les plus riches de la planète et de leurs compagnies transnationales. Henry Kissinger avec Sarah Palin, John McCain, Hillary Clinton et George Bush Jr. La Trilatérale est une sorte de grand parti politique mondial. D’après son site Web, elle fut créée par des personnalités du Japon, de l’Union européenne, et d’Amérique du Nord (ÉtatsUnis et Canada) dans le but de promouvoir et de construire une coopération plus étroite entre les principales régions démocratiques et industrialisées du monde [en opposition au camp socialiste de l’époque] pour partager les responsabilités dans la direction d’un système international élargi. Selon sa liste officielle, la Commission trilatérale compte 424 membres, dont 87 seulement sont États-uniens. Ainsi, au cours de ses deux premières semaines à la Maison-Blanche, le nombre de représentants gouvernementaux désignés par Obama constitue 12 % de la représentation des États-Unis à la Commission. Il entretient bien d’autres liens avec la Trilatérale, comme par exemple la présence en qualité de membre permanent de William Jefferson Clinton (Bill), le mari de la Secrétaire d’État, Hillary Clinton. Voici les onze personnes désignées par Obama : Tim Geithner, secrétaire au Trésor Susan Rice, ambassadrice auprès des Nations unies Le général James L. Jones, conseiller à la Sécurité nationale Thomas Donilon, conseiller pour les questions de Sécurité nationale Paul Volker, président de la Commission pour la reprise économique L’amiral Dennis C. Blair, directeur du Renseignement national Kurt M. Campbell, secrétaire d’État adjoint pour l’Asie et le Pacifique James Steinberg, Député secrétaire d’État Richard Haass, envoyé spécial du Département d’État Dennis Ross, envoyé spécial du Département d’État Richard Holbrooke, envoyé spécial du Département d’État L’administration Obama et la Commission trilatérale entretiennent bien d’autres liens. À titre d’exemple, signalons que le groupe informel de conseillers du secrétaire au Trésor, Tim Geithner, réunit les membres de la Commission : E. Gerald Corrigan, banquier et ancien président de la Réserve fédérale ; Paul Volker, aujourd’hui à la tête pensante de la relance économique d’Obama ; Alan Greenspan, le dernier responsable de la Réserve fédérale, et Peter G. Paterson, éminent banquier et investisseur. Frais émoulu de l’Université, Geithner se mit immédiatement au service du « trilatéraliste » chez Henry Kissinger, aux bureaux Kissinger & Associates. Un autre membre de la Commission trilatérale, le général Brent Scowcroft, un commerçant devenu banquier, fut conseiller officieux d’Obama et mentor de l’actuel secrétaire à la Défense Robert Gates. Robert Zoelick, ancien secrétaire au Commerce et actuel président de la Banque mondiale nommé sous l’administration G.W. Bush, est lui aussi membre de la Commission. Le site Web signale : « La Commission trilatérale est composée de près de 400 noms illustres du monde des affaires, des médias, des universités, des services publics (à l’exception des ministres de cabinets nationaux actuels), des syndicats et d’autres organisations non gouvernementales des trois régions. Trois présidents (un dans chacune des trois régions du monde susmentionnée), des présidents régionaux, un vice-président et des directeurs constituent la direction de la Commission Trilatérale, en collaboration avec un Comité exécutif incluant une quarantaine d’autres membres ». Depuis 1973, la Commission trilatérale se réunit régulièrement en séances plénières pour discuter de manifestes politiques élaborés par ses membres. Les politiques sont débattues jusqu’à obtention d’un consensus. Les membres regagnent leurs pays respectifs pour appliquer ou faire appliquer les politiques ainsi approuvées par consensus. L’objectif initial du groupe était l’instauration d’un « Nouvel ordre économique international » [ce qu’on appelle aujourd’hui la mondialisation]. Son discours actuel encourage une « coopération plus étroite entre les régions industrialisées démocratiques dominantes du monde, qui assument des responsabilités partagées dans la conduite d’un système international élargi ». Prix Nobel de la Paix (comme Obama), Henry Kissinger est impliqué dans plusieurs génocides. Depuis l’administration Carter, les membres de la Commission trilatérale ont exercé leur influence à de hauts postes contrôlés par le gouvernement des États-Unis : six des huit derniers présidents de la Banque mondiale ; les présidents et les vice-présidents des États-Unis (à l’exception d’Obama et de Biden) ; plus de la moitié de l’ensemble des secrétaires d’État des États-Unis ; et les trois quarts des secrétaires à la Défense. Durant la période 2009-2012, l’agenda de la Commission reposera sur deux grandes convictions. Premièrement, la Commission trilatérale est appelée à jouer un rôle plus important que jamais pour préserver la direction partagée des pays riches dans un système international élargi. Deuxièmement, la Commission « élargira son cadre pour refléter des changements plus vastes dans le monde ». Ainsi, le Groupe japonais s’est transformé en Groupe Asie-Pacifique, qui inclut des membres venus de Chine et d’Inde, tandis que des personnalités du Mexique ont rejoint le Groupe Amérique du Nord (Canada et États-Unis). Et le Groupe Europe continue d’augmenter avec l’élargissement de l’Union européenne. La question de l’« influence indue » nous interpelle, lorsque l’on constate le nombre de membres de la Commission trilatérale nommés à des postes élevés au sein de l’administration Obama. Ils ont la mainmise sur des domaines liés à nos besoins nationaux les plus urgents : crise financière et économique, sécurité nationale et politique extérieure. Le conflit d’intérêts est flagrant. Avec 75 % des membres nonUS, quelle influence cette écrasante majorité continue-t-elle d’exercer sur les 25 % restant ? Par exemple, lorsque Chrysler s’est placé sous la protection et le contrôle de la loi étatsunienne sur les faillites dans le cadre du plan de sauvetage de l’administration Obama, un accord a été conclu à la hâte avec le groupe italien Fiat pour sauver cette compagnie. La personne désignée pour conclure l’accord fut le secrétaire au Trésor ou ministre des Finances Timothy Geithner, membre de la Commission trilatérale. Seriez-vous surpris si on vous disait que le président de Fiat, Luca di Montezemolo, est lui aussi un membre de la Commission ? Le Congrès aurait dû interdire ce partenariat au moment où il a été suggéré. Beaucoup des membres européens de la Commission trilatérale sont aussi de hauts dirigeants de l’Union européenne. À quelles oscillations politiques et économiques sont-ils soumis par la branche états-unienne ? Si on faisait un sondage sur la question, la grande majorité des ressortissants US diraient que les affaires des États-Unis leur appartiennent, et qu’ils doivent se fermer à toute influence étrangère dictée par des programmes non étasuniens. Mais l’immense majorité des citoyens US n’a pas la moindre idée de ce qu’est la Commission trilatérale, et encore moins de l’énorme pouvoir qu’elle a usurpé depuis 1976, quand Jimmy Carter a été le premier membre de la Trilatérale élu président des États-Unis. À la lumière de la crise financière actuelle sans précédent, les « trilatéralistes » seraient voués à l’exécration s’ils lisaient les déclarations de Zbigniew Brzezinski (cofondateur de la Commission avec David Rockefeller) consignées dans son livre paru en 1971 intitulé « Entre deux âges : le rôle de l’Amérique à l’ère technotronique ». Brzezinski signalait : « La nation-État, en tant qu’unité fondamentale de la vie organisée de l’homme, a cessé d’être la principale force créatrice : les banques internationales et les corporations transnationales sont [à présent] les acteurs et les architectes au sens que prenaient autrefois ces termes appliqués à la nation-État ». Autrement dit, il a jeté au placard les concepts de base d’État-nation, de souveraineté des pays et du rôle de l’État dans la société, pour défendre la vision d’un monde gouverné par les banques et les corporations transnationales. C’est exactement ce à quoi nous assistons dans toutes les sphères. Les banques et les corporations mondiales sont des cercles qui se resserrent autour de la nation-État, y compris les États-Unis. Elles n’ont aucun respect pour aucun processus, ni pour le Congrès, ni pour la volonté des peuples. Pourquoi ont-elles maintenu les citoyens US dans l’ignorance sur un sujet qui ébranle les fondations mêmes de ce pays ? La Trilatérale contrôle les grands médias La réponse est simple : on compte parmi les patrons des grands médias de nombreux membres de la Commission trilatérale, et ils peuvent détourner les informations pertinentes mais dérangeantes. Parmi ces décideurs figurent : David Bradley, président d’Atlantic Media Company. Karen Elliot House, ex-vice-président senior de Dow Jones & Company, et éditrice du Wall Street Journal, qui appartient à Rupert Murdoch. Richard Plepler, coprésident de HBO. Charlie Rose, de PBS, Service public de radio et télévision des États-Unis. Fareed Zakaria, rédacteur du Newsweek Mortimer Zuckerman, président de l’U.S. News & World Reports. Il existe beaucoup d’autres connexions avec la haute direction des médias, résultant de l’appartenance ou de la participation aux leviers de commande des transnationales et de l’actionnariat commun. Pour plus d’information, consulter le livre publié originalement en 1978 « Trilaterals Over Washington », disponible [en anglais] en format électronique et gratuitement sur www.AugustReview.com. Ce site contient aussi beaucoup d’articles qui traitent divers aspects de l’hégémonie de la Commission trilatérale aux Etats-Unis et dans le monde. Coup d’état Italien : La commission Trilatérale fait main basse sur l’Italie « Nous arrivons vers l’émergence d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c’est de LA CRISE MAJEURE et le peuple acceptera le Nouvel Ordre Mondial »David Rockefeller au C.F.R. (Council on Foreign Relations). Reprenons la citation de Rockefeller. De là à penser que la crise de la dette a été préparée de longue date il n’y a qu’un pas. La commission Trilatérale serait-elle décidée à ruiner les ménages sur l’autel de la mondialisation ? Ce qui vient de se passer en Grèce puis en Italie est peut être une avancée décisive. Une avancée avec la nomination de Mario Monti à l’époque (Président de la Commission Trilatérale zone Euro) vers l’émergence de ce que Nicolas Sarkozy nous a promis en ces termes en janvier 2008 “Nous irons ensemble vers ce Nouvel Ordre Mondial et personne, je dis bien personne ne pourra s’ y opposer”. On comprend mieux la nécessité de faire tomber par tous les moyens (y compris la guerre) les gouvernements des pays du monde qui ne jouent pas le jeu. Trente ans d’une institution secrète, Les Pouvoirs opaques de la Trilatérale Dirigeants des multinationales, gouvernants des pays riches et partisans du libéralisme économique ont vite compris qu’ils devaient se concerter s’ils voulaient imposer leur vision du monde. Dès juillet 1973 (la même année – création de l’argent dette dans un contexte de mondialisation financière sans limites – la Banque de France abandonne son rôle de service public), David Rockefeller lance la Commission trilatérale, qui va marquer le point de départ de la guerre idéologique moderne. Il y a trente ans, en juillet 1973, à l’initiative de M. David Rockefeller, figure de proue du capitalisme américain, naissait la Commission trilatérale. La Commission entend alors devenir un organe privé de concertation et d’orientation de la politique internationale des pays de la triade (Etats-Unis, Europe, Japon). Sa charte fondatrice résume : « Centrée sur l’analyse des enjeux majeurs auxquels font face l’Amérique du Nord, l’Europe de l’Ouest et le Japon, la Commission s’attache à développer des propositions pratiques pour une action conjointe. Les membres de la Commission regroupent plus de 200 distingués citoyens provenant des trois régions et engagés dans différents domaines. » La création de cette organisation opaque, où se côtoient à huis clos et à l’abri de toute compromission médiatique des dirigeants de multinationales, des banquiers, des hommes politiques, des experts de la politique internationale, ou encore des universitaires, coïncide à ce moment avec une période d’incertitude et de turbulence dans la politique mondiale. La Trilatérale s’impose comme un des principaux instruments, soucieuse à la fois de protéger les intérêts des multinationales et d’« éclairer » par ses analyses les décisions des dirigeants politiques. L’élite rassemblée au sein de cette institution fort peu démocratique et que la démocratie inquiète dès lors que des groupes autrefois silencieux s’en mêlent va s’employer à définir les critères d’une « bonne gouvernance » internationale. Elle véhicule un idéal platonicien d’ordre et de supervision, assuré par une classe privilégiée de technocrates qui place son expertise et son expérience audessus des revendications profanes des simples citoyens. Les thèmes débattus au sein de cette oligarchie de la politique internationale, dont les réunions annuelles se déroulent en différentes villes de la Triade, le sont dans une discrétion qu’aucun média ne semble plus vouloir troubler. Chaque sujet fait l’objet de rapports annuels (The Trialogue) et de travaux thématiques (Triangle Papers) réalisés par des équipes d’experts américains, européens et japonais triés sur le volet. Edités régulièrement depuis une trentaine d’années, ces documents publics traduisent l’attention de la Trilatérale à des problèmes globaux censés transcender les souverainetés nationales et appeler l’intervention des pays riches : réforme des institutions internationales, mondialisation des marchés, environnement, finance internationale, endettement des pays pauvres, etc. Ces interventions s’articulent autour de quelques idées fondatrices qui ont été largement relayées par le politique. La première est la nécessité d’un « nouvel ordre international ». Les attentats du 11 septembre 2001 ont fourni une nouvelle occasion de rappeler, lors de la rencontre de Washington en avril 2002, la nécessité d’un « ordre international » et d’« une réponse globale » auxquels les principaux dirigeants de la planète sont enjoints de collaborer sous la houlette américaine. Lors de cette réunion annuelle de la Trilatérale, MM. Colin Powell (secrétaire d’Etat américain), Donald Rumsfeld (secrétaire à la défense), Richard Cheney (vice-président) et Alan Greenspan (président de la Réserve fédérale) étaient présents. La seconde idée fondatrice, qui découle de la première, est le rôle tutélaire des pays de la triade, en particulier des Etats-Unis, dans la réforme du système international. Les autres pays devront l’intégrer en acceptant le commandement qu’il s’est donné. L’Intervention américaine en Irak, l’appui à la politique israélienne, etc. en sont des exemples. La troisième caractéristique fondatrice de la Trilatérale : son aversion pour les mouvements populaires. Elle s’était exprimée dans le célèbre rapport de la Commission sur la gouvernance des démocraties rédigé par Michel Crozier, Samuel Huntington et Joji Watanuki. Dès 1975, ce texte dénonçait les « excès de la démocratie » qu’exprimaient aux yeux des auteurs les manifestations contestataires de l’époque. Celles qui, un peu comme aujourd’hui, mettaient en cause la politique étrangère des Etats-Unis (rôle de la CIA dans le putsch chilien, guerre du Vietnam, etc.) et réclamaient la reconnaissance de nouveaux droits sociaux. Ce rapport provoqua à l’époque nombre de commentaires indignés, qui dirigèrent leurs feux contre l’administration démocrate du président Carter, qui fut membre de la Trilatérale (comme, plus tard, le président Clinton). Loin d’être un « vieux serpent de mer » qui referait surface au ravissement de quelques adeptes d’ésotérisme et de « théorie du complot », la Commission trilatérale est une institution bien établie, dont la discrétion facilite la collusion entre responsables politiques et grandes entreprises. Selon M. David Rockefeller : « Les idées mises en avant par les rapports de la Commission trilatérale sont devenues des politiques officielles ». Ainsi se dessine la trame d’un pouvoir diffus, opaque, presque insaisissable, qui tisse ses liens à travers des clubs fermés et des rencontres internationales dont le forum de Davos représente l’expression la plus ostentatoire. Dans ces lieux de rencontres, d’échanges, de tractations gravitent les mêmes protagonistes, s’élaborent les analyses et les compromis qui précèdent souvent les grandes décisions. La Commission trilatérale est une des pièces de cet échiquier polymorphe. Elle consolide l’alliance entre le pouvoir des multinationales, de la finance et de la politique, grâce à un réseau d’influences dont les ramifications s’étendent aux principaux secteurs de la société. Sources : Crédit à mortelune du mardi 29 novembre 2011 / Olivier Boiral (Canada) « August Review.com », 30 janvier 2009, « Obama : Trilateral Commission Endgame », par Patrick Wood. Etudiant chercheur Sarah Maddox. Tuteur : Peter Phillips, Université d’Etat de Sonoma. Patrick Wood (August Review.com) / Réseau Voltaire / Projet censuré. David Rockefeller, Georges Berthoin et Takeshi Watanabe, préface aux Task Force Reports : 9-14, New York University Press, 1978, p. IX. Olivier Boiral Professeur à l’université Laval (Canada) http://www.monde-diplomatique.fr/2003/11/BOIRAL/10677 La commission Trilatérale influence la zone Euro http://www.augustforecast.com/2011/11/11/trilateral-commission -influence-in-the-eurozone/ Alain Cotta, membre de la Trilatérale http://www.agoravox.tv/actualites/citoyennete/article/alain-co tta-membre-de-la-29616 Alain Cotta, membre de la Trilatérale flingue la monnaie unique http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/alain-cotta -flingue-la-monnaie-98381 La liste des de la commission Trilatérale en Europe http://www.trilateral.org/download/file/TC_list_10-11_2.pdf La liste des membres de la commission Trilatérale en Amérique du nord http://www.trilateral.org/download/file/NA_list_10-11(2).pdf La liste des membres de la commission Trilatérale dans la zone Asie/Pacifique http://www.trilateral.org/download/file/PA_list_10-11.pdf Elle dispose aujourd’hui d’un site Internet (http://www.trilateral.org/) au travers duquel elle publie un certain nombre de travaux mais aussi comptes-rendus et teneurs de certaines réunions tenues au quatre coins de la planète. L’ouverture reste relative puisque tous ses travaux ne sont pas publiés et j’ai pu lire que les versions publiques diffèrent des versions pour les membres. Néanmoins, l’effort reste notable. Chose intéressante aussi c’est qu’elle publie la liste de ses membres, et je dois dire qu’en parcourant cette liste j’ai été assez surpris d’y trouver des personnes comme Elizabeth Guigou ou encore Jean François Copé … Membres Français Aussi, vous trouverez à continuation la liste de tous les membres Français de la trilatérale. Il y en a 19 sur cette liste alors que le site annonce que la France y tient 18 Sièges. J’imagine que l’une des personnes citées plus bas, bien que française, doit y siéger pour le compte d’un autre pays. Pour ceux qui veulent voir la liste de tous les membres dans le monde, vous pouvez la télécharger à l’adresse suivante : http://www.trilateral.org/go.cfm?do=Page.View&pid=6 La liste la voici, j’ai rajouté entre parenthèses les écoles d’où sont issus toutes ces personnes. Enfin il convient de noter que les noms précédés d’un astérisque concernent les membres qui exercent une fonction au sein du comité exécutif de la trilatérale : 1/ Yves-Thibault de Silguy, Chairman, VINCI, Paris + ENA) (IEP Paris 2/ Denis Ranque, Chairman, Technicolor, Paris ; former Chairman and Chief Executive Officer, Thales, Paris (X mines) 3/ Benoît Potier, Chairman and Chief Executive Officer, Air Liquide, Paris (Centrale + Insead) 4/ Dominique Moïsi, Special Advisor to the Director General of the French Institute for International Relations (IFRI), Paris (Sorbonne et Harvard) 5/ Anne Lauvergeon, Chief Executive Officer, AREVA, Paris (Normale sup + ingé Mines) 6/ Elisabeth Guigou, Member of the French National Assembly ; former Minister for European Affairs, Paris (IEP Aix + ENA) 7/ Michel David-Weill, Former Chairman, Lazard LLC, worldwide ; Chairman of the Supervisory Board, EURAZEO, Paris (IEP Paris) 8/ Jean-François Copé, Member of the French National Assembly ; Chairman of the UMP Parliamentary Group ; Former Member of the French Government, Paris (ENA) 9/ Patrick Combes, Chairman and Chief Executive Officer, Compagnie Financière Tradition and Viel & Cie., Paris (EAP + MBA Columbia) – entrepreneur 10/ Bertrand Collomb, Honorary Chairman, Lafarge ; Chairman, Institut des Hautes Etudes pour la Science et la Technologie (IHEST) ; Chairman, Institut Français des Relations Internationales (IFRI) ; Member of the Institut de France, Paris (X mines) 11/ Hervé de Carmoy, Chairman of the Supervisory Board, ETAM, Paris ; Honorary Chairman, Banque Industrielle et Mobilière Privée, Paris ; former Chief Executive, Société Générale de Belgique (IEP Paris + MBA Cornell) 12/ Jean-Louis Bruguière, EU High Representative to the United States on the Terrorist Finance Tracking Programme (TFTP/SWIFT) ; Judge, Paris (IEP Paris – Ecole Normale de la magistrature) 13/ Jean-Louis Bourlanges, Member, State Audit Court (Cour des Comptes), Paris ; Associated Professor, Institute for Political Studies in Paris ; former Member of the European Parliament, Brussels ; former President of the European Movement in France, Paris (IEP Paris + ENA) 14/ Nicolas Beytout, Chairman and Chief Executive Officer, Groupe Les Echos ; former Editor of Le Figaro and Les Echos, Paris (IEP Paris) 15/ *Georges Berthoin, International Honorary Chairman, European Movement ; Honorary Chairman, The Jean Monnet Association ; Honorary European Chairman, The Trilateral Commission, Paris (Non Défini) 16/ Patricia Barbizet, Chief Executive Officer and Member of the Board of Directors, Artémis Group, Paris (ESC Paris) 17/ Jacques Andréani, Ambassadeur de France, Paris ; former Ambassador to the United States (ENA) 18/ *Edmond Alphandéry, Chairman, CNP Assurances, Paris ; former Chairman, Electricité de France (EDF) ; former Minister of the Economy and Finance (IEP Paris) 19/ Alexandre Adler, Scientific Director for Geopolitics, University of Paris-Dauphine ; Journalist and Commentator, Paris (Ecole Normale Sup) Un certain nombre de surprises donc au premier rang desquelles le fait qu’il n’y a AUCUN représentant du grand capital sur cette liste contrairement à l’idée généralement acceptée ! Pas un seul riche au sens du classement FORBES des richesses mondiales. Tous sont soit des employés (de haut vol), des fonctionnaires, des journalistes, mais rien qui s’approche à ce que l’on peut voir à DAVOS, pourtant un club bien plus transparent que la trilatérale. Le plus riche de cette liste, et le seul entrepreneur est M. Patrick Combes dont j’ai pu lire que sa fortune était estimée à un peu plus de 125 Millions d’euros en sa qualité de détenteur de 59% des parts de sa société cotée en Bourse. Une richesse colossale au regard de mes 2000 euros d’économies mais qui ne pèse rien aux côtés des quelques 53,5 Milliards de dollars de Carlos Slim ou encore des 27,5 Milliards de dollars de Bernard Arnault (Source : forbes). Il faudrait certainement conduire cette étude sur l’intégralité des presque 400 membres de la Trilatérale dans le monde mais au regard de ses membres français La trilatérale n’apparait donc clairement pas être ce qu’on l’accuse souvent d’être : une organisation où les riches de ce monde décident de notre avenir ! Avec la crise financière, je me suis demandé si en fait il ne s’agissait pas d’un club où banquiers et homme politiques se réunissaient. D’autant que le président du groupe Europe n’est autre que le Patron de Goldman Sachs Europe et que l’on retrouve comme membre fondateur le nom de Rockefeller. J’ai donc fait le petit tableau qui suit pour savoir dans quel secteur ces personnes travaillent au quotidien. Voici le résultat : Industrie : 8 personnes Politique : 2 personnes Journalisme : 2 Personnes Banque : 2 personnes Fonctionnaires & Equivalents : 4 Juge : 1 Là encore il faudrait étendre l’étude à l’ensemble de l’organisation mais pour ce qui est de la France, les banquiers sont très minoritaires le plus gros groupe étant constitué de directeurs de groupes industriels Français, donc plutôt une représentation du secteur productif. Pour ce qui est des écoles dont sont issues toutes ces personnes : La trilatérale dans sa version française ressemble plus à un club d’anciens élèves de Science Po, puisque 8 personnes sortent des IEP dont 7 Pour la seule IEP Paris. Le second groupe est celui des énarques qui touche 5 personnes suivent à part égale les formations Ingénieurs et Commerciales 4 chacun. Etant donné le nombre de doubles diplômes sur la liste, le total est donc supérieur à 19 !!! Algarath
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