d`Indicibles Violences

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d`Indicibles Violences
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Centre Chorégraphique National de Nantes
Claude Brumachon Benjamin Lamarche
d’Indicibles Violences
Création 2012 pour 8 danseurs
CENTRE CHORÉGRAPHIQUE NATIONAL DE NANTES
CLAUDE BRUMACHON - BENJAMIN LAMARCHE
Studio Jacques Garnier - 23 rue Noire - 44000 Nantes
Tél : +33 (0)2 40 93 30 97 - Fax : +33 (0)2 40 93 30 11
Email : [email protected]
Site : www.ccnn-brumachonlamarche.com
N° Licences entrepreneur de spectacles
cat. 1 : 141601 - cat. 2 : 141602 - cat. 3 : 141603
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d’Indicibles Violences
Après trente ans d’exploration
et de recherche, de laboratoire
en
passion,
d’amour,
de
paradoxe, de colère, de chute en
ascension, d’images de délire, de
mouvements, d’embrassement et
d’embrasement, d’anatomie, de
muscle, Claude Brumachon a décidé
de poser un regard sur son oeuvre.
La pièce “d’Indicibles Violences”
s’envisage comme “un voyage à
l’intérieur d’un volcan de chair
extrême”.
Création le 11 septembre 2012 dans le cadre du festival
Le temps d’Aimer la Danse à Biarritz.
Chorégraphie : Claude Brumachon
Assistant : Benjamin Lamarche
Répétiteur : Vincent Blanc
Interprètes : Tarek Aïtmeddour, Aymeric Bichon
Steven Chotard, Mickaël Frappat
Julien Grosvalet, Benjamin Lamarche
Cristian Hewitt Carrasco, Martin Mauriès
Création musicale : Christophe Zurfluh
Création lumières : Olivier Tessier
Régie générale : Jean-Jacques Brumachon
Production : CCN de Nantes
Durée : 1h
Le Centre Chorégraphique National de Nantes est
subventionné par l’État - Préfet de la région Pays de la
Loire - Direction Régionale des Affaires Culturelles, la
Ville de Nantes, le Conseil Régional des Pays de La Loire
et le Conseil Général de Loire-Atlantique. Il reçoit
l’aide de l’Institut Français pour certaines tournées à
l’étranger.
Photos d’Indicibles Violences : Laurent Philippe
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d’Indicibles Violences
d’Indicibles Violences met en scène huit danseurs
dans l’instant, états de corps Nature. De leur sueur,
de leur engagement, de leur connivence, de leurs
exaltations et de leurs désirs émane une danse de
groupe, tellurique. Sur une création musicale de
Christophe Zurfluh, ils nous transportent par leur
physicalité, dans une pièce volcanique et tribale.
d’Indicibles Violences “touche à l’intime”, “on
est avant le désir”. Elle suggère de la part de
ses interprètes une mise en tension de leur être
profond, une mise en image de soi-même, d’une
nudité de l’âme. La pièce explore le corps au-delà
de ses limites. Un thème cher à Claude Brumachon
qui expérimente le corps dans ses retranchements
afin d’y retrouver “le geste primitif, un certain élan
ineffable”. Il confronte ainsi ses danseurs à “ce que
l’homme a d’égaré, de perdu dans les profondeurs
de l’âme et de la chair”. “Comment l’homme peut
être avant une société ?”
La danse est alors brute et crue. Les corps affichent
leur violence et manifestent leurs émotions
fortes. Chaque mouvement exprime quelque chose
d’indicible, un langage, celui du corps, celui des
élans pour retrouver notre animalité première.
Avec d’Indicibles Violences, Claude Brumachon fait
resurgir ce qui bouillonne en chacun de nous et
dévoile une vérité de notre condition. Il nous rappelle
que nous sommes des “êtres en vie, à l’instant-là,
présents, aimants, désirants et désirés”.
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d’Indicibles Violences
Notes d’intention de Claude Brumachon
Huit garçons au milieu de la scène. Balayements de bras,
oscillations, cisaillements des mains. Se détache un duo,
enlacement, dextérité.
Un solo, revenir au trio, au quatuor au quintet, verser dans
l’illogisme, donner l’impression.
L’envol d’une troupe d’oiseaux. Structuration abstraite,
aller vers un retour, grands oiseaux de Camargue, hérons,
flamands, grues.
Le vent. Volupté du geste, du sensuel, du charnel.
L’instinctif et l’intuitif s’insufflent dans l’action. Moitié
onirique, presque surréaliste.
Favoriser les glissements, esquives.
Les fragilités à peine dévoilées, à peine voilées.
Puiser son inspiration dans le féminin du corps masculin. La
fragilité incandescente de ces corps. Le secret et l’étrange
dans le geste contredit et contraire au genre.
Volutes de tendresse et de vulnérabilité.
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d’Indicibles Violences
Notes d’intention de Claude Brumachon
Pistes possibles :
états traversés sous l’épiderme :
Fragilité Douceur Transparence
Poids Force Sol
Énergie Rires Rapidité
Contemplation Silence Immobilité
Cruauté Perversion Méchanceté
Pudeur Dedans Timidité
Entier Direct Frontal
Intelligence Douceur Patience
Charme Innocence Séduction
Mensonge Esquive Protection
Douleur Déchirure Blessure
Tristesse Pleurs Larmes
Passion Chair Feu
Amour Paix Lenteur
Sensualité Charnalité Odeur
Discrétion Peur Fuite
Enfance Errance Bohème
Beauté Plénitude Volupté
Dépression Néant Vide
Désir Attirance Intérieur
Tempête Colère Violence
Collant Pénétrant Sueur
Abandon Lâcher-prise Ivresse
Crudité Brut Inachevé
Volcanisme Lave Intensité
Propositions des danseurs
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d’Indicibles Violences
Entretien avec Christophe Zurfluh sur la création musicale
CCNN : Comment est née la musique d’Indicibles
Violences ?
Christophe Zurfluh : La musique d’Indicibles Violences
est née suite aux échanges que nous avons eu Claude et
moi à propos de cette création dans les premiers mois
de l’année 2012 ainsi que de propositions antérieures
relatives à mon travail en cours.
CCNN : Y-a-t il eu une attente précise de la part de
Claude Brumachon pour cette pièce ?
Christophe Zurfluh : Une attente précise, certainement.
Elle se traduit par des mots, des suggestions, des
sensations exprimées, qui tracent des directions de
travail, un univers imaginaire qui ouvre un espace
défini à la création musicale.
CCNN : Est-ce compliqué de collaborer avec un
chorégraphe quand la relation avec lui est si ancienne ?
Christophe Zurfluh : Au contraire, le fait d’avoir
une relation de longue date avec Claude a facilité le
travail. Je comprends ce qu’il cherche, je connais sa
façon de travailler ainsi que sa gestuelle, nous avons
une histoire et des références communes, aussi cela
m’a-t-il permis d’aller plus directement à l’essentiel.
CCNN : Vous avez participé à de nombreuses pièces
de Claude Brumachon. Laquelle ou lesquelles
retenez-vous et pourquoi ?
Christophe Zurfluh : Evidemment je retiendrai ”Folie”
pour son unité... et parce qu’elle a eu un tel succès
auprès du public ! En fait, voilà je crois, la question la
plus difficile que vous m’ayez posée car, en définitive,
je les retiendrais toutes à différents degrés et en faire
le catalogue serait un peu... fastidieux.
Propos receuillis par Anttar Tehami en octobre 2012
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d’Indicibles Violences
Extraits de presse
Muriel Mingau – Le Populaire du Centre – Janvier 2014
L’ode aux danseurs
Avec “d’Indicibles Violences” Claude Brumachon et
Benjamin Lamarche ont composé une ode magnifique
pour les huit danseurs. Chapeau bas ! [...] Leur danse
est vitale, tribale, nourrie d’une incandescence
intérieure. Cette énergie irradiante pulvérise toutes
les limites et carcans imposés au corps. [...] Ils sont
huit sur scène, mais ensemble ils ne font qu’un.
Une force généreuse et harmonieuse circule entre
eux. [...] On pense à Rodin. On pense à Géricault. La
danse de Claude Brumachon est aussi une danse de
la posture, une danse picturale. [...]
Sophie Lesort - toutelaculture.com – Avril 2013
[...] Sous une lumière sépia, ces hommes
magnifiquement sculptés et quasiment nus, évoquent
ce besoin d’exister avec une puissance sauvage. Mi
Dieu, mi homme et mi oiseau, la fureur est le premier
moyen d’expression de cet étrange rapport entre
individus.[...]. La sensualité instinctive de ces mâles,
leur incroyable énergie de survie et la nudité de
l’âme expriment la vérité cinglante de nos origines.
[...].Cette pièce magistrale pour huit danseurs dessine
la genèse de l’être humain.
Bérengère Alfort - Danser – Décembre 2012
Juste. Le mot semble banal. Mais c’est un adage rare
en danse [...]. Et ça tombe bien : ce qui se passe
sur le plateau est fulgurant. Les duos sont hachurés
finement, les trios sont saccadés ni trop ni trop peu. Les
chairs exultent, transpirent, s’évaporent aux confins
d’une sensualité jamais gratuite ni outrancière. Plus
que beau, encore une fois, le propos chorégraphique
est juste. Il parle d’avant le désir, d’avant le conflit,
d’avant l’aventure. Ce n’est pas une pièce qui tombe
dans l’anecdote. Elle est abstraite au sens noble [...].
Les directeurs du CCN de Nantes signent là une pièce
d’orfèvre. Jamais répétitive, jamais vulgaire [...] On
reste sur le carreau. Dans un état sensoriel entêtant et
romanesque, lyrique sans être emphatique. Plus que
beau, ce moment est juste. Donc rare et précieux.
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Claude Brumachon & Benjamin Lamarche
Après une formation aux cours du soir des Beaux-Arts de
Rouen, Claude Brumachon découvre la danse. Il trouve
son premier grand engagement aux Ballets de la Cité de
Rouen en 1978 où il reste pendant deux ans, puis travaille
avec plusieurs chorégraphes. En 1980, il commence ses
recherches avec Benjamin Lamarche qui deviendra son
interprète privilégié et complice de toutes ses créations.
Dès cette époque, il compose ses premières pièces
chorégraphiques, “Niverolles Duo du Col” (1982), “Il y a
engoulevents sur la branche d’à côté” (1983). Il participe
au concours de Bagnolet avec “Atterrissages de corneilles
sur l’autoroute du sud“ qui remporte trois prix.
La compagnie “Les Rixes” est fondée officiellement en
1984. En quatre ans, le chorégraphe crée dix pièces dont
deux majeures en 1988 : “Texane” (également primée
au concours de Bagnolet) et “Le Piédestal des Vierges”
qui imposent leur style à une gestuelle reconnaissable.
Elle enchaîne rapidement des séquences de mouvements
tranchés, acérés, découpant le corps et l’espace. La
réputation du chorégraphe s’installe. En 1989 émerge
“Folie”, de nouveau un très grand succès. Sa danse est
d’une étonnante virtuosité, poussant à son apogée les
prouesses techniques de chaque danseur pour mieux
exprimer une émotion, un état. Scènes de désirs ou de
souffrance, de violence et de sensualité, ses pièces sont
des récits de l’indicible, des miroirs de mondes intérieurs
déchaînés, poussés jusqu’au bout de leur loi.
Chaque jour, sans cesse à l‘écoute des différences, à
chaque moment alertes et vigilants, Claude Brumachon et
Benjamin Lamarche, se font chercheurs de mouvements
poétiques et énergiques. Ils créent une danse tour à tour
énergique et tourmentée, lyrique et passionnée, élevée
et romantique puis terrestre et lourde de sens.
Des errances de Molière, ils font avec “Histoire d’Argan le
visionnaire” (2007) un spectacle lumineux et facétieux en
hommage à l’artiste. De la société de consommation, ils
font un “Festin” (2004) charnel et sensuel où la proximité
éclate au visage du spectateur. Avec “Phobos” (2007), ils
s’aventurent dans les peurs irrationnelles et universelles.
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En janvier 2012, ils créent “Ashbury St”, chorégraphie
pour 14 danseurs, inspirée du mouvement hippie et
qui rend compte de l’état de corps dans lequel l’être
est face aux injustices. La même année, ils continuent
leur travail de création, “La Traversée”, avec un groupe
d’adolescents en situation de handicap du collège de La
Durantière de Nantes. Un travail soutenu depuis 2009 par
l’APAJH 44 (Association Pour Adultes et Jeunes Handicapés
de Loire-Atlantique) lors de la création “Les Explorateurs
de Temps”.
En septembre 2012, il créée au festival Le Temps d’Aimer
la Danse de Biarritz, “d’Indicibles Violences”, premier
volet d’un triptyque envisagé comme “un voyage à
l’intérieur d’un volcan de chair extrême”.
Claude Brumachon prépare actuellement une création
“Les Exilés” qui aura lieu en juin 2014 au Musée Zadkine
à Paris.
Pionniers, chercheurs, guides, ambassadeurs, Claude
Brumachon et Benjamin Lamarche sont animés par une
volonté et un désir d’être — avec les danseurs — passeurs
d’une danse, pour éveiller la curiosité de tous et susciter
un questionnement à l’égard de l’art vivant.
Ensemble, ils développent de nombreuses collaborations
avec des compagnies de par le monde, comme au Nigeria
(pour “Les Larmes des Dieux”, 1996), au Chili avec la
compagnie Movimiento (pour “Los Ruegos”, 1997), à
Prague (pour “Le Témoin”, 2002), à Buenos Aires (pour
“La Conséquence”, 2012) et au Chili (pour “Des Instants
Volcaniques”, 2012).
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Le Centre Chorégraphique National de Nantes
Claude Brumachon et Benjamin Lamarche dirigent le
Centre Chorégraphique National de Nantes (CCNN) depuis
1992. Claude Brumachon a signé plus de quatre-vingtsdix chorégraphies originales avec ses propres danseurs,
avec des danseurs de ballets français ou étrangers et
aussi avec des enfants. Le plaisir de danser s’associe
au partage, aux rencontres avec un large publicdans les
théâtres ou parfois dans des lieux insolites (hangars,
bains romains, musées...). La vie de la compagnie est
rythmée par les créations et les tournées. La transmission
du répertoire est également importante pour Claude
Brumachon et Benjamin Lamarche. Ils animent des
ateliers chorégraphiques et des stages auprès de danseurs
professionnels ou amateurs et organisent régulièrement
au CCNN des répétitions publiques, des conférences ou
des rencontres autour de projections vidéos. Il s’agit de
sensibiliser un public à la danse en général et à la danse
contemporaine en particulier ; d’éveiller la curiosité de
tous et de susciter des questionnements à l’égard de cet
art vivant.
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Pièces créées par Claude Brumachon
1982
Niverolles, duo du col
1983
Il y a des engoulevents sur la branche d’à côté
Epervière
1984
Atterrissage de corneilles sur l’Autoroute du sud
Nyroca Furie
Le Sirli de Béjaïa (pour le JBF)
La Tristesse des pingouins dans l’Arctique
1985
Oc le narquois et Oriane l’effraie
1986
Le Roncier où songe l’aimante Pie-Grièche
Vagabond des Bastides
La Dérive des fous à pieds bleus
1987
Attila et Nana, les moineaux friquets
Les Querelles de Harfangs (pour le JBF)
La Complainte du Gerfaut (pour les élèves du
CNDC d’Angers)
1988
Texane
Bricolage Secret (avec la classe de CM1 de l’École Coquibus à Évry)
Le Piédestal des vierges
Les Naufragés (pour les élèves du Laban Center, Londres)
1989
Féline (GRCOP, Groupe de Recherches
Chorégraphiques de L’Opéra de Paris)
Folie
Le Chapelier travaille du chapeau (avec la classe de CM2 de l’École Coquibus à Évry)
1990
L’enfant et les sortilèges (pour l’Opéra de Nantes)
1991
Éclats d’Absinthe
Fauves (créée dans un hangar nantais pendant les Allumées - Saint Petersbourg)
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Pièces créées par Claude Brumachon
1992
Alice au pays des Merveilles (avec une classe de CM2 d’une école de la Géraudière - Nantes)
Les Funambules du Désir (pour le JBF)
1993 Nina ou la voleuse d’esprit (créée au Musée des Beaux-Arts de Nantes)
Émigrants
Les Amants gris (pour le CNSMDP)
1994
Bohèmes Hommes
1995
Les Avalanches
1996
Les Larmes des Dieux (pièce franco-nigériane)
Una Vita (spectacle en extérieur) / Icare
1997
Bohèmes Femmes
Le Magicien d’Oz (avec des enfants de l’école de Malakoff - Nantes)
La Blessure (duo pour B. Lamarche et M.C. Pietragalla) Les Nuits perdues (Raatikoo Ballet d‘Helsinki)
Los Ruegos (Chili)
Une Aventure Extraordinaire (jeune public)
1998
Dandy / Humains dites-vous !
1999
La fracture de l’âme
Embrasés
Les murailles d’hermine (Ballet du Rhin)
La femme qui voulait parler avec le vent
Les voyageurs d’innocence (pour le Ballet de Marseille)
Absence (Cie Movimieto, Chili)
2000
Hôtel Central
Imprévus ou les porteurs de rêves
Pinocchio (avec la classe de CM2 de l’Ecole Jean-
Les Chemins oubliés ou le temps d’un songe Moulin/Malakoff - Nantes)
(Hommage à Jules Verne)
2001
Rebelles
Les Coquelicots Sauvages
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Pièces créées par Claude Brumachon
Voyages de Gulliver (avec la classe de CM2 de l’Ecole Jean-Moulin/Malakoff - Nantes)
L’Ombre des Mots (avec la section art dramatique du CNR de Nantes)
Le Témoin (création franco-tchèque)
2003
Boxeurs et Vagabondes
Écorchés Vifs (Musée Bourdelle à Paris)
L’héroïne ou la gloire imprudente (pour le Ballet de Lorraine)
2004
Le Festin
2005
Orphée (opéra dansé - Grand Théâtre de Limoges) Les Petits Poètes (avec la classe de CM1 de l’Ecole 2002
Maison Neuve - Nantes)
La Mélancolie des Profondeurs (avec A Sei Voci)
2006
Ellipse
2007
Histoire d’Argan le Visionnaire
Silence / Phobos
2008
Le Labyrinthe / Androgynes
2009
Les Explorateurs de Temps (Festival Handiclap)
Les Fugues (avec 18 jeunes saint-quentinois)
Merveilleux (avec les classes de CM1 et CM2 de l’Ecole Maison Neuve - Nantes)
La Désobéissance
2010
Liberté (dans le cadre des BIS 2010)
Le Prince de Verre (Chaillot)
2011
Opulences Tragiques (Musée des Beaux-Arts de Nantes) Adrénaline (Cie Imperfect Dancers, Pise)
2012
Ashbury St. (dans le cadre des BIS 2012)
Absalon l’Insurgé
La Traversée (Festival Handiclap) d’Indicibles Violences (Festival Le Temps d’Aimer la
Danse de Biarritz)
2013 Un Bruissement de Volupté
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Informations pratiques
Diffusion - production
Email. [email protected]
Communication
Anttar Tehami
Tél. +33 (0)2 40 93 31 77
Email : [email protected]
Administration
Francis Sastre
Email : [email protected]
Relations publiques
Pauline Talon
Tél. +33 (0)2 40 93 31 25
Email : [email protected]
Répétiteur et responsable pédagogique
Vincent Blanc
Email : [email protected]
Technique
Jean-Jacques Brumachon
Email : [email protected]
Comptabilité
Nicolas Chantebel
Tél. +33 (0)2 40 93 30 97
Secrétariat
Roxana Del Castillo
Tél. +33 (0)2 40 93 30 97
Email : [email protected]
Renseignements
Centre Chorégraphique National de Nantes
Claude Brumachon – Benjamin Lamarche
Studio Jacques Garnier - 23 rue Noire – 44000 Nantes
Tél. +33 (0)2 40 93 30 97 / Fax + 33 (0)2 40 93 30 11
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