Nivelles Capital

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L’image de marques nivelloises
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Woody Woodstock
Urban magazine - Numéro 72 - Mars 2013 - Gratuit
va électriser Nivelles
lles - IPAM
- Nive
27 avril 2013
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i l n’y q u i s o n t f j o u rs :-)
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Nivelles Capital est
une publication de Xpresseo sprl
Rue Paquette 2c - 1400 Nivelles
Rédacteur en chef
Luc Pieltain
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Fruitelslese7/t b0lé1 - 1400 Nivelles
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Rue de Br
Rédaction
Ann-Laurence Dehont
Archibald Pelote
Olivier Duquesne
Magaly Swaelens
Melissa C.
Luc Pieltain
Photographe
Magaly Swaelens
Luc Pieltain
Infographie
Xpresseo
Responsable commerciale
et publicité Nivelles Capital :
Josianne Lhote : 0497 499 284
[email protected]
Contacts rédaction :
Luc Pieltain : 0475 42 83 46
[email protected]
Adresse de la rédaction :
Rue Paquette 2 c - 1400 Nivelles
Tirage moyen : 8.000 exemplaires
Remerciements :
A celles et ceux qui ont rendu
possible la parution de ce numéro.
Avertissement :
Nous déclinons toute responsabilité
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contenu des articles n’engage que les
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sans l’autorisation expresse de la rédaction.
© Nivelles Capital est une marque
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Les chroniques
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d’ Archibald Pelote
Episode 4
Orange mécanique
Dimanche 17 février, cinq heures du matin : je
suis brutalement tiré de mon sommeil, quelqu’un tente de m’arracher le bras.
Une nouvelle rafale retentit dans la nuit. Ma
femme met la main sur les boules Quiès. Et
de conclure : « J’ai toujours su que cet endroit
était mal fréquenté. »
« Réveille-toi, Archibald ! Réveille-toi ! »
Sacrée Marie-Thérèse.
Ebloui par la lampe de chevet, j’émerge péniblement pour découvrir les yeux exorbités
de Marie-Thérèse aussi pâle que l’oreiller. Ma
femme semble à l’affût, cou tendu, mâchoires
musclées. A peine si j’ose récupérer mon bras
en l’interrogeant du regard.
« Tais-toi ! crie-t-elle avant que j’aie entrouvert
la bouche. Tu entends ?... Ne me dis pas que tu
es sourd à ce point là !
– Si tu parlais moins fort, peut-être que…
– C’est une fusillade, Archibald ! On tire à la
mitraillette dans le centre ville ! »
Voilà un tueur fou bien matinal… Evidemment,
quand on sait l’intérêt que porte une Bruxelloise pure souche aux réjouissances provinciales
telles que le carnaval, on comprendra aisément
qu’elle confonde un tambour avec une arme
automatique.
Nivelles CApital
Pourtant, d’après le reportage télé que j’ai vu
mardi dernier, ce genre de festivités amuse les
autochtones au plus haut point. Alors pourquoi
n’irais-je pas faire un tour en ville cet après-midi ?
Moi aussi j’ai envie de voir ces bibendums bigarrés à clochettes, enturbannés ou flanqués
d’un énorme chapeau à plumes, qui jettent des
oranges sur tout ce qui bouge. Sans compter
que le soleil devrait être de la partie.
Mais arrivé sur la Grand-Place déjà noire de
monde, mon engouement retombe comme
un soufflé mal programmé ; on est loin de la
parade de Nice à laquelle j’ai assisté dans ma
jeunesse. Je constate qu’ici, à la campagne, la
crise frappe durement. Les moyens octroyés
pour divertir le peuple ont été réduits à néant.
Comment justifier sinon la pauvreté de ce
cortège et ses chars faits de bric et de broc ?
Défilent entre autres un groupe d’une époque
inconnue, vêtu de rouge (sans doute des socialistes car les hommes portent un nœud pap),
des pirates plus proches du capitaine Igloo que
de Johnny Depp, des clowns qui n’amusent
personne, des militaires belges – je m’étonne
qu’ils ne soient pas tombés en panne –, quelques Brésiliens recalés des écoles de samba,
j’en passe et des moins bons… Même les jolies
petites miss carnaval paraissent s’ennuyer à
mourir.
Entre parenthèses, j’aurais deux mots à dire
au c… qui m’a fichu son satané canon de
confettis dans la figure – il a fallu qu’un brave
type me frappe dans le dos pour que je recrache la demi-livre de papier avalé de travers.
« On n’est pas là pour se faire empailler, on est
là pour voir le défilé ! »
Et après ? me direz-vous.
Eh bien, après c’est le calme plat, l’interlude
sans musique. J’en profite pour me renseigner
auprès du gars qui m’a sauvé de l’étouffement :
– Vous savez ce qui arrive maintenant ?
– C’est l’bordel ! maugrée-t-il.
N’osant imaginer qu’il s’agit d’une maison
close ambulante, je me contente d’opiner bêtement.
En attendant, toujours rien à l’horizon. Dans la
foule qui commence à s’impatienter, les critiques vont bon train quant à l’organisation :
« C’est encore pire que l’année dernière ! » Les
parents désertent peu à peu la Grand-Place, au
grand dam des enfants : « On n’a même pas eu
d’oranges ! »
Il est pratiquement 19 heures quand je décide
d’aller boire un verre (en plastique), histoire de
faire passer le temps et le goût de confettis.
Sauf que les bistrots sont pleins à craquer ;
impossible d’entrer sous peine d’étouffer une
nouvelle fois. C’est alors que j’entends quel-
qu’un lancer à la cantonade : « V’là les Gilles ! »
« Gilles », c’est le prénom que portaient aussi
les bibendums à clochettes dans le reportage
télé. Certes, ceux-ci ont pris un sacré retard.
Mais qui leur en tiendra rigueur ? Ils viennent
probablement de loin. De Binche, qui sait ? Et
vu leur costume volumineux (à moins que ce
ballonnement ne résulte d’un excès de poids),
je les imagine mal se déplaçant en voiture.
Voilà qui explique ce pas de danse savamment
dosé, cette cadence à l’économie mais néanmoins contagieuse.
Quoi qu’il en soit, je leur trouve fière allure à
ces bonshommes en sabots, et leurs oranges
ressemblent plus à des offrandes qu’à des munitions, n’en déplaise à Marie-Thérèse.
Malheureusement, aucune n’arrive jusqu’à moi.
En revanche, du côté du fourgon qui suit la fanfare, ça canarde à tout va. Un projectile vient
d’ailleurs s’écraser en un bruit mou sur la tête
d’une jeune femme à mes côtés. Une pulpe
rouge dégouline le long de son visage ébahi.
– Dommage, lui dis-je en m’abritant, c’était une
orange sanguine.
– Pas grave, dit-elle en sortant son mouchoir,
j’aurai plus de chance demain.
– Ils vont remettre le couvert ?
– C’est le carnaval aclot. Et mardi, c’est le raclot.
– Et mercredi, c’est clos.
– Oui, sourit la jeune femme avant d’entamer à
son tour la danse du Gilles venu de loin.
Quel santé, ces Nivelloises !
Quant à moi, j’irai plutôt m’acheter des oranges au supermarché ; je préfère les presser à
la maison.
Il paraît que le carnaval est censé chasser
l’hiver. Mais à Nivelles, on dirait que c’est l’inverse. En tout cas la neige ne cesse de tomber
depuis…
Archibald
Nivelles CApital
Rencontre
« Tipi dans les étoiles » est là pour ne plus craindre le cancer
« Tipi dans les étoiles » est une toute jeune association nivelloise. Créée le 27 novembre 2012, ses
membres fondateurs ont côtoyé le cancer et souhaitent désormais aider la recherche scientifique et
toute personne malade. Et, surtout, faire en sorte que Thibault et Pierre ne soient jamais oubliés.
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Louis Havaux - Agnès Havaux - Olivier Richelot - Catherine Havaux
Luc Cambier - Gaëtane Jonnaert - Terry Moro et Jacques Hanquet
Le cancer peut s’abattre sur chacun
d’entre nous et n’importe quelle partie
du corps peut être fragilisée. Autant
jeunes que les moins jeunes peuvent
en être atteints. Souvent, les personnes malades éprouvent des difficultés
à s’exprimer sur ce mal qui ronge et
détruit peu à peu les cellules de leur
corps.
Comment le soigner ? Comment le
prévenir ? À qui en parler ? Difficile,
même bien entouré par la famille ou les
amis, de trouver une quelconque dose
de réconfort lorsque cela nous arrive,
ou touche quelqu’un qui compte à nos
yeux. Et pourtant, il faut parler du cancer. « Rêvons d’un monde où plus personne n’aura peur
du cancer ». Voilà le slogan, ou plutôt la philosophie de « Tipi dans les étoiles », une nouvelle
association qui a vu le jour grâce à la volonté de
ses membres fondateurs Olivier Richelot (président), Catherine Havaux (secrétaire), Jacques
Hanquet (administrateur délégué), Terry Moro
(responsable financier), Gaetane Jonnaert, Luc
Cambier, ainsi qu’Agnès, Louis et Baudouin
Havaux. Au fait, pourquoi ce nom « Tipi dans
les étoiles » ? « Ti » en référence à Thibault et
« Pi » pour Pierre. Ces deux adolescents sont
partis trop tôt, emportés par le cancer, partis
rejoindre les étoiles. Thibault est décédé le 19
septembre 2012. Il était bien connu auprès des
Nivellois, en tant que chef de l’unité scoute
Sainte Gertrude et membre de la société carnavalesque « Les Gilles de l’an 2000 ».
Suite à ce triste épisode, leurs proches se sont
rapprochés, ayant vécu des moments semblables, des rechutes, des heures passées dans les
hôpitaux…Ils se sont mis ensemble pour créer
l’asbl. Laquelle nourrit trois objectifs majeurs.
Premièrement, elle tente « de diffuser un message d’espoir et d’optimisme vis-à-vis de la
maladie. De nombreux cancers sont guérissables, d’autres sont évitables ». Ensuite, elle
essaie de récolter des idées et de l’aide afin de
parvenir à satisfaire le premier but. Troisièmement, « Tipi dans les étoiles » organisera divers
événements pour récolter des fonds destinés à
aider la recherche scientifique et la lutte contre
le cancer.
Enfin, l’association sera là, aux côtés de toute
personne atteinte ou proche de celle-ci, et
apportera un soutien moral en premier lieu.
Dans ce cadre, la « Table de Tipi », le premier
rendez-vous, d’ordre gastronomique, qui s’est
déroulé dans la soirée du 2 mars dernier, au
Val-Fayt (Fayt-lez-Manage) a affiché complet.
Les fonds récoltés, 10 150 euros, ont été versés à deux associations.
La première, Salus Sanguinis, active dans la
recherche dans le domaine des maladies sanguines, de la moelle osseuse et des ganglions.
La seconde, la plus connue, c’est-à-dire le
Télévie qui lutte contre la leucémie et le cancer, via ses manifestations de solidarité organisées un peu partout dans le pays. Le succès
de cette première soirée, ils le doivent aussi et
surtout à la générosité du chef Marco Denuzzo,
des prestigieux Grands Crus de Bordeaux, de
POS-Expertise , des partenaires de la tombola,
et bien évidemment des donateurs et des 150
convives.
Via cette initiative, les membres de « Tipi dans
les étoiles » sont convaincus, mais espèrent
surtout, que toute personne qui œuvre ou s’investit dans la lutte contre le cancer (chercheur,
infirmier, médecin…) sera encouragée.
Infos : www.tipidanslesetoiles.be
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News
Concours et portes ouvertes au Planning familial
Si vous ne connaissez pas encore le Centre de
Planning et de Consultation familiale et conjugale
de Nivelles, c’est le moment d’aller y faire un
tour. Il ouvrira ses portes le vendredi 19 avril
2013 de 10h à 18h.
Au programme de la journée : drink de bienvenue, visite des locaux et présentation des
nombreux services (consultations médicales,
sociales, psychologiques, juridiques, conseil
conjugal, médiation familiale, permanence,
d’accueil, animations scolaires, …)
Coiffeur - Visagiste - Coloriste - coupe sur cheveux secs ou humides
Pour marquer l’événement, le Planning fait appel à vos talents d’artiste et organise un grand
concours photo. Le thème : « Lien quand tu
nous tiens ! IMAGE-nous le tien ». Inspiré ?
Envoyez vos plus belles photos à [email protected] pour le 5 AVRIL au plus tard.
Toutes les images seront postées sur la nouvelle
page Facebook du Planning (référencé sous
Planning familial de Nivelles). Il vous suffit ensuite
d’inviter vos amis à voter pour votre création et
le tour est joué… Plus votre photo récolte de
« j’aime », plus vous avez de chances de remporter le concours. Lors de la journée portes
ouvertes, toutes les photos seront exposées et
les gagnants recevront des places de cinéma.
Infos : Centre de Planning et de Consultation
Familiale et Conjugale de Nivelles - Centre
agréé par le Ministère de la Région Wallonne
Boulevard des Archers, 62 à 1400 Nivelles
067/21 72 20 – [email protected]
Avec ou sans rendez-vous - Parking Proxy à 50 mètres
Rue de Namur, 78 - 1400 Nivelles - Tél : 067 / 22.25.22
News
Pluie d’étoiles au Waux-Hall
La Confrérie de la Tarte al Djote a remis ses
labels de qualité ce mardi 26 février. Une année
de rééquilibrage selon les résultats. Trônent
toujours en tête du palmarès, la Boulangerie
Tout au Beurre ainsi que l’Union. A souligner,
l’entrée de la Maison Jacquet non présente
l’année passée sur les marches des deux étoiles.
La cérémonie a démarré comme à son habitude par la remise d’un costume à Djan Djote.
C’est le service incendie de Nivelles qui lui a
offert cette année.
Palmarès :
Cinq Etoiles :
Boulangerie - Pâtisserie « Tout au Beurre »
Restaurant de « L’Union »
Quatre Etoiles :
Boulangerie « Le Chant du Pain »
« La Ferme du Croiseau »
Taverne Restaurant « Le Duc de Brabant »
Trois Etoiles :
Boulangerie « Au Petit Boulanger »
Traiteur « Philippe Chapelle »
Deux Etoiles :
La Djoterie Alain Blanchart
Taverne Restaurant les Arts
Boulangerie Pâtisserie Maison Jacquet
Une Etoile :
Café Le Focsal
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Ferme de La Panneterie
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Sport
23 mars : l’école nivelloise d’aïkido
souffle ses 25 bougies
Le 23 mars est une date à retenir. C’est celle de l’anniversaire de
l’école d’aïkido de Nivelles, « le Shi Zen dojo », qui fêtera ses vingtcinq ans d’existence.
Personne ne dira le contraire. Un anniversaire,
ça se fête. Parfois même, en grandes pompes.
Pour ses vingt-cinq ans d’existence, le club
d’aïkido nivellois, le « Shi Zen Dojo », a mis le
paquet. Ce dojo fait partie de l’AFA (Association francophone d’aïkido). La journée consacrée à cela se déroulera le samedi 23 mars.
Tout d’abord, deux invités de marque, Dany
Leclerre Shihan et François Warlet, 7ème dan,
viendront donner un stage spécial dans le dojo
(salle omnisports) de l’école fondamentale André Hecq (rue de Dinant, à Baulers), de 10h à
12h et de 14h30 à 16h30. À 17h30, réception à
l’hôtel de ville. Ensuite, dès 19h, débutera une
grande soirée de gala, repas compris, mais à
un autre endroit, c’est-à-dire à l’hôtel restaurant
« Le Relais du marquis », à Ittre. Le « Shi Zen
Dojo » de Nivelles, c’est d’abord une équipe de
sept personnes : Luc Patriarche (président et
professeur principal), Yvon Foucart (secrétaire
et assistant au dojo -1ère dan Aïkikaï), André
Charlier (trésorier), Fanny Wasterlain (assistante au dojo – 2ème dan Aïkikaï et administratrice), Monique Wattiaux (administratrice), ainsi
que deux autres assistants Etienne Balthazar
(1er dan Aïkikaï) et Laurent Vincicot (1er dan
Aïkikaï).
Luc Patriarche a commencé l’aïkido, il y a
exactement quarante ans. En 1989, il fréquenta
le Kimochi-Ryu club, au Collège Sainte-Gertrude de Nivelles. Sa carrière est marquée par
de belles récompenses et d’honneurs. En février 2012, il obtient le grade de 5ème dan national, sur recommandation de la commission
fédérale des grades. Il fut également élevé au
rang de 5ème dan Aïkikaï par le Hombu dojo
de Tokyo. Mais, les personnes de son entourage connaissent bien sa modestie. D’ailleurs,
voici sa philosophie : « Je représente bien peu
de choses, car ma vie ne sera que trop courte
pour oser prétendre effectuer une seule technique correctement. Continuellement, il faut se
remettre en question. Je me dois donc, pour
ma satisfaction personnelle, mais aussi en qualité d’enseignant, (et pour autant que ma santé
me le permette) de continuer à progresser sans
relâche dans cette voie ô combien difficile et
exigeante, mais tellement enrichissante ».
« Aï » signifie « harmonie et union ». « Ki » signifie « énergie » et « Do » veut dire « voie ». L’aïkido est désormais bien implanté et pratiqué à
l’échelle mondiale. C’est l’art de se défendre à
mains nues, face à un ou plusieurs adversaires
(armés ou non), en créant chez lui un déséquilibre et en cherchant à le neutraliser, mais sans
le blesser. Voici donc une technique qui révèle
bien des bons côtés, car elle est une pratique
d’auto-défense qui fait ses preuves. Mais plus
que ça, l’aïkido est avant tout une philosophie
de vie. Ses membres sont d’ailleurs en constante augmentation : plus de 2 millions de personnes pratiquent l’Aikido à travers le monde.
Infos :
Luc Patriarche 067/21 80 50
ou [email protected]
www.shizendojonivelles.be
Nivelles CApital
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Publireportage
Floramie : un peu, beaucoup… passionnément !
Pour fêter les 30 années du magasin Floramie, Alain Frère, gérant et artisan fleuriste depuis
1982, a décidé de partager sa passion au travers d’un concept pour le moins original : des
cours d’art floral avec la possibilité pour les participants de revenir au magasin créer euxmêmes le bouquet qu’ils souhaitent acheter… à prix réduit !
« Nous voulions voir nos 30 ans sous une ère un
peu novatrice » commence Alain Frère en désignant la salle qui sert au cours d’art floral, au
fond du magasin. Quelques tables, des fleurs
et surtout, une grande envie de partager trois
décennies d’expérience. « Nous avons pensé
que si nos clients venaient chez nous faire leur
propre bouquet, cela nous permettrait d’avoir
un autre contact avec eux. » Et à l’heure de la
multiplication des commandes internet et des
amis virtuels, on ne peut que saluer l’initiative.
« En tant que fleuristes, nous vivons la vie de
nos clients à travers les compositions et les
bouquets qu’ils achètent pour les différentes
occasions. Ils partagent avec nous des petits
bouts de leur vie, les naissances dans leurs
familles, les enterrements… Les cours nous
serviront à passer un moment plus ludique et
informel avec eux. »
Proposés en semaine ou le samedi, les cours
d’art floral se divisent en 3 modules (2H-1H-1H)
Nivelles CApital 1 8
Nivelles CApital
1 9
au terme desquels les participants retournent
avec leurs réalisations. Après avoir été formés,
à chacune de leur visite, ils pourront créer et
emballer eux-mêmes leur bouquet, forts de tout
ce qu’ils auront appris. « Nous leur offrirons la
qualité, l’accueil personnalisé et les conseils. »
Ceux qui suivront les cours deviendront des
clients privilégiés et auront 30% sur l’achat de
fleurs coupées. Ils pourront compléter leurs
créations en achetant les accessoires complémentaires à l’art floral (tissus, fils de cuivre, oasis, ...) qu’ils payeront au prix coutant, comme
tous les feuillages. « C’est un échange dans
l’échange, un principe basé sur la confiance. »
Pour les clients traditionnels, il y aura bien sûr
toujours la carte de fidélité.
les participants avec leurs plantes à rempoter
et leur expliquerons comment le faire pendant
le cours. Nous espérons aussi développer
l’offre de variétés de fleurs que nous avons. Si
la demande devient plus grande, nous pourrons
proposer un plus grand choix. »
Il est bon de savoir que le concept est amené à
évoluer en fonction des envies des clients.
« Nous sommes à l’écoute des suggestions.
Par exemple, nous avons une importante demande pour le rempotage. Nous ferons venir
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Pascal Rigot
Programme chargé pour l’échevin Ecolo
Notre nouvel échevin Ecolo a pris place à la
table de la majorité. Une première à Nivelles.
En charge du Développement durable, du
Tourisme, de la promotion de Nivelles, de l’associatif et de la participation citoyenne, Pascal
Rigot n’a pas tardé à relever ses manches et à
faire un tour du propriétaire. Portrait.
NC : Tous les Nivellois ne connaissent pas
encore Pascal Rigot. Comment êtes-vous
arrivé du cabinet d’Evelyne Huytebroeck à
votre siège au Conseil Commual ?
Pascal Rigot: Je suis au cabinet d’Evelyne Hytebroeck depuis 2009 mais engagé en politique
à Nivelles depuis bien plus longtemps. Je suis
arrivé à Nivelles, en 1997 tout à fait par hasard.
Nous cherchions avec mon épouse à nous installer à proximité d’une gare. Nous avons pas
Nivelles CApital 2 4
mal cherché. Venant de Bruxelles, nous sommes tombés sous le charme de Nivelles qui à
nos yeux, était un parfait équilibre de ce que
nous recherchions. Nous avons été accueillis
par un comité de quartier hyper sympathique.
Cela nous a beaucoup aidé à nous intégrer
dans cette ville que nous ne connaissions pas.
C’est probablement pour cela que j’attache de
l’importance aux comités de quartier. Ils sont
les premiers relais d’une nouvelle vie.
NC : Quels sont vos grands engagements
politiques ?
Pascal Rigot: Mon histoire politique a démarré
en 1999. J’ai toujours voulu être actif au sein de
la société. J’attache beaucoup d’importance
aux valeurs de justice sociale et de solidarité.
D’autre part, j’ai pris conscience, il y a long-
Rencontre
temps, que la planète épuise inéluctablement
ses ressources, qu’il fallait changer urgemment
notre mode de vie et organiser les choses
autrement. D’où mon engagement politique en
1999. J’ai eu pas mal d’activités. Je ne calcule
pas l’énergie que j’y ai mise, une énergie sans
cesse renouvelable, évidemment.
J’ai très vite voulu m’impliquer au niveau local.
Je pense que le local est très important, premièrement par la proximité, ce qui rend les actions très concrètes. Ensuite, parce qu’au niveau
local, nous avons des leviers effectifs grâce aux
compétences laissées aux communes.
Je pense notamment à l’aménagement du
territoire ou aux politiques énergétiques. Mais
il y en a beaucoup d’autres.
Je constate que depuis plusieurs années, il
y a de vrais changements au sein de nos sociétés. Il y a une véritable prise de conscience
des problèmes que nous rencontrons tous les
jours, par exemple, au niveau de l’alimentation,
de l’énergie, ou encore au niveau de la biodiversité. C’est encourageant.
NC : Décembre 2012. Ecolo prend place
pour la première fois au sein de la majorité.
Cela répond-il à vos attentes ?
Pascal Rigot: Tout est nouveau pour moi.
J’apprends le fonctionnement. J’apprends
l’outil communal. Pour réaliser ses projets, il
faut travailler avec les personnes qui nous entourent. Il faut d’abord apprendre à les connaître.
D’autre part, le climat du collège est excellent. Il y a une véritable volonté de travail et de
mise en oeuvre des projets présentés dans la
déclaration de politique générale. Celle-ci est
une véritable vision d’avenir. Notre projet est
ancré dans la modernité. Notre époque évolue.
Tant au niveau économique qu’environnemental. C’est également une période de changements importants pour Nivelles. La population
augmente. Les besoins structurels évoluent. Ils
ont un coût. Or les finances des communes ont
des limites. Nivelles accueille chaque année
de nouveaux habitants. l’alchimie doit prendre
entre les anciens et les nouveaux. Nivelles est
riche de ses traditions.
NC : Comment approchez-vous vos responsabilités au niveau du tourisme ?
Pascal Rigot: Je suis les dossiers du tourisme
depuis très longtemps. Et des idées, j’en ai
beaucoup. Je trouve que notre potentiel touristique pourrait être exploité beaucoup mieux.
Notre Centre ville est extraordinaire. La collégiale est magnifique. Il faut attirer plus de touristes à Nivelles. Et les niches touristiques sont
diverses.
S’il existe évidemment un tourisme de masse
traditionnel, il existe également un tourisme de
connaisseurs ou un tourisme vert - nous avons
une très belle ceinture verte qui peut être une
valeur ajoutée.
Je suis également impressionné par tout le travail des bénévoles - notamment les guides - à
Nivelles. J’ai fait mon premier marché de Noël
en tant qu’Echevin en décembre. Ces personnes
s’investissent et bossent sans compter pour
leur ville. Je suis admiratif.
D’autre part, j’estime que le commerce et le
tourisme doivent aller de paire. L’un doit s’appuyer sur l’autre. Et vice-versa. Je suis frappé
par les soucis du commerce du Centre ville. Le
tourisme peut aider le commerce. Il faut y réfléchir et peut-être trouver des actions cohérentes
entre les différents acteurs.
NC : OTN et Maison du Tourisme. Chacun
son job ?
Pascal Rigot: C’est un sujet qui a été évoqué
lors du dernier Conseil communal. L’opposition
en a également parlé. Ce n’est pas abstrait.
A l’analyse, je pense que le regroupement de
ces deux ASBL n’est pas la solution. Nous devons reconnaître que les décrets de 2004 qui
fixent les missions des Offices de Tourisme et
des Maisons de Tourisme sont d’une ambiquité
folle. Et on ne parle pas des syndicats d’initiatives à Nivelles.
A Nivelles, il faut s’appuyer sur la complémentarité. Il faut renforcer les bénévolats. Ce qui
n’empêche pas qu’il faut aller vers une professionnalisation du tourisme. Tout ne sera pas
facile. C’est un chantier auquel je dois m’attaquer sachant je n’ai jamais été pour la politique
de la table rase. N’oublions pas non plus que
la Maison du Tourisme doit travailler sur 5 communes et pas seulement sur Nivelles.
NC : Vous avez en charge la promotion de
Nivelles. Qui est Nivelles aujourd’hui ?
Pascal Rigot: C’est un chantier fabuleux. Il est
tranversal par essence. Il serait présomptueux
de ma part de dire que je sais ce qu’il faut faire
aujourd’hui. C’est une réflexion large qui va
prendre du temps. Nous sommes au carrefour
des traditions et de la modernité. Nous devons
travailler à notre identité. Celle-ci a beaucoup
évoluée en quelques années. Il faut répondre
aux questions de valorisation du patrimoine.
Il faut y inclure la politique du commerce, la
politique du tourisme. Il faut également y ajouter
la politique culturelle locale qui est on ne peut
plus riche. Et n’oublions pas le sport.
Il va falloir fédérer toutes ses valeurs.
NC : Vous êtes également Echevin de la participation. Une participation citoyenne estelle réaliste dans une ville comme Nivelles?
Pascal Rigot: C’est avant tout une vision du
monde. Nous vivons depuis longtemps une crise
de la démocratie représentative. La société est
de plus en plus dure.
Les fruits et légumes,
c’est tous les jours !
C’est pas lui qui va me
contredire ;-)
umes
Fruitslese7/t b0lé1g- 1400 Nivelles
el
Rue de Brux
Les problématiques sociétales sont récurrentes. Je pense à la crise alimentaire ou à la crise
financière.
Nous sommes dans un régime où des personnes sont élues et où elles doivent prendre
leurs responsabilités. Le dialogue est toujours
là, mais les citoyens donnent un mandat. Et on
sent que cette méthode de fonctionnement est
en crise. Il existe une méfiance de plus en plus
grande du citoyen envers le politique.
Je pense que la démocratie représentative ne
suffit plus. Il faut inventer autre chose de complémentaire. Je crois en la démocratie participative. De là, naissent les idées de dévelopement
des comités de quartiers et de relais participatifs. Il me semble qu’il faut quelque chose
de concret pour asseoir cette idée. Mon objectif est de créer une maison de la participation.
C’est un lieu concret dans lequel on pourrait informer les habitants. On pourrait par
exemple, y développer des guichets, soit
« énergie », soit « tourisme », ou autres encore.
Cela permettrait d’avoir des informations
directes et concrètes.
On pourrait également organiser des échanges
entre personnes ou associations. L’objectif est de
pouvoir y émettre des propositions concrètes.
Nous pourrions aussi accueillir les doléances
des différents collectifs qui existent dans toute
ville. A ce jour, nous étudions le projet. Nous
regardons ce qui se fait ailleurs. Un tel projet
existe à Louvain-la-Neuve ou France.
NC : Comment avez-vous rêvé Nivelles ?
Pascal Rigot: J’aimerais que Nivelles soit la
ville «durable». Je parle de développement durable, ce qui reste abstrait pour de nombreuses
personnes, je le reconnais. Mais cela change.
Doucement. Ne sommes-nous pas arrivés au
bout du chemin du tout pour la croissance et
du tout pour tout de suite ? L’être humain a du
mal à se projeter à 50 ans.
Une ville durable, est celle qui peut s’appuyer
par exemple, sur des traditions fortes qui lui
permettront de se projeter dans cet avenir.
Une ville durable, c’est aussi et surtout une ville
à identité forte. Le travail ne fait que commencer.
Luc Pieltain
Initiative
Le GACS de Nivelles : pensons et mangeons responsable !
Le GACS de Nivelles, Groupement d’Achats
Communs et Solidaires, c’est à ce jour une
quarantaine de familles qui, chaque semaine,
font le choix de consommer des produits de
qualité, respectueux des producteurs, de
l’environnement et de la planète.
Avoir une alimentation saine tout en soutenant
les producteurs locaux qui proposent un projet de développement durable, c’est la devise
du GACS de Nivelles, un groupement d’achats
communs créé en 2007. Concrètement, les
membres passent des commandes groupées
hebdomadaires (fruits, légumes, jus, confitures, fromages) et trimestrielles (viande, produits
d’entretien et lessive) auprès des producteurs
locaux sélectionnés. L’avantage? Les produits
sont frais, de saison, diversifiés et cultivés sans
(ou avec un minimum de) produits chimiques.
La proximité des producteurs et de leurs fermes ainsi que les achats groupés minimisent
les transports, les emballages et donc, l’impact
écologique de la consommation. L’offre est
complétée par des produits issus de l’agriculture durable (autres fruits, légumes, viande,
vins,...) et équitables, lorsqu’ils viennent du
Sud.
Aujourd’hui, le GACS passe près de 2000 commandes individuelles par an, privilégiant ainsi
les «circuits courts» de commercialisation et
les prix équitables, tant pour les producteurs
que pour les consommateurs. Par leur démarche qui leur garantit une certaine autonomie
face à la grande distribution, les membres du
GACS apportent à leur échelle une contribution
à la relocalisation de l’économie, tout en encourageant la production locale d’aliments et
la valorisation du métier d’agriculteur.
organisation. Les membres, en fonction de
leurs disponibilités personnelles et de leurs envies (chacun son rythme, c’est la philosophie
du GACS !), peuvent choisir de prendre part à
une (ou plusieurs) activité(s) au choix pendant
l’année : centralisation des commandes, prospection de nouveaux producteurs, repas, groupes de travail, visites, rencontres… ou encore
ateliers pédagogiques (production de jus de
pommes, de choucroute, jardinage,...) pendant
lesquels les participants font connaissance et
vont à la rencontre des producteurs et de leurs
produits.
Au GACS, pas de chef ni de responsable.
« Chacun peut s’exprimer, partager ses opinions et prendre part aux décisions. Notre
mode de fonctionnement, pour le moins original, est basé la sociocratie », explique Philippe
Drouillon, membre actif du GACS. La sociocratie est un mode de prise de décision qui vise
la co-responsabilisation des acteurs, et la mise
au pouvoir de l’intelligence collective au service du succès de l’organisation. C’est pendant
les réunions qui ont lieu tous les 3 mois que
les membres du GACS font le point, identifient
de nouveaux producteurs et partagent leurs
productions, découvertes, connaissances et
expériences.
Melissa Collignon
Un modèle actif et participatif
Au-delà de l’acte de consommation responsable, être membre du GACS c’est aussi s’impliquer activement au bon déroulement de son
Pour en savoir plus :
http://gacnivelles.over-blog.com
[email protected] – tel : 0475.85.86.06
Nivelles CApital
2 7
Initiative
Objectif : le monde
Parcourir et découvrir le monde à vélo: un idéal ou une utopie selon les sensibilités. C’est pourtant
l’objectif réaliste que s’est fixé le Nivellois Quentin Jossen et ses deux acolytes. Découverte d’une
aventure humaine et sociale hors du commun.
NC : Qu’est-ce qui vous pousse à faire ce
voyage Quentin?
QJ : Nos objectifs sont assez rudimentaires:
rencontrer les cultures, écouter des histoires,
découvrir les beautés de notre planète, dépasser nos limites, découvrir d’autres manières de
vivre, réfléchir à ce que chacun est capable de
faire, pour soi et pour les autres. Cela forme un
tout qui vous pousse à vous découvrir.
NC : Un tour du monde qui ne s’improvise
pas...
QJ : En effet, cela fait quelques années que
l’idée germait dans nos têtes et nous avons décidé de franchir le cap. Notre départ est prévu
pour novembre 2013 et ce rêve approche à
grands pas. « Nous », c’est Quentin Jossen,
Mélik Khiari et Yvan Paquot. Nous comptons
parcourir 30.000 km à travers l’Europe, l’AfriNivelles CApital 2 8
que, l’Amérique du sud et l’Asie. Nom de code
de l’opération : Bike To Meet You !
NC : Vous connaissez déjà votre programme
ou l’improvisation va vous guider?
QJ : Un peu des deux même si nous connaissons déjà les pays par lesquels nous allons
passer. Au programme, environ 80km par jour
pour un parcours d’un an. Notre départ se fera
en Belgique avant de rejoindre l’Afrique via la
France et l’Espagne. La Mauritanie, le Sénégal
n’auront plus de secrets pour nous avant de
nous envoler vers l’Amérique Latine avec des
pays comme l’Argentine ou la Bolivie et le Pérou. Enfin, direction Singapour pour parcourir
l’Asie avant de rejoindre notre continent par la
Turquie et les Balkans. Et la boucle sera bouclée !
Ce qui donne : 2.000 km en Europe,
6.500 km en Afrique,
10.000 km en Amérique du sud,
3.500 km en Asie du sud-est,
8.000 km en Asie centrale et Europe
NC : Au-delà de l’effort sportif, vous avez
envie de donner un sens social à vos coups
de pédale...
QJ : Effectivement, nous avons aussi envie de
joindre l’utile l’agréable. Nous voulions soutenir
une association dont nous nous sentions prêts
à relayer la cause à travers le monde. Le thème traité par le CNCD-11.11.11 cette année,
c’est le droit à l’alimentation, qui nous semble
être une préoccupation importante aux quatre
coins de la planète. Nous aimerions récolter
pour eux autant d’euros que de kilomètres
parcourrus: Objectif 30.000€. Bien sûr, rouler
au profit d’une association, c’est donner une
dimension supplémentaire au projet, qui peut
donner de la motivation lorsque les coups de
pédale se feront douloureux. De plus, soutenir
le CNCD-11.11.11, ce n’est pas seulement leur
ramener une enveloppe, c’est aussi contribuer
à la diffusion de leur action. Pour ce faire, durant le voyage nous irons à la rencontre de trois
partenaires du sud du CNCD-11.11.11: un au
Sénégal, un au Pérou et en au Viêt-Nam.
NC : Vous êtes déjà dans les starting blocks?
QJ : Le compte à rebours est bel et bien lancé, départ prévu dans un peu plus de 8 mois.
D’ici-là, le planning est chargé : rechercher
des sponsors pour couvrir les frais du voyage
(billets d’avion, vélos, matériel de réparation,
...), solliciter les parrainages pour le soutien du
CNCD-11.11.11, faire le tour des ambassades
pour les visas et se renseigner sur la situation
politique des pays que nous traverserons, apprendre l’espagnol, ateliers démontage/remontage de vélo, ... (et aussi terminer mon doctorat ).
Date de départ: 16 novembre 2013. Nos amis
et les parrains du projet seront invités à rouler
la première étape avec nous et on fera la fête à
l’arrivée. Nous tiendrons les parrains informés
de l’évolution des préparatifs via le «Carnet de
voyage» sur notre site www.biketomeetyou.be.
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sont passées »
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Musique
Le Woody WoodStock.
Un festival hors norme
Né de l’initiative de l’équipe d’animateurs du
Patro Jean-Paul II, le Woody comme on l’appelle en terres aclotes, est bien plus qu’une
simple proposition de concerts gratuits.
Le Woody, c’est avant tout un état d’esprit et
des valeurs de vie, et sur ce point, ses initiateurs y sont très attachés.
Le Woody Woodstock propose toutes sortes
d’activités de découverte, d’initiation et d’animation. Spectacles de saltimbanques, artistes
de rue, jongleurs, danseurs, grapheurs, cracheurs de feu amènent une ambiance festive et
pluridisciplinaire accessible à tous.
Le festival se plaît également à mettre en avant
des valeurs citoyennes au travers du village
associatif. Nombre de stands y prennent place
afin d’y présenter différentes thématiques :
Développement durable - handicap, accueil en
milieu ouvert...
Enfin, le Woody, c’est de
la très bonne musique et des groupes de qualité à découvrir à deux pas de notre Grand
Place. Alors, soyez de la partie !
Woody Woodstock : 27 avril 2013
Parking du Mont St Roch
Programmation :
LADYLO (Indie Rock - Bruxelles
Composition : Clement Pieters, Félix Pieters,
Vivian Lurquin, Aurelien Defrenne, Hugo Larisch
ABEL CAINE (Pop-Electro – Bruxelles)
Greg & Micka Chainis, Milann Lafontaine, Gorgo
et Pierrick Destrebecq
MERIDIANS
(Alternative Pop Rock – Bruxelles)
Benoit Leclercq, Quentin Joris & Julien Joris
JANE DOE & THE BLACK BOURGEOISES
(Rock pop glam – Bruxelles)
Composition : Jane Doe, Antoine Canon, Dave
Kostman, Dan Diaz, T.Vonskam, Cookie G,
Cherry B., Gladys
LAS CARAS (Ska punk - Liège)
Composition : Luca, Flag, Martin, Raph, Salim,
Thierry, Vince
LES MALES PROPRES
(Rock Alternatif/ska - Bruxelles)
Composition : Gaspard Manesse, Gaspard
Ledune, Thibault Hercod, Yagiz Ekren, Yannick
Mignolet
COLT (Pop Rock - Nivelles)
MARTY AND THE MAGIC MINDS
(Pop Rock Jazz Blues - Ittre)
GRIZZLY GARDEN (Electro-rock – Braine
l’Alleud) - Gagnant du Tremplin
THE SLOW DRUGS (Rock – Nivelles)
Gagnant du Tremplin
Musique
Woody Woodstock
va électriser Nivelles
Nivelles CApital 3 6
Abel Caine
Tête d’affiche électrisante
Greg Chainis, également
professeur de basse
aux Classes du Rock
Les twins Chainis et leur nouveau band seront à
Nivelles le 27 avril. «Abel Caine» y prend d’assaut la tête d’affiche du Woody Woodstock. La
soirée promet d’être électrisante.
NC : Comment est né le projet Abel Caine ?
Greg Chainis : Je viens de la région de la Louvière. J’ai débuté avec un groupe de rock progressif. J’avais 17 ans. Trois années plus tard,
nous avons rencontré le bassiste Loris Stils. Je dis « nous » car j’ai toujours joué avec mon
frère jumeau, Micka - Nous avons à ce moment
créé un groupe de funk. Aujourd’hui encore,
nous travaillons sur un projet de ce type (Six
Ways to Funk). Nous sommes rentrés dans le
mileu petit à petit avec des participations à des
projets comme celui de Jennifer Scavuzzo plus
pop rock. On a aussi fait pas mal de tournées
en Belgique et à l’étranger.
2012. Nous avions envie, mon frère et moi, de
créer notre propre projet. Abel Caine est né.
Nous avons beaucoup réfléchi à l’univers que
nous voulions développer. Nous avons voyagé
dans pas mal de sphères musicales. Il fallait
canaliser. Nous avions envie de faire de la pop.
Et on aime beaucoup les touches électro.
NC : Pourquoi Abel Caine ?
Greg Chainis : Notre nom est une référence à
Abel et Cain de la Bilble. J’espère que l’on ne
finira pas comme eux.
NC : On retrouve un grosse tendance funk
dans votre EP ?
Greg Chainis : Oui, on s’est rendu compte
qu’elle nous suit. On a beau vouloir s’en éloigner, elle revient à chaque fois. Nos morceaux
sont basés sur pas mal de rifs de basse. Peutêtre que cela influence Mais il y a pas mal
d’autres sons aussi. C’était pas voulu en tout cas.
NC : Comment Abel Caine a t-il
construit son EP ?
Greg Chainis : Nous travaillons les morceaux
chacun de notre côté. Et nous essayons d’aller
le plus loin possible dans la composition.
Au final, probablement, parce qu’on est jumeaux, les morceaux sont très cohérents et se
complètent bien. Nous travaillons avec Stephan
Legrand qui est auteur. On lui envoie les mélodies et lui travaille à l’écriture. Ensuite, les autres
membres du groupe (Milann Lafontaine - Gorgo et
Pierrick Destrebecq) y mettent leur patte.
NC : Un EP est sorti sur iTunes le 1er février
2013. L’album suit-il ?
Greg Chainis : Il sera prêt en septembre ou
octobre 2013. Notre challenge actuel, c’est la
scène. On entre en résidence pour élaborer
le travail scénique en avril. Ce projet est clairement fait pour être joué sur scène. C’est ce
qu’on aime faire.
NC : Quelles sont les prochaines scènes ?
Greg Chainis : Nous serons au Woody
WoodStock le 27 avril. Les Francofolies sont
confirmées. L’Automn Rock Festival également.
On attend la confirmation pour pas mal d’autres
événements. Ça a l’air de bien se présenter.
Luc Pieltain
abelcaine.com
facebook.abelcaine
Nivelles CApital
3 7
Culture
A deux pas de Nivelles ...
L’art contemporain sous les projecteurs
Que vous soyez amateurs d’art contemporain ou curieux de le découvrir, ceci est pour
vous ! Projet de sensibilisation à l’art contemporain initié par les Centres culturels de
Braine-l’Alleud, Genappe et Rixensart, coordonné par le Centre culturel du Brabant wallon,
Clair Obscur est un véritable plongeon dans le monde de l’art actuel. Expo, conférences et
ateliers, il y en a pour tous les goûts… et toutes les couleurs !
Voyager vers une destination inconnue, expérimenter la transformation de l’espace par des
jeux de lumières et de couleurs, s’immerger dans le marché de l’art… Le programme 2013
de Clair Obscur n’attend plus que vous :
Expo - « Fragment #3 : Lightfield
Passages de lumières »
Véronique de Barquin, Noémie Goldberg
et Marc Godts explorent les facettes de la
lumière à travers filtres, passages et trajets de lumière, dans une exposition qui se
tiendra à l’École des Arts de Braine-l’Alleud du 8 mars au 1er juin 2013.
Au travers de cette expo qui fait partie d’un
processus artistique autour de la transparence entamé il y a quelques années, les
artistes posent des actes sur les lumières naturelles et artificielles, ainsi que sur
l’architecture du lieu. Le samedi 27 avril,
atelier animé par Véronique de Barquin qui
expliquera sa démarche artistique (de 14 à
20h, 15 euros ).
Workshop uniquement sur réservation à
l’École des arts de Braine-l’Alleud
02 384 61 03 - [email protected]
Blind Trip - Destination inconnue !
Le samedi 23 mars 2013, Clair Obscur
vous emmène vers une expérience inédite, un voyage à l’aveugle et sans boussole, avec pour seul guide votre curiosité et
votre confiance en vous.Ce mystérieux trip
vous tente? Vous désirez en savoir plus sur
l’itinéraire ? Sachez que rien ne vous sera
dévoilé entièrement ! Jusqu’au jour J, des
indices seront toutefois laissés sur les pages Facebook et les sites partenaires de
Clair Obscur.
De 8h45 à 18h - adulte : 45 euros / – de 18
ans : 20 euros +65 ans, demandeur d’emploi, étudiant : 40 euros.
Uniquement sur réservation au CCBW
010 616 606 - [email protected]
Conférence à Rixensart et visites guidées à Bruxelles.
Que le marché de l’art fascine ou suscite le
mépris, il n’en est pas moins un acteur incontournable de l’art contemporain. Plongez dans son univers le samedi 20 avril
2013 lors d’une conférence de Christophe
Veys. Professeur d’histoire de l’art, collectionneur et galeriste, il dressera un portrait
de cet art aux mille facettes et vous donnera des clefs de lecture pour découvrir
différemment la collection privée Vanhaerents et la foire Art Brussels, qui seront à
visiter lors de cette journée thématique.
Infos et réservations (obligatoires) :
CCBW : 010/ 616 606 - [email protected]
Des activités dans les écoles
Malette pédagogique, formation ou spectacle, l’art contemporain s’invite aussi
dans les écoles. Pour faire découvrir les
langages de la création actuelle par le biais
d’activités attractives conçues pour les enfants de 4 à 12 ans, Clair Obscur propose
tout au long de l’année une belle palette
d’outils et d’activités.
Plus d’infos : www.ccbw.be
[email protected]
Melissa Colignon
Himmelweg
au Waux-Hall
par Magaly Swaelens
Du 25 mars au 30 avril, le centre culturel de Nivelles propose quatre événements. Deux projections de
films, un concert, ainsi qu’une fascinante pièce de
théâtre bien attendue de nombreux, « Himmelweg ».
Le prochain rendez-vous proposé par le Centre
culturel, se tiendra le 29 mars. Il est question
de faire découvrir au public la belle région du
sud-est de la France qu’est la Provence, dans
le cadre du cycle « Exploration du Monde ».
Le documentaire de Jean-Jacques Horem, intitulé « La Provence, de pierre et d’eau », sera
donc projeté au Waux-Hall le vendredi 29 mars,
à 18h30. Le 15 avril, autre projection, à 20h,
mais tout autre genre et cette fois dans le cadre
du cycle « Les sept péchés capitaux » : Las
Vegas 21, un film de Robert Luketic, datant de
2008 et avec entre autres Kevin Spacey, Jim
Sturgess, Kate Bosworth et Laurence Fishburne.
On parle théâtre, à présent, avec un moment
fort de la saison culturelle.
Un épisode à la fois intrigant, à la fois fascinant.
Le spectacle « Himmelweg » qui a tourné au
Festival d’Avignon, sera joué le 18 avril, à 20h.
Pour écrire ce texte fort et surprenant, l’auteur
Juan Mayorga s’est largement inspiré du camp
de concentration « modèle » de Theresienstadt.
Non au lancer de tomates
sur les artistes !!!!
gumes
Fruitelslese7/t b0lé1 - 1400 Nivelles
ux
Rue de Br
La mise en scène est signée Jasmina Douieb et
la traduction Yves Lebeau. « Himmelweg », qui
signifie « le chemin du ciel », est une pièce d’une
heure et demie, interprétée par Jean-Marc Delhausse, Luc Van Grunderbeeck et Michelangelo
Marchese. En l’occurrence, c’est également
une œuvre de la compagnie « Entre chiens et
loups », en co-production avec l’Atelier 210 et en
partenariat avec Le Rideau de Bruxelles.
En résumé, voici le descriptif qu’on nous propose : «L’homme saturé d’images, ne voit plus.
Car il y a ce que l’on voit, ce que l’on décide
de voir et ce que l’on ne voit plus. L’histoire se
déroule dans un camp de concentration, non
loin de Berlin et durant la Seconde Guerre mondiale. Un vieil homme se balade, un couple assis sur un banc profite du moment, des enfants
jouent…Là, le sourire de bienvenue du maire de
ce charmant ghetto juif. Et si tout ceci n’existait pas ? Si tout ceci n’était que pure mise en
scène ? Car, au fait, un ex-délégué de la CroixRouge revient après la guerre sur les lieux où
les souffrances sont toujours visibles».
Enfin, le Centre culturel invite les amateurs de
musique classique, le 25 avril, à 20h. Pour le
concert « Musiques pour un salon romantique »,
qui est par contre un rendez-vous hors-abonnement. Le lieu du spectacle n’est pas encore
déterminé. Mieux vaut alors se renseigner d’icilà, de votre côté. Bref, les musiciens sont Nathalie Houtman, Laura Pok et Raphaël Collignon.
Les deux premières joueront d’un instrument
bien particulier: le csakan. Il s’agit d’une variété
hongroise de flûte à bec, munie de huit trous.
Quant au troisième, il usera du piano forte.
Infos : Centre culturel de Nivelles 067 88 22 77
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Dossier Seneffe
par Magaly Swaelens
Seneffe
Seneffe cache bien ses fastes richesses
Touristiquement, Seneffe est un must ! Mais, au potentiel encore trop peu exploité Qui pourrait résister
à l’éclat de ses cinq villages, au charme de son trésor hydraulique, à ses authentiques châteaux ?
Seneffe, Arquennes, Familleureux, Feluy et Petit Roeulx-lez-Nivelles. Voilà les cinq charmants
villages qui constituent l’entité de Seneffe,
région rurale à moins de vingt kilomètres de
Nivelles, et qui possède plus d’une corde à
son arc. Arquennes vit de la beauté de ses anciennes carrières, la renommée de sa chapelle
Notre-Dame de Bon conseil, son église Sainte
Vierge et son Pont tournant. Ce dernier est le
seul à avoir subsisté, parmi ceux qui ont été
reconstruits après mai 1940
C’est à Feluy, derrière son château, que le
Tremblement prend sa source. « Coule toujours
Coulette ». Cela ne vous dit rien ? Il s’agit d’une
plaque commémorative en dessous de laquelle
on trouve de l’eau parfois potable. Feluy est
marqué par son château fort datant du 14ème
siècle et devenu endroit de plaisance. À ne pas
rater : l’ancien moulin à eau, sur la Place du
Trichon. Quant au village, certes dortoir, de Familleureux, il ne peut que jouir de l’attractivité
de son château. Comme on nous l’explique à
l’Office du tourisme, Seneffe dispose d’un port
de plaisance depuis 2008. Les lieux permettent l’amarrage de bateaux durant plusieurs
jours ou en permanence, et comprennent des
infrastructures du relais nautique, des lavoirs,
des locaux et un service d’accueil des bateaux.
On ne quitte pas le monde nautique : le Pont de
l’Origine, dans les parages, est à découvrir
Et, ceux qui sont à la recherche de bijoux architecturaux se rendront alors à l’église Saint Cyr
et Julitte. Le saviez-vous ? Le très impressionnant château de Seneffe a des frères. Seneffe
est réputé pour le nombre de châteaux recensés sur son territoire : Feluy, Trichon, de La
Roch, Scaron, de Miremont (Feluy), Scrawelle,
de Familleureux et de Buisseret. Même si, malheureusement, certains sont interdits aux visi-
teurs, étant des demeures de particuliers. Eh
oui, à Seneffe, les atouts touristiques ne sont
pas assez valorisés et relayés. La commune est
également parsemée de sites naturels remarquables et d’un centre nautique à la Marlette.
Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si le nom
Seneffe signifierait, d’après les recherches,
« voie d’eau ». Et c’est peu dire si cette commune peut se targuer de son patrimoine hydraulique. L’eau est l’élément présent dans
chaque vue paysagère de la région de Seneffe,
région traversée par l’ancien canal CharleroiBruxelles, d’une part, par le nouveau canal,
d’autre part.
L'Ô de Samme
Lunch 3 services - 19 e
Cuisine Française
Rue de la Samme 24
7 1 8 1 A rq u e n n e s
067/85.58.47
w w w. l o d e s a m m e . b e
L’Office du tourisme de Seneffe et la commune proposent de parcourir l’entité et de découvrir ses paysages et richesses, par le biais de promenades nature.
Enfin, terminons avec un produit de bouche local et
une question aux amateurs de gastronomie. Connaissez-vous la Penneffoise ? Pour la petite histoire, il
s’agit d’une bière, brassée dans l’établissement Ultra
(Écaussinnes) et confectionnée à partir de prunes pennoises. En effet, depuis plus de trente ans, Seneffe est
jumelée avec le canton français de Penne-d’Agenais,
dans le département de Lot-et-Garonne.
Infos : Office du tourisme de Seneffe
Place Penne d’Agenais, 13
Tél : 064 52 17 89
Bienvenue à la Marlette
Qui dit Seneffe, dit forcément canal, eau et
bateaux. C’est juste. Mais, il y a aussi la possibilité de profiter de certains plans d’eau. A
l’image de la rue de la Marlette, où se trouve un
lieu fort fréquenté par de nombreux touristes,
ou du moins devant lequel s’arrêtent souvent
des cars chargés d’élèves ou d’équipes sportives professionnelles. Nous sommes au centre
ADEPS et nautique de la Marlette, implanté
dans un cadre verdoyant et paisible. Doté
d’installations et de matériel de haut niveau,
qu’il s’agisse de salles intérieures, de terrains
extérieurs ou d’infrastructures dédiées à la
pratique de la voile ou d’autres activités nautiques, la Marlette reçoit autant les enfants, que
les adultes et les seniors. L’endroit est habitué
à accueillir divers clubs et fédérations et propose, via ses formules d’hébergement, des stages
de vacances, des séjours et l’organisation de
journées sportives. Il dispose d’une centaine
de lits, de chambres et sanitaires adaptés aux
âges et durées de chaque visite. De plus, son
offre, en matière de disciplines est plus que colossale. Ainsi, le visiteur a le choix entre : voile,
kayak, planche à voile, aviron, trampoline, escalade, badminton, football, tennis, tir à l’arc,
VTT, course d’orientation, basket-ball…Un panel d’activités donc, destinées à tous les âges
et tous les goûts !
Infos : La Marlette, rue de la Marlette 3
Tél : 064/ 54 90 89
Trouvez notre dépôt
le plus proche de chez vous
www.ladjoterie.be
Avenue Triquet 1B
7180 Seneffe
Tél. 064/55 45 49
week-end portes ouvertes
samedi 23 mars de 9 à 19h - dimanche 24 mars de 9 à 18h30
et lundi 25 mars de 9 à 18h
-20% sur les plantes, arbustes, conifères nains,
plantes grimpantes, vivaces, arbres fruitiers, rosiers,...
-10% sur tous les articles en magasin
samedi et dimanche de 10 à 16h: analyse gratuite
de votre échantillon de terre
Recevez un narcisse en pot (à partir de 10euros d’achat)
Les jardins d’Arquennes
Rue de la Samme, 30 - 7181 Arquennes
Tél.067.87.77.78 - Fax.067.87.91.60
Horaire d’été : Le lundi 13h à 18h, du mardi au jeudi de 9h à 18h,
vendredi et samedi de 9h à 18h30 et le dimanche de 9h à 13h.
Amarré au bord de la Samme, Le Petit Baigneur régale et ravit les papilles. Se baladant sur deux tableaux gourmands,
la Brasserie joue la carte des valeurs sûres et des classiques incontournables tandis que le Restaurant offre aux plus
beaux produits les préparations goûteuses et raffinées du chef.
BRASSERIE et RESTAURANT
A 15 minutes de Nivelles - Rue du Rivage 11 à 7180 Seneffe (suivre direction «La Marlette) - Tél.064/45 83 58 - www.petitbaigneur.be
Dossier Seneffe
Le Domaine du château de Seneffe, son parc et ses expositions
Jardins, expositions en plein air, volière, château, orangerie…
Il y a beaucoup à visiter au Domaine du château de Seneffe.
© Alain Breyer Certains ont déjà eu l’occasion de passer un moment
au château de Seneffe,
souvent voué à des mariages, des conférences, des
séances photos…
Avant tout, il est implanté
dans un domaine majestueux qui comprend un
parc à l’anglaise et un jardin français. Le château,
de style néoclassique, ancienne propriété du comte
et homme d’affaires Julien
Depestre, date du XVIIIème
siècle et abrite une des plus
belles collections d’orfèvrerie du pays.
© J-F Meys
Le parc du Domaine du château de Seneffe,
un des neuf de Wallonie classés au patrimoine
exceptionnel, s’étend sur une superficie de 22
hectares et est l’endroit idéal pour s’adonner
à des promenades paisibles. Chaque année,
l’atypique beauté architecturale des lieux et
la quiétude qu’inspirent ses espaces verts
sont mis en valeur grâce à la venue d’artistes
Votre magasin Vert de Toi
vous propose un service
complet en art floral.
Toutes circonstances, fêtes
familiales, mariages,
compositions mortuaires,...
pour particuliers et entreprises.
Magasin ouvert:
Vendredi de 10h à 20h, samedi
de 9h à 19h et dimanche de 9h à
13h30 + fêtes et jours fériés.
Commandes toujours possibles
au 0474/79 84 11
et à des événements en plein air.
Ainsi, du 5 mai au 11 novembre,
il accueillera l’exposition intitulée
« L’homme et la nature », et donc
sept sculpteurs belges : Mady
Andrien, Philippe Baran, Anton
Cotteleer, Caroline Coonen, Ann
Deman, Maggy Jacot et William
Sweetlove. Le parc nous offre
aussi de belles variétés végétales
(jacinthes des bois au printemps,
tilleuls, plantes aquatiques…),
animales (oiseaux, batraciens…),
et le charme de petites cascades.
À l’arrière du château, un bassin
est orné d’un jet d’eau de quinze
mètres de haut. Les lieux abritent
aussi un théâtre, une volière, une
orangerie, une salle de séminaire, ainsi qu’un étang
et une île « romantique » reliés par un pont…
Infos
Domaine du château de Seneffe, rue Lucien
Plasman 7-9. Tél : 064/ 55 69 13. Le Parc est
ouvert tous les jours, sauf en cas d’intempéries,
de 8h à 20h (d’avril à septembre) et de 8h à 16h
(d’octobre à mars). Accès gratuit.
L’entreprise Vert de Toi
Etude-Création-Entretien
Plantations, tailles, élagages,abattages,...
Clôtures, terrasses en bois, Jeux ,...
A votre service pour créer ou réaménager votre jardin
Contact: 0474/79 84 11 [email protected]
Publireportage
Nivelles CApital 4 6
Un voyage culinaire,
direction: le 7ème sens !
S’il est un lieu connu des nivellois pour l’organisation de banquets et mariages, avec sa
splendide infrastructure, sa situation idéale et son remarquable service traiteur, c’est bien
la Ferme du Bois d’Arpes. Une maison de renommée qui ne faillit pas à sa réputation depuis
maintenant 23 ans. Ce que le public sait moins, c’est que dans ce cadre bucolique et
enchanteur, se situe aussi un restaurant remarquable au charme indéniable et à l’ambiance
cosy, qui propose une cuisine française inventive, raffinée et à prix doux.
Du prestige et du plaisir dans l’assiette
Qu’ils se le disent, au 7ème sens, les fins
palais passeront un moment gastronomique inoubliable. La carte, savamment
élaborée, est aussi variée qu’originale.
En première assiette, le restaurant vous
propose par exemple le chaud-froid de
lotte en carpaccio et tartare de gambas
ou bien encore les ris de veau en croûte
de praliné/pistache. En deuxième assiette,
les amateurs de poisson dégusteront par
exemple le pavé de thon rouge snacké à
la fleur de sel de Guérande accompagné
de sa pomme macaire aux oeufs de truite.
Les amateurs de viande opteront plutôt
pour le croustillant de filet d’agneau aux
graines de pavot ou craqueront pour les
aiguillettes de magret de canard laqué au
miel d’acacia et romarin. Parmi les douceurs proposées à la carte, mentionnons
les beignets de truffe au chocolat noir et
Baileys ou encore le tartare de pomme et
kiwi à la Citronnelle.
Des menus alliant saveurs et découvertes
« Nous avons un menu à un prix défiant
toute concurrence. Je souhaite faire plaisir
à nos clients en leur proposant des produits
frais, de qualité supérieure et tout à fait accessibles », explique le propriétaire Benoit
Bertrand. Le menu plaisir, par exemple, au
prix de 30 euros (boissons non comprises)
vous fait découvrir actuellement l’alliance
de sole et saumon d’Ecosse, accompagnée de ses blonds de Paris, poêlée de
courgettes sauce hollandaise. En plat de
résistance un dos de cabillaud en croûte
d’herbes, haricots verts et jeunes carottes
vous séduiront, tout comme la tartelette au
citron meringuée, crème de fève tonka en
dessert. Par ailleurs, un businesslunch de
Nivelles CApital
4 7
haut vol vous est proposé en semaine au
prix de 22 euros (entrée, plat) et 25 euros
(entrée, plat, dessert).
En pénétrant dans le restaurant, se dresse
une étonnante cave à vin apparente dans
laquelle le client est invité à se rendre, s’il
le souhaite, afin de faire le choix de la bouteille qu’il désire pour accompagner ses
mets. Là encore, le restaurant le 7ème
sens propose une myriade de breuvages
qui raviront les papilles des plus curieux,
dans un ordre de prix tout à fait honorable.
Une carte qui voyage à travers les régions
vinicoles françaises les plus célèbres, du
Languedoc-Roussillon à l’Alsace ou la Loire, en passant par les Costières de Nîmes,
Côtes du Rhône et de Provence, sans
oublier les grands classiques Bordeaux,
Bourgogne ainsi que quelques somptueux
cépages italiens et espagnols.
Une réorganisation de la cuisine et de
la salle !
Jacques, le chef de cuisine du 7ème sens,
est un jeune homme passionné par son
métier, cherchant sans cesse des plats
innovants, en variant les produits et les
saveurs. « L’une de ses forces est de pouvoir marier des produits européens et asiatiques, en apportant une touche originale à
chaque plat ». Cherchant continuellement
à s’améliorer, Jacques part prochainement
faire un stage dans une maison étoilée en
France. « C’est tout à son honneur de vouloir perfectionner toujours plus sa technique et son savoir-faire aux fourneaux »,
précise Benoit Bertrand.
En arrivant dans le restaurant, le client
sera accueilli par Mike, le nouveau maître
d’hôtel, qui est un véritable relais entre la
cuisine et le client. Mike se fait un point
d’honneur à soigner chaque gastronome
aux petits oignons, du début à la fin du
repas !.
Nivelles CApital 4 8
Une déco cosy et chaleureuse
Il y a quelques mois, le restaurant a bénéficié d’un lifting complet réussissant à marier avec beaucoup de goût l’authenticité
de l’ancienne bâtisse et une décoration
contemporaine
« Nous avons voulu conserver l’authenticité du lieu, en gardant bien évidemment les
poutres apparentes, les boiseries et voussettes, en offrant aux clients une décoration évolutive en fonction des saisons ».
Le beau temps arrivant, les clients pourront jouir de la magnifique terrasse en
pierre bleue, dans un calme champêtre et
complètement à l’abri du vent, avec une
imprenable vue sur la campagne avoisinante.
Que ce soit pour un tête à tête en amoureux, un moment en famille ou un repas
d’affaire, le restaurant le 7ème sens mérite
à plus d’un titre d’être (re-) découvert.
Il deviendra rapidement une adresse incontournable des plus fidèles épicuriens !
La Ferme du Bois d’Arpes
Chaussée de Mons 30 - 1400 Nivelles
tél. +32(0)67 21 16 37
fax +32(0)67 84 07 84
[email protected]
www.boisdarpes.be
(ndlr: Le site sera actualisé tout prochainement afin d’offrir à la clientèle un idée
précise du restaurant, tant au niveau des
photos que de la description de la carte et
des menus )
Sandwich frais du jour
Shop ouvert de 7 à 20h
Dimanche 8 à 20h - Samedi fermé
Vente et réparation tous pneus
Chaussée de Nivelles, 191 - 7181 Arquennes
Tél : 067/87.77.67 - Fax : 067/87.82.10
Complices de votre relation
2 adresses à votre service :
Nivelles : 57 chée de Namur 067/557016
Seneffe : 6 rue Rouge Croix 064/459194 ( à coté du carrefour Market )
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son style
GARAGE TH. HERION
Rue du Bon Conseil, 76
7181 Arquennes
067/87 70 53
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Dossier Seneffe
Le meilleur du Cover à Seneffe
La quatrième édition du Cover Festival de
Seneffe, c’est pour bientôt! Elle se déroulera le week-end du 17 et 18 mai. En résumé :
2 jours de fête et une dizaine de groupes, de
genres différents. A découvrir.
Amateurs de bons groupes de reprises musicales,
ne programmez rien d’autre que le Cover Festival,
le week-end du 17 et 18 mai prochain. Il s’agit de
la quatrième édition, déjà, qui se déroulera sur la
Place Penne d’Agenais, à Seneffe.
Pour l’occasion, deux scènes seront installées,
une à l’intérieur et l’autre, bien entendu, à l’extérieur. Et ce qu’il y a de bien sur ce site, c’est l’offre
en matière de parking. Il faut dire que l’événement
a une bonne réputation en matière de qualité et
attire pas mal de monde. L’édition précédente
fut un réel succès. On avait d’ailleurs pu voir sur
les planches l’infatigable BJ Scott et aussi Sirius
Plan. Cette année, c’est donc reparti pour deux
jours de pure fête et de musique, avec une soirée
- le vendredi - consacrée exclusivement à la chanson française. Soirée durant laquelle on aura droit
à du Jean-Jacques Goldman par un band français
de six membres dont le chanteur ressemble
solidement au protagoniste. En tout cas, la coupe de cheveux du moins. Le nom du groupe est
Goldmen. Les textes de Daniel Balavoine seront
interprétés par le groupe
Empreinte Balavoine et
Johnny Flashback reprendra des morceaux bien
connus de Johnny Hallyday. Samedi, on change
de registre, les concerts
débuteront dès l’apéro.
Et il y aura un peu de tout.
Du New Wave, Depeche
Mode, par The Sneakers et
du Supertramp, par Logical
School. Ce dernier est un
groupe de Verviers. The
Who sera repris par Substitute. Les Me & My friends
seront présents afin de faiNivelles CApital 5 0
re résonner les sons des Red Hot Chili Peppers.
Metropolice chantera The Police. Plus récent,
on pourra écouter du Greenday, par Why Not ?
Enfin, samedi sera aussi le moment d’entendre
Radiohead, revisité par Rediohead. Pas étonnant.
« La Bombe humaine », « New York avec toi »,
ou encore « Cendrillon »…Telephone sera aussi
de la partie, interprété par Telephomme, groupe
fondé par quatre musiciens. Lesquels sont : Philippe Lagneaux (guitariste), Benoît Lagneaux (batteur), Henri Duprez (bassiste) et Julien Bonnemain
(chanteur et guitariste). À l’affiche aussi de ce jour
: Rage against Machine, par Bulls on Parade.
Et puis, Mister Cover, qui n’a qu’une seule devise,
celle de s’amuser, et qui parcourt les quatre coins
de la Belgique depuis dix ans déjà, présentera un
nouveau show « Années 80’s ». Sur la scène, avec
Mister Cover, il peut facilement y avoir dix personnes: Sébastien Harvengt, Nicolas Dieu, Hervé
Tricot, Laurent Dorsimont, Olivier Sprangers,
Nathalie Butera, Xavier Bouillon, Vincent Leblond,
François André et Steve Gillet.
Seconde main, seconde vie !
Réponse logique à une crise persistante, le
marché du seconde main a la cote. Magasins
dépôts, brocantes et sites de vente en ligne ne
désemplissent pas. Une tendance à la mode,
idéale pour la planète, le portefeuille… mais
aussi pour le moral !
Chaises vintage et livres de cuisine, lampes sixties et vieux outils, on trouve de tout en occasion.
Il suffit d’avoir le temps et l’envie de chiner. Alors
qu’avant, on ne se vantait pas d’avoir acheté en
seconde main, aujourd’hui, on ne s’en cache plus,
c’est devenu à la fois chic et tendance, mais aussi
nécessaire pour soulager les finances. « En période économique plus difficile, le seconde main
attire de nouvelles personnes, un nouveau public.
On ne constate pas de ruée ces derniers mois,
mais plutôt une plus grande prise de conscience
des gens de ce que le seconde main peut être une
solution utile », déclarait en 2008, à l’aube de la crise,
Frédéric Van Hauteghem, responsable marketing
pour le secteur seconde main chez Oxfam Solidarité.
Depuis, la tendance n’a pas faibli, bien au contraire.
D’après le CRIOC, un belge sur cinq vend ses
objets encombrants. « Selon un important site de
vente en ligne de produits d’occasion, le montant
de ce que l’on peut en tirer serait de 780 euros
par ménage. Les Belges entassent dans leur grenier,
mais l’heure est au rangement et aux bonnes affaires ! La plupart du temps, les objets sont de
bonne qualité et si ce n’est pas le cas, une petite
retouche ou un petit relooking permet aussi de
leur donner une nouvelle vie. » D’ailleurs les professionnels le diront, aujourd’hui, seconde main
ne rime plus avec objets abimés ou usagés. La
qualité s’est fortement améliorée et c’est tant
mieux, car internet est le canal le plus utilisé pour
vendre ou acheter d’occasion. Pas toujours facile
de vérifier l’état de nos achats avant acquisition
mais au moins, internet, véritable outil collaboratif, permet une vente rapide à un prix correct.
Si la raison qui pousse les belges à acheter en seconde main est avant tout économique, elle vient
également d’une prise de conscience écologique
qui est en nette progression en Belgique. On veut
donner une seconde vie à nos vieux objets, on
veut penser ‘responsable’ et éviter de jeter inutilement. Dans cette optique, le marché du seconde
main est aujourd’hui complété par la location de
produits en tout genre. Pour faire des économies
d’argent et diminuer leur empreinte écologique,
certains consommateurs boudent l’achat de produits neufs pour s’orienter vers la location. On retrouve ainsi de plus en plus de choses à louer sur
le net ; de costume pour une soirée, aux fourchettes,
fleurs, CD et barbecues qui l’accompagnent…
De quoi éviter achats et dépenses inutiles !
Tendance 2013: les matériaux de construction
d’occasion
En 2012, selon le site de vente d’occasions
2ème main, la vente de matériaux de construction a connu une forte croissance. Désormais en
quatrième position des secteurs les plus visités,
la catégorie “construction” connaît un véritable
engouement. « La popularité du commerce de
seconde main en matériaux de construction correspond tout-à-fait à cette tendance grandissante
depuis le début de la crise », a déclaré sur le site
Michiel Van Deursen, directeur et fondateur de
2ememain.be. « Les gens recherchent des nouvelles manières de consommer, pour une raison
économique, mais aussi en considérant l’aspect
durable. Ce changement des mentalités explique
aussi le succès de notre site. Davantage lié à une
évolution des mentalités qu’à la crise économique, le succès des matériaux de construction de
deuxième main démontre une réelle volonté du
Belge de recycler davantage… » Ainsi, jeans, briques, voitures, bandes-dessinées ou châssis de
fenêtre, on trouve de tout en occasion, et surtout
un belle opportunité d’épargner son portefeuille…
et Dame Nature !
Nivelles CApital
5 1
Petite Pomme,
un Dépôt-Vente de qualité pas comme les autres
Vous ne savez pas quoi faire avec le relax de votre petite dernière ? Vos pantalons de
grossesse encombrent un coin de votre garde-robe ? Vous cherchez de quoi habiller vos
bébés, enfants et ados jusque 16 ans ? Allez donc faire un tour sur www.PetitePomme.be,
une boutique internet nivelloise créée par des Nivellois, avec vente en ligne d’articles de
seconde main de qualité pour le bébé, l’enfant jusque 16 ans et la femme enceinte, mais
aussi du déstockage d’articles neufs en jouets et puériculture.
Tous les parents sont unanimes en la
matière : les vêtements pour enfants et
la puériculture coûtent cher et pourtant,
ils sont souvent très peu utilisés ou portés . « Nous avons 4 enfants, » explique
Olivier Charlier, gérant de Petite Pomme,
« à l’arrivée de notre petit dernier, nous
nous sommes retrouvés avec tous les vêtements que nous avions gardé de notre
fille, ce qui représentait pas loin de 1000
articles. Nous avons cherché à les mettre
en vente sur le net et l’idée du site nous est
venue. Informaticien de profession, j’ai exploré la question pendant quelque temps
et en septembre 2011, le projet du site InNivelles CApital 5 2
ternet a démarré. » Le projet, c’est Petite
Pomme, un dépôt-vente d’articles pour
enfants 0-16 ans, de vêtements et d’articles d’allaitement pour futures mamans,
et de puériculture. « Peu de magasins font
de la seconde main pour les enfants jusqu’à
16 ans. » L’originalité du concept est que
tous les articles sont en vente sur le site
Internet. Acheteur ou déposant, les clients
sont invités à s’inscrire sur le site Internet.
Le magasin-dépôt, véritable vitrine du site
Internet, situé dans le zoning de Nivelles
accueille les clients inscrits à des ventes
privées, pour déposer des articles ou pour
retirer leur commande.
Publireportage
Un achat facile
Pour acheter, c’est simple : vous faites votre
shopping sur www.PetitePomme.be et une
fois votre panier rempli, vous passez commande. Si vous habitez Nivelles ou aux
alentours, vous pouvez soit choisir de passer
retirer votre colis, soit de vous le faire livrer. La
livraison est gratuite à Nivelles et dans un
rayon de 30 Kms pour toute commande
de minimum 60 euros. Pour les clients les
plus éloignés, Petite Pomme travaille avec
Kiala, Mondial Relay, BPost. Pour ceux qui
aiment voir avant d’acheter, ils peuvent
visiter le magasin-dépôt de 150 m² suivant
l’horaire d’ouverture variable mentionné
sur le site, un vaste parking gratuit les attend. « Lorsque nos nouveaux clients viennent au magasin-dépôt et voient la qualité
irréprochable de nos articles - malgré les
petits prix pratiqués -, ils sont ainsi rassurés
et ne craignent plus de commander via notre boutique Internet. »
Nivelles CApital
5 3
Un dépôt de qualité
Le dépôt d’articles passe aussi d’abord
par le site. « Après inscription en ligne, et
avoir précisé le nombre d’articles à nous
déposer, nous fixons un rendez-vous au
déposant à notre magasin-dépôt de Nivelles.
Nous demandons au déposant de rester
sur place le temps du dépôt car nous déterminons chaque prix ensemble et réalisons l’encodage de l’article pour la mise
en vente sur le site Internet. 50% du prix de
vente revient au déposant, les 50% restants
reviennent à Petite Pomme au titre de
commission sur vente. A la fin du dépôt,
le déposant repart avec un inventaire complet et détaillé des articles
déposés et sait exactement
ce qu’il touchera lorsque
tout aura été vendu. Chez
nous, pas de frais de dossier ni d’assurance pour les
dépôts. Tout est inclus dans
notre commission. Nous ne
soldons jamais les articles et
prenons des vêtements de
toutes saisons de mode actuelle, et de toutes marques
petites et grandes (Tommy
Hilfiger, Burberry, Noukie’s,
Zara, H&M, C&A,…).
Les articles nous sont déposés pour une durée d’un an
renouvelable. Les vêtements
doivent être impérativement
fraîchement lavés, repassés
et rangés dans des caisses
en plastique pour le transport. La qualité et la fraîcheur
nous permettent de mettre
rapidement les articles en
rayon et en vente sur notre
site. Il ne se passe que quelques heures entre le dépôt et
la mise en vente. Précisons
au niveau des vêtements
que nous acceptons tout, à
l’exception des chaussettes,
culottes et chemisettes. » Ainsi, chaque
article est rigoureusement vérifié avant
d’être mis en vente : pas de trous, ni de tâches, pas de traces évidentes d’usure, de
boutons manquants ou de tirette abimée.
Et surtout, pas de vêtements abandonnés
dans des caisses au grenier !
Économique, écologique et agréable
La dimension écologique est importante
pour Petite Pomme. La seconde main est
une philosophie. « Nous recevons parfois
des paires de chaussures pratiquement
neuves à qui nous donnons une seconde
vie au lieu de les jeter à la poubelle. »
La vente de seconde main permet également aux clients d’arrondir leurs fins de
mois. « Chaque mois, les gens ont des petits versements sympas ce qui leur permet
d’augmenter leur pouvoir d’achat… Chez
Petite Pomme, le client dépose, nous
vendons et il reçoit du cash ! » L’endroit
est très propre, convivial et par ailleurs
bien équipé pour accueillir les familles :
table à langer, micro-onde, toilettes et
petit espace de jeu pour les enfants.
Infos :
www.PetitePomme.be
Tel. 0475 63 72 72
e-Mail : [email protected]
Magasin-dépôt :
Rue du Commerce 12 - 1400 NIVELLES
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La Ferme de la Hagoulle élargit son offre
Déjà bien connue pour les réceptions qu’elle accueille dans sa grange depuis 2006, la
Ferme de la Hagoulle élargit aujourd’hui ses horizons. Désormais, pour vos événements,
conférences ou tout simplement pour le plaisir de goûter à la cuisine du chef, toute l’équipe
de la Hagoulle vous reçoit également dans le cadre verdoyant du Golf de Pierpont.
Dressée au cœur de la campagne brabançonne, à deux pas de Nivelles, la Ferme de
la Hagoulle a su garder un cachet à la fois
chic et rustique. Dans sa grange de 480
m² rénovée avec goût, les nouvelles structures contemporaines s’harmonisent parfaitement avec les murs de marnes et de
briques rouges. Mais si la beauté du lieu
fait le succès de la Hagoulle, la qualité du
service qui est offert y est aussi pour quelque chose. Mariages, fêtes familiales ou
d’entreprises, séminaires, conférences, incentives, expositions, spectacles,
concerts, « pour tous les événements, nous
proposons un service entièrement personnalisé » explique Emmanuel Dumont,
propriétaire de la Hagoulle. « Service
traiteur, fleurs, baby-sitter, sono,… nous
avons la possibilité d’offrir au client du surmesure. » Et les clients semblent apprécier
puisque la salle, qui peut contenir jusqu’à
400 personnes assises et 700 invités debout, ne désemplit pas. « C’est le succès
de la location de notre salle qui nous a
conduits à aller en chercher une ailleurs.
Nous voulions étendre nos services tout
en continuant à proposer à notre clientèle
la possibilité d’organiser ses événements
dans un endroit paisible, en pleine campagne, avec facilité de parking et en même
temps, à proximité d’axes routiers importants. »
Nivelles CApital
5 7
Et c’est au Golf de Pierpont qu’Emmanuel
Dumont a trouvé son bonheur. Aussi chic et
vert qu’à la ferme de la Hagoulle, l’endroit
possède une salle de conférence et 2 salles
de réception de 80 et de 30 personnes, qui
permettent d’organiser des dîners et des
événements, tant professionnels que familiaux. Une salle réunion bien équipée d’une
quinzaine de personnes agrémente l’offre.
Pour que le confort soit encore plus complet, l’hôtel et ses 20 chambres accueillent
les invités qui souhaitent loger sur place. Situé dans une magnifique ferme du 17ème
siècle, le restaurant est au centre de ce havre de verdure, à côté de la Nationale 5.
L’endroit vaut le détour, surtout dès l’arrivée
des beaux jours où il est possible de prendre un verre au calme d’une grande terrasse ensoleillée située à la bordure du
parcours du golf.
Nivelles CApital 5 8
Contacts :
Restaurant du Golf de Pierpont :
Club House - Brasserie - Restaurant :
Chemin Grand Pierpont 1
6210 Les Bons Villers
+32 71 88 08 32
Ferme de la Hagoulle
Location de salle avec service traiteur
Rue de Rèves, 38
1476 Houtain-le-Val
Tél : +32 473 26 14 11
Fax : +32 67 78 00 78
[email protected]
La Hagoulle Traiteur
Service traiteur à votre domicile
ou dans votre entreprise.
Rue de Rèves, 38
1476 Houtain-le-Val
Tél : +32 473 26 14 11
Fax : +32 67 78 00 78
[email protected]
www.lahagoulle.be
4,5-10,2 L/100KM - 119-237 G CO2/KM
4,3-9,9 L/100KM - 114-131 G CO2/KM
Offre valable du 1er mars au 1er avril 2013 sur les voitures de Model Year 2013, valable uniquement pour les particuliers et pas cumulable
avec d’autres conditions. Donnons priorité à la sécurité. Informations environnementales AR 19/03/2004 : www.volvocars.be
FIZAINE sprl
Chaussée de Bruxelles 226 - 1401 Nivelles • 067 21 40 27
Initiative
La collégiale en sable au Shopping de Nivelles
A l’occasion du premier anniversaire de son
extension, le Shopping de Nivelles accueillera
20 tonnes de sable dans ses murs le 26 avril.
Le challenge : Créer une Collégiale Sainte Gertrude entièrement réalisée en sable.
« La Collégiale Sainte-Gertrude est l’une des
plus ancienne et des plus grandes églises romanes d’Europe. Le Shopping Nivelles étant
très attaché au patrimoine de sa ville, nous avions
à coeur de mettre en évidence le centre-ville
tant au niveau commercial, que culturel et touristique.» explique l’équipe du Shopping.
Il faudra 3 jours pour réaliser l’édifice. C’est une
agence d’événements qui s’en occupe.
La travail sera visible par tous les visiteurs dès
le premier jour et sera terminé pour le 28 avril.
Outre l’espace Collégiale de Nivelles, un espace Pâques et un espace enfant sont également
prévus. Ceux-ci pourront jouer dans un bac de
sable géant.
D’autres statues de sable sont prévues également. Pour en savoir plus, il faudra passer par
le shopping Nivelles.
Nivelles CApital
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