Le P`tit Cocorico - la ferme de sorel

Transcription

Le P’tit Cocorico
Prix : 2,00€
La ferme de Sorel
LA MERE POULE
VOUS
PROPOSE…
LE DOSSIER
DE L’ANNEE
DERNIERE
MINUTE
LOISIRS ET
PASSIONS
LE POUSSIN
SPORTIF
LES ECHOS DE LA
BASSE COUR
LE CRI DU COQ
LE NOUVEL AMI
DU P'TIT COCORICO
LE
"PAPIER MACHE"
LA RUBRIQUE DU
" POTI POTIN "
LES CELEBRITES
DE LA BASSE COUR
NUMERO 4
ISSN : 2102-149X
Dépôt légal : Novembre 2010
NOVEMBRE 2010
www.lafermedesorel.org
——————LE MOT DE MAÎTRE COQ——————
Le quatrième numéro a été « pondu » le 27 novembre 2010.
Ami du "P'tit Cocorico" bonjour,
Ce quatrième numéro est l'occasion de remercier le Conseil Général de l'Oise pour leur soutien moral, et
financier pour les activités "les Zateliers de Zéloi" de l'association "la Ferme de Sorel" et de renouveler nos
remerciements à nos différents rédacteurs en herbe jeunes ou moins jeunes... Petit à petit le "P'tit Cocorico"
prend forme selon ses objectifs fixés : respect et communication à travers différentes passions et coutumes...
Petites nouveautés 2010-2011 :
Au prochain numéro, serez-vous prêts à relever le défi qui sera de retrouver les 15 fautes d'orthographe ou de
grammaire qui seront dissimulées parmi les différents articles proposés.
Ce numéro est l'occasion rêvée de renouer avec les mathématiques puisque dans la rubrique « loisirs et
passion » vous pourrez résoudre les équations niveau sixième dont le résultat vous indiquera une réponse à la
question qui la précède. De quoi lier les mathématiques et la culture générale.
Pour ces deux nouveautés nous remercions Guillaume du collège Jules Vallès de Saint-Leu D’Esserent
(professeur de français) et Murielle Leduc pour les mathématiques (professeur de mathématiques) du collège
Bon Secours de Senlis.
En dernière page, vous découvrirez les règles élémentaires ainsi que leurs réponses que ce soit pour le
français, ou pour les mathématiques.
Toutefois, si vous avez des suggestions où nous pourrions mêler la culture au ludique nous sommes à votre
écoute.
Notre petit rappel quotidien :
Vous aussi chers lecteurs, si vous avez envie de partager une passion, un moment fort tel qu'un séjour, un
sujet insolite... un poème ou toute autre chose, il vous suffit tout simplement de faire parvenir votre article au
"P'tit Cocorico" selon une démarche toute simple.
- Rédigez de manière conviviale votre article sur un logiciel d'écriture.
- Improvisez-vous photographe afin de réaliser deux ou trois photos.
- Rendez-vous sur votre boîte courriel. (Rubrique écrire un message)
- à [email protected]
- objet : le titre de votre article.
- Pièces jointes : insérer votre article ainsi que les photos.
- Message : un petit mot pour l'équipe du "P'tit Cocorico".
N'ayez aucune crainte sur la mise en page car l'équipe du "P'tit Cocorico" s'en chargera très volontiers !
Inutile de vous rappeler que tous les articles à caractère politique ou démagogique ne seront bien
évidemment pas publiés !Je vous souhaite une très bonne lecture à travers ces différents articles, et
façonnons ensemble ce journal 100
% positif.
"Zéloi".
Editeur : Association La Ferme de Sorel, 22 sente de Sorel 60460 Précy sur Oise
Directeur de publication : Eloi GAMBIER
Responsables de la rédaction : Nadège COULON, Murielle HAPPIETTE
Informatique et Maquette : Fabrice HAPPIETTE, Sonia HAPPIETTE
Imprimeur : Association La Ferme de Sorel, 22 sente de Sorel 60460 Précy sur Oise
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LES ECHOS DE LA BASSE-COUR
Réalisez le saut le plus prodigieux de l'histoire : 2000 ans en arrière et plongez-vous dans un univers
mystique où se mêlent la métamorphose des dieux et des hommes selon les « caprices des dieux ». Ovide
nous emporte aux côtés des dieux de l'Antiquité et nous fait découvrir leur personnalité Jupiter aime les
femmes, Persée réalise des exploits, Narcisse s'adore... Suspense, aventure, et défis sont mis à l'honneur.
Peut-être trouverez-vous quelques pistes et sujets de réflexion après la lecture de cet ouvrage. Vous vous
direz très certainement que l'être humain sur le fond n'a pas beaucoup changé depuis de nombreuses années ;
2000 ans. Les « 16 métamorphoses » d'Ovide sont à lire et à relire et à se raconter pour que ces légendes
puissent continuer de traverser les siècles...
Interview avec Ovide
Réalisé par : Justine Gambier (1998 - )
Ovide (- 43 avant Jésus-Christ/17 après Jésus-Christ)
Si j'ai pu réaliser cette interview avec Ovide c'est grâce à Orphée car effectivement de sa lyre il pouvait
charmer les animaux sauvages et parvenait à émouvoir les êtres inanimés surtout depuis le temps où Dieu lui
a offert deux cordes supplémentaire en hommage aux neuf Muses, protectrices des arts et des lettres. Qui
mieux que lui pouvait me transporter à travers le temps pour rencontrer le poète le plus connu de son époque
: Ovide. Mes yeux devenaient lourds s'est ainsi que je suis tombé dans les bras d'Orphée...
À mon grand étonnement, j'arrivais dans un monde parallèle. À Rome ! Je me trouvais là devant Ovide.
Un peu ému je lui dis
- bonjour Monsieur Ovide !
Il me répond
- bonjour demoiselle ! Qu'avez-vous entre les mains ?
- Eh bien justement j'ai l'une de vos œuvres les « 16 métamorphoses » dont j'aimerais vous poser quelques
questions. Mais tout d'abord auriez-vous la gentillesse de me dire pourquoi vous trouvez-vous à Rome ?
- Cher demoiselle il faut savoir que Rome est ma ville de coeur j'y ai fait mes études, et après avoir voyagé
dans différents pays j'y suis revenu et je m'y suis installé avec ma femme et ma fille. Et surtout, c'est là, la
source de mon inspiration pour mes différentes oeuvres. Y compris les métamorphoses et non les « 16
métamorphoses »...
- Effectivement, comme vous me le faites remarquer mon livre est intitulés les « 16 métamorphoses » car
Françoise Rachmuhl a repris certaines de vos légendes en allégeant légèrement le contenu pour que celui-ci
puisse être lu par un jeune public de mon époque 2010 pas toujours au courant de la mythologie ; car à votre
époque tous les gens instruits étaient au courant de la mythologie.
- J'en suis très heureux, ainsi un petit bout de mon oeuvre peut traverser les siècles !
2/30
- Quand avez-vous commencé à écrire les métamorphoses ? Et surtout combien de livres ? Et j'en profite
pour vous demander d'où venait votre inspiration ?
- C'est aux alentours de l'an deux que je me suis lancé dans la rédaction de cette oeuvre de grande ampleur «
les métamorphoses » il faut que tu saches que j'ai écrit environ 12 000 vers dans une quinzaine de livres et
c'est après avoir voyagé en Grèce, en Asie Mineure après avoir été sur les ruines de Troie et surtout en Sicile
où je me suis arrêté longuement dans une ville pleine de charme Syracuse mais aussi les marais , les vapeurs
, les flammes de l’Etna… tous ces décors fixés à jamais dans mon esprit ont donné les espaces dont j'avais
besoin pour mon inspiration.
- Qu'est-ce qui vous a poussé à écrire autant de légende, poésie... ?
- Je dirais qu'à ce temps-là, j'étais un petit peu comme Arachné dans la légende, je voulais être le meilleur
puisque en l'an -19 avant Jésus-Christ est décédé le plus grand poète du règne de l'empereur Auguste et
j'avais pour ambition de rivaliser avec l’Enéide l'oeuvre de Virgile le grand poète.
- Si vous étiez le meilleur ! Pourquoi l'empereur Auguste vous est-il exilé ?
- J'ai été exilé en l'an 8 lorsque j'écrivais mon ouvrage « les métamorphoses » et contraint d'abandonner ma
femme, ma fille et mes biens car l'empereur Auguste n'a pas apprécié mon oeuvre intitulée « l'art d'aimer »
mais sincèrement je pense aussi qu'il y avait quelques raisons politiques, de mon temps les hommes
politiques voulaient refaire le monde, mais quel monde ? Car les hommes politiques se prennent parfois pour
des demi-dieux et voudraient façonner un monde à leur image. Ce que les dieux de la mythologie ont voulu
réaliser mais en vain !
- De mon époque, cela n'a pas beaucoup changé... Où êtes-vous parti ?
- Je suis parti en exil à Tomes sur les bords de la mer Noire dans l'actuel Roumanie.
- Avez-vous eu un geste de désespoir ?
- En dehors du fait de me poser un tas de questions, où me menais mon talent ? Qu'allait
devenir ma femme, ma fille ? De colère, et de désespoir j'ai brûlé un exemplaire des
« métamorphoses » et malgré mes nombreuses demandes à l'empereur et à son successeur je n'ai jamais pu
revenir à Rome peut-être est-ce ma fille, mon épouse qui ont fait en sorte que mon oeuvre puisse traverser
les siècles puisque déjà à l'époque plusieurs exemplaires des
« métamorphoses » circulaient à Rome.
- Durant votre exil aviez-vous le coeur de continuer votre oeuvre ?
- Oui il me restait que mon talent et c'est pour cela que les deux recueils que j'ai écrits ont des titres
significatifs de mon état, « les tristes et les pontiques ».
- Mis à part votre exil aviez-vous un autre regret ?
- Eh bien, je pense que j'ai quitté la vie terrestre trop tôt car peut-être aurais-je pu écrire des nouvelles sur la
religion du christianisme qui à mon avis a révolutionné le monde...
J'ai à peine eu le temps de remercier Ovide que déjà Orphée arrivait à la fin de sa composition il était donc
pour moi le temps de me réveiller et de retranscrire cette interview peu commun car pour moi c'était la
première fois que je rencontrais une personne qui était née avant Jésus Christ est décédée après Jésus-Christ.
En conclusion, je pense qu'il est encore temps pour certaines personnes de notre époque de rivaliser d'autant
de talent qu'Ovide !
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Voici le résumé d’un des contes que j’ai lu dans cette œuvre, cela vous donnera peut-être l’envie d’en
découvrir d’autres…
Au commencement du monde Deucalion et Pyrrha
Il y a bien longtemps, sur une terre, sur notre terre vivait des titans, ainsi que des dieux dont Jupiter en était
le roi. Un titan ingénieux avait façonné les premiers hommes avec de la terre et de l'eau ainsi la
multiplication de l'espèce pu prendre place. Au début tout allait bien la joie de vivre, le respect, mais bientôt
sans doute l'opulence qui mène bien souvent à la mésentente, la dispute et la guerre.
À cette vue, Jupiter le roi des dieux ordonna un conseil d'administration avec toute la hiérarchie du monde
céleste. Malgré quelques réticences de ses confrères la décision fut prise : l'extinction de la race humaine !
Les éléments allaient se déchaîner les lits des rivières allaient déborder, une pluie incessante, un monde
inondé... Les humains moururent, les animaux aussi même les petits oiseaux ne pouvaient plus se poser et
tombèrent de fatigue et moururent de faim. Il n'y avait plus personne sur terre ; sauf un couple qui dérivait
sur une barque. Ce couple n'était pas n’ importe lequel puisqu’ il s'agissait de Deucalion fils du titan qui
avait façonné les premiers humains et Pyrrha sa cousine Germaine et épouse. Jupiter les a épargnés car il
possédait des vertus exceptionnelles et un respect envers les dieux. C'est ainsi que sur le seul bout de terre
qui n'était pas recouvert par l’eau, le mont Parnasse, ils débarquèrent et se mirent à prier. Ils ne tardèrent
pas à comprendre qu'ils étaient le seul couple au monde et c'est avec la bénédiction de la déesse Thémis
qu'ils commencèrent à repeupler la terre d'une nouvelle race humaine à l'image de leurs parents.
Interview avec Jupiter roi des dieux
Je venais de regarder les informations nationales la semaine dernière aux sujets très préoccupants : les
tremblements de terre, tsunami, tornades et tempête... Et les guerres aux différents endroits sur la planète, les
gens qui meurent de faim dans certains pays... Et je me suis remise à penser à la légende que j'avais lu dans
les « 16 métamorphoses d'Ovide » « Au commencement du monde Deucalion et Pyrrha » et c'est ainsi que
de fil en aiguille (ce que j'appellerai le fil d'Arachné) je me suis inventé une légende : Ma légende interview
exclusive dans le monde de l'Olympe chez Jupiter le roi des dieux...
Mais pour cela il fallait tout d'abord me rendre à Rome, mais comment faire ? Eh bien tout simplement c'est
au moment de Pâque que j'ai eu l'idée de suivre une cloche puisque tout le monde le sait elles partent de
Rome pour déposer les petits oeufs au chocolat et bien sûr elles retournent à leur point de départ après leur
tournée. Par chance celle que j'avais suivie m'avait conduit au pied du mont Palatin. J'empruntais donc que
ce petit sentier qui me conduisait à travers le monde des petits dieux, traversait les demeures des grands
dieux et enfin me voici devant la grande porte celle qui se trouve tout en haut du sommet du ciel où il est
inscrit Jupiter roi des dieux.
Toc toc toc...
- Qui est là ?
-Heu… Justine Gambier.
- Justine Gambier ??? Sur mon grand livre je ne vois pas que ton heure est arrivé !
- Non ! Non le plus tard sera le mieux je suis juste venu vous demander la possibilité de vous poser quelques
questions si cela ne vous dérange pas.
- Eh bien puisque tu as fait tout ce chemin depuis Précy sur Oise en France je ne vais pas te renvoyer sans te
laisser la possibilité de me questionner.
4/30
- Les questions porteront sur Deucalion et Pyrrha. Et ma première question est quel a été votre sentiment
lorsque vous avez vu les gens s'entre-tuer ?
- Et bien ma petite Justine, au départ comme un bon père de famille j'avais mis toute ma confiance dans la
race humaine qui avait fait des débuts prometteurs j'avais bien remarqué par-ci par-là quelques mauvais
éléments mais j'étais loin de penser que certaines brebis galeuses pouvaient en contaminer autant c'est
comme ça qu'est né l'avarice, l'insolence, les guerres... J'éprouvais à ce moment là un sentiment
d'impuissance.
- Et c'est à ce moment-là que vous avez pris la décision de vêtir un déguisement pour jouer les agents
secrets ?
- Eh bien j'apprécie ta petite note d'humour chose qu'à l'époque les gens avaient oublié. Mais oui c'est bien à
ce moment-là pour me faire une opinion sur le terrain et pour qu'on ne me reproche pas de regarder que les
choses d'en haut je me suis rendu sur terre qui ne ressemblait plus du tout à celle de mes rêves.
- Pourquoi n'avez-vous pas pris la décision seul ?
- Et bien Justine, tu comprendras bien que ce n'était pas une situation des plus plaisante j'ai donc organisé un
conseil des Dieux mais comme tu l'auras compris la décision finale ; c'est moi !
- C'est donc vous qui avez épargné ce couple Deucalion et Pyrrha ? Ce n'était donc pas le hasard !
- Non Justine ! Il n'y a point de hasard pourquoi aurais-je puni un couple juste partageant d'innombrables
qualités. Mon objectif était de recréer une terre où les valeurs humaines telles que la convivialité, le partage
et l'entraide seraient innées. J'avais donc besoin de mes meilleurs éléments.
- Et avez-vous atteint vos objectifs ?
- Eh bien, Justine bonne question ce que je peux te dire c'est qu'il ne faut surtout pas oublier que Dieu
propose et l'homme dispose à chaque être humain de choisir son chemin mais il ne faut pas oublier qu'un
jour leur chemin croisera le mien.
- Êtes-vous pour quelque chose sur les tremblements de terre, tsunami, ouragans et tempêtes de ces derniers
jours ?
- Et bien Justine, cela fera peut-être l'objet d'un autre interview... Mais trop de fois l'être humain croit
pouvoir défier Dieu, les forces de la nature, pour quelle raison ? Pour s'enrichir ? Pour passer pour des
dieux ? Si encore c'était pour en faire bénéficier les gens de tous pays... La prochaine fois Justine c'est peutêtre moi qui te demanderai un interview pour m'aider à comprendre le comportement de certain humain...
- Je vous remercie d'avoir pris quelques minutes de votre temps pour répondre à mes questions.
- Justine revient quand tu veux ! Mais le plus tard sera peut-être le mieux ! AH AH AH !
Repart en paix et surtout répand la... Maintenant, ferme les yeux et lorsque tu les ouvriras tu seras bien au
chaud chez toi dans ton lit.
Et effectivement, lorsque j'ai ouvert les yeux j'étais chez moi, dans mon lit et avec un sentiment privilégié
d'avoir pu parler à Jupiter le roi des dieux. Comme on dit bien souvent lorsque l'on a des questions à poser
« il vaut mieux les poser à Dieu plutôt qu'à ses Saints ! ».
5/30
Je ne peux m’empêchée de vous exposer ma critique littéraire concernant cette oeuvre:
Sans aucune hésitation, je conseillerai cette oeuvre littéraire un public de lecteurs de mon âge c'est-à-dire 12
ans mais pas avant car il faut bien le dire certaines légendes peuvent nous travailler durant la nuit et nous
amener à réfléchir sur notre parcours des années passées qu'avons-nous fait de bien ? Que ferai-je demain ?
Aussi, je pense qu'il faut avoir l'esprit romanesque afin de pouvoir digérer tout ceci... Ce que je trouve
intéressant c'est que Ovide a remanié la mythologie existante pour créer des légendes à son image ce qui n’
empêche pas à la suite de certaines légendes de se plonger dans les livres d'histoire pour mieux comprendre
l'univers mythique de Jupiter, Neptune, Hermès...
Néanmoins, les lecteurs aimant suspense, aventure, et défis y trouveront leur compte. Ce seront-ils
métamorphosés ? Si oui, en quoi ? En animal, en objet... Telle la force du souffle des dieux le lecteur aura à
peine commencé que sans aucune peine il sera déjà à la fin de la légende ; peut-être dans son esprit en fera-til parti...
Ces légendes ne se finissent pas toujours bien mais nous invitent à nous remettre en question pour que la
légende de notre vie puisse traverser les siècles tout comme la légende des métamorphoses d'Ovide.
Justine Gambier
(collège Jules Vallès)
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Bénin : Les Accueil Paysan se donnent la main…
Après avoir évolué en rang dispersé pendant un bon bout de temps, les trois Accueil Paysan du Bénin,
reconnus par la fédération internationale Accueil Paysan amorcent un nouveau virage. CPN les Papillons de
Kamaté-Shakaloké (Glazoué), la Ferme MAKTUB de Dassa et la Ferme SEMAVO de Houègbo se sont
résolus le 07 septembre 2010 de travailler désormais ensemble pour faire valablement face aux grands défis
qui les attendent. C’est à la faveur d’une réunion tenue à la Ferme MAKTUB qui a consacré la naissance de
la plateforme des Accueil Paysan du Bénin. Cette réunion, faut-il le préciser, a connu la participation active,
outre des principaux responsables des trois structures su-citées, de monsieur Benoît GAMBIER de la Ferme
de Sorel. Après un état des lieux et un examen plus ou moins minutieux de leur statut actuel, les Accueil
paysan présents à la réunion se sont penché sur les relations qui les lient actuellement à la Fédération
internationale. Des différents échanges francs et bien nourris, il ressort que l’évolution en rang dispersé n’est
pas salutaire. C’est pourquoi les Accueil Paysan du Bénin ont décidé à l’unanimité de se mettre ensemble
pour être plus fort et se rendre plus visible puis de s’organiser pour clarifier leur statut et travailler à
l’extension du mouvement Accueil Paysan sur toute l’étendue du Benin en vue de créer une association
Accueil Paysan représentative au Bénin pour un meilleur développement du tourisme rural. Ils ont
également pris la juste décision de travailler à la création d’une Association des Amis des Accueil Paysan
du Benin qui constituera une arrière- base pour l’enracinement et la promotion du mouvement Accueil
Paysan au Bénin. De même, la réalisation d’un logo propre et d’un kit d’informations pour une plus grande
visibilité est déjà programmée.
Le creuset ainsi créé permettra sans nul doute aux Accueil Paysan du Bénin de se rencontrer périodiquement
et de façon rotative pour discuter et échanger leurs expériences en vue d’un meilleur devenir du mouvement
Accueil Paysan au Bénin.
Les Accueil Paysan du Bénin se sont aussi penché sur la question du montant de la cotisation à verser à la
Fédération internationale. Face au partage des avis, ils ont pris la résolution de se rapprocher de la
Fédération internationale pour être mieux fixés sur leur sort.
Par ailleurs, les Accueil Paysan du Bénin dans leur ensemble, ont manifesté leur désir de recevoir
prochainement de façon régulière les publications de la Fédération internationale en l’occurrence la Lettre
d’Accueil Paysan et le Guide. Ils ont également souhaité que la Fédération internationale soit active auprès
des guides classiques (Le petit Futé, Le Guide du Routard…) qui éditent des guides spécifiques en
écotourisme pour faire figurer leurs destinations.
Les Accueil Paysan du Bénin ont émis le vœu d’accueillir très prochainement au Bénin l’organisation de
l’Assemblée Générale de la Fédération Internationale Accueil Paysan. La rencontre s’est achevée par le
partage sur les lieux, d’un repas agrémenté de la dégustation d’une liqueur environnementale. Il ne pouvait y
avoir meilleure fin. Les perspectives sont donc prometteuses.
Collectif Accueil Paysan Bénin.
7/30
LA RUBRIQUE DU POTI-POTIN
L'Épitaphe de Villon ou " Ballade des pendus "
Frères humains, qui après nous vivez,
N'ayez les coeurs contre nous endurcis,
Car, si pitié de nous pauvres avez,
Dieu en aura plus tôt de vous mercis.
Vous nous voyez ci attachés, cinq, six :
Quant à la chair, que trop avons nourrie,
Elle est piéça dévorée et pourrie,
Et nous, les os, devenons cendre et poudre.
De notre mal personne ne s'en rie ;
Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre !
Se frères vous clamons, pas n'en devez
Avoir dédain, quoique fûmes occis
Par justice. Toutefois, vous savez
Que tous hommes n'ont pas bon sens rassis.
Excusez-nous, puisque sommes transis,
Envers le fils de la Vierge Marie,
Que sa grâce ne soit pour nous tarie,
Nous préservant de l'infernale foudre.
Nous sommes morts, âme ne nous harie,
La pluie nous a débués et lavés,
Et le soleil desséchés et noircis.
Pies, corbeaux nous ont les yeux cavés,
Et arraché la barbe et les sourcils.
Jamais nul temps nous ne sommes assis
Puis çà, puis là, comme le vent varie,
A son plaisir sans cesser nous charrie,
Plus becquetés d'oiseaux que dés à coudre.
Ne soyez donc de notre confrérie ;
Prince Jésus, qui sur tous a maistrie,
Garde qu'Enfer n'ait de nous seigneurie :
A lui n'ayons que faire ne que soudre.
Hommes, ici n'a point de moquerie ;
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Commentaire de Lise LeBreton (3e A) :
« Frères humains » de François Villon est un poème qui possède une musicalité. Sa forme poétique est très
rigoureuse, car c'est une ballade qui est composée d'un refrain, de trois dizains et d'un quintil. Cette ballade
est en décasyllabes. François Villon, l'auteur de cette ballade, était condamné à mort par pendaison. Alors il
a écrit ce texte pour se faire pardonner et pour que les vivants ne se moquent pas des morts : « De notre mal
personne ne s'en rie ». Il se fait porte-parole des morts, et demande pardon aux vivants : « Mais priez Dieu
que tous nous veuille absoudre », « Excusez-nous, puisque nous sommes transis ». L'auteur utilise le champ
lexical de la putréfaction - « quant à la chair, que trop avons nourrie, elle est piéça dévorée et pourrie », « Et
nous, les os, devenons cendre et poudre » - pour renforcer l'idée que la vie est brève et que l'on va tous
mourir. Ce poème est donc un texte argumentatif, car il possède des connecteurs logiques : « car », « si », «
mais ».
Ce poème est lyrique car l'auteur se plaint de son sort, et possède une tonalité pathétique. François Villon
insiste pour dire que tout être vivant est condamné à la mort.
Cette ballade a une morale philosophique car l'auteur met l'accent sur une célèbre phrase latine : « memento
mori », ce qui veut dire : « Souviens-toi que tu vas mourir ». L'auteur ne veut pas se sentir seul dans sa mort,
alors il dit à tout le monde qu'ils vont bien mourir un jour, ce qui est totalement vrai.
J'ai trouvé ce poème vrai et très touchant car il montre la réalité de la mort.
Commentaire de Vincent Ollier (3e A)
L'auteur de « Frères humains » est François Villon. Ce texte est une ballade. On le devine grâce à la
musicalité présente dans ce texte car il y a un refrain dans ce poème. On le retrouve à la fin de chaque
strophe : « Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre ! » La forme poétique est très vigoureuse car il y
a trois dizains, un quintil et des vers en décasyllabes : « Frères humains, qui après nous vivez ».
Le poète est un porte-parole et un messager des morts car le monde des morts s'adresse au monde des
vivants. On le voit grâce à : « nous les os » et « nous sommes morts ».
Dans ce poème, François Villon veut défendre les morts qui ont été pendus. L'auteur demande aussi pardon
aux vivants au nom des morts. Les mots « absoudre », « excusez-nous » et « par justice » nous le montrent
très bien. Dans les vers 9, 19 et 34, l'auteur demande aux vivants de ne pas être indifférents : c'est-à-dire de
ne pas les oublier mais aussi de ne pas se moquer des morts. Le champ lexical de la moquerie nous le
démontre bien : « ne s'en rie », « âme ne nous harie », et n' « a point de moquerie ». Il y a aussi un autre
champ lexical, celui de la putréfaction : « la pluie nous a débués », « le soleil desséchés », « les yeux cavés »
et « arraché les sourcils ». Il renforce l'idée que la vie est brève et que l'on va tous mourir. Ce texte est
argumentatif car on retrouve les connecteurs logiques « car », « si » et « mais ».
Ce poème est aussi un poème lyrique car l'auteur se plaint de son sort qui sera la mort. Il s'agit donc d'une
complainte. Les mots « les cœurs endurcis », « pitié » et « transmis » mettent ainsi l'accent sur la tonalité
pathétique de ce poème.
Ce texte révèle enfin qu'il ne faut pas se moquer des morts car chaque vivant est condamné à la mort. La
mort est une chose inévitable dans la vie. Si l'on naît, on meurt. L'expression « memento mori », c'est-à-dire
« souviens-toi que tu vas mourir », nous rappelle qu'une naissance n'est jamais sans mort. Cette image
philosophique dévoile un aspect essentiel de ce poème.
9/30
Commentaire de Maxyme Spriet (3e B) :
Ce texte est un poème car il comporte des strophes. Les trois premières strophes de ce poème se composent
de dix vers, aussi appelés dizains et la dernière strophe se compose, elle, de cinq vers que l'on appelle quintil.
Chaque vers est fait de dix syllabes : c'est un décasyllabe. On trouve à la fin de chaque strophe la même
phrase. C'est ce qui fait du texte une ballade car il contient un refrain : « Mais priez Dieu que tous nous
veuille absoudre ! »
Les rimes suivies et alternées donnent un côté musical au texte. On a envie de le chanter lorsqu'on le lit. Ce
texte se lit avec un certain rythme, pour reproduire le balancement des pendus :
« Jamais nul temps nous ne sommes assis/Puis çà, puis là, comme le vent varie / A son plaisir sans cesser
nous charrie. » Lors de la lecture de ce texte, on imagine les pendus faisant une sorte de danse macabre tout
en nous chantant ce poème.
On trouve dans ce texte un rapprochement entre le monde des morts et le monde des vivants. En effet, les
morts expriment aux vivants leur ressenti et les choses qu'on leur a fait subir. L'auteur de ce poème se fait
passer pour l'avocat de ces pendus. Il défend leur cause et demande aux vivants et à Dieu de les pardonner
pour les crimes qu'ils ont commis - « excusez-nous », « Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre » afin de les préserver de l'Enfer car ils ont déjà trop souffert. L'auteur décrit l'état de décomposition des
cadavres en utilisant le champ lexical de la putréfaction : « dévorée et pourrie », « et nous, les os, devenons
cendre et poudre ». Ce poème exprime les sentiments personnels de l'auteur mais aussi le sentiment universel
face à la mort. Il écrit de manière à ce que l'on y trouve une tonalité pathétique lors de sa lecture en mettant
des points d'exclamation dans le refrain.
Les pendus demandent aux êtres humains de ne pas se moquer de leur sort, car eux aussi, un jour, mourront,
parce que c'est la condition humaine. La morale philosophique de ce poème est la célèbre phrase latine :
memento mori, qui signifie « souviens-toi qu'un jour tu mourras ».
Commentaire d'Emma Brochot (3e B) :
Ce texte est un poème de François Villon. Il est composé de trois strophes de dix vers, des dizains, mais la
dernière strophe est composée de cinq vers : c'est un quintil. Chaque vers est composé de dix syllabes : ce
sont des décasyllabes. A la fin de chaque strophe revient toujours le même refrain : « Mais priez Dieu que
tous nous veuille absoudre ! ». Ce poème est donc une ballade. Les trois premières strophes gardent toujours
le même modèle : quatre vers aux rimes alternées, deux vers dont les rimes suivies reprennent la rime du
quatrième vers et quatre vers aux rimes alternées dont le premier reprend la même rime que les précédentes.
C'est ce qui donne de la musicalité à ce poème.
Le rythme reproduit le balancement lent des pendus : « jamais nul temps nous ne sommes assis/Puis çà, puis
là, comme le vent varie/A son plaisir sans cesser nous charrie ». On imagine les morts en train de danser
comme une danse macabre.
Dans ce poème, François Villon s'adresse aux vivants comme s'il était lui-même mort. Il se fait l'interprète et
l'avocat du monde des morts vers le monde des vivants. Le poète utilise le champ lexical de la mort :
« chair », « dévorée », « pourrie », « os », « cendre », « poudre », « transis », « mort », « occis ».
Le poème est un texte argumentatif. François Villon défend les morts. Il cherche à les protéger de l'enfer en
demandant pardon à Dieu : « Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre ! » Il demande aussi aux
vivants de ne pas se moquer des morts : « hommes, ici n'a point de moquerie ». Pour cela, l'auteur utilise
l'impératif : « n'ayez les cœurs contre nous endurcis ». Il demande à plusieurs reprises le pardon de Dieu et
des humains : « excusez-nous ».
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La morale philosophique de ce poème peut se résumer en une phrase : « memento mori ». C'est pour cela
que les vivants ne devraient pas se moquer des morts, car on va tous mourir et on ne peut pas savoir quand.
Mourir, c'est la condition pour vivre, pour exister, et c'est le fait de mourir qui donne de l'importance à la vie.
François Villon nous dit en fait de profiter de la vie, car elle est précieuse et courte, et on ne doit pas la
gâcher. Je pense que François Villon a profité de la vie, mais qu'en plus il a fait ce que peu de gens font : il a
réussi à exister même après la mort, car quatre cents ans après son décès, nous parlons encore de lui et de ses
œuvres. C'est une chance pour lui et c'est ce que tout le monde souhaite au fond.
En tout cas, ce poème lyrique à la tonalité pathétique (comme l'indique notamment la phrase exclamative à
chaque refrain) nous fait réfléchir au sens de la vie et au sens qu'on donne à notre vie en nous rappelant que
la mort est présente à chaque instant de notre vie.
Ces commentaires ont été réalisés par les élèves de 3éme du collège de Saint-Leu-D’esserent assisté de leur
professeur de français, Mr LANUSSE, avec qui nous travaillons en partenariat.
11/30
LES CÉLÉBRITÉS DE LA BASSE-COUR
- Nous étions le 22 mai aux alentours de 12:30 par une journée ensoleillée :
Lors ce que surgit Jeffrey en criant - « Anastasia s'est cassé le coude ! ».
Aussitôt, tout le monde se précipita dehors. Effectivement nous pouvions voir à travers le maillot un bras
complètement désarticulé, à notre grand étonnement Anastasia n’hurlait pas mais de grosses gouttes de sueur
froide apparaissaient sur son front et elle nous répétait - « Je ne veux pas aller à l'hôpital... ».
Pas le temps de laisser place aux émotions, aussitôt le moteur de la voiture grondait et nous filions direction
les Urgences de Creil...
« Anastasia, s'était éclipsé du repas pour profiter de cette belle journée lorsqu'elle s'aperçut que RASTA,
une des ânesses de "la Ferme de Sorel", était allongée sur le sable chaud et ne put donc s'empêcher d'aller
lui faire un câlinou et vous l'aurez bien compris de câlinou en câlinou comme par enchantement cette jeune
demoiselle s'est retrouvée sur le dos de cette charmante créature. Lorsque tout à coup, RASTA a voulu se
dégourdir les jambes, notre jeune cavalière n'a pu tenir que quelques instants avant de se retrouver plaquée
au sol par une mauvaise chute sur son coude droit».
Chers amis lecteurs du "P'tit Cocorico" vous devez bien vous poser la question que fait cet article au
100 % +
! Et bien lisez la suite et vous
sein de ce journal puisque ce journal est un journal
comprendrez que même certaines histoires aussi tragiques soient-elles peuvent posséder parfois des
caractères très positifs...
À peine avions-nous passé la porte des urgences de Creil, quasiment Anastasia d'un côté et son bras de
l'autre, que le personnel de ce service avant même de penser au dossier administratif nous fit passer de toute
urgence pour apporter les premiers soins à ma chère petite fille : Antidouleur, radio, et s'ensuivit le verdict :
Anastasia doit se faire opérer le plus rapidement possible car le cartilage du coude est cassé !
C'est à ce moment avec un grand étonnement que j'écoutais Anastasia me dire - « papa, tu sais quand je
serai grande je ferai de la moto ! ».
12/30
Le personnel du centre hospitalier nous accompagnait
donc à l'étage de traumatologie oủ une chambre était
réservée pour notre petite « casse - coude » avec un
personnel autant agréable que dans le service
précédent quelque petit mots de sympathie fusaient
de part et d'autre et de petites attentions qu'on en
aurait presque oublié le motif de notre présence...
Monsieur le chirurgien docteur Meunier opéra
Anastasia en fin d'après-midi et on la retrouva dans sa
chambre quelques heures plus tard avec un plâtre et
des broches. Le lendemain arriva très vite et nous
prenions le chemin du retour direction "la Ferme de
Sorel".
Croyez-vous que l'histoire s'arrête là !
Eh bien si vous connaissiez Anastasia vous me diriez
NON !
Même pas mal !!Vous avez vu,
j’ai un beau plâtre!!
Effectivement lors de la visite de contrôle la semaine suivante le docteur Meunier nous annonça qu'Anastasia
devait de nouveau séjourner à l'hôpital car les broches s'étaient déplacées. Nous retrouvions donc le service
traumatologie, le sourire du personnel, les petits mots de sympathie, les petites intentions... Qui nous donne
l'impression d'être unique !
Cette deuxième opération réussit avec succès et trois semaines plus tard on lui enlevait les broches.
Par cet article, nous souhaitons remercier vivement le service des urgences de l'hôpital général de
Creil, le personnel du service traumatologie de l'hôpital général de Creil, le chirurgien docteur
Meunier de l'hôpital général de CREIL pour leur soutien moral et leurs compétences exemplaires. Et
pour tous les moments où nous, patients, avons le sentiment d'être « unique ».
Aujourd'hui, Anastasia a quasiment retrouvé toutes les fonctions de son bras… À tel point qu'elle est
devenue au cours du mois de septembre chevalière lors de la journée médiévale de Précy sur Oise.
En route pour de nouvelles aventures...
C’est décidé !
Quand je serai
grande, je
serai
chevalière au
cinéma !
Les ânes, les
cascades, les
chûtes, je
connais
déjà !!!......
« Après les ânes, pourquoi pas un lama ?
Ce serait rigolo !!! »
"Zéloi"
13/30
Lorsque nous sommes parties en vacances à Cannes sur la côte d’azur, au bord
de la mer méditerranée, nous avons pris l’avion à l’aéroport de Roissy pour
rejoindre l’aéroport de Nice. Pendant le vol, nous constatons que nos voisins de
l’autre côté de l’allée, sont Johnny Hallyday et son épouse Laëtitia H (elle
s’appelle comme moi !)
J’adresse un grand sourire à Johnny et il me demande comment je m’appelle. Je lui dis :
-« je m’appelle Laëtitia comme ton épouse et ma copine s’appelle Valentine; on part en vacances pour la
ville de Cannes pour voir une amie qui s’appelle Catherine qui habite Cannes »
Johnny a répondu
-« je vais à Cannes pour donner un concert. »
Il me propose de venir le voir à son concert et nous offre des places pour le soir même.
Au fil de la discussion, nous apprenons son âge: 63 ans et qu’il a commencé
à 15 ans.
Nous lui avons dit que nous avions eu l’occasion de voir des films policiers
et d’action dans lesquels il tenait un rôle.
Une heure plus tard, nous arrivons à l’aéroport de Nice, et Valentine et moi
disons au revoir à Johnny, en l’embrassant
Notre amie Catherine, nous attendait dans l’aéroport et nous étions très
contentes de nous retrouver toutes les trois. Nous montons dans le cabriolet
306 de notre amie, et nous partons en décapotable pour Cannes. Catherine
habite un appartement situé sur la croisette, en face des Iles de Lérins. Nous
nous installons, nous prenons ensuite une douche, on se fait belles pour le
concert de Johnny. Nous dînons très tôt, puis nous partons en décapotable
pour aller à la salle avant 20h30.Puis le concert commence et enfin Johnny arrive sur scène acclamé par les
spectateurs : applaudissements, cris… ambiance très chaude ! Pour certaines chansons, nous reprenons le
refrain avec lui. A l’entracte comme convenu, nous nous rendons dans la loge de Johnny, nous lui
présentons Catherine ; il nous offre un café tout en discutant avec nous ; il nous offre des photos dédicacées
ainsi que des invitations pour tous ses autres concerts. Nous lui promettons de venir à tous ses concerts. Puis
nous regagnons la salle pour la 2émme partie du concert. En sortant du spectacle, nous sommes très
heureuses de notre soirée et surtout d’avoir fait connaissance de Johnny.
Valentine,Laetitia,Catherine
Bien sûr tout cela vous l’aurez bien deviné n’était qu’un rêve imaginé par
et Laétitia, nos petites rédactrices en herbe !!
Mais pourquoi pas imaginer en effet qu’un jour les stars arrêtent de se
pour des étoiles et qu’elles puissent redescendre sur terre au niveau des
pour rester proches de leurs fans…………mais là c’est moi qui rêve !!!
Murielle HAPPIETTE
Valentine
prendre
mortels
14/30
LE NOUVEL AMI DU PETIT COCORICO
Par Esmerie
Historique :
L'Airedale Terrier est une race de chien qui appartient
au groupe des
terriers. Il est le plus grand des terriers. Cette race date du milieu du XIXe siècle .Il est originaire du
Yorkshire, en Angleterre.
Il a était créé à l'origine pour chasser la loutre et les rats. Il est reconnu comme le roi et le plus grand des
terriers.
Caractères :
Il est joueur, pot de colle, câlin, sociable Vif confiant. adorable, il a besoin d'activités physiques
quotidiennes, une longue marche et des jeux actifs.
Identité :
- Taille : de 58 cm à 61 cm pour le male et 56 a 59 cm pour la femelle
- Poids : de 18 a 22 kg pour le male et 17 a 20kg pour la femelle.
- Poil : Poil Dense, raide et dur
- Robe : Noir et feu, ou grisonné et feu
-Tête : Bien proportionnée, exempte de rides
- Yeux : petits de couleur foncée
- Oreilles : Petites, en V, avec la ligne supérieure pliée au-dessus du crâne.
- Queue Attachée haut, portée gaiement, généralement écourtée
La durée moyenne de vie moyenne est de 13 ans
Toilettage de L’Airedale
15/30
LE DOSSIER DE L’ANNEE
Un article complet sur le bicarbonate.
Bicarbonate…
Vous avez sans doute un jour lu ce mot… sur un tube de dentifrice, sur un baril de lessive, peut-être même
sur les deux, et vous vous êtes demandé : « Mais au juste, c’est quoi, ce bicarbonate ? ». Et vous vous êtes
demandé « Comment peut-il être recommandé pour prendre soin à la fois de mes dents et de mon linge
sale ? ». Si vous êtes allés plus loin, vous avez peut-être remarqué qu’on l’appelle souvent « bicarbonate de
SOUDE », plus rarement « Bicarbonate de SODIUM ». Et vous vous êtes dit : « De SOUDE ? C’est
dangereux, ça, la soude. C’est corrosif… on s’en sert pour déboucher les canalisations. Et SOUDE,
SODIUM, c’est la même chose ou ce sont deux produits différents ? ». A ce stade, seuls les plus curieux et
ouverts d’esprit sont encore là ! Et aujourd’hui, nous allons répondre à ces questions, qui vont vous
permettre de revendiquer le statut d’EXPERT es BICARBONATE, ce qui est très rare… car même si
beaucoup ont entendu parler du bicarbonate, si certains pensent le connaître et en parlent parfois à tort et à
travers, très peu le connaissent vraiment. Alors, suivez-nous à la découverte de ce produit étonnant et aux
multiples facettes, le plus fidèle allié au quotidien de ceux qui ont su l’apprivoiser !
Soude / Sodium. Quel bicarbonate ?
En anglais, on l’appelle « Baking soda », littéralement « soda à cuire », au Québec, on l’appelle parfois
«soda à pâte » ou même « Petite vache ». C’est en fait parce qu’il a d’abord servi en cuisine, et plus
particulièrement pour faire gonfler la pâte des gâteaux. Pour ceux qui connaissent les donuts, cookies,
brownies, bagels, muffins, et les pancakes : ils contiennent tous du bicarbonate, qui contribue à aérer leur
texture et à les rendre plus digestes. Quand à la « Petite vache » québécoise, c’est seulement parce qu’une
célèbre marque de bicarbonate avait adopté une vache comme emblème, et la faisait figurer sur tous ses
paquets en carton.
Il n’y a que dans la langue française qu’il y a cette ambigüité sur les termes « Soude » et « Sodium ». Que
les choses soient claires, et nous pouvons vous le promettre solennellement : il n’y a pas à proprement parler
de soude dans le bicarbonate ! Le bicarbonate de sodium, de formule NaHCO3, est complètement différent
de la soude caustique (ou hydroxyde de sodium), de formule NaOH. La soude caustique est effectivement
extrêmement corrosive, et de ce fait très dangereuse lorsqu’elle est concentrée. Alors pourquoi « Soude »
pour le bicarbonate ? Probablement parce qu’il est confondu avec le carbonate de soude (ou carbonate de
sodium), qu’on appelle souvent « Soude Solvay », de formule Na2CO3, qui est fabriqué au cours du même
processus industriel.
Vous voilà rassurés : pas de soude dans le bicarbonate… et c’est important car cela impressionne et même
décourage souvent les plus jeunes qui sont tentés de tester le bicarbonate. Pour finir, précisons qu’il existe
d’autres bicarbonates, qui peuvent eux aussi libérer l’ion bicarbonate HC03-, comme le bicarbonate de
potassium, le bicarbonate d’ammonium ou le bicarbonate de magnésium, mais on parle bien ici de
bicarbonate de sodium (on évitera maintenant de l’appeler bicarbonate de soude… ou plutôt on l’appellera
plus simplement « bicarbonate »).
16/30
Comment fabrique-t-on le bicarbonate ?
Le procédé le plus courant aujourd’hui a été inventé par un chimiste belge, Ernest Solvay. Il consiste à
combiner deux matières premières minérales d’origine naturelle, le carbonate de calcium (que certains
appellent aussi calcaire ou craie) et le chlorure de sodium (notre sel de table). Tous deux sont puisés dans le
sol. Le bicarbonate vendu en France est fabriqué par la Société Solvay en France, à Dombasle, à côté de
Nancy. On obtient alors un produit de synthèse très pur, et celui qui est vendu aux consommateurs doit
impérativement être de qualité alimentaire pour pouvoir être utilisé en cuisine, ou pour les soins corporels.
Un autre procédé, qui est exploité essentiellement aux Etats-Unis, consiste à puiser dans le sol par
dissolution du Trona, qui est un mélange naturel de carbonate et bicarbonate de sodium hydratés, et de les
séparer par des procédés de synthèse et de cristallisation.
Il existe aussi aux Etats-Unis des veines géologiques de bicarbonate assez pur qu’il suffit de dissoudre dans
de l’eau à très haute température pour le recristalliser en le purifiant en surface.
Sur le plan industriel, des millions de tonnes de bicarbonate sont produites chaque année. Solvay est
l’entreprise la plus puissante sur ce marché, elle est de nationalité Belge. Son bicarbonate est d’excellente
qualité.
Solvay en Europe et Arm & Hammer aux Etats-Unis sont les deux plus grandes marques de bicarbonate.
Quels sont les usages « professionnels » du bicarbonate ?
Ce bicarbonate est utilisé en très grandes quantités pour les usages industriels suivants :
 En pharmacie, il est précieux pour l’hémodialyse, procédé qui permet d’éliminer les produits
toxiques accumulés dans le sang des insuffisants rénaux. Il est utilisé aussi pour générer les bulles
des cachets effervescents.
 En cosmétique, on le trouve dans les déodorants et en hygiène bucco-dentaire dans les dentifrices.
 En alimentation animale, il est ajouté à la ration des vaches laitières pour leur éviter ce qu’on appelle
l’acidose, c’est-à-dire une acidification de leur organisme qui peut mettre leur vie en danger par la
fragilisation de leur os. Il faut d’ailleurs savoir que notre alimentation moderne, souvent trop riche en
protéines d’origine animale et en sucres nous prédispose aussi à une légère acidose…
 Pour le traitement des fumées des incinérateurs d’ordures ménagères, le bicarbonate neutralise l’acide
chlorhydrique et le précipite en sels qui seront recyclés, évitant la formation des pluies acides. Il
piège aussi ce que l’on appelle les NOx et les SOx, très toxiques lorsqu’ils sont dispersés dans
l’environnement.
 Il intervient dans la fabrication des lessives et autres produits d’entretien.
 Il est utilisé comme agent levant dans l’industrie des pâtisseries, il sert à éteindre les feux de classe B
et C, ceux occasionnés par exemple par les courts-circuits ou les graisses.
17/30
 Et il intervient aussi comme conservateur, dans certains produits de préservation des cultures… la
liste est trop longue pour être exhaustive.
La diversité de ses usages industriels n’est qu’une petite introduction de ses multiples utilisations possibles
pour toute la famille à la maison…
Comment le bicarbonate peut-il faire tant de choses dans tant de domaines différents ?
 Une molécule universelle : l’ion bicarbonate, HCO3- et le bicarbonate de sodium sont déterminants
pour assurer de nombreux équilibres naturels, qu’il s’agisse des échanges entre l’atmosphère et les
océans, ou de la stabilité du pH (potentiel Hydrogène) de notre sang ou de notre salive. Naturellement
présente dans l’organisme, la molécule de bicarbonate n’entraine pas de phénomène d’allergie. Son
universalité explique qu’il puisse intervenir dans tant de domaines.

Un profil toxicologique et environnemental exceptionnel : même si le bicarbonate est comme toutes
les autres substances, et même si il ne faut pas en abuser et ne pas manquer de consulter son médecin
en cas de doute et d’interaction possible avec un médicament, il ne présente pas de danger aux doses
auxquelles il est habituellement employé. Pour l’entretien de la maison, il ne diffuse pas de molécules
toxiques dans l’atmosphère tout en participant activement à la propreté et à l’hygiène… Son absence
de toxicité permet de l’utiliser aussi bien pour les soins du corps que pour les travaux de nettoyage !

Le bicarbonate est une substance qui « tamponne » le milieu dans lequel il est introduit, c'est-à-dire
qu’il rectifie une situation excessivement acide ou alcaline pour rétablir un pH plus proche de la
neutralité. Et comme beaucoup de processus naturels sont bloqués par des pH trop bas (trop d’acidité)
ou trop élevés (trop d’alcalinité), le bicarbonate leur permet de se « remettre en route »…

Un « piège à odeurs » : c’est en fait une conséquence de son action de « tampon », puisque les odeurs
fortes se développent dans des milieux fortement acides ou basiques. De plus, la combinaison des
cristaux de bicarbonate forme une surface dite « maclée », c’est-à-dire très irrégulière et qui offre une
grande surface d’échange avec l’atmosphère pour « piéger » les odeurs dans sa structure.

Solvant de matières organiques : le bicarbonate dissout les graisses et décroche les souillures
organiques sans agressivité.

Générateur d’effervescence : le bicarbonate conjugué à un acide, ou porté à des températures
supérieures à 60 °C, génère du CO2 (c’est le gaz des bulles) et de l’eau…. C’est ce qui explique qu’il
fasse gonfler les pâtisseries et qu’il serve à fabriquer les cachets effervescents.

Abrasif doux : l’action moléculaire du bicarbonate est complétée par son action « physique » ou
« mécanique », puisque, quand on frotte une surface sale ou grasse avec une éponge saupoudrée de
bicarbonate, on constate vite que le résultat est surprenant d’efficacité !
18/30

Bactériostatique et fongistatique : le bicarbonate bloque le développement de quasiment toutes les
bactéries et les moisissures, lorsqu’il est présent dans un milieu (l’eau par exemple), à plus de 3 % (ce
qui représente 30 g/litre pour l’eau). Mais on constate souvent un effet très intéressant dès 0,5 % (soit
5 g/l), pour la protection des végétaux contre les moisissures (dont le tristement célèbre « oïdium »
par exemple). Des recherches très encourageantes ont été menées également pour lutter contre les
mycoses dermatologiques.
Un peu d’histoire…
 L’histoire du bicarbonate accompagne celle de peuples très anciens, dont les Egyptiens qui
récoltaient le natron (qui, comme le trona, est un mélange naturel de carbonate et de bicarbonate
géologiques) dans le lit de lacs asséchés, et les romains le connaissaient également, peut-être
d’ailleurs par les Egyptiens. Ils l’utilisaient surtout pour l’entretien du linge et l’hygiène corporelle et
en faisaient également des onguents. A noter que les Egyptiens utilisaient aussi le natron pour la
préparation des momies… une bonne preuve de son efficacité dans le domaine de la conservation.
 L’histoire industrielle du bicarbonate date du 19e siècle avec la constitution progressive de la société
Church and Dwight, deux citoyens américains, qui ont lancé la célèbre marque Arm & Hammer,
toujours leader du marché aux Etats-Unis aujourd’hui. Le bicarbonate a d’ailleurs accompagné les
pionniers américains dans leur conquête de l’Ouest.
 Aujourd’hui, l’utilisation du bicarbonate à la maison est encore assez marginale en Europe, sauf en
Italie où la société Solvay, leader mondial du bicarbonate industriel, a choisi de soutenir une gamme
de produits disponibles en grandes surfaces et pour laquelle elle fait de la publicité. En France, le
produit est encore souvent assez difficile à trouver, et les paquets disponibles sont en général peu
attrayants et peu pratiques.
Sur internet, une société a créé un site qui explique toutes les utilisations possibles du bicarbonate :
www.monbicarbonate.fr et propose une gamme de produits appropriés et d’un coût raisonnable:
www.compagnie-bicarbonate.com.
19/30
LA MERE POULE VOUS PROPOSE…
LES MACHINES DE L’ILE DE NANTES
Installées sur le site des anciens chantiers navals, les machines de l’Ile de Nantes sont une invitation au
spectacle et à l’imaginaire.
Née de la rencontre d’artistes un peu fous et de constructeurs, à la croisée du monde imaginaire de Jules
Verne (natif de la ville) et des inventions de Léonard de Vinci, la galerie des Machines invite les visiteurs
dans un formidable bestiaire de machines vivantes :
Le calamar à rétropropulsion, le crabe géant, le serpent des
mers… et surtout, le clou de cette nef : le grand éléphant.
Haut de 12 mètres, large de 8, lourd de 50 tonnes d’acier et
de bois et de 4 tonnes d’huile pour la carcasse hydraulique,
ce majestueux animal peut embarquer 49 passagers pour un
voyage sur les quais de la Loire. Installés sur cette
architecture en mouvement, comme au 4ème étage d’une
maison qui se déplace, les passagers découvrent à bord les
engrenages et les pattes en action, jusqu’au barrissement de
l’animal déclenché par un machiniste.
Les autres « animaux-machines » sont à l’intérieur de la
galerie (l’ancienne nef des chantiers navals) et sont
régulièrement mis en mouvement par les
machinistes qui en expliquent l’histoire et le
fonctionnement et proposent également aux
visiteurs d’en prendre les commandes.
Après un passage par les ateliers où le visiteur
assiste au travail des constructeurs dans un univers
de bois et d’acier, et le visionnage du film sur le
projet des Machines de l’île (de ses origines à
l’ouverture), la visite se poursuit à l’extérieur sur
l’arbre aux hérons.
A l’heure actuelle, seule la branche prototype de cet
arbre est accessible. Elle est le premier élément
d’une monumentale architecture d’acier qui
mesurera 50 mètres de diamètre et 35 mètres de
haut et surmontée de deux hérons. Les visiteurs pourront effectuer une promenade de plus d’un kilomètre, de
branches en branches au milieu de jardins suspendus, et embarquer sous les ailes des hérons.
A la fois surprenant et drôle, vous l’aurez compris, si vous passez un jour par Nantes, la visite de ce site est
incontournable. Engrenages et mécanismes n’auront plus de secrets pour vous.
Nadège
20/30
La maison Gallé-Juillet a été fondée en 1788 sur les ruines du château fort de Creil. Elle a été habitée par
Jacques Banal, le directeur de la faïencerie de Creil. (1802 1868). Elle fut léguée à Jules Juillet son neveu par alliance,
médecin et maire de Creil pendant 22 ans (1846 1868).
Sa fille Marie (1847 1904), épouse du rentier Ernest Gallé (1836 1900), cousin d’Émile Gallé hérita de la
demeure. Marie et Ernest eurent un fils : Auguste (1866 1928) qui épousa Berthe Franchement (1872 1956) qui eurent
un fils unique : Maurice qui décéda à l’âge de 21 ans en 1916 lors de la dernière bataille de la Somme.
La maison a été donnée à la ville de Creil en 1929 et un musée ouvrit en 1931.
Le mercredi 27 octobre 2010, après un déjeuner en bonne compagnie, Catherine nous invita à visiter le musée de
Creil avec Laetitia, Valentine et Clara.
A 13h30 nous nous dirigeons vers Creil et pénétrons dans le musée après nous être acquittées des droits
d’entrée. Nous commençons la visite par le hall d'accueil, où nous sommes reçues par notre charmante guide qui nous
précise que l’endroit où nous nous trouvons correspond à l'ancien garage.
Puis nous visitons la cuisine dans laquelle nous trouvons : une cuisinière en fonte ; une batterie de cuisine en
cuivre... Le cuisinier Léon Chauvin a travaillé dans cette cuisine pendant plus de 36 ans.
Puis nous atteignons le vestibule où nous trouvons des trophées de chasse avant d'atteindre la salle à manger où
l'on peut admirer sur la table la vaisselle en faïence de Creil ainsi de jolis verres monogrammés.
Nous quittons le rez-de-chaussée pour atteindre le premier étage.
Nous sommes toutes les quatre très heureuses car notre charmante guide, nous permet de faire des photos, de prendre
des notes tout en s'adaptant à notre rythme et nous sommes ses seules visiteuses, pour notre plus grand plaisir.
Nous passons sur le palier du premier
étage pour atteindre le salon Empire où
nous admirons une magnifique collection
de vaisselle ayant appartenue à la
princesse de Lamballe; un piano droit
Pleyel et de jolis sièges recouverts de
tapisseries de Beauvais représentant des
fables de La Fontaine.
Puis nous accédons au fumoir. Cette
pièce servait de bureau ou de
bibliothèque était réservée aux Messieurs
qui fumaient la pipe ou le cigare.
Puis nous passons à la salle de billard.
Au centre se trouve le billard et tout
autour de la pièce des vitrines dans
lesquelles sont présentés des costumes
de la fin du XVIIIe siècle.
.
Puis nous passons dans la chambre Directoire avec du mobilier de la même époque. Nous accédons ensuite à la
chambre de Mme Gallé qui est magnifique comportant une merveilleuse table de trictrac, baggamon et jacquet ; un joli
bureau à cylindre, une coiffeuse d'homme en forme de cœur (pièce exceptionnelle) ainsi que deux chaises voyeuses.
Tous ces meubles proviennent du XVIIIe siècle.
Nous atteignons ensuite le boudoir, pièce strictement réservée aux femmes et dotée d'une petite table à couture : ici on
brodait, cousait, tricotait, lisait et bavardait...
21/30
Puis c'est le passage des jouets. Beaucoup de jouets anciens ayant appartenu à Maurice Gallé et pièce regroupant tous
les souvenirs d'enfance, religieux et militaires de ce dernier.
Nous quittons le premier étage pour accéder au deuxième. Cet étage était réservé aux amis et aux domestiques suivant
les périodes de l'histoire.
Nous accédons à la salle des coquillages, magnifique collection et passion d'Ernest Gallé et ses meubles à tiroirs.
Nous pénétrons dans la chambre Charles X cloisonnée en trois parties : berceau en laiton ; le lit bateau Charles X et le
cabinet de toilette muni de faïence de Creil disposée sur une table de toilette, comportant dans sa partie haute : un
savonnier, une boîte à brosse à dents, une boîte à éponge, une cuvette, un broc et un plat à barbe. Dans sa partie
basse : une cuvette pour se laver les pieds en faïence de Creil.
Nous terminons par une visite brève de la salle des
faïences, où se trouve une exposition temporaire ;
puis nous regagnons l'accueil du rez-de-chaussée
(ancien garage) où notre guide nous remet la
documentation et un poster. Catherine nous offre un
bracelet ou un pin’s.
Puis nous avons fait des photos amusantes avant de quitter le musée, sans oublier de remercier notre charmante guide.
De retour à la voiture, nous récupérons notre goûter et le dégustons sur un banc face à la mairie.
Nous nous dirigeons ensuite sur le pont où nous observons des cygnes et des canards, quand tout à coup, surgit un
gros rat nageant le long des berges en faisant des allers et retours.
Nous avons passé une très bonne journée toutes les quatre à partager de grands moments d'amitié. Nous espérons
nous revoir très bientôt et vivre de nouvelles aventures.
Catherine Launois- Laetitia Cocu- Valentine Gambier et Clara Gustinelli
Le 27 octobre
2010.
22/30
LE POUSSIN SPORTIF…
Eh bien oui ! Il n'y a pas qu'à la télévision où l'on parle de foot de rue !
Pour cela il suffit de vous rendre à Blaincourt les Précy dans le département de
l'Oise (60) ; outre le fait que vous découvrirez un charmant village aux maisons de
pierre et tuile rouge située au pied du bois Saint-Michel faites un détour jusqu'à la rue des sablons et vous nous verrez,
mon cousin et moi-même Émilie en train de jouer au foot.
Je vais d'ailleurs vous conter une petite anecdote d'où me vient mon surnom ? Un jour, par un beau matin d'été nous
étions en train de jouer au foot lorsque tout à coup en réalisant un retourné acrobatique j'ai marqué l'un des plus jolis
buts de ma carrière, mon cousin époustouflé en a même perdu son latin et inverser ces deux mots « jolie ! » « Émilie ! »
de puis-lors je me nomme « Émilie Jolie ». Libre à vous de me croire au non...
C'est vrai ça n'est pas très prudent de jouer au foot dans la rue mais dès que notre City stade sera réparé nous en
prendrons grand soin pour qu'il ne soit plus dégradé et nous l'investirons avec des valeurs semblables à celles de
l'activité "Multi-Sports" où je suis inscrite depuis le début de cette activité.
Alors, retirer vos idées préconçues ! Le football n'est sûrement pas que pour les garçons ! Et ce n'est pas Richard
(bénévoles sportifs de l'activité "Multi-Sports") qui dira le contraire lui défend si bien les valeurs sportives …
Émilie Parmentier.
(Collège Jules Vallès)
23/30
LE PAPIER MACHE…
Je commencerai ce compte rendu en disant un grand merci à l'ensemble de l'équipe bénévole de l'association
"la Ferme de Sorel" car ne l'oublions pas l'équipe de permanents associés de l'équipe bénévole oeuvrent dans
un même objectif « la socialisation » et l'un ne pourrait pas aller sans l'autre.
Il ressort de cette réunion quelques points importants :
Cette année nous ne montrons pas d'autres ateliers mais plutôt développer et optimiser les ateliers existants.
C'est ainsi que concernant l'atelier "Multisports" avec Richard notre sportif de services nous allons
développer différents partenariats avec diverses associations afin d'offrir à nos adhérents quelques séances
d'initiation telle que : Babington, judo, tir à l'arc... Et bien sûr des rencontres avec les parents chaque samedi
avant chaque vacance scolaire d'ores et déjà la date du 27 octobre 2010 est inscrite au calendrier pour une
rencontre inter- génération en ping-pong et la date du 13 novembre 2010 rencontres avec l'ensemble des
bénévoles de l'association "la Ferme de Sorel" et l'équipe "Multisports".
A ce propos, nous félicitons l’heureux gagnant du challenge, Albert, d’une génération plus « âgée » que la
moyenne de toute l’équipe « Multisports ».
Grâce à nos participants, la journée a été le reflet des ateliers : beaucoup de convivialité, de bonne humeur et
de motivation.
Les jeunes de l'association "la Ferme de Sorel" attendent avec impatience le retour de Maryline pour mettre
en oeuvre leur album photo numérique sur leur séjour d'été à Chamrousse où ils ont pu passer quatre
semaines à faire diverses activités telles que patinette spéciale montagne, randonnée équestre, visite de cette
belle région…
Quant à Georges, deux jeunes de l'association "la Ferme de Sorel" sorte du lot et me sollicitent afin de les
inscrirent dans l'atelier bricolage dans la restauration des chaises... Souhait exaucé !
Évelyne qui était sur l'atelier travaux manuels s'adapte au contexte actuel et part sur une année de soutien
scolaire à raison de deux fois par semaine.
L'activité bibliothèque menée depuis quelques mois par Marie - Anne a prouvé son efficacité sur l'un de nos
jeunes « Christopher » qui depuis plusieurs mois insiste sur le fait qu'il aimerait « savoir lire » nous
comptons donc sur les compétences de Marie - Anne à raison d'une fois par semaine le samedi et tenter de
déclencher l’envie aux autres jeunes de venir à la bibliothèque cette envie a l'air de s'être bien amorcée
puisque depuis un deuxième jeune « Jean-Baptiste » tient à approfondir sa lecture.
Rénata continue son activité poterie à raison d'un ou deux jeunes à la fois et ceux à tour de rôle nous verrons
au cours de l'année si toutefois une ou deux autres personnes de l'extérieur pourrait participer à cette activité
actuellement l'atelier travaille sur des porte-savons tous plus beaux les uns que les autres et seront mis en
vente au cours du mois de décembre 2010.
24/30
LE PAPIER MACHE…
N'oublions pas que des sorties culturelles sont toujours les bienvenues surtout lorsque nous pouvons les
partager en petit comité c'est-à-dire avec un ou deux jeunes, soit sur certains week-ends, pendant les
vacances et pour cela nous remercions Catherine, Huguette, Évelyne sans oublier Nadège avec un nouvel
objectif : résumer un article qui paraîtra dans le "P'tit Cocorico".
Je viens de vous nommer « Nadège » : Eh bien oui elle soufflera sa sixième bougie de bénévolat au sein de
l'association "la Ferme de Sorel" en début d'année prochaine ! Pour sa part Nadège continue d'animer sur les
vendredis après-midi les jeux culturels dont l'efficacité n'est plus à prouver, Nadège intervient notamment
dans "P'tit Cocorico" ainsi que dans diverses activités de l'association "la Ferme de Sorel" et Picardie sans
frontières.
Martine et Gérard nous le retrouvons généralement le dimanche sur deux pôles d'animation très différente
puisque Martine intervient sur les coiffures, dessins tribaux, le maquillage...
Gérard à une mission de 1010/2011 !
-Laquelle ?
- développer différents projets avec l'unité d'autonomie afin de motiver et attiser leur curiosité dans des
activités liées au recyclage, les peintures bio, les concours de photos, mais aussi des expériences qu'ils
pourraient exporter au Bénin par exemple comme un condensateur à eau... Pour cela Gérard partagera
certains repas dans l'unité d'autonomie de "la Ferme de Sorel" pour planifier, analyser ses différentes
activités.
L'équipe de l'atelier "P'tit Cocorico" Fabrice, Nadège et Murielle sans oublier "Zéloi" se sont déjà remis au
travail et après un rendez-vous au collège Jules Vallès le partenariat est définitivement scellé puisque deux
professeurs de français intègrent dans leurs cours des devoirs qui figureront dans le journal et le centre de
documentation et information prévoit peut-être de créer un club le « P'tit Cocorico au collège » afin de
réaliser des articles sur la vie du collège, ou autres qui seront publiés dans le "P'tit Cocorico"...
Les p'tits plus 2010/2011 :
Une exposition d'une semaine dans le hall du collège de Saint-Leu sur le Bénin ainsi qu'une journée
d'information pour toutes les classes de sixième avec vidéo projection, peut-être même qu'une professeur de
musique interviendra avec quelques élèves sur le thème de l'Afrique et un professeur de dessin fera réaliser
des chefs-d'oeuvre inspirés de ce même pays.
L'association "la Ferme de Sorel" organise en 2011 deux séjours au Bénin pour nos jeunes accueillis l'un en
février et l'autre en octobre peut-être en partenariat avec un établissement de Chevrière. Outre le fait de
découvrir un nouveau pays, nouvelle coutume, nous mettons en peut-être en place un atelier d'apiculture
avec l'aide de Michel bénévoles dans les abeilles et serres tropicales de "la Ferme de Sorel".
Ainsi, les jeunes de l'association "la Ferme de Sorel" pourront se mettre en valeur en prenant la parole lors
de l'exposition de 1011/2012 au collège Jules Vallès.
Comme quoi nous avons toujours apprendre de l'autre !...
25/30
LE PAPIER MACHE…
Mais que serait l'association "la Ferme de Sorel" s'il n'y avait pas ces fameuses soirées conviviales telles que:
Soirée loto j'en profite au passage pour remercier les bénévoles de cette équipe Jean-Claude, Christophe,
Michel bénévoles musiciens ; notre bénévole informaticien aussi bien dans l'équipe du loto que dans l'équipe
ferme de Sorel et même pour Picardie sans frontières etc… Fabrice ; le bureau de contrôle Murielle, Nadège,
Françoise et n'oublions pas au bar Colette ; et nos deux petites pompom- girls Valentine et Eugénie.
Le prochain loto sera le 28 janvier 2011.
Aux alentours du mois d'avril nous prendrons date pour réaliser une soirée astronomie entourée comme
d'habitude par Daniel.
Nous organiserons aussi une réunion d'information sur le bicarbonate et tout ce que l'on peut faire avec.
Nous en profitons aussi pour vous dire que le conseil général de l'Oise soutient "les Zateliers de Zéloi" qui
nous a octroyé une subvention.
C'est ainsi que cette réunion s'achève dans la bonne humeur, toutefois rappelons que parfois nous aimerions
obtenir des résultats rapides de nos actions mais bien souvent il faut attendre un certain temps pour que
celle-ci puisse se porter leurs fruits alors ne perdons pas courage... Et cultivons ensemble l'art de la patience.
"Zéloi"
26/30
LOISIRS ET PASSIONS
!!!! MAINTENANT A VOUS DE JOUER !!!!
En associant culture générale, exercices de grammaire, de conjugaison, de mathématiques, vous devrez
répondre aux questions ci-dessous.
Alors, seul ou en famille, faites travailler vos méninges …
LE VIADUC DE GARABIT
Le viaduc de Garabit est un ouvrage ferroviaire qui enjambe les gorges
de La Truyère (affluent du Lot) dans le Cantal. Il est entièrement
métallique et a été construit par la société Gustave Eiffel et Cie.
- Quelle est la longueur du tablier (en mètres) ?
5 centaines, 6 dizaines, 4 unités, autant de dixièmes que de dizaines et 9 centièmes
- Combien de rivets ont été posés ? 700 700 – 22 000 + 68
- En quelle année a-t-il été achevé ? 2 x 1 000 - 2 x 58
- Lors de sa remise à neuf, combien de tonnes de peinture ont été
nécessaires ? 25 x 2 - 3 x 4
- En quelle année a-t-il été inscrit aux monuments historiques ? 15 x (2 x 50 + 31)
LE MONT BLANC
Situé entre la Haute Savoie et la Vallée d’Aoste, le Mont Blanc est le point culminant des Alpes.
- Mais quelle était son altitude en 1863 (en mètres) ? 5 000 - 200 + 7
- Dans quel département français se trouve-t-il (le n°) ? 8 dizaines moins 6 unités
- En quelle année eut lieu la première ascension ? La moitié de 3 572
- Quelle est la longueur du tunnel du Mont Blanc (en km) ? Le double de 5,8
- L’été 2003, combien de parapentistes se sont posés au sommet ? Résoudre 20 + ? = 25
Nadège et Muriel
(les réponses en fin de journal)
27/30
LOISIRS ET PASSIONS
Notre ami "Zéloi" nous a encore concocté un nouveau jeu alors mieux que des mots voici la règle une fois de
plus un bon moyen de connaître régions et départements tout en s’amusant !
Cocorico BREVET DEPOSE Nombre de joueurs : De 2 à 6 personnes. But du jeu : le but du cocorico est de pouvoir réunir le maximum de régions complètes. Déroulement de la partie : (en individuel) : chacun des joueurs reçoit 10 cartes et le reste posé au centre face caché, appelé pioche. On retourne les 4 premières cartes de la pioche. Chaque joueur peut s'il le souhaite changer une ou plusieurs cartes de son jeu contre les cartes retournées. Le but étant d'obtenir toutes les cartes (département) d'une même région. Lorsque chacun des joueurs décide de ne plus vouloir changer de carte celles‐ci sont reprises et mises à part, on retourne alors 4 nouvelles cartes du talon et ainsi de suite. Lorsqu'un joueur possède une région complète il crie alors « cocorico » et les retournent face visible devant lui et obtient le nombre de points indiqués en rouge sur les cartes. (Exemple : région Picardie 02 + 60 + 80 = 142). Attention ! Avant d'exposer une région complète le joueur doit s'être acquitté des cartes qu'il a empruntées. À la suite de quoi, le joueur reprend dans le talon le nombre de cartes pour reformer un jeu complet de 10 cartes. En fin de jeu, lorsqu'il n'y a plus assez de cartes dans le talon les cartes restantes sont distribuées entre les joueurs qui en ont besoin. La partie s'arrête lorsqu'il n'y a plus de talon (lorsque toutes les régions sont exposées) on totalise alors le nombre de points de chaque joueur. le gagnant est celui qui totalise le plus de points. Notes de "Zéloi" : merci d'avoir choisi ce jeu qui je l'espère vous fera passer de très bons moments en famille en mêlant la joie et la culture de notre beau pays la France. Retrouvez aussi le jeu loto dep‐dom‐tom (création "Zéloi"). Le logo figurant sur les cartes évoluera lorsque j'aurai réuni toutes les autorisations des régions de France afin de pouvoir placer leurs logos respectifs. En attendant bon jeu ! "Zéloi". 28/30
DERNIERE MINUTE
ILS, ELLES PENSENT AU P’TIT COCORICO
A VOUS DE JOUER : LES REPONSES :
La règle dit :" En l'absence de parenthèses, la multiplication est prioritaire par rapport à l'addition et à la soustraction."
VIADUC DE GARABIT
- Quelle est la longueur du tablier (en mètres) ? ……………….
564,69
- Combien de rivets ont été posés ?.............................................. 678 768
- En quelle année a-t-il été achevé ?.............................................
1884
- Lors de sa remise à neuf, combien de tonnes de peinture ont été
nécessaires ?..............................................................................
38
- En quelle année a-t-il été inscrit aux monuments historiques ?
1965
LE MONT BLANC
- Mais quelle était son altitude en 1863 (en mètres)?.............................. 4807
- Dans quel département français se trouve-t-il (le n°) ?………………
74
- En quelle année eut lieu la première ascension ? …………………… 1786
- Quelle est la longueur du tunnel du Mont Blanc (en km) ?.................
11,6
- L’été 2003, combien de parapentistes se sont posés au sommet ?.......
5
29/30
DERNIERE MINUTE
30/30
A BIENTÔT…

Le P`tit Cocorico - la ferme de sorel

Transcription

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