Cie Jean Séraphin - Théâtre du Grand Rond

Transcription

Cie Jean Séraphin - Théâtre du Grand Rond
Cie Jean Séraphin
Cabaret – Spectacle
Deux personnages diront des
Extraits de Chroniques de la haine
ordinaire - Textes de scène Manuel du savoir vivre à
l’usage des rustres et des
malpolis en alternance avec
des numéros visuels et
musicaux.
Éditions du Seuil
Compagnie
Jean Séraphin
06 74 42 88 00
[email protected]
.
Crédits photographiques@Victor Jouanneau
Présentation de la compagnie Jean Séraphin
La compagnie œuvre depuis 1991 à la création et à la diffusion des écritures
contemporaines du théâtre en privilégiant des rapports étroits avec les auteurs. Elle a
déjà passé deux commandes d’écriture en 2005 puis 2010.
La compagnie privilégie la fabrication de ses spectacles en résidence afin de mieux
inscrire son travail en relation dynamique sur un territoire. (Création – action culturelle)
Mise en scène
Alain Piallat
Avec
Alexis Gorbatchevsky
Tom Pozieux
Chargées de production
Les Thérèses
Parallèlement à ses activités de création, la compagnie élabore un ambitieux projet
d’une maison des écritures du théâtre. Structure dédiée à la création dans les
écritures contemporaines internationales du théâtre.
Elle a déjà mis en place son premier programme : Pièces - Jointes #1 – le théâtre
catalan. Celui-ci s’est composé d’une résidence d’écriture et de traduction à l’Usine à
Tournefeuille suivie d’une rencontre publique au Théâtre Sorano à Toulouse où
pendant toute la journée se sont succédées lectures dramatisées et tables rondes.
D’ores et déjà, il est envisagé une « Pièces-Jointes #2 ».
Coproduction
Espace Apollo Mazamet
Coréalisation
Cave Poésie René
Gouzenne Toulouse
Avec le soutien de
Mairie de Toulouse
Conseil Général de la
Haute-Garonne
11 / 11 / 11 à 11 : 11 Étonnant, non ?
Textes de Pierre Desproges et autres réjouissances
Mécénat
Lectia
Révérence
Diffusion
Octobre
Espace Apollo / Mazamet
Novembre
Le Patio / Revel
Décembre
Le Tracteur / Cintegabelle
Mars
Théâtre de Muret
Avril
Théâtre Ernest Renan
Printemps de Rire /
Toulouse
Décembre
Théâtre du Grand Rond
Toulouse
M’immergeant dans le déchiffrage de sa littérature, j’ai découvert, au-delà de
l’acteur, du clown enragé, l’auteur au style singulier, complexe, à la fois
romantique et irrévérencieux. Un goût prononcé pour le classicisme de la
langue française dont il use brillamment pour d’autant mieux torpiller le
monde qui l’entoure et qu’il ne supporte pas. Le monde vu à la fois par la
grande personne avec tout le pessimisme de sa lucidité et par l’enfant qui
regarde avec gravité ces adultes s'affairer.
Il n’y a qu’à se plonger dans ses chroniques pour que se révèle toute la
subtile construction dramatique, pour que m’explose en pleine figure la folle
comédie des hommes, une langue furieuse, capable de libérer un comique
salvateur sans jamais sombrer dans la vulgarité.
11 / 11 / 11 à 11 : 11 Étonnant, non ?
Textes de Pierre Desproges et autres réjouissances
Si les hommes font moins
de conneries en février,
c’est parce qu’ils n’ont que
28 jours.
L’impertinence au théâtre
Depuis « Le rire est le propre de l’homme » de Rabelais, à « On peut rire de
tout, mais pas avec n’importe qui » de Desproges, de tout temps, il y a eu des
rebelles contre l’esprit de sérieux. On devrait ériger un monument aux mortsde-rire, glorifier ces libres pencheurs tant ils penchent l’écriture jusqu’au bord
de la chute (comique) pour tordre le cou à la bien-pensance, au consensus
mou qui envahit notre monde apeuré de la pluie, de la grippe, de la fumée, du
soleil, d’un nuage, de dormir, de s’ennuyer...
Dans le désordre car ils n’aiment pas l’ordre, d’Aristophane à Dario Fo, d’Alfred
Jarry à Coluche en passant par Louis de Funès, Raymond Devos, Jacques
Tati, Molière, Pierre Dac, François Morel, Fellag, Alphonse Allais, Guy Bedos,
les Marx Brothers, tous ceux que vous aimez, et enfin Pierre Desproges, ces
maîtres du rire nous apportent une réponse à notre condition, nous arment
contre notre bêtise contemporaine, nous guident vers notre liberté. Rire, oui, de
tout. Quelle chose merveilleuse, rire ensemble. Et si c’est sur des idées qui
nous séparent, alors là, c’est la classe !
Ce spectacle est né d’une lecture - performance. Ce devait être une
représentation unique à la Cave Poésie René Gouzenne : le 11 novembre 2011
à 11 H 11. Devant le succès remporté par ce rendez-vous, nous avons voulu
en faire un spectacle accompli.
L’intelligence, c’est le seul
outil qui permet à l’homme
de mesurer l’étendue de
son malheur.
L’humour, c’est comme les
essuie-glaces, ça n’arrête
pas la pluie, mais ça
permet d’avancer
Christophe Alévêque
Alexis Gorbatchevsky
Acteur - Clown de formation ( Alan Fairbairn - Samovar – Bagnolet / Nicole Garretta – Toulouse /
Ecole du cirque du Lido – Toulouse) , c’est dans le cadre de la formation Vers un acteur pluriel au
théâtre 2 l’Acte à Toulouse, qu’il rencontre Tom Pozieux et partage avec lui sa passion pour Pierre
Desproges.
Tom Pozieux
Avril 2013 : Sacrés Cathares ! Personne n’est parfait. Michel Mathe.
Mise en scène : Eric Vanelle.
Mars 2013 : Création à Odyssud – Blagnac de Ali Baba et les quarante batteurs : Rimes
et rythmes.
Création jeune public (danse) en novembre 2012 de Un temps de chien avec la Cie L’Une
et l’Autre.
Un fil à la patte d’après Feydeau avec la Cie du Grenier de Toulouse en octobre 2012.
Février à décembre 2012 : Thé à la menthe ou t’es citron au café-théâtre les 3T à
Toulouse (160 représentations).
Novembre 2011 : création de 11/11/11 à 11 :11 Etonnant, non ? sur des textes de Pierre
Desproges. Mise en scène : Alain Piallat
L’ennemi est bête : il croit
que c’est nous l’ennemi,
alors que c’est lui !
Solo de théâtre Toute ressemblance avec… Création Printemps 2011
De et avec Tom Pozieux. Mise en scène Valérie Cros
Ali Baba et les quarante batteurs créé à Odyssud le 2O Mai 2OO8
Reprise Halle aux grains, 02/2011
Solo de théâtre Tom Pozieux créé en Septembre 2OO4
Co-écriture et création du spectacle avec Bérengère Labourdique
Théâtre du Grand Rond, Espace Bonnefoy, Le Chapeau Rouge, la Salle Nougaro et
Printemps du Rire 2OO6 et 2OO7. Il a également été présenté dans le cadre du festival
Off Avignon 2OO7
Batteur professionnel
Multiples représentations au sein d’orchestres de variétés, big band et groupes divers
Accompagnement de chanteurs tel Kazero
Intervenant pédagogique
Direction de la section batterie au Centre Culturel de Ramonville depuis Mai 2OO5
Coréalisation d’un spectacle avec Hélène Zanon réunissant quinze danseurs et trois
batteurs. Création Mai 2011
Facile : se dit d’une femme
qui a la moralité sexuelle
d’un homme.
Mars 2013 / Mise en scène Ali Baba 2 : Rimes et rythmes Odyssud Blagnac
Depuis octobre 2012 / Reprises et tournées Camille / Nijinski – 11/11/11 à 11 :11, Etonnant, non ?
Toulouse et région Midi-Pyrénées
12 au 24 juin 2012 :
11 / 11 / 11 à 11 : 11 Étonnant, non ?
Création du spectacle d’après les textes de Pierre Desproges et autres réjouissances
Cave Poésie René Gouzenne Toulouse
Activités
Cie
Jean Séraphin
Alain Piallat
Pièces – Jointes #1 : Le théâtre en train de s’écrire dans le monde aujourd’hui
22 au 29 février 2012 : Résidence d’écriture et de traduction à L’Usine de Tournefeuille
avec Carlès Batlle, Fabrice Corrons
Metteur en scène : Alain Piallat avec Denis Lagrace – Julie Pichavant – Reynald Rivart et les
élèves du CRR de Toulouse
10 mars 2012 : Pièces – Jointes #1: Théâtre Sorano
Lectures et tables rondes : Le théâtre catalan aujourd’hui
11 novembre 2011 : Lecture - performance à la Cave Poésie René Gouzenne
11 / 11 / 11 à 11 : 11 Étonnant, non ?
Lectures de textes de Pierre Desproges et autres réjouissances
!
Mars 2010 : « Les Inattendus » Triptyque
Création de « Camille Claudel », commande d’écriture passée à Anne Delbée et reprise de « Van
Gogh le suicidé de la société » et « Le journal de Nijinski »
10 au 13 Mars 2010 à l’Espace Apollo Mazamet
6 au 23 Octobre 2010 Cave Poésie René Gouzenne Toulouse
Octobre 2009 : Mise en scène de la reprise de « Ali Baba et les 40 batteurs »
Pièce musicale pour 40 batteries et un acteur – chanteur
avec la participation de André Ceccarelli et Minino Garay
Conception - Composition et écriture : Daniel Dumoulin
Salle Nougaro, Association Drums Summit et Odyssud
1 – 2 – 3 Octobre 2009 à Odyssud Blagnac – Hall aux Grains Toulouse
Janvier 2009 : “Le journal de Nijinski”
Création à la Cave Poésie René Gouzenne à Toulouse
Théâtre Sorano et Théâtre du Grand Rond Toulouse
2008 : “Antonin Artaud et ses doubles” (Pour en finir avec le jugement de dieu et Van Gogh le
suicidé” : Création à la Cave Poésie René Gouzenne à Toulouse
2007: “Les Vieilles Mouettes” : commande d’écriture passée à Christian Rullier. Création les 7-8-9
février 2007 à l’Athanor, scène nationale d’Albi puis à la Commanderie des Templiers à Vaour
2005 : “ C’est à dire ” de Christian Rullier
Théâtre Nationale de Toulouse La Cité - Théâtre de la Digue - Scène Nationale d’Albi L’Athanor Théâtre les Cabanes à Cordes sur Ciel.
2000 : “Lit nuptial” de Sergi. BELBEL
Festival l’Eté de Vaour, Théâtre de la Digue Toulouse, Scène Nationale d’Albi
1999 : “Mémoires Prolongées”
Textes d’après des interviews d’habitants de la cité urbaine du quartier Cantepeau d’Albi
Scène Nationale d’Albi L’Athanor
Compagnie
Jean Séraphin
06 74 42 88 00
[email protected]
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1998 : “Lunes” et “Les Cendres et les Lampions” de Noëlle RENAUDE
Festival l’Eté de Vaour - Scènes Nationales de Foix et de Tarbes - Théâtre National de Toulouse
La Cité
1995 : “L’Inquiétude” de Valère NOVARINA
Festival “Marionnettissimo” Toulouse - Festival International de la
Mézières - La Boite à Jouer Bordeaux
Marionnette
Charleville-
1993 : “La Tête de l’Homme” de Valère NOVARINA
Centre culturel de Figeac - Centre Dramatique National le Sorano Toulouse - Festival SIGMA
Bordeaux Espace Apollo Mazamet
1991 : “Le Vivant malgré lui” de Valère NOVARINA
Cave Poésie Toulouse - Festival SIGMA Bordeaux - Théâtre de la Digue Toulouse
Marathon des Mots Toulouse
27/28 mai 2005 : a entrepris une “folie théâtrale” en mettant en scène durant 24 heures, 13 textes
d’auteurs modernes et contemporains ( de Genet, Duras, Artaud, Bataille, Ginsberg, Pinter à
Bouvet, Glück, Fabre, Tarkos, Molnard, Mouawad, Melquiot) dans le cadre du premier festival “Le
Marathon des mots” à Toulouse.
17/18 juin 2006 : Il récidive sa “Folie Théâtrale” en mettant en scène durant 24H l’oeuvre de
S.Beckett à la Cave Poésie à Toulouse dans le cadre du Marathon des Mots.
LES BREVES DE PFRESSE
« …une de ces propositions sur texte à mi-chemin entre la lecture et le
théâtre, qui dans un appareil assez modeste s’autorise, sans trop, de
petites touches burlesques personnelles. Un hommage entier en forme de
pied-de-nez, célébrant une sorte de contre-anniversaire déraisonnable et
déplaçable à fantaisie - bref, foncièrement desprogien. »
Le Clou dans la planche – 18/06/2012
La
Presse
« Deux comédiens inspirés totalement par les textes et autres
réjouissances de l’humoriste, nous invitent à partager son délire et son
angle de vue si particulier et tellement revigorant... »
Toulouse spectacles – 17/06/2012
« Une mosaïque de desprogeries, remise en bouche et en
musique…Pour que Desproges soit là. Là où on ne l’attend d’ailleurs
généralement pas, avec à la fois sa belle plume et son esprit cinglant … »
Direct Matin – 12/06/2012
Parution 17 juin 2012
La technique
Durée : 1h11
Equipe : 2 artistes et 1 metteur en scène – éclairagiste
Fiche technique disponible pour plateau équipé.
A titre indicatif :
Ce spectacle peut se jouer en intérieur ou en plein air. En extérieur, la configuration scénique est à
la charge de l’organisateur (espace scénique avec gradinage ou praticables avec un parterre de
chaises, … nous restons
attentifs à vos dispositions logistiques et pouvons discuter de toute configuration à votre
convenance).
Implantation lumière simple en fonction du lieu, pas d'effets ponctuels.
Système de diffusion sonore avec lecteur de CD.
Accueil :
L’organisateur met 1 technicien à disposition de l’équipe artistique pour le montage.
Temps de montage variable en fonction du lieu : +/- 3h
COMPAGNIE JEAN SERAPHIN
Siège social : 46, rue Pargaminières 31 000 Toulouse
Adresse administrative : 2887, route de Planques 82 370 Orgueil
Renseignements
Alain Piallat
06 74 42 88 00
[email protected]
Crédits photographiques : Victor Jouanneau