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© GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept GeoConcept 4.2 Additif au manuel d’utilisation 1 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept Les informations figurant dans le présent document décrivent les fonctions et modes d’utilisation de GeoConcept au 1er novembre 2000. Elles sont sujettes à révision sans préavis. Le logiciel décrit dans ce document est diffusé dans le cadre d’un contrat de droit d’utilisation et ne peut être utilisé, copié ou cédé qu’en conformité avec les stipulations de ce contrat. Toute copie du logiciel GeoConcept sur disque ou autre support à des fins autres que l’usage du programme par l’acheteur pour ses besoins propres est interdite. GeoConcept est une marque déposée de GeoConcept SA DataDraw est une marque déposée d’Hémisphères MapInfo est une marque déposée de MapInfo Corporation. ARC/INFO et ArcView sont des marques déposées d’ESRI, Inc. AutoCAD est une marque déposée d’Autodesk, Inc. PostScript est une marque déposée d’Adobe Systems, Inc. DBase, IDAPI, Interbase, et Paradox sont des marques déposées d’Inprise Corporation. MS-DOS, Windows, Windows NT, Windows 95, Access, Excel, Word, SQL Server, Foxpro et PaintBrush sont des marques déposées de Microsoft Corporation. Macintosh est une marque déposée d’Apple Computer, Inc. Oracle est une marque déposée d’Oracle Corporation. Sybase est une marque déposée de Sybase, Inc. Informix est une marque déposée d’Informix Software, Inc SCAN 25, SCAN 100 et SCAN 250 sont des marques déposées de l’Institut Géographique National (France). BusinessObjects et BusinessQuery sont des marques déposées de BusinessObjects. ECW est une marque déposée d’ER Mapper. MrSID est une marque déposée de LIZARDTECH International. 2 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept Table des matières 1. Accéder à des fichiers de types différents ____________ 5 1.1 Principe _____________________________________________6 1.2 Utilisation ___________________________________________6 2. Utiliser des données cartographiques distantes en provenance d’un serveur GCIS __________________________ 8 2.1 Principe _____________________________________________9 2.1.1 2.2 Utilisation __________________________________________10 2.2.1 2.2.2 2.2.3 3. Mise en garde __________________________________________9 Paramétrage de la couche virtuelle Web Access Map __________11 Manipulations de la couche virtuelle Web Access Map _________13 Cartes disponibles sur le site GeoConcept ___________________15 Créer des boutons interactifs sur une carte __________ 17 3.1 Les différents contrôles standard ________________________18 3.2 Utilisation __________________________________________19 4. Habiller une carte _______________________________ 24 4.1 Faire pivoter un bloc carte dans la mise en page ____________25 4.1.1 4.1.2 4.2 5. 5.1 Principe ______________________________________________25 Utilisation_____________________________________________25 Habiller les textes sur une carte _________________________26 Intégrer des images à très haute résolution __________ 28 Présentation ________________________________________29 3 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept 5.2 Principes ___________________________________________29 5.3 Importation d’une image _______________________________31 5.4 Edition des propriétés de la couche virtuelle _______________32 5.5 Navigation dans l’image _______________________________34 5.6 Annexe sur le calage pour les images MrSID_______________36 6. Importer des données ____________________________ 38 6.1 En degrés, minutes, secondes __________________________39 6.1.1 6.1.2 6.2 L’expression des coordonnées ____________________________39 Le format Texte GeoConcept en v. 4.2______________________39 Au format Shapefile __________________________________40 4 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept Chapitre 1 1. Accéder à des fichiers de types différents Pour permettre la gestion de nombreux formats dans la fiche d’information de GeoConcept sans pour autant rajouter de nouveaux genres de champs, GeoConcept autorise l’enregistrement de liens hypertextes vers des fichiers de différents types ou des sites Internet. 5 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept 1.1 Principe Pour affranchir GeoConcept de la gestion de nombreux formats de fichiers externes (sons, vidéos, images… ), un nouveau genre de champ a été créé : le champ Lien hypertexte. Ainsi c’est le système d’exploitation qui gère directement le format des fichiers appelés, de façon totalement indépendante de GeoConcept. Le contrôle du champ de genre Lien hypertexte créé contient une zone de saisie dans laquelle le chemin d’accès aux documents souhaitant être visualisés est indiqué par l’utilisateur. Deux types de documents peuvent être appelés : des documents locaux ou des sites Internet. Toutes les règles de syntaxe des URL (Uniform Ressource Locator) doivent être respectées. Exemple de champ de genre Lien hypertexte 1.2 Utilisation Après avoir créé un nouveau champ de genre Lien hypertexte dans l’onglet Champs du Configurateur, l’utilisateur le visualise dans la fiche d’information du ou des objets au(x)quel(s) il se rapporte. La zone de saisie du champ permet d’indiquer le chemin vers lequel pointe le champ qui appelle le document distant. Ce champ contrôle contient également un bouton permettant de lancer l’application et de visualiser l’information demandée. Cette information est visualisée dans une fenêtre distincte à partir de la fiche d’information d’un objet GeoConcept ou encore via un contrôle directement sur la carte (Cf. chapitre 3). Dans le cas où le lien pointe vers une carte GeoConcept, celle-ci est chargée dans GeoConcept. 6 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept Le lien hypertexte doit respecter la syntaxe que l’on retrouve dans tout navigateur Internet ainsi que la syntaxe utilisée par l’explorateur Windows : http://www.geoconcept.com pour un site Internet mailto:dupont@société.sa pour une adresse mél E: \dossier\document.doc pour un lien local à votre machine sous-dossier\film.mpeg pour un chemin relatif \\serveur\dossier\fiche.txt pour un chemin sur votre réseau local. Dans le cas où le lien ne respecte pas l’une de ces syntaxes, le bouton du champ apparaît grisé. D’autre part, si le lien ne peut être lancé (déplacement ou suppression du fichier destinataire, par exemple), un message d’erreur prévient l’utilisateur. Lors d’import/export d’objets, les champs de genre Lien hypertexte sont gérés comme des champs de genre caractère. 7 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept Chapitre 2 2. Utiliser des données cartographiques distantes en provenance d’un serveur GCIS Cette fonctionnalité a pour but de fournir à n’importe quel utilisateur GeoConcept, la possibilité de visualiser sur son poste équipé du logiciel GeoConcept, des données géographiques en provenance d’un serveur GeoConcept Internet Server, uniquement à partir de la version 2.0 de cette solution. 8 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept 2.1 Principe Ce nouveau genre de couche virtuelle récupère l’information cartographiée sous forme d’image à partir d’un site Web hébergeant une version de GeoConcept Internet Server. L’utilisateur peut ainsi créer ses données vectorielles incrustées sur un référentiel géré par un serveur cartographique pouvant être un intranet/extranet ou encore un Internet. 2.1.1 Mise en garde L’image associée à la couche virtuelle n’est jamais stockée en local sur la machine, si l’utilisateur souhaite déplacer sa carte GeoConcept, l’image correspondante sur le serveur GCIS est recalculée. Il en va de même avec les autres outils de déplacement sur la carte (Loupe + ou Loupe -, Aller à, CTRL + ou CTRL -). L’image élaborée à partir d’une base de données cartographique raster et/ou vecteur et rapatriée sur un poste via la couche virtuelle Web Access Map, n’est pas associée physiquement à un objet ponctuel comme peut l’être la couche virtuelle de genre raster, intégrant des fichiers image. Accéder à un ou plusieurs serveurs GCIS distants, combiner l’affichage de différentes couches virtuelles GCIS sur une même carte GeoConcept, la gestion des différentes résolutions d’images posent le problème éventuel des performances de la machine dédiée. L’utilisateur doit donc en être conscient et disposer d’une connexion Web rapide. Une carte contenant une couche virtuelle Web Access Map peut être intégrée au sein de la solution eXplorer for GeoConcept. Toutefois, en mode utilisation d’une application contenant l’activeX GeoConcept, la visualisation du contrôle n’est pas garantie lorsque l’affichage de la page le contenant n’est pas à 100 %. Enfin, les bases de données cartographiques ne sont pas libres de droit. Si l’utilisateur d’un poste GeoConcept en version stand-alone peut accéder à un serveur GCIS, c’est qu’il en a reçu l’autorisation du serveur mais celui-ci manipulant des bases de données cartographiques qu’il a acquises auprès d’un éditeur professionnel, il doit être en règle avec ce dernier. 9 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept 2.2 Utilisation A partir de l’onglet Types du Configurateur, le bouton Nouvelle couche propose le genre Web Access Map qui rajoute une couche virtuelle au Sous-type obligatoirement de genre ponctuel auquel elle se réfère. La carte GCM/GCR comportant une couche virtuelle Web Access Map doit contenir au moins un objet, quel que soit son Type et son Sous-type. Création d’une couche virtuelle de genre Web Access Map 10 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept 2.2.1 Paramétrage de la couche virtuelle Web Access Map En double-cliquant sur son libellé, GeoConcept demande à l’utilisateur les caractéristiques du serveur GCIS auquel il doit se connecter. Une boîte de dialogue comprenant trois onglets demande un certain nombre de paramètres. Paramétrage de la couche Web Access Map – Onglet Général 11 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept Le premier onglet Général contient les différentes configurations sauvegardées du serveur qui sont proposées à l’utilisateur pour s’y connecter. Tous les paramètres de configuration relatifs au serveur utilisé sont stockés dans le second onglet Serveur. Le seul protocole disponible actuellement est le protocole Internet http. Le port TCP est celui d’Internet donc ayant la valeur 80 par défaut. Cette zone éditable sert éventuellement à spécifier un autre port lorsqu’on utilise cette couche virtuelle en Intranet, auquel cas, l’administrateur réseau doit indiquer sa valeur. Sur un serveur Web, le répertoire des scripts héberge tous les scripts, c’est-à-dire tous les programmes qui peuvent s’exécuter, le plus simple et le plus courant sous Microsoft Internet Server étant que ces programmes soient stockés sur un répertoire portant le nom scripts. Trois radio-boutons permettent de spécifier le type de script : ♦ ♦ ♦ Gcis.exe est un script CGI (ou Common Getway Interface) ; c’est le script par défaut sélectionné car le plus souple ; Gcis.dll est un script ISAPI ; Autre permet d’accéder à un serveur GCIS qui est encapsulé. Il suffit alors d’indiquer ce programme (exemple : myscript.asp). Enfin, le serveur peut avoir des accès protégés, ce qui est souvent le cas dans un projet Intranet. C’est pourquoi la case Le système nécessite une identification permet de renseigner le nom accompagné d’un mot de passe. Une fois les paramètres du serveur définis, il s’agit de configurer l’accès au site GeoConcept Internet Server au sein de l’onglet Carte GCIS. Le paramètre Page GCIS demande l’alias qui identifie la carte GeoConcept appelée. Au paramètre Onglet de visibilité, l’utilisateur est tenu d’y écrire l’onglet de visibilité qu’il souhaite afficher en fond d’écran, sous la forme de la couche virtuelle Web Access Map. Sur l’exemple de l’image ci-dessus, la carte requêtée s’appelle WAM_FRANCE et l’onglet défini est Densite population. WAM_FRANCE est un alias public qui permet de référencer une carte sur le serveur. Les paramètres exprimés dans le troisième onglet sont extraits de la configuration choisie dans l’onglet Général. L’utilisateur doit connaître les configurations de cartes disponibles sur le serveur cartographique Internet ou intranet de même que les différents onglets de visibilité accessible. La syntaxe et l’orthographe doivent être scrupuleusement respectées (Cf. paragraphe 2.2.3 pour connaître les cartes et onglets disponibles sur le site GeoConcept). 12 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept Différents formats « d’image » peuvent être générés : ♦ GIF, JPEG, PNG : formats raster ; ♦ EMF pour Enhanced Metafile format qui présente l’avantage d’être un format vectoriel renforçant ainsi la qualité de l’image affichée. Toutefois, si l’image créée sur la couche virtuelle Web Access Map comprend du « raster », il est conseillé de choisir un format traditionnel raster plutôt que le .EMF qui gère mal ce genre de données. Selon les informations fournies par Microsoft, les fonctions utilisées pour gérer le format .EMF, sous Windows 95 et 98 ne libérant pas toute la mémoire allouée, peuvent provoquer un arrêt brutal de l’application. Dans ce cas, préférez un autre format. Une fois les paramètres définis, la couche virtuelle s’affiche à l’écran et peut être manipulée à partir de la boîte Affichage. La touche Echap du clavier réagit à la patience de GeoConcept, la terre qui tourne, dans le cas où les temps d’attente sont trop longs. 2.2.2 Manipulations de la couche virtuelle Web Access Map L’utilisateur doit ensuite spécifier à quelles échelles il souhaite intégrer l’image raster de la carte du server, tout comme les apparences des Sous-types d’objets ponctuels, linéaires ou polygones des douze échelles logiques. Ainsi rien n’empêche l’utilisateur de décocher la case Apparence unique, dans l’onglet Types du configurateur sur la couche virtuelle en question afin d’associer une connexion à une carte stockée sur un serveur GeoConcept Internet Server pour certaines échelles et une connexion différente à un autre serveur pour d’autres échelles. Il est également possible d’associer une connexion à un onglet de visibilité d’une carte à certaines échelles et une connexion à un onglet de visibilité différent pour d’autres échelles. La couche virtuelle Web Access Map affichée réagit aux différentes manipulations de zoom/contre zoom et de déplacement avec la main accessibles à partir de la boîte à outils. Les objets vectoriels rapatriés du web et constituant une image ne sont donc pas sélectionnables ni modifiables. 13 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept La couche virtuelle Web Access Map est manipulée de la même façon que les autres couches virtuelles et particulièrement dans une mise en page dans laquelle cette couche virtuelle peut être affichée au sein d’un bloc carte ; elle peut également y être pivotée. Toutefois, à l’impression, le rendu de la couche virtuelle pivotée n’est pas toujours optimal. L’affichage des couches virtuelles Web Access Map peut être perturbé par un tassement vertical de l’image si la résolution de l’écran est de 1280 x 1024 (soit un rapport de 1,25). Pour pallier ce problème, il suffit d’aller modifier les paramètres Largeur et Hauteur écran, dans l’onglet Général du menu Préférences pour obtenir un rapport de 1,3333. Exemple : Largeur écran : 320 – Hauteur écran : 253 14 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept 2.2.3 Cartes disponibles sur le site GeoConcept Configurations WAM_WORLD WAM_FRANCE WAM_PARIS Onglets de visibilité Political map Birth Death Growth/year Orography Agric Attraction Cadres Chomage Commerçants Densite population Evol pop 90-99 Ouvriers Part +60 ans/pop tot Part –20 ans/pop tot Part femmes/pop act Resid second Vecteur France Vecteur Paris Agric Attraction Cadres Chomage Commerçants Densite population Evol pop 90-99 Ouvriers Part +60 ans/pop tot Part –20 ans/pop tot Part femmes/pop act Resid second Vecteur Paris 15 Système de coordonnées Plate carrée Lambert II étendu Lambert II étendu © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept Pensez que certains onglets de visibilité sont associés à des positions précises du territoire. Si la couche virtuelle Web Access Map ne propose rien à l’écran, zoomez ou utilisez la main pour vous déplacer sur une partie du territoire contenant des informations. Pour vous aider, le parvis de Notre-Dame à Paris est situé à la coordonnée X = 600 800 et Y = 2 428 300 en Lambert II étendu. 16 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept Chapitre 3 3. Créer des boutons interactifs sur une carte Afin d’augmenter l’interactivité entre la carte et la base de données associée, GeoConcept propose la notion de couche contrôle ou couche hypermédia qui rajoute de façon dynamique des contrôles Windows sur la carte. 17 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept Cette fonctionnalité offre quelques contrôles standard affichables directement sur la carte mais s’adresse tout particulièrement aux utilisateurs du kits de développement qui peuvent ainsi construire une gamme étendue de contrôles différents 3.1 Les différents contrôles standard Le premier contrôle peut être un bouton auquel on associe une bulle d’aide ainsi qu’une action qui déclenche l’ouverture d’un fichier lié à une application. L’application par défaut présente est un champ URL (de genre Lien hypertexte), qui par simple clic, lance un navigateur sur l’URL contenu dans le champ. Exemple de bouton sur la carte 18 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept Afficher un feu Le deuxième contrôle affiche et déroule un film dont le chemin d’accès est stocké dans un champ déterminé lors de la création de la couche contrôle. 3.2 Utilisation Ces deux couches virtuelles ne peuvent être liées qu’à des objets ponctuels. Deux couches virtuelles sont accessibles par le bouton Nouvelle couche de l’onglet Types du Configurateur : la couche virtuelle Hypertexte et la couche virtuelle Hypervidéo. Après avoir opté entre les deux genres de couches virtuelles, un double clic sur la couche virtuelle créée dans l’arborescence du configurateur permet de choisir le champ sur lequel pointe la couche virtuelle. 19 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept Création de la couche virtuelle Hypertexte La couche virtuelle de genre Hypertexte peut être liée à deux genres de champs : un champ de genre caractère ou encore un champ de genre Lien hypertexte. Il suffit que le champ lié soit rempli avec le chemin d’accès précis du fichier lié dans l’arborescence du disque dur de l’ordinateur pour qu’apparaisse, sur la carte, des boutons de contrôle sur tous les objets auxquels se réfère la couche virtuelle en question. En approchant le curseur sur un des boutons contrôle, une bulle d’aide apparaît indiquant l’URL appelé (fichier ou page HTML d’un site Web) et en cliquant sur le bouton, l’action est lancée. Exemple de couche virtuelle Hypertexte 20 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept Une couche virtuelle Hypertexte peut lancer l’ouverture de documents ou de cartes GeoConcept. Lorsque le champ lié à la couche virtuelle Hypertexte est non renseigné, les boutons de contrôle associés aux objets concernés n’apparaissent pas sur la carte. L’icône @ grisée dans le champ Lien hypertexte associé signifie que la syntaxe du chemin d’accès du document est mauvaise. Le comportement de la couche virtuelle de genre Hypervidéo est quasi identique. Création d’une couche virtuelle Hypervideo Après création d’une couche virtuelle de genre Hypervidéo, une boîte de dialogue de configuration demande le champ de genre caractère (et uniquement de genre caractère) du Type et du Sous-type associé qui contient le chemin d’accès et le nom de la vidéo qui doit s’afficher. Cette fonction appelle des AVI (animations MICROSOFT). L’application Animation Shop2 de Paint Shop Pro 6.0 (Registered), permet de créer ses propres AVI. 21 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept Exemple de couche virtuelle Hypervidéo Le contrôle utilisé pour la gestion de la couche virtuelle Hypervidéo présente une limitation puisqu’il n’accepte que les AVI sans piste sonore. Ces deux genres de couches virtuelles se comportent comme les autres au niveau de l’apparence. En effet, il est possible de faire varier les documents liés en décochant l’apparence unique dans le Configurateur et en associant d’autres champs Hypertexte ou Caractère. Il est également possible de limiter l’affichage de ces boutons de contrôle à certains objets en utilisant la propriété Condition accessible à partir du menu Affichage. Différenciation éventuelle des documents liés à la couche virtuelle Hypertexte 22 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept Les autres propriétés d’une couche virtuelle (Visibilité, Delta X, Delta Y, Flèche, Décalage X flèche et Décalage Y flèche) ne sont pas accessibles pour ces deux couches virtuelles Hypermédia. Limiter l’affichage des couches Hypermédia Les deux couches Hypermédia (Hypertexte et Hypervidéo) sont toujours affichées audessus de toutes les autres couches virtuelles et Sous-types d’objets malgré leur rattachement au Type ou Sous-type auquel elles se réfèrent dans l’ordre d’affichage. 23 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept Chapitre 4 4. Habiller une carte 24 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept 4.1 Faire pivoter un bloc carte dans la mise en page 4.1.1 Principe Il est parfois utile ou nécessaire de faire pivoter la carte à l’intérieur du bloc dédié en fonction de la forme du bloc, du format de la feuille (paysage ou portrait) et de la forme de la carte à dessiner. Les capacités de Windows NT4 ou supérieur étant nécessaires, cette option est réservée à ce système d’exploitation et à Windows 2000. 4.1.2 Utilisation La boîte d’édition du bloc carte positionné sur la feuille propose à l’utilisateur d’affecter un angle en degrés. La saisie de l’angle ne peut être effectuée en degré décimal. Choisir l’angle de rotation de la carte à l’intérieur du bloc (sous Windows NT) 25 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept Lorsque l’angle est affecté, la mise en page affiche le bloc avec la carte pivotée. Tous les éléments constitutifs de la carte ont subi la même rotation (couches virtuelles camemberts, histogrammes, étiquettes, rasters). Toutes les manipulations de la carte à l’intérieur du bloc sont accessibles, vous pouvez zoomer la carte à l’intérieur du bloc ou encore la déplacer. La carte a été pivotée en fonction de l’angle affecté La rotation d’une carte à l’intérieur d’un bloc est effectuée dans le sens trigonométrique, c’est-à-dire dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. 4.2 Habiller les textes sur une carte La couche virtuelle Etiquettes permet d’habiller finement le texte associé aux objets. Outre le choix de la police, de sa taille et de sa forme, d’un cadre avec un fond coloré, il est possible de rajouter un halo autour de chaque lettre composé d’une couleur que l’utilisateur détermine en cliquant pour choisir parmi les 256 couleurs proposées. 26 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept De plus, un ombrage peut être appliqué sur chaque corps de texte en déterminant la couleur de l’ombre et son décalage en pixels par rapport à la position du texte sur la carte. Paramétrage du halo et de l’ombrage Des étiquettes avec un halo et un ombrage Le halo et l’ombrage peuvent être utilisés conjointement. 27 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept Chapitre 5 5. Intégrer des images à très haute résolution Les modules MrSID Viewer et ECW Viewer se présentent comme des modules additionnels à GeoConcept qui ajoutent des fonctionnalités d’affichage numériques de très grande taille. Le module MrSID Viewer for GeoConcept permet l’affichage d’images compressées selon la technologie de compression par ondelettes brevetée par la société LIZARD TECH. Le module ECW Viewer for GeoConcept permet l’affichage d’images compressées au format ECW, déposé par la société ER Mapper. 28 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept 5.1 Présentation MrSID Viewer for GeoConcept et ECW Viewer for GeoConcept sont deux modules proposés par GeoConcept et présents physiquement sur le CD-Rom d’installation. Ils ne sont pas intégrés à GeoConcept et ne sont accessibles que par l'interface de présentation du CD-Rom dans la rubrique Modules gratuits. Ils ont donc leur propre installateur. 5.2 Principes MrSID est un format d'image compressé développé par la société LIZARD TECH international. ECW est un format d'image compressé développé par la société ER Mapper. Les images MrSID se présentent sous forme de fichiers ayant l’extension .SID. Un fichier associé ayant comme extension .SDW contient les éléments de calage ainsi que la résolution d’un pixel. Les images ECW se présentent sous forme de fichiers ayant l’extension .ECW. Ce fichier contient à la fois les éléments constitutifs de l’image et ceux concernant son calage géographique. Ces fichiers peuvent être utilisés pour stocker toutes sortes de documents scannés ou numériques (photographies, dessins…). Il s’agit donc d’un format raster nouveau et qui présente des propriétés particulièrement intéressantes pour les applications SIG : ♦ un taux elevé de compression : les images peuvent occuper un espace disque plus de 20 fois inférieur à celui qu’occuperaient les mêmes images dans un format « plein » (sans compression) tel que le .BMP. ♦ un accès fenêtré rapide : un extrait de l’image peut être décompressé et affiché sur un périphérique de restitution sans imposer la décompression de l’ensemble du fichier. ♦ un zoom – contre-zoom rapide : le format est conçu comme une pyramide d’images de résolution spatiale croissante. Ainsi peut-on accéder directement au « sommet » de la pyramide et obtenir une vue éloignée de la totalité d’une image sans obliger l’ordinateur à parcourir la totalité de l’image à pleine résolution. 29 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept Ces capacités font des images des documents très adaptés pour le stockage de documents géographiques ou cartographiques raster (cartes scannées, imagerie satellitaire ou aérienne). En effet, couvrir un espace géographique étendu avec de l’imagerie à haute résolution (par exemple un département avec des photographies dont le pixel représente moins d’un mètre sur le terrain) exige un volume d’espace disque très important (plusieurs gigas octets) et impose des temps de lecture élevés pour obtenir une vision globale de l’image. Pour cette raison, de nombreux éditeurs de photographies aériennes, images satellites... envisagent de livrer leurs données au format MrSID ou ECW. Grâce aux modules MrSID Viewer for GeoConcept et ECW Viewer for GeoConcept, vous pourrez directement incorporer ces images dans vos cartes. La gestion de l’imagerie est similaire à la gestion des rasters de la couche virtuelle raster de GeoConcept : ♦ les images sont associées à un objet d’un Type/Sous-type ponctuel ; ♦ la position de cet objet définit la position du centre de l’image sur la carte ; ♦ le nom de ce point précise le chemin d ‘accès au fichier .SID ou .ECW ainsi que le rapport d’échelle de l’image. L’importation du fichier géoréférencé .ECW ou des deux fichiers .SID/.SDW crée automatiquement le Type/Sous-type d’accueil de l’image, le point de calage central et la couche virtuelle associée. Cette couche est gérée par la suite de la même façon que les autres couches virtuelles de GeoConcept. 30 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept Pour être convenablement positionnée dans une carte GeoConcept, une image doit être accompagnée d’informations de calage. Ces informations précisent la position de l’image dans un repère de projection géographique et sont tantôt intégrées à l’image en elle-même (ECW Viewer for GeoConcept) ou sont stockées dans un fichier externe (MrSID Viewer for GeoConcept dont la syntaxe est décrite en annexe I). 5.3 Importation d’une image Dans le menu Fichier, sélectionner la commande Importer. Dialogue d’importation Il suffit de filtrer le type MrSid Images ou ECW Images, sélectionner le fichier, et appuyer sur le bouton Ouvrir. L’image est automatiquement importée et affichée. Selon la manipulation d’images MrSID ou ECW, l’image est respectivement importée dans une couche virtuelle de genre MrSid ou ECW et associée à un point centroïde appartenant au Type par défaut créé par GeoConcept, MrSid Image ou ECW Image et au Sous-type ponctuel qui porte le nom de l’image. La couche virtuelle est nommée par défaut MrSid nom de l’image ou ECW nom de l’image. Le dialogue Affichage permet de modifier les propriétés d’affichage de cette couche. 31 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept Affichage et manipulation de l’image MrSID importée 5.4 Edition des propriétés de la couche virtuelle Dans le dialogue Affichage, un double clic sur la couche virtuelle permet d’accéder au dialogue de propriétés. Pour la couche virtuelle MrSID Image, on peut choisir d’afficher l’image en niveaux de gris ou couleurs et les modifications sont automatiquement appliquées. 32 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept Propriétés d’une couche virtuelle MrSID Image Pour la couche virtuelle ECW Image affichant une image multi-canaux, le dialogue permet de régler et d’affecter les canaux aux composantes RGB. Propriétés d’une couche virtuelle ECW Image 33 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept 5.5 Navigation dans l’image Les manipulations graphiques accessibles à partir de la boîte à outils de GeoConcept sont applicables pour naviguer dans l’image. Les propriétés exceptionnelles de l’imagerie à très haute résolution MrSID ou ECW permettent d’accéder à un niveau de détail important compte tenu de la taille réduite du fichier source. Aux échelles trop éloignées ou trop fines, l’image disparaît automatiquement. Cette disparition est commandée par la structure de l’image MrSID ou ECW, à l’intérieur de laquelle sont fixés un niveau de zoom minimal et un niveau de zoom maximal. Zoom aisé sur une image 34 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept 35 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept 5.6 Annexe sur le calage pour les images MrSID GeoConcept tente de trouver un fichier avec l’extension .SDW situé dans le même répertoire que l’image et portant le même nom. Si ce fichier n’est pas présent, GeoConcept interroge la métadocumentation interne de l’image pour y trouver les informations nécessaires. Si les éléments nécessaires ne sont pas présents, l’importation est annulée. Le fichier .SDW est un fichier texte de 6 lignes donnant 6 chiffres qui correspondent respectivement : ♦ à la résolution en X en unité de projection ; ♦ à la coordonnée pixel en X du point d’origine( haut-gauche) de l’image ; ♦ à la coordonnée pixel en Y du point d’origine (haut-gauche) de l’image ; ♦ à la résolution en Y en unité de projection ; ♦ à la coordonnée en X du point d’origine de l’image dans le système de coordonnnées ; ♦ à la coordonnée en Y du point d’origine dans le repère de la projection géographique ; Le signe des valeurs de la résolution dépend de l’orientation des axes du système de coordonnées géographiques par rapport au sens de lecture haut-gauche -> bas-droite de l’image. Exemple : 0.250000000000000 0.000000000000000 0.000000000000000 -0.250000000000000 592000.000000000000000 127000.000000000000000 Cet exemple de fichier .SDW positionne une image dont le pixel décrit une zone carrée de 25 centimètres de côté (ligne 1), à partir du point géographique X = 592000, y = 127000 (lignes 5 et 6) dans le système de coordonnées Lambert1. La résolution est négative car l’axe des ordonnées de la projection Lambert croît de l’équateur au pôle (ligne 4), en sens inverse du sens de lecture de l’image si celle-ci est orientée avec le nord en haut. 36 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept La projection géographique de l’image n’est pas indiquée dans un document MrSID. GeoConcept suppose que les cordonnées données dans le fichier de calage ou la métadocumentation de l’image sont exprimées dans la projection courante de la carte. Il est alors indispensable de demander au fournisseur d’imagerie géoréférencée de bien préciser la projection originelle de recalage de l’image. 37 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept Chapitre 6 6. Importer des données 38 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept 6.1 En degrés, minutes, secondes 6.1.1 L’expression des coordonnées Il existe trois façons d’exprimer les coordonnées géographiques d’un objet : ♦ coordonnées brutes exprimées en degrés, minutes, secondes Exemple : 45°21’40 ‘’ ♦ coordonnées interprétées en degrés décimaux Exemple : 45,361 qui correspond à 45,21/60 + 40/3600 ♦ coordonnées interprétées en degrés minutes Exemple : 45,21 qui correspond à 45°21’ Les versions de GeoConcept antérieures à la 4.2 n’acceptent que les coordonnées géographiques exprimées en degrés décimaux. Il faut donc convertir dans un applicatif externe les cordonnées à importer. 6.1.2 Le format Texte GeoConcept en v. 4.2 Les fichiers externes contenant des coordonnées à importer dans GeoConcept doivent être au format GeoConcept. Quatre unités d’angle sont gérées dans l’en-tête du fichier Texte GeoConcept. Le pragma UNIT peut contenir l’un des quatre choix suivants : ♦ Angle : rad ♦ Angle : gra ♦ Angle : deg ♦ Angle : deg.min 39 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept Si le pragma UNIT vaut Angle : deg, les coordonnées à importer dans GeoConcept peuvent être exprimées en degrés, minutes, secondes ou en degrés décimaux. Les coordonnées exprimées en degrés, minutes et secondes doivent se présenter sous la forme suivante : [+|-] dddd°mm’ss.sssss’’ où le symbole attendu pour les secondes est la double-quote. Cet angle peut prendre la forme [+|-] dddd°mm’ss.sssss’’ [ E | W | N | S ]. La dernière partie indique l’hémisphère dans lequel est situé le point (North ou South pour la latitude et East ou West pour la longitude). Si le pragma UNIT vaut Angle : deg.min, les coordonnées à importer dans GeoConcept sont obligatoirement exprimées en degrés minutes. 6.2 Au format Shapefile A partir d’une série de trois fichiers (SHP, SHX et DBF) contenant des données géographiques et attributaires, la commande Importer/Mettre à jour autorise le transfert d’informations vers GeoConcept. Avant de lancer l’opération, il suffit de sélectionner le type de fichier ainsi que le fichier lui-même. L’import SHP Une boîte de dialogue permet de choisir certaines options : 40 © GeoConcept SA, novembre 2000 Manuel d’utilisation GeoConcept Options de l’import SHP ♦ La première option lance la génération d’un fichier au format ASCII GeoConcept Texte (.TXT) que l’on stocke dans un répertoire en cliquant sur le bouton Parcourir ; ♦ Cocher la case Utiliser un facteur multiplicatif propose une zone éditable dans laquelle on écrit une valeur dans le cas où les informations graphiques importées ne sont pas exprimées dans la même unité que la carte réceptacle C’est à l’utilisateur de s’assurer de la concordance tant à la fois au niveau de l’unité des coordonnées que de la projection des données importées et de la base de données réceptrice. La commande Edition/Transformation/Modifier la projection permet de modifier la projection des données importées. ♦ L’option Importer les champs permet d’intégrer les données géographiques (les objets) avec leurs informations attributaires associées (les champs). Les champs créés porteront le libellé contenu dans le fichier d’import ; ♦ Dans le cas d’une mise à jour de champs sur des objets existant déjà dans GeoConcept, la case Ne pas créer d’objets doit être cochée ; ♦ Enfin, les informations géographiques contenues dans le fichier .SHP peuvent être affectées à un nouveau Type et Sous-type qui portera le nom du fichier à importer ou bien elles pourront être associées à un Type et Sous-type existant déjà dans la base GeoConcept. Cocher le radiobouton correspondant pour réaliser l’importation d’objets. 41
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