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//////////////////////////// .. PLASTIlien ////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////// + cherche (CIR). S’agissant du CIR, elle a esINFOS timé que la restitution du crédit d’impôt (en l’absence d’impôt suffisant pour l’imputer La participation aux résultats de l’entre- en totalité) était « susceptible de générer Le Gouvernement a alors 2015 / n°114 le magazine d’Allizé-Plasturgie & de Plasturgie Grand Estma// janvier-février un « impôt négatif » aboutissant à une prise est un dispositif prévoyant la redistenté, dans le cadre de la Loi tribution d’une réserve spéciale de parti- joration du bénéfice servant au calcul de de Finances Rectificative pour cipation (RSP) au profit des salariés d’une cette réserve » (Décision de rescrit du 13 2013 d’inscrire dans la loi les partie des bénéfices qu’ils ont contribué, avril 2010, RES/23). points de la doctrine adminispar leur travail, à réaliser dans leur entre- Cette méthode de calcul permettait trative annulés par le Conseil prise. Elle est obligatoire dans les entre- d’augmenter le bénéfice net et donc de d’Etat. majorer la réserve spéciale de participrises de plus de 50 salariés. pation. Par une décision du 20 mars 2013 L’article L. 3322-1 du Code du Travail pré- (n° 347633), le Conseil d’Etat a fait droit au L’entreprise doit constituer, chaque année, cise qu’elle prend la forme d’une « parti- recours pour excès de pouvoir exercé par une réserve spéciale de participation, sur cipation financière à effet différé, calculée une entreprise contre l’instruction fiscale la base d’une formule de calcul fixée à en fonction du bénéfice net de l’entreprise, qui fixait cette règle de calcul. Il a, en effet, l’article L. 3324-1 du Code du Travail preconstituant la réserve spéciale de partici- considéré que l’Administration ne se bor- nant en compte les capitaux propres, p. 14 les nait pas à interpréter la loi mais y ajoutait salaires, la valeur ajoutée et le bénéfice pation ». des règles nouvelles non prévues par elle. net, c’est-à-dire le bénéfice brut réalisé L’entreprise doit constituer, chaque année, Il a ainsi jugé que le bénéfice net mention- moins l’impôt dû sur ce bénéfice ; la loi ne une réserve spéciale de participation, sur né à l’article L. 3324-1 du Code du Travail précisant pas le sort réservé aux crédits la base d’une formule de calcul fixée à « ne peut s’entendre que de l’impôt sur les d’impôt. l’article L. 3324-1 du Code du Travail pre- sociétés, au taux de droit commun, résul- L’Administration Fiscale considérait depuis nant en compte les capitaux propres, les tant des règles d’assiette et de liquidation 1997 que l’impôt sur les sociétés devait salaires, la valeur ajoutée et le bénéfice qui régissent ordinairement l’imposition être diminué des crédits d’impôt ayant un lien avec les revenus inclus dans le bénénet, c’est-à-dire le bénéfice brut réalisé des bénéfices ». fice. moins l’impôt dû sur ce bénéfice ; la loi ne précisant pas le sort réservé aux crédits La participation aux résultats de l’entre- Ainsi, selon la doctrine administrative, prise est un dispositif prévoyant la redis- l’impôt à retenir pour le calcul de la particid’impôt. L’Administration Fiscale considérait depuis tribution d’une réserve spéciale de parti- pation devait s’entendre après imputation 1997 que l’impôt sur les sociétés devait cipation (RSP) au profit des salariés d’une des crédits d’impôt afférents aux revenus être diminué des crédits d’impôt ayant un partie des bénéfices qu’ils ont contribué, inclus dans le bénéfice imposable au taux lien avec les revenus inclus dans le béné- par leur travail, à réaliser dans leur entre- de droit commun, notamment les crédits prise. Elle est obligatoire dans les entre- d’impôts afférents à la perception de refice. venus mobiliers et le crédit d’impôt reAinsi, selon la doctrine administrative, prises de plus de 50 salariés. cherche (CIR). S’agissant du CIR, elle a esl’impôt à retenir pour le calcul de la participation devait s’entendre après imputation L’article L. 3322-1 du Code du Travail pré- timé que la restitution du crédit d’impôt (en des crédits d’impôt afférents aux revenus cise qu’elle prend la forme d’une « parti- l’absence d’impôt suffisant pour l’imputer inclus dans le bénéfice imposable au taux cipation financière à effet différé, calculée en totalité) était « susceptible de générer de droit commun, notamment les crédits en fonction du bénéfice net de l’entreprise, un « impôt négatif » aboutissant à une mad’impôts afférents à la perception de re- constituant la réserve spéciale de partici- joration du bénéfice servant au calcul de cette réserve » (Décision de rescrit du 13 venus mobiliers et le crédit d’impôt re- pation ». qui régissent ordinairement l’imposition des bénéfices ». Automobile avec les plastiques, le monde bouge Allègement des pièces plastiques DÉFIS ÉCONOMIQUE, TECHNOLOGIQUE & ENVIRONNEMENTAL EN BREF Entreprises en difficulté et créances de carry-back LE FORUM PLASTURGIE COMPOSITES Dans une mise à jour de la base Bofip du 29 juillet 2014, l’Administration Fiscale aménage sa doctrine relative au remboursement immédiat de certaines créances détenues par des entreprises en difficulté. REVIENT EN 2015 ! Tirant les conséquences de la jurisprudence en la matière, elle admet que les entreprises faisant l’objet TAXE D’APPRENTISSAGE 2015 bénéficier : UNE RÉFORME d’une procédure collective puissent du remboursement immédiat des créances de carry-back et de crédit d’impôt même si elles sont nées postérieurement à la date d’ouverture de la procédure collective. ET DE NOUVEAUX ENJEUX Tirant les conséquences de la jurisprudence en la matière, elle admet que les entreprises faisant l’objet d’une procédure collective puissent bénéficier du remboursement immédiat des créances de carry-back et DEdeFINANCES : DANS LAsont CONTINUITÉ crédit d’impôt même si elles nées postérieurement à la date d’ouverture de la procédure collective LOI DU PACTE DE RESPONSABILITÉ ET DE SOLIDARITÉ ///////////////////////////////////////////////////////////// SOCIAL Allègement des pièces plastiques © fotolia.com défis économique, technologique et environnemental Dominique APPERT Ingénieur R&D CFP – ALLIZE-PLASTURGIE Tel : 06 12 45 58 31 [email protected] ///////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////// Les principaux défis de l’industrie sont à la fois économiques et liés au développement durable : produire des pièces à moindre coût et limiter l’impact environnemental tout au long du cycle de vie de ces pièces sont donc des préoccupations majeures, voire obligatoires par le caractère légal de certaines mesures. Parmi les solutions, l’allègement est une démarche systématique qui s’opère dès la conception des pièces. Dans ce dossier, on s’intéresse à l’allègement des pièces plastiques, c’est-à-dire à l’allègement de pièces considérées comme déjà « légères ». Comment aller plus loin pour réduire la consommation de matière plastique, pour réduire le prix des pièces, pour diminuer le coût du transport, pour contribuer à faire baisser la consommation de carburant des véhicules et les émissions de gaz à effet de serre ? C’est à l’occasion de l’évènement organisé par Allizé-Plasturgie le 7 octobre dernier près de Nancy, que les industriels présents ont pu assister à la présentation de 3 technologies d’allègement, le procédé MuCell® développé par la Société Trexel, les microsphères de verre creuses de 3M™ utilisées en tant que charges dans les matières plastiques, et l’injection assistée par gaz dont le Bureau d’Etudes Simplast s’est fait une spécialité. #14 Plastilien • Janvier/Février 2015 /////////////////////////// ///////////////////////////////////////////////////////////// DOSSIER DU MOIS LE PROCEDE DE MOUSSAGE MUCELL® Des pièces plastiques allégées jusqu’à 30 % La technologie MuCell® est un procédé de moussage des pièces plastiques qui utilise un gaz (l’azote) introduit directement dans la presse à injecter. Il n’y a pas d’additif chimique contenu dans la matière plastique. Le moussage est créé lors de la chute de pression de la matière plastique fondue mélangée à l’azote, c’est-à-dire lors du refroidissement de la pièce dans le moule. Les pièces obtenues sont caractérisées par une structure micro-cellulaire de taille comprise entre 5 et 20 microns au cœur de la pièce, et une structure compacte en surface. Toutefois l’aspect de surface n’est pas de la même qualité que celui des pièces compactes classiques. La technologie MuCell® est parfaitement répétable et donne des pièces précises et reproductibles. Si les pièces sont étudiées dès la conception pour le procédé MuCell®, la réduction du poids des pièces peut atteindre 30% par rapport aux pièces compactes classiques. L’expansion du gaz crée une structure micro-cellulaire au cœur des pièces Le procédé Mucell® a été développé par la Société Trexel qui le commercialise dans tous les pays du Monde. Trexel a créé des partenariats avec des fabricants de presses à injecter comme Arburg, Engel ou Krauss-Maffei, capables d’équiper leurs machines d’un système MuCell®. Le procédé se déroule en différentes phases. Au préalable, l’azote est comprimé pour atteindre un état gazeux supercritique, état où l’azote devient un gaz incompressible et capable de parfaitement se dissoudre dans le polymère fondu. Puis, une quantité précise d’azote est envoyé sous pression dans l’ensemble vis-fourreau de la presse par un injecteur placé au centre du cylindre, là où la matière plastique se trouve déjà à l’état fondu. A ce stade, la vis de plastification va jouer le rôle de mélangeur, grâce à son profil adapté, réduisant la taille des bulles de gaz, et permettant la dissolution complète du gaz dans le polymère. En bout de vis, le mélange obtenu est parfaitement homo- Polyamide moussé selon le procédé MuCell® Procédé Mucell® : structure microcellulaire au cœur de la pièce gène et sous pression, une pression qui sera maintenue tout au long du parcours de la matière pour empêcher le moussage. Lors de l’injection dans le moule, la vitesse élevée va générer dans la matière une multitude de petites cellules. En fin d’injection, les cellules vont commencer à croître avec la chute de la pression jusqu’à l’équilibre des pressions. Toutefois, les bulles ne pourront pas se former à la surface des pièces, car la matière va se figer très vite, dès son contact avec les parois du moule. Avec la technologie MuCell®, il n’y a pas la nécessité d’une phase de maintien comme dans un cycle de moulage classique, l’expansion par l’azote faisant office de maintien. Le procédé Mucell® s’adapte à tout type de thermoplastique, technique ou non, chargé ou non. Les moules à canaux chauds sont utilisables mais il est nécessaire d’avoir des busettes équipées d’obturateur pour maintenir la pression tout au long du parcours de la matière. Des bénéfices en plus de l’allègement L’introduction d’azote comprimé dans le polymère fondu réduit la viscosité du matériau. Cette réduction, de l’ordre de 10 à 15 %, permet de remplir les empreintes à une température de moule plus basse ou de mouler des pièces à parois plus fines. Pour illustrer ceci, des tests ont été réalisés sur des pièces en PBT 30% fibres de verre montrant qu’il était nécessaire de chauffer le moule à 70 ou 80 °C pour pouvoir remplir la cavité dans la version compacte. Dans la version pièces moussées, une température de moule de 30°C suffisait à permettre le remplissage complet des empreintes et l’obtention de pièces conformes sur le plan des performances mécaniques, validées par les courbes de DSC indiquant un taux de cristallinité identique entre les 2 versions. Par ailleurs, si l’on compare les courbes de pression dans l’empreinte pour les 2 versions, on observe que le niveau de pression est très élevé pendant la phase Courbes de pression dans l’empreinte, en injection compacte (courbe rouge), avec le procédé MuCell® (courbe bleue) Plastilien • Janvier/Février 2015 #15 DOSSIER DU MOIS ///////////////////////////////////////////////////////////// rencontrées en injection. Ces sphères sont composées de borosilicate de soude et de chaux, leur diamètre se situe aux environs de 20µm, leur densité est de 0,46. Conception en injection conventionnelle (à gauche), en injection avec process MuCell® (à droite) de maintien pour la version compacte puis il décroit rapidement. En version moussée, la pression dans l’empreinte est faible pendant tout le cycle, avec une pression résiduelle dans l’empreinte qui favorise le contact de la pièce sur les parois du moule apportant un meilleur échange thermique. Ceci va se traduire par une réduction du temps de refroidissement que l’on observe dans le cas des pièces à parois fines. Pour les pièces épaisses, on n’observe pas le même bénéfice, le temps de cycle pouvant être pénalisé par l’effet d’isolation thermique lié à la structure cellulaire. Un autre aspect du procédé de moussage concerne l’uniformité de la pression en tout point de la cavité du moule. En conséquence, le retrait est uniforme donnant des pièces de meilleure géométrie : grande planéité, bonne précision, peu de déformations et stabilité dimensionnelle dans le temps. Tirer profit pleinement du procédé par une conception des pièces adaptée Des pièces conçues dans le respect des règles de conception des produits injectés peuvent être moulées selon le procédé MuCell® et peuvent bénéficier d’une réduction de poids de 6 à 8%. Mais pour bénéficier pleinement des avantages du procédé et atteindre un niveau d’allégement de 30 % ou plus, il est nécessaire d’optimiser la conception des pièces sans tenir des recommandations qui ne se justifient plus. Toutefois le point faible du procédé MuCell® concerne l’état de surface des pièces qui n’est pas toujours de qualité suffisante selon les exigences imposées. Une amélioration de l’état de surface peut être obtenue par l’utilisation d’une régulation du moule en chaud / froid. La technique de co-injection est une autre façon de résoudre le problème consistant à injecter une première quantité de matière sans présence de gaz, qui formera la couche externe de la pièce. LES MICROSPHERES DE VERRE CREUSES 3M™ Des microsphères creuses pour réduire le poids La Société 3M™ produit des microsphères de verre creuses depuis de nombreuses années pour des applications diverses : isolation thermique des pipelines, réflexion de chaleur solaire pour des peintures de bâtiments, etc. Mais c’est grâce au développement d’un nouveau procédé de fabrication que 3M™ intéresse le secteur des matières plastiques : les microsphères de verre creuses obtenues par ce procédé sont plus fines et plus robustes, avec une résistance à la pression isostatique de 1100 bars, compatible avec les pressions Par exemple, en injection classique, les nervures doivent être dimensionnées de façon à éviter le risque de retassures sur la face d’aspect des pièces. En injection moussage, l’expansion du matériau compense les écarts de retrait et élimine les défauts de retassures ou de bulles internes : les nervures peuvent être dessinées et dimensionnées librement, et des variations d’épaisseur de parois sont autorisées. #16 Plastilien • Janvier/Février 2015 Microsphères de verre creuses 3M™ - Image au microscope électronique à balayage - 1000X Plastilien >> Juillet/ Août 2014 L’emploi des microsphères de verre creuses en plasturgie nécessite au préalable une opération de compoundage dans une extrudeuse bi-vis pour incorporer les microsphères au polymère. Le compound obtenu se met en œuvre selon les conditions classiques de fabrication des pièces plastiques injectées. Les microsphères de verre contribuent significativement à réduire le poids des pièces plastiques finies tout en participant à leur stabilité dimensionnelle et thermique. Elles conduisent à une augmentation de la rigidité en traction et en flexion. Leur facteur d’empilement de 62% et leur masse volumique de 0,46g/cm3 facilitent la mise en œuvre et permettent des économies de matières premières et de productivité en réduisant les temps de cycle et notamment la vitesse de refroidissement des pièces injectées. Raisonner en volume d’incorporation de charges Les microsphères de verre creuses peuvent remplacer totalement ou partiellement des charges traditionnelles comme le talc, les billes de verre, les fibres de verre ou le carbonate de calcium, en prenant soin de raisonner en volume d’incorporation de charges pour s’affranchir des écarts de densité. Prenons le cas d’un polyamide 6 chargé 40% en poids de billes de verre. En tenant compte des masses volumiques respectives du polyamide et des billes de verre (1,13 g /cm3 et 2,5 g/cm3), la charge représente un volume de 23 % dans le compound. Si l’on remplace les billes de verre par le même volume de microsphères creuses dont la masse volumique est égale à 0,46 g/cm3, cela se traduit par l’obtention d’un compound de polyamide 6 chargé seulement de 11% en poids de microsphères de verre. Par cette opération de substitution de charges, la masse volumique du compound a été abaissée de 32 %. ///////////////////////////////////////////////////////////// DOSSIER DU MOIS Facteurs de forme de différentes charges pour les matières plastiques – document 3M™ Incorporation par compoundage des microsphères de verre creuses dans le polymère document 3M® 1.injection dynamique 3M® 3. maintien et connexion 2. recollement des fronts matière Mais pour valider la démarche de substitution de charges, il faut bien vérifier que les caractéristiques du cahier des charges sont respectées, auquel cas il peut être nécessaire de réajuster la formulation en ajoutant d’autres charges pour compenser certaines pertes de propriétés. Des applications étendues Les microsphères de verre peuvent être employées comme additif de faible densité pour différents types de polymère : polypropylène, TPO, ABS, polyamide, polycarbonate, polyétherimide, polyphénylsulfone, etc. Différents procédés de mise en œuvre sont envisageables : injection, mais aussi l’extrusion, etc. Les secteurs concernés sont l’industrie du transport, les sports et loisirs, les appareils électroniques et électro-ménagers. Plastilien • Janvier/Février 2015 #17 DOSSIER DU MOIS ///////////////////////////////////////////////////////////// Document SIMPLAST : connexion des bulles en injection assistée par gaz L’INJECTION ASSISTEE PAR GAZ Objectif initial : l’allégement des pièces L’injection assistée par gaz (azote) permet l’obtention de corps creux par évidement du cœur de la pièce, autorisant le moulage des volumes ou surépaisseurs. Selon les applications, l’injection assistée par gaz allège les pièces, améliore les états de surface et les géométries (homogénéité du compactage), augmente la tenue mécanique, permet d’intégrer de nouvelles fonctions par le design, simplifie les outillages, réduit les coûts (presse de plus petit tonnage). La connexion des bulles pour améliorer encore la qualité des pièces La connexion des bulles consiste à éliminer la cloison qui sépare 2 veines de gaz qui se rencontrent. Il suffit pour cela d’appliquer une pression très légèrement différente d’un circuit de gaz par rapport à l’autre. L’écart de pression provoque la pénétration dans la veine adjacente du surplus de matière qui vient ensuite tapisser le tube interne du circuit de gaz. En injection assistée par gaz, la connexion des bulles crée un circuit unique interne à la pièce, uniformisant la pression dans le circuit, ce qui apporte différents avantages : réduction des contraintes internes et des déformations, suppression des risques de retassures, meilleur contrôle du dimensionnel de la pièce, réduction significative de la force de fermeture et réduction du poids de pièce. La simulation est intéressante pour toutes les phases du projet : étude de la pièce, Schéma de principe de connexion des bulles thermique de l’outillage, positionnement des injecteurs matière et des injecteurs gaz, paramètres de moulage, défauts prévisibles de pièce, cadences de moulage, ... ainsi que l’optimisation de la connexion des bulles. REMERCIEMENTS Allizé-Plasturgie Lorraine et le Centre de Formation de la Plasturgie remercient les intervenants de la journée du 7 octobre 2014 pour leur disponibilité et pour la qualité des présentations ayant permis de réaliser ce dossier, par ordre d’intervention à la journée : -Martin JACOBI, Sales Manager, Bureau de Liaison TREXEL France -Jean-Luc DREYER, Gérant, SIMPLAST -Jean-Marie RUCKEBUSCH, Ingénieur Support Technique, 3M France #18 Plastilien • Janvier/Février 2015