LABEL «NAT» PORTRAIT

Si Naturel
DOSSIER DE PRESSE INSTITUTIONNEL 2013 / 2014 - COSMEBIO®
PORTRAIT
SAMUEL GABORY, un Président
visionnaire qui fait bouger le secteur
COSMEBIO®,
Association
N 1
mondiale
de la cosmétique
biologique
Le label «BIO» : bien plus qu’un
label, un ENGAGEMENT !
EN EXCLU
LABEL «NAT»
LA NOUVELLE CERTIFICATION
DES COSMETIQUES NATURELS
COSMEBIO® OFFRE UNE LEGITIMITE
A LA COSMETIQUE NATURELLE
GRACE A SON LABEL «NAT»
Q ui aurait cru en 2002 que COSMEBIO®, créée par 10 chefs d’entreprise considérés comme des «illuminés»,
pouvait devenir la 1ère association mondiale de la cosmétique écologique et biologique une dizaine d’année
plus tard ? A dire vrai, personne. Et pourtant, début 2013, on compte environ 400 membres répartis sur les
5 continents, générant un chiffre d’affaires cosmétique de 9,6 milliards d’euros. Certains parient sur la mort
de la cosmétique «BIO»? Quelle drôle d’idée ! Sans tabou ni langue de bois, l’association confirme qu’elle
était, qu’elle est et qu’elle restera la représentante d’un secteur qui s’inscrit au coeur de la 3ème révolution
industrielle grâce aux démarches éco-responsables de ses membres. La nouveauté ? Son label NAT : LA solution pour tirer les entreprises vers le Bio ou vers le haut et mettre un terme à la confusion du greenwashing.
cosmétique «BIO»
OUI ! La
est bien vivante !
COSMEBIO® couvre aujourd’hui 95% du marché français et
15% du marché européen des cosmétiques Bio. Bénéficiant
d’une prise de conscience unanime suite à une vague médiatique initiée en 2005, COSMEBIO® a vu sa notoriété s’accroître. Celle-ci allait évidement de paire avec une croissance
significative du nombre d’adhésions qui a quasiment triplé
en l’espace de 5 ans. «Environ 300 marques sont apparues
en France en moins de 5 ans. Certaines disparaîtront, c’est
évident. N’oublions pas que nous sommes sur un marché mondial qui représente 6,7 milliards d’euros, soit 10% du marché
de la cosmétique. Les enjeux sont importants. La France exporte plus de la moitié de sa production. Nous ne sommes pas
seuls», explique Samuel Gabory, Président de COSMEBIO®.
Si les 400 membres de COSMEBIO® représentent aujourd’hui
9,6 milliards d’euros, environ 333 millions d’euros sont générés en 2012 par la cosmétique bio, soit 34% de hausse
par rapport à 2010 ! Répartition des catégories de cosméCOSMEBIO®,
c’est tiques labellisés COSMEBIO® 2012
aussi 500 marques
et 9000 références.
On trouve parmi les
membres des laboratoires en marque propre
principalement
(357),
des sous-traitants et
façonniers (21), des
distributeurs (13) et
des fournisseurs et fabriquants de matières
premières biologiques
(9). Les entreprises membres de COSMEBIO® sont à 85%
des TPE et PME. Reconnues comme des moteurs de création d’emplois, de gisements d’innovation, de croissance et
de potentiels d’exportation, ces entreprises font la fierté de
l’association ; tout comme les grandes entreprises qui ont
été, et sont toujours de véritables locomotives, considérant le bio comme un pilier de recherche et d’innovation.
* Données d’Aléric de Solère, agence Happy Ideas, intervenant pour l’association lors de l’AG du 11 juin 2013
** Organic Personal Care Products Market for Skin Care, Hair Care, Oral Care and Cosmetics - Global Industry Analysis 2012 – 2018
Et dans 10 ans ?
«Le cheval restera toujours alors que la voiture
n’est qu’une nouveauté qui passera» (Président
de la Michigan Saving Bank déconseillant à l’avocat de Ford d’investir dans l’automobile, 1903) /
«Je pense qu’il y a un marché mondial de cinq
ordinateurs» (T. Watson, Président d’IBM, 1943)
/ «La télévision ne conservera aucun des marchés. Les gens en auront vite assez de regarder
une boîte en contreplaqué tous les soirs» (D. F.
Zanuk, Patron de la 20th Century-Fox, 1946)*
La fleur au bec mais les pieds sur terre,
COSMEBIO® ne s’empêche sûrement pas de
voir grand. Surtout lorsqu’elle se repose sur
un rapport publié récemment par Transparency Market Research : « le marché des cosmétiques biologiques se développe à un rythme
rapide à travers le monde » - ainsi que sur la
dernière étude en date** qui explique que le
marché mondial des produits cosmétiques naturels et biologiques progressera à un taux de
croissance annuel composé (TCAC) de 9,6%
de 2012 à 2018 résultant sur un chiffre d’affaires de 13,2 milliars de dollars. Les raisons ?
La montée des préoccupations en matière de
sécurité sanitaire, la hausse des inquiétudes
environnementales et la prise de conscience
des consommateurs concernant les dangers
des produits de synthèse ont alimenté la
demande pour les produits cosmétiques naturels ou biologiques dans le monde entier.
Effectivement, d’après le Baromètre Agence
BIO/CSA, les produits bio bénéficient d’une
image positive : 86% des Français estiment
qu’elle contribue à préserver l’environnement, la qualité des sols, des ressources en
eau». C’est dans ce cadre que COSMEBIO®
s’associe à Organics Cluster, initiative régionale, dans le lancement d’une étude sur le
marché du bio (alimentaire et cosmétique) en
2025. COSMEBIO® réunira bientôt ses experts
pour établir plusieurs scenarii et tenter d’élargir les possibles marchés dans les douze prochaines années. Objectif : donner les clefs aux
entreprises à l’aide à la décision. Résultats :
avril 2014. Encore un peu de patience donc...
AVANT
La cosmétique NATURELLE,
une 1ère étape vers le BIO
Si l’on considère que la cosmétique BIO ne représente
qu’un marché de niche (3% du marché français), elle
est en tout cas économiquement viable. Quoiqu’il
arrive, il est clair que l’association COSMEBIO®, qui
couvre 95% du marché français de la cosmétique BIO, n’a pas vocation d’augmenter son nombre d’adhérents ! La preuve
en est avec l’engagnement n°3 de sa Charte :
«toute entreprise adhérente dont la marque
commerciale détient un produit sous un
label «BIO» doit labelliser «BIO» au
moins 20% des produits de la marque
commerciale d’ici au 1er juin 2015».
Pourquoi? COSMEBIO® souhaite réunir à ses côtés des
entreprises qui croient aux valeurs du Bio et qui sont
loin de se lancer dans la commercialisation d’une
gamme de produits éphémères, servant d’apat marketing. Le respect de l’Homme et de la Nature prime
sur le reste, c’est bien le message qu’entend faire passer Samuel Gabory. «La mission de COSMEBIO® est bien
de tirer les entreprises vers le haut.» Selon une étude de
janvier 2012 (étude Deloitte intitulée : produits de beauté bio : une croissance durable ?), il a été établi que la
cosmétique BIO faisait venir de nouveaux consommateurs : «alors que la demande émanait principalement
des «consom’acteurs «vert foncé» peu nombreux, on
constate l’émergence d’une nouvelle catégorie – plus
large – de consommateurs néophytes, les « vert clair »».
Il est paru évident et donc si naturel pour COSMEBIO®,
spécialiste du marché de la cosmétique bio de proposer
un second niveau de certification : le NATUREL !
Car avant qu’un cosmétique soit BIO, il est naturel ! Opportunité de croissance
pour l’association et réponse à une véritable demande du consommateur, la
certification de la cosmétique Naturelle
promet enfin de clarifier un flou végétal
dont de nombreuses sociétés profitent aujourd’hui. Depuis janvier 2010, le référentiel européen COSMOS offre déjà ces niveaux de certifications : le niveau «BIO» et le niveau «NATUREL». En
cours de révision, le référentiel offrira à l’automne
un réfétentiel stabilisé. Dans tous les cas, dans
l’esprit, si un cosmétique «BIO» est composé de
95% minimum d’ingrédients naturels et de 20%
d’ingrédients BIO , le cosmétique certifié «NATUREL»
- marqué du label NAT - sera composé de 95% d’ingrédients naturels.
Tirer les entreprises vers le haut
Non, il ne s’agit pas d’un nivellement vers le bas
comme certains voudraient bien l’entendre, mais plutôt
le contraire. C’est un moyen d’amener les entreprises
de la cosmétique conventionnelle vers une cosmétique
naturelle... et qui sait un jour, viendront-elles au Bio. La
composition du produit reste de la forme, mais parlons
plutôt du fond : une entreprise qui souhaite fabriquer
ou distribuer une gamme de cosmétiques «NAT» et qui
est donc membre de COSMEBIO® respectera la Charte
de l’association. Celle-ci invite la société à adhérer à
des valeurs communes qui sont la transparence, le
respect de la nature - et à s’engager à l’évaluation de
la biodiversité et des pratiques de commerce solidaire
et équitable, à être formé par l’association, à adopter
une communication responsable.
Pourquoi la cosmétique «NATURELLE» reste cohérente avec les valeurs de COSMEBIO® ?
Interview de Rodolphe BALZ, fondateur de l’association
«L’être humain est équipé de capteurs biologiques aussi bien sur la peau qu’à l’intérieur
des organes. Et ceci nous permet d’identifier et d’utiliser ou de dégrader les produits ou les
ingrédients naturels. Quand on a affaire à des produits qui sont synthétiques, ces capteurs fonctionnent beaucoup moins bien et ils arrivent beaucoup plus difficilement à
faire ce travail. Une matière première végétale va garder toute son activité quand elle
est « bio-disponible » c’est-à-dire que les molécules sont dans leur système d’origine.
Quand on les a purifié et qu’elles ont subi des process industriels, elles perdent leur activité.
Alors que quand on les extrait de manière douce (la distillation par exemple) et qu’on les
intègre directement dans un cosmétique, elles vont garder leur bio-disponibilité, c’est-àdire leur capacité à s’associer avec les cellules du corps et dispenser toute leur activité.
D’ETRE BIO, SOYONS «NATUREL»
Un souci de transparence vis à
vis du consommateur
AH OUI
QUELLE
MARQUE
Je ne me souviens
plus mais c est vert
et c est Ecrit 100%
naturel dessus
je me suis
achEteE une
crEme BIO
su-per
Ah... donc
c Est pas
une crEme
BIO ALORS
BIO OU NATUREL,
même combat :
l’I-NNO-VA-TION !
Samuel Gabory, Président de l’association et Dirigeant du groupe Nature
& Stratégie explique : «la véritable
innovation dans le bio, c’est que
nous avons su mettre en valeur des
ingrédients naturels ou biologiques
qui offrent la même efficacité qu’un
ingrédient chimique. Nous avons
conscience que nos sociétés membres
ont fait progressé l’industrie de la
cosmétique grâce à de nouveaux process, à la découverte de nouveaux
ingrédients, grâce à l’innovation».
Rodolphe Balz, fondateur et expert international de la phytothérapie, ajoute : «la science nous a peu
à peu éloigné de la nature à cause
de ses progrès assez spectaculaires.
Et finalement, il est intéressant de
constater qu’aujourd’hui, c’est la
science qui nous ramène à la nature».
PLus vert que vert
Il paraît évident que la cosmétique dite «naturelle»
résonne dans la tête des consommateurs comme une
air confusant. Normal ! Puisque le mot «naturel» est
allégrement tartiné sur la plupart des packagings sans
aucune allégation revendiquée. Greenwashing, politique du «sans, sans, sans», création de charte propre
à chaque entreprise pour définir un cosmétique naturel... Quel consommateur peut s’y retrouver ? Est-ce
qu’un produit qui contiendrait 2% d’ingrédients végétaux et de plantes, sans que l’on puisse connaître
ni le procédé de transformation ni l’origine, est considéré comme un cosmétique naturel ? Qu’en est-il de
la société qui conçoit des cosmétiques naturels avec
des ingrédients BIO sans l’indiquer sur le packaging,
utilisant des procédés propres de fabrication et une
politique d’entreprise responsable ? De quelle manière peut-elle se valoriser dans cette jungle du végétal ? Hier, elle n’avait pas de solution. Aujourd’hui,
elle peut répondre au cahier des charges COSMOS et
apposer le label «NAT». Un gage de notoriété assuré
puisque son grand frère, le label «BIO» est largement
reconnu en France*.
Ce sont les obstacles qui ont poussé
les membres de COSMEBIO® à aller
toujours plus loin et à trouver des
ingrédients naturels aussi performants que des ingrédients issus de
la pétro-chimie. «On est très très
loin d’avoir fait le tour donc il y a un
potentiel absolument gigantesque
qui peut nous apporter encore
beaucoup d’éléments sur le plan de
la cosmétique comme sur le plan de
la santé», ajoute Rodolphe Balz. Ce
n’est pas l’ingrédient en lui-même
qui est innovant, c’est le procédé
de fabrication et de transformation
qui va l’être. COSMEBIO®, dans son
engagement n°2 confirme que «la
filière doit investir dans sa connaissance et sa maîtrise des ingrédients
et des procédés. Les formulations
doivent viser des niveaux de performance toujours plus ambitieux,
et les techniciens et les ingénieurs
doivent poursuivre un programme
de formation continue pour renforcer
en permanence leurs compétences.»
BIENTOT UNE DEFINITION
Si les français trouvent un sens au
mot «NATUREL» lorsqu’on parle de
cosmétique, les américains ou les
japonais n’y trouveront pas la même
définition. En vue d’une harmonisation générale, COSMEBIO® participe
au projet des «lignes directrices de
la définition et des critères pour les
ingrédients et produits finis naturels
et biologiques» dans le cadre de la
norme internationale ISO WD 16128.
L’association, entend bien faire passer
ses valeurs afin de proposer une définition en adéquation avec les cahiers
des charges français et européen.
* Etude IPSOS réalisée en septembre 2011 sur 600 femmes âgées de 24 à 54 ans : 93% des consommatrices de cosmétiques bio reconnaissent le label BIO (échantillon : 100) et 57% des
consommatrices de cosmétiques conventionnels (échantillon : 500)
Samuel GABORY
Un Président visionnaire et téméraire
«Il a toujours plein d’idées avant tout le monde et il sait prendre des risques». Et c’est bien le profil dont
l’association avait besoin pour suivre les traces de Rodolphe Balz. Il est réputé comme étant prudent et
réfléchi. «Il offre à COSMEBIO® un nouveau tournant qui va de paire avec notre époque. Il veut offrir aux
membres de la profondeur. Se contenter d’«acheter» notre label «BIO» n’est plus suffisant. Samuel encourage, avec le Conseil d’Administration, les entreprises à partager et à coopérer avec les acteurs du métier
afin d’être plus innovant et plus performant» ajoute Betty Santonnat, Directrice de Développement
de COSMEBIO®. Sa devise : le changement passe par l’humain. Sa priorité : former les adhérents
pour avoir une longueur d’avance et promouvoir une filière d’excellence. Né le 8 juillet 1963,
Samuel Gabory est petit-fils et fils d’agriculteurs, mais surtout le fils de Jeanine Gabory, créatrice
de la société Fleur des Mauges qui lui donne la fibre. Il fonde en 2010 la holding Nature & Stratégie, qui regroupe l’ensemble de ses structures (laboratoire Alvend, Comptoir des Lys, Fleur des
Mauges...). Elu Président de COSMEBIO® en 2010, il continue sa route après sa réelection en juin
dernier pour 3 ans.
Bernard CHEVILLIAT (élu depuis 2005)/ Président de M & L Distribution
Nicolas FOUCHERE (élu depuis 2002) / PDG du Laboratoire Sicobel
Secrétaire Général
Pierre CHARLIER de CHILY (élu depuis 2004) / Président de ALDIVIA
Trésorier Romain RUTH (élu depuis 2010) / D.G. de FLORAME
Trésorier Adjoint
Alexis FORT (élu depuis 2012) / D.G. de PIERRE CATTIER SAS
Administrateurs
Valérie MARCADET (élue depuis 2008) / Directrice des cosmétiques des Laboratoires LEA
Claudie RAVEL (élue depuis 2009) / D.G. de GUAYAPI Tropical
Cyrille DROIN (élu depuis 2011) / Président du Laboratoire PHYTO-ACTIF
Frédéric GRANGE (élu depuis 2011) / Président des Laboratoires BIOCOS
Amandine BRIAND (élue depuis 2013) / D.G. du Laboratoire ODYSUD
Philippe LARATTE (élu depuis 2013) / Président de BOUTIQUE NATURE
Le Conseil
d’Administration
Vice-présidents
COMME UN POISSON DANS L’EAU
COSMEBIO® en BREF
L’association COSMEBIO® (loi 1901) est
à l’origine de la Charte des cosmétiques
écologiques et biologiques. Née en 2002,
elle se donne aujourd’hui pour mission de
fédérer l’ensemble de ses 400 membres,
tous acteurs de la filière cosmétique BIO en
France et à l’étranger. Son objectif ? Prôner
une cosmétique respectueuse de l’homme
et de l’environnement, utilisant des ingrédients issus de l’agriculture biologique ainsi
que des procédés de fabrication propres.
Plus qu’un label, COSMEBIO® propose à
ses entreprises membres de les accompagner dans une démarche éco-responsable.
COSMEBIO® est déclaré organisme de
formation continue (auprès du Préfet de la
région Rhône-Alpes - n° 82 26 0190826) un
bon moyen de transmettre son expertise,
et à ses membres et au grand public.
Depuis 2009, l’équipe COSMEBIO® loge dans un
bâtiment HQE® appelé l’INEED Rhône-Alpes (Innovation pour l’Economie et l’Environnement
Durable). Situé à Valence (drôme, 26) en face
de la gare TGV, cette structure est une véritable vitrine
de l’éco-construction qui regroupe de nombreuses compétences professionnelles des
marchés écologiques.
Crédit photo : Serge CHAPUY
Info lecteurs [email protected] ou www.cosmebio.org ou sur Facebook
Visuels haute définition téléchargeables sur www.cosmebio.org (espace info presse)
CONTACTS PRESSE : Betty Santonnat & Julie lambert
04 75 60 27 44 ou [email protected]
Plus qu’un label, un épanouissement
Qu’une entreprise choisisse de certifier un cosmétique BIO ou NATUREL, elle fera surtout le choix d’adhérer à une
Charte qui la pousse à entreprendre une démarche éco-responsable. Et c’est bien là tout l’enjeu de l’association
dans les prochaines années. Le Rapport de Développement Durable 2012, véritable patrimoine du mouvement
bio, évalue l’implication des membres COSMEBIO® qui ont mené des actions dans 4 domaines :
la BIODIVERSITE (44% des membres COSMEBIO® se sont engagés pour le respect de la
vie animale, 24% pour l’écologie et les forêts analogues) - le COMMERCE EQUITABLE
(35% ont mis en place des actions concernant l’établissement de relations durables)
- l’ENVIRONNEMENT (62% concernant le traitement des déchêts...) et l’ASPECT SOCIAL
ET CITOYEN (42% ont mené des actions de responsabilité sociétale concernant les
relations et les conditions de travail...). Ces chiffres sont encourageants car la
mutualisation des bonnes pratiques se propage.
TROIS EXPERTISES
TECHNIQUE
COSMEBIO® offre la possibilité à
ses membres d’être représentés,
quelque soit leur taille, auprès des
instances nationales (Afnor, syndicats et associations de fournisseurs d’ingrédients), européennes
(COSMOS, Cosmetics Europe) et
internationales (ISO). La Commission Technique COSMEBIO® offre un
véritable soutien en informant ses
membres des avancées qui régissent
le monde de la cosmétique bio (aluminium, pesticides, métaux lourds...).
ETHIQUE
COSMEBIO® invite ses entreprises
membres à aller plus loin que les
seuls exigences liées au produit.
Grâce au travail de la Commission
Ethique, l’association accompagne
ses adhérents dans une démarche
éco-responsable, synonyme de progrès pour l’économie du futur. Le
nouveau membre, lorsqu’il adhère,
intègre une famille de 400 entreprises qui a l’habitude de mutualiser ses bonnes pratiques, ses compétences et ses connaissances.
COMMUNICATION
COSMEBIO® assure une visibilité à
ses membres auprès du grand public grâce à l’apposition du label
«BIO» sur les packagings, que l’association défend jour après jour
avec l’aide d’un cabinet d’avocat et
de propriété industrielle. Elle garantit une présence sur les salons
nationaux (Cosmeeting, Natexpo,
Beauté Sélection) et internationaux.
La Commission Communication travaille sur des campagnes grand public pour valoriser ses membres.
Témoignage de David Lorenzi, DG de Finessence - adhérent COSMEBIO® depuis 2005
«Lorsque je suis devenu membre de COSMEBIO®, j’ai très vite perçu dans cette association un véritable esprit
familial avec des personnes aux valeurs communes comme l’entraide, la convivialité, le respect des hommes
et de la nature, ce qui est rare dans le secteur de la cosmétique. J’apprécie beaucoup le fait de ne pas subir
les contraintes liées à ce secteur car mon droit d’expression (par mon droit de vote) permet à ma PME d’être
représentée aussi bien qu’une plus grande entreprise. Je ne me sens pas seul car j’intègre un réseau de 400
entreprises qui ont l’habitude de mutualiser leurs compétences, leurs bonnes pratiques et j’ai beaucoup appris
d’eux. COSMEBIO® m’a permis de faire connaître ma marque par sa présence sur les salons, sur leur site Internet,
les réseaux sociaux… Je n’en retire que des bénéfices.»