dossier de presse

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SOMMAIRE
 La manifestation Ciné&Zik
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 18 juillet 2014 : les Blues Brothers
P4
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Switch
Les Blues Brothers
 8 août 2013 : Ambiance « Antillaise »
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P8
Fwegat
30° Couleurs
 Nos partenaires
P12
 Annexes
P13
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Ciné&Zik 2014
Depuis trois saisons, Ciné&Zik
dresse des ponts entre cinéma et
musique. Par des pays, de la
Jamaïque à l’Italie ; par des
artistes, de Ray Charles à Claude
François. Deux formes d’art qui se
complètent le temps d’une soirée,
autour d’un même thème.
Cette année, Ciné&Zik s’intéresse
aux artistes d’un univers de
cocagne, créé par deux trublions
du petit écran : les Blues Brothers,
figures récurrentes d’un talk-show
américain, rendus célèbre dans nos
contrées par un film devenu culte.
Le 18 juillet, chapeaux et lunettes
noires seront de sortie pour une
soirée rythmée par les grand
standards du rythm’n blues, que reprendront les musiciens du groupe
Switch, avant la projection du chef d’œuvre de John Landis.
L’ambiance gagnera en chaleur le 8 août avec une soirée antillaise. Les
notes ensoleillées de Fwegat emmèneront le public vers l’histoire de
30° Couleurs.
Rendez-vous le 18 juillet et le 8 août pour les deux nouveaux
voyages Ciné&Zik, sans œillères et sans frontières !
Le départ se fera Place de la Mairie à partir de 20h30 !
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Les Blues Brothers
Lunettes noires, chapeaux noirs, costumes noirs, mines de croquemort, sens inné du
rythme…Les Blues Brothers font partie du paysage culturel
Mais qui sont-ils, au juste ?
Issus de l’imagination des comédiens John Belushi et Dan Aykroyd, les deux frères Blues,
respectivement Jake et Elwood, ont animé de mémorables soirées du Saturday Night Live,
show célèbre aux Etats Unis. Tout d’abord costumés en abeilles (!), en continuité des
premiers sketchs des deux compères, ils prennent plus tard leur look définitif, inspiré de celui
de John Lee Hooker. Le duo atypique séduit rapidement le public. Aidée par le succès, la
réalité se mêle peu à peu à la fiction et en 1978 sort Briefcase Full of Blues, premier album
des Blues Brothers. Les Blues Brothers sont alors un groupe à part entière et musicalement
pointu, composé, outre Dan Aykroyd et John Belushi, de pointures telles Steve Cropper
(guitare, avec Otis Redding), Donald Dunn (bassiste, avec Muddy Waters ou Eric Clapton) ou
Tom Malone (cuivres, avec Frank Zappa). Quant à Briefcase Full of Blues, il devient disque
de platine.
L’univers des Blues Brothers trouvera une juste déclinaison sur grand écran en 1980, sous la
caméra de John Landis. Via un scénario échevelé, le réalisateur d’Hamburger Film Sandwich
et du Loup Garou de Londres envoie les frères bougons en « mission pour le Seigneur », dans
une œuvre délirante faisant la part belle aux cascades automobiles (le film a longtemps détenu
le record du plus grands nombres de véhicules détruits à l’écran), aux figurants de luxe et bien
sûr, aux chansons d’une BO devenue indissociable. « Everybody needs somebody… »
Sortent dans la foulée la bande originale et Made in America, troisième album de la bande de
Jake et Elwood.
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L’état de grâce durera jusqu’en 1982, qui voit la mort de John Belushi. Un événement
tragique qui marquera logiquement la fin des Blues Brothers. Après une longue pause, les
musiciens originels tenteront malgré tout de faire revivre le groupe à partir de 1988. S’en
suivent une tournée mondiale et quelques albums, entrecoupés de « live » et de « best of »,
auxquels Dan Aykroyd participe sporadiquement. Les années 90 voient en outre l’arrivée d’un
jeu vidéo, plutôt bien accueilli par la critique et calqué sur les péripéties du premier film. John
Landis lui-même donnera une suite tardive à son film, John Goodman complétant alors le
duo. Si l’aura du groupe semblait jusqu’alors intacte, le succès est toutefois moindre et la
qualité controversée, quand bien même les ingrédients du premier opus sont toujours là.
Malgré les années, les Blues Brothers sont toujours dans les cœurs. Ils seront mis
à l’honneur le vendredi 18 juillet à Turckheim, Place de la Mairie, à partir de
20h30. Le groupe Switch ouvrira la soirée en interprétant leurs tubes, avant la
diffusion du film de John Landis, toujours apte à conquérir une nouvelle
génération.
Blues Brothers and guests
Le film les Blues Brothers doit également son succès à un défilé de cameos, pour la plupart issus de la soulmusic ou du blues. James Brown campe ainsi un révérend possédé par son propre gospel le temps d’un office
survolté. Ray Charles, tenancier d’un magasin de musique, fait danser toute la rue par la seule force de son
piano. Femme de caractère, Aretha Franklin tient son restaurant -et son mari- d’une main de fer. Dans le rôle de
Curtis, mentor de Jake et Elwood, Cab Calloway interprète son tube Minnie the Moocher lors du spectacle final.
Blues Brothers 2000 lui sera dédié, tout comme à John Belushi. Juste retour de chose, on peut enfin apercevoir
John Lee Hooker en musicien de rue, à la Nouvelle Orléans. Mais John Landis avait lui-même ses « têtes » : en
ce début d’année 80 où tout ou presque tourne autour de Star Wars (l’Empire contre-attaque vient de sortir),
Carrie Fisher, éternelle Princesse Leila, campe une amoureuse transie adepte du lance-roquette pendant que
Frank Oz (créateur de maître Yoda) rend les effets personnels de Jake Blues à sa sortie de prison. Dans les habits
d’un petit employé du fisc, nous retrouvons également Steven Spielberg, enregistrant le versement qui sauvera
l’orphelinat. John Landis lui-même s’octroie le rôle d’un militaire.
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Switch
Composé de sept musiciens, Switch réinterprète de grands standards américains,
italiens, d’Edith Piaf à Sinatra, mais aussi des reprises pop-rock. Groupe
autoproclamé « à la carte », Switch s’adapte à tous les événements. Le 18 juillet
à 20h30, Switch saura vous entraîner dans l’univers des Blues Brothers !
Sébastien KANMACHER
Chant, Guitare,
Percussions
Stéphano
Guitare
Muriel
Chant
Freddy
Guitare
Laura
Miss Alsace 2013 !
Piano, Claviers
Laurent
Basse
David
Guitare
Antony
Batterie
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Les Blues Brothers
Dès sa sortie de prison, Jake Blues est emmené par son frère Elwood chez Soeur Mary
Stigmata, qui dirige l'orphelinat dans lequel ils ont été élevés. Ils doivent réunir 5 000 dollars
pour sauver l'établissement, sinon c'est l'expulsion.
Retrouvez le film culte de John Landis le 18 juillet, après le concert de
Switch, à la tombée de la nuit !
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Ambiance antillaise
A l’opposé des rues sombres de Chicago, le deuxième voyage Ciné&Zik nous entraîne vers la
chaleur des Antilles.
L’histoire des Antilles renvoie aux grandes découvertes. Jusqu’au XVème siècle, l’Océan
Atlantique n’est sur les cartes maritimes qu’une vaste étendue vierge jusqu’aux Indes, à
l’exception notable d’une petite île nommée Antillia. Prétendument située à mi-chemin des
deux continents, cette île mystérieuse aurait servi de refuge à sept prêtres fuyant l’Espagne de
l’invasion maure en 743. La légende se mêlant aux récits de marins, le roi du Portugal
Alphonse V missionnera même plusieurs expéditions pour trancher la question. Lorsqu’il
entreprend son premier voyage en 1492, Christophe Colomb lui-même aurait embarqué à son
bord une carte indiquant « Antillia», point de repère pour sa Route des Indes.
Carte du XVème siècle de l’astronome Paolo Toscanelli. Entre L’Afrique et « Mangi » (la Chine), l’île
« Antillia». Sont représentées également les îles « Cipangu », soit le Japon …
Si l’île légendaire devait le rester, Colomb, à la recherche des Indes, n’en découvrit pas moins
l’équivalent des Bahamas, pensant alors accoster au Japon ! De 1492 à 1505, le même
Christophe Colomb mouille à Cuba, en Jamaïque, à Haïti, en Martinique, à la Grenade…Il
restera néanmoins persuadé, jusqu’à la fin de sa vie, avoir effectivement trouvé les Indes
Occidentales ou leur proximité. C’est en 1516 que les Antilles trouvent leur nom par le biais
de Pierre Martyr de Milan, précepteur des enfants de Christophe Colomb. Les Antilles
désignent alors les îles découvertes par Colomb dans la foulée d’Hispaniola (devenue depuis
St Domingue). Parallèlement, les Indes Occidentales deviennent un Nouveau Monde à part
entière : l’Amérique.
Aujourd’hui, les Antilles rassemble l’ensemble des îles des Caraïbes…mais en France, elles
n’en désignent généralement que les îles françaises : la Martinique, la Guadeloupe, MarieGalante, la Désirade, les Saintes, Saint-Martin et Saint-Barthélemy. De petite île-fantôme à
vaste colonie, l’histoire des Antilles, où l’on parle pêle-mêle espagnol, anglais, français,
créole voire tamoul, témoigne d’une identité troublée.
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Une identité troublée que l’on retrouve au cœur de la musique antillaise, où la
clarinette rejoint le djembé et les joyeuses percussions l’héritage du commerce
triangulaire. Le groupe Fwegat transmettra cet esprit festif et pourtant si
particulier le 8 août, à l’occasion d’une soirée à l’ambiance antillaise. Soirée qui
se poursuivra avec une autre quête d’identité, celle du film 30° Couleurs, où un
expatrié des îles quitte la métropole à la faveur d’un événement tragique pour
finalement retrouver ses racines.
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Fwegat
Fwegat', oiseaux marins ou voiliers voguant vers les Caraïbes, c'est l'histoire de 5 musiciens
Afro-Antillais, tous animés par la même passion : « la musique aux couleurs de leurs racines
: zouk, reggae, latino, soca, soukous... tous ces rythmes si entrainants des Caraïbes et de
l'Afrique ! »
Voici quelques temps déjà que le groupe se produit sur les scènes de l'Est de la France et
Outre-Rhin, toujours avec le même succès...
Que ce soit à la Foire Aux Vins de Colmar avec Kassav', au Festival Babel de Strasbourg, au
Festirock de Mutzig, Amalgammes de Wittenheim... ou Afrikan Fire de Fribourg, Fwegat' fait
vibrer les foules et crée l'ambiance !
Joyeusement zouk, reggae, soca, compas, latino ou soukous, la musique de Fwegat' est
saupoudrée d'une bonne couleur funk aux accents créoles ! Les compositions de Fwegat'
oscillent perpétuellement entre Musique des Caraïbes et d'Afrique ! Une musique pleine de
vitalité, de joie de vivre et de soleil ! Fwegat' joue des hits connus du zouk, du reggae... mais
aussi des compositions personnelles, essentielles pour la créativité du groupe...
Alex, de la Réunion : une présence haut de gamme à la batterie et au chant !
Chris Koutenay, de la Martinique, bass guitar : le « Family Man » du groupe au jeu sobre et
efficace, toujours disponible pour donner des « positives vibrations » !
Sylvain, de l'Inde, keyboard, nous invite par la chaleur et le soleil indien à un paysage
musical aux couleurs du monde !
Stan Miloch, de la Martinique, percussions, chant : quelque-soit l'univers musical, il sait vous
distiller des percus'... à consommer sans modération !
Alain Koutenay, de la Martinique, "Mister Karaïbo", le métronome du groupe :
la puissance et les vibrations de sa guitare nous emmènent des rythmes endiablés aux balades
africaines... Embarquement immédiat pour un voyage "muy caliente" !
Retrouvez Fwegat le 8 août sur la Place de la Mairie, à partir de 20h30 !
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30° Couleurs
Patrick est un homme rigoureux et borné. Elève brillant aux Antilles, sa mère l'a envoyé à
l'âge de dix ans pour faire ses études en "France". 30 ans plus tard, il est devenu un historien
réputé et fier. Coupé de sa famille et de ses traditions, il s'est intégré au point d'en avoir
oublié ses racines... Un noir devenu "blanc à l'intérieur"... Apprenant que sa mère est sur le
point de mourir, il part en urgence pour la Martinique, avec sa fille unique, et y débarque en
plein carnaval. Durant trois jours, accompagné de son ami d'enfance, l'irrésistible Zamba, il
va être emporté dans un tourbillon de folie, d'émotion, d'humour et de situations
rocambolesques.
Un voyage initiatique rythmé par l'ambiance et les couleurs du carnaval. Trois jours qui vont
changer sa vie.
A la tombée de la nuit, découvrez ou redécouvrez ce film drôle et tendre de Lucien JeanBaptiste et Philippe Larue.
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