Les premiers pas d`une jeune diplômée - Institut Saint

1
SOMMAIRE
p.4
p.5
p.6
p.7
p.8
p.9
p.10
p.11
p.12
p.13
p.14
Editorial
Une Californienne nous amène le soleil !
Cher CinéFIFF
Nuit des premières
Retraite des 5èmes
Ambleteuse
WebTV : le logo, c’est pour bientôt !
Saint-Berthuin s’offre une beauté
Les premiers pas d’une jeune diplômée
Elle révolutionne les maths : Mme Havard
Les Brugeois débarquent
Dernière minute
Les lauriers des anciens
KRABOUDCHA
p.18
p.19
p.20
p.22
p.24
Cuisine
Jeux
Testez-vous !
TOP 10
INSOLENCE NOUVEAU
2
C’est reparti pour un an de GRIBouille. Et tout ça juste
pour vous !
Cette année, grande résolution : encore plus de
nouveautés ! Vous pourrez donc retrouver dans votre
GRIBouille la partie KRABOUDCHA qui a été créée
pour les jeunes de notre école.
Dans KRABOUDCHA, vous constaterez la présence de
vos jeux favoris, d’un top 10, d’une recette de prof, d’un
test et d’une nouvelle
rubrique
du
nom
d’ INSOLENCe.
Et oui, notre revue est avant tout consacrée aux activités
qui se déroulent à Saint-Berth’. C’est pour cela que nous
avons décidé de créer une rubrique only for teenagers*,
où les étudiants découvriront des sujets qui les
concernent directement, tels que la drogue, les
tatouages, les MST, la contraception, les piercings, etc.
Tout ceci dans le but de vous informer de façon
objective.
Ces changements sont réalisés pour vous plaire et vous
intéresser encore plus !
Et n’oubliez pas, chers lecteurs, si vous voulez que vos
textes ou vos dessins apparaissent dans la prochaine
édition, c’est par là : [email protected]
On compte sur vous !
Bonnes vacances et
Joyeux Noël à tous !
La rédac’ ISBM
*only for teenagers signifie seulement pour les jeunes
3
Cette année, nous avons la chance d’accueillir dans notre école un petit
bout d’Amérique, dans le cadre d’un échange linguistique : Hillary, qui vient
tout droit de Californie.
Cette jeune étudiante a décidé de venir dans notre beau pays car sa sœur y
était déjà venue dans le même but. Celle-ci était rentrée avec de
merveilleux souvenirs de cette année en Belgique.
Le français est une langue très
renommée là bas. Mais le plus
important n’est pas là, Hillary estime
que c’est aussi important pour elle de
connaître d’autres cultures très
différentes de la sienne.
Voici
quelques-unes
de
ses
impressions à propos de son arrivée
en Belgique mais aussi de son entrée
à l’école.
« Lorsque je suis arrivée en Belgique,
j’ai trouvé que les paysages étaient
beaux mais qu’il faisait assez froid !
C’est pourquoi je me suis acheté des
bottes car dans mes petites
ballerines, mes pieds gelaient…
Dès mon arrivée dans votre école, j’ai
été assez surprise du fait que le
nombre d’élèves est très inférieur au nombre d’élèves de mon école.
(ndlr : l’école d’Hilly compte +/- 2600 élèves) Mais ce qui est d’autant plus
différent, c’est la sympathie des étudiants et l’accueil qu’ils m’ont réservé
car, dans mon pays, il y a beaucoup de groupes de personnes et tout le
monde ne se parle pas.
Il faut aussi savoir que la vie en Belgique est beaucoup moins stressante
qu’aux USA.»
Hillary est contente d’avoir été accueillie en Belgique car c’est un pays très
beau et que les gens y sont très sympathiques.
Emeline L.
4
Cette année 2008 a eu lieu
la 23ème édition du Festival
International du Film
Francophone à Namur.
Une fois de plus, le FIFF a
rempli les salles du Caméo,
de L’Eldorado, de
l’Acinapolis et de la
Maison de la Culture, tout
en proposant des activités
diverses aux étudiants.
douloureuses pour parvenir à
quitter leur pays. Le but étant
de montrer les vraies raisons
et conditions de l’immigration
vers la Belgique : les nuits
passées dans le froid,
l’obligation de trouver une
certaine somme d’argent en
très peu de temps, ne pas
avoir la certitude d’être vivant
le lendemain…
Cette édition avait pour
thème « les droits de
l’homme » représenté par
différents films et
expositions. Notamment
celle consacrée à
Jean-Michel Folon. Il a en
effet imaginé de
nombreuses affiches sur
les droits des personnes.
Lors de la visite au FIFF, les
5èmes ont visionné « 57 000 km
entre nous » réalisé par
Delphine Kreuter et
interprété par Mathieu
Amalric, Florence Thomassin,
Pascal Bongard, Marie
Burgun et Hadrien Bouvier.
C’est l’histoire de Nat, une
jeune fille qui erre entre le
monde réel et virtuel. Ce film
parle des effets néfastes
d’Internet sur les gens…
Outre les expositions,
certains étudiants ont eu la
chance d’assister à
différents témoignages
d’immigrés, racontant
leurs expériences
5
Les rhétos, eux, ont pu
voir « D’un mur l’autre :
De Berlin à Ceuta » réalisé
par Patric Jean. De
l'ancien mur de Berlin à
Ceuta, ce film
documentaire nous
montre les différents
aspects de la vie après
l’immigration et les
conséquences
de celle-ci…
Comme chaque année,
les élèves de
Saint-Berthuin n’en
ressortent pas déçus et
attendent avec
impatience l’année
prochaine…
Flore M.
Elisabeth De K.
Comme chaque année, les élèves de première ont eu l’opportunité de
passer une nuit à l’école, début septembre, afin de mieux se connaître et de
découvrir un peu plus les locaux qui nous abritent depuis tant d’années et aussi…
l’internat ! Et oui, nos étudiants en herbe ont dormi dans l’ancien internat, le
même qui vous a peut-être, chers parents, hébergés lorsque vous étiez aussi à
Saint-Berthuin.
Les élèves ont participé à des jeux pour faire connaissance avec leurs futurs
voisins de banc. Et, évidemment, avec certains de leurs professeurs.
Tout s’est déroulé dans la bonne humeur et les élèves avaient l’air assez
satisfaits de cette expérience !
C’est donc sans regret que nous remettrons ça l’année prochaine.
Océane N.
Petites confidences entre amis
Une grande première
pour les cinquièmes de
notre institut : eux aussi,
à leur tour, ont droit à
une retraite au monastère
de Maredsous. Celle-ci
s’est déroulée les 15 et 16
octobre derniers pour les
élèves
désireux
d’y
participer.
C’est une dizaine d’élèves
qui ont pris la direction de
Maredsous pour 2 jours
d’activités enrichissantes.
Grâce à celles-ci, ils ont pu
apprendre à mieux se
connaître mais également
à réfléchir à leur avenir,
affronter leur(s) phobie(s)
et/ou se remettre en
question.
Voici la réaction de deux
professeurs accompagnant ce
groupe
de
jeunes
adolescents.
« Ce fut une première
expérience
réussie
et
même motivante pour les
années à venir.
« Les élèves
ont été
authentiques ! »
Il faut conserver ces
activités
car
elles
permettent de se décentrer
des
préoccupations
superficielles et de se
concentrer sur l’essentiel.
Les
élèves
ont
été
exceptionnels,
vrais,
profonds, honnêtes et
intéressants. Tout cela
arrosé de bonne humeur
et de générosité. Vivement
la suite… » Isabelle Woltèche
Selon les élèves, après
cette retraite, ils prennent
un peu de recul sur la vie,
voient plus facilement le
côté positif des choses, et
prennent plus le temps de
réfléchir sur eux-mêmes et
leurs problèmes. C’est
ainsi qu’ils sont rentrés
chez eux pleins de joie.
Kimberley G.
Aurore V. de V.
6
Comme chaque année, les classes de deuxième sont
allées en classe de mer à Ambleteuse du 22 au 26
septembre.
Les élèves sont partis en car pour le centre
« Cap d’Opale » où ils ont participé à de nombreuses
activités.
Les activités culturelles telles que, visite de Nausicaà, le
musée de la guerre, char à voile… Une chose a changé :
la visite du château de Douvres. Cette dernière a été
organisée de façon plus complète grâce à l’aide de
Madame Forgeur et Madame Defaux (qui s’y étaient
rendues durant leurs vacances).
Nous tenons à remercier les élèves qui ont participé au voyage, mettre en avant leurs
attentions et leur respect. Ils ont été félicités par des personnes extérieures à l’école
pendant leur séjour.
Maximilen K.
Une date à
retenir : le 6
février dès
17h30 :
exposition et souper ‘Ambleteuse :
l’invitation ‘officielle’ sera
distribuée en janvier.
WebTV : le logo, c’est pour bientôt !
L’année
passée,
les
élèves
de
complément
français
(avec
M.
Moreels) ont créé une WebTV pour Saint-Berthuin . Aujourd’hui, elle
est en ligne (sur http://www.isbm.be/webtv) à l’état embryonnaire
mais ce stade n’est que provisoire !
Aujourd’hui, les choses se concrétisent
et
les croquis de logos
sont arrivés tout droit du cours de dessin de M. Van Dijck ! Les
créations doivent
encore être
informatisées et
perfectionnées
mais les choses avancent.
Toute l’équipe tient donc à remercier M. Van Dijck et tous ses
élèves
pour
les
efforts
qu’ils
fournissent
tant
au
niveau
artistique qu’au niveau créatif !
Les élèves de 5 et 6èmes
complément français
7
Cela fait longtemps que l’on nous
promet une nouvelle cour. Et enfin, nous l’avons !
Pendant que nous étions tranquilles, en train de
bronzer autour de notre piscine durant les vacances,
de gentils travailleurs ont repensé, redessiné et refait
notre cour. Nous en sommes ravis, d’autant plus qu’ils
nous ont même refait un petit espace vert avec de
nouveaux bancs.
La chose la plus attendue : notre salle d’étude, dont la construction
avait démarré au mois de mai de l’année passée, est enfin
opérationnelle ! Par contre, il y a quelques inconvénients. Par
exemple : l’ambiance qui y est très froide et le manque de fenêtres.
Mais arrêtons de nous plaindre, ces changements étaient attendus
puisque l’on commençait à manquer de place.
Ils nous ont gâtés au plus haut point car dans
cette salle se trouvent de nouveaux bancs et
de nouvelles chaises ce qui est plutôt
confortable…
Nous remercions notre cher directeur de
nous avoir apporté de tant de confort et
d’esthétique.
Emeline L.
8
Les premiers pas d’une jeune diplômée
Seconde remplaçante de Monsieur Pierre-Jacques Marchal, Madame Riga
fait ses « premiers pas » dans l’univers scolaire.
Cette jeune prof, née en
1981, à Huy, est venue
prendre le relais de
Madame Poullet.
C’est ainsi qu’elle se
retrouve professeur dans
n o t r e in s t it u t p o u r
quelques semaines pour
le s c o u r s d e s c ie n c e s
sociales en 4,5,6 et de
religion en 5 et 6èmes.
Un passé chargé
Elle fait ses primaires
ainsi que sa première
secondaire à Huy, à
l’Institut Sainte-Marie.
A 13 ans, p o u r d e s
raisons professionnelles, s e s
parents déménagent en
France dans le massif
central. Elle continue ses
études en France et
o b t ie n t
son
Bac
scientifique alors qu’elle
n’est pas vraiment douée
pour
le s
s c ie n c e s
e x a c t e s . A p r è s a v o ir
obtenu celui-ci, elle a
voulu revenir en Belgique
t e r m in e r s e s é t u de s ,
mais suite à un problème
d’équivalence, elle n’a pu
rentrer directement à
l’université. C’est donc à
ce moment-là qu’elle en
profite pour partir un an
en
Angleterre
pour
parfaire son anglais, et
travailler en tant que
serveuse dans un hôtel.
En 2001, elle rentre à
l’Université de Liège en
information
et
c o m m u n ic a t io n . E l le
obtient sa licence dans
cette branche avec une
s p é c ia l is a t io n
en
a n t h r o p o lo g ie .
E n s u it e , elle passe son
agrégation.
Après la fin de ses
études, elle se retrouve
découragée car sa vie
d’étudiante lui manque.
E l le la n c e , a v e c u n e
a m ie , u n e e n t r e p r is e
d’événements
ma is
arrête deux ans plus tard
car elle n’avait pas l’âme
d’une femme d’affaires
mais en retient une
bonne expérience.
Prof ?
Pour elle, c’était une
vocation. Elle a toujours
voulu l’être. Ainsi petite,
e l le
j o u a it
déjà
l’institutrice. Cette
profession ne plaisait pas
9
vraiment à ses parents,
mais
pour
elle,
l’important,
c’est
de
pratiquer un métier que
l’on aime.
Elle
aime
cette
profession car, selon elle,
elle est toujours « ado »
dans sa tête et donc elle
aime le contact avec
d’autres ados. Donner
cours
pour
elle
est
synonyme de plaisir.
Une autre raison est que
ce métier permet de
continuer à apprendre
que ça soit en préparant
son cours, par le biais
des élèves et des autres
professeurs.
Expérience à SaintBerthuin
Premier intérim. Mais pas
première fois devant une
classe car, durant son
a g r é g a t io n ,
e l le
a
effectué trois stages de
trois semaines en région
liégeoise.
Très stressée bien sûr
durant les premiers jours
mais, au fil des heures,
elle s’est sentie de plus
en plus à l’aise.
Après quelques semaines
de remplacement dans
notre institut, elle nous a
confié
qu’elle
en
garderait
un
bon
souvenir.
Aurore V. de V.
Elle révolutionne les maths : Mme Havard !
Suite à notre consommation excessive de professeurs de math, nous avons
encore ajouté à notre liste une nouvelle recrue (ndlr : troisième professeur
depuis l’année passée).
Cette prof qui nous vient de Bruxelles est très
agréable !!!
Celle-ci se nomme Madame Havard. Il y a
quelque temps, cette licenciée en math n’avait
aucune idée de son avenir professionnel. Elle
s’est alors découvert une vocation pour le
métier de prof de math dans le secondaire.
Avant d’atterrir dans notre chère école,
Madame Havard donnait des cours dans une
école bruxelloise dans un milieu social, culturel
et professionnel différent.
Elle nous dit également que c’est cette
différence qui l’a marquée en arrivant à SaintBerthuin.
Changeons de sujet, passons à notre propre
impression. Globalement, nous sommes assez
surpris par la « qualité » de son cours, car il est assez agréable à suivre et
compréhensible
En tout cas, j’espère que cette année de cours de math se passera plutôt
bien.
Je vous en dirai des nouvelles ….
Emeline L.
10
Les Brugeois débarquent !
Les 1,2 et 3 octobre, les élèves de 4ème
langue 1 néerlandais ont eu l’opportunité
d’accueillir des élèves de Bruges. Cet
échange linguistique entre Saint-Berthuin et
cette école flamande se fait maintenant
depuis presque 6 ans. Voici le programme
de leur séjour à Malonne.
Le mercredi après-midi, les élèves de l’ISBM
ont pu mieux faire connaissance avec leurs
correspondants. Toute la journée du jeudi
était consacrée à une sorte de rallye dans
Namur. Tous ont eu droit à un questionnaire
avec des questions en néerlandais et
d’autres en français. Pour leur dernière
matinée dans notre école, nos jeunes
étudiants du Nord ont pu choisir entre une
activé sportive ou un jeu sur PowerPoint. Et
pour le plaisir de chacun, cette journée s’est
terminée par des jeux en bois.
Malheureusement, toutes les bonnes choses
ont une fin puisqu’une partie de nos invités
est repartie vers 16h le vendredi. Les
autres ont eu la chance de rester
jusqu’à la fin du week -end.
D’après nos témoignages, les Brugeois ont
adoré venir ici car nous sommes très
sympathiques mais ont moins apprécié la
vétusté de certains locaux. Ils pensent que
cet échange linguistique permet d’améliorer
l’apprentissage de la langue et montre à
nos très chers politiciens que le conflit
politique ne les concerne qu’eux
seuls.
Kimberley G. Océane N.
11
Dernière minute …
Ce 12 décembre dernier, Mme Conjaerts et les élèves de
première ont présenté à une salle des fêtes pratiquement
remplie, un concert de Noël très applaudi. Un ‘mini’ marché de
Noël était également organisé. Plutôt qu’un long discours, voici
quelques photos et sur le site de l’école vous avez la possibilité
de (re) voir ce concert : http://www.isbm.be/concertnoel.php
12
LES LAURIERS DES ANCIENS
Voici un premier aperçu de résultats obtenus par des anciens dans l’enseignement
supérieur ou universitaire au cours de l’année académique 2007-2008. Nos
félicitations et nos meilleurs vœux pour la poursuite de leur cursus.
UNIVERSITE CATHOLIQUE DE LOUVAIN
William RIGUELLE (2006)
1er bac en information et communication
Laurent WILVERS (2002)
Année préparatoire au master en criminologie
Florence DEMOULIN (2004)
3ème bac en Droit
Cyrielle CLAES (2002)
3ème licence en Droit
Sébastien FREDERICK (2003) 3ème bac en sciences de motricité
Anne-Laure BERHIN (1998)
2ème licence en sciences de la santé publique
Xavier VAUSE (2003)
1er master ingénieur civil électricien
Gaétano TERMINE (2002)
1er master en sciences européennes
Diane BERTRAND (1998)
1er master en sciences de l’éducation
Patrick VERHAEVERT (1981) Master en sciences de l’éducation
Dimitri DEVILLERS (2006)
1er bac en sciences de l’ingénieur, ing civil.
Natassia SCHUTZ (2003)
1er master en langues et littératures germaniques
Charlotte DIJON (2005)
1er bac en kinésithérapie et réadaptation
Martin DUBOIS (2006)
1er bac en kinésithérapie et réadaptation
Marjorie DUFAUX (2000)
4ème doc en médecine
Natacha DUMORTIER (1989)
1er master en politique économique et sociale
Virginie LUCCHETTA (1996)
2ème année d’étude spécialisée en psychothérapie
Chloé deeTHOMAZ
1er bac en sciences psychologiques et de l’éducation
de BOSSIERE (2005)
Elise DERMIENCE (2006)
1er bac en sciences psychologiques et de l’éducation
Mélanie DEBRUXELLES (2003) 2ème bac en sciences psychologiques et de l’éducation
Marion AVRIL (2005)
2ème bac en sciences psychologiques et de l’éducation
Kee Sung CAILTEUX (2004)
3ème bac en sciences psychologiques et de l’éducation
Anne VAUSE (1998)
DEA en sciences psychologiques et de l’éducation
Simon-Pierre MATHY (2003)
1er master en sciences psychologiques et de l’éducation
Thibaud PETIT (2001)
3ème licence en sc. psychologiques et de l’éducation
Stéphanie TERWAGNE (2004) 3ème bac en langues et littératures modernes
Anaïs BERGER (2003)
1er master en sciences biomédicales
Arnaud DERMINE (1999)
Agrégation de l’enseignement secondaire supérieur.
Dominique DALNE (1979)
3ème licence en politique économique et sociale.
UNIVERSITE DE LIEGE
Julie MABILLE
Céline DERMIENCE
Mélina BAZIER
Alexandra JANSE
Alexis DE PAUW
Pierre GERARD
Emilie FAURE
Quentin SIMON
Annabelle DELIRE
2ème bac pharmacie
3ème pharmacie
1er bac informatique et communication
2ème licence en sciences psychologiques
3ème bac ingénieur civil
Doctorant en sciences de l’ingénieur (ing civil)
Agrégation enseignement secondaire supérieur
DEA en sciences
Doctorante en sciences chimiques
Doctorant en sciences océanographiques
Master en sciences de gestion
13
Denis RUYSSEN
2ème master en sciences de gestion
FACULTES UNIVERSITAIRES DE GEMBLOUX
Christophe FISHER
1er master en bio-ingénieur chimie et bio-industries
Christine FREDERICKX
3ème bio-ingénieur protection des végétaux.
FACULTES UNIVERSITAIRES SAINT-LOUIS
Karolin ARARI-DHONT
2ème bac en droit
Gautier BEAUJEAN
Diplôme d’études spécialisées en droit de
l’environnement et droit public immobilier
HAUTE ECOLE ROI BAUDOUIN
Corentin PONCELET
2ème bac en sciences industrielles
HENAM
Esteban ANTON-NAVA
Emilie ARNOLD
Ludivine AUBRY
Claire AVRIL
Jonathan BAJART
Sandrine BERNARD
Marion CHEFFERT
Joanie CLUENTIUS
Siegfried DAVREUX
Sophie DEBLIECK
Raphaël DEHENEFFE
Bastien DELVAUX
Catherine DEMOULIN
Stéphanne DIEUDONNE
Julien DUPONT
Gwennaëlle DUVIVIER
Marie FRERES
Sophie HALLEUX
Thomas HENDRICK
Gilles IGOT
Thierry JAMART
Tatiane LAHAUT
Elodie LAMBERT
Jérôme LEFEBVRE
Frédéric LEFEVRE
Laura LOWIES
Diana MALHERBE
Alindawa MANDIKI
Vanessa MARCHAL
Lindsay MARION
Jérôme MARNEFFE
Magali MARTEAU
Madelyne MATHYS
Simon MINE
Renaud PIRSON
3ème bac en droit
3ème bac normale préscolaire
2ème bac assistante sociale
1er bac Education physique
2ème bac comptabilité et gestion
3ème bac normale primaire
1er bac marketing
3ème bac normale secondaire Français – Religion
4ème spécialisation en gestion du social
2ème bac en soins infirmiers
1er bac en gestion des ressources humaines
2ème bac en éducation physique
2ème bac normale primaire
2ème bac en droit
3ème bac en éducation physique
2ème bac assistante sociale
3ème bac en Sciences humaines
1er bac en éducation physique
2ème bac en soins infirmiers
1er bac en informatique de gestion
3ème bac en marketing
3ème bac normale primaire
1er bac assistante sociale
1er bac en sciences humaines
3ème bac en marketing
3ème bac en marketing
1er bac en économie familiale et sociale
3ème bac normale primaire
3ème bac assistante sociale
1er bac assistante sociale
1er bac en marketing
2ème bac bibliothécaire-documentaliste
1er bac en soins infirmiers
1er bac en éducation physique
3ème bac en informatique de gestion
14
Damien RASE
Laetitia RASE
Coraline SCOYS
Evelyne VERSTIGGEL
Alexandra VITTOR
1er bac en sciences humaines
1er bac en comptabilité
3ème bac normale primaire
3ème bac en droit
1er bac en soins infirmiers
FACULTES UNIVERSITAIRES NOTRE-DAME DE LA PAIX NAMUR
Clara PLOMPTEUX
3ème bac en langues et littératures romanes
Anne-Sophie ROMAINVILLE
2ème bac en langues et littératures romanes
Bénédicte BRYSSE
2ème bac en langues et littératures romanes
Marie ROSIERE
2ème bac en histoire
Amélie DREZE
1er bac en histoire
Florence LORENT
1er bac en histoire
Aude KUBJAK
1er bac en histoire de l’art et archéologie
Lionel GROETAERS
2ème bac en information et communication
Népher GILET
1er bac en droit
Florentine PATINY
1er bac en médecine
Charline MAHIA
1er bac en médecine vétérinaire
Lydie HOUBION
2ème bac en sciences pharmaceutiques
Eileen LENOBLE
2ème bac en sciences pharmaceutiques
Laurence MELOT
1er bac en sciences mathématiques
Grégory MELONI
1er bac en sciences informatiques
Nicolas LAMBILLOTTE
1er bac en sciences physiques
Quentin BRACAVAL
Année préparatoire au 2e cycle en sciences de gestion
Christophe GERARD
3ème maîtrise en sciences de gestion
Stéphan JORIS
Agrégation de l’enseignement sec supérieur en math
Mathieu DEMOULIN
Agrégation de l’enseignement sec supérieur en sc eco
Jean-François ROMAINVILLE Agrégation de l’enseignement sec supérieur en sc eco
Aurélien THIROT
Agrégation de l’enseignement sec supérieur en gestion
Mathieu FREDERICKX
Agrégation de l’enseignement sec supérieur en gestion
15
16
CUISINE : RECETTE DESSERT
Voici donc la recette de Monsieur Dermine… (Je n’ai pas la
prétention d’être un grand cuisinier mais les journalistes de la
revue me l’ont demandé. Et je n’ai toujours pas compris
pourquoi ils m’avaient choisi pour la page cuisine. Bref…).
Ayant le champ libre, j’ai choisi de vous proposer un dessert.
quand je veux impressionner mes invités, je le fais
sérieusement, le dessert !
Si vos talents culinaires sont aussi bons que les miens, faites
comme moi : direction le supermarché du coin, tournez au
rayon frais et optez pour les pâtes à gâteau Herta (le grand
Dermine a une préférence pour le goût chocolat mais là… à
de voir !). Vous n’êtes pas obligés de dire à vos convives que
vous a pris 5 minutes et coûté 4,19 €.
Et
chef
vous
ça
Attention tout de même que l’apport calorifique n’est pas proportionnel au prix ou au temps de
préparation. Votre ligne en fera vite les frais !
Ça c’est ce que je fais d’habitude. Mais, si vous aimez prendre des risques ou que vous n’aimez
pas ces produits pour « assistés des fourneaux » et que vous n’avez vraiment rien d’autre à faire,
alors, essayez le gâteau aux pommes et coco.
Voilà donc une vieille recette de la famille Dermine. N’ayez pas peur, vous devriez survivre
à ça aussi.
250
1) Prenez :
250 gr de farine fermentante
200 gr de sucre fin
2 œufs entiers
100cl de lait
50cl d’huile (d’arachide, c’est mieux)
2 pommes
Vous mélangez tout ça dans un plat. Vous beurrez une platine de 25 cm de diamètre (voir
figure pour ceux qui ont du mal avec les ustensiles de cuisine ou plus grave, avec la notion
mathématique de diamètre).
Vous versez le mélange dans la platine et vous recouvrez avec de fines tranches de pomme.
2) Prenez :
250 gr de farine fermentante
80 gr de beurre mou
100 gr de sucre
70gr de noix de coco râpée
Après, il faut tout mélanger dans un récipient. Recouvrez les pommes avec cette nouvelle
préparation et c’est prêt. Ou presque… Il faut le faire cuire 45 min dans un four préchauffé à
175-180°C. Si vous oubliez ce dernier point, c’est plutôt bof.
J’attends vos réactions et/ou remarques. Bon ap’ !
M. Dermine
17
Sudokus
5
6
4
2
7
5
3
6
6
3
4
1
1
1
7
7
2
9
1
6
3
6
5
8
7
2
3
5
1
7
6
7
4
7
1
3
5
3
8
2
6
8
6
3
4
9
3
1
2
4
V
T
E
E R T E
A N S N
D P O E
8
4
Mots
cachés sur
le thème
de l’écologie
www.fortissimots.com
ACTION
ALTERNATIF
ARBRE
CAMPER
DECHETS
DEMOCRATIE
ECOLO
ECOSYSTEME
ELECTRICITE
ENERGIE
ENVIRONNEMENT
I L O S E N
E N E R G I
D E C N E S
E
M
O
C
R
A
T
I
E
R U O T
E E R U
T E H C
F N I U G O
I M V N C A
T I C I E L
A L S A R R
N I E P M O
R T R A C P
E A R R E L
T N E T A R
L T R I E M
O A O E O L
E L E C T R
E G A Z N O
EOLIENNE
ESPECE
GAZ
INCINERATION
MILITANT
NATURE
NUCLEAIRE
OGM
18
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L O P
OZONE
PARTI
PETROLE
POLITIQUE
POLLUTION
RECYCLAGE
SERRE
TOURNESOL
VERT
P O
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Quel(le) amoureux(se)
êtes-vous ?
Question 1 : Pour vous l'homme (la femme) idéal(e) :
A. On ne le (la) rencontre qu'une seule fois, il ne faut surtout
pas le (la) rater.
B. C'est celui (celle) que vous avez choisi(e).
C. Vous le (la) rencontrez à chaque coin de rue.
Question 2 : Votre film préféré :
A. Un homme et une femme, de Claude Lelouch.
B. Breaking the waves, de Lars von Trier.
C. La femme d'à côté, de François Truffaut.
Question 3 : Vous organisez un week-end surprise pour votre conjointe. Votre destination,
c'est :
A. Venise.
B. Saint-Pétersbourg.
C. Le sommet du Kilimandjaro.
Question 4 : Le conte que vous lisez le plus souvent à vos enfants :
A. Cendrillon.
B. La belle au bois dormant.
C. Peau d'âne.
Question 5 : La durée de votre plus belle histoire d'amour :
A. Elle n'est toujours pas terminée.
B. Trois mois.
C. Une nuit.
Question 6 : Pour vous, Saint-Valentin rime avec :
A. Divin.
B. Câlin.
C. Coquin.
Question 7 : L'homme (la femme) de votre vie, vous l'avez rencontré(e) :
A. A l'école primaire.
B. Au Carnaval de Rio.
C. Au rayon micro-ondes de Confoprix.
Question 8 : Pour vous, le petit déjeuner au lit, c'est :
A. Un rituel du dimanche matin.
B. Le meilleur moyen de renverser le café.
C. Un préliminaire agréable aux câlins matinaux.
Question 9 : La couleur de l'amour, c'est :
A. Or
B. Rouge
C. Blanc
Question 10 : Quelle citation vous semble la plus juste :
A. " Aimer, ce n'est pas se regarder l'un l'autre, c'est regarder ensemble dans la même direction "
(Antoine de Saint-Exupéry).
B. " Il faut aimer sans cesse après avoir aimé " (Alfred de Musset).
C. " Il faut aimer n'importe qui, n'importe comment, pourvu qu'on aime " (Alexandre Dumas fils).
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Une majorité de A : le/la romantique
Vous êtes un(e) amoureux (se) comme on n'en fait plus ! Même si vous ne voulez pas vous l'avouer,
vous croyez encore au prince charmant (ou à la princesse de vos rêves). Ne vous inquiétez pas : être
romantique n'est pas une tare. Au contraire, idéaliser l'amour est peut-être un moyen de trouver à
coup sûr l'âme soeur. Si vous rencontrez la personne qui s'approche suffisamment de vos critères
pour vous combler, vous serez certainement le (la) plus heureux (se) du monde. A condition toutefois
que votre partenaire partage votre vision romantique. Par contre, si vos relations vous laissent un
sentiment continuel de déception ou si vous restez désespérément célibataire, il faut peut-être revoir
votre conception de l'amour. Il faut que vous soyez plus réaliste. La vie n'est pas un conte de fées.
Essayez de prendre les gens tels qu'ils sont, au lieu de les faire entrer dans des schémas idéalisés.
Une majorité de B : le/la passionné(e)
Vous êtes quelqu'un qui s'investit pleinement dans une relation. Attentionné(e) et toujours à l'écoute,
vous savez également surprendre et créer des moments passionnés. Loin d'idéaliser l'être aimé, vous
savez l'accepter avec ses qualités et ses défauts. Même si vous semblez avoir en permanence les
pieds sur terre, vous savez " perdre la tête " et mettre un grain de folie dans votre vie amoureuse.
Votre partenaire doit obligatoirement posséder le même caractère passionné que le vôtre. Il (elle) a
intérêt à suivre vos envies et être en phase avec votre état d'esprit du moment. Attention à ne pas
l'épuiser avec vos envies soudaines ou vos changements du moment. Heureusement, vous êtes
généralement assez sensible à son avis et savez vous arrêter quand il le faut.
Une majorité de C : le/la fougueux (se)
Vous êtes le cheval fou incontrôlable. Vous ne concevez pas l'amour autrement que sous forme d'une
passion omniprésente. Pour vous, la flamme doit continuellement être attisée. Ennemi(e) juré(e) de la
monotonie et de la routine, vous ne tenez pas en place et adorez surprendre ou être surpris. Si vous
rencontrez quelqu'un d'aussi fougueux que vous, pas de problème : vous vivrez une passion
dévorante qui ne vous laissera aucun moment de répit. Avec le temps vous finirez tout de même par
rechercher une vie amoureuse plus sereine… Par contre, soyez sûr que votre partenaire vous suit
dans vos exubérances. S'il n'est pas complètement sur la même longueur d'onde, vous risquez de le
lasser rapidement voire de provoquer la rupture ! N'hésitez pas à vous tempérer : les surprises et les
débordements passionnels ne s'apprécient vraiment que s'ils restent des moments rares. La routine
existe aussi dans l'excès !
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INSOLENCE
La folie du tatouage
Non, les tatoos ne sont plus propres aux rockers ou aux marins! Aujourd’hui les tatouages nous envahissent.
Que cela soit sexy, tribal, dans le bas du dos ou encore sur la cheville, ils s’imposent aux jeunes pour
déclarer leur indépendance, leur appartenance à un groupe.
Attention, le tatouage reste un acte délicat, à pratiquer dans des
conditions d’hygiène et de sécurité maximales !
D’abord, d’où vient le mot tatouage ?
C’est un mot qui vient du tahitien « tatau », qui signifie marquer,
dessiner. L’origine de ta veut dire inciser, frapper. En 1772, un
traducteur employa pour la première fois le mot « tatoo ». Mais
c’est seulement en 1858 que ce mot est francisé en « tatouage ».
Origine du tatouage
Le tatouage n’est pas tout jeune. On le notait déjà sur Ötzi,
l’homme des glaces mort vers –3500 ACN, mais aussi sur
plusieurs momies retrouvées dans le bassin du Tarim, en Chine.
Trois momies ont été aussi découvertes dans la seconde moitié du
XXème siècle. Leurs tatouages mettent en œuvre un répertoire
animalier exécuté dans un style curviligne virtuose.
Le tatouage serait mal considéré dans la culture occidentale à
cause des condamnations judéo-chrétiennes qui le frappent : Lévitique 19:28 (Ancien Testament) « Vous ne
vous ferez pas d'incisions sur le corps à cause d'un mort et vous ne ferez pas dessiner des tatouages sur le
corps. Je suis l'Eternel. » (Rites pratiqués par les Egyptiens et certains peuples du Moyen-Orient)
Les Européens ont redécouvert le tatouage lors des explorations dans le Pacifique sud avec le capitaine
James Cook dans les années 1770. Les marins en particulier étaient identifiés avec ces marques dans la
culture européenne jusqu'après la seconde guerre mondiale. Ces mêmes marins européens se tatouaient
souvent un crucifix sur tout le dos afin de se prémunir de la flagellation en cas de punition car c'était un
crime que de défigurer une image pieuse ...
Ce système d'identification était aussi un moyen sûr et efficace de renseignements des fiches des forces de
police sur la pègre avant l'arrivée de la photo d'identité. Les fiches de police jusqu'au XIXe siècle
comportaient la signalisation et la description de chaque tatouage qui permettaient ainsi de caractériser
sans erreur un individu.
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Des années 70 à aujourd’hui
Dans les années 1970, un véritable engouement pour
le tatouage est né et a connu une forte amplification
vingt ans plus tard. Le tatouage n'est plus alors une
manière d'afficher son appartenance à un groupe, à
une tribu ou à un quartier. C'est un moyen de
revendiquer son originalité, de séduire, de s'embellir,
de provoquer.
Un tatouage correspond souvent à un moment
important de la vie, agréable ou douloureux. Certains
adolescents le vivent comme un rite de passage et
agissent parfois sur une impulsion qu'ils regrettent
plus tard.
Le lieu de l'inscription, creux des reins, dos, poitrine,
cheville, épaule, voire main ou visage a également
une importante signification
Fini le blabla, passons au plus important
Aujourd’hui, les tatouages sont réalisés à l’aide d’un dermographe.
Un dermographe est composé d'aiguilles attachées à une barre avec un canon électrique. Lorsqu'il est
enclenché, les pointes se déplacent rapidement de haut en bas et l'action des aiguilles permet l'insertion de
l'encre sous la couche la plus haute de l'épiderme.
Le tatouage consistant à perforer la peau pour y introduire des agents colorants, chaque petite perforation
crée une plaie susceptible de s’infecter et de transmettre une maladie via des bactéries ou des virus. C’est la
raison pour laquelle certaines règles essentielles d’hygiène doivent être appliquées avant, pendant et après
cette opération.
Quelques styles de tatouages
Tribal : graphismes en lignes épaisses, le plus souvent en noir, inspirés des tatouages primitifs en
général, polynésiens en particulier.
Old School ou « traditionnel » : motifs d'inspiration rock'n'roll, pin-up, années 50, etc... exécutés selon
les principes traditionnels occidentaux : contours épais, fortes ombres noires, usage de couleurs
primaires vives.
Celtique : rappelle l’art celtique (entrelacs, croix celtiques, créatures mythologiques, etc...)
Asiatique : inspiré de l'art asiatique (dragons, poissons, bouddha, kanji, etc....) ;
Biomécanique : tatouage abstrait incorporant des composants mécaniques
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Réglementation ?
La France, la Polynésie française, la Belgique et la Suisse font partie des premiers pays européens à avoir
entamé une réflexion sur ce sujet. Leurs textes législatifs et réglementaires, déjà adoptés ou en cours de
projet, portent essentiellement sur l'environnement sanitaire des actes de tatouage et sur la sécurité des
encres utilisées.En ce qui concerne l’âge, le tatouage est interdit aux mineurs, sauf si ceux-ci possèdent une
décharge de leurs parents.
Avant le tatouage, la personne doit signer une décharge précisant que celle-ci n’est pas sous l’effet de
stupéfiants ou d’alcool.
Important : l’hygiène
Les espaces destinés au tatouage/piercing, au nettoyage du matériel et à l'entreposage des déchets sont
trois zones clairement séparées; la salle d'accueil est indépendante. Le tatoueur/perceur doit respecter toute
une série de recommandations d'hygiène formulées par le SPF ???Santé Publique. Cela concerne l'hygiène
des mains, la stérilité du matériel entrant en contact avec la peau, la désinfection des équipements, le
nettoyage des locaux et du mobilier.
Le professionnel doit se laver les mains
et mettre des nouveaux gants jetables
(ils sortent donc de la boîte!). Votre peau
ou muqueuse doit être désinfectée avant
l'acte. L'aiguille de piercing stérile doit
être sortie de son emballage devant
vous. Les aiguilles de tatouage ne
servent qu'une fois et l'encre provient de
doses à usage unique (pour un client).
Effectue des tests des encres préalables
si tu as des prédispositions aux allergies.
Un tatouage n’est pas un caprice, cela
se désire et cela doit être un acte
réfléchi.
Aurore V. de V.
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