télécharger - Crazy Horse Paris
Transcription
télécharger - Crazy Horse Paris
Dossier de Presse D ESIRS au Crazy Horse Paris Contact Crazy Horse Aline Jumeaux Directrice Marketing & Communication 12 avenue George V – 75008 Paris 01 47 23 63 03 [email protected] DESIRS Le nouveau spectacle du Crazy Horse, signé Philippe Decouflé & Ali Mahdavi Féminité, créativité et audace … Le plus avant-gardiste des cabarets parisiens dévoile ses charmes sous forme d’un nouveau spectacle, Désirs, dont la mise en scène est signée Philippe Decouflé et la direction artistique Ali Mahdavi. Sur le thème jamais abouti du féminin, Désirs est une succession de nouveaux tableaux étincelants, étonnants, impertinents et glamour. « Chuchotements », « Upside Down », « Infrarouge »…les nouvelles créations allient modernité et esthétisme absolu : lumières « made in Crazy », effets spéciaux surprenants, costumes précieux et élégants, rythmes de musiques nouvelles… Désirs nous enveloppe tel un songe inoubliable ! Zula Zazou, Jade Or, Psykko Tico ou Nooka Karamel : les danseuses aux noms chimériques, l’élite de la séduction aux corps parfaits et cambrés, entretiennent le mystère de leur incroyable beauté, de leur ineffable grâce. Sur scène, les filles du Crazy, sensuelles, espiègles et évocatrices de la légende, composent les étoiles de ce ciel mythique de la nuit parisienne ! Désirs signe ainsi l’éternel retour du Crazy … PETITE HISTOIRE D’UNE GRANDE MAISON … Féminité, créativité, audace … Le Crazy Horse est le plus avant-gardiste des cabarets parisiens. Temple de la féminité sublimée et célébrée des nocturnes parisiennes, immortalisé par l’effervescence des stars lors des pétillantes soirées de gala … Plus encore, le Crazy Horse s’est imposé comme un élément culturel incontournable. Plus de cinquante ans après sa création, le Crazy continue de se réinventer sur le thème inépuisable de la femme. Sur des rythmes nouveaux, des cadences dynamiques et des chorégraphies toujours plus séduisantes, les silhouettes des légendaires danseuses continuent de s’y cambrer, laissant les yeux des spectateurs ébahis … Aujourd’hui, encore et toujours, Paris répond plus que jamais présent à ce qui constitue l’un des plus évidents symboles de la vie parisienne ! 19 mai 1951 … Alain Bernardin, avant-gardiste et insatiable admirateur des femmes, fasciné par les Etats-Unis, crée le Crazy Horse. Une idée fixe l’obsède : placer la création et la femme au centre de son club qui voit à cette époque, se succéder les polissonnes effeuilleuses, pendant qu’en coulisses, quelques artistes de variétés se préparent à prendre le relais pour une pause musicale ou humoristique. Charles Aznavour y fera d’ailleurs ses premières apparitions… Années 60 : un tournant pour le Crazy Horse qui voit déferler Nouvelle Vague, Nouveau Réalisme, Pop Art… Alain Bernardin, tête de file insatiable, prend le pas de la modernité et fait évoluer son spectacle, influencé par ces mutations culturelles. Chacun de ses numéros sera conçu comme un tableau, pensé autour d’une chorégraphie, d’un décor et de lumières, associés aux influences musicales et vestimentaires du moment. La légende du Crazy avant-gardiste est en marche auprès de la clientèle française mais aussi internationale ! Après la disparition de leur père, Sophie, Pascal et Didier Bernardin reprennent les rênes de l’établissement. En 2001, pour son 50ème anniversaire, le Crazy Horse se délocalise pour la première fois : direction Las Vegas où son triomphe signe la réussite de son implantation. En 2005, la famille Bernardin décide de vendre le Crazy Horse. Une nouvelle équipe reprend la direction de la maison avec, à sa tête, Andrée Deissenberg, la Directrice Générale. La nouvelle direction considère le Crazy comme un lieu de légende qui détient un savoir faire tout particulier : sublimer la femme à travers des créations inédites et surprenantes. Son challenge est désormais de lui rendre tout son lustre, et de remettre la création au centre du travail artistique. D’après Andrée Deissenberg, « il ne fallait pas révolutionner le Crazy mais le faire évoluer, le réveiller, le faire étinceler à nouveau ». Ainsi, c’est tout naturellement que le Crazy Horse, écrin de beauté et de sensualité qui depuis toujours célèbre la femme, invite au sein de ses shows, des femmes à l’univers et au talent inégalables : en octobre 2006, c’est Dita Von Teese, diva internationale de l’effeuillage et icône glamourissime, qui inaugure cette nouvelle tranche de vie du Crazy en présentant pour la première fois sur une scène publique, un numéro à la sensualité inénarrable. C’est ensuite au tour d’Arielle Dombasle, diamant d’exception, de présenter en février 2007 les chansons de son dernier album, entourée des danseuses du Crazy. Le 14 février 2008, Pamela Anderson interprète un numéro créé sur-mesure sur une Harley Davidson sur la chanson légendaire de Serge Gainsbourg : « Besoin de personne en Harley Davidson » … En février & mars 2009, Dita Von Teese remonte sur la scène du Crazy pour quelques représentations exclusives, suivie en septembre 2010 par Clotilde Courau qui y interprétera « Les Nuits d’une Demoiselle ». Pendant ce temps, à Las Vegas … En 2007, à Las Vegas, Dita Von Teese présente son numéro désormais légendaire « Le Bain », devant un public enthousiaste ! C’est aussi l’année des premières auditions américaines et de l’entrée de nouvelles danseuses pour l’établissement de Las Vegas. En Juillet 2009, Carmen Electra se prête au jeu et devient la 4ème guest star dans l’histoire du Crazy. Pendant une semaine, elle interprétera deux classiques du Crazy : « Leçon d’érotisme » et « Chain Gang » … à sa manière « électrique » ! Partout le public répond immédiatement présent et l’émulation se fait sentir autour de cette scène mythique ! Mais ce succès fantastique n’enlève rien à l’ambition profonde de la nouvelle direction qui est de replacer la création au centre de la maison et de faire évoluer son répertoire par la création de nouveaux tableaux : un nouveau spectacle, voire même une nouvelle expérience Crazy s’impose ! A l’automne 2008, Philippe Decouflé, chorégraphe et danseur de talent, est appelé pour élargir le répertoire de la maison. Commence l’élaboration du spectacle nommé Désirs qui verra le jour le 21 septembre 2009. Un spectacle qui souffle une modernité et un ton neuf, tout en respectant les codes du Crazy, qui propose des sujets thématiques transcendant notre époque et donnant envie aux spectateurs de venir et revenir découvrir le Crazy. Désirs propose ce moment infiniment délicieux où le plaisir s’étire comme un bas couture … A l’automne 2010, le plus avant-gardiste des cabarets parisiens inaugure sa tournée internationale et présente son spectacle intitulé Forever Crazy pour la première fois en Autriche. Les prochaines représentations auront lieu à Genève, Moscou, Madrid, Taïwan, Beyrouth … En mars 2012, après avoir accueilli de nombreuses « Guest Creatures » sur sa scène mythique, Crazy Horse ouvre ses portes au premier « Guest Créateur » de son histoire : Christian Louboutin qui signe 4 tableaux uniques et originaux inspirés d’univers aussi divers que le hip hop ou les tableaux de maître. ² LES ACTEURS DE DESIRS Andrée Deissenberg, Directrice Générale Pour séduire le public parisien et lui redonner le désir de venir savourer les nuits du Crazy Horse, Andrée Deissenberg a plus d’une flèche à son arc. Apres avoir sillonné les routes du monde entier avec le Cirque du Soleil, elle se glisse dans l’aspiration d’Alain Bernardin et joue carte sur table : le Crazy est une maison de création dont il faut régulièrement renouveler le répertoire. C’est ici le point d’ancrage de la nouvelle direction : recréer un Crazy autour duquel le tout Paris se presse … Faire venir un public jeune - et pas exclusivement masculin - friand de glamour, de couleur, de musique, de design et de mode ! Et pour cela, l’idée d’Andrée Deissenberg est de convier régulièrement des « guest créatures » et « guest créateurs »… L’art et la création reviennent au centre du spectacle ! Dès lors, c’est l’effervescence qui monte dans le public parisien avec la rencontre de la première guest star : Dita Von Teese qui, au milieu des danseuses du Crazy Horse, enflamme cette scène mythique ! Arielle Dombasle assurera le second volet de cette transformation … Pour quelques soirées seulement, comme pour attiser la frustration, elle se présentera dans cinq tableaux spécialement créés pour elle. Mais en dépit du succès, le pari n’est pas encore gagné et Andrée préconise de refaire un plateau technique au niveau du spectacle qui passe désormais d’un mode d’exploitation à un mode de création et qui sera de plus en plus pointu. A l’été 2007 le Crazy Horse s’engage dans cette refondation : nouvelle architecture intérieure, nouveau plan de salle, nouvelles technologies de son surround, nouvelles technologies d’éclairage et de projections en haute définition. Début 2008, Andrée Deissenberg fait appel à Philippe Decouflé pour renouveler le répertoire du Crazy. Le résultat ? Dix nouvelles créations, étonnantes, étincelantes, impertinentes et toutes résolument Crazy : dix mini-spectacles qui brillent comme des étoiles offertes au public par des danseuses au nom de légende. Andrée Deissenberg recrée les virées légendaires du Crazy et, dans cette cave mythique du VIIIème arrondissement de Paris, l’âme créatrice d’Alain Bernardin revient au cœur de la fête donner au Crazy Horse une cadence qui n’appartient qu’à lui… Venue tout droit du Cirque du Soleil où elle a passé 12 ans à travailler en tant qu’Attachée de presse, Responsable de la communication, jusqu’à assumer la Direction Sales & Marketing, Andrée Deissenberg a notamment géré le lancement du Cirque du Soleil en Italie et en France. Elle devient Directeur Général du Groupe Crazy Horse en mars 2006 où elle se concentre sur le renouveau et le développement du Crazy Horse à Paris, Las Vegas et en tournée. Sa formation littéraire et artistique, sa double nationalité francoaméricaine et son aptitude à parler couramment 5 langues font d’elle un acteur essentiel de la dynamique du Groupe Crazy Horse. Philippe Decouflé, Metteur en Scène S’il est un artiste qui aime relever les défis, c’est bien Philippe Decouflé … Preuve en est son arrivée au Crazy Horse. Le challenge est là, réel, identifiable : des femmes, QUE des femmes, une scène juste, très juste, un cadre technique conçu pour un spectacle aux codes uniques et l’univers de la nuit, avec ses mystères … le Crazy Horse ne fait pas partie de ces lieux qui se livrent aisément. Il faut les aborder avec beaucoup d’humilité et d’assurance à la fois… C’est d’ailleurs la qualité commune aux artistes qui y exercent leurs talents. Et parce que le propre de l’artiste est sans doute de transformer le réel, de nous offrir une nouvelle vision de la réalité, plus gaie, plus belle, plus douce, plus harmonieuse, Philippe Decouflé joue le jeu une nouvelle fois, dans un contexte qui a pourtant tout d’une Terra Incognita, et gagne dans cet exercice de style inextricable. Oui, le Crazy Horse réunit en un seul lieu tout ce qui construit sa passion : les femmes, les corps, la danse, la scène, le spectacle, aboutissement d’un investissement absolu et d’un travail envahissant et chronophage. Tout cela dans un lieu totalement mythique et exceptionnel … Le Crazy Horse lui offre cette page, pas tout à fait blanche, à explorer… Corps suggestifs, épure absolue, ombres chinoises, évocations plus que provocation … Philippe Decouflé jongle avec les corps, révèle les silhouettes glissant sur la lumière et érotise les tableaux qu’il met en scène, jouant inlassablement sur le fil de ce qui nous ferait rougir, toujours titubant, mais ne tombant jamais … Avec le Crazy Horse, Philippe Decouflé bien que soumis à des contraintes incontournables, retrouve dans ses compositions chorégraphiques l’expression de la liberté qui fait sa force : « La scène est très petite, les corps sont formatés, maquillés et tout le travail consiste à avancer dans une création nouvelle tout en préservant l’esthétique d’Alain Bernardin. Les codes du Crazy sont non seulement incontournables mais aussi gardés précieusement, férocement parfois même par les gardiennes du temple que sont les danseuses ». Quand le corps fait ses gammes Philippe Decouflé annonce d’emblée trois valeurs essentielles à la qualité du résultat final : le travail, le travail et encore le travail. Travail du corps, des esprits, de la lumière, des formes, des couleurs, des lignes graphiques, de la souplesse, de la générosité, de la disponibilité … Il faut être touche-à-tout pour être un artiste. Il n’en a donc jamais fini de puiser dans l’énergie des corps, les mouvements du monde qui l’entoure, de raviver le temps qui passe en lui donnant un air de demain… « Il y a dans ma démarche un travail important sur le mélange des époques, la conjugaison subtile des images d’hier et d’aujourd’hui. J’ai passé beaucoup de temps à décrypter les films d’archives, les photos du Crazy d’hier pour redéfinir le Crazy d’aujourd’hui. On est avant tout dans une continuité et mon travail consiste à revisiter le passé et en réinterpréter les valeurs essentielles. ». Et comme toute rencontre, c’est toujours la dimension humaine qui est au centre de l’aventure : si Philippe Decouflé a en charge le spectacle et sa chorégraphie, il a affaire à un corps vivant pour travailler : les danseuses… 18 jeunes femmes à qui il doit donner envie de danser 7 jours sur 7, avec le même plaisir d’offrir leurs gestes, leurs sourires, leurs regards à ceux venus les découvrir le temps d’une soirée … Philippe Decouflé aime les danseuses, les respecte profondément et les protège en leur offrant le cadre qui convient à chacune pour s’exprimer comme elle aime … L’ennemi n° 1 ? La routine, celle qui fige les attitudes et éteint la lumière magique d’un spectacle. En cela, Philippe Decouflé est celui qui porte la flamme et ravive l’essence artistique de ses danseuses pour que le spectacle soit ce petit miracle que l’on attend chaque fois… et que l’on trouve. Chorégraphe inclassable, Philippe Decouflé fait partie de ceux que les défis passionnent : c’est ainsi qu’il se lance, avec un succès qui fera le tour du globe, dans la chorégraphie de les cérémonies d’ouverture et de clôture des Jeux Olympiques d’Albertville ou la parade de lancement de la Coupe du monde de rugby en 2007… Aujourd’hui, le Crazy Horse propose à Philippe Decouflé un nouvel exercice de style, dans l’intimité confinée d’une scène de spectacle parisien … A 47 ans, il prend le relais de ceux qui ont encensé les nuits parisiennes en devenant le directeur artistique du temple des nuits mythique fondé en 1951. Ali Mahdavi, Directeur Artistique Si le talent a un visage, c’est indéniablement sous les traits d’Ali Mahdavi qu’il arpente la scène … Photographe des modèles les plus mythiques, designer pour les plus grands créateurs, illustrateur, artiste plasticien, chouchou des divas du show-business, ce jeune surdoué, œil énigmatique et incroyable touche-à-tout, transforme les scènes du quotidien pour recréer toutes les beautés du monde. Pour toutes ces raisons et parce que le Crazy est depuis toujours dans sa matrice créative, il vient aujourd’hui ajouter, auprès de Philippe Decouflé, un supplément d’âme artistique en revêtant le rôle capital de Directeur Artistique du nouveau spectacle Désirs ... Dans une rigueur sacerdotale, Ali Mahdavi entre au Crazy avec une obsession en tête : « Qu’est-ce qu’aurait fait Alain Bernardin aujourd’hui ? ». De là naît un travail à double visée : se battre obstinément pour réaffirmer les codes strictes du Crazy, à savoir la perruque au carré, le rouge à lèvres sang, les talons vertigineux, et faire éclore la création subversive, dépassant la bienséance mais toujours juste, qui est l’identité même de ce lieu rouge passion. Avec un subtil mélange de douceur et d’autorité, assemblant avec intelligence et finesse la réflexion à l’expression créatrice, Ali Mahdavi veut retrouver l’archétype de la femme séductrice qui maîtrise son pouvoir, jamais soumise mais au contraire menant le jeu… Tout le paradoxe de son travail auprès des danseuses est là : au cœur de cette « armée de beautés », chacune doit personnifier à sa façon, selon sa propre sensibilité et sa sensualité, le rêve abouti de la femme. Ainsi, une fois les audaces assumées, se dessine à travers chacune d’elles, la femme triomphante, charnelle, désirable, exaltante. Car, au cœur de son travail, Ali Mahdavi célèbre la femme, la plaçant au centre même de sa réflexion et de sa conception artistique : mystère sans cesse renouvelé, univers de tous les possibles, la femme apparaît transcendée par ce perpétuel désir qui l’entoure … Dans sa démarche, tout se passe comme si Ali Mahdavi, faisait ressurgir les modalités de la séduction, travaillant l’émotion inhérente aux tableaux de Philippe Decouflé pour faire frissonner le spectateur et le maintenir, une heure trente durant, en état de choc émotionnel et artistique… Grâce à lui, le virus du Crazy explore inconsciemment ce qu’il y a de plus intime en nous : notre capacité à succomber… Itinéraire impressionnant et 100% artistique pour Ali Mahdavi qui a ouvert les yeux à Téhéran, mais vit et travaille à Paris. Ecole Boulle, Ecole Duperré, designer pour Thierry Mugler, Royal College de Londres, Beaux-Arts de Paris, San Francisco Art Institute … Ce jeune prodige énigmatique exprime ses talents sur tous les fronts : photo d’art, de publicité, de mode, de stars, d’icônes, plasticien étonnant… Il est l’une des figures artistiques contemporaines les plus emblématiques de sa génération, castant les personnalités pour mieux traduire l’esthétique de son époque. Ayant déjà travaillé avec le Crazy Horse à l’occasion de la venue sur scène d’Arielle Dombasle, il est aussi celui qui mit en scène Dita Von Teese, revisitant pour elle le tableau « TeeseIng », en février 2009. Il s’inscrit tout naturellement dans l’univers du Crazy pour travailler avec Philippe Decouflé sur le nouveau spectacle Désirs, en tant que Directeur Artistique. Volga Moskovskaya, Show Manager « Le Crazy fait vraiment partie de ma vie. C’est là où j’ai tout appris : la féminité, la séduction, la scène … Cette nouvelle expérience Crazy est extraordinaire, le monde évolue, nous évoluons avec lui. » - Volga Moskovskaya. Aux côtés de Philippe Decouflé, Volga Moskovskaya, ancienne danseuse du Crazy Horse devenue Show Manager, collabore étroitement à la création des tableaux. Elle connait le Crazy, ses codes et secrets « par cœur », et représente une source inépuisable pour tout nouvel arrivant. Elle est notamment responsable de la formation de nouvelles danseuses et des répétitions. L’objectif de Volga est de permettre aux danseuses de donner le meilleur d’elles-mêmes tous les soirs. Entrée au Crazy Horse en 1995 en tant que danseuse, la future Show Manager du Crazy sera d’abord Capitaine puis Super Capitaine avant d’assurer l’ouverture du Crazy Horse à Las Vegas, puis à Singapore. Bien que la décision de quitter la scène fut difficile à prendre, Volga a fait ce choix il y a 3 ans, choix qui lui a permis de découvrir ce poste à responsabilités et à challenge, qui lui permet de découvrir l’autre côté de la scène et d’être parfaitement consciente des exigences du milieu artistique. Fifi Chachnil, Créatrice L’enthousiasme est sans aucun doute ce qui caractérise Fifi Chachnil, styliste inconditionnelle du Crazy et des corps des femmes. Son but ? Rendre à chaque femme le sentiment de SA beauté et de SA sensualité. Artiste curieuse et inspirée, elle a travaillé pour la musique, la photo, le cinéma pour mettre en œuvre son adage subtil : « la grace des femmes naît de leur courage et de leur confiance, les danseuses du Crazy en sont le plus sublime exemple ». Au Crazy, le costume concentre toute la densité émotionnelle d’une danseuse, ce qu’elle a envie d’afficher de sa sensualité. Il sublime le corps, souligne ses courbes et met en place le personnage qui s’harmonise avec la chorégraphie. Appelée par Philippe Decouflé, Fifi Chachnil conçoit les costumes de tableaux très spécifiques comme « La Crise » et « Infrarouge » ainsi que les uniformes des Crazy Mistress qui accueillent le public. Naissent ainsi des coupes impeccables qui inspirent l’ineffable chic français comme le tailleur de la danseuse de « La Crise », qui fait contraster la rigueur et la volupté. Ayant sillonné le monde artistique en tant que styliste auprès de Pierre et Gilles, Fifi Chachnill habille à la ville comme à la scène des personnalités aussi différentes que Valérie Lemercier ou Kate Moss. Elle ouvre son écrin 68 rue Jean-Jacques Rousseau et, plus tard, 231 rue Saint-Honoré à Paris, où elle crée pour les femmes une lingerie pétillante et gaie, ultra-féminine et inventive. Ses défilés au cours des années sont autant d’illustrations de la joie de vivre : « Avec plaisir », « Paris je t’aime », « Vive la vie », etc. Poupie Cadolle, Créatrice S’il était capital pour le Crazy Horse de conserver ses codes pour affirmer son identité, il était difficile de se passer de Poupie Cadolle. Digne héritière passionnée d’une dynastie de femmes vouées au culte du corps, de la séduction et du raffinement, elle est appelée pour dessiner et concevoir ce dans quoi elle excelle : les corsets. Habituée aux exigences de Monsieur Bernardin pour qui rien n’était jamais achevé, Poupie déploie son art au service du Crazy. Pour un tableau chargé de sensualité et d’érotisme, elle crée un corset qui magnifie le corps des danseuses. Il faut sublimer la femme sans que le costume ne prenne le dessus. Le corset est là pour capter les regards, donner une direction dans la lecture sensuelle que le corps des danseuses propose … Son âme de corsetière lui fait aimer les courbes, le galbe d’une hanche, la cambrure des reins … Costume de scènes, accessoires de beauté ou partie du corps à part entière… Les corsets de Poupie Cadolle apportent un supplément d’esthétique et de raffinement au corps des danseuses qui expriment une sensualité particulièrement savoureuse… Poupie Cadolle détient sans nul doute une partition essentielle de l’esthétique Crazy… Il est des passions familiales qui savent garder toute leur vitalité et leur génie ! C’est le cas de la maison Cadolle que dirige aujourd’hui Poupie. Ayant travaillé avec Alain Bernardin pour le Crazy dès les années 91-92, ayant été modelée à sa rigueur inouïe, son perfectionnisme absolu qui ne lui faisait lâcher aucun détail, elle dirige depuis 1970 l’une des plus jolies et prestigieuses maisons de lingerie et de corsetterie de luxe. Passionnée de création, elle remet au goût du jour le corset lacé, tout d’abord, pour le Crazy, puis pour toutes les femmes. Indéniablement, Poupie Cadolle est considérée telle une référence incontournable dans l'art de sublimer le corps des femmes. Fred Pallem, Compositeur Fred Pallem est un artiste-musicien-compositeur-passionné qui concentre en lui tout ce que l’on peut imaginer d’un talentueux compositeur de son temps : jonglant avec les rythmes et les genres, inspirés des musiques d’hier, d’ailleurs, d’aujourd’hui et recréant, comme pour son « Sacre du Tympan », révélé aux Victoires de la Musique, un univers unique dans lequel la musique prend corps et nous offre son extrême sensualité. Fred Pallem a cela de merveilleux qu’il sait transmettre dans ses compositions son amour profond de la musique, celle qui se dévoile, se découvre, dont les courbes se dessinent peu à peu et ne se livrent que dans une ultime inspiration. Sa musique crée des impasses magiques, des détours imprévus et donne lieu à de petits miracles musicaux. Il est un amoureux des surprises, des clins d’œil sonores malicieusement mis en scène : preuve en est, le titre de ses œuvres qui démontre une nouvelle fois que les grands artistes ne savent pas se prendre au sérieux. Lorsque Philippe Decouflé l’appelle pour Désirs, Fred Pallem fonce tête baissée, gourmand de savoir ce que cette curieuse machine mythique va lui inspirer… Des tableaux courts, entre 3 et 6 minutes, dont la musique doit tout de suite donner le ton et afficher une thématique. L’objectif est de donner sa respiration et sa couleur à chaque tableau et d’inspirer les danseuses, car l’on sait combien le rythme est un atout de la sensualité, une libération du désir. Ainsi, Fred Pallem construit-il le nouvel espace musical de Désirs en jouant avec nos références : mêlant le jazz et les cuivres chauds, les voix des femmes et les souffles sensuels, les orchestrations pétillantes et les mélodies envoutantes… On voyage avec lui d’un univers à un autre, jamais secoués dans l’espace, toujours portés par une incroyable énergie qui donne envie, toujours, d’en écouter un peu plus … Autodidacte, Fred Pallem découvre la musique à 14 ans: pop-rock puis jazz, il saisit vite les mécanismes de la composition et de l'orchestration. Après le Conservatoire National de Musique de Paris, il devient en 1996, le compositeur de la Troupe du Phénix (théâtre et music hall) crée par Guillaume Cramoisan et Laurent Madiot. Il crée son orchestre, Le Sacre du Tympan en 1998 composé d’une vingtaine de jeunes musiciens qui obtient en 2006 la révélation Jazz aux Victoires de la musique. En 2007, il prend la direction de l’Orchestre de la Boule Noire et crée en 2008, un spectacle pour le festival de jazz de la Villette. En avril 2009, Il participe au projet de l'exposition Jacques Tati à la cinémathèque française, en montant un ciné concert avec Mathieu Chedid en invité. Hilton McConnico, Designer Une bouche-bisou rouge, comme mordue avec passion, un velours noir qui tranche avec une blondeur immaculée, une cambrure audacieuse et des talons qui étirent la jambe à l’infini … En jouant avec les codes historiques du Crazy Horse, Hilton McConnico célèbre avec sa fibre artistique le temple de la féminité et crée pour le nouveau spectacle, une affiche qui conjugue ingénieusement l’épure et l’impertinence. La conception graphique était un challenge en soi : il s’agissait de trouver un sens de lecture cohérent, qui permette à la fois de rassurer sur l’ancrage dans l’histoire et d’affirmer le nouvel élan du Crazy Horse. En quelques mots, revisiter les éléments du passé pour les réinvestir dans le présent. La difficulté tenait dans le fait de ne pas tomber dans le lieu commun du cabaret, vulgarisation d’un amalgame mal construit. Toute la magie du Crazy tient dans le juste équilibre de ses valeurs, dans la prise de risque, toujours contrôlée, dans le jeu subtil de l’hyperféminité et de la provocation, de l’image de femmes qui s’offrent aux regards pour se dérober ensuite. La séduction vient de ce jeu de cache-cache sensuel. L’affiche annonce ici l’icône, la femme qui serait à elle seule toutes les femmes à la fois grâce à l’absence de visage. Une muse qui prend la pose et qui attend le regard de l’autre, évocateur, provocateur … Hilton McConnico joue avec l’ADN du Crazy Horse et lui offre, à travers son affiche, l’étendard universel d’une conquête jamais aboutie : la femme éternelle et universelle Designer américain, Hilton McConnico a démarré sa carrière dans la mode comme créateur pour Yves Saint Laurent et Ted Lapidus. A la fois scénographe, designer, décorateur, graphiste, peintre, photographe, cinéaste… et poète, il crée depuis 1988 des collections pour des éditeurs dont certaines, comme les Cactus de Daum, intègrent dans les collections permanentes de nombreux musées à travers le monde. En 1983, il reçoit le César du meilleur décor, pour La lune dans le caniveau de JeanJacques Beineix. Il a aussi réalisé une trentaine de films publicitaires et des vidéo-clips. LE SHOW Les nouvelles créations allient modernité et esthétisme absolu : lumières « made in Crazy », effets spéciaux surprenants, costumes précieux et élégants, rythmes de musiques nouvelles… Désirs nous enveloppe tel un songe inoubliable ! GOD SAVE OUR BARESKIN Une armée de beautés ! Ce numéro légendaire ouvre le show depuis 1989 CHUCHOTEMENTS Un regard indiscret en coulisses GOOD GIRL Insolente et ravissante … LITHION Un voyage dans l’espace RED SHOES Un hommage à toutes les ballerines FINAL FANTASY Entre douleur et plaisir SCANNER Hyperfréquences extatiques UPSIDE DOWN Un kaléidoscope de sensualité ROMAN & SLAVA Un numéro de claquettes présenté par des jumeaux ukrainiens à la réputation mondiale CRISIS ! WHAT CRISIS ? La solution à la crise financière ? LEGMANIA Une présentation unique de jambes interminables DYNASTY Un jeu de pouvoir et de séduction ROUGIR DE DESIR Touchée par la lumière DESIR Le tout Paris est au Crazy … ! LES DANSEUSES BABY LIGHT Française, Taureau, blonde aux yeux verts DAISY BLU Française, Bélier, blonde aux yeux bleus DIVA NOVITA Française, Poisson, brune aux yeux verts FIAMMA ROSA Russe, Gémeaux, brune aux yeux marron JADE OR Française, Poisson, châtain aux yeux bleus KANELLA CHADO Française, Scorpion, brune aux yeux marrons LUMINA CLASSIKA Française, Sagittaire, blonde aux yeux marron VOLTA REINE Française, Capricorne, blonde aux yeux marron YASNA SNIGOURA Russe, Gémeaux, châtain aux yeux bleus ZULA ZAZOU Française, Scorpion, brune aux yeux marron verts LOA VAHINA Française, Verseau, châtain aux yeux marron LIV MENOT Française, Poisson, brune aux yeux marrons MIKA DO Française, Lion, brune aux yeux marrons NOOKA KARAMEL Française, Balance, blonde aux yeux verts PSYKKO TICO Française, Gémeaux, rousse aux yeux marron verts Les « Golden rules » du Crazy… ou comment devenir une « Crazy Girl » : - Taille entre 1,68 et 1,72 cm Longueur des jambes requise par rapport au buste = 1/3 – 2/3 Mesure entre les deux pointes de seins = 21 cm Du nombril au pubis = 13 cm Avoir une formation en danse classique Avoir un talent d’actrice L’ECRIN Une nouvelle salle axée sur la convivialité et la modularité A l’origine, le Crazy Horse était une cave, rive droite. Les clients y venaient pour boire un verre et admirer Rita Renoir, Poupée la Rose, Bertha Von Paraboum, Lova Moor ou Rosa Fumetto. Assis autour de petite tables ou bien debout au bar, l’ambiance incomparable qui régnait au 12, avenue George V était aussi due à cette salle. En 1989, date des précédents travaux, Alain Bernardin avait disposé la Crazy tel un petit théâtre avec des fauteuils en gradins figés. Complètement réaménagé en 2007, le nouveau Crazy offre encore davantage de convivialité. Au centre de la salle des fauteuils encerclent à nouveau des petites tables pour créer des ambiances intimes et chaleureuses. De part et d’autre, de confortables banquettes permettent au public de profiter du spectacle dans les meilleures conditions possibles. Au fond de la salle, des Box VIP accueillent quelques privilégiés. Chacun peut apprécier et partager le spectacle en couple ou entre amis : se réunir et mettre en commun ses impressions du show est désormais possible. Selon Andrée Deissenberg, Directrice Générale, « Cette salle est conçue pour recréer une dynamique de convivialité. Le public consomme le Crazy qu’il souhaite. » La nouvelle salle, toujours rouge, parée de velours, de laque et de miroirs, a aussi été conçue pour être modulable. L’objectif était de recréer un lieu où chaque élément du spectacle et de la salle puisse être changé, comme lorsqu’on ouvre puis l’on ferme les tiroirs d’une boîte à bijou. L’ambition du Crazy est de pouvoir faire vivre des soirées différemment, pour attirer des guest créateurs qui apportent alors leur savoir-faire et leurs créations le temps d’une soirée. De cette manière, le Crazy saura toujours attirer de nouvelles créations et se réinventer chaque jour. « Il s’agit aussi, et c’est fondamental, de pouvoir répondre à l’ensemble des demandes, dont celles des entreprises souhaitant organiser des privatisations. A présent, un événement au Crazy peut aisément être précédé d’un cocktail ou d’un diner et poursuivi par une soirée dansante. » poursuit la Directrice Générale. Les travaux ont été confiés à Ugo Truscelli, l’architecte historique du Crazy ainsi qu’à Anne Derasse, une jeune architecte d’intérieur belge. Saviez-vous que ? Préalablement aux travaux de rénovation entamés en juillet 2007, l’établissement a souhaité faire profiter du mythe du Crazy Horse en mettant en vente ses anciens fauteuils et banquettes. Dessinés en 1989 par Alain Bernardin lui-même, les fauteuils étaient d’inspiration années 30 et tapissés d’un velours rouge foncé, le rouge Crazy. « En se portant acquéreur de l’un de ces fauteuils, on achète aussi un petit bout de la légende ! » disait le Crazy, car il faut savoir que ces fauteuils ont accueilli des personnalités aussi illustres que David Bowie, Francis Ford Coppola, Gérard Depardieu et plus récemment, Michel Houellebecq, Kylie Minogue, Michel Polnareff, Sting ou encore Madonna. SAVIEZ-VOUS QUE ? Les danseuses • En 58 ans, près de 650 danseuses sont montées sur la scène du Crazy. • Des auditions ont lieu au Crazy Horse tous les mercredis. • Le Crazy Horse reçoit plus de 500 candidatures spontanées de danseuses par an et ne signe qu’une vingtaine d’entre elles. • Le corps des danseuses doit toujours correspondre aux critères esthétiques établis par Alain Bernardin. • Chaque danseuse est baptisée d’un nom de scène lors de son entrée au Crazy Horse. • Les loges des danseuses sont totalement interdites aux hommes. Les guest stars En 2006, le Crazy Horse a souhaité ouvrir ses portes à des femmes d’exception, le temps de représentations exclusives et exceptionnelles. Dita Von Teese fut la première guest star dans l’histoire du Crazy Horse en Octobre 2006. Elle sera suivie par : • Arielle Dombasle – Février 2007 • Dita Von Teese – Avril 2007 (au Crazy Horse à Las Vegas) • Pamela Anderson – Février 2008 • Dita Von Teese – Février 2009 • Carmen Electra – Juillet 2009 (au Crazy Horse à Las Vegas) Le Crazy, les artistes et les personnalités Le Crazy a toujours inspiré les plus grands artistes : • Hilton McConnico a crée l’affiche de Désirs. Salvador Dali a dessiné le canapé en forme de lèvres et César a crée l’affiche du spectacle Teasing. • Depuis 1951, des personnalités du monde entier sont venues applaudir les danseuses du Crazy Horse. En 2009, elles ont été applaudies par Michael Baryschnikov, Bono et les membres de U2, Yann Queffelec, Pink, Christina Aguilera, Jay Z, Kylie Minogue, Jean Paul Gaultier, Steven Spielberg, François Xavier Desmaison, Kayne West, Garou, Patrick Bruel, Patricia Kaas, Vera Wang, Lio, Clothilde Coureau, Samuel Le Bihan, Sonia et Nathalie Rykiel, Elie Saab, Christian Louboutin, Christophe, Frederic Begbeider, John Todt ou encore Beyonce… • De grands couturiers ont toujours collaboré à la création des costumes. Entre autres, Paco Rabanne, Azzedine Alaïa, Karl Lagerfeld, Loris Azzaro, Jean-Louis Scherrer, Emmanuel Ungaro ou encore Christian Louboutin. • Deux danseuses du Crazy Horse – Nooka Karamel et Baby Light -- ont été les modèles pour David Lynch pour son projet « Fetish » en collaboration avec Christian Louboutin … Les costumes et le maquillage De grands créateurs ont toujours collaboré à la création des costumes et souliers. C’est ainsi que : • Christian Louboutin a dessiné les souliers de « Teasing », « Rougir de désir » et « Upside Down ». • Fifi Chachnil signe la tenue de la PDGère dans « Crisis ? What Crisis ! » • Poupie Cadolle a crée les corsets de « Petit Ballet ». • Monsieur Carel, qui a créé les casques dans « Venus », est spécialisé dans les couvrechefs complexes. Il travaille pour de grands créateurs tels que John Galliano ou Alexander McQueen. • Il a fallu 10 heures de travail pour créer le casque d’astronaute de « Venus ». • Chaque danseuse dispose de six paires de chaussures faites sur mesure, ce qui correspond a 360 paires pour l’ensemble de la troupe. • Chaque soir, ce sont 65 costumes sur scène. • Les quelques 120 accessoires sont fabriqués au sein du Crazy. • 2500 paires de bas sont utilisées chaque année. • Les danseuses utilisent 500 litres de maquillage de corps par an. • 300 rouges à lèvres spécialement fabriqués dans le ton « Rouge Crazy » sont utilisés chaque année. • Chaque danseuse se maquille elle-même selon un modèle établi. Le 12 avenue George V • A l’origine, la salle du Crazy Horse était une cave à vin… Aujourd’hui, l’établissement est constitué de 12 caves réunies. • Le nom du cabaret est en hommage au chef Sioux Crazy Horse. • Depuis ses débuts, le Crazy Horse a été visité par plus de 6 millions de spectateurs. • Le Crazy a présenté un spectacle sur scène plus de 45 000 fois. Le Crazy à Las Vegas • Le Crazy présente un spectacle permanent au MGM Grand depuis juin 2001. • La salle peut accueillir 300 personnes et est une réplique de celle de Paris. • 14 danseuses y présentent le show Taboo tous les soirs sauf le mardi. CE QU’ILS EN DISENT … « Je suis fou du Crazy, toujours et à jamais … » Jean-Paul Gaultier « Magique ! » Steven Spielberg « Always so entertaining and so beautiful ! » Christina Aguilera « La femme parfaite. Vive le Crazy Horse !!! » Patricia Kaas « Le Crazy… toujours aussi magique ! » Albert de Monaco « We all loved the show. Thank you ! » Michelle Pfeiffer « Still crazy about the Crazy ! » Steve Tyler « Un des meilleurs shows que j’ai vus » Olga Kurilenko « What a beautiful show ! » Naomi Watts « It was a wonderful evening! A magnificent show !!! » Hugh Hefner « What a great vibe » Boris Becker INFORMATIONS PRATIQUES Formules Le Champagne-Spectacle A partir de 85€* Le spectacle & ½ bouteille de champagne Le Dîner-Spectacle (Chez Francis, Fermette Marbeuf, Fouquet’s, Pershing Hall) A partir de 180€* Le Champagne-Spectacle & le dîner chez l’un de nos partenaires Le Dîner-Croisière-Spectacle (Bateaux-Mouches) 215€* Le Champagne-Spectacle & le dîner-croisière sur les Bateaux-Mouches Le Box VIP A partir de 1 000 € Accueil VIP & service vestiaire prioritaire 1 Eggxiting** by Petrossian par personne La « Sélection du Connaisseur », une carte dédiée composée de champagnes et de boissons premium. *Ces tarifs s’entendent par personne et toutes taxes comprises. ** 12 g de caviar d’élevage - Petrossian Salle 280 m² - 250 personnes assises - Jusqu’à 350 personnes en cocktail Espace central avant-scène et mezzanine amovibles Possibilité de monter une piste de danse, créer un carré VIP Salon VIP Au cœur de nos coulisses, ce lieu exclusif est l’âme du Crazy. Anciennement bureau d’Alain Bernardin, il est le symbole de notre héritage artistique et créatif. Prestations à la carte - de 2 à 10 personnes. Horaires du spectacle Du dimanche au vendredi: 20:15 & 22:45 Le samedi : 19:00, 21:30 & 23:45 Renseignements et réservation Par téléphone au 01 47 23 32 32, tous les jours de 10:00 à minuit Ou en ligne www.lecrazyhorseparis.com Accès Taxi 24h/24h Parking public : Alma-George V Parking autocar : Quai Albert Ier Bus 42, 63, 72, 80 et 92 - Arrêt Alma Marceau Ligne 9 – Métro Alma Marceau Ligne 1 – Métro George V RER A – Station Charles de Gaulle – Etoile
Documents pareils
fAbuLeux CrAzy Horse : « qui es-tu Derriere Ces
HORSE
Le Crazy Horse – également communément nommé Le Crazy – fut fondé à Paris en
1951 par Alain Bernardin, artiste avant-gardiste et insatiable admirateur des femmes.
Egalement fasciné par les Et...