Christophe a aimé - Site de la ville de Viry

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Christophe a aimé - Site de la ville de Viry
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Nathalie a aimé :
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A la Maison Blanche (2000)
Best Scandal (2009)
Scandal
L'industrie musicale japonaise est la deuxième du monde en
termes de production, derrière les USA. Malgré cela et une
diversité de styles aussi variés que partout ailleurs, les
fleurons du bon son Nippon auront mis du temps à
dépasser les frontières de l'archipel pour commencer à
gagner une reconnaissance internationale. Ici, c’est le
groupe Scandal qui est à l'honneur.
Fondé en 2006 et composé de 4 pétillantes lycéennes
d'Osaka, le groupe se fait rapidement connaître dans la
région. Leur best–of est le premier album à sortir hors du
Japon et un excellent fer de lance pour faire découvrir leur
style frais et maîtrisé. Un bon album rock bien pêchu qui fait
rapidement taper du pied où on retrouve l’excellent titre
Shojo S, 10ème opening de l’anime Bleach.
Heureusement les fans confidentiels d'hier sont devenus les
décideurs d'aujourd'hui et c'est grâce à des labels comme
Wasabi Records et des passionnés comme Nolife que nous
pouvons avoir accès officiellement et régulièrement au
meilleur de la production musicale japonaise.
Vous trouverez ce CD à la côte 200 SCA
De Aaron Sorkin
A la maison blanche raconte la vie quotidienne de l’aile
ouest de la Maison Blanche. Créée en 2000 par Aaron
Sorkin, la série est un véritable exercice de style et une
passionnante fresque politique. Elle dépeint de manière
réaliste les coulisses du pouvoir et de la politique
américaine. Chaque épisode est un véritable bijou
scénaristique au vocabulaire parfois très dense, marque
de fabrique d’Aaron Sorkin.
Ici, pas d’effets spectaculaires, tout se passe dans les
bureaux de la Maison Blanche où une poignée
d’hommes et de femmes prennent des décisions souvent
difficiles. Tous ces personnages sont interprétés de
façon magistrale par des acteurs capables de débiter les
textes de Sorkin avec conviction et avec à leur tête
l’excellent Martin Sheen. Une série intelligente et
visionnaire (l’élection d’un président de couleur dans la
sixième saison en lien avec lélection de Barack Obama)
qui encourage le spectateur à construire sa propre
réflexion. A la maison blanche est aussi une série très
patriotique idéalisant le pouvoir mais c’est avant tout une
des meilleures séries jamais réalisées. Méconnue en
France, elle a été multi-récompensée aux Etats-Unis, ce
qui en fait la série phare des années 2000.
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Julie a aimé :
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Same Girl
de Youn Sun Nah (2010)
Artiste étonnante, douée d’une musicalité « toutterrain », Youn Sun Nah enchante ! Cette artiste
d’origine coréenne est avant tout une globe-trotter
curieuse chantant aussi bien en français qu’en
anglais, passant sans difficulté d’un univers
musical à un autre.
Son troisième album est un régal pour tous les
adeptes du jazz vocal féminin grâce à des reprises
originales et des raretés authentiques qui alternent
entre pop, chanson et jazz. La voix de Youh Sun
Nah d’une virtuosité étonnante lui a permis d’être
étiquetée « découverte de la saison », raflant le
« Choc » de Jazzman Magazine, son disque étant
classé dans les 10 premières ventes de jazz.
Pouvant alterner entre délicatesse extrême et
sauvagerie rock, Same Girl est un album
stimulant à écouter et réécouter !
Vous trouverez ce CD à la côte 100 NAH
L’homme sans frontière
de Peter Fonda (1971)
Peter Fonda vient de produire et de jouer dans le film
Easy Rider quand il réalise son premier film : L’homme
sans frontière. Passionnante réflexion sur un genre qui
est arrivé à son point de rupture, L’homme sans
frontière est une œuvre qui fait de l’errance le
symptôme d’un désenchantement généralisé. Alors
que trois cow-boys font route vers la Californie après
sept ans d’errance à travers les Etats-Unis, l’un d’eux,
Harry, décide de rentrer chez lui fatigué par ses
années de voyages et rongé par la culpabilité d’avoir
laissé sa fille et sa femme seules. Lors d’une halte, un
des cow-boys est tué par le potentat local poussant
ses compagnons de route à le venger tout en
légitimant leur retour vers le foyer d’Harry. En phase
avec les bouleversements socio-politiques des années
60 et 70, L’homme sans frontière évoque ce moment
de l’histoire des Etats-Unis où il n’y a plus de frontières
physiques à repousser ; celle d’un peuple qui n’a plus
de but à atteindre, symboles d’une nouvelle exploration mentale où ce sont les limites psychologiques qui
restent à repousser.
Vous trouverez ce CD à la côte FON
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Damien a aimé :
Final Fantasy VII Piano Collections
(1997)
& Final Fantasy IV Celtic Moon (1991)
De Nobuo Uematsu
Deux disques qui témoignent de la même intention :
rendre hommage aux merveilleuses musiques de
Nobuo Uematsu, compositeur émérite et attitré de la
série de jeu vidéo Final Fantasy en une relecture
personnelle de thèmes connus (ou pas !).
Final Fantasy Piano Collections est une série
reprenant des morceaux de chaque opus avec pour
seule instrumentation le piano, ce qui donne un style
épuré, emprunt de sentiment et de fragilité.
Final Fantasy IV Celtic Moon est dans le même ordre
idée une interprétation par Maire Bhreatnach des
thèmes du numéro 4 dans un style celtique, aidé par la
flûte, la harpe, le violon et l’accordéon.
Vous trouverez ce CD à la côte 523 FIN
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Damien a aimé :
Final Fantasy VII Advent Children
(2004)
De Testsuya Nomura
A l’origine de ce film, il y a une série de jeu vidéo
japonais devenu un phénomène de société. Chaque
opus n’a de commun que le nom, Final Fantasy, et des
références fantastiques. L’intrigue, les personnages, le
système de jeu, le monde même, sont différents.
Le septième opus marqua les esprits, utilisant des
cinématiques (encore rare à l’époque) et s’exportant
dans le monde entier. Devant le succès de ce RPG
(« Role Playing Game » : jeu de rôle sur ordinateur), la
branche cinématique de la société Square Enix créa et
monta une suite, qui devint un film.
L’histoire prend place deux ans après la fin du jeu. Le
monde a failli être détruit et la population peine à
reprendre ses marques dans des villes toujours en
ruines et soumises à une nouvelle épidémie. C’est
dans ce climat que Cloud, le héros, va devoir affronter
ses vieux démons…
Vous trouverez ce DVD à la côte NOM
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Christophe a aimé :
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Evil Dead (1982)
Redemption (2009)
De Little Caesar
Voici un groupe que vous ne connaissez probablement pas,
cependant vous avez certainement déjà aperçu son front man
et chanteur, le dénommé Ron Young... Enfin seulement si
vous avez vu le film de James Cameron : Terminator 2. Le
joueur de billard aux cheveux longs qui passe à travers la
vitrine du pub au début du film, c’était lui ! Maintenant que
vous situez un peu plus le personnage, passons à sa
musique. Autant le dire tout de suite, leur premier album
éponyme en 1990 était un véritable bijou. Du rock de biker
comme on dit, mêlant blues et hard rock sur un fond de soul
torride (leur reprise du “ Chains of Fools ” d’Aretha Franklin
reste une référence du genre). Malheureusement leur second
album ( Influence - 1992) ne rencontra pas son public. Or,
surprise, voilà que Little Caesar nous revient en 2009 avec un
album au titre évocateur, “ Redemption ”. Comme si les
quelques vingt ans depuis “ Little Caesar ” (l’album) n’avaient
jamais existé, Ron Young et sa bande nous offrent le petit
frère de leur premier album, construit sur la même structure.
Dix titres, deux ballades, la voix de Ron Young toujours aussi
rocailleuse et chaude, et le groupe derrière lui au taquet
malgré les changements de line-up. Seul petit bémol à l’affaire
: le disque est introuvable en France. Heureusement, votre
médiathèque préférée est là pour réparer cette lacune !
Vous trouverez ce CD à la côte 250 LIT
De Sam Raimi
Un groupe d'amis part en vacances dans une maison
perdue dans la forêt. En descendant dans la cave, les
deux garçons de la bande découvrent un vieux
magnétophone qui, une fois remis en marche, émet une
incantation magique. Laquelle réveille les forces du mal,
déclenchant ainsi une horreur sans nom….
A peine âgé de 20 ans, Sam Raimi, le réalisateur de
Spiderman, décide avec ses deux amis Robert Tapert et
Bruce Campbell de réaliser un film d'horreur. Il lui faudra 3
ans pour le terminer. Le scénario est improvisé au jour le
jour, on remarque tout de même une référence à l’œuvre
de l’écrivain Howard Phillips Lovecraft, lorsqu’il est
question du Livre des Morts, ou Necronomicon.
La perception du génie de Sam Raimi dans sa façon de
réaliser est déjà très parlante grâce à une mise en scène
jamais vue au cinéma à l’époque. Il invente des procédés
de caméras pour pallier au manque de budget et Evil Dead
(premier film d’une trilogie) devient rapidement culte. Il est
certainement à l'instar du Braindead de Peter Jackson, le
film d'horreur qui a su allier humour et gore sans que cela
choque. Quasiment 30 ans après sa sortie, ce film est et
restera comme un monument du genre.
Vous trouverez ce DVD à la côte RAI
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Arnaud a aimé :
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Zoukolexion
De Patrick saint-Eloi
L’inventeur du « Zouk love » né en 1958 à Pointe-à-Pitre en
Gaudeloupe et décédé en septembre 2010 des suites d’une
longue maladie restera à tout jamais associé au zouk et au groupe
Kassav dont il a été l’un des piliers. Patrick Saint-Eloi est avant
tout le chanteur de l'âme antillaise, de sa douceur, de ses doutes
et de ses angoisses cachées. Un pur artiste de la créolité qui
raconte les joies et les tristesses, l'amour, la mort, la modernité et
la nostalgie, sur un fond de musique tendre, rythmée, portée par
une voix déchirante et blessée. Ses textes à la fois très poétiques
mais toujours empreints d’un certain réalisme, donnent souvent
une profondeur à ses chansons.
Le succès de Saint-Eloi s’explique par son talent vocal et la qualité
des mélodies qu’il interprète. En dépit du succès grandissant de
Kassav - qu’il quitte en 2002 - Patrick Saint-Eloi poursuit en
parallèle sa carrière, reconnu comme l’inventeur du « Zouk Love ».
Il compose aussi des titres pour d’autres artistes comme Edith
Lefel, Ralph Thamar, Jocelyne Beroard, Tanya Saint-Val.
Patrick Saint-Eloi est donc entré de son vivant dans le panthéon
des grands chanteurs de la Guadeloupe et du monde.
Découvrez ou redécouvrez les très belles chansons de cet artiste
dans ce best-of officiel du plus grand crooner guadeloupéen.
Vous trouverez ce CD à la côte 051 SAI
Notorious B.I.G
De George Tillman Jr
Après 8 Mile avec Eminem et Réussir ou mourir avec Curtis
"50 Cent" Jackson, c'est au tour de Christopher "Notorious
B.I.G." Wallace, légende du rap américain, d'avoir son film,
Notorious B.I.G. Le film suit la remarquable ascension de
Christopher Wallace, qui, en quelques mois, va passer des
rues malfamées de Brooklyn au statut de légende du hiphop. Décortiquant le mythe, douze ans après sa disparition
tragique, ce film révèle le tumultueux et trop bref parcours
d'un jeune homme incroyablement talentueux, déterminé à
réussir. Ses paroles rappées, décrivant la vie de la rue, à la
vérité crue et aux rimes percutantes, vont devenir l'emblème
d'une génération entière et de ses aspirations à une vie
meilleure. L’héritage musical de Notorious B.I.G. restera
comme l'une des oeuvres personnelles les plus importantes
de l'histoire du hip-hop.
Pour rentrer dans la peau de Biggie Smalls, l’acteur Jamal
Woolard a du prendre près de 21 kilos, passant ainsi de ses
117kg naturels à près de 138kg ! Il raconte comment il a
travaillé pour adopter les attitudes de Notorious B.I.G. : "Il
m'a fallu décomposer tout son langage corporel, (…) la
façon dont il faisait lever les yeux sur lui dès qu'il entrait dans
une pièce. Biggie était très précis dans sa gestuelle. Il ne
demandait jamais, il exigeait toujours, son menton était
toujours haut, regardant de l'avant. Quand je mettais mes
lunettes de soleil, je me glissais dans son monde et
devenais Big Poppa".
Vous trouverez ce DVD à la côte TIL