Untitled - FSE - Fonds Social Européen en France

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Untitled - FSE - Fonds Social Européen en France
SOMMAIRE
OUVERTURE
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DOMINIQUE MEGARD - DÉLÉGUÉE GÉNÉRALE DU RÉSEAU DE COMMUNICATION PUBLIQUE CAP’COM
MARC GASTAMBIDE - CONSEILLER AUX AFFAIRES EUROPÉENNES, DIACT
MIEUX COMMUNIQUER SUR L’EUROPE, BIEN COMMUNIQUER SUR LES FONDS
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LAURENCE DE RICHEMONT - CHEF DE REPRÉSENTATION ADJOINT, REPRÉSENTATION DE LA COMMISSION EUROPÉENNE EN FRANCE
LUIGI NIGRI -MANAGER DE PROGRAMMES, RAPPORTEUR, UNITÉ FRANCE, DIRECTION GÉNÉRALE DE LA POLITIQUE RÉGIONALE,
COMMISSION EUROPÉENNE
COMMUNIQUER DANS LE RESPECT DES SPÉCIFICITÉS DE NOS PROGRAMMES
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PIERRE BRUHNES - SOUS-DIRECTEUR DES AFFAIRES ÉCONOMIQUES, MINISTÈRE DE L’OUTRE-MER
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FRÉDÉRIC LAMBERT - CHEF DE LA MISSION EUROPE ET RÉGIONS, MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE
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FRANÇOIS GAUTHIEZ -SOUS-DIRECTEUR DES PÊCHES MARITIMES, MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE
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PATRICE BOREL CHEF DE SERVICE DU FINANCEMENT ET DE LA MODERNISATION, DÉLÉGATION GÉNÉRALE À L’EMPLOI ET À LA FORMATION
PROFESSIONNELLE, MINISTÈRE DE L’EMPLOI ET DE LA COHÉSION SOCIALE
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FORUM DES BONNES PRATIQUES
LUC RIGOTTI ATTACHÉ À LA DIRECTION DES PROGRAMMES EUROPÉENS, MINISTÈRE DE LA RÉGION WALLONNE
LOUIS MAZARI DIRECTEUR ADJOINT DU PÔLE AFFAIRES RÉGIONALES, DIRECTION DÉPARTEMENTALE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE LA
FORMATION PROFESSIONNELLE DE LA RÉUNION
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TABLE RONDE : CONCEVOIR ET RÉALISER UNE COMMUNICATION EFFICACE
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MYRIAM AFLALO, CHEF DU DÉPARTEMENT DES AFFAIRES EUROPÉENNES, MINISTÈRE DE L’OUTRE-MER
MARC GASTAMBIDE, CONSEILLER AUX AFFAIRES EUROPÉENNES, DIACT
DOMINIQUE JEREMIASZ, CHARGÉE DE MISSION DGEFP, MINISTÈRE DE L’EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT
FRÉDÉRIC LAMBERT, CHEF DE LA MISSION EUROPE ET RÉGIONS, MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE
LUIGI NIGRI, MANAGER DE PROGRAMMES, RAPPORTEUR, UNITÉ FRANCE, DIRECTION GÉNÉRALE DE LA POLITIQUE RÉGIONALE,
COMMISSION EUROPÉENNE
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ATELIER A
COMMENT ORGANISER UNE COMMUNICATION PARTAGÉE ?
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ATELIER B
COMMENT AMENER LES MÉDIAS À PARLER DES FONDS EUROPÉENS ?
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ATELIER C
COMMENT VALORISER LES PROJETS POUR MIEUX FAIRE CONNAÎTRE L'INTERVENTION EUROPÉENNE ?
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ATELIER D
COMMENT COMMUNIQUER POUR MOBILISER LES BÉNÉFICIAIRES POTENTIELS?
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CONCLUSION
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ANNEXE : LISTE DES PARTICIPANTS
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Actes du séminaire "Objectif Com : 2007-2013" - Paris le 14 mars 2007
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Ouverture
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Dominique MEGARD - Déléguée générale du réseau de communication publique
Cap’Com
Je vous souhaite à toutes et à tous la bienvenue à ce séminaire national, le premier du genre,
que j’ai le grand plaisir d’animer. Cette manifestation correspond à une volonté profonde de
mieux communiquer sur les programmes européens. Elle réunit tous les acteurs nationaux des
fonds européens, constituant l’un des premiers axes d’une nouvelle dynamique ayant pour
ambition de favoriser une efficacité accrue du dialogue entre les acteurs de la communication
autour des différents fonds européens. Ceux-ci constituent en effet une incarnation concrète de
l’Europe auprès des citoyens et des bénéficiaires.
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Marc GASTAMBIDE - Conseiller aux affaires européennes, DIACT
Plusieurs de nos programmes pour la période 2007-2013 sont aujourd’hui transmis à la Commission
européenne et la grande majorité devrait l’être à la fin du mois. L’élaboration des stratégies des
fonds a légitimement occupé toute l’attention des partenaires régionaux, nationaux et
communautaires. Les crédits européens sont en effet perçus par l’ensemble des acteurs du
développement économique et social comme un levier indispensable des politiques mises en œuvre.
Pourtant, ils n’apparaissent pas comme tels aux yeux de nos concitoyens qui ont souvent de
l’Europe l’image d’une entité abstraite éloignée de leurs préoccupations quotidiennes. Or
l’intervention des fonds européens répond directement à des attentes majeures de l’opinion.
A l’occasion du cinquantième anniversaire du Traité de Rome et du Fonds Social Européen, il nous
revient de rappeler l’un des fondements des politiques structurelles consistant à rapprocher par des
projets concrets les citoyens de l’UE. Le déficit d’actions de communication autour de l’intervention
de ces fonds ne fera qu’entretenir leur manque de visibilité, alors même qu’ils constituent une
réponse privilégiée au besoin d’Europe si souvent exprimé.
Cet exercice de rapprochement du citoyen et de l’UE est à notre portée. L’information a en effet
toute chance d’être favorablement accueillie par le public car la demande existe réellement.
L’indispensable travail de démonstration à mener devra s’accompagner d’un développement de
notre capacité à faire émerger des projets conformes aux priorités que nous aurons définies. De la
qualité de l’information dispensée sur les actions soutenues dépend l’adhésion à l’Europe. Aussi
devons-nous engager dès maintenant une réflexion partagée sur les actions de communication à
mettre en œuvre pour accompagner le lancement des programmes.
Nos plans de communication pour 2007-2013 s’intégreront dans un cadre stratégique et
réglementaire renouvelé. L’apport de l’intervention réglementaire apparaît trop rarement aux yeux
du grand public. Partant, la circulaire du Premier ministre du 12 février 2007 marque une exigence
renforcée en matière de communication sur les fonds structurels. Elle nous invite à y consacrer des
moyens accrus – avec un objectif de 10 % des crédits d’assistance technique – et souligne la
nécessité d’engager une dynamique partenariale. La nouvelle architecture mono-fonds des
Actes du séminaire "Objectif Com : 2007-2013" - Paris le 14 mars 2007
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programmes est marquée par une plus large déconcentration de la gestion des crédits et par un
recours plus important aux subventions globales. Si chaque fonds a vocation à diffuser une
information spécifique sur ses programmes ciblés sur ses bénéficiaires potentiels, il y a assurément
une coordination à envisager sur certaines actions transversales, notamment pour les actions visant
le grand public.
Nous poursuivons cette voie au niveau national. La DIACT, le ministère de l’Emploi et de la Cohésion
sociale, le ministère de l’Agriculture et de la Pêche et le ministère de l’Outre-mer élaborent à cette
fin un plan de communication interministériel. Outre ce séminaire, cette démarche a permis
d’aboutir à la création d’un emblème commun à tous les projets marquant l’engagement de l’Europe
pour le développement économique et social.
L’architecture renouvelée des programmes 2007-2013 appelle la construction d’une communication
partagée. La suppression des zonages ouvre les programmes à de nouveaux publics souvent moins
accoutumés au fonctionnement des fonds européens. L’information sur l’accès au financement doit
satisfaire aux principes de transparence, aussi convient-il de diffuser un message accessible et
compréhensible de tous. Nos plans de communication devront d’abord refléter les stratégies des
programmes. Le fléchage du FEDER sur l’innovation, la recherche et le développement durable est
en ce sens très significatif. Ce programme offre une orientation radicalement nouvelle par rapport à
2000-2006, encore largement incomprise par l’ensemble des acteurs.
De nombreux partenaires s’interrogent sur la capacité des acteurs locaux à soumettre des projets
conformes à ces orientations. Nous avons la chance, contrairement à la période 2000-2006, de
pouvoir anticiper le lancement des programmes. Nous devons tirer parti de la période qui s’offre à
nous pour formaliser une stratégie d’animation mieux ciblée. L’avancement de nos programmes et
leur valeur ajoutée dépendra de notre capacité à substituer à la logique de guichet qui a trop
souvent prévalu une démarche proactive, une logique de projet portée au premier rang de la
démarche communautaire.
L’organisation de ce séminaire impliquant l’ensemble des acteurs de la communication sur les fonds
européens n’aurait pas été possible sans la mobilisation de nos partenaires ministériels. Je les en
remercie. La mise en œuvre d’une politique cohérente et efficace portée par tous ne sera possible
qu’avec la mobilisation de chacun d’entre nous dans tous nos territoires. Je nous souhaite à tous les
meilleurs succès dans ce sens.
Actes du séminaire "Objectif Com : 2007-2013" - Paris le 14 mars 2007
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Mieux communiquer sur l’Europe, bien communiquer sur les fonds
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Laurence de RICHEMONT - Chef de représentation adjoint, représentation de la
Commission européenne en France
Je vous propose de dresser le cadre général de la politique de communication de la Commission,
désignée comme l’une des priorités par le président Barroso. Elle bénéficie en effet d’un
portefeuille à part entière confié à la vice-présidente de la Commission Margot Wallström et a vu
une DG lui être dédiée pour la première fois. Le besoin de communication s’est renforcé aux
cours des dernières années, mis notamment en évidence par les scrutins référendaires en France
et aux Pays-Bas. Le défi que nous devons relever consiste donc à communiquer auprès de près
d’un milliard d’européens aux cultures politiques très diverses, en définissant des politiques
spécifiques et dans la langue du pays.
Constat
Notre enquête Eurobaromètre met en évidence un vrai désir de débat. Les Français jugent
toujours en majorité que l’Europe est une bonne chose, à plus forte raison chez les jeunes, les
catégories sociales supérieures et les personnes les plus informées sur l’UE. Cependant, le
désenchantement constaté vis-à-vis de la classe politique s’accompagne de l’idée largement
répandu selon laquelle la construction européenne est éloignée des préoccupations des citoyens.
Le fonctionnement de l’UE est largement méconnu. Ainsi, une majorité de sondés pense que
l’administration constitue le premier poste du budget de l’UE, ce qui est pourtant loin d’être le
cas. Néanmoins, un fort désir d’information et de participation est exprimé de la part des
citoyens. 36 % des Français estiment être bien informés sur l’UE, tandis qu’ils sont extrêmement
majoritaires à réclamer que la classe politique aborde davantage ce sujet (87 %), formulant le
même vœu à l’égard des médias (80 %). 76 % d’entre eux souhaitent être davantage associés
aux prises de décision dans l’UE. Le désir d’information est donc lié à une envie de participer au
processus décisionnel, comme l’a par ailleurs montré le Cercle de réflexion lancé à la
représentation de la Commission en novembre 2005. Ce souhait est aussi clairement exprimé par
les élus des collectivités territoriales en particulier, les partenaires sociaux et le monde associatif.
En dépit des idées reçues, nous avons par ailleurs pu constater que le désir de débat sur l’UE doit
pour une majorité de sondés prendre la forme de discussions publiques ouvertes au citoyen,
plutôt que passer par des débats télévisés notamment. Les élus locaux et régionaux sont
considérés comme étant le meilleur vecteur pour animer cette discussion, traduisant une volonté
d’ancrer territorialement le débat sur l’Europe.
Méthode
La Commission a mis en place un processus en plusieurs étapes qui a abouti au Livre Blanc
adopté en février 2006. En juillet 2005, un plan d’action interne à l’institution a notamment
consisté à :
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Renforcer le rôle des représentations dans l’ensemble des Etats-membres ;
Actes du séminaire "Objectif Com : 2007-2013" - Paris le 14 mars 2007
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Améliorer la coordination et la programmation avec la mise en place de l’European
Communication Network (ECN) ;
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Augmenter les points d’accès ouverts au citoyen ;
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Mobiliser les commissaires autour du plan D (Débat, Dialogue, Démocratie) et ouvrir
davantage les représentations au public ;
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Développer les Relais Europe Direct ;
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Lancer une table-ronde sur la démocratie.
La philosophie générale du Livre Blanc qui s’ensuivit consiste à rappeler que la communication
constitue une politique à part entière. Pour pallier au déficit constaté en la matière, la
Commission préconise un changement radical d’approche en passant d’une communication
s’effectuant à sens unique des institutions vers le citoyen à la promotion d’un véritable dialogue.
En outre, la communication doit davantage porter sur les préoccupations des citoyens, ce qui
passe par l’adoption d’une démarche beaucoup plus décentralisée.
Programme d’action
La Commission prépare pour juin 2007 la mise en œuvre d’une nouvelle stratégie de
communication. Le développement d’une base légale sur laquelle fonder cette politique
commence à émerger, témoignant d’une volonté d’engagement pérenne et inscrit dans les
textes. Le programme d’actions vise notamment à :
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Définir des principes communs : sur le droit à l’information et à la liberté d’expression et sur
les principes d’inclusion, de diversité et de participation (d’où l’idée d’une Charte européenne
sur la communication évoquée dans le Livre Blanc) ;
ƒ
Impliquer les citoyens par l’éducation civique et l’amélioration du lien entre les citoyens et les
institutions ;
ƒ
Coopérer avec les médias en prenant mieux en compte les dimensions nationale, régionale et
locale ainsi qu’en exploitant le potentiel des nouvelles technologies ;
ƒ
Mieux comprendre l’opinion publique via les enquêtes Eurobaromètre, encourager les travaux
de recherche indépendants et coopérer étroitement avec les Etats-membres en mettant en
place des réseaux d’expert en analyse de l’opinion ;
ƒ
Agir ensemble de façon coordonnée : entre Etats-membres, entre les instituions de l’UE, au
niveau régional et local, avec les partis politiques et les organisations de la société civile.
L’enjeu du développement de ces outils réside dans la mise en place d’une véritable sphère
publique européenne. La communication sur l’Europe doit cesser de se cloisonner à chaque Etatmembre. Il est vrai que les partis politiques, les médias et le calendrier des débats sont autant
d’éléments de nature nationale. Aussi devons-nous tenter de fixer un agenda européen sur des
thèmes susceptibles d’intéresser tous citoyens de l’ensemble des Etats-membres.
Ainsi, nous serons en mesure de favoriser l’émergence d’une démocratie participative à l’échelle
européenne. En effet, le fossé séparant le citoyen des institutions européennes ne réside pas
uniquement dans un manque d’information, mais également dans le sentiment de ne pas être
acteur de l’Europe. Je salue à cet égard les actions de terrain engagées par les autorités
Actes du séminaire "Objectif Com : 2007-2013" - Paris le 14 mars 2007
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françaises, qui semblent avoir pris la mesure des enjeux collectifs que soulève la communication
des institutions européennes.
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Luigi NIGRI -Manager de programmes, rapporteur, Unité France, Direction générale
de la politique régionale, Commission européenne
Je considère que ce séminaire fait suite à notre rencontre à Paris en 2001. Il incarne la reprise
d’un dialogue qui s’était interrompu entre les acteurs de la communication.
La communication horizontale de la Commission ne souffre pas d’absence de base légale : celle-ci
s’est progressivement améliorée, aboutissant à un règlement en bonne et due forme pour la
période 2000-2006. La difficulté réside plutôt dans la mise en œuvre d’actions reflétant l’esprit de
cette base légale en termes de communication.
Lors de notre rencontre en 2001, nous avions identifié des problèmes liés à l’utilisation des fonds
structurels ; aussi l’accent avait-il été placé sur les bénéficiaires potentiels des fonds plutôt que
sur le grand public. Si cette politique a concerné l’ensemble des Etats-membres, elle a paru
d’autant plus marquée dans des pays où le dialogue entre les citoyens et l’administration est
traditionnellement faible. En France, nous avons ainsi éprouvé des difficultés à faire admettre
l’importance du travail de communication vis-à-vis du grand public.
Or aujourd’hui, le contexte change. La circulaire du Premier ministre place le grand public au
centre des préoccupations. Cet acte politique ne se limite pas à la réaffirmation de l’importance
de l’enjeu, puisqu’il met en avant les mesures à mettre en œuvre pour atteindre ces objectifs. Il
nous incombe de donner suite à cet engagement politique. Pour ce faire, nous devons dans un
premier temps dresser un bilan des politiques entreprises sur la base du règlement existant, afin
de répondre à la demande des citoyens de se voir mieux informés sur les fonds structurels.
Jusqu’à présent, cette information auprès du grand public n’a été que ponctuelle, ne s’inscrivant
pas dans une véritable logique de continuité. Il convient donc de faire table rase des incertitudes
sur l’opportunité de communiquer auprès du grand public. Nous devons être convaincus du bienfondé de cette démarche.
La France est encore loin de l’objectif de visibilité de l’action communautaire. La publicité de
l’action de l’UE ne semble pas toucher suffisamment le citoyen. Afin d’améliorer cette publicité, il
conviendrait d’accroître une visibilité des réalisations de la période actuelle. En effet, si nous
sommes efficaces en termes de savoir-faire, nous avons encore des lacunes en termes de « fairesavoir ». La valorisation des projets constitue le meilleur moyen pour témoigner de l’action de
l’UE menée conjointement avec les Etats-membres.
Pour assurer cette visibilité des programmes communautaires, il a jusqu’à présent manqué un fil
conducteur à la politique de communication. Le nouveau logo évoqué précédemment par
Marc Gastambide permet à ce titre de faire un lien effectif entre tous les projets relevant de la
même politique régionale de l’UE visant à réduire les inégalités sociales et économiques. Il doit
permettre de montrer les buts précis dans lesquels ont été engagées les dépenses, tout en
faisant passer l’idée que cet argent investi l’est utilement en termes de compétitivité.
La nouvelle période de programmation comporte quelques nouveautés. Au premier rang de
celles-ci figure l’obligation de publier les listes des projets adoptés et des montants associés.
J’insiste sur la nécessité d’évaluer nos stratégies de communication et ses résultats effectifs, de
façon à pouvoir mesurer les efforts accomplis.
Actes du séminaire "Objectif Com : 2007-2013" - Paris le 14 mars 2007
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Communiquer dans le respect des spécificités de nos programmes
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Pierre BRUHNES - Sous-Directeur des affaires économiques, Ministère de l’Outre-mer
Cette journée s’inscrit dans la volonté de mettre en œuvre avec succès dans chacune de nos
régions de nouveaux programmes opérationnels très largement financés par les fonds européens,
que nous devons mieux faire connaître.
Les régions d’outre-mer bénéficient pour les sept prochaines années d’un montant d’aides
européennes proche de quatre milliards d’euros, pour une population devant atteindre moins de
deux millions d’habitants en fin de programmation. La spécificité de la communication sur les
programmes communautaires appliquée à l’outre-mer réside dans la nécessité de faire la
promotion de trois programmes régionaux distincts (FEDER, FSE et FEADER).
Sur la période actuelle, les DOM se sont déjà engagés dans cette voie. Les panneaux de
réalisation et de participation financière de l’UE matérialisant son implication dans des projets
structurants de nos régions sont particulièrement visibles et assurent à l’Europe une forte
notoriété outre-mer. La mise en place d’actions de communication (plaquettes, supports
publicitaires divers, spots télévisuels ou numéros verts) a contribué à la publicité de l’action
communautaire.
Nous devons néanmoins chercher à mieux faire encore pour la période de programmation 20072013. La démarche commune proposée à travers le plan interministériel et la circulaire du
Premier ministre du 14 février 2007 s’incarne à travers la création de l’emblème commun, devant
permettre de donner une vision d’ensemble cohérente et lisible des actions de communication à
venir.
Il nous appartient de rendre perceptible l’apport de l’intervention communautaire pour des
habitants éloignés géographiquement de l’Europe métropolitaine. Il nous incombe de mettre
l’accent sur des actions concrètes dans nos régions. La déclinaison dans chacune des régions
d’une communication spécifique s’impose. A mon sens, pour la période 2007-2013, le but de la
communication autour de l’aide européenne est de permettre à chaque habitant d’avoir
facilement connaissance des différents programmes cofinancés par l’Europe et susceptibles de le
concerner. Les citoyens doivent avoir conscience qu’ils peuvent facilement bénéficier des aides
prévues par les programmes. Enfin, ils doivent pouvoir mesurer la réalité des actions concrètes
de l’Europe dans leur vie quotidienne.
Nous avons l’opportunité d’anticiper l’information susceptible d’être mise en œuvre sur les
programmes opérationnels ; profitons-en pour bâtir des stratégies de communication plus
volontaristes et plus pédagogiques. Nous devons également nous pencher sur les nouveaux
moyens d’information à mettre en place pour rendre le citoyen plus réceptif et pour développer
sa conscience du rôle et de la place de l’Europe dans les politiques de cohésion sociale. Le
lancement des prochains programmes opérationnels nous donne l’occasion de construire une
image de l’Europe outre-mer présente sur un très large champ d’actions visibles et s’appuyant sur
les identités régionales.
Actes du séminaire "Objectif Com : 2007-2013" - Paris le 14 mars 2007
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™
Frédéric LAMBERT - Chef de la mission Europe et régions, ministère de l’Agriculture et
de la Pêche
La communication est un enjeu important pour la réussite de la programmation de
développement rural, compte-tenu notamment des fonds alloués pour la période 2007-2013.
L’enveloppe allouée à la France pour le développement rural représente 6,4 milliards d’euros.
Nous avons donc une responsabilité particulière pour réussir la programmation et la
communication qui lui est dédiée.
Le ministère de l’Agriculture et de la Pêche attache un intérêt à une démarche de coordination
interministérielle. Cette démarche s’illustre évidemment par la mise en place de la charte
graphique et au-delà, par la réalisation d’actions communes pertinentes dont le séminaire de ce
jour est l’illustration. Pour autant, l’intérêt d’une communication spécifique pour le FEADER
existe. En tant que deuxième pilier de la PAC, le FEADER mérite une communication différenciée
de celle réservée aux fonds structurels permettant de fournir des informations techniques et de
cibler les messages sur divers publics.
Cet exercice de communication est nouveau. Le FEADER fait désormais partie des fonds sur
lesquels il conviendra de communiquer à l’avenir, au même titre que pour les programmes
opérationnels. Un certain nombre d’actions ont néanmoins déjà été menées au cours de la
programmation 2000-2006 concernant le plan de développement rural national. L’exigence de
communication est cependant renforcée pour la période 2007-2013 et va se traduire par un plan
spécifique au FEADER prévu dans la réglementation communautaire.
Les attendus de ce nouveau plan de communication consistent à informer les bénéficiaires et le
grand public des possibilités d’aide au titre du FEADER ainsi que ses réalisations concrètes. Nous
devrons par ailleurs répondre à une exigence spécifique qui n’existe pas pour les fonds
structurels, puisque l’autorité de gestion des programmes de développement rural devra publier
une fois par an la liste des bénéficiaires, la liste des actions financées et leur montant sans critère
de seuil : la transparence devra ainsi être totale.
Le plan de communication du FEADER doit par ailleurs mettre en avant la déclinaison dans les
programmes de développement rural des priorités définies dans le cadre des orientations
stratégiques communautaires. Il s’agira également de communiquer sur des messages
d’information sur les changements intervenus par rapport à la programmation précédente, ayant
notamment consisté à davantage déconcentrer et territorialiser les projets pour mieux prendre en
compte les spécificités locales. La démarche LEADER devra également être présentée comme
étant intégrée au programme de développement rural.
L’objectif du plan de communication du FEADER résidera dans l’émergence et la valorisation des
projets. Les bénéficiaires des fonds participeront ainsi à une dynamique commune du
développement du territoire, de façon à faire du monde rural un environnement vivant et
attractif.
™
François GAUTHIEZ -Sous-directeur des pêches maritimes, ministère de l’Agriculture
et de la Pêche
Le Fonds Européen pour la Pêche (FEP) est sans doute mal nommé, puisqu’il concerne également
l’aquaculture. Il s’agit d’un fonds relativement modeste en volume, s’adressant à un secteur
spécifique. Il n’en demeure pas moins un enjeu d’importance au plan local, notamment dans les
zones littorales. Le FEP constitue le principal instrument financier communautaire en matière de
Actes du séminaire "Objectif Com : 2007-2013" - Paris le 14 mars 2007
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pêche. La communication autour de ce fonds sectoriel doit s’effectuer à destination des
bénéficiaires, des partenaires de sa mise en œuvre mais également du grand public.
Au cours des exercices antérieurs au FEP, l’IFOP (Instrument Financier d’Orientation de la Pêche)
fut mis en œuvre dans des conditions éloignées des standards de gestion des grands fonds
structurels, essentiellement pour des raisons de moyens. Sur la période 2000-2006, de gros
efforts ont été réalisés afin de se rapprocher des modalités de mise en œuvre des fonds
structurels, notamment en termes de communication. Nous avons ainsi procédé pour la première
fois à la diffusion de plaquettes, affiches ou vadémécums.
En termes d’ambition stratégique, nous entendons développer la lisibilité de nos objectifs en
élaborant un plan d’avenir pour la pêche. La réforme de la politique européenne en matière de
pêche en 2002 n’a pas contribué à améliorer l’image de cette politique auprès des citoyens
européens. Nous avons par exemple attribué par le passé des subventions pour la construction
de navires, tandis que nous utilisions par ailleurs des fonds publics pour en détruire. La
cohérence de ce type de politique n’est pas toujours apparue au citoyen. Aujourd’hui, les
orientations aux niveaux communautaire et national intègrent de façon beaucoup plus claire les
objectifs de développement durable, facilitant la communication autour de notre politique.
Une communication réussie passe par une concertation et par la transparence. Par rapport à la
période de programmation précédente, nous comptons élargir considérablement la composition
du Comité de suivi et renforcer au niveau local les partenariats.
L’axe 4 du FEP, qui se rapproche de la démarche LEADER, revêt également un enjeu de
communication important. Pour la mise en œuvre progressive de cet axe, nous avons privilégié la
mise en œuvre d’une année d’appel à proposition durant laquelle nous déploierons un effort
important d’information sur le terrain pour mobiliser les acteurs locaux.
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Patrice BOREL Chef de service du financement et de la modernisation, Délégation
générale à l’emploi et à la formation professionnelle, Ministère de l’Emploi et de la
Cohésion sociale
Cette journée s’inscrit dans un riche contexte d’actualité au niveau national et européen, puisque
nous fêterons prochainement le cinquantième anniversaire du Traité de Rome mais également
celui de la création du FSE. Par ailleurs, nous attendons au cours de cette semaine les premières
remarques de la Commission européenne. Nous espérons voir le programme officiellement
approuvé avant l’été. Enfin, la circulaire du Premier ministre fixant les orientations pour une
nouvelle dynamique en faveur de la communication sur les fonds structurels en 2007-2013
complète cette actualité.
Les actions de communication doivent dorénavant s’inscrire dans une démarche volontaire et
coordonnée afin de devenir davantage lisibles. Les stratégies de communication devront tenir
compte de la spécificité propre de chaque fonds et du souci de développer une démarche de
communication partagée.
S’agissant de l’Europe et de l’emploi, l’Eurobaromètre montre que seulement 64 % des Français
ont une appréciation positive de l’impact de l’UE sur les politiques sociales et de l’emploi. De
façon corollaire, 66 % des Français se déclarent intéressés pour recevoir des informations sur les
actions de l’Union.
Actes du séminaire "Objectif Com : 2007-2013" - Paris le 14 mars 2007
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Un travail de renforcement de la communication sur le FSE doit être engagé, mettant en avant
les investissements réalisés depuis cinquante ans dans le capital humain. L’expérience de la
campagne globale FSE pour la période 2000-2006 a démontré l’intérêt d’une campagne
coordonnée au plan national et régional. Cette campagne progressive a permis de favoriser le
développement d’actions de communication en région pour renforcer l’identité spécifique du FSE.
Elle a également permis de faciliter l’accès au programme pour les porteurs de projet par des
documents spécifiques et de développer la communication institutionnelle avec les partenaires
nationaux et régionaux pour diffuser les résultats du FSE. Enfin, elle a permis de sensibiliser le
grand public par des campagnes médiatiques.
Pour 2007-2013, la spécificité nationale du programme FSE amène à établir une stratégie de
communication particulière. Elle devra bien sûr assurer une lisibilité et une transparence aux
interventions du FSE, mais également comporter un volet national décliné pour chacune des
régions. Ce plan sera comme en 2000-2006 mis en œuvre de façon progressive, avec un premier
plan d’action défini jusqu’à la fin 2008. Le développement d’une démarche partagée avec les
autres fonds, tant au plan national que régional, devra également être entreprise.
Nous prévoyons un séminaire de lancement de la programmation 2007-2013 que nous
organiserons à Marseille début juillet en lien avec nos collègues de la Direction régionale du
travail, de l’emploi et de la formation professionnelle de PACA. Cette manifestation constituera
pour nous la première opération nationale de communication de lancement de la nouvelle
période de programmation.
Actes du séminaire "Objectif Com : 2007-2013" - Paris le 14 mars 2007
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Forum des bonnes pratiques
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Luc RIGOTTI Attaché à la direction des programmes européens, Ministère de la
région wallonne
S’il permet de spécifier naturellement la communication sur le territoire restreint des trois régions
qui composent le pays, le contexte institutionnel belge introduit cependant un degré de
complication dans la gestion de l’information sur les programmes européens. La région wallonne
est compétente sur des matières telles que l’économie, l’emploi ou l’agriculture et s’occupe de fait
de la gestion des fonds structurels sur son territoire.
Le territoire de la région wallonne est compartimenté par programme, ce qui nous a posé
quelques difficultés quand il s’est agi de promouvoir l’action des fonds européens. Nous avons dû
différencier dans le temps l’avancement des programmes (« l’objectif 1 » ayant démarré avant
les deux « objectif 2 »), impliquant l’élaboration de plans de communication distincts. Après avoir
défini un cahier des charges, nous avons réalisé un appel d’offres. Les projets retenus ont
nécessité un budget de deux millions d’euros pour « l’objectif 1 », contre plus d’un million d’euros
pour « l’objectif 2 ».
Pour des raisons budgétaires, nous avons choisi de découper en deux phases la campagne sur
« l’objectif 1 ». Pour la première phase 2000-2004, nous avons opté pour un univers de référence
au décalage avec le message technique que nous voulions faire passer au grand public, aussi des
visuels liés au thème du sport ont-ils été choisis. Pour la seconde phase 2005-2008 sur
« l’objectif 2 », une campagne aux visuels décalés et à la mise en avant de chiffres parlants sur
les réalisations des fonds structurels a été conduite. Un emblème a également été créé pour
servir de fil rouge aux déclinaisons de la campagne sur différents supports.
Pour la période de programmation 2007-2013, la région wallonne entend mettre en œuvre un
plan de communication global, à l’instar de la France. Nous comptons également combiner la
transmission de messages informatifs et concrets à celle d’une communication davantage
spectaculaire et accessible.
Si les médias classiques ont été utilisés, nous avons veillé à cibler autant que possible les
messages en leur donnant un ancrage territorial et local. Nous avons misé sur la distribution de
brochures d’information dans les foyers des zones éligibles et sur Internet pour délivrer une
information plus complète sur les fonds structurels.
Nous avons par ailleurs fait le pari de l’originalité, en développant notamment en jeu en ligne
destiné aux 11-13 ans dont l’objectif était de les initier concrètement aux fonds structurels
européens. Nous comptions ainsi à la fois sensibiliser les enfants dès leur plus jeune âge, tout en
attirant l’attention des parents de façon détournée sur ces sujets. Dans cette même optique,
nous avons procédé à la réalisation d’un jeu de cartes.
Une communication de terrain a par ailleurs été entreprise, via la distribution de folders lors de
manifestations populaires importantes, dans le Hainaut notamment. Ce mode de communication
a l’avantage de permettre d’établir un contact direct et humain avec le grand public.
Nous avons également procédé à la déclinaison d’un spot télévisuel à destination du cinéma ainsi
qu’à la réalisation de stands accompagnés de présentoirs garnis de brochures d’information,
disposés dans les lieux de haute fréquentation (notamment les administrations). L’accent a aussi
Actes du séminaire "Objectif Com : 2007-2013" - Paris le 14 mars 2007
12
été placé sur l’uniformisation de la signalétique sur les projets réalisés grâce aux fonds structurels
européens, grâce à la distribution de plaques commémoratives à tous les porteurs de projet.
Enfin, nous avons monté une action de communication à destination de la presse dans le cadre
d’une conférence à mi-parcours du programme « objectif 1 ». Cette opération visait à inviter les
journalistes à effectuer un survol en hélicoptère des réalisations majeures construites grâce aux
cofinancements européens. Les résultats de cette action ont dépassé nos espérances, puisque
pour un moindre coût, les retours se sont avérés très positifs pour l’image de la province du
Hainaut et sur celle des programmes européens. En outre, elle a permis la constitution d’une
banque d’images.
L’ensemble de ces actions de communication nécessitent d’être soigneusement ciblées : certaines
campagnes peuvent parfois être mal interprétées par des catégories qui pensent en être
destinataires.
™
Louis MAZARI Directeur adjoint du pôle affaires régionales, direction départementale
du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle de la Réunion
Cette intervention s’inscrit dans le cadre d’un partenariat local (Etat, Région, Département) qui
m'a mandaté de le représenter pour tous les fonds européens. Le projet que je vais vous
présenter visait à créer un évènement permettant de parler d’Europe à travers les réalisations
effectuées grâce aux fonds structurels. Nous avons ainsi lancé l’expérience du concours
« Meilleurs projets d’Europe » à la Réunion pour le DOCUP 2000-2006.
Un partenariat défini dans le plan d’action du DOCUP 2006 par le Comité de pilotage et validé par
le Comité local de suivi poly-fonds a été mis en place localement (regroupant l’Etat, la région et
le département). Pour ce concours, plusieurs catégories représentatives de l’ensemble des
réalisations ont été déterminées (« meilleur projet petites entreprises », « meilleur projet
public »…). Chaque catégorie a donc vu un projet récompensé.
Nous avons veillé à impliquer l’ensemble des services instructeurs afin de constituer une base de
données de projets respectant les critères définis suivants : le projet devait être programmé sur
la période 2000-2003, entièrement réalisé et représentatif de l’efficacité de l’action publique et
des objectifs du DOCUP. 67 dossiers ont ainsi été présélectionnés, donnant lieu à une information
des maîtres d’ouvrage sur le concours. 53 réponses positives ont été retournées, soit autant de
candidats pour l’ensemble des catégories.
Des fiches descriptives rappelant les principaux objectifs de chacun de ces projets ont par la suite
été réalisées par le Comité de sélection. Celui-ci s’est chargé de noter les projets selon quatre
critères :
•
prise en compte des orientations générales de l’UE ;
•
cohérence avec la stratégie du DOCUP ;
•
exemplarité de la réalisation ;
•
impact du projet.
L’ensemble de ce processus s’est étalé sur quatre mois : la consultation des services instructeurs
a eu lieu en août 2004, tandis que la remise officielle des prix s’est faite à l’occasion d’un Comité
Actes du séminaire "Objectif Com : 2007-2013" - Paris le 14 mars 2007
13
de suivi en novembre 2004. Un trophée réalisé par un artisan local a été remis au gagnant de
chaque catégorie, qui gagnait également un voyage à Bruxelles.
Le recours à des prestataires externes pour la conduite de ce projet n’a pas été nécessaire. Le
coût total de l’opération a finalement atteint 25 000 euros.
Les retombées médiatiques de l’opération se sont avérées concluantes, puisque la presse a
consacré plusieurs sujets aux meilleurs projets. Nous avons notamment veillé à mettre en avant
les bénéficiaires concernés dans la valorisation des projets exposés. Le site Internet
« reunioneurope.org » a également profité de cette manifestation pour voir son contenu se
diversifier et devenir moins aride.
L’opération a grandement reposé sur l’implication des services instructeurs, à chaque niveau.
Leur participation à ce type de manifestations sortant du cadre administratif donne du sens à
leur action. Par ailleurs, la gestion externalisée des relations avec la presse peut éventuellement
permettre d’assurer une plus grande diffusion de l’évènement.
Actes du séminaire "Objectif Com : 2007-2013" - Paris le 14 mars 2007
14
Table ronde : Concevoir et réaliser une communication efficace
™
™
™
™
™
Myriam AFLALO, chef du Département des affaires européennes, Ministère de l’Outremer
Marc GASTAMBIDE, conseiller aux affaires européennes, DIACT
Dominique JEREMIASZ, chargée de mission DGEFP, Ministère de l’Emploi, de la
Cohésion sociale et du Logement
Frédéric LAMBERT, chef de la mission Europe et régions, ministère de l’Agriculture et
de la Pêche
Luigi NIGRI, Manager de programmes, rapporteur, Unité France, Direction générale
de la politique régionale, Commission européenne
La table ronde est animée par Dominique MEGARD, déléguée générale du réseau de
communication publique Cap’com.
™
Dominique MEGARD
La plupart des ateliers de ce matin ont révélé une soif de partenariats et un désir de
simplification et d’accessibilité aux fonds européens par le grand public. La force du besoin de
mise en réseau a été très clairement exprimée. Vous avez tous appelé à la création d’un espace
d’échange et de mutualisation des bonnes pratiques, voire des moyens.
Actes du séminaire "Objectif Com : 2007-2013" - Paris le 14 mars 2007
15
ATELIER A
Comment organiser une communication partagée ?
Les participants étaient invités à débattre du partenariat envisagé pour l’élaboration et la mise en
œuvre de leur plan de communication ainsi que de la création d’un réseau national des
responsables de communication sur les programmes européens. Ils se sont interrogés sur les
moyens pour s’organiser, au niveau régional notamment, afin d’élaborer une communication
partagée, décloisonner les démarches et favoriser la mutualisation des bonnes pratiques. Des
habitudes de rencontre, d’échange et de partenariat sont à créer au niveau des gestionnaires de
fonds, mais également au niveau des collectivités afin de générer chez tous un « réflexe Europe
». Par ailleurs, la frontière entre l’animation et la communication doit être mieux définie, de façon
à ce que l’une ne prenne pas le pas sur l’autre.
Myriam AFLALO
La communication s’adresse à des groupes cibles très divers. Nous avons d’abord fait le constat
qu’il convenait de distinguer communication interne et communication externe. Pour les nonspécialistes que nous sommes, ce travail de clarification m’a semblé intéressant. La question de
la frontière entre communication et animation est apparue particulièrement prégnante lorsque
nous nous adressons à des porteurs de projet. Or je considère que nous pouvons parler
d’animation dès l’instant où un porteur de projet sollicite de lui-même un recours aux fonds
européens et se montre d’informations techniques visant à monter son dossier.
Dominique MEGARD
Pour autant, cela n’implique pas l’existence de frontières perméables entre ces deux domaines
que nous constatons pourtant.
Myriam AFLALO
Tout à fait. Il convient de garder en tête les métiers de chacun : le nôtre concerne plus
l’animation que la communication. A cet égard, il s’agit à mon sens de s’appuyer sur des
professionnels de la communication.
Luc RIGOTTI
S’agissant du projet pour la région wallonne que je vous ai exposé, nous avons cherché à
cloisonner les deux types de message. Un appel à projets public a été effectué auprès des
bénéficiaires potentiels, parallèlement à la diffusion de messages grand public pour lesquels nous
nous sommes appuyés sur notre propre expérience de communication sans faire appel à des
prestataires externes.
Dominique MEGARD
Cet atelier a également abordé l’organisation de la communication au niveau régional. La
Actes du séminaire "Objectif Com : 2007-2013" - Paris le 14 mars 2007
16
Commission et les autorités nationales ont exprimé le souhait de voir les actions vers le grand
public renforcées. Comment conjuguer cet objectif avec la nouvelle architecture des programmes
? En outre, cette question appelle une réflexion sur les possibilités d’actions communes de
communication aux différents fonds. Un fonds peut-il cofinancer une action de communication
rendant compte de l’intervention des différents fonds sur le développement régional ?
Luigi NIGRI
D’un point de vue strictement réglementaire, chaque programme doit bénéficier de son propre
plan de communication. Cela étant, cette obligation avait à l’origine pour objectif d’éviter que
certains programmes ne fassent pas l’objet de plan de communication. Aussi convient-il de ne
pas se créer d’obstacles artificiels. L’organisation monofonds nous incite à mener un effort de
coordination entre fonds, tant au niveau communautaire que local. Gardons à l’esprit que le
grand public constitue un interlocuteur unique, tandis que nous lui proposons des messages
provenant de sources différentes. Cela ne contribue pas à assurer une information claire. Une
approche coordonnée et complémentaire doit donc être élaborée de façon à ne pas brouiller les
messages. Si un accord de fond est trouvé sur l’objectif et la méthode des programmes de
communication, la répartition des ressources financières ne devrait pas poser de problème.
Pasquin CRISTOFARI, directeur des affaires européennes et de la coopération,
collectivité territoriale de Corse
Je crains que sur un plan pratique, des difficultés se posent au prestataire externe pour
proposer un plan de communication impliquant divers fonds, et donc des pratiques et des règles
de cofinancement différentes. Comment assurer à ce prestataire qu’il bénéficiera d’un financement unique ? J’ai peur que la définition d’objectifs communs ne règle pas entièrement cette
question.
Luigi NIGRI
Je n’interviendrai pas sur la question du montage financier final, qui est déjà compliqué en
France. Toutefois, je ne fais pas de cette question une difficulté insurmontable.
En tout état de cause, les choses ne sont pas arrêtées à ce stade de la réflexion. Si une action
de communication est définie de manière conjointe dans le cadre des plans de communication
de chacun des programmes, il est soit possible d’imaginer un financement au prorata de chacun
des fonds de la région, soit un financement au prorata des fonds accordés à la région dans le
cadre d’un plan d’action de plusieurs années (chaque année voyant un fonds différent bénéficier
du plan d’action).
Frédéric LAMBERT
Sur cette question, nous espérons pouvoir nous appuyer sur les services de la Commission, qui
devra favoriser autant que possible les approches multiformes.
Actes du séminaire "Objectif Com : 2007-2013" - Paris le 14 mars 2007
17
Luigi NIGRI
Plus qu’un tronc commun, il est possible d’imaginer un plan de communication basé sur un fonds
commun, lequel aurait le mérite de créer un minimum de complications pour le bénéficiaire. Il
est vrai qu’en France, des clivages dans la gestion des fonds et entre financeurs existent.
Dominique MEGARD
Comment les autorités nationales intègrent-elles le cofinancement plurifonds sur ces plans de
communication ?
Marc GASTAMBIDE
Nous commençons à peine à voir les différents services ministériels collaborer, tant nous
sommes habitués à une organisation verticale. Le plan de communication interministériel a bien
pour objectif de mobiliser et convaincre les acteurs. Pour ce faire, il convient de mettre en
réseau les acteurs, coordonner et mutualiser nos moyens. Nous rencontrons des difficultés liées
à la complexité du système comptable français, mais nous devons dépasser ces difficultés pour
parvenir à travailler sur des objectifs communs.
Actes du séminaire "Objectif Com : 2007-2013" - Paris le 14 mars 2007
18
ATELIER B
Comment amener les médias à parler des fonds européens ?
Dominique MEGARD
Les acteurs de la communication sur les fonds rencontrent des difficultés pour construire des
relations de presse durables, le sujet étant perçu comme trop complexe par les journalistes. La
nécessité de construire une relation suivie avec les journalistes est apparue. La nature des
programmes sur lesquels nous souhaitons communiquer et leur faible contenu événementiel –
sauf à le provoquer – sont-ils autant d’éléments compatibles avec cette exigence ? Quelques
pistes de réponses ont pu être esquissées. Afin d’assurer un suivi auprès des journalistes, ceuxci doivent pouvoir contacter au sein de chaque autorité un interlocuteur connu et reconnu. Il
convient également de veiller à tenir jour une liste de contacts et d’adresses d’interlocuteurs
bénéficiaires. Les informations doivent être présentées de façon vivante et concrète en
simplifiant le langage utilisé. Dans cette optique de vulgarisation, il a enfin été imaginé de
proposer aux journalistes une sensibilisation au vocabulaire de l’Europe. Frédéric Lambert, quel
message convient-il de privilégier pour les programmes de développement rural ?
Frédéric LAMBERT
En matière de développement rural, la programmation s’adresse à de multiples publics qu’il
convient de cibler en proposant des messages adaptés. L’enjeu de la programmation 2007-2013
réside dans le décloisonnement du monde rural, aussi les acteurs de ces zones devront-ils
parvenir à dialoguer autour d’un vocabulaire commun. La mise en place du « réseau rural »
poursuit cet objectif d’échange et de valorisation des bonnes pratiques, lesquelles peuvent se
trouver relayées par les voies classiques de la communication.
Dominique MEGARD
Quelles recommandations pourrions-nous formuler pour renforcer les actions de relationspresse?
Dominique JEREMIASZ
Dans ce domaine comme dans d’autres, il convient de conjuguer les talents. Nous avons essayé
de faire en sorte qu’au niveau régional sur la période 2000-2006, nos collègues gestionnaires du
FSE échangent avec les responsables de communication des DRTEFP, afin qu’ils montent des
actions conjointes. Il s’avère que certaines ont pu être conduites avec succès. Nous pouvons
donc nous appuyer sur les compétences qui existent au sein de nos administrations.
La question des relations de la presse avec les services administratifs se confronte à un doubleenjeu : la technicité de nos sujets et le système de validation, voulant que les informations
délivrées soient avalisées par la hiérarchie. Pour le journaliste, le bon interlocuteur sera celui qui
sera capable de vulgariser les sujets et de trouver les bons circuits de validation interne auprès
des responsables de communication. J’ajoute que le plan de communication a prévu une
éventuelle formation dans le domaine des relations-presse.
Actes du séminaire "Objectif Com : 2007-2013" - Paris le 14 mars 2007
19
Philippe LALANNE, responsable communication à la DRTEFP
Les deux exemples belge et réunionnais illustraient la volonté de communiquer localement en
faisant preuve d’imagination dans la définition des actions et des supports. Elles présentaient
toutefois des différences notables en termes d’externalisation (l’action réunionnaise ayant fait
appel en interne aux services de l’Etat et aux collectivités territoriales locales). Cette différence
de traitement pose question : laquelle convient-il d’adopter au niveau local ? En outre, ces deux
opérations ne sont pas comparables financièrement. La question de l’échelle financière et des
territoires se trouve ainsi naturellement posée.
Marc GASTAMBIDE
Le plan de communication interministériel devra répondre à cette question de fond. La circulaire
du Premier ministre évoque le chiffre de 10 % des crédits d’assistance technique à destination
de la communication pour aller dans cette direction. Il est néanmoins certain que nous nous
trouvons à la veille d’un nouveau départ et qu’il nous faut encore trouver un langage commun,
ce que des manifestations comme celle à laquelle nous participons permettent de faire.
Dominique JEREMIASZ
Avant de d’entreprendre des actions, il convient de définir un plan de communication « à double
pédalage » : nous avons un plan à réaliser par programme opérationnel (avec en ce qui
concerne le FSE un plan national avec une déclinaison régionale), qui doit en plus comporter
une partie commune avec les autres fonds européens à l’échelle régionale et nationale. Il reste
cependant vrai que la définition de plans de communication sur une période de sept ans
constitue un exercice périlleux. Nous devons donc tracer les orientations d’action par public cible
pour une durée d’environ deux ans.
Myriam AFLALO
Je tiens à ajouter que si nous avons procédé jusqu’alors en ordre dispersé sur les plans de
communication, cela nous permet précisément de bénéficier d’une richesse non négligeable en
termes de pratiques. En outre, une bonne communication grand public commence par une
bonne communication interne et institutionnelle dans les Comités de suivi.
Actes du séminaire "Objectif Com : 2007-2013" - Paris le 14 mars 2007
20
ATELIER C
Comment valoriser les projets pour mieux faire connaître
l'intervention européenne ?
Dominique MEGARD
Les acteurs présents ont convenu que les projets sont les meilleurs vecteurs de communication
sur l’action européenne. Des marges de progrès ont toutefois pu être identifiées grâce au
partenariat, à l’évaluation permanente des pratiques ou à l’évocation de la stratégie avant celle
du support (avec l’élaboration d’une feuille de route). Cet atelier a par ailleurs mis en évidence
qu’il n’était pas si difficile de toucher le grand public, même avec des moyens limités. Enfin, il a
une nouvelle fois été convenu que la professionnalisation de a communication passera par la
mutualisation des bonnes pratiques. Dominique Jérémiasz, pour toucher le grand public, les
autorités régionales ont-elles vraiment les moyens de prétendre communiquer sur certains
supports qui peuvent paraître trop chers, notamment la télévision ?
Dominique JEREMIASZ
L’atelier de ce matin a prouvé que c’était effectivement possible à travers des actions simples et
ciblées. Si, au plan national, la mutualisation de moyens peut conduire à l’achat d’espaces sur
des chaînes nationales, il a été montré que les partenariats étaient également possibles en
région, notamment avec les chaînes régionales (comme pour la Lorraine avec RT9). La qualité
du partenariat conduit par le projet permet dans une grande mesure de trouver des systèmes de
diffusion auprès du grand public qui n’ont pas des coûts inaccessibles.
Serge RODRIGUEZ, chargé de mission Urban, Secrétariat général pour les affaires
régionales Aquitaine
Il convient de s’interroger sur les moyens pour prendre des rendez-vous avec la presse dans les
déclinaisons du plan de communication national afin de les inscrire dans une temporalité
échéancée. Quand la date de publication du plan de communication est-elle prévue ?
Marc GASTAMBIDE
Je partage votre souci de nous voir définir des échéances stratégiques. Le plan de
communication interministériel constitue notre priorité, même si nous disposons encore de
quelques mois pour le réaliser. Nous souhaiterions qu’il soit disponible et opérant dès que les
programmes opérationnels seront adoptés par la Commission.
Actes du séminaire "Objectif Com : 2007-2013" - Paris le 14 mars 2007
21
ATELIER D
Comment communiquer pour mobiliser les bénéficiaires
potentiels?
Dominique MEGARD
Les participants à cet atelier ont une fois de plus affirmé la nécessité d’un partenariat entre
l’Etat, les collectivités et les financeurs ainsi que sur l’élaboration d’un discours commun créateur
de liens entre les gestionnaires des fonds et les communicants. Il a également été jugé opportun
de créer des partenariats au sein du public cible (chambres consulaires, associations). La
nécessité d’une certaine liberté de ton par rapport à l’administration a également été invoquée
comme une dimension à introduire dès lors que nous nous situons dans le cadre d’une nouvelle
communication. L’instauration d’une proximité avec les bénéficiaires a par ailleurs été mise en
évidence afin de mieux prendre en compte leurs habitude.
Frédéric LAMBERT
Nous nous situons ici en plein cœur du sujet, puisque ces questions déterminent directement la
réussite du programme de communication. Nous devons arriver à faire émerger des projets
répondant aux priorités nationales et européennes. Il convient de simplifier autant que possible
les démarches du bénéficiaire, qui doit savoir où s’adresser et à quoi il s’engage. Nous avons par
ailleurs mis en avant la nécessaire mobilisation des relais pour aider les porteurs de proje
Actes du séminaire "Objectif Com : 2007-2013" - Paris le 14 mars 2007
22
Conclusion
™
Sébastien DE GASQUET - Conseiller technique au cabinet du ministre délégué aux
affaires européennes
L’élaboration de la circulaire du Premier ministre en date du 12 février 2007 publiée au Journal
Officiel du 23 février a nécessité un travail de longue haleine, auquel j’ai personnellement
participé avec d’autres personnes que je revois ici avec plaisir. Nous avons dû faire passer l’idée
qu’il s’agissait d’un enjeu politique pour convaincre nos concitoyens de l’utilité de l’Europe.
Catherine Colonna a sillonné les régions pour mettre en valeur les projets cofinancés par l’UE,
en chiffrant systématiquement les montants en jeu. Nous avons très souvent constaté au cours
de ces visites que les bénéficiaires directs de ces projets n’avaient pas conscience que l’Europe
avait participé au financement. Il a donc paru indispensable de mettre en évidence l’utilité de
l’Europe. Nous avons donc dû entamer une démarche auprès des cabinets ministériels pour les
convaincre de l’opportunité de ce texte.
S’agissant du contenu de cette circulaire, il convient d’abord d’attacher de l’importance au fait
que le Premier ministre ait souhaité la signer lui-même. Il s’agit clairement d’un signal politique
qui a valeur d’engagement national. La philosophie de ce texte vise à insister sur les
obligations, notamment sur l’obligation de publicité. Aussi n’avons-nous pas hésité à brandir
explicitement la menace de non-versement du solde de la subvention en cas de non-respect de
cette obligation de publicité afin de sensibiliser les porteurs de projet.
En outre, cette circulaire entend développer les incitations à communiquer. Il ne doit en effet
pas s’agir uniquement d’application de la réglementation, mais bien d’une démarche
volontariste. Ainsi, nous précisons le montant de 10 % de l’assistance technique devant être
consacré à la communication. Le développement de partenariats avec les collectivités locales
est également incité, ainsi que la mise en œuvre d’évènements locaux de communication. La
mobilisation des parlementaires européens sur la mise en œuvre des fonds est également
encouragée. Enfin, nous soulignons la nécessité de communiquer de façon davantage attractive
sur Internet – l’idéal étant de créer un site Internet dédié à l’Europe pour chaque région.
Enfin, j’insisterai sur la nécessité de faire connaître cette circulaire aux porteurs de projet et aux
élus locaux. Nous avons or notre part acheté cinq pages dans le Courrier des maires du mois de
mars à cet effet. Je vous encourage donc à mobiliser vos moyens de communication,
notamment avec les collectivités locales.
™
Vasilije KUJACIC - Chargé de mission, Délégation interministérielle à l’aménagement
et à la compétitivité des territoires
Nous aurons de nouvelles occasions d’échanger sur ces sujets, vraisemblablement au milieu de
la période de programmation qui s’ouvre. Il serait également opportun d’imaginer de nouvelles
occasions permettant de continuer d’échanger au fil de l’eau.
Je signale en conclusion que Racine et le Cnasea ont travaillé ensemble à l’organisation de cette
manifestation, ce qui constitue également une nouveauté à saluer.
Séminaire "2007-2013 : Objectif Com" du 14 mars 2007
23
Liste des participants du
Séminaire "Objectif COM : 2007-2013"
Etat
Nom
civil
M.
MARTIN
Olivier
Alsace
SGAR
M.
Philippe
Alsace
DRTEFP
Mme HERTH
Marie
Alsace
Conseil régional
Mme DE GEETER
Stéphanie
Alsace
CRCI
Mme BILLA
Sophie
Aquitaine
Préfecture de région
M.
CAILLAUD
Mme BRUN
Laurent
Sabine
Aquitaine
Aquitaine
SGAR
SGAR
Chargé de mission Europe
Responsable
Communication
Chef du service politique
régionale
Chef de projet
Responsable
communication
Mission Europe
Chargée de mission
M.
Serge
Aquitaine
SGAR
Chargé de mission URBAN
Mme DUBO
Sylvie
Aquitaine
DRTEFP
Chef du service FSE
Mme MARIE
Caroline
Aquitaine
Conseil régional
Chargée de mission Europe [email protected]
Delphine
Aquitaine
Conseil régional
Chargée de mission
Communicat°
Mme GOMONT
Michèle
Auvergne
SGAR
Chargée de mission Europe [email protected]
Mme TROMAS
Emilie
Auvergne
SGAR
Mme SALABERT
Véronique
Auvergne
DRTEFP
Chargée de communicat°
Mme FORCE
Christiane
Auvergne
DRTEFP
Responsable cellule FSE
Mme PASTIAUX
Cécile
Auvergne
DRDFE
Chargée de l'égalité
Mme HERGAT
Mme BUI-XUAN
Marie
Christine
Auvergne
Auvergne
DRAF
Conseil régional
M.
Alain
Basse-Normandie SGAR
Mme JOYEUX
Karine
Basse-Normandie SGAR
SREA - Pôle Dvt rural
Chef du service FSE
Chef de bureau service
Europe
Chargée du suivi de la
communicat°
Mme CHAPLAIN
Sandrine
Basse-Normandie DRTEFP
Service FSE
[email protected]
M.
POISSON
Mme AUDOUARD
Mme MORINIERE
Frédéric
Anna
Hélène
Basse-Normandie DRAF
Basse-Normandie Conseil régional
Basse-Normandie Conseil général de la Manche
[email protected]
[email protected]
[email protected]
M.
Philippe
Basse-Normandie Conseil général Calvados
Mme CAMIN
Cécile
Basse-Normandie Europe Direct Basse-Normandie
Mme CAUCHEBRAIS
Alice
Basse-Normandie Europe Direct Basse-Normandie
Mme FEUGER
Bénédicte
Basse-Normandie CREAN Europe Direct
Adjoint directeur
Chargée de mission
Chargée de mission
Directeur Aff. éco et
Communautaires
Assistante informatrice
Europe
Assistante intervenante
Europe
Responsable
Mme GRAVIER
Marie-Hélène
Bourgogne
Préfecture de région
Chargée de mission Europe [email protected]
Mme BORDELOUP
M.
COLIN
M.
MENARD
Emilie
Jérôme
Michel
Bourgogne
Bourgogne
Bourgogne
Préfecture de région
Préfecture Côte d'Or
DRTEFP
Gestion FEDER
Assistant de communicat°
Mme SERVELLE
Marie-Dominique Bourgogne
DRTEFP
Chargée de mission
M.
M.
Frédéric
Yannick
Bourgogne
Bourgogne
Relais Europe Direct
DRAF
Mme MERCIER
Michèle
Bretagne
SGAR
M.
Fabien
Bretagne
SGAR
Mme HARZIC
Edith
Bretagne
Préfecture - Ille-et-Vilaine
Mme GAILLARD
Mme LEFEVRE
Mme DUBOURG
Cécile
Géraldine
Laurence
Bretagne
Bretagne
Bretagne
DRTEFP
DRTEFP
Conseil régional
Responsable
Chargé de communication
Chef de la cellule Animat°
et Gest°
Responsable
Communication
Chef service
interministériel de
communicat°
Chargée de mission FSE
Chargée de mission FSE
Mme MACE
Denise
Bretagne
Conseil régional
Mme LENA
Armelle
Bretagne
Conseil régional
M.
OLIVIER
M.
RAUX
Mme HOUITAR
Laurent
Philippe
Naïma
Centre
Centre
Centre
SGAR
DRTEFP
DRTEFP
M.
DUSSIN
Pierre
Centre
DRTEFP
M.
BARBERA
Pierre
Centre
DRAF
Chef de mission prog.
europ.
Responsable coordinat° Direct° communicat°
Chargé d'études
Chargé de mission FSE
Chargée de mission FSE
Responsable service
"comunicat°-format°documentat°"
SREA - Responsable RDR
Mme GALTIER
Emerentienne
Centre
Conseil régional
Chargée de mission Europe [email protected]
Mme VELATTA
Aude-Laure
Centre
Conseil régional
Directrice
Mme
LALANNE
RODRIGUEZ
VALENTINTRINQUECOSTE
GRIFFON
LECLUZE
BERGELIN
VEYSSEYRE
SCHAEFFER
Prénom
Région
Organisme
Fonction
Email
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
marie.dominique@[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
Annexe
Liste des participants du
Séminaire "Objectif COM : 2007-2013"
Etat
civil
Nom
Prénom
Région
Mme LAUGEL
Muriel
Centre
Mme COLAS
Danièle
Mme PY
Vanessa
M.
Michel
Organisme
Fonction
Email
Association Française du Conseil Chargée de mission
des Communes et Régions d'Europe Communicat°
[email protected]
Relais Europe Direct
Responsable
[email protected]
SGAR
Chargée de communicat°
[email protected]
DRTEFP
Chef du service FSE
[email protected]
M.
OLIVIER
Mme GRIOT
Jean-Marie
Marie-Christine
Centre
ChampagneArdenne
ChampagneArdenne
ChampagneArdenne
Corse
Corse
Mme MAMBERTI
Hélène
Corse
ODARC
Mme GOUJON
Delphine
Franche-Comté
SGAR
Mme LINARD
Annick
Franche-Comté
SGAR
Mme VIONNET
Patricia
Franche-Comté
SGAR
Assistante Objectif 2
Mme BERTRAND
Christine
Franche-Comté
DRTEFP
Chargée de communicat°
Mme GUEDOT
Mme COURTIN-HECKER
Magali
Annick
Franche-Comté
Franche-Comté
DRTEFP
Europe Direct Franche-Comté
Chargée de mission FSE
Mme GAPPA
Suzy
Guadeloupe
SGAR
Mme MOREAU
France-Lise
Guadeloupe
DTEFP
M.
Jean-Pierre
Guadeloupe
Conseil régional
Adjointe au chef de la
cellule Europe
Secrétaire générale /
Comm.
Chargé de mission
Mme FREDERIC
Béatrice
Guadeloupe
Conseil régional
Chargée de communication [email protected]
Mme FLORI
Myriam
Guyane
Préfecture de région
Chef du département
Europe
M.
LOE-MIE
Roland
Guyane
Conseil général
Responsable cellule Europe [email protected]
M.
FERREIRA DOS SANTOS David
M.
MENU
SCHMIT
PELMARD
Nicolas
SGAC
SGAC
Haute-Normandie SGAR
Mme COFFINIER
Séverine
Haute-Normandie SGAR
Mme GLAIZOT
Pascale
Haute-Normandie SGAR
Mme BOUCHER
Martine
Haute-Normandie DRTEFP
M.
Assistant parlementaire
d'un député européen
Chef du Dpt Europe
Chargée de gestion
Responsable
communication
Chargée de mission
INTERREG
Chef de bureau - Mission
Europe
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
Chargée de communication [email protected]
Europe
pascale.glaizot@hauteChargée de mission FSE
normandie.pref.gouv.fr
Coordinatrice cellule FSE [email protected]
Responsable cellule
[email protected]
Interreg
[email protected]
Chef de projet
[email protected]
Responsable FSE
Chef du service
[email protected]
communicat°
Communication Europe
Christopher
Haute-Normandie Conseil régional
Mme MUSY
Mme RECOUPE
Nadège
Estelle
Haute-Normandie Conseil régional
Haute-Normandie Conseil régional
Mme POUBEAU
Nicole
Ile-de-France
Mme COMPARON
Madeleine
Ile-de-France
DRTEFP
Chargée de communication [email protected]
Mme de COMARMOND
Mme LE DU EDEL
Hélène
Anne-Marie
Ile-de-France
Ile-de-France
Directrice adjointe
Chargée de mission FSE
[email protected]
[email protected]
M.
BURN
Fernand
Ile-de-France
DRAF
Conseil régional
Caisse des Dépôts et des
Consignations
Chargé de mission
[email protected]
M.
PARCINEAU
Hervé
Ile-de-France
DREW
Préfecture de région
Mme LEGEAI
Emmanuelle
Ile-de-France
Yvelines Information Jeunesse
M.
M.
Sébastien
Jean-Claude
Ile-de-France
Ile-de-France
UNA LEADER+ RCT
Réseau Urban France
Responsable cellule projets
européens
Responsable Relais Europe
Direct 78
Chargé de communication
Directeur
Mme GORNISECZ
Julie
Ile-de-France
Réseau Urban France
Chargée de communication [email protected]
Mme PREVOST
M.
CALTRAN
Sophie
Jérôme
Ile-de-France
Ile-de-France
Echos des Villes
DEMAIN TV
Directrice
M.
FRAMBOISIER
Jacques
Ile-de-France
Crédit Coopératif
M.
KATHRADA
Idriss
Ile-de-France
NOVASIRHE
M.
M.
BAPST
MILLET
Claude
Bertrand
RACINE
CNASEA
M.
ALCOVERE
Raymond
Ile-de-France
Ile-de-France
LanguedocRoussillon
LanguedocRoussillon
LanguedocRoussillon
FEVRIER
GRISONI
Mme OLIVE-LIGER
Isabelle
M.
Jean-Philippe
BROSSARD
CCI
Préfecture de région
DRTEFP
Conseil régional
Responsable affaires
européennes
Responsable
communication
Directeur
Chargé de communication
Chargé de communication
et des publications
Responsable
communication
Directeur
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
Annexe
Liste des participants du
Séminaire "Objectif COM : 2007-2013"
Etat
civil
Nom
Prénom
Région
Mme SARDA VERGES
Claire
LanguedocRoussillon
Mme JUNG
Sandra
Limousin
M.
Organisme
ADRET - Europe Direct
SGAR
Fonction
Directrice
Email
[email protected]
Jean-Claude
Limousin
SGAR
Assistante de gest° Cellule
Europe
Cellule Europe
Mme PICOT
Sophie
Limousin
Préfecture Haute-Vienne
Chargée de communication [email protected]
Mme SAUVIAC
Mme TAMARIT
Mme VIGNAUD
CATALIFAUDMme
RICOUARD
Frédérique
Sophie
Florence
Limousin
Limousin
Limousin
DRTEFP
DRTEFP
DRAF
Chargée de mission FSE
Chargée de mission
Chargée de mission
Hélène
Limousin
DRAF
M.
BUCHET
David
Limousin
Conseil régional
M.
ARTHAUD
François
Lorraine
SGAR
Mme CROMBECQUE
Chantal
Lorraine
SGAR
Mme AIGUIER
Annie
Lorraine
DRTEFP
Mme BECK-EBERSOLD
Bernadette
Lorraine
Conseil régional
Mme GOICOECHEA
Irache
Lorraine
Conseil général
Chargée de mission Europe [email protected]
M.
DOUE
Mme TOUATI
Rémy
Nora
Lorraine
Martinique
C.R.I.S.T.E.E.L.
DTEFP
Chargé de mission
Chargée de communicat°
[email protected]
[email protected]
Mme MALAVAUD
Hélène
Midi-Pyrénées
SGAR
Chargée d'études
[email protected]
Mme KAUZMAN
Audrey
Nord-Pas-de-Calais SGAR
Chargée de mission
[email protected]
Mme TOMBEUX
Astrid
Nord-Pas-de-Calais Préfecture du Nord
Chef du bureau de la
communication
[email protected]
M.
Philippe
Nord-Pas-de-Calais DRTEFP
Responsable cellule FSE
[email protected]
Mme ZAPPALA
Véra
Nord-Pas-de-Calais Conseil régional
Chargée de mission
[email protected]
M.
FRIMAT
Jérôme
Nord-Pas-de-Calais Conseil régional
Chargé de mission
[email protected]
Mme MEERSSEMAN
Isabelle
Nord-Pas-de-Calais C2RP ATR NPC
Responsable pôle Europe
[email protected]
M.
ANGELIBERT
Christophe
PACA
SGAR
M.
BARRACO
Anthony
PACA
DRTEFP
Mme BROUILLET
Caroline
Pays-de-la-Loire
Préfecture de région
Mme BARBEREAU
Maryse
Pays-de-la-Loire
Préfecture de région
Pays-de-la-Loire
Préfecture Loire-Atlantique
LUC
OUCHEN
M.
GERARDOT-PAVEGLIO Alain
M.
BOSSON
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
Responsable Mission
Europe
Chargé de communication
Adjointe au chargé de
communication
Responsable cellule FSE
Responsable cellule fonds
structurels
Adjoint au chargé de
mission Europe
Chef de service
Chef du bureau de la
programmation et des
interventions financières
Chargée d'études
Service communicat°
interministérielle
Chargé de mission FSE
Chef du service Europe DRESTE
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
Jean-Philippe
Pays-de-la-Loire
DRTEFP
Mme CAILLAULT
Fabienne
Pays-de-la-Loire
Conseil régional
Mme PIERDET-SOUVERAIN
Marielle
Picardie
SGAR
Chargée de mission Europe [email protected]
Mme BOVE
Catherine
Picardie
SGAR
Chargée de communication [email protected]
Mme DEGOUY
M.
PAJOT
M.
LELEU
Colette
Eric
Dany
Picardie
Picardie
Picardie
SGAR
DRTEFP
DRTEFP
Webmestre
Cellule FSE
Chargé de communication
Mme BRICOUT
Nicole
Picardie
DRDAF
Chargée de communication [email protected]
M.
Domenico
Picardie
DRDAF
Chargé de mission
[email protected]
Marthe
Picardie
DRTEFP
chef du service FSE
[email protected]
MENNA
Mme CAROLE
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
Nicolas
Picardie
Conseil Régional
Mme DELPECH
Erika
Picardie
Conseil Régional
M.
VASSEUR
Mme BORLA
Jean-François
Emmanuelle
Picardie
Picardie
Europe Direct Picardie
Europe Direct Picardie
Mme BEAU
Sandrine
Poitou-Charentes
SGAR
M.
BARAY
Charles
Poitou-Charentes
SGAR
Responsable
communication
Chef de projet des prog.
Européens
Président
Directrice
Responsable des prog.
européens
Stagiaire pôle Europe
M.
CHALANDON
David
Poitou-Charentes
Préfecture - Vienne
Assistant technique FEDER [email protected]
M.
LESAICHERRE
Benoît
Poitou-Charentes
DRTEFP
Chargé de mission
M.
LAIGNIER
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
Annexe
Liste des participants du
Séminaire "Objectif COM : 2007-2013"
Etat
civil
Nom
Prénom
Région
Organisme
Mme SAILLY
Anne
Poitou-Charentes
DRTEFP
M.
Christian
Poitou-Charentes
DRTEFP
Mme GARCIA
Véronique
Poitou-Charentes
DRAF
M.
BROSSARD
M.
DUFOUR
Mme SECCHI
Samuel
Stéphane
Jiannina
Poitou-Charentes
Poitou-Charentes
Réunion
Conseil Régional
CARIF
SGAR
Louis
Réunion
DDTEFP
Chamina
Réunion
Conseil régional
M.
BURGARD
MAZARI
Mme BANA
Fonction
Directrice régionale
déléguée responsable
mission FSE
Chargé de communicat°
Chargée de mission prog.
Européens
Chargé de mission
Chargé de communicat°
Chargée de communicat°
Directeur adjoint du pôle
affaires régionales
Email
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
chamina.bana@cr-guadeloupe
Point de contact espace
alpin
Mme PARIS
Céline
Rhône-Alpes
SGAR
Mme GORDO-PAQUIER
M.
GALIERE
M.
BADIOU
Karine
Pierre
Laurent
Rhône-Alpes
Rhône-Alpes
Rhône-Alpes
SGAR
SGAR
DRTEFP
Attaché de mission
Responsable cellule FSE
Mme PATTEIN
Evelyne
Rhône-Alpes
DRTEFP
Chargée de communication [email protected]
Mme GASTALDI
Marie
Rhône-Alpes
Conseil Régional
Chargée de mission
Mme DE RICHEMONT
Laurence
UE
Représentation de la Commission
européenne en France
Chef de représentation
adjoint
Rapporteur Unité FranceDirection générale de la
politique régionale
M.
NIGRI
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
Luigi
UE
Commission européenne
Mme de VALLOIS
Fée
UE
Représentation de la Commission
européenne en France
[email protected]
Mme LAMBOCEY
Justine
UE
Représentation de la Commission
européenne en France
[email protected]
M.
HUET
Guillaume
National
Représentation permanente de la
France quprès de l'UE
M.
ALBERTINI
Jean-Benoît
National
DIACT
M.
GASTAMBIDE
Marc
National
DIACT
M.
GIVELET
Xavier
National
DIACT
M.
M.
M.
Mme
Mme
Mme
KUJACIC
PENNEQUIN
PIVETEAU
KOUBSKA
KOLEVA
MARCORI
Vasilije
Gilles
Vincent
Pavlina
Jana
Claude
National
National
National
National
National
National
DIACT
DIACT
DIACT
DIACT
DIACT
DIACT
Anne-Claire
National
DIACT
Mme JUCOBIN
M.
BOREL
Patrice
National
M.
WAJSBROT
Régis
National
Mme MEGARD
Dominique
National
Mme JEREMIASZ
Dominique
National
Mme BOUAZIZ
Patricia
National
Mme VAILLANT
Elisabeth
National
Mme FLORENTIN
Brigitte
National
M.
OSANNO
Marc-Denis
National
M.
SENN
Laurent
National
GUY
Miyako
National
RACK
Claude
National
Mme DEVAUX
Catherine
National
Mme ALLORY
Dominique
National
M.
Ministère de l'Emploi, de la
Cohésion sociale et du Logement
Ministère de l'Emploi, de la
Cohésion sociale et du Logement
CAP 'Com
Ministère de l'Emploi, de la
Cohésion sociale et du Logement
Ministère de l'Emploi, de la
Cohésion sociale et du Logement
Ministère de l'Emploi, de la
Cohésion sociale et du Logement
Ministère de l'Intérieur et de
l'Aménagement du territoire
Ministère de l'Emploi, de la
Cohésion sociale et du Logement
Ministère de l'Emploi, de la
Cohésion sociale et du Logement
Ministère de l'Emploi, de la
Cohésion sociale et du Logement
Ministère de l'Emploi, de la
Cohésion sociale et du Logement
Ministère de l'Emploi, de la
Cohésion sociale et du Logement
Ministère de l'Emploi, de la
Cohésion sociale et du Logement
Chargé de mission
Directeur, adjoint au
Délégué
Conseiller Affaires
européennes
Conseiller responsable
coopération internationale
Chargé de mission
Chargé de mission
Conseiller
Chargée de mission
Equipe Europe
Chargée de mission
Chargée de mission
Communicat°
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
Chef de service DGEFP
Chargé de mission DGEFP [email protected]
Déléguée générale du
réseau de communication [email protected]
publique Cap'Com
Chargée de mission
[email protected]
DGEFP
Chargée de mission
[email protected]
DGEFP/FSE
Chargée de mission
[email protected]
DGEFP
Chargée de mission
[email protected]
FEDER
Chargé de mission DGEFP [email protected]
Dpt FSE
Chef de mission adjoint
[email protected]
DGEFP - Dpt FSE
Chargé de mission DGEFP [email protected]
Dpt FSE
Chef de la divis° intervent°
[email protected]
nationales
Chargée de mission
[email protected]
DGEFP
Adjoint communication
[email protected]
externe
Annexe
Liste des participants du
Séminaire "Objectif COM : 2007-2013"
Etat
civil
Nom
Mme DELMAS
M.
Prénom
Région
Lucette
National
NESTOR
Dominique
National
de PONCINS
Etienne
National
Organisme
Ministère de l'Emploi, de la
Cohésion sociale et du Logement
Ministère de l'Emploi, de la
Cohésion sociale et du Logement
Ministère déléguée aux affaires
européennes
Fonction
Mission Communication DGEFP
Email
[email protected]
Chef de projet à la DICOM [email protected]
Directeur de Cabinet
Mme MORA
Fernanda
National
RACINE
Responsable de la mission
communication et
capitalisation
M.
MOULINIER
Alain
National
Ministère de l'Agriculture et de la
Pêche
Directeur général de la
forêt et des affaires rurales
M.
MAURER
Luc
National
Ministère de l'Agriculture et de la
Pêche
Chef secteur appui régional
[email protected]
et contractualisation
M.
GAUTHIEZ
François
National
Sous-directeur des pêches
maritimes
Giordana
National
Frédéric
National
Mme DORMOY
Michèle
National
M.
Eric
National
Mme LLEDO
Marie-José
National
Mme BLANCHARD
Maguy
National
Mme MARILLIER-HUBY
Claire
National
M.
KOLLELA
Patrick
National
Ministère de l'Agriculture et de la
Pêche
Ministère de l'Agriculture et de la
Pêche
Ministère de l'Agriculture et de la
Pêche
Ministère de l'Agriculture et de la
Pêche
Ministère de l'Agriculture et de la
Pêche
Ministère de l'Agriculture et de la
Pêche
Ministère de l'Agriculture et de la
Pêche
Délégation à l'information et à la
communication des ministères en
charge de l'emploi et de la santé
SGAE
BRUNHES
Pierre
National
Ministère de l'Outre-Mer
Mme AFLALO
Myriam
National
Ministère de l'Outre-Mer
Mme BARIL
Geneviève
National
Ministère de l'Outre-Mer
Mme DIDIER
Emilia
National
Ministère de l'Outre-Mer
Mme TRILLON
Titaina
National
Ministère de l'Outre-Mer
M.
FLORIDIS
Christos
National
Ministère de l'Outre-Mer
M.
LEFEVRE
Luc
National
Laura Eléna
Roumanie
Mme MAURIN
M.
M.
LAMBERT
BARDON
M.
MIHAI
Constantin Viorel Roumanie
M.
M.
RIGOTTI
DUPEYRON
Luc
Alain
Belgique
National
Caisse des Dépôts et des
Consignations
Ministère de l'Education et de la
Recherche
Ministère de l'Education et de la
Recherche
Ministère de la Région Wallonne
France 3
M.
HENRIOT
Marc Etienne
National
UBIFRANCE
Mme MARINAS
[email protected]
Chargée de mission
[email protected]
Chef de la mission Europe
et régions
[email protected]
Chargée de communication [email protected]
Délégué à l'information et à
la communication
DPMA - Bureau de la
[email protected]
pisciculture
Chef mission gestion des
[email protected]
fonds structurels - DPMA
Chef du bureau des relat°
avec la presse
Adjoint politique régionale
Sous-directeur des affaires
économiques
Chef du Dpt des affaires
européennes
Chargée de mission - Dpt
aff. europ.
Chargée de mission - Dpt
aff. europ.
Chargée de mission - Dpt
aff. europ.
Chargé de mission - Dpt
aff. europ.
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
Représentation permanente [email protected]
Directeur
Coordinateur informat°
communicat°
Attaché
Responsable formation
Veille - Direct° de
l'Information
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
Annexe