Le Cercle Berlioz

Transcription

Le Cercle Berlioz
Le Cercle Berlioz,
pour la transmission du répertoire lyrique français
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« Ecoute ! écoute ! Les esprits de la terre et de l’air
Commencent pour ton rêve un suave concert. »
- La Damnation de Faust
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Offrez-vous votre
premier rôle dans
La Damnation de
Faust
Devenez mécène
du Cercle Berlioz !
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introduction
‘‘ Le Cercle Berlioz
Le nouveau Cercle Berlioz, créé cette saison à l’initiative de Stéphane Lissner,
soutiendra chaque saison, la production d’une ou plusieurs œuvres du grand
répertoire lyrique français.
Il s’agit également pour ses généreux mécènes d’une occasion inédite de suivre
depuis les coulisses, les grandes étapes de la conception d’un spectacle lyrique à
l’Opéra national de Paris.
Cette saison, le Cercle Berlioz apporte son soutien à La Damnation de Faust
d’Hector Berlioz.
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‘‘ La Damnation de Faust
Lorsqu’en 1840, Berlioz s’attelait à La Damnation de Faust – remaniant les Huit scènes de Faust
écrites douze ans plus tôt – il était conscient de s’attaquer à l’un des sommets de la littérature
dramatique, de surcroît nimbé de l’aura dont jouissait Goethe à travers l’Europe.
Aussi composa-t-il un chef-d’œuvre à la hauteur de son sujet : une œuvre discontinue et poétique,
une musique d’une liberté absolue qui excédait les dimensions de la représentation scénique.
Alvis Hermanis, à qui il incombe aujourd’hui de donner une nouvelle vision de cette « Légende
dramatique », n’en ignore rien : il sait les dangers que présentent ces scènes fragmentaires et
incandescentes imaginées par Berlioz. En collaboration avec l’artiste vidéaste Katrina Neiburga,
il a conçu un projet gigantesque, une scénographie d’images pures qui nous entraîne loin de ce
monde, en résonnance avec les plus récentes avancées scientifiques de la recherche cosmologique.
C’est la construction de ce projet artistique que nous
vous proposons de découvrir étape par étape ; c’est à ce
voyage au coeur de la création que nous vous proposons
de prendre part !
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*/Stéphane Lissner
Directeur de l’Opéra National de Paris
Né le 23 janvier 1953 à Paris, Stéphane Lissner a dirigé durant toute sa carrière des théâtres, des
festivals et des maisons d’opéras en France et en Europe.
Il monte sa première pièce de théâtre à l’âge de seize ans puis crée, à dix-huit ans, son propre
théâtre, le Théâtre Mécanique, où il travaille notamment avec Alain Françon et Bernard Sobel
entre 1972 et 1975. Il y exerce tous les métiers : régisseur, auteur ou encore metteur en scène.
Il est ensuite nommé secrétaire général du Centre dramatique national d’Aubervilliers puis
codirige le Centre dramatique national de Nice jusqu’en 1983. En 1984-1985, il enseigne la
gestion des institutions culturelles à l’université Paris-Dauphine. De 1984 à 1987, il dirige le
festival parisien Printemps du théâtre.
Il est administrateur du Théâtre du Châtelet (Théâtre musical de Paris) dès 1983 puis en est
nommé directeur général en 1988. Il le restera dix ans, tout en assumant en parallèle la direction
générale de l’Orchestre de Paris (1993-1995).
De 1998 à 2006, il prend la direction du Festival international d’art lyrique d’Aix-en-Provence.
Il y crée l’Académie européenne de Musique, conçue comme un prolongement du festival vers
la pédagogie et la promotion de jeunes talents. Parallèlement, il co-dirige avec Peter Brook le
Théâtre des Bouffes du Nord entre 1998 et 2005. En 2002, il s’associe avec Frédéric Franck pour
reprendre le Théâtre de la Madeleine, qu’il quittera en 2011.
De 2005 à 2014, il devient surintendant et directeur artistique du Teatro della Scala de Milan. Il
en est le premier directeur non Italien. De 2005 à 2013, il est également directeur de la musique
des Wiener Festwochen en Autriche.
Au cours de sa carrière, il a travaillé avec les plus grands chefs d’orchestre, metteurs en scène ou
chorégraphes parmi lesquels : Daniel Barenboim, Pierre Boulez, William Christie, Simon Rattle,
Esa-Pekka Salonen, Luc Bondy, Stéphane Braunschweig, Patrice Chéreau, Klaus-Michael
Grüber, Claus Guth, Mario Martone, Peter Sellars, Peter Stein, Dmitri Tcherniakov, Robert
Wilson, Pina Bausch, William Forsythe …
Nommé directeur délégué de l’Opéra national de Paris en octobre 2012, il a pris ses fonctions le
1er août 2014.
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Stéphane Lissner est chevalier de la Légion d’honneur, officier de l’Ordre National du mérite et
de l’Ordre du Mérite de la République italienne.
« Participer au Cercle Berlioz c’est suivre
au fur et à mesure de sa fabrication la
réalisation d’un spectacle. »
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*/Le Cercle Berlioz au cœur de la création
De façon inédite, l’Opéra national de Paris vous transporte
dans l’univers de la création d’un nouveau spectacle. Le
Cercle Berlioz vous invite à découvrir les arcanes de
la très attendue Damnation de Faust d’Hector Berlioz
programmée en décembre 2015.
Découverte de la maquette et du projet de mise en scène,
confection des costumes, fabrication des décors dans les
ateliers, répétitions et récitals privés, conversations avec les
artistes de la production, un programme exceptionnel qui
sera dévoilé aux membres du Cercle.
Dans cette production, l’image occupe
une place prépondérante : Alvis Hermanis
collabore avec la vidéaste Katrina Neiburga
pour projeter sur différents supports des
images qui permettront de donner à cette
œuvre un nouveau relief.
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« Le vieil hiver a fait sa place au printemps ;
La nature s’est rajeunie ;
Des cieux la coupole infinie
Laisse pleuvoir mille feux éclatants. »
- La Damnation de Faust
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*/Le Cercle Berlioz et La Damnation de Faust
Pour la première fois, l’Opéra national de Paris propose à
ses donateurs une immersion au cœur de la création d’un
nouveau spectacle.
L’oeuvre choisie, La Damnation de Faust d’Hector Berlioz,
marque un retour de grandes voix sur la scène de l’Opéra
Bastille, avec Jonas Kaufmann et Bryan Hymel dans le rôle
de Faust, Sophie Koch dans celui de Marguerite et Bryn
Terfel dans le rôle de Méphistophélès. Le chef d’orchestre
Philippe Jordan dirigera cette production à la distribution
exceptionnelle. Le metteur en scène Alvis Hermanis et
son équipe laisseront entrevoir, aux membres du Cercle, en
exclusivité, le parti pris artistique et le processus de création
tout au long des mois de travail en équipe.
La démarche dramaturgique du compositeur, l’évolution
de la ligne d’inspiration du metteur en scène, l’approche
de l’œuvre par les grands interprètes invités et les différents
corps de métiers de l’Opéra, feront l’objet de rendez-vous
proposés aux membres du Cercle Berlioz.
Ce parcours de découverte ne manquera pas de susciter
étonnement et émerveillement et permettra d’appréhender
l’œuvre, le soir de la Première, avec un regard d’initié.
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Aucune production ne peut naître sans le soutien de généreux
mécènes. Nous tenons, d’ores et déjà, à vous exprimer nos
remerciements les plus vifs pour le rôle essentiel que vous aurez
bien voulu prendre dans cette production.
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les artistes de
la création
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*/Alvis Hermanis
Metteur en scène de La Damnation de Faust
Né en avril 1965, Alvis Hermanis est un acteur, dramaturge, directeur de
théâtre et metteur en scène letton. Il travaille actuellement au New Riga
Theatre. Il a été l’un des instaurateurs du retour du théâtre en 1992 et y
travaille depuis 1997, en tant que directeur artistique. Son style de direction
est souvent associé au théâtre postdramatique.
A côté du New Riga Theatre, Alvis Hermanis a dirigé différentes pièces en
Autriche, Allemagne, Russie et Suisse, entre autres. Nombre des spectacles
du New Riga Theatre ont tourné au travers de toute l’Europe.
En 2007, Alvis Hermani refuse de recevoir l’Ordre des Trois Etoiles des
mains du président Valdis Zatlers. Il le recevra en 2012 quand Zatlers aura
déjà quitté son poste.
En tant qu’acteur, il est apparu dans plusieurs films à la fin des années
80. Pour son rôle dans Fotogrāfija ar sievieti un mežakuili, il reçut le prix
Lielais Kriistaps du meilleur acteur en 1987.
En 2003, Alvis Hermanis avec son Jaunais Rigas Teatris gagna le prix de
Jeune Directeur au Festival de Salzburg avec The Government Inspector
de Nikolaj Gogol. Ce succès imprévu lui ouvre le chemin vers une longue
carrière dans le théâtre de paroles allemand, qui commence à Francfort et à
la Ruhrtriennale, puis à Berlin, Zurich et Vienne, où il continua à travailler
au Burgtheater, le Théâtre National d’Autriche. En 2011, il présenta sa
version de cinq heures de The Vast Domain d’Arthur Schnitzler qui fut
fortement appréciée par la presse et le public.
Au confluent de la dramaturgie germanique et de l’intensité du théâtre
russe, le metteur en scène letton Alvis Hermanis est insaisissable : avide
de rencontres, de renouvellement, d’expériences esthétiques inédites, il
multiplie les collaborations, parcourt et explore des univers artistiques aussi
surprenants qu’inattendus.
Il s’associe à la vidéaste Katrina Neiburga pour concevoir la scénographie
de cette nouvelle production de La Damnation de Faust.
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*/Katrina Neiburga
Vidéaste de La Damnation de Faust
Alvis Hermanis s’est associé à Katrina
Neiburga pour concevoir la scénographie
de La Damnation de Faust pour l’Opéra
national de Paris.
L’artiste multimédia Katrina Neiburga est l’une des figures
les plus remarquables de l’art vidéo en Lettonie. Elle a suivi
des études au Département Artstique de l’Académie de
Lettonie en Communication Visuelle et a également passé
un an à l’Académie Royale d’Art de Stockholm. Elle crée
des installations, des projections vidéo et lumières pour des
productions de théâtre et d’opéra ainsi que des concerts,
participe à des expositions en Lettonie et à l’étranger – en
Russie, Allemagne, Australie, Chine, Espagne, Finlande,
Hongrie, Pologne, Suède, France, Autriche, etc.
A l’Opéra national de Lettonie, elle a travaillé en tant
que scénographe sur les productions d’Eugène Onéguine,
et Puppet’s Opera, et en tant qu’artiste vidéaste sur
les production du Hollandais volant et de Cantando y
Amando. Parmi ses œuvres les plus récentes, l’installation
documentaire Press house a été exposée non seulement à
Riga, mais aussi à Helsinki et Budapest.
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*/Philippe Jordan
Directeur Musical de l’Opéra national de Paris
Né en 1974 à Zurich, Philippe Jordan est le Directeur Musical de
l’Opéra national de Paris et Directeur Musical désigné du Wiener
Symphoniker. A 40 ans, il est déjà reconnu comme l’un des chefs
d’orchestre les plus doués et les plus passionnants de sa génération.
Il prend à 6 ans sa première leçon de piano. A 8 ans, il rejoint les
Zürcher Sängerknaben et à 11 ans débute le violon. En 1994, à
l’âge de 16 ans, il entre au conservatoire de Zurich où il obtient
le diplôme de professeur de piano - avec mention. Il étudie
parallèlement avec le compositeur suisse Hans Ulrich Lehmann et
continue ses études de piano auprès de Karl Engel. Dans la même
période il travaille comme assistant de Maestro Jeffrey Tate sur le
Ring de Wagner présenté au Châtelet.
Philippe Jordan commence sa carrière comme Kapellmeister au
Stadttheater d’Ulm en 1994. De 1998 à 2001, il est Assistant de
Daniel Barenboïm au Deutsche Staatsoper de Berlin. De 2001
à 2004, il est Directeur musical de l’Opéra et de l’Orchestre
Philharmonique de Graz. Pendant ce temps, il fait ses débuts dans
les plus importants Opéras et festivals internationaux comme le
Houston Grand Opera, le Festival de Glyndebourne, le Festival
d’Aix-en-Provence, le Metropolitan Opera, le Royal Opera
House Covent Garden, le Bayerischen Staatsoper de Munich,
le Salzburger Festspiele et le Wiener Staatsoper. En 2007, il est
nommé Directeur Musical de l’Opéra national de Paris à compter
de la saison 2009-2010.
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*/Jonas Kaufmann
Soliste - Faust dans La Damnation de Faust
Au début de sa carrière, Jonas Kaufmann est particulièrement lié à l’Opéra de
Zurich, où il chante Tamino de Die Zauberflöte, Don José de Carmen, Cavaradossi
de Tosca, Florestan de Fidelio.
Son interprétation du rôle d’Alfredo dans La Traviata au Metropolitan Opera de
New York en 2006 le propulse sur le devant de la scène internationale et il est invité
au Festival de Salzbourg, à l’Opéra de Chicago, au Covent Garden de Londres, à
la Scala de Milan, au Deutsche Oper et au Staatsoper de Berlin, au Staatsoper de
Vienne.
En 2010, il fait ses débuts au Festival de Bayreuth dans le rôle-titre de Lohengrin
mis en scène par Hans Neueunfels. Il chante le rôle-titre de Werther à l’Opéra
national de Paris et au Staatsoper de Vienne, Don José à la Scala de Milan et au
Festival de Salzbourg sous la direction de Sir Simon Rattle, le rôle-titre de Faust au
Metropolitan Opera, Cavaradossi au Covent Garden, au Metropolitan Opera et à la
Scala de Milan, Maurice de Saxe d’Adriana Lecouvreur au Covent Garden. Il aborde
les rôles de Siegmund de Die Walkuere au Metropolitan Opera en 2011 et Bacchus
d’Ariadne auf Naxos au Festival de Salzbourg en 2012.
En 2013, il ajoute à son répertoire trois grands rôles verdiens, le rôle-titre de Don
Carlo à Munich et Salzbourg, Manrico de Il Trovatore et Alvaro de La Forza del
destino à Munich et chante le rôle-titre de Parsifal au Metropolitan Opera.
En 2014, il incarne Werther au Metropolitan Opera de New York, puis il chante son
premier Des Grieux de Manon Lescaut au Covent Garden, où il revient en 2015
pour le rôle-titre d’Andrea Chénier. Il se produit en concert (Requiem de Verdi sous
la direction de Daniel Barenboim) et en récital avec le pianiste Helmut Deutsch
(Winterreise).
Il a donné en 2011 le premier récital en soliste sur la scène du Metropolitan Opera
de New York depuis Luciano Pavarotti en 1994.
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*/Bryan Hymel
Soliste - Faust dans La Damnation de Faust
Cette étoile montante de l’opéra chante de grands rôles sur les scènes les
plus prestigieuses.
Salué par le Frankfurter Allgemeine Zeitung pour “ son jeu scénique et
sa puissance vocale assortis d’un jeu d’acteur subtil ”, Hymel a remporté
en 2013 l’Olivier Award pour sa contribution remarquable à l’opéra pour
ses trois rôles dans Les Troyens, Robert le diable et Rusalka au Royal
Opera House de Londres. Le New York Times a loué sa “ résistance et sa
puissance ” lorsqu’il a chanté Enée sur la scène du Metropolitan Opera en
2012 dans Les Troyens – rôle qui lui a valu le Beverly Sills Artist Award
décerné par le Met. En 2014, Hymel a été signé par Warner Classics.
Il a déjà chanté La Damnation de Faust avec l’Orchestre National du
Capitole de Toulouse lors d’une tournée européenne en 2013.
Parmi les nombreuses récompenses qu’il a reçues figurent le Premier Prix
2009 du concours de la Fondation Gerda Lissner et les Premiers Prix 2008
des concours de la fondation Licia Albanese/Puccini, de Loren L. Zachary
ainsi que de la Fondation Giulio Gari. Il a été grand finaliste des auditions
du Metropolitan Opera National Council en 2000.
Hymel a étudié le chant à l’Académie de Chant Lyrique de Philadelphie
avec Bill Schuman et a participé au programme Merola de l’Opéra de San
Francisco.
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*/Sophie Koch
Soliste - Marguerite dans La Damnation de Faust
Premier Prix à l’unanimité au Conservatoire national supérieur de musique de
Paris dans la classe de Jane Berbié, Sophie Koch fait ses débuts en France, mais
sa carrière prend un essor international lorsqu’elle interprète Rosina du Barbiere
di Siviglia et Dorabella de Così fan tutte au Covent Garden de Londres et le
Compositeur d’Ariadne auf Naxos au Semperoper de Dresde.
Après s’être imposée dans les rôles mozartiens, elle a ajouté à son répertoire
l’opéra français, l’opéra italien et l’opéra allemand : Octavian (Der Rosenkavalier),
Charlotte (Werther), Adalgisa (Norma), Brangäne (Tristan und Isolde),
Concepcion (L’Heure espagnole), Mère Marie de l’Incarnation (Dialogues des
carmélites), qu’elle a récemment chanté au Théâtre des Champs-Elysées et au
Covent Garden de Londres, Fricka (Das Rheingold et Die Walküre), les rôlestitres de Mignon d’Ambroise Thomas et de Cléopâtre de Massenet, Margared (Le
Roi d’Ys), Adriano (Rienzi).
Elle se produit sur les plus grandes scènes lyriques (Staatsoper de Vienne, La
Monnaie de Bruxelles, Teatro Real de Madrid, Capitole de Toulouse, Opéras de
Zurich, Genève, Berlin, Dresde, Chicago, Festival de Salzbourg).
Elle interprète le cycle complet du Ring à l’Opéra national de Paris et au
Bayerische Staatsoper de Munich et elle fait ses débuts au Metropolitan Opera de
New York en 2014 dans le rôle de Charlotte.
Elle a donné de nombreux récitals (Salzbourg, Musikverein de Vienne, Paris,
Londres, Francfort, Berlin, Luxembourg, Bruxelles, Madrid).
Elle a reçu le prix Christel Goltz, décerné par le Semperoper de Dresde.
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*/Bryn Terfel
Soliste - Méphistophélès dans La Damnation de Faust
Bryn Terfel est particulièrement renommé pour son interprétation des rôles de
Figaro, Falstaff et Wotan.
Il fait ses débuts en 1990 au Welsh National Opera dans le rôle de Giglielmo
de Così fan tutte. L’année suivante, il chante le Sprecher de Die Zauberflöte à La
Monnaie de Bruxelles et fait ses débuts américains dans le rôle de Figaro à l’Opéra
de Santa Fe.
Parmi les autres rôles qui ont marqué sa carrière, citons le Hollandais de Der
fliegende Holländer, Méphistophélès de Faust, Leporello et le rôle-titre de Don
Giovanni, Jochanaan de Salome, Scarpia de Tosca, le rôle-titre de Gianni Schicchi,
Nick Shadow de The Rake’s Progress, Wolfram de Tannhäuser, Balstrode de Peter
Grimes, les quatre diables des Contes d’Hofmann, Dulcamara de L’Elisir d’amore, le
rôle-titre de Sweeney Todd.
Il aborde le rôle de Hans Sachs (Die Meistersinger von Nürnberg) en 2010 au Welsh
National Opera.
Au cours de la saison 2011-2012, il a interprété Leporello et Scarpia à la Scala de
Milan.
En 2012, il incarne Wotan dans le Ring au Covent Garden de Londres et au
Metropolitan Opera de New York, le Hollandais à l’Opéra de Zurich, Scarpia au
Bayerische Staatsoper de Munich.
En 2014, il interprète Sweeney Todd au Lincoln Center de New York,
Mephistophélès et Dulcamara au Covent Garden de Londres. Il fait en 2015 ses
débuts dans le rôle de Tevye de Fiddler on the Roof au Grange Park Opera.
Il a à son actif une vaste discographie d’opéras de Mozart, Wagner et Strauss,
couronnée par plusieurs Grammy, Classical Brit et Gramophone Awards ainsi
qu’une dizaine d’albums solo de Lieder, comédies musicales, mélodies galloises et
musique sacrée.
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*/Dominique Mercy
Chorégraphe et danseur de La Damnation de Faust
Dominique Mercy, né en 1950 à Mauzac en Dordogne, est un danseur français de
danse contemporaine, membre depuis 1974 de la compagnie Tanztheater Wuppertal
de Pina Bausch, un pédagogue, et occasionnellement un chorégraphe.
Ayant reçu une formation de danse classique dès l’âge de six ans, Dominique Mercy
entre dans le corps de ballet du Grand Théâtre de Bordeaux en 1965 puis intègre
le Ballet-Théâtre contemporain, à Amiens, lors de sa fondation en 1968. Après
avoir travaillé aux États-Unis avec des chorégraphes de danse moderne, il rencontre
en 1972, Pina Bausch qui lui propose de rejoindre sa jeune compagnie de danse
contemporaine en Allemagne en 1974. Il deviendra avec Bausch le danseur principal
de la compagnie — avec notamment un grand rôle titre dans Orphée et Eurydice (1975)
qui fera référence — et parfois le cocréateur des pièces de la chorégraphe. Il collabore
également à la fin des années 1970 à deux créations de Carolyn Carlson pour l’Opéra
de Paris et travaille avec Peter Goss.
Il fonde avec Jacques Patarozzi et Malou Airaudo, sa compagne rencontrée chez
Pina Bausch (avec laquelle il a une fille, Thusnelda Mercy, elle-même danseuse chez
Bausch), une compagnie appelée La Main, mais reviendra à partir de 1980 danser
dans la troupe de Pina Bausch au sein de laquelle il devient également assistantchorégraphe. Depuis 1988, il enseigne également la danse à la Folkwang Hochschule
d’Essen.
Réputé pour sa technique hors du commun et un sens poussé de l’expressivité
chorégraphique et théâtrale, il est devenu l’un des danseurs contemporains les plus
célèbres. Il a reçu un Bessie Award en 2002 pour sa performance dans Masurca Fogo.
Après le décès soudain de Pina Bausch le 30 juin 2009, il prend officieusement la
direction, avec Robert Sturm l’assistant personnel de la chorégraphe, du Tanztheater
Wuppertal pour assurer la continuité de la troupe, direction confirmée le 9 octobre par
le conseil d’administration de l’institution.
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*/Christine Neumeister
Directrice des costumes de l’Opera
National de Paris
Christine Neumeister est la Directrice des costumes de
l’Opéra national de Paris depuis 2006.
Elle est membre du « Costume Forum» de Opera
Europa.
Auparavant, elle a été l’assistante de Moidele Bickel ;
elle a été intervenante à Hochschule der Künste Bremen
(cours sur les corsets) et a également travaillé pour les
producions de Bal Masqué à Montpellier, Falstaff à Lyon,
Don Giovanni à Chicago.
De 1999 à 2003, Christine Neumeister a travaillé à
l’Opéra de Munich, au Hamburger Kammerspiele, au
Festival de Bayreuth et à l’Opéra de Hambourg.
Elle a effectué des études de management culturel à
la HWP (Hochschule für Wirtschaft und Politik) de
Hambourg.
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*/Un film de Felipe Sanguinetti
Photographe et réalisateur
C’est autour de La Damnation de Faust que le réalisateur
Felipe Sanguinetti est aujourd’hui chargé de produire un film
en quatre épisodes traitant en profondeur de la création de
cette œuvre par le metteur en scène Alvis Hermanis et de ses
coulisses.
Felipe Sanguinetti est né à Buenos Aires en 1980.
Après avoir effectué ses études en Argentine, il fait ses débuts au sein de l’entreprise
Peluca Films.
En 2005, Felipe s’installe à Paris où il s’établit en tant que photographe free-lance. Il
deviendra ensuite l’assistant de Mario Testino.
En 2010, son travail prend un tournant théâtral. En s’associant avec le metteur en
scène Robert Carsen, Felipe commence à réaliser des documentaires sur les répétitions
et les spectacles de nombreuses productions internationales telles qu’Iphigénie en
Tauride avec Placido Domingo et Rinaldo à Glyndebourne.
Il a également filmé et photographié le très acclamé Don Giovanni à La Scala, dirigé
par le chef d’orchestre Daniel Barenboim et interprété par la soprano Anna Netrebko.
En 2012, il a achevé son projet de documentaire sur l’opéra Falstaff au Royal Opera
House de Londres, film dont la première a eu lieu au Metropolitan Opera de New
York.
Récemment, il a dirigé une série de vidéos ayant pour sujet la mode, l’art, la musique et
le sport. Son travail inclut le portrait de l’actrice et mannequin Suki Waterhouse et du
violoniste virtuose Charlie Siem.
En 2013 et 2014, il a réalisé des projets pour Nowness qui a diffusé la première de son
film Platée ; sa vidéo Couture Dream a été diffusée, quant à elle, dans l’édition anglaise
de Vogue.
Felipe a travaillé pour différentes marques de luxe telles qu’Hermès, Chanel, (pour qui
il a réalisé des vidéos à Dubai avec Karl Lagerfeld et Amanda Harlech), Elie Saab,
Clarins, Thierry Colson et Arjowiggins parmi tant d’autres.
Actuellement il vit à Paris où il travaille sur ses films et projets photos.
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les rendez-vous du
Cercle Berlioz et les
coulisses de la création
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*/Le calendrier de La Damnation de Faust
3 ans
avant la
Première
Programmation
Stéphane Lissner, Directeur de l’Opéra national de Paris, décide de présenter une nouvelle
production de La Damnation de Faust d’Hector Berlioz sur la scène de l’Opéra Bastille. Il
choisit d’en confier la direction musicale à Philippe Jordan, la mise en scène et les décors à
Alvis Hermanis.
Les premières discussions permettent d’esquisser les contours musicaux, dramaturgiques et
scénographiques du projet.
L’équipe artistique s’élargit : les lumières sont confiées à Gleb Filshtinsky, la vidéo à
Katrina Neiburga, la chorégraphie à Alla Sigalova, la réalisation des costumes à Christine
Neumeister…
Distribution
Jonas Kaufmann (/Bryan Hymel), Sophie Koch et Bryn Terfel tiendront respectivement
les rôles de Faust, Marguerite et Méphistophélès. La distribution sera progressivement
complétée dans les mois qui suivront.
Philippe Jordan et le chef des chœurs José Luis Basso définissent ensemble les effectifs
choraux.
1 an et
demi
avant la
Première
Dépôt des maquettes
Les maquettes de décors sont présentées par l’équipe artistique aux responsables des
ateliers de l’Opéra.
Ces maquettes font l’objet d’une validation artistique mais aussi technique et budgétaire :
• Les décors sont-ils réalisables sur la scène de l’Opéra Bastille ?
• Peuvent-ils accueillir chœurs et figurants ?
• Satisfont-ils aux exigences d’une programmation en alternance ?
Les maquettes des costumes sont généralement présentées quelques mois après celles des
décors. La réalisation des décors et des costumes peut alors commencer dans les ateliers de
l’Opéra.
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1 an Auditions
avant la Le metteur en scène et la chorégraphe auditionnent les figurants et danseurs de la production.
Première
Technique
Premiers essais de projection vidéo.
1 mois et
demi avant
la Première
5 semaines
avant la
Première
Finalisation des décors
Scènes piano
Montage des décors. Début des répétitions musicales, scéniques et chorégraphiques pour les
solistes, les chœurs, les danseurs et les figurants de la production.
Les musicales ont lieu en studio.
Les répétitions avec le metteur en scène ont lieu en salle Gounod, dans les décors.
Elles sont accompagnées au piano : on parle de scènes piano.
Essayage des costumes qui devront être finalisés lors de la Générale piano.
4 semaines
avant la
Première
Lectures d’orchestre
2 semaines
avant la
Première
Italiennes
Début des répétitions en studio pour l’Orchestre et les Chœurs.
Première rencontre entre les chanteurs et l’Orchestre.
Générale piano
La production arrive au plateau. Création lumières. Les scènes piano se poursuivent sur la
scène de l’Opéra Bastille. Parallèlement, l’Orchestre continue à répéter en studio. Les scènes
piano se terminent par la Générale piano qui file le spectacle intégralement en costumes,
perruques et maquillage.
1 semaine
avant la
Première
Scènes d’orchestre
L’Orchestre rejoint la fosse.
On répète d’abord scène par scène, avant de faire les premiers filages partiels.
4 jours avant
la Première
Pré-générale
2 jours avant
la Première
Générale
On file pour la première fois l’intégralité du spectacle avec l’Orchestre, en conditions réelles,
avec maquillage et costumes. Toutes les équipes techniques sont mobilisées.
On file pour la deuxième fois l’intégralité du spectacle avec l’orchestre, cette fois devant public.
Gala de Première
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*/Les rendez-vous du Cercle Berlioz
Vendredi 22 mai 2015
Dîner Grands Donateurs dans une résidence privée
En présence de l’un des principaux artistes de la
production.
Mercredi 3 Juin 2015 à 19h
Récital privé autour de l’œuvre d’Hector
Berlioz au Studio de Bastille avec la
participation des jeunes chanteurs de
l’Atelier Lyrique
Le récital sera précédé d’une conférence de
Bruno Messina, Directeur du Festival Berlioz.
Lundi 15 juin 2015 de 10h à 13h
Répétition privée de la 9ème Symphonie de
Ludwig Van Beethoven à l’Opéra Bastille
Rencontre avec Philippe Jordan, Directeur Musical de
l’Opéra de Paris
Octobre 2015
Rencontre avec les artistes de la
production
*
Début novembre 2015
*
Début des répétitions
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Novembre 2015
Découverte des décors et des
costumes
*
6 semaines avant le lever de rideau
Finalisation des décors
*
4 semaines avant le lever de rideau
Lectures d’orchestre
2 semaines avant le lever de rideau
Générale piano
1 semaine avant le lever de rideau
Scènes d’orchestre
2 jours avant le lever de rideau
Répétition générale
8 Décembre 2015
Gala de Première
*
Les dates précises des événements de la rentrée seront annoncées au fur et à mesure.
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*/Plongez dans les coulisses de la création !
En soutenant le Cercle Berlioz, vous serez transportés dans l’univers de
la création d’un nouveau spectacle et bénéficierez d’avantages exclusifs
afin d’aborder le spectacle avec un regard d’initié : découverte de la
maquette et du projet de mise en scène, de la confection des costumes
et de la fabrication des décors dans les ateliers, répétitions et récitals
privés, conversations avec les artistes de la production...
Etre mécène du Cercle Berlioz c’est avant tout participer aux « coulisses
de la création » et ainsi saisir ce qui se déroule derrière le rideau durant
les mois de préparation de La Damnation de Faust.
Les mécènes pourront découvrir différents corps de métiers tels que les
chanteurs, la maîtrise d’enfants, les musiciens de l’orchestre, le metteur
en scène, le directeur technique, le chef d’orchestre, les équipes costumes,
ou encore de sculpture.
Les mécènes du Cercle suivront de près les différentes étapes de la
création, notamment en ce qui concerne la ligne d’inspiration du
metteur en scène, la conception des décors et costumes, ou encore les
répétitions et pourront ainsi aborder, le jour de la première, le spectacle
avec un regard d’initié.
44
« Tous, pour goûter la vie,
Tous cherchent dans les cieux
Une étoile chérie
Qui s’alluma pour eux ».
- La Damnation de Faust
45
46
mécénat
47
*/Pourquoi soutenir le Cercle Berlioz ?
*
Soutenir La Damnation de Faust, une œuvre emblématique du répertoire lyrique français
à l’Opéra Bastille
*
Soutenir le Cercle Berlioz, un projet novateur et pédagogique qui réunit artistes et
spectateurs dans une série d’échanges sur la conception d’une mise en scène d’opéra
*
Diversifier les engagements de votre entreprise dans un objectif de transmission des
savoirs
*
Faire découvrir aux partenaires et employés de votre entreprise les grandes étapes de la
création d’un spectacle
*
*
*
48
Associer le nom de votre entreprise à celui d’un grand projet de l’Opéra de Paris
Participer à un projet de mécénat qui marque un tournant dans l’histoire de l’Opéra de
Paris et s’inscrit dans une optique pérenne
Jouer un rôle essentiel de philanthrope de l’art lyrique
49
*/On parle du Cercle Berlioz !
•
Dans la presse (Les Echos, Le Figaro, La Croix,
En Scène, etc.)
•
Sur le site internet du Cercle Berlioz
(cercleberlioz.operadeparis.fr)
•
Sur le site internet de l’Opéra national de Paris
(www.operadeparis.fr)
•
Sur le site internet de l’AROP
(www.arop-opera.com)
•
Sur la page Facebook de l’Opéra national de Paris
•
Sur le compte Twitter de l’Opéra national de Paris
•
Sur Instagram
•
Dans le film du réalisateur Felipe Sanguinetti sur les
coulisses de La Damnation de Faust :
>> Ce film sera accessible en avant-première aux
membres du Cercle Berlioz dans les coulisses en ligne du
site (cercleberlioz.operadeparis.fr)
>> Une projection de ce film est envisagée sur grand écran
le soir du Gala de Première du 8 décembre 2015 à l’Opéra
Bastille. 50
51
*/ Les avantages des mécènes particuliers
Devenir Co-président et soutenir le Cercle Berlioz
à hauteur de 50 000 € par an, c’est bénéficier chaque
année de* :
•
Un titre de Co-président pour le Gala de Première à l’Opéra Bastille le 8 décembre 2015**
•
Une table d’honneur de 10 personnes pour la soirée de Gala de Première (spectacle en
catégorie Optima et souper au foyer panoramique inclus)
•
La présence des artistes de la production à votre table le soir du Gala
•
Invitation à des événements exceptionnels autour des artistes
•
Invitation aux rendez-vous du Cercle Berlioz (voir pages 44-45)
•
Organisation d’un évènement privé à l’Opéra de Paris sur demande (exemple : visite des
coulisses et des ateliers)
•
La possibilité d’inviter jusqu’à 20 jeunes de moins de 28 ans à l’Avant-Première du spectacle le
5 décembre 2015
•
Un accès exclusif aux coulisses en ligne sur cercleberlioz.operadeparis.fr
• La mention de votre nom en association avec le Cercle Berlioz dans :
> le film de Felipe Sanguinetti
> sur le site cercleberlioz.operadeparis.fr
> sur le site de l’Arop
* Pour un don au titre de votre entreprise, le package doit être
adapté en fonction de vos souhaits
** Pour un engagement sur 5 ans, le titre de Co-président
Fondateur du Cercle Berlioz
52
53
*/ Les avantages fiscaux
Les avantages fiscaux pour les particuliers
Donateurs imposables en France
Réduction fiscale de 66% sur l’Impôt sur le Revenu (IRPP)
Conformément aux dispositions de la loi du 1er août 2003, les donateurs imposables en France peuvent
bénéficier d’une réduction fiscale sur l’impôt sur le revenu (IRPP) de 66% du montant de leur don dans la
limite de 20% du revenu imposable.
Organismes bénéficiaires éligibles à ce dispositif : l’Opéra national de Paris, l’Arop, la Fronp (Fondation pour
le Rayonnement de l’Opéra national de Paris).
Réduction fiscale de 75% sur l’Impôt de Solidarité sur la Fortune (ISF)
Conformément à la loi TEPA du 21 août 2007, les donateurs imposables en France peuvent bénéficier d’une
réduction fiscale sur l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF) de 75% du montant de leur don dans la limite
annuelle de 50 000 euros, en faisant leur versement au bénéfice de la Fondation pour le Rayonnement de
l’Opéra national de Paris, sous l’égide de la Fondation de France.
Organisme bénéficiaire éligible à ce dispositif : la Fronp (Fondation pour le Rayonnement de l’Opéra national
de Paris).
Donateurs imposables à l’étranger
Les personnes imposables dans l’un des dix-sept pays européens membres du réseau Transnational
Giving Europe (TGE) et souhaitant faire un don à l’Arop peuvent bénéficier des avantages fiscaux en
vigueur dans leur pays d’imposition par l’intermédiaire d’une fondation locale partenaire du réseau TGE.
Les donateurs imposables aux Etats-Unis peuvent bénéficier des avantages fiscaux prévus par la législation
américaine en faisant leur don au bénéfice des American Friends of the Paris Opera and Ballet (AFPOB).
54
Les avantages fiscaux pour les entreprises
Entreprises imposables en France
Réduction fiscale de 60% sur l’Impôt sur les Sociétés (IS)
Conformément aux dispositions prévues par la loi du 1er août 2003 relative au mécénat d’entreprise,
votre société peut bénéficier d’une réduction d’impôt de 60% du montant de son concours.
Conditions d’application :
Don dans la limite de cinq pour mille du chiffre d’affaires.
En cas de dépassement, l’excédent peut être reporté sur les cinq exercices suivants.
La valeur des contreparties offertes en échange du don ne doit pas excéder 25 % du montant du don.
Entreprises imposables à l’étranger
Déductions fiscales pour les entreprises imposables dans un pays européen
Les entreprises imposables dans l’un des dix-sept pays européens membres du réseau Transnational
Giving Europe* et souhaitant faire un don à l’AROP peuvent bénéficier des déductions fiscales de leur
pays d’imposition par l’intermédiaire d’une fondation locale partenaire du réseau TGE*.
Déductions fiscales pour les entreprises imposables aux Etats-Unis
Les entreprises imposables aux Etats-Unis peuvent aussi bénéficier des avantages fiscaux américains
réservés aux mécènes de la culture en faisant leur don au bénéfice des American Friends of the Paris
Opera and Ballet.
55
*/ Revue de presse
« Et puisque l’Opéra de Paris dispose d’unités de pointe, de la fabrication de costumes à celle des décors,
Stéphane Lissner lance une initiative de nature à séduire un large public : le « Cercle Berlioz » permettra
aux particuliers comme aux entreprises, moyennant de 1.500 à 50.000 euros, d’être associés à la genèse
même d’un spectacle, de rencontrer ses créateurs. « La Damnation de Faust » ouvrira le bal. « Après le succès
du financement de la Ceinture de Lumière autour du Palais Garnier par un appel aux dons qui a rapporté 1,7
million d’euros, nous étions soucieux de rebondir », précise Jean-Yves Kaced, directeur du développement. »
- Les Echos, le 05/02/2015
« Aux côtés des vedettes lyriques que sont Kaufmann ou Terfel, une autre
star mondiale sera présente en toile de fond, tout au long du spectacle : le
scientifique Stephen Hawking. Ce dernier, incarné sur scène par le célébrissime
danseur français - et ancien assistant de Pina Bausch - Dominique Mercy, servira
de point de départ et d’arrivée, telle une allégorie de ce « rêve d’expansion de
l’humanité».»
- Le Figaro, le 15/04/2015
« Stéphane Lissner en arrivant à la tête de l’Opéra national de Paris avait annoncé une nouvelle
politique de mécénat, pratique répandue aux Etats-Unis mais beaucoup moins en France. La
création du Cercle Berlioz marque un premier jalon dans la mise en place de cette politique.
Concrètement, il s’agit de faire appel au public pour subventionner certaines productions, d’opéras
français dans le cas du Cercle Berlioz. En contrepartie, les généreux donateurs se verront ouvrir les
portes des coulisses et pourront découvrir, étape par étape, la conception de l’oeuvre représentée
: de la maquette et du projet de mise en scène aux répétitions en passant par la visite des ateliers
et la rencontre avec les équipes artistiques. Le premier opéra à bénéficier de l’opération sera La
Damnation de Faust, mise en scène par Alvis Hermanis et présentée à l’Opéra Bastille du 8 au 29
décembre 2015, avec Jonas Kaufmann en alternance avec Bryan Hymel dans le rôle-titre. »
- Forumopera.com, le 16/04/2015
56
« L’ascenseur s’est mis en branle. Direction les sixièmes dessous: un aller simple pour l’envers des décors.
«À partir de maintenant, tout est danger», prévient Patrick Gonzales. En vieux routier qui fait visiter l’Opéra Bastille
depuis sa création, notre guide ne compte plus les kilomètres parcourus. Rien qu’en couloirs, le labyrinthe de Carlos
Ott en totalise trente… et un millier de portes qui se ressemblent toutes. C’est dire si les quarante mécènes réunis
pour inaugurer le Cercle Berlioz ne se lâchent pas d’une semelle. »
- Le Figaro, le 21/04/2015
« Pour la première fois, l’Opéra national de Paris a fait le choix de dévoiler
les rouages de la production aux spectateurs pasionnés d’opéra qui
soutiennent La Damnation de Faust. »
- En Scène, mai-juillet 2015
« Le mécénat général n’est plus vraiment d’actualité. Nous travaillons sur des levées
de fonds par projet. Au cas par cas. Nous avons par exemple créé un « cercle Berlioz
» afin de soutenir notre intégrale des opéras du compositeur, qui va courir sur les six
prochaines années. »
- Stéphane Lissner pour L’Express, le 04/02/2015
57
*/Revue de presse
Les Echos, 04 février 2015
La maison devrait tourner à plein régime sous
la baguette de son nouveau maestro.
C’est une première : Stéphane Lissner, le nouveau patron de l’Opéra de Paris, a donné sa
conférence de présentation de saison dans les ateliers de fabrication de l’institution. Tout un
symbole. A l’heure où l’argent public se fait rare, il faut appuyer sur l’accélérateur et non sur le
frein. « L’Opéra de Paris est un centre de production. C’est en lançant des projets que l’on attire
du public, des mécènes, des coproducteurs, des artistes de renom, des tournées, des captations
audiovisuelles, des licences de marque, des privatisations d’espace... », observe-t-il.
Si ses prédécesseurs, Gérard Mortier puis Nicolas Joël, avaient mis l’accent l’un sur la mise en
scène, l’autre sur la voix, Stéphane Lissner vise l’excellence sur tous les registres. « Le ballet est déjà
le meilleur du monde, nous allons remonter encore le niveau du lyrique. Paris, qui fait partie des
cinq meilleures maisons d’opéra, peut se hisser au sommet. D’autant qu’entre la Philharmonie et
les salles Garnier et Bastille, notre capitale bénéficie maintenant d’un ensemble d’équipements
unique. »
58
Beaucoup de nouveautés
Celui dont les maîtres à penser sont Pierre Boulez, Peter Brook et Patrice Chéreau,
arrive auréolé de son passé aux commandes du festival d’Aix, du Théâtre du
Châtelet, de la Scala de Milan, et doté d’un carnet d’adresses international. Il a ainsi
apporté dans ses bagages le mécénat de Rolex.
Mais si, depuis son arrivée, BNP Paribas comme GDF-Suez ont doublé leur
mécénat, c’est surtout parce que ce chef d’entreprise a beaucoup de nouveautés
à proposer : ses académies lyrique, chorégraphique, musicale, scénographique,
pour faire émerger les talents de demain ; sa « troisième scène » numérique, pour
sensibiliser les jeunes à l’opéra ; ses avant-premières à 10 euros réservées aux
moins de 18 ans et aux enfants défavorisés...
Et puisque l’Opéra de Paris dispose d’unités de pointe, de la fabrication de
costumes à celle des décors, Stéphane Lissner lance une initiative de nature à
séduire un large public : le « Cercle Berlioz » permettra aux particuliers comme aux
entreprises, moyennant de 1.500 à 50.000 euros, d’être associés à la genèse même
d’un spectacle, de rencontrer ses créateurs. « La Damnation de Faust » ouvrira le
bal. « Après le succès du financement de la Ceinture de Lumière autour du palais
Garnier par un appel aux dons qui a rapporté 1,7 million d’euros, nous étions
soucieux de rebondir », précise Jean-Yves Kaced, directeur du développement.
Doper les recettes propres
D’autant que la nouvelle équipe a entrepris un vrai « road show » pour séduire les
mécènes actifs ou potentiels, en France et à l’étranger. Après un dîner de gala à
New York en présence du nouveau directeur de la danse Benjamin Millepied l’an
dernier, Lissner se pliera à son tour à l’exercice le 19 février. L’ambition est de porter
à terme le mécénat de 11 à 15 millions d’euros. Mais ce n’est pas tout : la billetterie
aussi devrait croître de 5 % à 7 %. « Sur un budget d’environ 205 millions, 47 %
viennent de la subvention publique, le reste de nos recettes propres, qui toutes
doivent pouvoir augmenter », ne cache pas ce patron ambitieux. Indispensable,
alors que sa programmation entend réunir le « top » des artistes internationaux.
59
*/Revue de presse
Le Figaro, 15 avril 2015
INFO LE FIGARO - L’établissement dirigé par Stéphane Lissner accueillera, en 2017-2018,
Benvenuto Cellini dans une mise en scène du célèbre cinéaste britannique, membre des
Monty Python.
60
Lundi, les membres du tout nouveau Cercle Berlioz (cercle de mécènes appelés à soutenir,
chaque saison, la production d’une ou plusieurs œuvres du grand répertoire lyrique français)
ont eu la primeur de quelques confidences sur les projets de Stéphane Lissner pour l’Opéra
national de Paris. Ce dernier entend en effet mener, tout au long de son mandat - jusqu’en
2021 - un travail de fond autour d’Hector Berlioz.
Travail de revalorisation qui commencera par La Damnation de Faust (prévue en
décembre 2015) et culminera en 2019- date anniversaire de l’Opéra Bastille et
de l’Académie nationale de musique - avec Les Troyens. Entre-temps, l’institution
accueillera la production choc, aux dimensions circassiennes et spectaculaires, de
Benvenuto Cellini, mise en scène par le cinéaste Terry Gilliam en juin dernier pour
l’English National Opera.
Ouvrage réputé difficile - voire impossible - à monter, ce premier essai de Berlioz
à l’opéra constituait en réalité la seconde incursion de l’ex-membre des Monty
Python dans l’univers lyrique, après une Damnation de Faust également montée
à Londres en 2011. Acclamée par la presse britannique, cette production devrait
donc faire les riches heures de Paris. Mais elle ne sera pas la seule à faire parler
d’elle. Lissner et son équipe ont en effet levé une partie du voile qui couvre la
prochaine production, déjà très attendue, de La Damnation de Faust. Si l’on en
connaît déjà le casting idéal (Philippe Jordan à la baguette, Jonas Kaufmann
et Bryan Himmel en Faust, Bryn Terfel en Mephistophélès et Sophie Koch en
Marguerite), peu d’informations avaient en revanche filtré sur la vision du metteur
en scène letton Alvis Hermanis.
Un avatar de Stephen Hawking
Les premiers membres de Cercle Berlioz (accessible à tous types de donateurs)
ont pu en découvrir les premiers éléments de décor, et surtout le concept, qui
reposera sur une idée aussi folle que forte: un audacieux parallèle entre le mythe
faustien de Goethe et le programme Mars One. Ce projet privé affole scientifiques,
sociologues et médias en affichant, depuis 2012, son ambition d’organiser, à
l’horizon 2024, le premier vol habité (et sans retour) vers Mars, avec l’installation
d’une colonie de volontaires sur la planète rouge! Aux côtés des vedettes lyriques
que sont Kaufmann ou Terfel, une autre star mondiale sera présente en toile de
fond, tout au long du spectacle: le scientifique Stephen Hawking. Ce dernier,
incarné sur scène par le célébrissime danseur français - et ancien assistant de
Pina Bausch - Dominique Mercy, servira de point de départ et d’arrivée, telle une
allégorie de ce « rêve d’expansion de l’humanité ».
Concernant les autres ouvrages de Berlioz ou du répertoire français prévus à
l’horizon 2019, Lissner a évoqué pour la saison 2016-2017 Béatrice et Benedict en
versions de concert et Samson et Dalila de Saint-Saëns, ainsi que, pour la saison
2018-2019, cette fois en version scénique, Les Huguenots de Meyerbeer, en
plus des Troyens. Le Cercle Berlioz, tout juste lancé afin de soutenir ces projets,
permettra aux spectateurs qui en font partie de suivre, en coulisses comme à
distance via internet, toutes les étapes de création de ces différentes productions,
et d’avoir un accès direct et privilégié aux artistes, metteurs en scène ou artisons
qui en seront acteurs.
61
*/Revue de presse
La Croix, 20 avril 2015
La manifestation «Tous à l’Opéra» invite le public dans 28 maisons d’opéra, le week-end du 9
et 10 mai, alors que l’engouement pour l’art lyrique ne se dément pas: plus de 2,2 millions de
spectateurs par an et un taux enviable de fréquentation de 94%.
Spectacle visuel par excellence, l’opéra séduit et son public a même tendance à rajeunir,
contrairement au public de la musique classique dont l’âge médian est de 61 ans, selon une
récente enquête. L’âge moyen est de 46 ans à l’Opéra de Paris, et l’Opéra National du Rhin a
même 30% de spectateurs de moins de 26 ans.
«Il y a une curiosité incroyable parmi les jeunes lorsqu’on les invite à une répétition d’opéra»,
constate Raymond Duffaut, conseiller artistique de l’Opéra d’Avignon.
62
Pour autant, tout n’est pas rose au royaume de Verdi et Mozart. «Pour la première fois cette
année, on assiste à une baisse sensible des subventions publiques (de l’ordre de 3%) et à une
baisse de l’activité», constate l’étude conduite auprès de 25 maisons d’opéra (sur une trentaine en
France) par la Réunion des Opéras de France (ROF).
L’Opéra coûte cher: il faut un orchestre complet, des chanteurs solistes, des costumes, des décors... Contrairement à des genres plus légers, le coût n’est pas amorti
par le nombre des représentations: plus on lève le rideau, plus c’est cher. Résultat:
face à la baisse des subventions, les 25 opéras étudiés ont réduit de 5% le nombre
de levers de rideau l’an dernier (2.666 contre 2.819 en 2012). Outre le repli d’activité, le risque augmente de voir toujours les mêmes titres populaires à l’affiche.
«La prise de risque artistique pourrait être moins grande dans les prochaines années», estime Laurence Dessertine, présidente de l’Opéra de Bordeaux et directrice
de la Réunion des opéras de France.
- «Top ten» «Avant on parlait du +top ten+ pour les grands titres d’opéras qui font le plein, ça a
tendance à devenir un top five, parce que quand on sort de Traviata, de Nabucco,
d’Aida et quelques titres comme ça, après c’est beaucoup plus aléatoire!» remarque
Raymond Duffaut.
Cette année, les Chorégies d’Orange qu’il dirige produiront 3 représentations de
«Carmen» et deux du «Trouvère» de Verdi. Seule «Carmen» est capable de remplir
à trois reprises les 8.300 places du théâtre antique d’Orange. Les Chorégies sont
autofinancées à hauteur de 83%, une exception dans le paysage de l’opéra, où les
subventions pèsent en moyenne 70%.
Les maisons d’opéra panachent généralement les titres vedettes et les découvertes,
comme «Les Caprices de Marianne», de Henri Sauguet, un ouvrage oublié du XXe
siècle coproduit par 15 maisons d’opéras avec le Centre français de promotion
lyrique (CFPL). «Il y a une curiosité du public», constate Raymond Duffaut, tout en
déplorant la «frilosité vis-à-vis des créations contemporaines».
Cette année, le CFPL travaille sur une création d’une pièce de Copi, «L’ombre de
Venceslao», que va mettre en scène Jorge Lavelli, avec une commande de partition
au compositeur argentin Martin Matalon. «On a une dizaine de villes co-productrices, c’est déjà formidable d’avoir décidé 10 maisons d’opéra à travailler sur une
création», dit-il.
Pour Laurence Dessertine, le retrait financier de l’Etat, les difficultés financières
des collectivités et la nouvelle carte des régions vont obliger les maisons d’opéras à
«changer leur modèle». «Il faudra sans doute davantage de recettes propres et de
mécénat», estime-t-elle.
Depuis son arrivée à l’opéra de Paris, Stéphane Lissner a mis les bouchées doubles
pour séduire les mécènes. Il vient de lancer un «Cercle Berlioz», qui propose aux
généreux donateurs une immersion dans la production d’un opéra («La Damnation
de Faust»).
63
*/Revue de presse
En Scène, le journal de l’Opéra national de Paris / mai-juillet 2015
Pour réunir le complément de financement nécessaire au nouveau spectacle de La Damnation de
Faust, l’Opéra national de Paris fait appel à la générosité de son public et créé « Le Cercle Berlioz ».
Tous ceux qui répondront à cet appel pourront découvrir les étapes de la création d’un opéra.
UNE IMMERSION AU CŒUR de la très attendue
Damnation de Faust d’Hector Berlioz fait son grand retour
sur la scène de l’Opéra Bastille en décembre 2015. C’est
à Alvis Hermanis qu’a été confiée la mission de donner
une nouvelle lecture de cette « légende dramatique » créée
en 1846 à l’Opéra Comique. Ce chef-d’œuvre s’attaque
à l’un des sommets de la littérature dramatique, écrit par
Goethe et traduit par Gérard de Nerval, le mythe de Faust.
Alvis Hermanis sait les dangers que représente une œuvre
d’une telle ampleur, composée de scènes fragmentaires
et incandescentes. En collaboration avec l’artiste vidéaste
Katrina Neiburga, il a conçu un projet gigantesque, une
scénographie d’images pures qui entraîne le spectateur
loin de ce monde, en résonance avec les plus récentes
avancées scientifiques et la recherche cosmologique. Pour
habiter cet espace unique, Alla Sigalova est en charge de
la chorégraphie à laquelle Dominique Mercy prête son
style si particulier. Sous la direction de Philippe Jordan, des
grandes voix donnent à cet opéra toute sa force et toute sa
beauté. Jonas Kaufmann reprend le rôle de Faust, Sophie
Koch tient celui de Marguerite et Bryn Terfel celui de
Méphistophélès.
Ce sont les coulisses de ce nouveau spectacle que les
membres du Cercle Berlioz peuvent dès à présent découvrir.
Pour la première fois, l’Opéra national de Paris a, en
effet, fait le choix de dévoiler les rouages de la production
aux spectateurs passionnés d’opéra qui soutiennent La
Damnation de Faust. Le Cercle Berlioz marque le premier
pas d’un dialogue nouveau entre l’Opéra national de Paris
et ses mécènes et permettra à ses membres d’aborder
l’œuvre, le soir de la représentation, avec un regard d’initié.
64
LES RENDEZ-VOUS DU CERCLE BERLIOZ
Tout au long des mois de travail, les membres du Cercle
Berlioz sont invités par l’équipe artistique à pousser les
portes des coulisses pour découvrir les étapes et les secrets
du processus de création.
Le premier rendez-vous du Cercle a lieu le 13 avril 2015,
dans un lieu insolite de l’Opéra Bastille. Cet évènement
marque le début d’une série de rencontres exceptionnelles
qui plongent les membres du Cercle Berlioz au cœur de
la vie de l’Opéra national de Paris et de La Damnation
de Faust. Les membres sont conviés à des rendez-vous
réguliers leur dévoilant l’évolution du spectacle et le parti
pris artistique défini par le metteur en scène et le directeur
musical. Ce parcours de découverte les conduira des
coulisses et lieux cachés de l’Opéra Bastille aux répétitions
en passant par des rencontres avec les artistes ou encore un
récital privé autour de l’œuvre d’Hector Berlioz. Jour après
jour, les membres du Cercle suivent la construction de ce
projet artistique en prenant part à un fascinant voyage au
cœur de la création.
LES COULISSES EN LIGNE
Cette immersion dans l’univers si singulier de l’opéra
est assurée par un accès, réservé aux membres du Cercle
Berlioz, aux coulisses en ligne de La Damnation de Faust.
Les membres du Cercle passent ainsi derrière la scène
de l’Opéra Bastille pour découvrir, où qu’ils soient, les
mystères des coulisses, les témoignages des artistes, les
métiers de l’Opéra et les temps forts de la production
d’un nouveau spectacle. Vidéos des ateliers de décors et
costumes, interviews des artistes et des équipes techniques,
documents originaux rares… sont autant de secrets qui sont
révélés en ligne.
Plongez au coeur de la création.
Offrez-vous votre premier rôle
dans la Damnation de Faust.
De façon inédite, l’Opéra national de Paris vous transporte dans l’univers de ses créations. Le Cercle Berlioz vous
invite à découvrir les arcanes de la très attendue Damnation de Faust d’Hector Berlioz programmée en décembre
2015.
Découverte de la maquette et du projet de mise en scène, confection des costumes, fabrication des décors
dans les ateliers, répétitions et récitals privés, conversations avec les artistes de la production, un programme
exceptionnel qui sera dévoilé aux membres du cercle.
Devenez mécène de La Damnation de Faust en rejoignant le Cercle Berlioz !
cercleberlioz.operadeparis.fr
65
*/Les mécènes
MÉCÈNES
DE L’OPÉRA NATIONAL
DE PARIS SAISON 15/16
_
MÉCÈNES PRINCIPAUX
EY
mécène principal de l’opéra national de paris
Paprec Group
Mécène principal du ballet de l’opéra national de paris
_
PARTENAIRE OFFICIEL
Rolex
Montre de l’opéra
_
LE CERCLE DES ENTREPRISES MÉCÈNES
DE L’OPÉRA NATIONAL DE PARIS
AXA France
Champagne Charles Heidsieck
Eiffage
Fondation BNP Paribas
Fondation Orange
Fondaion Total
Fondation ENGIE
Groupama
MasterCard France
Saint-Gobain
Siemens
66
_
ASSOCIATIONS ET FONDATIONS
Annenberg Foundation/ GRoW
Blavatnik Family Foundation
Eloise Susanna Gale Foundation
Florence Gould Foundation
Fondation Bettencourt Schueller
Arop, Les Amis de l’Opéra
Fondation pour le Rayonnement de l’Opéra national de Paris
The American Friends of the Paris Opera & Ballet
_
GRANDS DONATEURS
Monsieur et Madame Gregory Annenberg Weingarten
Monsieur Pierre Bergé
Monsieur et Madame Len Blavatnik
Monsieur et Madame Laurent Diot
Monsieur Jean-François Dubos
Maître et Madame Bernard Duc
Monsieur et Madame Romain Durand-Milanolo
Monsieur et Madame Barden N. Gale
Monsieur et Madame Henry Hermand
Monsieur et Madame Claude Janssen
Monsieur et Madame Philippe Journo
Madame Yvette Le Coze
Madame Sabine Masquelier
Docteur Léone-Noëlle Meyer
Sir Simon et Lady Robertson
Madame Lily Safra
Monsieur et Madame Jean-François Théodore
Monsieur et Madame William Torchiana
Monsieur et Madame Akiko Usui
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merci
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Crédits photos pour cet ouvrage :
Gregor Hohenberg
Lucie&Simon
Filippo Minelli
Patrick Nin
Felipe Sanguinetti
Brian Tarr
Sascha Weidner
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