la grande campagnie - Les Musiques à Ouïr
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la grande campagnie - Les Musiques à Ouïr
La Grande Campagnie des Musiques à 0uïr Depuis dix ans, La Campagnie n’a cessé de multiplier les rencontres. En réunissant ces croisements artistiques, La Grande Campagnie des Musiques à Ouïr offre une forme orchestrale de La Campagnie des musiques à ouïr. Les Musiques à Ouïr 2, rue Macé 76000 Rouen +33 2 35 34 24 80 [email protected] Contact La Grande Campagnie des Musiques à Ouïr Une association d’artistes, regroupés autour d’un orphéon dada de poche : La Campagnie des musiques à ouïr utopie, imaginaires partagés, rencontres baroques et obliques Les Musiques à Ouïr Association 2, rue Macé 76 000 ROUEN Tel/Fax. 02 35 34 24 80 [email protected] www.musicaouir.fr Conception artistique Denis Charolles Chargée de diffusion/Communication Tiphanie Moreau 06 24 18 83 41 [email protected] Production/Communication Christine Jacquemont 02 35 34 24 80 06 76 62 21 49 [email protected] Photos : Mare Eil (couverture) & Véronique Guillien (intérieur) Ensemble musical conventionné par le Ministère de la Culture, la Direction régionale des affaires culturelles de Haute Normandie et la Région Haute Normandie. Avec le soutien du Lavoir Moderne Parisien (75), du Trianon Transatlantique (76), de Canal 93 Bobigny Musiques, de l’Onde, Théâtre centre d’arts de Vélizy-Villacoublay et du Label Ouïe – Label des Musiques à Ouïr. Membre associé des Grands Formats. Présentation L'espace d'un concert, La Campagnie veut éveiller les consciences, elle dresse un tableau pour le moins déglingué de nos temps : éléments déchaînés, solitude embourbée, romance en capilotade, cirque politique sanglant. Ce trio est une bouffée d'oxygène grisante, l'addition de tempéraments curieux de nouveauté. Sifflets, ferrailles ou crécelle, Charolles / Gastard / Authelain sont bruiteurs autant que musiciens, jouent avec les sonorités, rendent visible une pulsation rythmique. S'inspirant des bruits du quotidien, trafiquant des outils aussi incongrus que des caisses à outils, La Campagnie des musiques ouïr se moque des clichés et des règles propres à la tradition pour revenir à une musique essentielle et profonde. Foncièrement inventive. La Grande Campagnie des Musiques à Ouïr Le nouveau cocktail explosif des musiques à ouïr version grand format. Un plateau exceptionnel et attractif réunissant un casting artistique de haut vol pour servir une musique (un spectacle) à l'image de l’emblématique Campagnie des Musiques à Ouïr ; brillante, libre, pétulatoire, ....... La Grande Campagnie des Musiques à Ouïr offre un des plus forts spectacles musicaux du moment, à vos kassettes… L’équipe Conception artistique : Denis Charolles Composition musicale : Denis Charolles, Frédéric Gastard Musique : Denis Charolles : Batterie, arrosoir, graviers, percutterie, clairon et embouchures à bouches, chant Frédéric Gastard : Saxophone basse, ténor, soprano, synthétiseur analogique Julien Eil : Flute traversière, saxophone baryton, clarinette basse Jacques Di Donato : Clarinette, saxophone soprano Mathias Mahler : Trombone Sylvain Bardiau : Trompette, tuba Antonin Rayon : Orgue Hammond, clavinet Vincent Peirani : Accordéon Technique : Ingénieur Son : Cédric Le Gal Biographie Denis Charolles (batterie, percutterie, arrosoir, graviers…) Sans cesse à la recherche d’aventures artistiques nouvelles, il se plait à provoquer, rechercher un possible à travers les rencontres et les projets de croisements artistiques. Denis Charolles vire-valse en très bonne campagnie et « danse » une bien belle vie de sons, de couleurs, d’impressions, de sensations fortes. Maints projets autour de la Campagnie des Musiques à Ouïr lui ouvrent la porte à diverses aventures sous forme d’ateliers (fanfare de Banlieues Bleues, Osni Jazz «Le Nom du Truc» Grenoble jazz festival , Europa Jazz Festival), sous forme de créations lors de résidences, ou de commandes (écriture de musiques pour le spectacle « Sans Queue ni Tête » et « la nuit peut être » de Giselle Gréau, générique de l’émission « La fabrique de l’histoire » sur France Culture… ). Des rencontres autour de la poésie de la danse dont « Le Bleu de Ipoës » en duo avec L’acteur Michel Richard , avec Giselle Gréau compagnie « Pas ta trace » ( musique et performance pour le festival Octobre en Normandie), Duo Avec Daniel Znyk sur un texte de Gherasim Lucas « Passionément » dans le cadre du festival « la voix est libre » aux bouffes du nord à Paris. Il joue aussi en solo dans une forme sans cesse réinventée, dans le quartet de David Chevallier « Pyromanes » avec Yves Robert et Michel Massot, « Mélosolex » avec Fred Gastard (sax basse) et Vincent Peirani (accordéon) Frédéric Gastard (sax basse, ténor, soprano, clavier) Débute la musique en étudiant le saxophone classique, la musique de chambre, le solfège, l’analyse et c’est au CNSM de Paris qu’il fréquente la Classe de Jazz et de Musique improvisée. Paris et le CNSM sont l’occasion de rencontrer et de travailler avec des musiciens de tous horizons, de participer à des projets de musique contemporaine, de musiques improvisées et actuelles. Compositeur et Saxophoniste jouant surtout le saxophone Basse, Ténor et soprano, il enregistre et se produit en France et ailleurs, avec la Campagnie des musiques à Ouïr, le Sacre du Tympan de Fred Pallem, Pulsar, Mélosolex et les Dentelles à Mamie pour lesquels il compose et arrange. Jacques Di Donato (saxophone soprano et clarinette) A joué tous les rôles en musique. Sa curiosité le conduit, après des études institutionnelles qui trouvent leurs consécrations au CNSMD de Paris, à embrasser tous les genres musicaux. Le bal tout d’abord (à la batterie ) dans l’orchestre familial, le studio, le show-biz où il rencontre les grandes personnalités de la chanson. Tour à tour, soliste au Nouvel Orchestre Philharmonique de Radio France, musicien de Chambre, soliste international, pédagogue renommé, professeur au CNSMD de Lyon, clarinettiste, saxophoniste mais aussi batteur, c’est un rebelle qui ne manque pas de causes, un perfectionniste attentif qui ne déteste rien de plus que l’ennui, la répétition et l’enfermement. Il participe à de nombreuses créations et vit des rencontres palpitantes avec les compositeurs les plus marquants de notre époque : K.Stokhausen, P.Boulez, G.Amy, O.Messiaen, J.Cage, L.Berio, V.Globokar, L.Nono et enfin G.Aperghis ( avec lequel il se joint pour de nombreuses créations musicales en Avignon) ... Improvisateur né, il se nourrit de tous les genres et se promène avec intelligence sur toutes les scènes où la liberté d’improviser est l’expression concrète du désir de musique. Son expérience professionnelle et sa carrière de soliste international ne le limite en rien; il y puise la possibilité d’une permission illimitée et communicative : improviser, ce n’est ni paraphraser, ni faire n’importe quoi, c’est s’autoriser. Son souci constant est de privilégier la création et de générer le bonheur d’aventures avec des musiques hors limites des genres, aux confins de la rigueur et du plaisir. Julien Eil (flûtes, baryton, clarinette basse) Flûtiste de formation classique, clarinettiste plutôt autodidacte, il obtient en 2003 une licence de musique option « jazz et musiques improvisées » à l’université Paris 8. Il joue dans divers contextes avec le batteur Denis Charolles, concerts avec Mélosolex et La Campagnie des Musiques à Ouïr (notamment aux festivals Aux Heures d’Eté, Nantes, Soirées La Belle Ouïe au Lavoir Moderne Parisien, et Banlieues Bleues). Lors de multiples rencontres ponctuelles, il joue avec Animus Anima Trio (Belgique), André Minvielle, Jeanne Added, Vincent Peirani, Antonin Rayon, Denis Chancerel, David Chevallier. Par ailleurs, il participe à des groupes de chanson, revisite le répertoire musette et compose des musiques pour la danse contemporaine (plusieurs créations de la compagnie l’En-Dehors) et le théâtre (Le Safran Collectif). Matthias Mahler (trombone) Il débute le trombone à 8 ans dans la fanfare de son père trompettiste. Il travaille avec Charles Hassler, Patrick Hanss et Michel Becquet. En 1992, il entre au CNR de Strasbourg et suit les cours de musique de chambre et découverte de la musique contemporaine avec Armand Angster ainsi que ceux du jazz dans les ateliers de Bernard Struber. Deux plus tard, il est admis au CNSM de Paris dans la classe de Gilles Millière et diverses expériences en orchestre symphonique avant de choisir des chemins plus aventureux et de s’orienter définitivement vers le jazz et les musiques improvisées. Il joue aux côtés de François Corneloup, Marc Ducret, Eric Echampard, François Raulin, Denis Charolles ,Christophe Marguet, Rémi Sciuto, Daunik Lazro, Fred Pallem, Sebastien Texier, Christophe Monniot, Alain Vankenhov,François Cotinaud,Fred Chiffoleau… On le retrouve aussi dans diverses formations, Journal Intime, Taranta-Babu !, Alias Nautilus, X’tet et Ciné X ‘tet dirigés par Bruno Régnier. Sylvain Bardiau (trompette, tuba) Sa bio se résume à un peu de conservatoire (CNR de St Maur, CNR de PARIS), un bac musique (F11) et beaucoup de groupes... Notamment JOURNAL INTIME, LES DENTELLES A MAMIE, AMALGAMMES, PING MACHINE... Quelques disques avec WINSTON MC ANUFF, SHUBA-K, [MINO]TAURE, 26 PINEL... Des cours aux conservatoires de Maisons-Alfort, de Montrouge... Il co-organise tous les ans le festival de l'association « L’Oreille Interne » ; et un stage avec l'association LA CONSTELLATION DU CANARD. Antonin Rayon (orgue Hammond, clavinet) A étudié le piano avec Victoria Melki (Paris), puis Alex Theus à l’Ecole de Jazz et de Musiques Actuelles de Lausanne. Il collabore notamment avec Marc Ducret (Le Sens de la Marche, Un Sang d'Encre – avec Dominique Pifarély –, Teppaz Twist), la Compagnie des Endimanchés (Sunday Clothes – 2005, Claire – 2007, Tuer la Misère (en copmpagnie d’André Robillard) – 2008, Purgatory Party - 2008), Denis Charolles, Michel Blanc, Emmanuel Scarpa, Alexandra Grimal, Sylvaine Hélary. Vincent Peirani (accordéon) Un début à la clarinette au CNR de Nice, puis une série de prix nationaux et internationaux en accordéon mènent Vincent Peirani a intégrer le CNSM de Paris ; il est le premier accordéoniste à suivre la section jazz et il y côtoie de nombreux musiciens tels que Daniel Humair, Riccardo Del Fra, Dre Pallemers, Glenn Ferris, Hervé Sellin, François Théberge, Patrick Moutal. Ludique, festif et orchestral, l’accordéon reste peu usité et Vincent Peirani en explore les multiples possibilités en plongeant son instrument dans le classique, le jazz, l’improvisation ou les musiques traditionnelles. Musicien polyvalent, il joue avec bonheur avec des musiciens aux identités très différentes, notamment François Jeanneau, Denis Charolles, Joe Quitzke, Lanciné Kouyaté, Vincent Lê Quang, Cheick Tidiane Seck, Daniel Humair, Laurent Dehors, Louis Sclavis, Mihel Portal, Sylvain Luc ou Jean Paul Céléa. Il a participé au Big band « European Jazz Youth Orchestra » dirigé par Bruno Tommaso, au « Navigatore » de Renaud Garcia-Fons et au « Laurent Dehors Trio ». Il est actuellement membre de multiples projets dont un sextet de musique Mandingue, « Les Yeux Noirs », le trio « Mélosolex » avec Denis Charolles et Fred Gastard, le big band sound painting « Pan Demonium » de François Jeanneau et une formation flamenco jazz avec Antonio Kiko Ruiz . Il joue également en duo avec Vincent ou François Salque, en trio avec Lê Quang et Pierre Durand, Daniel Zimerman et Manu Cogjia. Extrait de presse LES AFFICHES DE GRENOBLE et DU DAUPHINE – oct. 2010 Ni jazz, ni rock, ni musette Signé La Grande Campagnie des Musiques à Ouïr L’ingénieux Denis Charolles entretient des rapports privilégiés avec l’Hexagone de Meylan, partageant avec son équipe une même façon de concevoir les arts vivants. Après le spectacle de Brassens, «Les Etrangers familiers », il revient donc sur la scène meylanaise avec La Grande Campagnie des Musiques à Ouïr pour un concert étonnant où le son des graviers se mêle à celui des instruments à vent. Formée il y a quinze ans, la Campagnie des Musiques à Ouïr réunissait à l’époque les musiciens Denis Charolles et Christophe Monniot, qui arpentaient le pavé de Rouen pour se faire connaître. « En tant que musiciens de scène, jouer dans la rue nous incitait à interpréter des morceaux plutôt populaires. Nous les transformions avec notre culture jazz et cela faisait un certain effet sur les gens, raconte Denis Charolles. Aller chercher dans les racines pour les transformer, les modifier, les convertir, les pervertir, les digresser… Notre goût pour la transformation est venu de là. » Au fil des années, le projet s’est nourri de rencontres avec d’autres : Michel Portal, Brigitte Fontaine, Arthur H, Eric Lareine, Loïc Lantoine… Après toutes ces rencontres « chantées », l’envie de revenir à la culture du jazz et des musiques improvisées, et de monter une grande formation instrumentale a fait surface. Ainsi est née La Grande Campagnie, il y a trois ans. Autour du noyau historique, composé de Denis Charolles et Frédéric Gastard, sont venus se greffer Jacques Di Donato, Vincent Peirani, Julien Eil, Matthias Mahler, Sylvain Bardiau et Antonin Rayon. «C’est une formation originale avec trombone, trompette, saxophones, clarinettes, percussions et orgue Hammond, remarque Denis Charolles. L’orgue, peu usité, apporte une sonorité particulière. Il va chercher des harmoniques et des richesses sonores qui nous emmènent un peu ailleurs. Il nous rappelle aussi le rock’n roll des années soixante-dix. » Par ailleurs, la Grande Campagne utilise un curieux instrumentarium, faits d’objets incongrus tel qu’un cageot, un arrosoir ou des graviers. «Ce sont des matières sonores particulières qui ont une identité. Les graviers, par exemple, sont des sédiments, de la mémoire. Des milliers d’années de dépôt concentré dans une petite particule qui, quand on l’agite avec d’autres, se met à sonner. C’est comme si on secouait le passé. » Le concert donné à l’Hexagone sera ainsi semblable à « une grande fête sonore, multiphonique et poétique, parfois flamboyante. » «Souvent dans la joie, nous proposerons des choses populaires dans lesquelles les gens se retrouvent, se perdent et où nous retournons les chercher, précise Denis Charolles. En somme, nous baladons le public entre le connu et l’inconnu ! » Au programme de la soirée, il y aura donc des créations originales de Denis Charolles et Frédéric Gastard, une suite autour de Duke Ellington, une autre autour de Mariah Carey «pour la mémoire collective anglo-saxonne », une pièce écrite en souvenir de moments passés avec René Lacaille, des valses et des pasodoble, des musiques improvisées, peut-être une chanson de Brassens… Autant de registres différents, liés entre eux par l’identité sonore de la Campagnie des Musiques à Ouïr, sa façon si singulière de réinterpréter les morceaux. Prune Vellot OUEST France – déc. 2009 A trois, la Campagnie des Musiques à Ouïr savait écarquiller les oreilles endormies. Le trio expérimental de Denis Charolles, artiste associé de la saison 2009/2010 du Fanal, prend du coffre pour devenir La Grande Campagnie des Musiques à Ouïr. Soit huit musiciens (des cuivres, mais aussi un accordéon, un orgue Hammond et un leader batteur qui sait aussi jouer de l’arrosoir, des graviers et du clairon ; ce qui ne l’empêche pas de chanter). Cette nouvelle forme orchestrale concocte un cocktail explosif baptisé La Grande Campagnie des Musiques à Ouïr. Sans qu’on sache vraiment s’il s’agit de révolution à la chinoise ou de musique assistée par ordinateur. Une chose est sûre, le résultat, quelque part aux confins du jazz, du rock, de la chanson musette et bien d’autres choses encore, s’avère brillant et jubilatoire. Technique irréprochable et liberté débridée des individualités font bon ménage. C’est frais, drôle et virtuose. CULTUREJAZZ.COM – oct. 2008 Premier coup de chapeau pour La Grande Campagnie des Musiques à Ouïr, de Denis Charolles. Entre free-jazz, musette et rythmique purement rock, le batteur déjanté accompagné de son acolyte saxophoniste Frédéric Gastard s’est agrandi de quatre autres jeunes soufflants de grand talent et d’un orgue Hammond (un peu trop discret) pour faire une lecture à multiples voix de ses nouvelles compositions. Un concert axé sur le fil d’une musique moderne, que l’octet fait sonner comme un big-band, et qui donne la part belle aux improvisations, notamment celles de Gastard. Charolles n’est pas en reste en proposant une musique fouillée et fourmillante qui va chercher ses arrangements sur fond de rumba ou fait place à de petits morceaux de bravoures textuels absurdement humoristique (l’apologie de l’expérience du pipi dans des toilettes publics ou encore le "haut revoir et merci" qui s’érige dans un canon d’onomatopées). Edouard Hubert CITIZEN JAZZ – août 2008 […]Ainsi naît La Grande Campagnie des Musiques à Ouïr, qui regroupe autour du batteur/chanteur/compositeur/arroseur (eh oui, il joue de l’arrosoir !) Frédéric Gastard (saxophones), Alexandre Authelain (saxophones, clarinettes), Antonin Rayon (claviers), Julien Eil (flûtes, clarinettes, saxophones), Mathias Mahler (trombone) et Sylvain Bardiau (trompette, trompette à coulisse, tuba et bugle). Denis Charolles nous a concocté un de ces programmes dont il a le secret, faits de musique déjantée mais excellemment écrite, de surprises, de grande maîtrise instrumentale, de jazz, de rock, de musiques libertaires, de chant en l’honneur du fumier ( !)… Bref, un melting-pot du bonheur ! Ce mini-orchestre est tout simplement jouissif : les compositions laissent une large place à l’expression personnelle, et quels musiciens ! Une mention spéciale pour Gastard et Eil, véritables moteurs et dynamiteurs du groupe avec Denis Charolles lui-même. Les changements de rythme et les idées se succèdent. Charolles vide le contenu de son cageot sur sa batterie (gravier et autres objets insolites), empoigne son arrosoir et s’en sert comme d’un tambourin, chante et joue de la batterie en même temps... Le public est joyeux, quoique déconcerté. Cette explosion de musique et de liberté s’épanouit au soleil. […] On a là tout sauf une musique étiquetée, mais un GRAND moment de musique. Merci aux Rendez-vous et à Soleils Bleus d’avoir soutenu ce projet, on en veut d’autres ! Julien Gros-Burde
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