L`Algeria nella graduatoria economica, sociale e di governo tra i
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L`Algeria nella graduatoria economica, sociale e di governo tra i
Depuis l’entrée en vigueur de l’Accordo d’Association il n’y a pas eu les effets escomptés dans les relations économiques entre l’Algérie et l’Union Européenne : les échanges commerciaux, au lieu d’augmenter avec le lancement du démantèlement tarifaire, ont diminué d’environ 10% (en 2005 ils couvraient 66% des besoins algériens, aujourd’hui environ 54%), et le commerce extérieur algérien s’oriente de plus en plus vers les Pays asiatiques et du Moyen Orient (+20% annuellement avec la Chine, Turquie et Dubai), avec des répercutions préoccupantes sur l’échange commercial avec les partenaires européens, (le niveau de marché de la France, traditionnellement premier partenaire commercial du Pays, s’est réduite à 20% au premier semestre 2007). Les premiers neuf mois de 2007 les principaux clients de l’Algérie ont été les Etats-Unis (10,94 milliards de dollars), l’Italie (6,14) , l’Espagne (4,58), la France (3,31), le Canada (3,04), les Pays Bas (2,27), la Turquie (1,46). Les principaux fournisseurs sont la France, l’Italie,la Chine, les Etats-Unis et l’Allemagne. Coopération Algérie-Emirats Arabes Unis Sont encore bloquées par le syndicat des travailleurs portuaires, les négociations entre le Gouvernement algérien et Dubai Ports World, qui permettent à ce dernier d’acheter 50% du terminal containers de Djendjen au coût de 220 millions de dollars nécessaires pour acquérir la concession et moderniser les structures portuaires. Les Emiratis auraient investi dans le secteur de l’immobilier plus de 20 milliards de dollars En outre selon l’Oxford Business Group, la société productrice d’aluminium de Dubai, Dubal serait intéressée à réaliser à Bellara (Jijel), en participation avec les sociétés algériennes Mubdala et Sonatrach une fonderie d’aluminium géante à un coût estimé à 5,5 milliards de dollars. La First Gulf Bank (FGB) a présenté au mois d’octobre une demande d’autorisation pour opérer en Algérie. La FGB qui opérera avec la création d’une filiale de droit algérien, compte être opérationnelle au premier semestre 2008 avec l’objectif d’appuyer les opérations d’investissement dans les secteurs de l’immobilier et du tourisme de luxe des entrepreneurs des Emirats Arabes. Elle entend participer activement aux opérations de privatisation des groupes publics algériens en soutenant les investisseurs des Emirats. La FGB avec un capitale de plus de 15 milliards de dollars est l’une des plus importantes institutions financières des Emirats arabes unis. Selon des informations de l’Oxford Business Group, le groupe des Emirats aurait investi dans le secteur immobilier plus 20 15 milliards de dollars, un chiffre supérieur à celui programmé par le même groupe pour la Tunisie (14 milliards). Les 4 mégaprojets immobiliers (la nouvelle ville de Sidi Abdellah qui s’étend sur environ 1500 hectares, la modernisation de Staoueli, le réaménagement du front de port d’Alger, la réalisation d’un complexe touristique de luxe sur la plage près de la capitale) qui seront mis en chantier à Alger et environs sont à considérer comme les investissements plus significatifs réalisés dans le secteur immobilier. Coopération Algérie-Egypte Bouteflika avec Mubarak En visite au mois de septembre dernier, le Ministre égyptien du Commerce et de l’industrie a réitéré l’intérêt de son Pays pour le marché algérien. Les deux Pays seraient sur le point de préparer un accord pour la création d’ine zone de libre échange visant à améliorer l’inter-échange commercial. L’Egypte avec 3 milliards et 280 millions de dollars est le plus grand investisseur étranger en Algérie, excepté dans le secteur des hydrocarbures. Orascom Telecom à elle seule a investi 2,2 milliards de dollars qui s’ajouteront aux 450 millions investis par la Orascom costructions dans le secteur du ciment. Les exportations égyptiennes vers l’Algérie ont été en 2006 de 198 millions de dollars, en augmentation de 42% par rapport à l’année précédente, alors que celles algériennes vers la Caire ont diminué de 26%, de 598 à 420, respectivement. Coopération Algérie-France Bouteflika avec Sarkozy La France, à la première place comme fournisseur de l’Algérie – avec un niveau de marché de 20,6% -, est deuxième après les Etats-Unis, comme investisseur. Les investissements directs dans le Pays arrivent à environ 300 millions de dollars (369 les investissements américains), alors que sont présents sur le marché algérien 250 filiales de groupes français qui emploient environ 20.000 personnes. La société française Dalkia, filiale d’EDF, spécialisée dans la fourniture de services énergétiques aux collectivités, compte investir en Algérie environ 60 millions d’euros dans les prochains trois ans. Les 20 premiers sont destinés à l’achat de petites entreprises algériennes publiques et privées qui opèrent dans le secteur des services sanitaires. La société compte développer sa présence en Algérie pour gérer des services sanitaires publics, industriels et des services. Coopération Algérie-Allemagne Au mois de septembre 2007 a été lancé le programme algéro16 allemand de développement économique durable dont l’objectif est l’amélioration de la compétitivité des petites et moyennes entreprises algériennes avec un nombre de travailleurs inférieur à 20. Le programme tire profit de l’expertise du groupe allemand GTZ, organisme de coopération internationale et de développement, il a une durée de 8 ans et un engagement financier de 8,7 millions d’euros. Coopération Algérie-Norvège Afin d’intensifier les rapports de coopération entre Alger et Helsinki spécialement dans le secteur énergétique, au mois d’octobre a été officiellement inauguré la représentation diplomatique norvégienne dont le gouvernement a décidé de transférer sa représentation de Tunis à Alger. La coopération pour l’exploitation d’importants gisements de gaz norvégien a déjà été lancée. Les algériens collaboreront à l’exploitation d’un gisement de gaz norvégien dont la capacité est estimée à environ 4 milliards de mètres cubes et dont la production sera entièrement vendue aux Etats-Unis. Coopération Algérie-Royaume Uni Les échanges commerciaux entre l’Algérie et la Grande Bretagne ont enregistré un saut qualitatif après l’entrée en vigueur de l’accord Sonatrach-British Petroleum (BP) de 2005 qui prévoyait l’exportation de gaz liquéfié vers la Grande Bretagne. La valeur des exportations algériennes a augmenté e 2006 à 1,970 milliards de dollars, alors que les importations algériennes ont été d’environ 952 millions de dollars, valeurs qui ont permis à l’Algérie de se placer à la 2ème place comme exportateur. L’Algérie se place à la 3ème place comme Pays fournisseur de gaz liquide à la Grande Bretagne en couvrant 5% environ de la consommation de ce Pays, pourcentage destiné à croître jusqu’à 12% dans les prochaines années. La présence anglaise en Algérie, spécialement dans le secteur de l’énergie, est destinée à augmenter, comme du reste en témoigne l’œuvre de la BP qui, avec 4 milliards de dollars d’investissement, est le plus grand investisseur dans le Pays. Récemment a rouvert à Alger le Bureau du British Council, et le Duca de York a effectué une visite dans la capitale accompagné d’une délégation économique. Cooperazione Algérie-Russie L’Algérie est devenue ces dernières années, pour le secteur de 17 l’armement, un important client de la Russie. En 2006 le nombre de contrats signés entre les deux Pays pour l’achat d’armements a atteint un haut niveau. Selon des sources de la presse locale le montant des contrats pourrait être aux alentours des 15 milliards de dollars. Le montant des contrats serait de 15 milliards de dollars Chasseur Sukhoi La marine nationale et l’agence d’exportation d’armements russe Rosoboronexport ont conclu un contrat qui prévoit la réparation et la modernisation de deux navires militaires algériens à un coût estimé d’environ 800, 900 millions de dollars. Du côté russe on attend la signature d’un accord avec la marine algérienne pour la modernisation de quatre frégates de la classe Koni et de corvettes lance-missiles de la classe Nanuchka. Des négociations sont en cours également pour la fourniture de chasseurs-bombardiers de type Sukhoi (Su-30MK et Su-32) qui pourraient être équipés de missiles air-air et bombes à grappe. L’Algérie compte en outre, selon des sources de presse russe (Moscou Defense Brief) achetre des avions 40 MIG29 SMT pour remplacer ses MIG 27, 28 chasseurs Su-30MK, 8 groupes de missiles antiaériens S-300 PMU et environ 40 blindés T-90, partie d’une plus grande commande d’environ 550 blindés de la série T90 et T72. Selon la revue russe Kommersant l’Algérie aurait l’intention d’acheter le système anti-aérien Pantzyr-S1 (missile anti-missile sol-air) et aurait déjà signé un contrat pour l’achat d’armes pour un montant de 3,5 milliards de dollars. Coopération Algérie-Etats Unis Selon le dernier rapport de Peterson Institute for International Economics l’Algérie serait à la neuvième place parmi les Pays qui investissent aux Etats-Unis. Environ la moitié des réserves en devises du Pays (49 milliards de dollars) serait investie sous forme de bons du trésor américain, des obligations peu risquées qui produisent environ 5% par an. La société mixte algéro-américaine Brown & Root and Condor (BRC) d’engineering et construction créée en 1994, avec un capitale détenu à 40% par Sonatrach, 11% par le Centre de recherche nucléaire de Draria et 49% par Kellog Brown & Root (KBR), filiale du groupe américain Halliburton, elle sera mise en liquidation. En août dernier la Sonatrach aurait repris – pour un montant de 24 millions de dollars- 49% des biens de la KBR. L’annonce est venue après la mise à la lumière d’une série de scandales qui ont vu la Sonatrach confié 27 projets à la BRC de gré à gré en violation de la réglementation qui concerne les entreprises publiques et avec facturation en noir. Le fond d’investissement américain T.Rowe Price aurait décidé d’inclure l’Algérie dans la liste des Pays émergeants et 18 aurait l’intention de lancer des fonds communs d’investissement aux Pays émergeants de l’Afrique et du Moyen Orient. Rumsfeld avec Bouteflika La coopération militaire entre l’Algérie et les Etats-Unis, porté en avant suite à la visite en février 2006 de l’ex secrétaire à la défense Rumsfeld, a connu une phase de freinage pour l’annonce de Pentagone, au début de 2007, du projet de création d’un commando régional africain (Africom) à réaliser en autome 2008 dans un Pays africain pas encore identifié, pour intensifier la lutte contre le terrorisme au Maghreb et dans les Pays du Sahel. L’Algérie, à plusieurs occasions, a réitéré de ne pas être disponible ni intéressée à abriter le siège de l’Africa Command. Coopération Algérie-Vénézuela L’Institut algérien du pétrole (IAP) et la société Petroleos du Venezuela ont signé en octobre dernier un accord pour la formation de 420 techniciens de la société vénézuelienne de la part de l’IAP à un coût de plus de 12 millions de dollars. Appels d’offres gagnés par les entreprises italiennes Saipem Contracting Algeria La Saipem Contracting Algeria, présente sur le marché local depuis 1973 s’est adjugé en avril dernier un contrat – signé le 8 novembre dernier-, en société avec la Lead Contracting, pour la réalisation du gazoduc entre le gisement de Hassi R’mel et les raffineries d’Arzew, (500 Km) à un coût d’environ 500 millions d’euros, à achever en 26 mois à compter du mois de décembre prochain. Entreprise Pizzarotti Le 8 novembre l’Entreprise Métro d’Alger a assigné à l’entreprise Pizzarotti la réalisation de la première ligne du tram de Constantine. L’Entreprise Pizzarotti s.p.a. est chef de file d’un groupement composé de Pizzarotti Algérie, Alstom Ferroviaire s.p.a. et Alstom Algérie. Le montant du marché est d’environ 300 millions d’euros (HT) et les délais de réalisation sont de 30 mois. Société Trevi Le 8 novembre a été adjugée le marché pour la réalisation de la deuxième ligne de Métro d’Alger au groupement d’entreprises 19 Diwidag (Allemagne) ; Cosider (Algérie et Trevi (Italie). L’extension, qui devra être achevée dans un délai de 32 mois, concerne la liaison de la station de Hai El Badr à celle d’El Harrach (réseau B), long d’environ 2,8 km. La Société Trevi a déjà exécuté, en qualité de sous-traitant du Consortium Diwidag-Cosider, le premier tronçon de ligne du Métro d’Alger. Investiments directs italiens Au mois d’octobre a été constitué la société mixte italoalgérienne (Gencopharm) – entre l’italienne Cophital et l’algérienne Genericlab- pour la production de collyre stérile, la première du genre en Algérie. Pour la fabrication, qui produira annuellement 3 millions de boites et 20 produits stériles, a été déclaré un investissement égal à 6 millions d’euros. Missions Société Stabila L’Ing. Stefano Querci, Directeur Général de la Société Stabila (opérant dans le secteur de la production de matériel céramique), est venu à Alger le 22 et 23 octobre, pour des rencontres au Ministère des Participations et de la Promotion des Investissements, visant à sonder les opportunités qu’offre le Pays. Agence du Territoire Le Directeur de l’Agence du Territoire, Ing.Antonio De Santis, est venu à Alger (30-31 octobre) dans le cadre de la coopération italo-algérienne dans le secteur du cadastre, pour la mise au point d’un système informatisé du cadastre algérien. L’école italienne “ROMA” à Alger En Algérie l’école italienne “Roma”, déjà présente et active à Alger depuis 1968, a été un exemple apprécié de formation et de diffusion de la culture italienne jusqu’en 1993, année où elle ferma pour les bien connus motifs de sécurité. En 2006 les temps étaient mûrs et grâce à la forte volonté du Gouvernement italien et au climat de grande coopération à plusieurs niveaux des deux Pays, les représentants des Gouvernements d’Italie et d’Algérie ont conclu un accord bilatéral, ensuite ratifié officiellement par le Gouvernement algérien, de reconnaissance de la nouvelle italienne “Roma”. 20 En plus, le volume augmenté des échanges commerciaux, techniques, culturels et de formation qui voit l’Italie partenaire privilégié de l’Etat algérien, avait déterminé depuis quelques années déjà une présence notable sur le territoire de sociétés, de projets, d’organisations avec du personnel italien. Elèves à l’Ecole italienne “Roma” L’école italienne “Roma”, répond donc aux exigences vrai des familles italiennes à Alger : dépasser les difficultés d’adaptation et donner à ses enfants une éducation et une instruction selon les standard didactiques italiens. L’école italienne “Roma”, une parmi les premières institutions scolaires étrangères en Algérie, a été inaugurée officiellement par le Président du Conseil italien Romano Prodi, à l’occasion de sa visite à Alger en novembre 2006. Le MIUR, le Ministère de l’instruction, de l’Italie est en train d’aller vers la reconnaissance de l’école, qui pourra comporter l’agrandissement de l’offre éducative même avec plus d’ordres et de degrés d’instruction et du corps enseignant. Un autre pari pour la communauté italienne! Merci donc, pour l’engagement des volontaires de l’Association qui gèrent l’école et encore plus pour le support essentiel et précieux des Société italiennes, sans lesquelles ce rêve n’aurait pas pu se réaliser. Les sponsors ont été : ENI ALGERIA-ANSALDO ENERGIA-ASTALDI-BONATTIPRODECO- CHEF EXPRESS -ARL NUOVO CASTOROTARROS-C.M.C.-Q&T-SAFET-GARBOLI-ARTIGIAN SERVICE-TREVI-COTRAMIX-MASSARO-BURSIGARAVELLI L’Ecole italienne répond aux exigences vraies des familles italiennes à Alger Pour toutes informations : ECOLE ITALIENNE “ROMA” 3, rue Pierre Loti Les sources-Bir Mourad Rais Algeri Téléphone secrétariat 00213 54669660 Di-Jeu 08h00-10h00 et 13h00-15h00 Rédaction: Gloria M. Bellelli – Responsable du Bureau Commercial [email protected] Traduction et graphisme: M. D. [email protected] Le Bulletin est on-line sur www.ambalgeri.esteri.it<newslettere> 21
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