Dossier pratique – l`identification du linge en blanchisserie

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Dossier pratique – l`identification du linge en blanchisserie
Dossier pratique – l’identification du linge en blanchisserie – avril 2014
Comment construire l’architecture informatique du suivi du linge en blanchisserie
Questions les plus couramment posées par les clients – Q/R
Q : La norme RABC oblige-t-elle à marquer le linge ?
R : Non. La traçabilité que propose la norme RABC concerne essentiellement les actes d’hygiène, de
nettoyage et comportementaux. La traçabilité sur le linge est une traçabilité comptable, parfois
contractuelle (exigée par le client), parfois pédagogique (pour guider des adultes en situation de
handicap) mais en aucun cas normative.
Q : Quels sont les supports de marquage les plus adaptés aux blanchisseries ?
R : Tout dépend naturellement de la taille de la blanchisserie. Dans les blanchisseries qui traitent
plusieurs tonnes de linge par jour (Groupes ELIS, BULLE DE LINGE) des systèmes automatiques de
lecture sous portique permettent de lire des lots entiers de linge (Puces) sans avoir à contrôler chaque
article à l’arrivée. Dans les blanchisseries de tailles plus modestes, les supports de marquage les plus
usités sont les suivants :
Codes à barres
Codes à points (2D)
Gommettes de couleur
Le code à barres
C’est le plus ancien des supports de marquage, le plus connu, le plus
courant. Il a comme avantage de permettre une lecture rapide avec un
renvoi visuel, lumineux ou sonore qui permet d’identifier la prise en
charge de l’article reçu. Il a comme inconvénient une lecture difficile
voire impossible quand deux barres sont collées (par des déjections
naturelles par exemple) ou quand l’étiquette est altérée par de
nombreux lavages.
Le code à points
Il a pour avantage principal de permettre une lecture parfaite de l’article
même si une partie de l’étiquette n’est pas lisible pour les raisons
évoquées précédemment. Il a pour autre avantage de proposer des
étiquettes plus petites, donc moins dérangeantes pour le porteur.
La gommette de couleur
Elle est utilisée essentiellement en ESAT, elle permet, en cas de
difficultés de lecture ou d’interprétation, de connaitre, à défaut du
porteur, au moins le client ou le pavillon de livraison. Elle s’ajoute
souvent à l’un des deux supports évoqués précédemment
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Q : Où doit-on coller par pression thermique le support d’identification ?
R : Généralement à un endroit qui n’agace pas l’épiderme par frottement. Généralement l’identification se
fait sur :
la ceinture interne pour tous les articles « à jambes »
l’encolure interne pour tous les articles « à manches »
le talon pour les articles « de pieds » ou l’intérieur du jersey aux mollets
à deux coins opposés pour tous les articles plats (pour pouvoir lire quelque soit le mode de pliage)
sur la poche poitrine pour les tenues professionnelles (secteur médical)
Ne jamais coller l’étiquette sur la vignette de taille ou de composition textile. Elles sont souvent
coupées par les porteurs faisant alors disparaitre l’identification.
Q : Comment fixe-t-on une étiquette quand la fibre qui la reçoit n’accepte pas le thermocollage ?
R : On thermocolle l’identification sur un morceau de galon qui sera cousu sur l’article (le galon est une petite
bande de tissu le plus souvent en coton ou poly coton)
Q : Quel genre d’étiquettes choisir ?
R : De nouvelles générations d’étiquettes apparaissent qui se thermo fondent sur la trame textile, évitant
ainsi toute sur épaisseur qui attente au confort du porteur.
Q : Pourquoi souvent les étiquettes se décollent et/ou l’encre pâlit et devient moins lisible.
R : Les étiquettes se décollent quand on ne respecte pas le temps de thermocollage – c’est le fournisseur qui
vous indique les bonnes temporisations selon la conception des matériels qu’il vous propose. En ce qui
concerne le maintien de l’encre dans le temps, deux raisons séparées ou cumulées expliquent l’altération :
vous avez acquis une machine dont l’encre est de mauvaise qualité
la blanchisserie propose une chimie de lavage trop agressive
Q : Quels sont les matériels qui permettent la lecture des supports d’identification ?
R : Il y a trois grandes catégories de supports de lecture
les points fixes de lecture
les douchettes fixes ou mobiles
les bagues lectrices
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Les points fixes de lecture
Comme sur le tapis de la caissière au supermarché, une fenêtre lumineuse
reçoit le lecteur. En passant l’article sur cette « fenêtre » on lit l’identité
du porteur et les caractéristiques de l’article. L’avantage est que
l’opérateur dispose de ses deux mains pour présenter l’article à la lecture,
l’inconvénient c’est que l’opérateur est captif de la zone de lecture, tous
les articles devant s’y présenter, ce qui ne favorise pas la fluidité du poste
de travail
Les douchettes fixes ou mobiles
Elles sont pratiques, fixes sur un socle ou mobiles en mains, pour la lecture
des articles textiles ; simplement quand on doit lire un article dont le code
à barres est altéré, elles ne favorisent pas la préhension de l’article pour
une parfaite présentation devant le lecteur laser. Pour éviter qu’elles
tombent dans le linge, quand elles sont mobiles, elles doivent être
équipées d’une jugulaire attachée au poignet de l’opérateur.
Les bracelets lecteurs
Ils sont parfaits puisqu’ils laissent une parfaite autonomie à l’opérateur
pour la lecture des articles à identifier.
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Q : Le marquage du linge – où – comment ?
R : nous distinguons deux situations spécifiques. 1) le marquage en blanchisserie pour les nouveaux
arrivants ou pour des articles neufs non encore identifiés. Dans ce cas précis, le linge non marqué est
transféré en blanchisserie dans un filet de lavage. En blanchisserie il sera lavé dans le filet (même si
l’article est neuf) ou sorti du filet et identifié temporairement avec un ticket pressing. Ensuite, en zone
de finition, quand l’article aura été lavé et séché, il sera identifié comme l’indique le mode opératoire
à suivre. Nota : n’identifiez jamais un article en zone de tri du linge sale. 2) il s’agit d’un marquage
massif, de tout un établissement par exemple qui souhaite vous confier le traitement de son parc
textile et notamment les vêtements des personnes hébergés. Dans ce cas, idéalement, le marquage
doit se faire dans l’établissement, trousseau par trousseau. Seuls les articles que le résident porte sur
lui au moment du marquage ne sont pas identifiés. Ils le seront un peu plus tard quand celui-ci les
aura quittés et qu’ils auront été lavés. Cette démarche visant à tout marquer en une seule fois doit
être préparée avec les familles et les résidents eux-mêmes pour qu’elle ne soit pas vécue comme une
forme de dépersonnalisation d’articles auxquels ils sont souvent et légitimement très attachés.
L’établissement met à la disposition des personnels retenus pour le marquage un local distinct mais
facile d’accès y compris pour les résidents valides qui souhaiteraient observer l’opération.
Les matériels nécessaires pour l’identification du linge sont :
Code barres ou code
points
Nom du porteur
Gommette de couleur
Etablissement ou UF
Douchette
Thermo colleuse
Support informatique
Il faut compter environ deux heures par trousseau pour effectuer un marquage de qualité et profiter
de cette opération pour faire le tri du parc textile proposé et rendre aux familles les articles trop usés
ou dont les fibres sont incompatibles avec un traitement en blanchisserie (manteaux à doublure collée
– articles en peaux et en cuir) Pour les articles en pure laine, le marquage est possible en collant
l’étiquette sur un morceau de galon qui sera cousu soigneusement sur l’article. Cependant dans ce cas
particulier, il faut vérifier que la blanchisserie soit bien équipée pour traiter ce genre de fibres. En règle
générale et en moyenne, un trousseau comprend environ 120 pièces.
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Etapes du processus
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Collectez le trousseau du résident, articles propres
pour un premier contrôle qualité et état général.
Mettre de côté les articles qui ne pourraient pas être
traités en blanchisserie. Noter les articles qui sont à
réparer (boutons, ourlets, etc.)
Comptabilisez le nombre d’articles pour connaitre le
nombre d’étiquettes à éditer. Pour simplifier la pose
des étiquettes, vous pouvez classer les articles par
forme ou par catégorie. (Sous-vêtements,
chaussettes et bas, pantalons, robes, chemises de
nuit, etc.)
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Editez les étiquettes en faisant très attention à
l’orthographe du nom de famille du résident. Les
deux premières lettres du prénom peuvent suffire
mais vous pouvez aussi l’écrire en entier. Imprimez
10 étiquettes de plus, à toutes fins utiles. Elles seront
rangées dans un sachet plastique dans un classeur
alphabétique
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Thermocollez l’étiquette et la gommette. Ne collez
pas l’étiquette sur les vignettes de taille ou de
composition textile car souvent elles sont coupées.
Respectez le temps de pression et la température
que vous indiquera le fournisseur de la machine à
thermocoller.
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A l’aide du pistolet lecteur, fixe ou mobile, lisez le
code à barres ou à point. L’écran de l’ordinateur va
afficher l’identité du porteur que vous allez ensuite
renseigner.
Ce qui doit être indiqué, par porteur
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type d’article
couleur dominante
uni, carreaux ou motifs
programme de lavage (température)
programme de finition (repassage, séchage
rapide ou séchage lent en fonction de l’épaisseur
de la fibre)
L’identification du linge personnel est une démarche essentielle au bon fonctionnement de la
blanchisserie mais délicate car en lien direct avec la propriété du porteur. Elle est plus simple quand il
s’agit de marquer du linge « maison » comme des draps, des éponges, des couvertures. L’identification
des tenues professionnelles procède de la même logique même si les marquages sont plus souvent
situés sur la poche poitrine de la blouse ou de la tunique. Les étiquettes peuvent se décoller en
appliquant à nouveau la thermo colleuse sur la marque, à une température supérieure à celle qui a
servi à la fixer. Cela peut être utile quand une tenue professionnelle est réaffectée ou quand le
vêtement d’un résident décédé est affecté à un autre résident dont le trousseau est plus modeste.
Dans les établissements de petite taille, le marquage NOM PRENOM et PAVILLON peut suffire sans
forcément y ajouter le code à barres ou à points. Mais dans ce cas, la blanchisserie doit parfaitement
connaitre les fibres pour retenir le lavage et la finition adaptés. Une gommette de couleur peut
rappeler le lieu de destination.
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Q : Pourquoi ne jamais lire ou saisir du linge sale en zone de tri ?
R : il y a plusieurs raisons à cela. Tout d’abord, c’est sale !! Quand il faut lire toute la journée des articles
très tachés (sang, selles, urines, vomissures, etc.) on ne peut pas dire que cela soit très gratifiant,
d’autant que les étiquettes maculées sont difficiles à lire. D’autre part, quand on lit un article au sale,
on le relit ensuite au propre. On fait donc un autocontrôle. Mais entre le linge sale et le linge propre,
il y a des machines à laver, pas des plantes carnivores… Le linge qui entre en machines en ressort
forcément. D’aucuns vous diront : « vous avez comme ceci la preuve que le linge est bien entré en
blanchisserie » Oui et alors ! Si in fine le livreur s’est trompé de paquet, vous pourrez toujours dire que
vous l’avez bien rentré et même lu en sortie, le client ne l’aura tout de même pas reçu. Sans parler du
client qui a reçu cet article mais qui vous dit ne pas l’avoir eu. J’ajoute que bien souvent des articles
échappent à la lecture au sale quand par exemple un sous-vêtement reste coincé dans un pantalon.
D’autres vous diront que la lecture au sale permet de savoir quand le client est fini. Oui sauf que très
souvent il y a du linge à relaver avant expédition. Heureusement que dans ce cas qu’on n’attend pas
le lendemain pour préparer la livraison.
Il y a une deux exceptions à ce qui précède.
Certains Groupes (PERRIER – ERDF) exigent une lecture au sale et une lecture au propre pour
contrôler le taux de change des porteurs et le temps d’inertie en blanchisserie. C’est acceptable
car ces articles textiles ne proposent pas des salissures du même type que des vêtements d’EHPAD
ou de MAS.
En ESAT, certains éléments de niveau très bas se font aider d’une lumière qui s’allume au dessus
du chariot qui recevra le linge à laver. La lumière indique le programme de lavage et de finition.
Cependant, par expérience, même des éléments très handicapés réussissent assez vite à assimiler
les quelques programmes de lavage qu’on retrouve couramment en blanchisserie et n’utilisent
plus les douchettes indicatrices de couleur après quelques mois de fonctionnement.
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Q : Comment organise-t-on la lecture en zone de finition ?
R : Généralement on lit un article textile après son pliage, au moment de sa préparation à la livraison.
Souvent, on retrouve les articles textiles aux extrémités des tables de pliage. Ils sont pris en charge par
un opérateur qui va les ranger dans le casier correspondant. Le casier peut se signaler par un signal
sonore qui annonce le numéro de l’article ou par une lumière (ou les deux)
Q : Faut-il autant de casiers que de porteurs ?
R : Surtout pas. Si vous traitez le linge d’un EHPAD de 120 lits, les 120 casiers vont littéralement
vampiriser les espaces. En fait, avec un chariot de 30 casiers, vous pouvez déjà lire 30 porteurs
différents. Au 31ème porteur, il faut libérer les casiers et repartir de 1. Cela permet d’emballer
rapidement les articles en attente. Si vous installez 3 chariots de 30 casiers, vous avez alors deux
options mais c’est au moment de l’installation qu’il faut choisir celle qui vous convient le mieux :
1. Les 90 casiers sont affectés par client et on vide au 91ème porteur mais dans ce cas vous êtes obligés
de travailler client après client
2. Les 90 casiers sont affectés à 3 clients différents et dans ce cas vous pouvez « lire » et ranger
simultanément 3 établissements. C’est ce qui a de loin ma préférence car cela permet, sans
risques, dès le linge sale, de mélanger des clients pour optimiser le chargement des machines à
laver.
Q : Comment positionner les chariots à casiers en zone de finition ?
R : Jamais en U – c’est contraire à l’exigence RABC de la marche en avant. Idéalement en I ou en L pour
permettre une parfaite fluidité de la zone de production.
Q : Quand l’opérateur sait-il qu’il doit emballer les articles qui sont sur le casier ?
R : Quand il voit que les casiers sont tous occupés et qu’il faut « vider » pour poursuivre la lecture et/ou
quand un casier est bien rempli même si d’autres articles du même porteur doivent encore arriver.
Q : Où positionner les supports lumineux quand on utilise ce moyen pour aider des personnes
déficientes à ranger le linge.
R : Les rampes lumineuses doivent être fixées sur les chariots directement. Surtout pas de cadres
métalliques fixes derrière lesquels sont rangés les chariots. Ces supports lourds et encombrants
sclérosent la blanchisserie. Pas de rampes lumineuses de l’autre côté du chariot, l’opérateur qui
emballe prend les articles et les emballe quand le casier est plein ou que le client est terminé
Q : Où fixer les écrans qui indiquent le numéro d’affectation du porteur ?
R : En partie haute, écran plat de grande dimension, visible de loin, depuis l’extrémité des tables de
pliage
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Schéma d’implantation type d’une ligne de pliage, lecture, rangement, emballage, expédition
Ecran en partie
haute
1
Chariot livraison
Départ linge
propre
Lecture
Mise sous film
Articles pliés en bout
de table
A éviter !!
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Q : Quelles sont les véritables plus values de l’architecture informatique de lecture ?
R : Ce n’est pas de faire la preuve que le linge est bien entré et sorti. C’est surtout :
une aide précieuse pour des adultes en situation de handicap
une aide pédagogique pour des personnes ayant des difficultés de vue ou de lecture
un support pour le suivi du parc textile (nombre de lavage par exemple)
un outil moderne qui est gratifiant pour les utilisateurs et tire vers le haut les comportements
un moyen de sécuriser le prospect qui fait une visite de la blanchisserie avant de confier son linge
un process qui diminue les manipulations consenties sur le linge, ce qui va dans le droit fil des
attentes de la norme RABC pour produire du linge non chargé en microorganismes
un moyen de facturer automatiquement à la pièce ou au pack, dès saisie du bon de livraison
Q : Comment présenter les devis ?
R : Ils sont bien souvent illisibles, alignant des matériels et des prix avec des commentaires
compréhensibles que par les initiés. Un devis intelligent est aussi un devis conseil, qui va permettre au
client de comprendre ce qu’il achète. Le devis reprendra quelques règles simples :
les matériels sont présentés dans le sens de défilement du traitement du linge, par zone. Ainsi
dans un devis on aura en première partie des douchettes pour la zone de tri (lecture ERDF par
exemple) et des douchettes (même modèle) un peu plus loin pour la zone de finition et pas un lot
de douchettes regroupé sans précision - le client se demande ensuite où les placer
les matériels seront présentés avec un repère pour que le client les retrouve sur un plan de sa
blanchisserie ou sur des photos qui auront été prises lors de la visite du fournisseur – la
personnalisation d’un devis est toujours reçue comme une marque de considération
les matériels recevront une petite explication quant à leur raison d’être (exemple : cette douchette
repère A3 va servir à lire le linge sec plié, en sortie de séchoir, avant sa mise en casiers nominatifs)
le devis doit toujours être ponctué d’un plan ou d’un schéma ou de photos sur lesquels sont
visualisés les matériels proposés, qu’il s’agisse de matériels de lecture ou de rangement
le fait que le client n’achète pas chez vous le matériel roulant n’exonère pas le conseil en
informatique de lui indiquer où et comment il doit positionner les chariots à casiers
Exemple :
Douchette
Référence
32.22.GOB3
Repère A1 sur
le plan
Lecture ERDF
linge sale
02 dans cette
zone
Prix
Voir plan en fin de devis (page suivante)
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Voici l’architecture informatique de lecture de votre blanchisserie
Exemple repris pour la douchette, faire figurer tous les éléments du devis
A1
Douchette
Référence
32.22.GOB3
Nombre
02
Repère
A1
Pour permettre à nos clients communs de progresser utilement vers une lecture informatique
intelligente et adaptée, AUDITEXTYL aura dans ses contacts et ses recommandations toutes ces
exigences. Le département « marquage identification » de votre entreprise est un formidable levier
pour faire progresser les blanchisseries, à condition qu’il ne se limite pas à prendre des commandes.
La partie conseil est essentielle et provoque dans tous les cas d’autres achats car le client est toujours
très sensible à celui qui explique un produit avant d’en indiquer le prix.
Cordialement,
Daniel LOCHE
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