Faculté des Sciences et Technologies

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Faculté des Sciences et Technologies
MASTER
BioSciences et
Ingénierie de la Santé
MASTER BioSciences et Ingénierie de la Santé (BSIS)
OBJECTIFS DE LA FORMATION
• Les biosciences et l’ingénierie de la santé sont en pointe des travaux de recherche actuels en biologie et en
médecine. Les fondements scientifiques du Master BSIS exploitent les interactions fortes entre les nombreuses
disciplines appliquées aux domaines de l’ingénierie et du biomédical : biologie, biophysique, biochimie,
biomathématiques, biomécanique, bio-informatique, bio-imagerie…, mais aussi celles tournées vers les
recherches fondamentales sur la structure et la fonction des macromolécules et des mécanismes moléculaires
et cellulaires les impliquant.
• Le Master BSIS s’adresse à des étudiants issus de cursus diversifiés et s’appuie sur une équipe de formation
largement pluridisciplinaire. Il s’inscrit ainsi comme le lieu propice et privilégié de regroupements disciplinaires
voire institutionnels et le creuset de collaborations et de travaux de recherche inter- et pluri-disciplinaires en
biosciences, bio-ingénierie et ingénierie de la santé.
• Les objectifs de la formation sont de faire acquérir un ensemble cohérent de connaissances fondamentales,
scientifiques et techniques, théoriques et pratiques, et d’outils méthodologiques et organisationnels dans les
domaines de la bio-ingénierie cellulaire et tissulaire, de la biologie moléculaire, de la biochimie, de l’enzymologie,
de la biologie structurale, du génie biologique et médical et du médicament, pour ensuite les appliquer à
l’analyse, l’expertise et la résolution de problèmes concrets issus d’expériences ou de situations professionnelles
Une filière trans-Masters vise en outre à la formation des enseignants du secondaire en Sciences de la Vie et
de la Terre.
• Un intérêt particulier est porté par les équipes pédagogiques des différentes spécialités au projet personnel
et professionnel de chaque étudiant. Au travers de travaux en groupes et en projets, les objectifs pédagogiques
sont également de permettre aux étudiants de développer leurs capacités d’autonomie, d’intégration,
d’organisation et de communication.
• Une participation significative d’intervenants extérieurs (professionnels des secteurs publics et privés) aux
enseignements, complète les connaissances et apporte les savoir-faire spécialisés dans les différentes
spécialités du Master.
• Au niveau régional (Grand Est) et dans le cadre élargi de l’Université de la Grande Région (UGR, regroupant
les universités de Lorraine, Sarre, Luxembourg, Liège, Trèves et Kaiserslautern), le Master BSIS constitue une
offre originale et unique qui regroupe les compétences et s’appuie sur les forces de recherche en Biosciences,
Bio-Ingénierie et Ingénierie de la Santé situés sur les sites des facultés de Médecine, de Pharmacie et des
Sciences et Technologies ainsi que du CHU de Nancy.
• Le Master s’appuie sur les équipes labellisées, dont la liste est donnée ci-après, qui ont confirmé leur intérêt
pour l’accueil d’étudiants en stage de M2 et la participation de leurs enseignants-chercheurs et chercheurs
aux enseignements.
• Le Master BSIS s’appuie sur la participation des enseignants-chercheurs et chercheurs (enseignements,
accueil d’étudiants en stage) des principaux laboratoires de l’Université de Lorraine (UL) impliqués dans les
secteurs des Sciences Biologiques et de l’Ingénierie pour la Santé. Dans ces domaines, au sein de l’UL, elle
constitue ainsi une offre de formation unique et unifiée dans un souci de cohérence, de visibilité et de
lisibilité accrues pour les étudiants.
(sur dossier)
Autres Licences
• Ingénierie de la santé (IS)
• Sciences du Vivant et de
l'Environnement (SVE)
• Sciences pour l'Ingénieur (SI)
• STAPS
(de droit)
Licences UL Mentions :
Etudiants de cursus spécifiques :
• ESSTIN, Master ISC
• SANTE (Médecine, Pharmacie,
Ondontologie) 4A validée
Autres M1
(UL, autres universités)
Autres diplômés d'écoles
ou de Masters
français et étrangers
EFSVT : Enseignement et
Formation en SVT
BCP : Biologie Cellulaire
et Physiologie
BBMRC : Biochimie,
Biologie Moléculaire et
Régulations Cellulaires
BIM : BioIngénierie et
Médicaments
EPT : Ergonomie,
Physiologie du Travail
ITBM : Ingénierie et
Technologies BioMédicales
M1 BSIS - Parcours :
EFSVT : Enseignement et
Formation en SVT
BMBI-PT : Biotechnologies,
Moléculaires et BioIngénierie,
Physiopathologie et
Thérapeutique
GC : Génie Cellulaire
EBMPT : Ergonomie,
Biomécanique, Motricité,
Physiologie du Travail
WWW.UNIV-LORRAINE.FR
• AMIP : Aspects Moléculaires et
Intégrés de la Physiopathologie
• BIMNS : BioIngénierie
Médicament NanoSanté
• RNAES : RNA Enzymes Sciences
(parcours international)
• IM : Ingénierie Moléculaire
(parcours commun au CMI BSE)
• IBH : Ingénierie BioMédicale
et Hospitalière
• CIIBLE : Cybernétique,
Instrumentation et Image
pour la BioLogie et la Médecine
(parcours commun avec le
master ISC)
M2 BSIS - Spécialités et Parcours :
IB : Ingénierie BioMédicale
SCHÉMA DE PRÉSENTATION
PARCOURS
• Le Master BSIS est organisé sur 2 années (M1 et M2). Les différents parcours de M1 s’articulent avec cinq
spécialités de M2.
• Parcours de M1 :
• ITBM : Ingénierie et Technologies BioMédicales
• EPT : Ergonomie et Physiologie du Travail
• BIM : BioIngénierie et Médicaments
• BBMRC : Biochimie, Biologie Moléculaire et Régulations Cellulaires
• BCP : Biologie Cellulaire et Physiologie
• Le semestre S7 est constitué d’un ensemble d’UE d’ossature obligatoire (27 ECTS) et une UE à choix (3ECTS)
dans une banque commune liées au projet personnel et professionnel de l’étudiant. Ce socle permet
l’enseignement de concepts de base propres aux domaines scientifiques et techniques d’intérêts, et conduisant
à l’intégration d’étudiants provenant de formations initiales diverses. Ainsi constitué, le semestre 7 (S7)
permet aux étudiants de prendre le temps de la réflexion et de l’analyse quant à leurs choix éclairés d’UE de
différenciation « au choix » en S8.
• En S8, tous les parcours ont une UE commune de stage (6 ou 9 ECTS selon la durée de 8 ou 12 semaines
respectivement), 12 ECTS de base ou d’ossature disciplinaire et le choix de 12 ou 9 ECTS d’UE au choix
dans la banque du M1. Le choix d’UE de différenciation doit faciliter l’adaptation des étudiants à la
spécialité de M2 qu’ils choisissent.
• Spécialités et parcours de M2 :
• IB : Ingénierie Biomédicale
• Parcours IBH : Ingénierie Biomédicale et Hospitalière
• Parcours CIIBLE : Cybernétique, Instrumentation et Image pour la BioLogie et la Médecine
• EBMPT : Ergonomie, Biomécanique, Motricité, Physiologie du Travail
• GC : Génie Cellulaire
• BMBI-PT : Biotechnologies Moléculaires et BioIngénierie, Physiopathologie et Thérapeutique
• Parcours AMIP : Aspects Moléculaires et Intégrés de la Physiopathologie
• Parcours BIMNS : BioIngénierie Médicament NanoSanté
• Parcours RNAES : RNA Enzymes Sciences
• Parcours IM : Ingénierie Moléculaire
• EFSVT : Enseignement et Formation en Sciences et Vie de la Terre (spécialité trans-Masters BSIS et
GPRE (Géosciences : Planètes, Ressources, Environnement)
POURSUITE D’ÉTUDES
• Pour toutes les spécialités de M2 (indifférenciées), les étudiants accèdent à des formations menant à une
insertion professionnelle directe ou bien pouvant être prolongées par des formations longues en recherche. La
spécialité BMBI-PT constitue plus particulièrement le fer de lance de la formation en termes de finalité
recherche.
• Les contenus des Unités d’Enseignement (UE) proposées en ossature et en différenciation offrent un choix
raisonnable de combinaisons adaptées à un projet d’insertion professionnelle directe ou à une poursuite en
doctorat.
• Le Master BSIS est adossé principalement à l’école doctorale (ED) Biologie-Santé-Environnement (BioSE)
et partiellement à l’ED IAEM-Lorraine (Informatique, Automatique, Electronique et Mathématiques) avec le
soutien des forces de recherche des principaux laboratoires de l’UL impliqués dans le domaine des Sciences
Biologiques et de l’Ingénierie pour la Santé.
• Des laboratoires étrangers (luxembourgeois, belges, allemands, autrichiens) sont également impliqués,
notamment dans le parcours international RNAES de la spécialité BMBI-PT. Il s’agit de laboratoires
associés voire labellisés qui participent à l’accueil d’étudiants stagiaires ou aux enseignements.
LIEUX DE FORMATION
• Faculté de Médecine de Nancy
• Faculté de Pharmacie de Nancy
• Faculté des Sciences et Technologies de Nancy
• ENSIC, Nancy
• ENSAIA, Nancy
• CHU de Nancy
• Centre Alexis Vautrin (CAV), Nancy
• Université de Sarrebruck (spécialité BMBI-PT parcours internationaux)
• Université de Liège (spécialité BMBI-PT parcours internationaux)
• Université du Luxembourg (spécialités BMBI-PT parcours internationaux)
PUBLICS CONCERNÉS
• Les publics visés pour entrer en M1 du Master BSIS sont les étudiants issus prioritairement des licences
Ingénierie de la Santé (IS), Sciences du Vivant et de l’Environnement (SVE), Sciences pour l’Ingénieur (SI) et
Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives (STAPS) de l’UL ou d’autres universités.
• Ces 4 licences de l’UL donnent accès de droit en M1. Cette année constitue une année de convergence
également pour les étudiants de licences équivalentes d’autres universités, et pour des étudiants en réorientation
issus d’autres Masters ou d’écoles d’ingénieurs mono- ou pluri-disciplinaires, en France ou à l’étranger.
• La structure du M1 en socle commun (S7 et S8) permet d’une part, l’enseignement de concepts de base
propres aux domaines scientifiques et techniques d’intérêts et d’autre part, l’intégration de la diversité des
formations initiales de l’ensemble des étudiants. Les choix d’orientation vers les différentes spécialités du M2
s’effectuent au travers des combinaisons d’UE d’ossature et au choix proposées en S7 et S8.
• Le Master BSIS est également accessible aux étudiants d’écoles d’ingénieurs selon leurs disciplines et projet
personnel, ainsi qu’à ceux des cursus de Santé. En effet, les différentes spécialités de M2 du Master
BSIS présentent une offre diversifiée également d’intérêt pour les nombreux étudiants n'ayant pas réussi aux
concours de 1ère année de Médecine ou de Pharmacie leur permettant de revenir vers des professions en
rapport avec leur projet professionnel initial.
•
•
Les modalités de recrutement sont les suivantes :
• En M1 : entrées de droit (licences IS, SVE, SI et STAPS de l’UL) et sur dossier (autres),
• En M2 : entrée sur dossier, ou dossier et entretien (téléphonique et/ou en présentiel).
Afin de permettre aux étudiants un choix de réorientation adaptée à leur intérêt, des passerelles existent :
• à l’intérieur du Master, entre les parcours de M1 et les spécialités de M2,
• et avec d’autres Masters (ISC, FAGE, GPRE) ou écoles (ESSTIN, ENSEM), soit pour accueillir des
étudiants issus de ces formations en M1 et en M2 selon le niveau et les disciplines, soit pour permettre à
des étudiants du Master BSIS d’aller vers ces formations.
• Dans le cadre d’une collaboration en place depuis 2002, les étudiants de l’option Technologies Médicales
de l’ESSTIN (Ecole Supérieure des Sciences et Techniques de l’Ingénieur de Nancy) viennent compléter leur
cursus en validant des UE de M1 et M2. Au sein du Master BSIS, cette approche sera étendue et renforcée
pour les étudiants du Master ISC (Ingénierie des Systèmes Complexes) qui pourront, dans le cadre de leur
formation de M1 et M2, suivre des UE du Master BSIS en M1 et être inscrit en parcours de M2 partagé
entre les 2 Masters. Il s’agit d’un échange visant une fertilisation croisée des formations en recherche dans le
domaine de l’instrumentation et de l’imagerie biomédicales.
• Les étudiants des cursus santé (médecine, pharmacie, odontologie : 4ème année validée (niveau M1) seront
inscrits en M2 par le responsable de la mention, après avis de l'équipe pédagogique de la spécialité visée, en
l’occurrence la spécialité BMBI-PT. Un Stage d'Initiation à la Recherche (SIR, 8 semaines minimum) effectué
avant l’entrée en M2 est fortement recommandé pour les étudiants des cursus santé ayant pour projet
professionnel la préparation d’un doctorat.
• Les modalités d’enseignement de la mention sont :
• Formation initiale
• Formation continue
DÉBOUCHÉS
• En identifiant lisiblement les métiers auxquels ce Master conduit, l’objectif est d’engager les étudiants, dès le
M1, dans une démarche active de définition de leur projet personnel et professionnel.
COMPÉTENCES ET SAVOIR-FAIRE ASSOCIÉS
• Les objectifs en termes de compétences ou capacités communes attendues à l’issue de la formation sont :
• Être capable de gérer et mener à bien, avec les compétences scientifiques, techniques et technologiques
requises, le développement d’un projet pluridisciplinaire,
• Être capable de synthétiser un ensemble de documents et d'informations afin de mener à bien, dans un
esprit critique constructif et en fonction d’impératifs réglementaires et/ou scientifiques, une démarche ou
un protocole d’étude rigoureux et contrôlé,
• Maîtriser les outils scientifiques et techniques théoriques et appliqués à chaque spécialité,
• Savoir communiquer à l’oral et par écrit (valorisation, travail de groupe),
• Acquérir une expérience professionnelle de terrain (stages).
COMPÉTENCES TRANSVERSALES
• Tout en formant les étudiants dans la ou les disciplines scientifiques, technologiques, fondamentales ou
appliquées qu’ils auront choisies pour leur projet, l’objectif pédagogique est également de les aider à acquérir
progressivement leur autonomie. Ainsi, une part significative de travail personnel et de travail en groupe a été
maintenue.
• Le développement des savoir-faire et savoir-être individuels dans le cadre de travaux d’équipe ou en situation
professionnelle réelle reste une priorité. D’une part, deux stages sont obligatoires, l’un en S8 de 8 ou 12
semaines minimum (6 ou 9 ECTS), et l’autre en S10, de 24 semaines minimum (30 ECTS). D’autre part,
en S7 (M1), deux EC obligatoires (3 ECTS chacune) sur la communication et l’insertion professionnelle sont
prévues, et en S9 (M2), une autre UE obligatoire (3 ECTS) et mutualisée entre plusieurs spécialités porte sur
la connaissance de l’entreprise, l’entreprenariat et le management. Le contenu de ces différentes UE est
adapté aux besoins de chacune des spécialités.
Année / Spécialité / parcours
M1 parcours ITBM, EPT
M1 parcours BIM, BBMRC, BCP
M2 spécialités IB, EBMPT, GC, BMBI-PT
M2 spécialité EFSVT
Semestre
S8
S10
Volume horaire
12 semaines min.
8 semaines min.
20 à 24 semaines min.
6 semaines
• Selon les parcours de M1 et spécialités de M2, les stages sont effectués, en France et à l’étranger :
• En secteurs hospitaliers public et privé (CHU, hôpitaux, cliniques, cabinets) pour ITBM et IB,
• En laboratoires publics et privés pour ITBM, BIM, BBMRC, BCP, IB, GC et BMBI-PT,
• En entreprises et industries (produits pharmaceutiques, cosmétologie, agroalimentaire, technologies
médicales, biotechnologies, autres) pour ITBM, EPT, IB, EBMPT et GC,
• En institutions publiques et privées (INRS, CRAM) pour EPT et EBMPT.
• Afin de compléter les connaissances et d’apporter les savoir-faire spécialisés dans les différents parcours
et spécialités du Master BSIS, de nombreux professionnels participent significativement aux enseignements.
Ces intervenants extérieurs sont issus des secteurs publics et privés, de la région Lorraine, de France voire de
l’étranger :
• Industries pharmaceutiques (société ETAP, Laboratoires Sérobiologiques BASF à Nancy, Cytheris à
Paris, Transgène à Strasbourg)
• CHU de Nancy (cliniciens et biomédicaux), Centre Alexis Vautrin (cliniciens et biomédicaux), CH de
Sedan,
• Petites, moyennes et grandes entreprises de technologies médicales (Siemens, Philips, GE, SD
Medical), de biotechnologies (Cohiro)
• Rectorat de l’académie Nancy-Metz
• Instituts publics (Institut National de la Propriété Intellectuelle INPI, Institut National de Recherche
et de Sécurité INRS de Vandœuvre-lès-Nancy, Caisse d’Assurance Retraite et de la Santé au Travail
Nord-Est CARSAT NE ex-CRAM NE, Services de Santé au travail inter-entreprises)
• Sociétés de conseil et cabinets de consultants (F3A Conseil, Miriade, SECAFI, 7 ergonomie, Actions industrie)
RELATIONS ET ÉCHANGES INTERNATIONAUX
• Les actions menées à l’international sont de plusieurs natures :
• Au sein des enseignements
De nombreux intervenants extérieurs étrangers participent aux enseignements de la formation. Ils sont
notamment issus :
• du Centre de Recherche Public Henri Tudor du Luxembourg (accords existants depuis plus de 10 ans)
et du CRP Santé du Luxembourg
• des universités partenaires au Luxembourg, en Belgique (Bruxelles, Liège), en Allemagne (Mainz,
Saarbrücken) et en Autriche (Graz)
• Dans le cadre des stages :
• Pour certaines spécialités, un accent fort est mis sur l’acquisition d’une expérience à l’étranger par
exemple : plus de 50% des étudiants du parcours ITBM effectuent leur stage de M1 en pays
non-francophones dans des laboratoires, en secteurs hospitaliers ou en entreprises, entre 10 et 30 %
des étudiants de la spécialité Génie Cellulaire effectuent le stage de M2 en Europe et principalement
en Belgique et en Suisse
• Pour les spécialités/parcours plus particulièrement orientés recherche, plus de 50% ont la possibilité
d’effectuer leur stage longue durée de M2 au sein des laboratoires étrangers partenaires
susmentionnés (cf. tableau ci-dessous).
• Au travers de conventions de collaborations et d’échanges :
• Mise en place récente (convention signée en 2011) d’un double-diplôme dans les domaines de la
biologie, de la bio-ingénierie et de l’ingénierie avec l’Université Javeriana de Bogota (Colombie)
• Préparation en cours d’une convention d’échanges avec l’Institut Polytechnique National de Mexico
city dans le domaine biomédical
• Collaboration Nancy-Wuhan existante et convention de « laboratoire sans mur » entre l’Université de
Lorraine, l’Université de Wuhan et le CHU de Nancy
• Accords bilatéraux existants avec les universités de Linköping et Umea en Suède pour des échanges
ERASMUS
Année
M1
M2
Parcours / spécialités
EPT, BIM et BBMRC
BCP
ITBM
IB et EBMPT
GC
BMBI-PT
% moyen d’étudiants effectuant leur stage à l’étranger
5 à 10 %
20 %
> 50 %
10 à 20 %
10 à 30 %
40 %
• La mention affiche également une volonté d’innovation et d’ouverture aux étudiants européens en inscrivant
un parcours international dans la spécialité BMBI-PT. Il s’agit du parcours intitulé « RNA Enzymes Sciences». Les enseignements s’effectueront dans leur totalité à Nancy. Les enseignements mettront alors à contribution,
en plus des enseignants de l’UL, des intervenants provenant d’Universités européennes (Bruxelles, Liège,
Mainz, Darmstadt, Autriche); d’Instituts et Laboratoires privés de recherche étrangers (Luxembourg,
Allemagne).
Les stages des étudiants pourront s’effectuer dans les laboratoires partenaires ou associés appartenant à ces
Universités mais aussi dans d’autres laboratoires européens.
ACCOMPAGNEMENT VERS LA RÉUSSITE
• Les points forts du Master BSIS sont :
• La reconnaissance des enseignements déjà organisés et validés à Nancy depuis de très nombreuses années,
• Une très bonne insertion professionnelle,
• La spécificité et la complémentarité de ses spécialités de « niches » fortes d’une adéquation professionnelle
reconnue,
• Des flux d’étudiants significatifs en M1 et M2,
• Une offre de formation visible, lisible et cohérente au niveau local et national,
• Un renforcement des enseignements mutualisés,
• Un adossement recherche fort et fédérateur des ressources lorraines,
• Des collaborations internationales en cours ou en développement,
• Une dimension généraliste et un domaine de compétence élargi cohérent avec l’obtention d’un diplôme de
Master.
COMMENT S’INSCRIRE ?
• Les composantes assurant la responsabilité administrative (inscription des étudiants) sont :
• Faculté de Médecine : M1 parcours ITBM et EPT, M2 spécialités IB et EBMPT
• Faculté de Pharmacie : M1 parcours BIM, M2 spécialité BMBI-PT (parcours BIMNS)
• Faculté des Sciences et Technologies : M1 parcours BBMRC et BCP, M2 spécialité BMBI-PT (parcours AMIP,
IM, RNAES), GC et EFSVT
• Adresse url des composantes du master :
www.medecine.univ-lorraine.fr
www.fst.univ-lorraine.fr
www.pharma.univ-lorraine.fr
CONTACTS
• Faculté de Médecine : M1 parcours ITBM et EPT, M2 spécialités IB et EBMPT
• Secrétariat :
• Laurence SPIESSE  +33 3 83 68 31 74  [email protected]
• Responsable de la mention et responsable de la spécialité IB (M2)
• Walter BLONDEL
• Responsable du parcours ITBM (M1) :
• Pierre VARIS
• Responsable du parcours EPT (M1) :
• Pascale POTTIE
• Responsable de la spécialité EBMPT (M2) :
• Céline HUSELSTEIN
• Faculté de Pharmacie : M1 parcours BIM, M2 spécialité BMBI-PT
• Secrétariat :
• Karine KOEHLER  +33 3 83 68 23 71  [email protected]
• Responsable du parcours BIM (M1) :
• Brigitte LEININGER-MULLER
• Co-Responsable de la spécialité BMBI-PT (M2) :
• Patrick MENU
• Faculté des Sciences et Technologies : M1 parcours BBMRC et BCP, M2 spécialité BMBI-PT, GC et EFSVT
• Secrétariat :
• Karine BRIOT  +33 3 83 68 42 03  [email protected]
• Responsable du parcours BBMRC (M1) et co-Responsables de la spécialité BMBI-PT (M2)
• Bruno CHARPENTIER
• Responsable du parcours BCP (M1) :
• Isabelle GRILLIER-VUISSOZ
• Responsable du parcours EFSVT (M1) :
• Murielle GUILLAUME
• Responsable de la spécialité GC (M2) :
• Hervé SCHOHN
• Responsable de la spécialité EFSVT (M2) :
• Laurence MANSUY-HUAULT
PRÉSENTATION DES SPÉCIALITÉS
• Spécialité Ingénierie Biomédicale (IB)
• Compétences attendues à l’issue de la formation
La spécialité présente 2 parcours qui ont en commun des bases de connaissances pluridisciplinaires en
biologie, instrumentation, traitement du signal, technologies médicales mais qui se différencient en termes
d’objectifs professionnels et de compétences associées au travers d’un choix d’UEs spécifiques :
• Le parcours « Ingénierie Biomédicale Hospitalière » (IBH) correspond à un renouvellement sans
modification de la spécialité IBH du Master ISSM actuel. Bénéficiant d’un bilan extrêmement positif
en termes de recrutement et d’insertion professionnelle depuis plus de 15 ans, la spécialité vise à
former des étudiants pour exercer des activités d’ingénieurs biomédicaux au sein des établissements
publics et privés de soins ou dans les entreprises qui fabriquent, commercialisent ou maintiennent
tout type de dispositif médical ou biomédical,
• Le parcours « Cybernétique, Instrumentation et Image pour la BioLogie et la MédecinE » (CIIBLE) est
une création qui s’appuie sur la mise en commun d’UE du Master BSIS et du Master Ingénierie des
Systèmes Complexes (ISC) concernant l’instrumentation, la modélisation de systèmes et le traitement
de données appliqués aux techniques et technologies biomédicales, afin de former des étudiants
pouvant exercer une activité d’ingénieur dans les secteurs R&D des organismes publics et privés.
Ce parcours intéresse certains étudiants de la spécialité IBH actuelle et certains étudiants de la
spécialité « Systèmes & TIC » du Master « Ingénierie de Systèmes Complexes » (ISC).
• Objectifs propres de la spécialité
L’objectif est de former des cadres du domaine biomédical (ingénieurs biomédicaux, ingénieurs hospitaliers,
ingénieurs d’application et ingénieurs technico-commerciaux spécialistes des dispositifs médicaux,
ingénieurs d’étude…) et de permettre aux étudiants qui en ont le projet de poursuivre une carrière en
recherche dans le domaine de l’instrumentation biomédicale ou de l’imagerie médicale entre autres
(10-15% ont préparé un doctorat au cours du précédent contrat).
Les objectifs spécifiques en termes de compétences et de connaissances sont les suivants :
• Acquérir les connaissances de base en :
- Sciences fondamentales (biophysique, mathématiques)
- Sciences biologiques et médicales (biologie, biochimie, électrophysiologie)
- Génie électrique (électronique, micro-informatique, instrumentation)
- Traitements de signaux et images (signaux et imagerie biomédicale)
• Connaître les applications, l’utilisation et l’environnement professionnel des méthodes et des
technologies du domaine du Génie Biologique et Médical :
- Maintenance des équipements biomédicaux, qualité et réglementation
- Sciences de l’ingénieur appliquées en biologie, en médecine et en chirurgie…
- Imagerie médicale, informatique de santé
• Etre capable de gérer et mener à bien le développement d’un projet en Génie Biologique et Médical
multidisciplinaire (instrumentation, traitement de signal, informatique, mécanique…)
• Etre capable d’assurer différentes fonctions d’ingénierie biomédicale (conception et développement,
marketing et vente, application et installation, maintenance et qualité…)
• Organisation en termes d’UE et de crédits européens
L’enseignement dispensé au premier semestre en M2 (S9) représente un volume horaire en présentiel
d’environ 300 h par étudiant. Il s’inscrit en continuité des enseignements du parcours ITBM de M1 tout en
tenant compte des choix d’UE de différenciation effectués par chaque étudiant au cours du S8.
Pour chacun des deux parcours du M2-IB, le premier semestre (S9) est constitué d’une combinaison de
12 ECTS d’UE d’ossature (dont 1 commune avec les spécialités EBMPT et BMBI-PT), et de 18 ECTS d’UE
au choix dont les UE 9.101, 9.104 et 9.614 mutualisée avec la spécialité BMBI-PT. Selon le projet
personnel de l’étudiant, ce choix est possible parmi les UE proposées par les différentes spécialités du
Master BSIS pour le parcours IBH et dans le Master ISC pour le parcours CIIBLE.
Le stage de fin d’étude (S10) de 30 ECTS clôture la formation par la professionnalisation à visée d’insertion
dans la vie active. Il dure 24 semaines au minimum.
• Formation à et par la recherche
Afin de permettre aux étudiants qui le souhaitent de s’orienter vers le domaine de la recherche biomédicale
(ingénieur R&D, doctorat), plusieurs voies de formation à et par la recherche sont proposées (existantes et
nouvelles) :
• Les stages de M1 et de M2. En M1, le stage de 4 mois minimum peut être effectué dans un laboratoire
français ou étranger proposant un sujet contribuant à des travaux de recherche. 15 à 20 % par an des
étudiants de M1 choisissent cette formule leur permettant de découvrir le milieu de la recherche et à
l’issue de confirmer ou non leur choix de poursuivre leur projet professionnel dans cette direction.
Les étudiants désireux de s’orienter vers une formation longue en recherche (en moyenne 10 % par
an) effectuent leur stage de M2 (6 mois) au sein des laboratoires ou équipes labellisées de l’UL
(CRAN, IADI, IMOPA) ou bien dans les laboratoires partenaires (CRPHT, CRP Santé au luxembourg).
• L’implication significative dans les enseignements de nombreux enseignants-chercheurs et chercheurs
des laboratoires d’appui permet d’une part, un échange direct avec les étudiants intéressés par la
recherche dans le domaine de l’ingénierie biomédicale et d’autre part, une évolution continue des
contenus d’enseignement en lien avec les recherches récentes ou en cours en instrumentation ou en
traitement de signaux biomédicaux.
• La possibilité de choisir, au cours du S9, 12 ECTS d’UE orientées recherche préférentiellement dans
la spécialité BMBI-PT du Master BSIS ou dans la cadre du parcours CIIBLE commun avec le Master ISC.
• Formation professionnelle et compétences transversales
La formation professionnelle et l’acquisition de compétences transversales est assurée au travers :
• Du contact direct avec les professionnels dès la salle de cours puisque l’enseignement de certaines UE
en M1 et en M2 est entièrement assuré par des intervenants extérieurs. Il s’agit de professionnels
de domaines tels que : la communication, le marketing, le développement de technologies biomédicales
et le transfert industriel, l’ingénierie biomédicale hospitalière, les systèmes informatiques hospitaliers, etc.
• Des stages de M1 (12 semaines minimum, 9 ECTS) et de M2 (24 semaines minimum, 30 ECTS).
Cette formation de terrain complète leur formation académique et leur permet d’affiner leur choix de
projet professionnel
• De l’acquisition de savoir-être et savoir-faire : autonomie, gestion de projet, travail en équipe,
communication, etc. Lors des projets menés en M2 (S9), les étudiants sont insérés au cœur d’entreprises
privées, de services hospitaliers ou encore de laboratoires de recherche. Durant ces projets, ils sont
responsables de tâches qui leur sont confiées par les professionnels et qu’ils réalisent sous leur
direction et avec l’accompagnement des enseignants (travaux d’ingénierie, études de marché, état de
l’art bibliographique,…).
• Des contenus de formation. La familiarisation de nos étudiants avec leur futur environnement
professionnel est favorisée au plan technique par des travaux pratiques qu’ils réalisent sur des
matériels biomédicaux hospitaliers (pompes, respirateurs, moniteurs paramétriques).
• Du lien avec les anciens étudiants, dès le M1, dans le cadre de l’UE d’insertion professionnelle
(7.101). Une dizaine de professionnels, diplômés de la formation depuis plus de 3 ans, et
représentatifs des divers métiers possibles à l’issue de la formation, interviennent dans cette UE
pour présenter leur activité.
• Formation continue et par alternance
Chaque année, un à deux techniciens biomédicaux désireux de pouvoir candidater à des postes d’ingénieurs
biomédicaux en secteur hospitalier public (qui requièrent la validation d’un niveau bac+5) sont inscrits en
M1 et/ou en M2. En effet, pour la plupart, ils bénéficient d’un congé formation qui leur permet de suivre
les enseignements tels que planifiés hebdomadairement pour la formation initiale mais dans le cadre de leur
formation continue.
Par ailleurs, la spécialité accompagne également chaque année un à deux candidats en validation des
acquis d’expérience (VAE) avec le même objectif.
• Relations et échanges internationaux
Les actions menées à l’international sont de plusieurs natures :
• Au sein des enseignements. De nombreux intervenants extérieurs étrangers participent aux enseignements
de la formation, le plus souvent dispensant leurs enseignements en anglais. Ils sont notamment issus du
Centre de Recherche Public Henri Tudor (CRPHT) du Luxembourg (accords existants depuis plus de 10 ans).
• Dans le cadre des stages de M1 et/ou M2. Un accent fort est mis sur l’acquisition d’une expérience
à l’étranger au travers du stage de fin de M1 avec plus de 50% des étudiants du parcours ITBM
effectuent un stage de 3 à 5 mois en pays non-francophones (Luxembourg, Angleterre, Allemagne,
Etats-Unis d’Amérique, Vietnam, Chine, Australie). En effet, le second semestre de M1 (S8) est un
moment bien adapté à une expérience à l’étranger comparativement au M2 à l’issue duquel les
étudiants cherchent préférentiellement à être embauchés donc potentiellement en France. De plus, les
mobilités des étudiants de M1 sont activement soutenues par des aides financières à la mobilité de la
part de l’Université de Lorraine.
• Au travers de conventions de collaborations et d’échanges avec la mise en place récente (convention
signée en 2011) d’un double-diplôme dans les domaines de la biologie, de la bioingénierie et de
l’ingénierie avec l’Université Javeriana de Bogota (Colombie), la préparation en cours d’une convention
d’échanges avec l’Institut Polytechnique National de Mexico city dans le domaine de l’instrumentation
biomédicale, ainsi que dans le cadre de la collaboration Nancy-Wuhan et de la convention « laboratoire
sans mur » entre l’Université Henri Poincaré de Nancy, l’Université de Wuhan et le CHU de Nancy
signée en novembre 2009.
• Résultats connus de l’analyse à 2 ans du devenir des étudiants diplômés. Indiquer le taux de réponse aux
enquêtes et les mesures prises en conséquence de ces résultats.
Environ 55% des étudiants sont embauchés sur leur lieu de stage de fin d’année ou directement à l’issue
du stage. 10 % des diplômés poursuivent en formation doctorale. Les 35% restants entrent dans la vie
active au cours des 6 mois qui suivent et obtiennent un emploi en lien direct avec la formation à savoir
ingénieur biomédical, d’application ou de maintenance. La répartition selon le type d’emploi depuis 1998
est donnée ci-dessous (200 réponses).
4%4%
2%2%
6% 6%
4% 4%
1% 1%
Ingénieur Biomédical
Ingénieur Biomédical
Ingénieur
d'Application
Ingénieur
d'Application
31%
31%
Ingénieur
Maintenance
Ingénieur
dede
Maintenance
Ingénieur
d'étude
/ de/ recherche
Ingénieur
d'étude
de recherche
14%14%
Ingénieur
Commercial
Ingénieur
Commercial
Technicien / Adjoint Technique Biomédical
Technicien / Adjoint Technique Biomédical
Responsable / support technique
23%
23%
Responsable / support technique
Radio - physicien
Radio - physicien
Répartition des activités professionnelles des diplômés de M2-IBH
(4 dernières années, taux de réponse 91 % correspondant à 102 réponses)
• Spécialité Ergonomie, Biomécanique, Motricité, Physiologie du Travail (EBMPT)
• Compétences attendues à l’issue de la formation
• Compétences ou capacités scientifiques :
- Etre capable de gérer et mener à bien, avec les compétences scientifiques, techniques et
technologiques requises, le développement d’un projet pluridisciplinaire
- Etre capable de synthétiser un ensemble de documents et d'informations afin de mener à bien, dans
un esprit critique constructif et en fonction d’impératifs réglementaires et/ou scientifiques, une
démarche ou un protocole d’étude rigoureux et contrôlé
- Maîtriser les outils scientifiques et techniques théoriques et appliqués
- Savoir communiquer à l’oral et par écrit (valorisation, travail de groupe)
• Compétences ou capacités professionnelles :
- Acquérir une expérience professionnelle de terrain (projets tutorés, stages)
- Maîtriser le développement et la gestion d’un projet (conduite de projet, stratégie d’action,…)
multidisciplinaire (santé, législation, sécurité, conditions de travail…)
- Acquérir les connaissances des bases fondamentales permettant d’évaluer les ambiances de travail et
les facteurs de risque qui y sont liés
- Maîtriser le développement et la gestion d’un projet (conduite de projet, stratégie d’action,…)
multidisciplinaire (santé, législation, sécurité, conditions de travail…)
- Maîtriser la méthodologie de la démarche ergonomique ainsi que les principaux outils associés
- Analyse de l’activité
- OSHA, 3M, OREGE, …
- Conception d’une situation de travail
- Etre capable de produire, sur la base de connaissances scientifiques, techniques, économiques et
législatives une démarche ergonomique de diagnostic, d'analyse et de solution tenant compte des
contraintes de production, de rentabilité et des enjeux sociaux professionnels des entreprises.
- Etre capable de définir la stratégie globale de prévention mais aussi de pérenniser son action au sein
de l’entreprise (Action collective, Formation-action)
• Progression de l’enseignement :
Afin d’acquérir ces compétences à l’issue de la formation, une progression sur 2 ans M1/M2 est ainsi
proposée aux étudiants.
En M1 parcours EPT, tout l’enseignement consiste à rendre l’étudiant capable de maîtriser la
méthodologie de la démarche ergonomique ainsi que les principaux outils associés. En M2 spécialité
EBMPT, l’étudiant devra se positionner comme professionnel / spécialiste de l’ergonomie. A l’issue de
sa 5ème année, il devra être capable de mobiliser une entreprise souhaitant mettre en place une
démarche de prévention. Pour cela, il devra définir la stratégie globale de prévention (Pérenniser, Action
collective, Formation-action, …). L’enseignement dispensé au premier semestre du M2 (S9) s’inscrit
donc dans la continuité des enseignements du parcours EPT de M1 tout en tenant compte des choix
d’UE de différenciation effectués par chaque étudiant au cours du S8.
Bien qu’une progression soit mise en place sur 2 ans, les compétences scientifiques et professionnelles,
acquises au cours du M1, laissent toute la possibilité aux étudiants d’intégrer un autre Master
(Cf.tableaux ci-après). Ainsi, tous les ans, environ 20% des étudiants ayant obtenus leur M1 intègrent
une 5ème d’un autre Master proposé par l’UL ou au niveau national (Paris, Bordeaux, Lyon, Dijon).
• Objectifs propres de la spécialité
L’objectif de la spécialité est de former des cadres capables, sur la base des connaissances acquises dans les
domaines des sciences de la vie, des sciences humaines et sociales, économiques et législatives, de produire
une démarche ergonomique (depuis le diagnostic jusqu’à la proposition de pistes d’améliorations). Ces
spécialistes seront capables d’appliquer cette démarche en tenant compte des réalités des contraintes de
production économiques, institutionnelles et socioprofessionnelles de l’entreprise.
• Formation à et par la recherche
L’enseignement pluridisciplinaire dispensé au sein de la spécialité EBMPT s’appuie, entre autres, sur des
recherches récentes ou en cours dans le domaine de l’ergonomie, de la biomécanique mais aussi de la
posture et motricité. Cet enseignement montre comment se constituent les objets et les savoirs des
chercheurs travaillant sur l’Homme au travail tout en étant attentif à l’évolution des méthodes et des
pratiques de terrain. Pour rendre compte de la diversité des disciplines et des problématiques prises en
compte au sein de la spécialité, l’enseignement s’appuie sur les travaux d’enseignants-chercheurs de l’UL
(Ingénierie Moléculaire et Physiopathologie Articulaire (IMOPA), Développement, adaptation et handicap.
Régulations cardio-respiratoires et de la motricité (DevAH)), de chercheurs invités de l’INRS (Organisme
généraliste en santé et sécurité au travail).
Au-delà de l’enseignement généraliste, lors du stage pratique, selon leur choix, les étudiants seront formés à
la recherche appliquée ou fondamentale, selon l’entreprise ou le laboratoire public d’accueil qu’ils auront
choisi en France ou à l’étranger à condition que le sujet de leur stage entre dans les objectifs de la formation.
• Formation professionnelle et compétences transversales
L'objectif de la professionnalisation dans la spécialité EBMPT est de faciliter l'insertion professionnelle de
chaque étudiant en lui fournissant des connaissances et des compétences techniques spécifiques liées à
l'environnement socio-économique auquel il se destine, que ce soit pour une orientation « recherche » ou une
orientation « professionnelle ».
Des UE de professionnalisation sont ainsi proposées au cours des 2 années de Master à travers les UE de
différenciation qui ont pour objectifs de préparer les étudiants à être autonomes au cours de leur stage mais
aussi d’entrer dans la vie active. Dans ces UE, l’apprentissage par problème est fortement encouragé.
Des représentants du monde socio-professionnel sont associés à la conception du programme et participent
aux enseignements de professionnalisation mais aussi au projet tutoré ou encore à l’encadrement et aux
soutenances de stage. L’association des professionnels au sein de la spécialité a ainsi permis d’aboutir à la
signature, en juin 2010, d’une convention de partenariat entre le Master ISSM-spécialité EBMPT et la
CRAM/CARSAT Nord-Est.
Enfin, le stage obligatoire de 11 semaines en M1 et de 6 mois en M2 permet de finaliser la professionnalisation
de l’étudiant.
• Formation continue et par alternance
La spécialité compte en moyenne 1 étudiant par an en formation continue. Il s’agit pour la plupart de
professionnel de santé (kinésithérapeutes, ergothérapeutes) ou de salariés souhaitant se réorienter dans le
domaine de l’amélioration des conditions de travail. Pour la plupart, ils bénéficient d’un congé formation qui
leur permet de suivre les enseignements tels que planifiés hebdomadairement pour la formation initiale mais
dans le cadre de leur formation continue.
Il est également possible de proposer, à des candidats, l’obtention du Master BSIS-spécialité EBMPT, à partir
de la validation des acquis d’expérience (VAE).
• Relations et échanges internationaux
Dans le cadre des stages de M1, un accent est mis sur l’acquisition d’une expérience à l’étranger avec
environ 20% des étudiants du parcours EPT qui effectuent un stage de 3 à 5 mois à l’étranger (Luxembourg,
Australie, Canada, Vietnam). En effet, le second semestre de M1 (S8) est un moment bien adapté à une
expérience à l’étranger comparativement au M2 à l’issue duquel les étudiants cherchent préférentiellement
à être embauchés donc potentiellement en France. De plus, les mobilités des étudiants de M1 sont
activement soutenues par des aides financières à la mobilité de la part de l'Université de Lorraine.
• Résultats connus de l’analyse à 2 ans du devenir des étudiants diplômés. Indiquer le taux de réponse aux
enquêtes et les mesures prises en conséquence de ces résultats
18% de leur diplôme, 100% des étudiants,
Sur les 5 dernières années, il apparaît que, 2 ans après l’obtention
CDD
ayant répondu à l’enquête, exercent une activité de cadre ou de niveau ingénieur directement
liée à leur
38% de la spécialité EBMPT sont
formation universitaire. Les secteurs d’activité qui recrutent les étudiants issus
CDI
les industries (22%), les institutions (CARSAT, Universités, collectivités territoriales) et les cabinets de
consultant (20%); puis à 15% les services de santé au travail inter-entreprises.
De plus, Sans
ces étudiants
nouvelle ont à
45%
près de 70% des contrats à durée indéterminée.
Insertion des étudiants diplômés à 24 mois
Institutions
18%
38%
45%
Secteurs d'activité
CDD
CDI
Sans nouvelle
Cabinet de consultant
Services de santé au ...
Industries
0%
5%
10%
15%
20%
25%
Sur les 4 dernières années, il apparaît que 2 ans après l’obtention de leur diplôme, plus de 80% des
étudiantsInstitutions
exercent une activité de cadre ou de niveau ingénieur directement liée à leur formation universitaire.
Les secteurs d’activité qui recrutent les étudiants issus de la spécialité EBMPT en proportions équivalentes
Cabinet
de consultant
(23%)
les institutions (CARSAT, Université, collectivités territoriales) et les cabinets de consultant ; puis à
19% les industries et enfin à 17% les services de santé au travail inter-entreprises.
Services
de santé
au ... (GC)
• Spécialité
Génie
Cellulaire
• Evolution de la formation dans le prochain contrat
Industries
La formation en Génie Cellulaire s’inscrit comme une spécialisation à l’issue du niveau M1 constituant un
0%
5%
10%
20%
25%
socle construit à partir d’enseignements
0%
5%
10% 15%
15%dans
20% le
25%champ disciplinaire de la spécialité tels que, par exemple,
Biologie cellulaire et Physiologie ou Biologie cellulaire et Moléculaire. La Spécialité GC pourra d’une part,
s’appuyer sur les parcours de M1 (BIM, BBMRC et BCP) du Master BSIS et d’autre part, favoriser l’entrée
dans la formation d’étudiants provenant d’autres Universités françaises. La formation propose des
enseignements dans les trois champs disciplinaires déjà décrits précédemment et une ouverture vers
l’interface entre Biologie et Chimie. Le volume horaire présentiel est de 400 heures comprenant les
conférences ; 215 heures (15 CE) sont consacrées à l’enseignement des SHS (60 heures, 6CE) et AMS
(150 heures, 9 CE) qui est noté en contrôle continu. 185 heures (15 CE) sont des enseignements de
disciplines scientifiques (incluant les conférences, 25 heures CM) et notés par contrôle continu et terminal.
Enfin, plusieurs enseignements sont mutualisés avec d’autres spécialités de M2 (cf. tableau page suivante).
Une année de césure entre les niveaux M1 et M2 sera proposée aux étudiants sélectionnés à l’entrée dans
l’année de spécialisation. Le stage s’effectuera en Industrie ou en laboratoire de Recherche selon le projet
personnel de l’étudiant. Il devra cependant être réalisé à l’étranger. L’immersion des étudiants dans ce
contexte est un atout pour l’insertion des candidats et un élément transformateur pour la future carrière du
candidat.
• Compétences attendues à l’issue de la formation
• Développer des stratégies cellulaires pour la production de cellules, virus, métabolites ou molécules
d'intérêt et de réaliser le suivi de production
• Conduire des projets d'étude sur les effets de molécules sur une protéine cible ou l'expression et les
fonctions d'un gène.
• Objectifs propres de la spécialité
La Spécialité en Génie Cellulaire ou le Master spécialisé en Génie Cellulaire a pour objectif principal de
préparer chaque candidat aux fonctions de cadre et d’encadrement (cadre/ingénieur) dans des équipes de
R&D au sein d'entreprises de biotechnologies ou d'instituts publics. Les emplois correspondent aux
fonctions d’ingénieur d'études en recherche fondamentale ou ingénieur de recherche fondamentale ou de
cadre technique d'études scientifiques et de recherche fondamentale ou de cadre technique
d'études-recherche-développement de l'industrie.
• Formation à et par la recherche :
La formation à et par la recherche repose sur un ensemble cohérent d’enseignements disciplinaires
constituant les parcours de M1 (BIM, BBMRC et BCP) et de plusieurs UE à choisir en M1 et en M2.
Est inclus dans ces parcours un stage de 6/8 semaines permettant une immersion dans des équipes de recherches.
Ce stage représente également une initiation par la recherche et la découverte du fonctionnement des
entités de recherches (équipes accueil ou UMR ou plus largement les instituts). Un stage de 6 mois
minimum (semestre 10) est intégré au cours de l’année de M2. Il représentera selon le parcours de
l’étudiant un stage qualifiant lorsque le candidat aura choisi une année de césure ou un stage de fin
d’études en industrie ou en laboratoire de recherche selon le projet de l’étudiant. Le suivi de l’étudiant dans les
deux cas de figure est réalisé et comporte la rédaction d’un rapport à mi-parcours (suivi pédagogique et
appréciation d’aptitudes rédactionnelles) et la visite sur site (appréciation des compétences transversales en
présence du maître de stage).
• Formation professionnelle et compétences transversales
La formation professionnelle est apportée sous la forme de projets (projets industriels, projet d’application,
projet tutoré), de présentations orales dans les différentes unités d’enseignements (management,
communication, restitution des projets devant jury), de travaux pratiques et rédaction des rapports
correspondants et par la connaissance du milieu industriel (management). Elle s’appuie aussi sur plusieurs
enseignements d’UE de M1 proposés en option (développement d’APP et introduction à la notion de projet).
Les compétences transversales qui seront acquises sont l’autonomie, l’adaptabilité, l’esprit critique, l’esprit
d’innovation ou la curiosité, le savoir être écrire et apprendre, le savoir organiser analyser juger et décider.
Ces aptitudes sont également développées au cours du stage industriel. Elles sont évaluées par le maître de
stage et transmises au responsable de la spécialité à la fin du stage. Ces données font partie intégrante de
la notation finale du stage.
• Formation continue et par alternance
La Validation par les Acquis de l’Expérience ou VAE est possible dans le cadre de la Spécialité. Deux
candidats ont fait la démarche en 2010. Une candidate a obtenu la validation totale du diplôme. La mise
en place d’un dispositif de formation par alternance sera étudiée en collaboration avec le département de
Formation Continue de l’UL au cours du prochain contrat. La mise en place d’un dispositif de formation
continue sera également étudiée. Une réorganisation de l’emploi du temps des enseignements de la
Spécialité en accord avec les autres Spécialités devrait favoriser la mise en place des formations par
alternance et continue.
• Relations et échanges internationaux
Les candidats de la Spécialité ont la possibilité de partir à l’étranger dans le cadre de la charte Erasmus
(Erasmus stage ou Erasmus-Etudes).
• Résultats connus de l’analyse à 2 ans du devenir des étudiants diplômés. Indiquer le taux de réponse aux
enquêtes et les mesures prises en conséquence de ces résultats
Une enquête d’insertion des diplômés de la Spécialité est réalisée dès la fin du stage de fin d’étude, 6 mois
et 18 mois après l’obtention du diplôme. Cette enquête repose sur le volontariat des diplômés qui
répondent favorablement à nos demandes de renseignements. Cumulé sur les quatre dernières promotions,
90% des diplômés occupent une fonction au sein de l’industrie ou de laboratoire de recherche en relation
avec la formation initiale (60% en biologie cellulaire, 30% en procédés/applications). 44% des diplômés
ont un emploi dans le secteur privé.
2011-2010
2010-2009
2009-2008
2008-2007
2007-2006
Nombre d’inscrits en M2
13
11
6
14
11
Nombre de diplômés
13
10
6
14
11
Ingénieur ou équivalent
3
6
3
5
5
Attaché de Recherche ou équivalent
-
2
4
4
Doctorant
4
1
-
2
Formation (Stage/Master)
-
-
-
1
-
Recherche d’emploi/Situation inconnue
6
2
1
1
-
1
1
2/11
3/7
Emploi sans relation avec la formation
VAEa
1
1
Répartition emploi Europe / Franceb
5/2*
5/3
2/3
Répartition emploi Privé / Publicb
3/4**
5/3
4/1
5/8
6/4
Insertion par promotion
7/13
8/10
5/6
13/14
8/11
Taux de réponse aux enquêtes
13/13
11/11
5/6
13/14
8/11
a, deux demandes de VAE ont été présentées en 2010. La VAE a été obtenu par un candidat
b, la répartition en emploi tient compte de la situation connue des diplômés (en CDD ou CDI, thèse comprises)
*, trois diplômés ont un emploi (CDD ou CDI) en Europe/deux diplômés ont un contrat CDD ou CDI en France
**, trois diplômés ont un emploi dans le secteur privé/deux diplômés ont un emploi dans le secteur public.
• Spécialité Biotechnologies moléculaires et BioIngénierie, Physiopathologie et Thérapeutique (BMBI-PT)
Parcours Aspects Moléculaires et Intégrés de la Physiopathologie (AMIP) et parcours BioIngénierie
Médicament NanoSanté (BIMNS)
• Compétences attendues à l’issue de la formation
• Compréhension des mécanismes moléculaires et cellulaires impliqués dans les dérégulations
observées dans les grandes pathologies (atteintes cardiovasculaires, cancer, pathologies articulaires,
maladies métaboliques,…).
• Connaissance de la fonction de nouveaux acteurs de la machinerie cellulaire : ARN non codants,
enzymes.
• Connaissance des nouvelles thérapeutiques susceptibles d'être mises en œuvre pour traiter les
pathologies évoquées ci-dessus (médicaments vectorisés, thérapie génique, thérapie cellulaire,
vaccins, utilisation de biomatériaux à visée prothétique…).
• Etre formé dans les domaines de l’ingénierie des tissus, domaine en forte expansion industrielle.
• Avoir des connaissances en toxicologie appliquées au médicament et son impact sur la santé
• Connaître les principes de ciblage cellulaire et moléculaire
• Connaître les avancées cliniques ou fondamentales consécutives aux progrès technologiques dans le
domaine de l’imagerie cellulaire ou diagnostique
• Etre capable de gérer et mener à bien le développement d’un projet de recherche pluridisciplinaire
en bioingénierie (préparation in vitro de biotissus de régénération…) ou en sciences du médicament,
en tenant compte des contraintes réglementaires.
• Objectifs propres de la spécialité
Les enseignements de ces deux parcours offrent une solide formation sur la compréhension des mécanismes
cellulaires et moléculaires impliqués dans certaines grandes pathologies (inflammation, maladies
métaboliques ou cardiovasculaires, arthrose, cancérologie) et les nouvelles thérapeutiques susceptibles de
corriger leur dérégulation au niveau des médiateurs, des récepteurs ou des voies de signalisation cellulaires
impliqués. La formation insiste sur les connaissances émergentes du rôle des ARN non codants, des
enzymes, les développements technologiques ou biologiques récents indispensables à l’avancée de ces
recherches comme la thérapie cellulaire, propose de nouvelles approches diagnostiques ou thérapeutiques,
comme l'ingénierie cellulaire et tissulaire ou le ciblage des médicaments. Elle offre une formation
plurdisciplinaire à l’interface entre les sciences physiques, chimiques, mécaniques, l’informatique et les
sciences du vivant. Elle permet de démontrer l’intrication des sciences pour l’ingénieur dans le domaine
biomédical, en l’illustrant notamment par les avancées cliniques ou fondamentales consécutives aux progrès
technologiques dans le domaine de l’imagerie cellulaire ou diagnostique, ou encore celui des biomatériaux à
visée prothétique vasculaire ou ostéo-articulaire.
• Formation à et par la recherche
• Formation professionnelle et compétences transversales
• Formation continue et par alternance
Les étudiants seront formés à la recherche lors du stage de 20 à 24 semaines effectué durant le semestre
S10. Ce stage s’adosse à des laboratoires de recherche public ou privés de très bonne qualité, labellisés et
travaillant dans le domaine de l’option choisie. Ce stage pourra aussi se faire à l’étranger dans des
laboratoires privés ou publics, préférentiellement avec les laboratoires ayant signé une convention, mais
aussi plus ponctuellement avec d’autres laboratoires dont l’axe de recherche proposé à l’étudiant relève des
domaines enseignés dans le master.
A l’issue de ce master l’étudiant doit être capable de gérer un projet : comprendre la problématique,
proposer une ou plusieurs solutions, capable de rédiger un protocole expérimental, proposer un plan
d’expérience, et participer à sa mise en œuvre.
Il devra être autonome et responsable du sujet confié, savoir exploiter les résultats et les valoriser devant
une assemblée et/ou sous forme de rapport.
La formation continue est possible pour les doctorants de l’école doctorale BioSE qui peuvent choisir de
suivre les enseignements des UE proposées en M2. Mais aussi dans le cadre de la formation continu des
cadres de la santé (médecins, pharmaciens, odontologistes, vétérinaires, ..) Cette formation est aussi
proposée aux Ingénieurs et aux techniciens à condition que le jury d’admission valide au moins 5 ans
d’expérience dans le domaine.
• Relations et échanges internationaux
Les étudiants auront la possibilité de réaliser leur stage dans les laboratoires européens partenaires
(Allemagne, Belgique, Luxembourg, Autriche).
Par ailleurs, certains étudiants étrangers effectuent un M2 en vue de faire une thèse en codirection. C’est le
cas en particulier dans le cadre des conventions de coopération :
• Nancy-Wuhan et de la convention laboratoire sans mur entre l’Université Henri Poincaré de Nancy,
l’Université de Wuhan et le CHU de Nancy (signée en 2009)
• Avec l’université de Rosario (Argentine)
• Résultats connus de l’analyse à 2 ans du devenir des étudiants diplômés. Indiquer le taux de réponse aux
enquêtes et les mesures prises en conséquence de ces résultats
A l’issue du M2, la majorité des étudiants poursuivent en thèse et ont tous un financement. Les thèses sont
financées par une bourse ministérielle ou sur contrat CIFRE ou cofinancées CNRS-Région ou issues
d’associations caritatives. Quant aux autres étudiants, certains médecins ou pharmaciens sont dans une
logique d’internat en vue de devenir chef de clinique, certains odontologistes ont poursuivi en thèse qu’ils
réalisent en même temps que la pratique en cabinet privé.
Parcours RNA Enzyme Sciences (RNAES)
• Compétences attendues à l’issue de la formation
En fonction des options choisies, les étudiants acquerront des connaissances théoriques et pratiques dans
les secteurs soit 1) de la Biochimie, de la Biologie moléculaire et de la Biologie cellulaire des ARN, soit 2)
de l’Enzymologie.
Les diplômés seront capables de développer des plans expérimentaux et des stratégies permettant de
produire et caractériser des molécules d’ARN ou des enzymes, de conduire des projets visant à étudier
l’activité, la structure, les fonctions cellulaires, de ces macromolécules. Ces savoirs et savoir-faire
permettront aux diplômés soit d’entrer dans la vie active à Bac+5 soit de poursuivre par un doctorat.
• Objectifs propres à ce parcours de la spécialité
Dans ce parcours à ouverture internationale, l’enseignement est effectué entièrement en anglais. Il Les
étudiants pourront choisir des UE parmi deux options :
• La première centrée sur l’ARN vise à former des spécialistes capables d’intervenir sur des problèmes
biologiques fondamentaux impliquant des ARN, d’interprétation de données de transcriptomique, mais
également dans le développement d’approches thérapeutiques utilisant des molécules d’ARN. Aucune
formation de haut niveau permettant d’acquérir la maîtrise des méthodes et des stratégies de ce
secteur, en pleine expansion, n’existe actuellement au niveau national, ni dans le périmètre de la
grande région. L’UMR AREMS UL-CNRS 7214 a acquis une reconnaissance nationale et internationale
(Réseau d’excellence européen) pour ses travaux et études sur les ARN et les complexes ARN-protéines.
L’équipe pédagogique de la spécialité peut s’appuyer sur ses compétences ainsi que sur des
enseignants des Universités de Bruxelles, Darmstadt, Mainz, apportant des compétences complémentaires.
• La seconde, centrée sur l’enzymologie au niveau français et qui pourtant s’avèrera essentiel dans le
contexte post-génomique. En effet, les données de séquence de génomes ainsi que le nombre de
structures tertiaires établies pour des protéines sont grandissants. Par contre, l’identification de leur
mécanisme d’action, en particulier, dans le cas des protéines à activité enzymatique, représente
toujours un goulot d’étranglement dans la progression des connaissances. L’UMR AREMS UL-CNRS 7214
a acquis une reconnaissance nationale dans le domaine de l’Enzymologie. L’équipe pédagogique de la
spécialité peut s’appuyer sur ses compétences ainsi que sur des enseignants des Universités de Liège,
Sarrebruck, Graz apportant des compétences complémentaires.
• Formation à et par la recherche
Les étudiants seront formés à la recherche lors du stage de 24 semaines effectué durant le semestre S10.
Ce stage s’effectuera dans un laboratoire de recherche public ou privé, labellisé dans le cadre du Master et
travaillant dans le domaine de l’option choisie : domaine de la Biologie des ARN ou de l’enzymologie.
• Formation professionnelle et compétences transversales
A l’issue de ce master l’étudiant doit être capable de gérer un projet : comprendre la problématique, proposer
une ou plusieurs solutions, capable de rédiger un protocole expérimental, proposer un plan d’expérience, et
participer à sa mise en œuvre. Il devra être autonome et responsable du sujet confié, savoir exploiter les
résultats et les valoriser, en anglais, devant une assemblée et/ou sous forme de rapport.
• Formation continue et par alternance
La formation continue est possible pour les doctorants de l’école doctorale BioSE qui peuvent choisir de
suivre les enseignements des UE proposées en M2.
• Relations et échanges internationaux
Les étudiants bénéficieront de contacts en Allemagne, Belgique et Autriche grâce à l’intervention d’enseignants
de ces pays. Les étudiants auront également la possibilité de réaliser leur stage dans les laboratoires
européens partenaires. L’enseignement en anglais devrait favoriser l’accueil d’étudiants non francophones.
Parcours Ingénierie Moléculaire (IM)
• Compétences attendues à l’issue de la formation
Les étudiants issus de cette formation vont acquérir des bases théoriques solides en :
• Techniques et stratégies de clonage et de production des protéines recombinantes en utilisant les
systèmes actuellement les plus performants (bactéries, levures, cellules d’insectes et cellules des
mammifères),
• Techniques et stratégies de purification des protéines,
• Techniques et stratégies de caractérisation structurale des protéines,
• Connaissances approfondies en Enzymologie et stratégies en Ingénierie Enzymatique.
Ces connaissances théoriques seront complétées par l’analyse approfondie des travaux publiés et par des
projets intégrés de mise en situation pendant lesquels l’étudiant sera confronté à la mise en pratique de ses
connaissances en utilisant les instruments de la Plateforme Commune Pédagogique en Biotechnologies
mais aussi ceux des laboratoires de recherche adossés à la formation.
Les enseignements se composent de 4 UE obligatoires (M.BSIS.9.651 – 654) totalisant 24 ECTS et de 2
UE optionnelles. L’étudiant pourra ainsi se spécialiser selon ses souhaits soit en approfondissant ces
connaissances en Protéomique, Modélisation moléculaire et Ingénierie Enzymatique, soit en acquérant des
connaissances en Génie de Procédés.
• Objectifs propres de la spécialité
La formation a pour objectif principal de préparer chaque candidat aux fonctions d’encadrement dans des
équipes de Recherche et Développement au sein d’entreprises ou d’instituts publics œuvrant dans les
domaines pharmaceutique, biotechnologique, chimique, agro-alimentaire et apparentés. La formation peut
conduire à une insertion dès l’obtention du grade de Master ou à la poursuite en Doctorat
• Formation à et par la recherche
Lors des enseignements théoriques, les étudiants perfectionneront leurs connaissances sur les approches
théoriques d’étude des protéines et enzymes ainsi que les méthodologies associées. Lors du stage pratique,
selon leur choix, ils seront formés à la recherche appliquée ou fondamentale, selon l’entreprise ou le
laboratoire public d’accueil qu’ils auront choisi en France ou à l’étranger, à condition que le sujet de leur
stage entre dans les objectifs de la formation.
• Formation professionnelle et compétences transversales
Les compétences professionnelles et transversales sont acquises au cours des différentes mises en situation
incluses dans les différents enseignements. Ces compétences visent à former l’étudiant à respecter les
bonnes pratiques de laboratoire, à respecter et faire appliquer les règles d’Hygiène et Sécurité, être apte à
s’intégrer dans une équipe de recherche et à concevoir et réaliser des projets en matière de Recherche et
Développement, à maitriser différentes sources d’information scientifique, à savoir rédiger un rapport
bibliographique et scientifique, à savoir réaliser un support de présentation et à présenter des résultats
oralement.
• Relations et échanges internationaux
Les candidats de la Spécialité ont la possibilité de partir à l’étranger dans le cadre de la charte Erasmus
(Erasmus stage ou Erasmus-Etudes).
• Tableau des effectifs et des diplômés par année
Master Sciences de la Vie et de la Santé
spécialité M2 Génie Protéique et Ingénierie des Enzymes
Nombre de candidats
2011
2010
2010
2009
2009
2008
2008
2007
2007
2006
8
6
7
11
9
4
6
10
8
Nombre de diplômés
Origine des candidats
Nancy-Université
4
3
7
11
4
Autre M1 que BBMRC
0
3
1
1
4
Autres Université Française
3
2
0
0
4
Etudiant Etranger*
1
1
0
0
1
• Création d’un label Cursus de Master en Ingénierie (CMI) pour le parcours Ingénierie Moléculaire
L’ex UHP a été parmi les fondateurs du Réseau FIGURE et parmi les différentes disciplines représentées dans
la nouvelle Université de Lorraine, le domaine de la Biologie et plus spécifiquement les spécialités de
Microbiologie et de l’Ingénierie Moléculaire ont été choisies pour ce cursus, car elles ne rentrent pas en
concurrence avec les formations des ingénieurs régionales et elles sont peu représentées sur le plan National.
Le CMI permet de former des experts spécialistes d’un domaine scientifique avec une large ouverture vers les
sciences fondamentales et les sciences humaines. Il s’agit d’offrir la possibilité aux étudiants de nos masters
de compléter leur formation scientifique par un important volet en sciences de l’Ingénieur. Ce cursus porte
sur 5 ans (L1 à M2) et sera adossé pour les 3 premières années sur la Licence SVE de la Faculté des
Sciences et Technologies et totalement mutualisé du L1 au L3 avec d’autres parcours. En Master il sera
mutualisée dans sa composante Sciences fondamentales (mathématiques, informatique, langues, sciences
sociales…) de M1 à M2 avec les spécialités CMI du Master BioMANE. Le cursus proposé, Ingénierie
Moléculaire pour la Santé, sera adossé en M1 au parcours Biochimie-Biologie Moléculaire-Régulations
Cellulaires (BBMRC) et en M2 à la spécialité Génie Protéique (GP) et au parcours RNA and Enzyme Sciences
de la spécialité BMBI-PT.
L’objectif de ce cursus « Ingénierie Moléculaires pour la Santé » est de former des spécialistes en Ingénierie
des Protéines et des Acides Nucléiques avec des connaissances importantes en Chimie Organique et Chimie
Analytique, Biologie Structurale et Modélisation Moléculaire, Economie/Gestion/Droit/Management des
entreprises, afin d’occuper des postes de R&D au sein d’entreprises ou d’instituts publics œuvrant dans les
domaines pharmaceutique, cosmétique et biotechnologique. La formation permet aussi aux candidats de
continuer en Doctorat.
Les étudiants qui entrent au CMI (inscription en L1) auront, quel que soit leur choix de spécialité, les mêmes
enseignements pour le socle de pré-requis ainsi que pour le socle de la spécialité de base (Biotechnologies)
et les SHS. Ainsi les deux premières années de Licence sont communes et les deux parcours (Microbiologie
et Biochimie-Biologie Moléculaire) se différencient très peu en L3 (pour environ 15 % des enseignements).
La différenciation devient effective en M1 bien que les deux parcours gardent un pourcentage important
d’enseignements en commun (Chimie Organique, Chimie Analytique, Mécanique des Fluides, SHS, environ
30 % en total).
Les enseignements proposés comprennent des UE préexistantes (~54 %), enseignées dans les futurs Licence
SVE et Masters BSIS et BioMANE et des nouveaux enseignements spécifiques à la formation CMI (~46%).
Les enseignements en Biologie, indispensables tant pour les pre-requis que pour les spécialités, ont été
complété (hors SHS) par des connaissances approfondies en mathématiques, chimie, physique, informatique.
En enseignement disciplinaire la Biologie/Biotechnologies représente pour les spécialités de Microbiologie et
pour la spécialité Ingénierie Moléculaire 49 % et 53 % des heures en présentiel (hors stages) respectivement,
les Mathématiques/Physique/Informatique 17% et 15 % respectivement, la Chimie 9% et 12 %
respectivement et les SHS 22% et 20 % respectivement.
Parcours Cancérologie Expérimentale
• Compétences attendues à l’issue de la formation
La cancérologie est un domaine complexe, multidisciplinaire et très diversifié. Les étudiants ayant suivi
ce parcours, qu’ils viennent de cursus scientifique, pharmaceutique ou médical, auront reçu une formation
théorique complète leur permettant d’avoir une vision précise des recherches effectuées dans le domaine de
la cancérologie allant de la recherche fondamentale à la recherche clinique.
De par leur stage effectué dans une équipe spécialisée, ils auront complété leur formation dans un domaine
particulier. A l’issue du master, ils seront à même de poursuivre en doctorat en comprenant très tôt les
multiples facettes des sujets de recherche et en étant à même de dialoguer avec les chercheurs abordant la
problématique par d’autres méthodologies que la leur. Ils devraient être susceptibles de promouvoir une
recherche de haut niveau.
• Objectifs propres de la spécialité
L’objectif de la spécialité est de dispenser aux étudiants français et internationaux (au-delà même des
frontières de l’Université de la Grande Région) une formation théorique et pratique qualifiante dans
différents domaines de la cancérologie (immunologie, biologie cellulaire, biologie moléculaire,
pharmacologie, recherche translationnelle).
• Formation à et par la recherche
Lors des enseignements théoriques, les étudiants verront comment sont abordées les questions posées dans
divers domaines de la cancérologie ainsi que les méthodologies associées. Lors du stage pratique, ils seront
formés à la recherche fondamentale ou clinique, selon le laboratoire d’accueil qu’ils auront choisi au sein de
la Grande Région, parmi des structures reconnues et acteurs de progrès dans le domaine de la cancérologie.
• Formation professionnelle et compétences transversales
A l’issue de ce master l’étudiant doit être capable de gérer un projet : comprendre la problématique,
proposer une ou plusieurs solutions, capable de rédiger un protocole expérimental, proposer un plan
d’expérience, et participer à sa mise en œuvre. Il devra être autonome et responsable du sujet confié, savoir
exploiter les résultats et les valoriser, en anglais, devant une assemblée et/ou sous forme de rapport.
• Formation continue et par alternance
Le parcours sera ouvert à la formation continue et par alternance.
• Relations et échanges internationaux
Ce parcours réunira 4 universités de la Grande Région : Liège, Luxembourg, Sarrebruck et l’Université de
Lorraine. Puisque l’enseignement sera dispensé en anglais, il sera possible d’accueillir des étudiants venant
d’autres pays européens (échanges Erasmus).
• Spécialité EFSVT (Enseignement et Formation en Sciences et Vie de la Terre)
• Compétences attendues à l’issue de la formation
Les compétences visées (cf. fiche RNCP) seront tout d’abord les 10 compétences professionnelles d’un
enseignant du premier et du second degré (B.O. n°1 du 4 janvier 2007) :
• Agir en fonctionnaire de l’état de manière éthique et responsable,
• Maîtriser la langue française pour enseigner et communiquer,
• Maîtriser les disciplines et avoir une bonne culture générale,
• Concevoir et mettre en œuvre son enseignement,
• Organiser le travail de la classe,
• Prendre en compte la diversité des élèves,
• Evaluer les élèves,
• Maîtriser les technologies de l’information et de la communication,
• Travailler en équipe et coopérer avec les parents et les partenaires de l’école,
• Se former et innover.
D’autres compétences seront également développées dans cette spécialité :
• Aptitude à mener une activité de recherche théorique : études documentaires et veille technologique,
• Savoir rechercher et analyser la documentation relative à un sujet de recherche défini,
• Savoir analyser et synthétiser des informations techniques et scientifiques,
• Savoir s'exprimer en public pour présenter et argumenter des projets et des résultats en utilisant les
outils modernes de communication ainsi que le maniement de l'anglais,
• Savoir observer et décrire des systèmes naturels.
• Objectifs propres de la spécialité
La Spécialité EFSVT forme les professeurs des collèges et lycées en SVT et prépare aux concours du CAPES. Adossée aux deux mentions BSIS (BioSciences et Ingénierie de la santé) et GPRE (Géosciences : Planètes,
Ressources, Environnement), cette structure trans-masters UL présente plusieurs avantages :
• Un regroupement des compétences et une économie de moyens,
• Une cohérence par rapport à l’offre régionale,
• Un support recherche clairement affiché et une irrigation de la formation par cette recherche,
• L’introduction d’un lien entre cette spécialité à vocation professionnelle Enseignement et Formation
dans le secondaire et les métiers de la recherche ou du monde économique,
• La possibilité pour l’étudiant de s’inscrire dans l’une de ces trois mentions ce qui lui permet d’afficher
ses préférences dès le M1, facilitant de facto d’éventuelles réorientations.
Les connaissances à maîtriser en Sciences de la Vie et de la Terre correspondent à un socle de connaissances
disciplinaires solides d’un excellent niveau de licence en biologie et en géologie. Une partie des enseignements
de M1 de cette Spécialité est donc mutualisée avec les enseignements de la Licence Sciences de la Terre
et de l’Environnement mais la plus grande partie correspond à des enseignements spécifiques en Géologie
et en Biologie. Du fait de leur double compétence en biologie et en géologie, des étudiants issus de cette
Spécialité peuvent intégrer en cours de M1, les spécialités « Sols, Eaux, Environnements » et « Ressources
en Eau – Gestion et Aménagement » du Master GPRE, vers d’autres Masters tournés vers la gestion de
l’environnement et les spécialités du Master BSIS (notamment GC).
Les enseignements de cette spécialité Enseignement et Formation en Sciences de la Vie et de la Terre visent à
former des professionnels de l’enseignement en SVT pour le second degré.
L’étudiant, inscrit en M2, pourra se présenter au concours externe du CAPES de SVT ainsi qu’à l’agrégation
des Sciences de la Vie – Sciences de la Terre et de l’Univers. Sa réussite au concours sera dépendante des
résultats propres du concours mais aussi de la validation du M2 et donc de l’acquisition des 60 Crédits
européens du M2 FAGE, BSIS ou GPRE, spécialité Enseignement et Formation en Sciences de la Vie et de
la Terre.
La structure trans-Masters adoptée permet également une réorientation de l’étudiant vers la spécialité
orientée recherche du master dans lequel il se sera inscrit (BSIS ou GRPE) et pour laquelle une maîtrise des
notions biologiques et géologiques est indispensable (se référer ainsi aux débouchés présentés au sein des
mentions BSIS et GPRE). La formation transdisciplinaire, géosciences/sciences de la vie, qui s’avère
fondamentale dans les métiers touchant à la gestion environnementale, est très appréciée des employeurs.
Cette spécialité ouvre ainsi également vers les différents métiers de la recherche.
• Formation à et par la recherche
Cette spécialité s’adosse à des laboratoires de très bonne qualité, à des structures fédératives possédant des
parcs analytiques conséquents dans les domaines des géosciences et des sciences biologiques. Leur
description est faite dans chacun des deux masters d’adossement (GPRE et BSIS).
Les enseignements de la spécialité Enseignement et Formation en Sciences de la Vie et de la Terre sont
assurés par des enseignants-chercheurs et chercheurs de ces différents laboratoires associés aux mentions
BSIS et GPRE.
Une initiation à la recherche est également prévue en S7 avec deux objectifs principaux :
• Permettre aux étudiants de se familiariser avec la recherche et la diversité des métiers s’y rapportant
(IE, IR, Enseignants-chercheurs et chercheurs),
• Permettre à des étudiants d’effectuer un stage de recherche pour une éventuelle réorientation de leur
projet professionnel.
Ces initiations seront proposées par les laboratoires de recherche d’appui des trois mentions ou adressés par
les entreprises et organismes à l’équipe de formation, qui valide les propositions. Les stages pourront
également être à l’initiative des étudiants (démarches personnelles ou fichiers des associations d’étudiants),
sous réserve d’une validation par les équipes pédagogiques.
• Formation professionnelle et compétences transversales
La répartition et l’organisation des stages sont les suivantes :
Lieu du stage
Semestre
ECTS
Nature et durée du stage
Modalités de l’évaluation
Etablissement scolaire
du secondaire
S7
6
Stages d’observation et de pratique accompagnée
non rémunérés groupés sur 3 semaines
Rapport de stage
Etablissement scolaire
du secondaire
S10
15
Stage en responsabilité
sur 12 semaines.
Durée maximale de 108h (communiqué de Presse,
Xavier Darcos du 15 janvier 2009)
Rapport des tuteurs
pédagogiques, du chef
d’établissement.
Deux stages en établissement scolaire sont donc positionnés dans cette maquette en S7 et S10 :
• Le premier stage en S7 sera un stage d’observation à de la pratique accompagnée. Il sera organisé
sous forme de 3 semaines groupées.
• Le deuxième stage positionné en S10 sera un stage en pratique accompagnée et/ou responsabilité
qui pourra être rémunéré à hauteur de 108h max. Ce stage sera accompagné pédagogiquement avec
un suivi personnalisé de l’étudiant.
Les stages en établissement scolaire (observation, pratique accompagnée et potentielle responsabilité)
seront proposés aux étudiants en concertation avec le rectorat et les IPR de SVT.
• Relations et échanges internationaux
Deux modalités différentes (mais cumulables) sont possibles pour permettre aux étudiants d’acquérir une
dimension internationale dans cette spécialité :
1. La mobilité à l’étranger pour au moins un semestre
L’Université de Lorraine propose ainsi un dispositif d’aide à la mobilité pour inciter les étudiants à effectuer
une partie de leur cursus (1 ou 2 semestres) dans une université étrangère par le biais notamment de nombreux
partenariats avec des organismes universitaires étrangers qui facilitent cette mobilité. Du point de vue de
l’organisation des études et de la position des épreuves du concours de CAPES, le deuxième semestre (S8)
du master semble le mieux approprié.
2. Le départ en stage de plus courte durée dans une institution éducative à l’étranger
L’IUFM de Lorraine dispose d’une longue expérience des échanges internationaux. La composante IUFM
de l’Université de Lorraine donne en effet une place importante à la dimension formatrice des échanges
internationaux. On sait que par la prise de distance qu’il induit, un stage à l'étranger favorise l'analyse et
l'intégration des expériences vécues dans notre propre système éducatif ainsi que la compréhension des
choix éducatifs denotre propre pays.
Au-delà des bénéfices évidents qu’il lui apporte sur le plan linguistique, il élargit le champ culturel de
l’étudiant et l’aide à développer ses potentialités professionnelles. Il lui permet de construire sa citoyenneté
nationale dans le cadre plus large et plus ouvert de l’Europe, en tant qu’espace civique, mais également en
tant que vaste bassin d’emploi.
Actuellement, des stages d’une durée de 2 à 6 semaines sont proposés aux professeurs stagiaires de
l’IUFM, dans des structures éducatives équivalentes au second degré en Allemagne, en Angleterre ainsi
qu’aux Etats-Unis.
• Résultats connus de l’analyse à 2 ans du devenir des étudiants diplômés. Indiquer le taux de réponse aux
enquêtes et les mesures prises en conséquence de ces résultats.
Cette spécialité ayant un an d’existence, il faut se baser sur la structure antérieure (parcours M1 SBG du
master SVS et année de préparation CAPES-AGREG) pour aborder le sujet du devenir des étudiants.
Cependant, nous avons ajouté les résultats des concours 2009 à 2011 qui donnent un premier aperçu du
devenir des étudiants.
20052006
20062007
20072008
20082009
20092010
M1 SBG
M1SVT
Nombre d’inscrits
35
35
49
22
26
Nombre de reçus au CAPES de SVT
2
1
0
2
3
Ré-orientation dans des mentions de master de
l'Université de Lorraine
2
5
10
2
Préparation CAPES-AGREG
20102011
11
M2SVT
Nombre d’inscrits
39
39
43
34
24
39
Nombre de reçus au CAPES de SVT
14
7
7
7
8
14
Nombre de reçus à l’Agréation Sciences de la
Vie et de la Terre
1
1
2
0
0
0
Nombre de reçus au CRPE, CAPLP, CAPET
-
3
4
6
3
6
Ré-orientation dans des mentions de master de
l'Université de Lorraine
2
2
4
3
-
-
La plupart des étudiants qui s’inscrit dans cette spécialité de M2 EFSVT provient du parcours M1 EFSVT.
Des réorientations se font chaque année en fin du M1 vers les spécialités disciplinaires du master ou vers
d’autres masters mais la majorité des étudiants qui s’engage dans cette formation souhaite obtenir un
concours de l’enseignement. Chaque année, entre 20 et 50% des étudiants y parviennent. Les autres font le
choix de refaire une préparation au concours ou se placent en tant que enseignants-vacataires dans les
établissements publics ou privés du second degré.