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E T I E NNEDAHO nouvel al bum Cont actPr es s e:Chr i s t opheMERI GOUT Char gédecommuni cat i onetdesr el at i onspubl i ques T héât r eL eF or um -06. 38. 95. 53. 49-c. mer i gout @t heat r el ef or um. f r ETIENNE DAHO Issu de la vague rock de Rennes, Étienne Daho est l'une des personnalités musicales les plus influentes à être apparues sur la scène française de ces 30 dernières années. Une dizaine d’albums et une bonne quantité de tubes ont fait de cet « enfant du rock », au parcours pavé d’or et de platine, le chef de file de la pop française. Né à Oran, Étienne Daho grandit à Rennes, principal foyer de la scène post-punk française : c’est sur la scène des fameuses Transmusicales qu’en 1980, ce jeune anglophile fanatique de musique débute sa carrière. Inaugurant l’année suivante le catalogue de Virgin France, il impose d’emblée son univers avec un premier album, Mythomane, enregistré avec Jacno et les musiciens du groupe Marquis de Sade. Dès 1983, Étienne signe ses premiers tubes avec Le Grand Sommeil et Week-end à Rome (sur l’album La Notte, La Notte). En 1986, son troisième LP, Pop Satori, marque un nouveau virage. Réalisé à Londres avec les membres du groupe Torch Song (parmi lesquels William Orbit, futur parrain de la techno et producteur de Blur et Madonna), ce disque est une ambitieuse tentative de marier la langue française à la musique électronique : dix ans plus tard, l’album Eden, faisant entrer dans la chanson les rythmes du trip hop ou de la drum’n’bass, enfoncera magistralement le clou. En attendant, Pop Satori et son cortège de hits (Tombé pour la France, Epaule Tattoo, Duel au soleil) marquent surtout le début de ce que l’on a appelé la « Dahomania », une popularité qui, 20 ans après, ne s’est jamais démentie. La personnalité singulière d’Étienne Daho fait l’unanimité, séduisant tous les publics, réconciliant les courants indépendants et la « variété », et suscitant nombre de vocations. Homme de goût et passeur généreux, qui met à profit son influence pour prêter sa plume (Jane Birkin, Jacques Dutronc, Marianne Faithfull…), Daho s’impose comme un musicien complet – auteur, compositeur, producteur, performer. Un musicien dont le parcours se nourrit de rencontres, comme en témoigne la liste des artistes qu’il a côtoyés, qu’ils soient musiciens (de Serge Gainsbourg à Air en passant par Brigitte Fontaine, Bashung, Dutronc) ou artistes visuels (Guy Peellaert, Michel Gondry, Nick Night, M/M's, Pierre & Gilles,…). Un artiste à la fois discret et omniprésent, constant et insaisissable, qui se remet en question à chaque album et se révèle en allant vers les autres. En 1991, Daho est à New York, où il enregistre l’album Paris, ailleurs, colossal succès (les singles Saudade, Comme un igloo…) qui rend hommage aux labels Stax et Motown. Quatre ans plus tard, après un nouveau triomphe grâce à une reprise d’Edith Piaf (Mon manège à moi) et plusieurs productions pour d’autres artistes, on le retrouve à Londres, où il collabore avec le groupe pop Saint-Etienne : tiré de Reserection, mini-album à forte teneur électro-pop qui préfigure Eden, He’s on the phone, reprise de son Week-end à Rome, se classera numéro 1 dans les charts britannniques. En 2000, Corps et armes décline une opulence orchestrale illuminée par le soleil d’Ibiza, tandis que Réévolution (2003), son huitième album studio, le voit renouer, quinze ans plus tard, avec les tonalités rock de Pour nos vies martiennes. En 2008, "L'invitation" (L'adorer), récompensé par Les Victoires de la musique et un album de platine sera suivi par l'enregistrement de l'intégrale du "Condamné à mort" (2010) de Jean Genet, avec Jeanne Moreau. Unanimement salué par la critique, le spectacle triomphe au Théâtre de l'Odéon, à la Salle Pleyel et dans la cour d'honneur du Palais des Papes d'Avignon. Le parcours singulier d’Etienne Daho, sans faute ni concession, a des allures de conte de fées : l’histoire d’un enfant du Velvet et du punk dont les morceaux, des Heures hindoues à If en passant par Le premier jour et Comme un boomerang, sont entrés au Panthéon de la chanson française. ETIENNE DAHO BIOGRAPHY A crucial figure of the early 80’s Rennes post-punk wave, Etienne Daho is one of the most influential personalities to have emerged on the French scene in the last 30 years. A dozen gold and platinum albums and countless hit singles have turned this "enfant du rock" into the leader of French pop.The singular personality and natural charisma of Etienne Daho has seduced a huge range of music lovers, from hard-core rock fans to mainstream pop addicts; from the ones who grew up with him to a whole new generation of admirers. As an accomplished musician, writer, composer and producer, he also likes to write for his peers (Jane Birkin, Jacques Dutronc, Marianne Faithfull). He loves and causes artistic encounters of all kinds, and has collaborated with a wide variety of musicians (Charlotte Gainsbourg, Françoise Hardy, Alain Bashung, Jacques Dutronc, Vanessa Paradis, Jeanne Moreau and Air to name a few) and visual artists (Guy Pellaert, Michel Gondry, Nick Night, Pierre & Gilles, Hedi Slimane, David Simms and Inez Van Lambsweerde). Born in Oran, Algeria the 14th of January 1956, he was raised in Rennes, France. He started his career in 1980 on the stage of Les Transmusicales, the famous annual Rennes rock festival. He then became the first artist to sign with Virgin Records France, who issued his minimalist pop debut album "Mythomane" in 1981, which was produced by Stinky Toys guitarist Jacno and recorded with musicians from the band Marquis De Sade. In 1983 Etienne Daho scored his first hits with "Le Grand Sommeil" and "Weekend A Rome" (both from his second album "La Notte, La Notte”), before setting new and higher goals with his third album "Pop Satori" in 1986. Recorded in London with members of the band Torch Song (among them William Orbit, Madonna producer and future "godfather of techno"), this album was an ambitious attempt to marry the French language with electronic music, way before the "French touch" succeeded. His next album "Pour Nos Vies Martiennes" (1988) ignited Dahomania, a huge and legitimate popularity, still intact today. Daho manages to be discreet yet omnipresent and impossible to pin down, always defying expectations. In 1991 he recorded the album "Paris, Ailleurs" in New York City (featuring the singles "Saudade" and "Comme Un Igloo") as a vibrant tribute to the Stax and Motown labels. Two years later he was back on the charts with a cover of Edith Piaf's "Mon Manège A Moi” (1993). Soon after that he was to be found in London working with the English pop duo Saint-Etienne, and their "He's On The Phone" (an English-language cover of Etienne’s "Weekend A Rome") from Saint-Etienne's 1995 mini-album "Reserection" attained Number 2 on the British charts. In 1996, he would try other daring productions such as "Eden", a fantastic album mixing chanson française, trip-hop and drum 'n'bass. With the voluptuous orchestrations of "Corps Et Armes" in 2000, the darkness of “Réévolution” in 2003 and the luminous "L'invitation" of 2007 (a platinum record and awarded best pop & rock album at the Victoires De La Musique in 2008), Daho maintains a very high profile and he was celebrated by the new French pop scene with the tribute album "Tombé Pour Daho" in 2008. In 2010, he recorded with Jeanne Moreau the dary "Le condamné à mort", poem written by Jean Genet. His career reads like a fairy tale, but it's the true story of a child of the Velvet Underground and punk rock whose songs, from “Des Heures Hindoues” and “Le Premier Jour Du Reste De Ta Vie”, to “Comme Un Boomerang”, "Soudain" and “If”, have become an essential part of the French pop pantheon.
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