Même pas peur - DSDEN Loire
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Même pas peur - DSDEN Loire
“ Les risques majeurs ? Même pas peur ! Mon livret de jeune citoyen nantais Prénom : Nom : école : ” t s mais peuven re ra t n o s rs u je Les risques ma ages humains m m o d e d p u uco x, provoquer bea parer au mieu ré p y t’ e d n fi ur et matériels. A informations s s e d t re v li e c ans tre confronté. tu trouveras d ê is a rr u o p tu xquels des risques au nt d’y réfléchir ro tt e rm e p te s ice des de classe Quelques exerc ra a m a c s te t e nant avec ton enseig es qui seront x e fl ré s n o b s le et d’apprendre le, tes amis. il m fa ta i, to à s s’est produit e u q s utiles, ri s e d n u erras, chac sont déroulés e s i u q Comme tu le v ts n e id s ion lors d’acc , mais dans tou in dans notre rég ta in lo s in o plus ou m la planète... e d e g â dans un passé l’ e d e ents à l’échell sques avec ri s e les cas, très réc c t n e m e iv progress uis de CM2. Tu découvriras p , 1 M C e d , 2 E ts de C tes enseignan au collège, é rm fo in n ie b i s urs d’autres Tu arriveras ain e s s fe ro p s te c s ave où tu entamera s citoyens. e g a s s ti n re p p a 01 verte ! Bonne décou 2 Sommaire Page 03 L’incendie Page 09 La tempête Page 15 L’inondation Page 19 Le transport de matières dangereuses Page 23 Le risque industriel e i d n e c n i ’ L 3 L’Hôtel de ! s e m m a fl s le s e sou n n A e s s e h c u la D Quelles peuvent être les causes d’un incendie ? Lecture d’article de presse es © Ville de Nant Quels sont les risques pour l’homme ? est ncendie s’ i n u , 0 3 h 17 DuchesseHier, vers ôtel de la h ’ l les flammes s n a d ures, les de 15 minutes, e h s in déclaré x mo u e En d e ussée oins d du toit, rties au rez-de-cha pa é t nt i me l le Anne. En m a ab t ob o pr t détruit la t l’escalier de tage flammes ont l’hôtel, remonten roisième é t de e l t e mmencent me soixanteintérieure et co s ur e le quatriè L co . la s i a t toit. e nan partie gauche du tes dans n la e s er de l’édific é ch r lé p à s personne es. plus tard, le dix-huit été évacué s d’une heure t in n Mo e m e d i p a Des flammes e t r secours n tier est en feu. l’hôtel on en s e it l to , e é ires et soir ine de mètres, no . za e in m qu i En fin de t e c un i d’ v e la charpente. t aucun déploraien es, s’échappent de un ja rs es, les curieux des pompie trentaine de mètr e d r un a A d n a t s brasier. le passants la chaleur du s nt e te Dès 17h30, D en ss . re e s o -être expl e fumée culer, c’est peut s re s i ut a de Nantes fa p é Il « e par un tel e jeune fille qui inquiétés t de l’hô ereux », lance un i ng o da t u d t mpagnon. tan cessent de persuader son co de e noire sor n ie sa , es e n n A t-cinq hessel’édifice s échelles, ving de s an n a gr de la Duc D re . at s Qu r u es seco ant et 90 pompiers prévenir l du restaur cules de secours s hi é vé i r a l a s feu, sous e es ace pour l de maîtriser le l nantais, l t p en nt n te e e s i ud, chef la m nquantaine n de Patrick Gira i io c ct préparent re di e n la U lonel soir. chambre de secours, du co r if u it e l os dîner du sp di s n du a sont d du commandant ions. de clients pe Berthelot et ip s occupat il r Ph u e l à udebine. . t s-pompiers Joël Ho déclenchée ur t et vaquen pe s sa e ’ s s de e l a t est génér e, prête Jean-Marc Ayraul r b e m « L’alarme ir a ma h c Le a ans m s opérations. sommes J’étais d t et supervise le en és in. Nous pr a b n o m st là que à prendre nt et c’e e m e d i p a r juin 2004 raconte sortis fumée », Ouest-France, 18 a l u v e n u s nous avon ricaine d’ k, une Amé n i r b d i e H Gael . e d’années soixantain 4 […] Comment éviter un incendie ? 5 Et à l’école ? Que dois-je faire ? Comment suis-je averti ? vénement ? é l’ à e c fa ir g a Comment ré se déclenche ns prises, le feu cautio ré Si malgré les p chez moi… s fumées par le d’intoxication s e u sq ri s le r e évit r iatement (pou !). J e sors imméd n’emporte rien e (j e é tr n ’e d is e et les gaz). e fois que je su n feu et la port e n u ce x u iè p lie la s e le d s n rte e pas da Je ferme la po re et ne retourn iè rr a n e s a p s as de Je ne revien ). Je n’oublie p 2 1 1 le u o 8 lier 1 sorti. cise (sans oub s pompiers (le ré le p e lle e ss p re p d j’a l’a , t rs léphone e Une fois deho n numéro de té o m , m o n n o . donner m u de l’incendie lie u d ) e n u m la com u-dessous a ndie se produit e c in l’ si t e le b eu m Si j’habite un im e palier ? ou sur le mêm s mouillés. avec des linge e rt o p e d s r u o des signes pou lmate les dess is co fa je je t t e e s e e rt tr ê o e de la fen Je ferme les p rs. Je m’approch ie p m o p s e le J’appelle nez et la bouch le re v . u rs u co e co m se sol et je u sol être vu par les ce, je rampe au spirable près d iè re p s la lu it p h st e va n ir e ’a spirer (l Si la fumée e pour mieux re id m u h e g lin hautes). n avec u ord les parties b ’a d it h va n e car la fumée i.... us de chez mo ss e -d u a it u d ro se p et si l’incendie le b u e m im n u Si j’habite artant. e la porte en p r. Je ferm ent à l’extérieu m e id p ra s lu p Je sors le as l’ascenseur. Je ne prends p 112). ompiers (18 ou J’appelle les p cendie... in d’un in Si je suis témo ). iers (18 ou 112 p m o p s le lle e J’app cendie. che pas de l’in ro p p ’a m e n e J 6 pos de ro p à in lo s lu p r aller Pou l’incendie APPRENDRE A PORTER SECOURS Face à une victime brûlée, il faut agir rapidement pour éviter l’aggravation. Pour être efficace, il faut refroidir la brûlure le plus rapidement possible avec de l’eau (par exemple de l’eau froide du robinet, en laissant couler l’eau sans pression sur la brûlure jusqu’à l’obtention d’un avis médical). J’alerte les secours. Après l’arrosage, sauf gêne respiratoire, j’allonge la victime sur la région non brûlée ou dans la position où elle se sent le mieux, si possible sur un drap propre. Je surveille la victime, de manière continue, toutes les 2 minutes au moins, je lui parle et je l’interroge : – Si elle parle, elle est consciente ; je poursuis la surveillance et lui explique ce qui se passe pour la réconforter. – Si elle ne répond plus, elle est inconsciente ; je pratique les gestes qui s’imposent (mise sur le côté). Je signale l’aggravation en rappelant les secours. Si ses vêtements sont enflammés, j’empêche la victime de courir, je la roule ou la fais se rouler par terre et j’étouffe les flammes avec un vêtement ou une couverture. ai on maître, j’ m , e ss re ît a m a Avec m r aussi travaillé su s: us avons appri Voici ce que no 7 02 e t ê p m e t La 8 9 te Avis de tempê Lecture d’article de presse Comment s’informer des risques de tempête ? Échelle d’alerte M étéo-France Niveau 1 : NCE PARTICU LIÈ es © Ville de Nant PAS DE VIGILA ts, autres départemen d’ e rs ve in l’ A t compte ni logue e de météoro e-Atlantique ne ir i Lo o F la t i ! a v a h n’ es. Les 133 km/ tais, on ni blessés grav n , a N es im e ct d vi i s s e rent au de mémoir s eux, ne se dénomb de février el ri s té t n ma e ts v gâ s s dé e d cs depui cheminées en jamais vu cité des du Toitures arrachées, a . l us t s pl i n a a F d s . t nneaux de violen l’époque) nt en éclats, pa à la vo h ue / iq m t br k n e m 0 teaux lle 1955 (14 en accordéon, ba n, habitue n o io i at g is é al r gn e si a r l avions détournés s, la colè rare dans rois heure ant leurs amarres, t mp e ro n d e p , u e o é c g udant la proté fait beau port, trains bo ro a aé l’ e i l de s o s E u a , rres de de dieu ge surface ars dévastés, se r ng a ha l , e re n s ga u e l r nes s dégâts su lambeaux, carava e que dan l en l i rs v he e îc r ra t e ma n e hafaudages Difficile d bien en c es, grues et éc né banlieue. ur a to l s re r e o d l a s e commun samedi. Ou ! branlants, etc. shopping, n o s e r tingages i s a a f b x u a es ochant r 1990 de personn en s’accr t e s t n France, 5 févrie a tf n es , e Ou t ’ i d a f p r u o o er f Beauc dû déclar t n o s par s e é g â e emporté r t ê ’ d e n mamie sous pei me cette m o c , s e u q s ntles bourra glise Sai é ’ l t n a v de téméraire ntes. a N Clément à 10 RE (vert) Niveau 2 : TIF EN CAS D’A CTIVITÉS SEN SIBLES AU RISQUE M ÉTÉO (jaune) « Je reste vigila nt, je me tiens au courant, j’o bserve » SOYEZ ATTEN Niveau 3 : SOYEZ TRÈS V IGILANT (oran « Je limite au m ge) aximum mes s orties à l’extéri les poubelles s’ eur de la mais envolent, des tu on, car iles peuvent se des branches d d é ta c h e r des toits, ’arbre risquen t de casser » Niveau 4 : UNE VIGILAN CE ABSOLUE S’IMPOSE (ro « Je reste chez uge) moi, je ferme p ortes et volets » 11 Et à l’école ? Quelles précautions doit-on prendre ? mpête ? nt et après la te a d n e p s e u q s ri Quels sont les énement ? ir face à l’év Comment réag : u en forêt. rte est orange le ’a d u a e ou de rivière, o iv r n e m e Si le d rd o b nvoler. re pas en eptibles de s’e sc Je ne m’aventu su ts je b o s le térieur Je rentre à l’in le. le moins possib Je me déplace ge : is. ’alerte est rou leu reste là où je su Si le niveau d je t e ts 0.6 ou France B le 9 r vo t te e In s e ce rt n o ra p / s Je ferme le teofrance.com s par la radio (F e e é .m n n ce o n d ra s /f e :/ n p g nsi ternet htt J’écoute les co vision ou sur In lé té la ), .8 1 0 1 Loire Océan, s arbres, france oi, je regarde le m z e ch e d r u r. encore tombe e vigilant : auto it st a re rr u je o , e p i rt u le q l’a repérer ce À la fin de s toitures pour le r su il œ n u je jette Pour pos de la ro p à in lo s lu aller p tempête JE RECHERCHE LA DÉFINITION DE PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES PROCHES : ai e, mon maître, j’ Avec ma maîtress r aussi travaillé su La tempête : s: us avons appri Voici ce que no Le cyclone, l’ouragan ou le typhon : La tornade : 12 13 03 L’inondation 14 15 L’INONDATION FAIT PARTIE DES RISQUES LIÉS AUX DANGERS MÉTÉOROLOGIQUES. 0 La crue de 191 Quelles peuvent être les causes d’une inondation ? Lecture d’article de presse 910, qui quante, 1 r a m e é n n en hiver Autre a ière crue m e r p e n u s. La connaîtra évrier-mar f n e e d n du co et une se 48 jours, er r u s d n e ’ét . Le 1 première s 9 décembre 2 u a e r b de la 12 novem au maximal e v i n e ec l 6,14m, av décembre, à t n i e t t a seconde, Loire est 0 m3 par 0 3 6 e d levée t un débi ure de la t p u r a l atte. provoquant e la Div d s i u p an tede Montje gée de Hau r e m b u s t s n e e-Mer. » « La régio pelle-Bass a h C a l à , la Goulaine es dégâts d r u e l p m a riel Devant l’ el au maté p p a t i a f té (génie municipali équipages s e d n i ssé, la Tra du par le pa e m m o C . comité militaire) ise. Un n a g r o ’ s ence solidarité une perman e r u s s a ce . Des de vigilan la mairie à t i u n r les jour et ionnés pou t i s i u q é r t ivet, locaux son nationale L e l o c é ’ l à inaire de sinistrés, nne, au Sém A e t n i a S e France à l’écol es femmes de d n o i n U ’ L … ureau philosophie ours. Le B c e s e d s e t os ure, ouvre des p ue nourrit b i r t s i d e sanc ménages de bienfai « nombreux x u a e g a h c u et. » linge, co plus compl e l t n e m e u n ent dans le dé ux nourriss a p i c i n u m s ant Les restaur ceux que l’inondation a chassés de chez eux. Paul Bellamy, alors 1er adjoint au maire, lance une souscription publique. Un projet de loi en faveur des inondés est déposé à la Chambre. On dénombre alors 26 558 mètres de voies immergées au plus fort de la crue, « uniquement dans la partie urbaine de la commune. » 9707 mètres d’appontements sont installés. Vingt deux bateaux, trente six camions et fourragères assurent le transport des habitants. Et quand la décrue s’amorce, il faut prendre toutes les mesures nécessaires pour éviter les épidémies : « Lavage à grande eau des murs et parties souillées. Assèchement des locaux à l’aide de braseros. Après l’enlèvement des vases et limons, saupoudrage des locaux au sulfate de fer additionné de chaux vive », il est également recommandé de retourner tous les terrains contigus aux locaux inondés, de procéder à l’épuration à l’étuve des matelas, de ne surtout pas utiliser l’eau des puits. 590 habitations sont assainies par le service municipal d’hygiène. Quelles peuvent être les conséquences d’une inondation et les risques pour l’homme ? En cas d’inondation, quels sont les bons réflexes ? ropos de p à in lo s lu p r r alle Pou l’inondation APPRENDRE À PORTER SECOURS Si je suis témoin d’une noyade J e ne me mets pas en danger pour secourir la personne (plonger…). ai mon maître, j’ , e ss re ît a m a m Avec r aussi travaillé su s: us avons appri Voici ce que no J’alerte les secours. Je lance une corde, une bouée… Nantes au quotidien, n° 29, mars 2007 16 17 04 t r o p s n a r t Le s e r è i t a m e d s e s u e r e g n da 18 19 stein in E d r a v le u o b ue Incident chimiq Lecture d’article de presse our mieux p , e u q s ri le is Je conna par rail, par route, r a p t n fo se ) s (TMD ables, res dangereuse nt être inflamm iè ve at u e m p e s d e s é rt rt o o Les transp accident peut matières transp n s U s. Le . te n n io a at in m lis a tes, conta ent. fleuve, par can osives, polluan du déchargem rr u o co ts s, e n e u q m xi ce to des dépla explosives, u chargement, d t n e m o m u a arriver és © Droits réserv un risque : Il peut y avoir ue de nuage toxiq u u sol et de l’ea de pollution d d’intoxication d’explosion d’incendie rique extérieur, 1994 – Périphé Porte d’Orvault luer au maximum citerne pour di la n u jaunâtre, C’est un flot di matin, u e. e id j ac l’ , u n n l’acide co qui aurait ctéristique de e ra Nantes a u ca q r i m eu i ul h co c ident es. Un ait rapidement nouvel inc conséquenc ique, qui coul tr s ni e s s o r d g r e a rection du ev pu avoir d caniveau, en di rdu, boul le e p ns da a e n e er lui-même, s d camion-cit un ruisseau qui, ulait, plu s, c re r i sv c Ge l i eur où l’Erdre, à haut ique : un r ns t da Einstein, i n e tt e je d i se c s d’a danger était e vanne 5000 litre Jonelière. Tout rrosif. Un la o c de t n e m e e d t habitants u produit ha Le gérant arté pour les éc . l s i or al t e l antiemb le produit . Des barrages t a cédé, s er n ti a ar y qu o v du , o Ess rrière rallèlement mis la station be à l’a ution étaient pa r ll e po g n e . e t r ur empêcher s’échapper nné l’ale sur le Gesvres po o e d ac pl a en , e n s e pendant er toxique, l ion de l’acide, ce de la cit t at i ag u op d pr o r la p n aprèsd’u ssitôt mis é. Hier, en fin d’ u lu a S’agissant di t ès n tr e i jà a dé t ens é écologiques lation grands moy les conséquences r la circu e , p di u mi o c et r u t o n p me limitées, assez en œuvre, nt rticulière ie a sa p is ra e pa r è t r s du a population ée ; les marécage gn sur cette a ar l ép e dr r Er e g l’ é prot sastre ie épongé la passante, s ayant en part ter un dé i re v sv é Ge t e u n r e rculation, rv du quartie n. Quant à la ci nt est su io e d ut i ll c po c a ’ L t . . Ce n’es tablie à 16h. écologique es du matin elle a pu être ré r u e h s e 0 l 1 s e è peu apr -midi qu t d’après u nir b 1990 é d n e ’ qu pu interve ance, 20 juillet t Fr n to es Ou s r e i e p d m ser l’aci sapeurs-po ur transva o p e n n a v citerne. sur la une autre s n a d t i a autres qui rest vait pas d’ a y ’ n l i , s ment Entre temp er abondam s o r r a ’ d e qu solutions 20 le prévenir : Les pictogrammes de danger permettent d’identifier la matière transportée et de connaître ainsi le risque. pour : la population nt l’environneme riels les biens maté utes…) (habitations, ro Quel rôle puis-je avoir si je suis témoin de l’événement ? 21 Et à l’école ? L’ALERTE EST DÉCLENCHÉE PAR UN MOYEN SONORE (dans les écoles publiques du 1er degré, l’alerte est donnée à l’aide d’une corne de brume). Que dois-je faire ? 05 e u q s i r Le industriel pos du risques ro p à in lo s lu Pour aller p de matières dangereuse de transport J’ENTENDS LE SIGNAL D’ALERTE AUX POPULATIONS, JE ME METS À L’ABRI. En cas d’événement nécessitant une mise à l’abri, l’alerte sera donnée par les sirènes. Elles émettent un son montant et descendant, sonnent trois fois 1 minute 41 secondes séparées par un court silence de 5 secondes. Elles sont testées tous les premiers mercredis du mois. 22 mon maître, , e ss re ît a m a m Avec r aussi travaillé su j’ai s: us avons appri Voici ce que no 23 ue. iq x o t e g a u n : 20 ans après alerte n e n io t a r é m L’agglo s prévenir… pour mieux le ais les risques Je conn les eprises, de par Certaines entr nter : peuvent prése produit es © Ville de Nant , is, La Montagne Couëron, Bouguena in, iseau, Le Peller Saint-Jean-de-Bo ar gend mes et Policiers Brains. nt s rues, frappe passent dans le s que les habitant aux portes pour , ns ie uv « Je me so se calfeutrent. s ba serpillières en on mettait des ue maison », expliq des portes de la s pa nt so Tous ne une Herblinoise. de s availlait en ba prévenus. « On tr on n’était pas au Saint-Herblain et pompier volontaire courant. C’est un s us. Je suis alor qui nous a préven la s filles chez allé chercher me ole », se remémore nourrice et à l’éc . un autre habitant 24 die dans , un incen 7 8 9 1 e r b o zone Le 29 oct is sur la a r g n e ’ d t uage un entrepô voque un n o r p e s i a t nan t évitée portuaire strophe es a t a c e n U toxique. e. de justess les vée dans a r g e é n r u jo tants de C’est une ers d’habi i l l i m e d n. Une mémoires glomératio g a ’ l e d le Nantes et ont changé s t n e v s e l journée où istoire. h ’ l 30, un cours de 87, à 9h 9 1 e r b o t épôt Le 29 oc dans un d e r a l c é d e t et incendie s rise Loire p e r t n e ’ l de ). Une d’engrais ay, Nantes n e t n a h C ( crise Haentjens ellule de c e n u , s c un bre 2007 heure aprè cture, ave e f é r p se-Océan, 26 octo a es l Pr à s r e u é e c p n a est la er de s d’un milli f i t i s o p gendarmes, s i d ers, i c i l o p ygiène… pompiers, rvices d’h e s s e ales d s e membr sions loc i v é l é t t s e our les Les radio essages p m s e d ndre, diffusent erblain, I H t n i a S e d habitants vant its, risque pou n des produ à l’inflammatio Lecture d’article de presse lles stockent, quent ou qu’e s qu’elles fabri cendie dû Un risque d’in . res et asphyxie rtains entraîner brûlu mélange de ce u a z, a g e d le tion bruta r divers n dû à la libéra uvant entraîne o o p si e lo u p x sq ri ’e , d fs e si s explo Un risqu nce de produit se ré p la à u o s, produit ans l’eau traumatismes. age toxique), d u (n ir l’a s n a tion d propagation ques par inhala la xi à û to t d n e u so s iq it x u ant). x. Ces prod Un risque to ct (en les touch uits dangereu ta d n ro co p r e a d p , l, t) so n les avala ou dans le es du site. r ingestion (en a p , t) n a ir lations éloigné sp u re p o p s e (en les d r e qui peut touch r des C’est un risque uvant entraîne o p e u sq ri , u a l ou de l’e pollution du so e d e u sq ri n U ne. intoxications. une même usi r u o p le b m se uisent en risques se prod s ce e d rs u e si Parfois, plu TIONS. AUX POPULA ée par E T R E L ’A D L NA lerte sera donn IG l’a , S ri E b L l’a S à D e N E is T m J’EN ant une ment nécessit En cas d’événe rieur. confine à l’inté e m je : s e n rè les si à propos in lo s lu p r e ll a Pour striel du risque indu APPRENDRE À PORTER SECOURS onnaître les différents services d’urgence C (sapeurs-pompiers, SAMU, police, gendarmerie). Alerter les secours. Apprécier l’état de conscience d’une victime en posant des questions simples ou en donnant des ordres simples. Décrire l’état de ventilation d’une personne inconsciente. Libérer les voies aériennes d’une victime inconsciente en basculant la tête en arrière et en la mettant sur le côté. 25 Mes notes exes pour se ri : les bons réfl La mise à l’ab nds le signal d Dès que j’ente ’alerte, je dois confiner… : -froid, e et mon sang lm ca n o m r e nserv ntérieur, , m’efforcer de co le plus proche nœuvrent de l’i t a n m e m se ti â ils b s’ le ts rejoindre êtres, rtes, les vole ’air (portes, fen d fermant les po s n e e é r tr e n n e fi s n le t co m’y rtures e isation, on et la climat toutes les ouve ti t la n a ti n tr u ve e lf la t ca n n ta e rrê ger, inées...) et en a ssible me chan aérations, chem o p si t e n o ti ta s d’irri io : me laver en ca écoutant la rad es et fenêtres, n rt e o é p s rm e fo d r in e ir n m’éloig e, me ten ersonne ne fum p r (90.6). e u q r re u ss m’a ou France Inte ) .8 1 0 (1 n a cé ire O France Bleu Lo Je ne dois pas : ué i, appliq ls ont, eux auss éhicule, (i v e n u ill s m n fa a d a r m e rest bres de indre les mem chercher à rejo bri), r se mettre à l’a u nes o p s e n g si n les co brement des lig m co n l’e r e it v n d’é ), téléphoner (afi ices de secours rv re se x u a s e ir a avant d’entend t nécess n e m e n fi n ion. co lieu de ordre d’évacuat n u u sortir de mon o ) u n ti n e (signal co la fin de d’alert À l’école… n charge par mo j e suis pris en s le e qui appliqu enseignant(e) de lan Particulier consignes du P , Mise en Sûreté lme pendant ca je garde mon ment, nt et le confine e m e p u ro g re le ner le bon pour ne pas gê es opérations. déroulement d Avec ma maîtresse, mon maître, j’ai aussi travaillé sur Voici ce que nous avons appris : Ce document a été réalisé par la Ville de Nantes et l’Inspection Académique de Loire-Atlantique (Christine Cuny, Patrick Hervé, François Daniel et Dominique Beaud). 26 27 Double Mixte - Direction de la communication Ville de Nantes (2009)