voyage dans les - Les Déchargeurs

voyage dans les
mémoires d’un
fou / lionel cecilio
19h30 mardi au samedi
12 au 30 avril 2016
coréalisation les déchargeurs et la compagnie
psk productions
le spectacle est présenté avec le soutien de
suivez-nous
tarif de 10 à 26 €
durée 1h15
photo alizée gau / conception graphique ©le pôle media pour les déchargeurs - licence E.S. 1-1056372 / 2-1069125
Appliquez-vous dans vos erreurs,
les gens ne se souviendront
que de vos faux pas.
RELATIONS PRESSE
relations médias nolan productions
nicolas perron
06 03 40 07 04 / [email protected]
cécile laligan
06.12.32.64.19 / [email protected]
3, rue des déchargeurs
75 001 paris • m°châtelet
marie-julie bourdeau
le pôle presse pour les déchargeurs
01 42 36 70 56 / 07 61 16 55 72
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revue de presse (extraits)
C’est une comédie, c’est un spectacle qui
fait rire, c’est un spectacle aussi qui renvoie à sa propre expérience, ses propres
ressentis, ses propres réflexions C’est excellentissime.
Stéphane Pontacq
Cette pièce à la fois poétique et drôle nous
fait voyager dans l’univers très captivant
d’un jeune homme Un spectacle émouvant et parfois très amusant interprété par
Lionel Cecilio qui ne manque pas de nous
surprendre tout au long de sa pièce.
Lisa Boudon
Un texte à l’intelligence rare, à la force
poétique, à la cruauté débridée trouve
échos dans le public. De l’émotion et des
larmes rendent la “folie” de Lionel Cecilio
plus douce et plus interrogative. Une très
belle surprise dans le foisonnement de ce
festival off 2015, prenez le temps du détour.
Bernadette Teyssonnières
Coup de coeur absolu au festival d’Avignon off 2015, Voyage dans les mémoires
d’un fou de et avec le talentueux Lionel
Cecilio, et la non moins talentueuse Johanna Dilolo à la régie. Un spectacle poétique, drôle, sensible et un comédien virtuose à découvrir absolument.
Sabine Napierala
Il faut reconnaître à Lionel Cecilio un véritable talent de comédien maitrisant un
texte somme toute pas évident.
Yves Alexandre
La gaieté succède à l’angoisse, la drôlerie
à la tristesse, le cauchemar au rêve. On
nous ouvre ainsi les portes de l’intime, du
rêve, du non-dit.
Karine Prost
Un voyage extraordinaire qui nous emmène loin de ce monde, mais aussi près
de nous, de notre propre vie, de nos
propres sentiments, et de notre propre vision de ce monde, qui peut nous paraitre
si fou! En un mot le personnage n’est pas
un fou mais un poète! Un génie!
Céline Pilati
Ecrit et interprété magistralement par Lionel Cecilio . Ce jeune comédien fougueux,
sensible et spirituel est doté d’une dextérité créatrice et corporelle enchanteresse.
Une vraie découverte.
Katy Sroussy
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DISTRIBUTION
Auteur Lionel Cecilio
Metteur en scène Lionel Cecilio
Compositeur Lucien Pesnot
Lumières Johanna Dilolo
Décors Jérôme Tomray
Costumes Flavie Silvestre
Chorégraphies Sylviane Bauer-Motti
Avec Lionel Cecilio
LA PIÈCE
Un jeune homme vient d’apprendre qu’il était atteint d’une maladie incurable et mortelle. Il décide d’écrire à un lecteur imaginaire pour le faire dépositaire de ses mémoires. En replongeant
dans ses souvenirs, il s’offre une seconde vie et renaît sous nos yeux.
MOT DE L’AUTEUR
C’est en donnant une lecture publique des Mémoires d’un fou de Flaubert en 2012 que tout
a pris forme. Ce roman pour le moins méconnu, m’a tout de suite frappé et m’a éclairé sur le
prisme par lequel je devais aborder le spectacle. Il s’agissait de rendre un instantané drôle et
tendre de notre monde, de ses nombreuses absurdités, mais il me manquait quelques chose.
Une adresse pour le dire et surtout un moteur qui validait le propos en évitant de tomber dans
l’écueil du « donneur de leçon ». J’ai fini par trouver un moteur pour mieux parler de la vie : la
mort. Comme le dit l’un des personnages du spectacle « on commence à croire en la vie quand
on finit par prendre conscience de la mort. » Puis, grâce à Flaubert j’ai trouvé une idée pour
l’adresse. Le spectacle est finalement loin du roman, mais je lui suis resté fidèle dans la forme en
conservant le principe de mémoires adressées à un lecteur. Mais contrairement à Flaubert, ici
rien n’est sûr, le lecteur est hypothétique, supposé, espéré.
Lionel Cecilio
MOT DU METTEUR EN SCENE
Concernant la mise en scène, je voulais qu’il y ait une profonde et constante cohérence entre l’univers visuel et sonore. Il m’importait que la musique et les lumières se confondent pour emmener le
spectateur ailleurs. Je voulais faire du spectacle un véritable voyage. Embarquer le spectateur, qu’il
n’ait jamais l’impression d’être dans un théâtre, qu’il ne sache d’ailleurs même pas où il se trouve
et qu’il ne se pose jamais la question. Une dimension parallèle comme un rêve, dont on ne prend
conscience que lorsque l’on en sort en se réveillant.
Par ailleurs, j’ai tenu à respecter l’unité de temps et de lieu, ainsi que la notion d’urgence qui sont si
précieuses selon moi au théâtre. J’ai donc imaginé trois espaces scéniques renvoyant au présent, au
passé proche et au passé plus ancien du personnage. Tout devant être très clairement distingué, le
plus propre possible, le plus lancinant possible, afin de pouvoir tout faire voler en éclat lorsque la
vie, éperonnée par la mort pressante en fin de spectacle, prendra le dessus. C’est donc une nuit que
vous allez passer avec ce jeune homme duquel vous ne savez rien au départ de la pièce. Une nuit,
dans une chambre que j’ai volontairement voulu modeste afin de remettre au centre des questionnements du spectacle, l’équilibre entre richesse matérielle et richesse personnelle. Enfin, la maladie
affectant le corps, il fallait marquer la cassure entre un esprit libre et un corps figé devenu une prison. J’ai donc beaucoup travaillé sur le mouvement et la tenue du personnage.
Lionel Cecilio
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EXTRAITS
- Enfant, j’avais mal à l’être, Jeune homme mal au coeur, et à présent adulte j’ai mal au corps.
- Les mots se jouent de nous peut être plus qu’on ne joue avec eux.
- Je suis contraint à regarder défiler les nuages sans aucun espoir que le vent ne m’emmène avec eux.
- Le désir est un enfant gâté, il faut tout lui céder parce qu’il est l’encre de nos vies.
- Vous voyez quand vous refusez de vous laisser vivre, vous repoussez un peu l’heure de la mort.
- Ma bouche s’ouvrait mais aucun son ne sortait, comme dans ces rêves où tu voudrais crier mais
tu ne peux pas.
- Regarder, comprendre, retranscrire et sublimer par la manière de son récit. Le prophète est le
poète.
- Certains jours, j’avais envie de hurler à en mourir ! Me vider dans un cri et mourir !
- La société me rappelait sans cesse à la trivialité bestial de son commerce.
- Dans les bras d’une femme, quand la lumière s’éteint le noir ne se fait pas.
- Appliquez-vous dans vos erreurs, les gens ne se souviendront que de vos faux pas.
- Non, je ne suis pas mort. Mon esprit est libre.
PARCOURS
LIONEL CECILIO / auteur, metteur en scène, interprète
Jeune Talent Cannes Adami, Festival de Cannes pour le film Scène de Vestiaire, réalisation Frédéric Malègue
(2011)
FORMATION
Ecole des Enfants Terribles - professeurs Jean Bernard Feitussi, Joel Demarty, Michel Lopez, Jean Claude
Sussfeld, Maxime Leroux (Paris, 2002-2004)
REPERES
Théâtre
Aladin, de et mise en scène Jean-Philippe Daguerre (Théâtre du Palais Royal, Paris, 2011-2016)
Un air de famille, d’Agnès Jaoui & Jean-Pierre Bacri, mise en scène Xavier Gojo (La comédie Saint
Michel, Paris, 2014-2016)
Fête comme chez moi, de et mise en scène Paul Buresi (Théâtre Apollo, Paris, 2013)
Magnificat, de Bernard Da Costa, mise en scène Stéphane Bouvet (Théâtre de Perigueux - Scène
conventionnée, Périgueux, 2011)
L’île des esclaves, de Marivaux, mise en scène Jérômr Tomray (Festival les chants de la dore, Novacelles, 2010)
Le médecin malgré lui, de Molière, mise en scène Sylvain Le Marié (Théâtre du Gymnase, Paris,
2009-2010)
Les fourberies de scapin, de Molière, mise en scène Michel Bouttier (Théâtre du Marais, Paris,
2009)
Les 3 soeurs, d’Anton Tchekhov, mise en scène Natascha Mash (Vingtième Théâtre, Paris, 2008)
La nuit est aussi un soleil, de Fernando Arrabal, mise en scène Véronique Seltz - Théâtre des deux
rêves, Paris, 2008)
Suite royale 2026, de Lionel Cecilio, mise en scène Rebecca Stella (Théâtre de Nesle, Paris, 20062009)
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Ahmed le subtil, d’Alain Badiou, mise en scène Françoise Perez-Defigeas (Vingtième Théâtre, Paris,
2006)
Lorca, passion et mort, de Federico Garcia Lorca, mise en scène William Orrego Garcia (Théâtre de
Nesle, Paris, 2005)
Monologue pour les vivants, de Lionel Cecilio, Rebecca Stella (Théâtre Le Trianon, Paris, 2005)
Cinéma
Les Héritiers, réalisation Marie-Castille Mention-Schaar
Tornarem, réalisation Felipe Sole
Scène de Vestiaire, réalisation Frédéric Malègue
Nouvelle Cuisine, réalisation Vincent Hazard
Mention Spéciale du Jury Festival Aubagne (2012)
Télévision
L’affaire de Maitre Lefort, téléfilm, France2, réalisation Jacques Malaterre
Nos Chers Voisins, série, TF1, réalisation Nath Dumont
Scènes de Ménages, série, M6, réalisation Francis Duquet
Transporter the serie, série US, réalisation Brad Turner
Sophie et Sophie, série, Canal+, réalisation Sylvain Fusée
Le bonheur des Duprés, téléfilm, TF1, réalisation Bruno Chiche
JOHANNA DILOLO / créatrice lumière
FORMATION
UFR LASH Sophia Antipolis Lettres modernes - option cinéma, Nice (2006-2009)
Conservatoire libre du cinéma français, Paris (2009-2011)
REPÈRES
Théâtre - Création lumière Connexion, création d’Oriane Blin, cie Les Faces Cachées (Bouffon théâtre, Paris, 2015)
The Great Disaster, de Patrick Kermann, mise en scène de Anne Mazarguil Darius Milhaud, Paris,
2015)
La Plume au Fusil, Journées du Patrimoine (Théâtre du Kalam, Colombes, 2014)
Ah les hommes, les Mâles aimés, (Théâtre de Ménilmontant, Paris, 2015)
Petits Meurtres et Contes de Fées, (Avignon Off, Théâtre Notre Dame, juillet 2014)
Théâtre - Régisseuse générale Happyprod
Fabrice Luchini et moi, de et mise en scène Olivier Sauton (Théâtre de l’Archipel, Paris, 2016)
Concert - Création lumière
Landing, groupe Third Clouds (Résidence artistique La Rue, Mandres-les-Roses, 2014)
5
LUCIEN PESNOT / compositeur
FORMATION
Studio Ecole de France - technicien-réalisateur, Boulogne (2003-2005)
REPÈRES
Écriture sonore et composition
La nuit est aussi un soleil, de Fernando Arrabal, mise en scène par Véronique Seltz (théâtre des
Deux Rêves, 2008)
Mélicerte, de Molière, mise en scène par Véronique Seltz (théâtre du Nord-Ouest, 2009)
Petit cours d’éducation sexuelle, de et mise en scène de Samuel Ganes (théâtre Le Bout, 2009)
Bleu, de et mise en scène de Samuel Ganes (salle des fêtes de Brunoy, 2012)
Rouge, de Samuel Ganes, de et mise en scène de Samuel Ganes(Vingtième Théâtre, 2013)
A partir d’un sms,, de et mise en scène Silas Van H, (théâtre Clavel, 2013)
Le 100e nom,, de Michel Giliberti et mise en scène de Romain Poli (théâtre Clavel, 2013)
Voyage dans les mémoires d’un fou,, de et mise en scène Lionel Cecilio (théâtre Pixel d’Avignon,
2015)
SYLVIANE BAUER-MOTTI / chorégraphe
FORMATION
Waacking MDE-Tour Des Dames, Leï The Night, Amélie Poulain, Paris (2014-2016)
Juste Debout School - Locking (P-Lock), Pop (Poppin Smiley), Paris (2013-2015)
Institut de Formation Professionnelle de Danse Jazz Rick Odums, Paris (2012-2014)
Centre International de Danse Jazz, JazzRock (Charlie Moandal), Locking (Junior Almeida), Paris (2009-2014)
Formation Danse Hip Hop Kim Kan School (Thony Maskot, J. Almeida, Fox, Truand, Alex Bent), Paris (20082009)
Académie de danse Caribailes (Valérie Mitchelson, Stéphane Maillot), Paris (2007-2008)
Master Psychologie Clinique et Psychopathologie, Strasbourg (2004)
Comédie dramatique/improvisation, Strasbourg (2000-2003)
REPÈRES
Chorégraphe
Hip Hop du Kajyn Club S’Cool!, L’Effet KidZ Cool (Paris, 2013)
Graffiti, Hip Hip Hop Hourra ! (Paris, 2014)
The Lil’ Artists Part I/II, Action ! (Paris, 2015)
Peace, Love, Unity & Havin’ Fun, Culture Dance, (Ré)Création! (Paris, 2016)
Voyage Dans Les Mémoires D’Un Fou, de et mise en scène Lionel Cecilio (Théâtre Pixel d’Avignon, 2015)
ChoeurZ Urbains, mise en scène Naïma Taleb, Compagnie Résonances (Auditorium de la Sorbonne, Paris, 2015)
Sexy’n The City, Darryl & Dstrio, Concours Kassav - Bob Sinclar (Paris, 2014)
Relations Presse Le Pôle Presse • Marie-Julie Bourdeau
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