Octobre - AGEP - Université Laval

L’IMPHARMATION
Le journal explosif de la faculté de
pharmacie
Impharmation édition BADASS, avec 90% plus de:
* FEU, EXPLOSIONS ET LASER *
Avez-vous les nerfs assez solides pour lire ce
condensé de PURE DESTRUCTION?
DANGER DANGER DANGER DANGER DANGER
Maxime Morasse
Rédacteur en chef
Nicolas Gendron
Rédacteur post-senior
Étienne Dauphin
Rédacteur senior
Maxime Huard
Rédacteur junior
Mot du rédacteur en chef
L’Impharmation 2010-2011
Lecteurs, lectrices, bonsoir.
C’est avec honneur que je vous entretiens aujourd’hui, en tant que rédacteur en chef. J’espère
être de taille devant ce défi qui sera un effort de tous les instants. Nic De La Bruyère à fait grandement
avancer l’Impharmation et je dois prendre sa place. Alors que j’écris ces mots, je me pose la même question que vous: à quoi pouvez-vous vous attendre de l’Impharmation cette année?
L’Impharmation a toujours été pour moi une source d’évacuation et d’expression créatrice. Certe,
mes créations ne sont pas de l’art, elle n’en n’ont pas la prétention non plus. Pour certain, ce journal est
un divertissement, pour d’autres, une source d’informations. L’Impharmation, c’est aussi le cours que vous
ne voulez pas écouter, l’étude que vous ne voulez pas faire, le devoir que vous ferez plus tard. Chaque
personne à sa propre vision de ce journal... comment puis-je lui donner une direction unique?
J’y ai beaucoup réfléchi et voilà ce que j’en ai conclu: le journal se voudra une prostituée. C’est
bien ça. Il se pliera à vos exigences, il vous fera plaisir, il vous comblera... à conditions de lui dire ce que
vous voulez. C’est aussi simple que ça. Encore mieux, si vous lui donnez les outils pour vous plaire, il sera
votre plus grand serviteur.
Peut-être trouvez-vous ma métaphore de mauvais goût, pourtant je la trouve parfaite. Je prend
ce projet à coeur. Mon objectif est que vous soyez satisfait par ma pute, sinon: argent remis. Loin de me
contenter de ce but (parce qu’il est réalisable), je veux que l’Impharmation soit le journal le plus lu dans
le pavillon Vandry. Je veux que l’on me dise que j’ai besoin d’augmenter le nombre de copies parce qu’il
en manque. Je veux que chaque personne aie le goût de partiper d’une quelqu’onque façon. Je veux
développer un sentiment d’appartenance avec vous et surtout, je veux que toutes les autres facultés soient jalouses parce qu’ils ne pourront pas s’associer avec ce journal.
C’est avec plaisir que nous vous présentons l’Impharmation édition 2010-2011. Mon équipe et
moi sommes fiers de travailler pour vous, en espérant que vous serez aussi fiers de votre pute.
Assez de complaintes, le spectacle peut commencer. En échange de votre patience, voici un
requin:
Le show de la rentrée:
une aventure de mâle
par nicolas gendron 3ième
On ne se le cachera pas, le bénévolat c’est plate. Jouer
à l’emballeur pour financer l’équipe de pétanque de son
village ou vendre du chocolat à des obèses qui ne passent plus le cadre de leur porte c’est aussi excitant que
regarder la moisissure du frigo décomposer les restes
du mois passé. Mais ça, c’est une règle générale. Parce
que sur le campus universitaire, il existe quelques opportunités de se rendre utile qui peuvent vraiment valoir
la peine. Des chances de faire du bénévolat de mâle. Il
n’y a pas meilleur exemple que le show de la rentrée.
Que de bénéfices marginaux j’ai reçu, pauvre étudiant
que je suis. Moi qui avais faim, le show m’a nourri de
pizza et de hot dog. Moi qui étais nu, le show m’a vêtu
d’un t-shirt. Moi qui avais soif, le show m’a abreuvé de
red bull et de slow cow, de bières et d’alcools.
J’arrive sur les lieux vers 5h. Je suis plutôt crevé de
la soirée de la veille, alors on m’offre une boisson énergisante. J’apprends qu’elles seront gratuites pour le
reste de l’évènement. Joie! Je m’en enfile une autre
et je m’en garde une de réserve dans la poche arrière.
J’anticipe déjà dépasser la dose maximale recommandée. Si j’ai un infarctus, ce ne sera pas à cause de la
guarana, mais plutôt à cause du bonheur qui menace
de me faire exploser l’aorte. On me demande d’aller
trancher des agrumes pour les quatre bars de la place.
Avec mon gros couteau, je taille et dépèce oranges, limes
et citrons dans un carnage frugicide. La «Richards»
blanche sera bonne ce soir. La besogne accomplie, on
m’assigne à la surveillance des artistes. Je me gonfle
les pecs, la lueur assassine au fond de mon regard scintille et l’écume s’écoule de mes lèvres. C’est un gorille
enragé qui va garder les loges. J’en profite pour discuter un peu avec les «bands». On m’offre de la bière
amplement et mon foie jubile de pouvoir enfin se rendre
utile. Je ne suis pas toujours devant les loges, il y a une
bonne rotation des bénévoles et je peux voir les spectacles. Deux auront spécialement retenus mon attention :
Dance Laury Dance : Une performance de gros
rock sale, avec des valeurs de gros rock sale, soit les
putes, la drogue, l’alcool et les putes. Les membres
du band avec leur vêtement de cuir, leur chevelure
longue et leur hygiène corporel à base de bière et
de Jaggermeister, ont su enflammer la foule. Ils ont
le rock n roll bien enfoncé dans la peau ; le chanteur
arbore ces mots littéralement scarifiés sur son ventre. La finale est fulgurante : après une chanson où
dansèrent sensuellement sur scène quelques groupies,
le basiste fait éclater sa «base» en mille morceaux !
Sunny Duval : Surprise de la soirée, moi qui ne
m’attendais absolument pas à me trouver devant la
scène folk. Lui et son groupe avaient une allure retro
digne des chanteurs populaires des années 50. Leur
musique aurait fait swinger vos grands-parents. Les
spectateurs dansaient, l’air était vibrant d’électricité.
Des favoris de 2 pouces m’ont poussé après la première chanson. Thank you, thank you very much!
Et après tous ces spectacles, après toute cette boisson,
les lumières se rallument et la foule rentre chez elle se
perdre dans ses draps et dans les brumes d’un coma
éthylique. Mais le bénévole en moi est toujours assoiffé d’altruisme. Ma motivation brûle, alimentée par 8
red bull. Ca tombe bien, puisque les scènes doivent être
rangées. Il va falloir sortir l’artillerie lourde et mettre les
biceps à contribution. Mes couilles se mettent en mode
«SURPRODUCTION» et à l’aide de cette nouvelle testostérone, je me mets à démonter tout ce bordel. A 3h30
am, la caféine est complètement métabolisé de mon
organisme et je rejoins mon lit. Je suis collant, mais la
couche de bière qui me recouvre n’est pas aussi épaisse
que le manteau de gloire d’avoir pu être un «roady.».
agep
Présentation des membres:
Présidé par la Très Honorable
Lysanne Villemure
Patiente
Nom: Lysanne Villemure
Sexe: Féminin
Âge: 22 ans
Adresse: partagée entre Québec et Blainville
Occupation: Présidente de l’AGEP
Clinique
- Maladies : freckles, insomnie récurrente, sursaturation du cerveau, crise aigüe de rousseur récente
- Allergies : personnes stéréotypées Jersey Shore (RadioLounge),
les files d’attente, la bière, le monde qui te répond en anglais
quand tu leur parles en français
- Condition : somnolence passagère, sédentarité obligée par les soins, dynamisme trop prononcé post examen de soins
- Habitudes de vie : plans de soins, magasinage, séries télé, chiller à l’AGEP, lectures de soins, perte de temps sur Facebook
- Diète : sushis, soho/vodka, ashton à 3h am, sandwichs de l’Exo, brownies avec m&m
- Dépendances : Montréal, partys post-examens, FB, café aux cours de soins de 8h30, les chapeaux drôles, Gossip Girl,
Charlie, thé glacé, la PHARMACIE :)
Pour ceux qui ne m’ont pas vu animer la remise des sarraus, aperçu dans les corridors du Vandry ou au local de
l’AGEP, je suis Lysanne Villemure, étudiante de 3ème année de pharmacie. Comme la majorité du CE cette année, je viens
de la région de Montréal, plus précisément de la belle banlieue de Blainville. Me voici impliquée pour une 3ème année
au sein de l’AGEP, mais petite nuance cette année, je me suis lancé un nouveau défi : LA PRÉSIDENCE!
D’un premier coup d’oeil, le poste de présidente peut effrayer avec les fameux soins pharmaceutiques et la
‘’3ème année’’ de pharmacie. Mais n’ayez crainte, j’ai su dans quoi je m’embarquais l’an dernier et c’est avec beaucoup
d’enthousiasme que j’occupe mon poste cette année. Je vous représenterai, chers étudiants et étudiantes, dans différents
congrès, auprès des ordres professionnels et de la Faculté.
Mon but pour l’année 2010-2011 est de vous apporter un bel équilibre entre vos études et votre vie étudiante.
Avec l’aide du CE et des membres du CA, je veillerai à ce que votre année soit des plus variées et enrichissantes. Plusieurs
comités sont en place et vous permettent de vous impliquer ou de participer à plusieurs activités spécialement organisées
pour vous par d’autres étudiants en pharmacie. Il n’appartient plus qu’à vous d’y trouver votre place et votre équilibre.
Je me suis souvent fait dire que les plus belles années de notre vie sont celles où on est aux études. Je pense personnellement que l’AGEP y a été beaucoup pour moi et le sera tout autant pour vous au cours de votre bacc.
Bonne session et au plaisir de vous rencontrer dans notre beau pavillon ou lors d’une de nos activités!
Les membres du CA-CE
1ère année
Salut tout le monde! Je me présente, mon nom est Van Nguyen…certains le prononcent Nouille-Hyene, d’autres N-Gouille-N, mais si ça vous cause des maux
de tête, Van suffira! Sinon, vous pouvez toujours opter pour «le Chintok» afin de
ne pas avoir à vous en rappeler, au lieu de dire hey salut [toi] ou what’s up [dude]!
Comme le titre le dit, je suis délégué à la ”vie facultaire” en première année.
En gros, mon travail consiste à aider à organiser les activités sociales et sportives. Vous pouvez vous fier sur moi, on va vous garder occupés, divertis et déstressés… Je vous promets que vous allez vous rappeler tout autant (sinon plus)
de vos parties et activités sportives que de vos études durant votre parcours!
VAN
Venez nous voir avec vos idées et commentaires, on est toujours prêts!!!
Au plaisir d’apprendre à vous connaître.
Van a.k.a. Chintok
Bonjour à tous!
Je m’appelle Mélissa Fiset et je suis la représentante de classe de première année.
J’avais envie de m’impliquer dans la vie étudiante en tant que représentante parce
que j’aime bien être au courant de ce qui se passe à l’université et surtout, bien
représenter mes pairs. J’espère être à la hauteur de vos attentes et construire, lors de
ce passage universitaire et avec la participation de tous et chacun, de magnifiques
souvenirs!
Originaire de Québec, j’en suis à mon deuxième baccalauréat. En 2009, j’ai gradué
des Sciences Infirmières de l’Université Laval. J’ai d’ailleurs travaillé pendant un an
comme infirmière d’urgence avant d’être admise, avec beaucoup de joie, à la Faculté de Pharmacie.
Je suis une fille aux multiples intérêts. J’aime cuisiner, lire et faire du sport. J’ai d’ailleurs
eu l’occasion de participer à un triathlon par la passé et j’espère en faire un autre
l’été prochain. Si vous passez au PEPS, il y a des chances qu’on se croise! De plus,
je m’adonne à la randonnée pédestre en montagne. J’ai déjà parcourus plusieurs
sentiers et montagnes, mais beaucoup et plusieurs sont à venir! Enfin, je ne pourrais
me décrire sans parler de mon goût de l’aventure et des voyages. Je suis une adepte
de la découverte de nouveaux endroits et surtout, connaître différentes cultures. J’ai
parcouru, entre autres, une bonne partie de l’Europe de l’Ouest (France, Espagne,
Portugal, Belgique, Suisse) et j’aimerais faire de l’Amérique centrale ma prochaine
destination.
J’espère que ces quelques lignes vous ont permis de vous faire une meilleure idée
sur moi. Si vous avez envie de me connaître davantage, je vous invite à venir me
rencontrer!! D’ici là, je vous souhaite beaucoup de succès, et surtout, amusez vous!!
MÉLISSA
Je suis Maxime Huard, le rédacteur-junior de cette année.
L’idée de Max Morasse de nous présenter comme un Pokémon
m’a traversé l’esprit, mais, étant incertain de la validité de cette
demande, j’aime mieux m’abstenir pour ne pas être le seul à avoir
l’air fou !
MAXIME
Pour faire simple, je viens du Lac-St-Jean. Donc, les soirées et les fêtes
font partie intégrales de ma vie. C’est toujours plaisant de passer
une soirée sur Grande Allée, mais il faut aussi faire sortir la bière de
temps en temps. C’est pour ça que j’ai pratiqué divers sports dans
ma vie comme le hockey, le soccer, le badminton, le volleyball de
plage, etc. Dans l’Impharmation, je vais couvrir l’actualité du mieux
que je peux et laisser les chroniques plus drôles à Max et Étienne
étant donné leur talent inné à dire des niaiseries.
Nicolas B. Huot:
Business in the front party in the back!
Errant à l’Université Laval depuis 2004, c’est avec
une grande joie que je me suis présenté à l’initiation
à titre de Major Nic. Depuis ce merveilleux moment,
vous avez pu me croiser aux divers partys organisés par la fabuleuse faculté de pharmacie. Entre
deux événements, vous pouvez me voir aux cours
(parfois avec un sacré mal de tête), en wheelie
sur ma moto ou en discussion avec Van, planifiant
votre prochaine soirée bien arrosé. Si vous avez
des suggestions ou des commentaires, n’hésitez
pas à venir me voir, car j’occupe ce poste afin que
vous appréciez au maximum les 4 ans que vous
aller passer en pharmacie.
NICOLAS
2ième année
Pier-Alexandre Rioux
Vice-Président à la vie Facultaire AGEP 2010-2011
AVERTISSEMENT! MISE EN GARDE! DANGER! LOOKOUT! FIT FIOU!! WOW! ALLO BEBE! PRECAUCIÓN! LE
TEXTE QUI SUIT POURRAIT NE PAS CONVENIR À CEUX
QUI N’AIMENT PAS FAIRE LE PARTY ET PARTICIPER AUX
ACTIVITÉS SPORTIVES!
Maintenant que j’ai votre attention, je peux me présenter. Je m’appelle Pier-Alexan…peu importe, ces
informations figurent déjà ci-haut! Comme mon nom est trop long, tout le monde m’appelle P-A! Je suis
un gars avec du PEP (syn : enthousiasme) et je suis ben crinqué pour que tout le monde ait du plaisir
en pharmacie. Mon comité et moi vous en mettrons plein la vue cette année avec une foule d’activités
sportives et socioculturelles.
Ayez du fun!
À bientôt!
Jean-Philippe Michaud
Date de naissance: 19 octobre 1989
Ville d’origine : Fermont, Québec
Bonjour chers(ères) collègues , moi c’est Jean-Philippe et je suis votre
représentant interne de 2e année. Ma responsabilité est de s’occuper
de la production et de la vente de vos notes de cours, de produire le
bottin des étudiants et d’assister la représentante interne de 3e année
dans ses fonctions. Hé oui, je suis bel et bien originaire d’une petite ville de
3000 habitants située presque au 53e parallèle, où le fer est le roi du sol
et l’épinette noire est la reine de la foret. Vous comprendrez que j’ai de la
difficulté à comprendre les Montréalais qui perçoivent Québec comme un
«village» frisquet. Cette année, j’espère bien vous servir et vous connaitre
un peu mieux dans les multiples activités et dans le cadre de mes fonctions.
Donc, n’ayez crainte, mon origine nordique ne fait pas de moi une personne
froide ;-P, et n’hésitez pas à venir me parler si l’occasion se présente.
À bientôt,
J-P
Je m’appelle Marie-Sophie LaRue-Blais, une de vos déléguées à la vie faculatire de 2e année! J’ai 21 ans
et je suis de Québec. Ceux qui me connaissent disent
que je suis organisée, dynamique, spontanée et toujours
prête à faire lever le party. Je ferai de mon mieux pour
bien vous représenter encore cette année les 2e et faire
en sorte que votre agenda social soit bien rempli!
Bonne continuité de Bacc. la gang,
Bonne première année de pharmacie et au plaisir de
vous connaître les premières,
PARTY ON !!
MARIE-SO
Éric Gamache – Représentant IPSF junior
Originaire de Sherbrooke, Éric ne l’eut pas facile au cours de son ascension fulgurante vers le poste
de représentant IPSF junior. Il sortit d’abord indemne des épidémies de choléra, typhus et syphilis qui
ravagèrent la région rude et austère. Sa passion pour l’histoire le sauva de la délinquance et de la
criminalité, endémiques chez les jeunes de sa banlieue. À l’obtention de son DEC, il dut s’exiler vers la
capitale pour fuir la répression des autorités religieuses qui prônaient le retour à la terre et persécutaient
les intellectuels. Ce fut un nouveau départ, une fois passée l’émerveillement de la première fois où il vu
l’électricité à l’œuvre, il décida d’exorciser les démons de ses origines par l’exploration du vaste monde.
Le poste de représentant IPSF junior lui convenait donc parfaitement. Au cours de son mandat, il devra
être le lien entre les étudiants et l’IPSF, ce qui consiste principalement à les informer au sujet du congrès
2011 en Thaïlande, des échanges étudiants internationaux, stages à l’OMS/IPSF et voyage humanitaire.
Il devra également organiser une conférence dans le cadre de la campagne de santé contre le diabète de l’IPSF.
(Lire avec l’intonation du célèbre Troy McClure des
Simpson)
Bonjour, ici Étienne Beaulieu, vous m’avez peut-être vu
dans des soirées tenant le rôle de l’homme à la moustache ou maître du PowerPoint à la remise des sarraus…
C’est moi le V-P aux affaires pédagogique, vous pouvez abréger mon titre flasher! à V-P pédago, mais attention mauvaises langues qui utilisent V-P pédo à la place
(de mauvais goût!). Ne soyez pas intimider par mon
1m 92, sympathique de nature, je le suis davantage avec
2-3 Jägerbomb per os. Bref, c’est moi qui vous représente
sur les divers comités académiques de la faculté alors
faites moi pas honte et ayez de bonnes notes. Je vous
souhaite à tous une année legen… wait for it … dary!
ÉTIENNE
Bonjour!
Je m’appelle Jessica P. King et je suis la représentante
junior de CAPSI. Je vous représente au niveau national. Je m’implique aux niveaux sportif et parascolaire,
on risque de se voir là-bas. N’hésitez pas à venir me
voir si vous avez des questions sur quoi que ce soit!
Je vous conseille de vous impliquer de quelconque
façon au cours de votre bac. C’est ce qui rendra
plaisant vos études! Bonne rentrée!
JESS
3ième année
Bonjour.
Léa Barrak. étudiante en 3ème année pharmacie et
membre du CE. J’occupe le post de Vice Présidente
aux finances. C’est donc moi qui s’occupe de la gestion des fonds de l’AGEP qui nous permettent, entre
autres, de faire des activités sportives, culturelles et
sociales. En d’autres mots je suis la «cashguard» de
l’AGEP.
Pour toute question n’hésitez pas à venir me voir à
l’AGEP.
Bonsoir.
LÉA
Nom: Annie Beauchamp
Poste: Représentante interne
Erreur: Laisser Maxime tapper son texte de
présentation
Raison: Obscure
Que puis-je dire d’Annie qui rendrait justice à
sa splendeur? Peu de mots savent décrire cette
personne exceptionnellement attachante. Derrière ce sourire ravageur se cache un grand
coeur, qui sait écouter, réconforter et prodiguer de judicieux conseils. Cette adorable femme
saura répondre à vos questions conernant les
notes de cours et les élections. Aussi, c’est une
Jedi dompteuse de lions.
ANNIE
La fabuleuse histoire de Maxime Morasse,
Née à Los Angeles dans un show de Motley Crue,
Maxime avait un crasseux avenir de Rockstar devant lui. À
12 ans , il prenait la guitare pour son premier spectacle.
Celui-ci se termina rapidement, car les autorités locales ne
pouvaient contenir un tremblement de terre continuelle. Alors que la popularité de la jeune Rockstar était au sommet.,
la drogue commençait à épuiser Maxime. En effet, une forte
dépendance à la caféine a forcé l’idole de tous à entrer
en detox.
À la recherche de son karma, Maxime s’établi au
Québec. Il découvre la pharmacie qui lui permet un retour
à la vie normale. Il travaille présentement sur son prochain
album The Tim Horton Coffee Diary.
Ah ouais pis jsuis rédacteur en chef de l’Impharmation
et je hais le paté de viande.
MAXIME
Jean-Luc Cormier et Pascale Arsenault,
Représentants à la vie facultaire
Tadam... vos socios 3e année!!! Naturellement, notre but c’est
que tout le monde aie du plaisir cette année. Maintenant
que nous nous occupons aussi des sports, on va s’assurer
que vous dégourdissiez en masse. Bref, on est les Morphées
nouvelle génération : vous allez bien dormir après nos activités ;) Venez nous voir, ça nous fera plaisir de piquer une
petite jasette avec vous. Alors, si vous avez commentaires,
suggestions ou questions et que vous les gardez pour vous,
c’est vous les pires, parce qu’on est là pour vous. Bonne session (de partys et autres activités) à tous!
Jean-Luc et Pascale
CHLOÉ
Hello!
Je m’appelle Chloé, et je serai votre représentante IPSF
(International Pharmaceutical Students’ Federation; voir
article plus loin pour plus d’infos) et la présidente du comité PharmaSII cette année. PharmaSII, c’est le comité qui
concerne les stages internationaux et interculturels, ainsi
que la santé internationale en générale. Plusieurs projets
sont en vue cette année, comme par exemple, la santévoyage et l’organisation de stages internationaux et interculturels. Si ça vous intéresse, faites-moi signe! Comme
vous pouvez le constater, j’adore voyager et j’ai toujours
l’air un peu touriste, même au Québec. À part de ça,
j’aime bien le ski, la voile, le volley, la musique, les Froot
Loops, le gin tonic et les partys. Alors si vous voulez faire
un échange étudiant, aller à un congrès en Thaïlande,
travailler à l’OMS, ou encore participer à des projets de
santé internationale, venez me voir, je me cache souvent
au Vandry! Amusez-vous bien cette année!!
Bonjour!! Je suis Aryane Roy fidèle bras droit de notre merveilleuse présidente et secrétaire exécutive à l’AGEP!!
Mon rôle consiste à convoquer les réunions du CA et du
CE, à assister à toutes ces réunions, à rédiger ce qui se
passe à toutes les semaines tout en veillant au bon fonctionnement du local de l’AGEP.
Nouveauté cette année, la secrétaire exécutive est aussi
chargée de commander la nourriture et les boissons pour
les conférences-midi. Si vous avez des commentaires, suggestions ou simplement si vous avez envie de bavarder,
passer me voir à l’AGEP. J’y serai sans doute… Tapie derrière un certain cartable de 3 pouces!!!
ARYANE
Bonjour jeunes enfants,
MAXIME
Je suis Maxime Chadi (Fox sur facebook pour aucune raison) et je
m’occupe de vous nourrir (conference-midi) et de ramener du cash à
la maison (commanditaires). Au fond, je suis le pourvoyeur de l’AGEP. Je
suis un homme qui aime bien les fêtes foraines, car je viens de Lorraine,
un petit village sur la rive-nord de Montréal. J’aime la musique latine ainsi
que le mode de vie des mexicains, c’est pourquoi je m’identifie corps
et âme à ce peuple jovial, surtout lorsque le R-OH est mon allié. Certains disent que je suis mexicain, ma mère dit que je suis arabe mais je
m’identifie avant tout au règne animal, en tant que renard (Fox). En effet,
mon esprit vif et mes sens aiguisés font de moi un renard qui réussi toujours
à manipuler le corbeau (je suis un expert de la manipulation…c’est ce
qui explique ma nomination pour ce poste). J’ai les yeux bruns, cheveux
bruns, la barbe brune et les mollets musclés… mais ce n’est pas vraiment pertinent d’en parler dans ce
texte, selon la description de tâche de votre rédacteur en chef. C’est pas mal ça qui me décrit, on se voit
à la prochaine fête foraine…ou dans la forêt!
Pour ceux à qui je n’ai pas encore eu l’honneur de parler, je me présente Émira Glenza, représentante
CAPSI Senior et membre du C.E de l’AGEP.
Depuis 3 ans, je m’implique pour que les étudiants puissent bénéficier de tous les avantages auxquels ils ont accès qu’ils soient sociaux (PDW), académiques (concours, symposium, formation dans
les écoles primaires) ou autres (rabais, cadeaux!). Mais à part
avoir CAPSI tatoué sur le cœur, y a-t’il d’autres choses à savoir?
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te fixe pas dans les yeux, Su Mai Mop
ÉMIRA
Que se passe-t-il avec le PharmD ?
Le nouveau programme de doctorat en pharmacie débutera finalement en automne 2011
Par Jean-Sébastien Gemme-Laliberté (3ième)
Tout d’abord, pourquoi le changement ? Est-ce que le
vieux baccalauréat en pharmacie à fait son temps ? Le
doctorat en pharmacie est un projet qui plane depuis
longtemps au-dessus des facultés de pharmacie au Québec, conséquence directe des changements apportés à
la profession de pharmacien depuis le développement
des soins pharmaceutiques et l’élaboration de la loi
90. Il faut par contre savoir que le baccalauréat offert
présentement à l’Université Laval reste l’une des meilleures formations en pharmacie au Canada. Mais les
temps changent. L’Université de Montréal à commencé
à offrir son doctorat en 2007 alors qu’ici, nous attendons encore les premiers souffles de ce nouveau programme. C’est pourquoi la direction de la faculté a organisé une conférence d’information le 10 mars dernier
durant laquelle nous avons pu obtenir de plus amples
informations sur le programme.
Les stages seront regroupés en 4 milieux, soit :
-
Milieu communautaire
-
Milieu hospitalier
-
Milieu connexe à la pharmacie
-
Milieu non traditionnel
Le contingentement sera augmenté à 192 étudiants par
année, la profession étant de plus en plus en demande
avec plus de 1700 demandes d’admission pour l’année
2010-2011. Comme le nombre d’année d’étude restera
le même, il y a aura donc des sessions d’été, de mai à
juin, pour compléter le nombre de crédit supplémentaire par année. L’été de la troisième année sera quand
à elle complètement occupé par la session d’été, avec
une période de deux semaines de congé aux alentours
de la St-Jean-Baptiste afin de permettre aux étudiants
de finir à temps pour la remise du diplôme et la collation des grades.
La première nouvelle que nous avons apprise est tout
d’abord que le programme de doctorat en pharmacie
débutera finalement en automne 2011. Pourquoi si
tard ? Eh bien, tout d’abord parce que le doctorat de
l’Université Laval sera sensiblement différent de celui
offert à l’Université de Montréal. Ainsi, alors que Montréal finissait de monter le sien, Québec commençait à
peine. Qui plus est, certaines rumeurs nous font croire
que Banner et Capsule seraient beaucoup moins conviviaux que promis et que cela aurait entraîné des retards.
Tout cela pour dire que la structure du programme de
doctorat en pharmacie à Québec est bien élaborée et
est à présent terminé. Ainsi, il a été passé en revue par
l’AGEP et l’assemblée des professeurs, approuvé par
le conseil facultaire et universitaire et l’avis de qualité de la CRÉPUQ doit maintenant être reçu, ainsi que
l’autorisation du Ministre de l’Éducation à démarrer le
programme. Il aurait donc pu commencer en automne
2010, mais le recrutement des étudiants lui n’aurait pas
été fait à temps et c’est pourquoi la date à été repoussé
d’un an.
Le nouveau programme vise l’amélioration de
l’intégration des connaissances, Mme Dionne donnant
en exemple le cours sur les antinéoplasiques qui intègre
la matière de Chimie et de Phatox dans le même cours
(Pour ceux qui n’ont pas eu la chance d’avoir ce cours,
ça viendra bien assez vite, ne vous en faite pas !). La
faculté voudrait mettre à profit l’ensemble des installations du nouveau Vandry (le centre Aprentiss, le laboratoire Brunet) afin de mieux intégrer l’apprentissage des
étudiants avec la présence de laboratoire informatiques,
de communication, de préparation stérile ainsi qu’un
rehaussement du laboratoire de galénique. Le doctorat
prévoit aussi de mettre en pratique l’interdisciplinarité
grâce au Centre Aprentiss. Certains cours qui étaient
en option seront aussi ajoutés au programme comme
cours obligatoire. C’est le cas de Pharmacognosie,
Histoire de la pharmacie, Soin palliatif et Collaboration Interprofessionnel. Différents profils seront aussi
disponibles pour les élèves désirant se diriger vers un
objectif plus précis. Le cheminement régulier restera
évidemment toujours disponible, mais les étudiants auront aussi l’occasion de s’orienter vers un Profil Entrepreneurial, un Profil International (avec des cours
dans d’autres universités à travers le monde ayant des
ententes avec l’Université Laval), un profil Santé International (avec des stages « sur le terrain » dans des pays
comme le Mali, le Burkina Faso, etc.) ou un profil Cul-
Pour ceux qui n’en ont pas encore entendu parler, le
nouveau programme de Doctorat en Pharmacie contiendra 164 crédits (contrairement aux 128 crédits
du baccalauréat) dans lequel seront inclus les stages
obligatoires de l’OPQ, y compris l’internat de 600h.
ture Scientifique et Recherche. Un coup le diplôme obtenu, les ententes interprovinciales canadiennes restent
et un PharmD du Québec voulant aller pratique dans
une autre province pourra encore le faire sans passer
l’examen national (mais les examens législatifs doivent
quand même être réussis). Il n’y aura pas de changement apporté à la Maitrise en Pharmacie d’Hôpital et
les étudiants du baccalauréat comme du doctorat y seront accepté.
Maintenant, en quoi l’apprentissage va-t-il être différent ? En plus des cours ajoutés, l’enseignement sera
aussi différent. En effet, l’approche par connaissance,
comme c’est le cas présentement va être remplacée par
une approche par compétence. Littéralement, « une
compétence, c’est ce qu’on va détenir pour répondre
à un groupe de situation de travail. ». Un PharmD aura
donc 5 compétences à bien maitriser, soit :
1.
Mettre en œuvre une thérapie médicamenteuse
en exécution d’une ordonnance ou non en fonction des
besoins d’une personne
2.
Diffuser, partager et développer le savoir
pharmaceutique à travers le conseil, l’information,
l’opinion, l’éduction (activité dans une école, conférence), l’instruction (club de lecture) et la formation
3.
Procéder à la prise en charge du médicament
(préparation, conservation, destruction, inventaire)
4.
Procéder aux opérations nécessaires à la gestion
de la pratique de la pharmacie (ressource matériel, personnel, matériel, délégation aux ATPs, publicité extérieur, concurrence)
5.
Effectuer la régulation de sa pratique afin de
développer son autonomie et sa responsabilité professionnelle (voir les difficultés et les régler, responsabilité
social, éthique, morale)
2ème année (phase II) : plusieurs Rx → 1 maladie (interaction médicamenteuse, accès aux données de laboratoire, évaluation du physique du client)
3ème année (phase III) : plusieurs Rx → plusieurs maladies (traitement concomitant, relation pharmacienmédecin, opinion pharmaceutique, relation interdisciplinaire)
4ème année (phase IV) : profils lourds → la réalité (positionner les molécules dans des profils, voir les interactions, la place de la molécule dans le Tx)
Les cours auront lieu d’ailleurs en classe (au contraire
de Montréal où le PharmD est très axé sur l’auto-apprentissage). Les cours porteront sur des sujets précis,
où l’ensemble d’une médication/maladie pourra être vu
en une semaine.
-
Jour 1 : Chimie, groupement, mécanisme
d’action
-
Jour 2 : Pharmacologie
-
Jour 3 : Technologie pharmaceutique (science
pharmacie) : les labos
-
Jour 4 : Histoire de pharmacie
-
Jour 5 : Physiopathologie
-
Jour X : Profit !
Il y aura aussi des formations lié à cet apprentissage
pour savoir comment intervenir auprès d’un patient atteint d’une telle pathologie avec des pratiques de conseil. En gros, même la première année pourrait probablement devenir utile aux étudiants !
Au bout de cette formation, l’étudiant devra aussi développer des qualités tel que l’empathie envers le client,
être curieux au savoir, être tranquille à la complexité,
être réflexif à l’action (savoir trouver des moyens de
Ces compétences se développeront au fur à mesure de pallier à ses difficultés), etc.
l’apprentissage de l’étudiant, avec des degrés attendus
à la fin de chaque année. Ainsi, en prenant par exem- Il reste donc à tout mettre en place. Et un tel changeple la compétence numéro 2 précédemment citée, les ment ne se fera surement pas sans embûche. Certains
élèves passeront de débutant (capable d’effectuer un n’y voient aucun problème alors que d’autres doutes
conseil) à novice (capable de rédiger une opinion phar- de la réussite d’une si grande conversion. Reste néanmaceutique), puis d’intermédiaire (capable d’effectuer moins que selon un étudiant à même de finir son phardes activités de formation et d’éducation) à compétent mD à Montréal (Nicolas Dugré, dont le blogue est dis(capable d’effectuer des activités d’instruction).
ponible à même le site professionsanté.ca), « Je crois
que le nouveau programme nous permet d’être très
La formation aura lieu sur le même principe :
compétents au niveau de la pharmacothérapie et de la
1ère année (phase I) : 1 Rx → 1 maladie (relation phar- communication, autant avec les patients qu’avec les aumacien-client)
tres professionnels de la santé. […] Le doctorat est un
meilleur programme dans le contexte actuel que le B. pharm ».
Alors, on verra ! Les compétences d’un pharmD et d’un B.pharm resteront équivalentes selon moi, au moins pour
la prochaine décennie. Avec le temps, le doctorat s’affinera pour probablement former de meilleurs pharmaciens,
mais rendu là, nous serons déjà nous-mêmes meilleurs. Alors pour le bien de la profession (et pour rapprocher un
peu plus la théorie de la pratique), je crois que ce passage sera nécessaire à la bonne évolution de la profession !
Une course pour la vie
Par Lysanne Villemure (3ième)
Dimanche 3 octobre 2010
Lors de cette magnifique journée d’automne, alors que quelques étudiants de 2ème et 3ème année
essayaient de trouver de la place dans leur cerveau sursaturé pour apprendre les antiarythmiques et/
ou des cours de soins, 20 vaillants sportifs ont profité de quelques heures de plein air pour une très belle
cause: La Course à la vie CIBC. Tradition pour l’AGEP depuis maintenant 3 ans, j’ai décidé de poursuivre
l’honorable projet de mes 2 prédécesseurs, mesdames Stéphanie Laforest et Alix-Anne Gendron.
Cette course a lieu une fois par an dans plusieurs villes canadiennes. C’est donc sur les Plaines que plus
de 8000 personnes se sont réunies cette année pour la ville de Québec. Une somme de 2,1 millions de
dollars a pu être amassée pour l’édition 2010 à travers le pays.
Des étudiants de la 1ère à la 4ème année ont généreusement accepté mon invitation et ont permis à
l’équipe Pharmacie Ulaval de remporter pour une 3ème année consécutive le Défi Scolaire de la Course
à la vie en amassant un montant d’environ 3500$!
J’aimerais faire une mention toute spéciale à mon ami et futur pharmacien Mathieu Larouche qui est arrivé
2ème coureur à la ligne d’arrivée grâce à sa détermination et ses grandes jambes. C’est tout de même
tout un exploit de courir 5km en 19 minutes dans les rues sinueuses et à pic du Vieux-Québec.
Un remerciement tout spécial à Madame Carmen Vézina, directrice du programme de baccalauréat en
pharmacie qui s’est jointe à nous et qui a couru pour la cause.
Merci à tous les coureurs et marcheurs de l’équipe Pharmacie Ulaval, vous avez soutenu mon projet et j’ai
atteint mon objectif de 20 participants grâce à vous tous.
Merci à tous les étudiants de pharmacie qui ont généreusement donné leur p’tit change en classe et qui
ont permis d’amasser 600$ !
J’espère que l’AGEP gardera comme mandat de supporter cette cause qui affecte énormément de
femmes et leurs proches. Le défi est donc lancé pour l’an prochain!
L’IPSF, c’est quoi?
Démystification
Par Chloé Lajoie (3ième)
L’IPSF, c’est l’International Pharmaceutical Students’ Federation. C’est donc une organisation mondiale, qui
réunit plus de 350 000 étudiants en pharmacie à travers le monde. Si vous êtes membre de CAPSI, vous en êtes
automatiquement membre. L’IPSF possède des relations officielles notamment avec l’OMS et l’UNESCO, et
compte plusieurs programmes et activités. Vous trouverez dans les lignes qui suivent une description des diverses
activités auxquelles vous pouvez participer.
Student Exchange Programme : Il s’agit d’un programme d’échange étudiant d’une durée d’une semaine à deux
mois. Ainsi, vous avez l’occasion d’aller faire un stage dans une pharmacie, un hôpital, une industrie ou une institution académique dans un des 50 pays participants (dont la Turquie, l’Égypte, l’Angleterre, le Japon, le Népal, le
Rwanda, etc). Une séance d’information sera organisée au début du mois de novembre afin de vous donner plus
d’informations. La date limite pour s’inscrire pour l’été 2011 est le 23 décembre 2010.
Campagne de santé : Une campagne de santé sur le diabète sera organisée au courant de l’année. Plus d’informations
à venir…
Congrès annuel de l’IPSF : Sans doute la plus grande activité de l’IPSF. Le congrès IPSF 2011 se tiendra en Thaïlande du 3 au 13 août. Pour la modique somme de 350 euros, vous avez la chance de rencontrer des étudiants en
pharmacie de partout à travers le monde, d’en apprendre davantage sur divers sujets sur la pharmacie et de participer à des ateliers pour améliorer l’avenir de la profession. Des activités sportives, des excursions et surtout des
partys sont au menu de ce congrès qui sera une expérience inoubliable et une très belle occasion de voyager!! ;)
Mobile Pharmacy in Northern Uganda Project (MPNUP): Ce projet en Ouganda s’adresse aux élèves de 3e et 4e
année qui désirent vivre une expérience de travail humanitaire. Les stages d’une durée de 6 à 12 semaines consistent à travailler dans des cliniques « mobiles » en compagnie d’un médecin, de deux étudiants en pharmacie et
de deux étudiants en médecine. Il y a plusieurs rotations durant l’année, et vous devez appliquer au moins deux
mois avant le début de la rotation.
Stages à l’OMS ou à l’IPSF: Il est aussi possible de faire un stage à l’Organisation Mondiale de la Santé à Genève,
en Suisse durant l’été. Les tâches consistent à participer à un projet sur l’émergence du VIH/sida dans le monde.
Vous pouvez aussi aller faire un stage directement aux bureaux de l’IPSF aux Pays-Bas. D’autres informations
sont à venir sur ces programmes.
Pour plus d’informations sur l’IPSF et ses activités, vous pouvez visiter le www.ipsf.org ou le www.ipsf2011.org
pour le congrès en Thaïlande
Pour toute information, n’hésitez pas à contacter vos représentants IPSF!
Éric Gamache, 2e année
[email protected]
Chloé Lajoie , 3e année
[email protected]
10 jours inoubliables (ou pas)
Par Chloé Lajoie et Valérie Goudreau (3ième)
300 participants, 44 pays, 10 jours, 10 partys… C’est ça la vie en Slovénie!
Du 2 au 12 août 2010 se tenait le 56e congrès annuel de l’IPSF (International Pharmaceutical Students’ Federation) à Ljubljana en Slovénie (au nord de la Croatie!). Il
s’agissait du plus grand rassemblement d’étudiants en pharmacie de l’Univers; un séjour
où conférences, activités culturelles, excursions et PARTYS étaient au rendez-vous. C’était
l’occasion idéale de rencontrer plein d’étudiants tout en voyageant… Voici donc un
court résumé censuré du congrès de deux étudiantes en pharmacie de l’Université Laval
qui ont représenté le Québec…
Après deux jours passés à Venise et une étrange escapade
en train de nuit, nous sommes arrivées en trombe à la cérémonie d’ouverture au château de Ljubljana, qui surplombe
la ville, pour avoir un avant-goût de ce qui nous attendait… Dès le premier soir, nous avons fait de nombreuses
rencontres intéressantes et dégusté des mets du pays. À ce
moment, nous avons découvert que les Slovènes n’avaient
pas de déficience en aldéhyde déshydrogénase…
nions aux gens que nous croisions des dépliants contenant
toute l’information sur le virus et les complications de cette
maladie. En distribuant ceux-ci nous tentions de leur expliquer quelques principes de prévention. Certains appréciaient, certains ne comprenaient pas ce qu’on leur racontait,
d’autres fuyaient, mais la plupart semblaient tout de même
intéressés par le sujet. Outre les difficultés de communication, le paysage de la côte adriatique en valait la peine.
Ce soir-là, c’était le Čičke-Čačke party. Traduction : mettre
Le lendemain, après quelques conférences pour mieux un chandail blanc, apporter un marqueur noir. But : laisser sa
connaître l’IPSF et une Assemblée Générale, nous devions trace…
revêtir nos t-shirts pour le Facebook party. Le concept : t-shirt
vert = célibataire, rouge = en couple, orange = ouvert aux Jour 4 : Temps libre = visite de Maribor, la 2e plus grande
suggestions; noir = mystère… Tout ce qu’on peut dire : ce ville de la Slovénie, où nous avons pu observer la plus vieille
fût une soirée riche en couleurs…
vigne du monde (plus de 400 ans!!) et profiter des nombreuses terrasses qui bordaient les rues. Soir: party déchet
Le mercredi, après une séance d’information sur le VPH (afin ?!? = récupère tes poubelles et colle-toi les dessus! Drôle de
de bien se préparer pour l’activité du lendemain), nous avi- soirée où Lasko et nains étaient de la partie.
ons une excursion à Bled, un village pittoresque où il y a un
château, un lac et une église sur une ile au milieu du lac Jour 5 : Après une journée de conférences sur le leadership,
(?!). Nous avons eu la chance de déguster un gros des- l’entrepreneurship et le professionnalisme en pharmacie,
sert typique riche en crème fouettée, suivi (ehh oui) d’un tra- c’était l’encan international, où tous les pays vendaient des
ditionnel souper à la slovène (attention : champignons au produits traditionnels. Nous avons terminé la nuit avec les
rendez-vous). Après cette soirée ponctuée de danse et de Espagnols, dégustant de la sangria, du Jamón et du chorizo.
musique du pays, nous avons décidé de continuer dans le Miammm!
même thème en envahissant un bar local. Étrangement, les
futurs pharmaciens semblaient avoir de la difficulté à sup- Jour 6 = Conférences sur l’avenir de la thérapie génique et
porter leur chandail en cette nuit pas si chaude.
ses enjeux ainsi que sur les thérapies alternatives pour le
cancer + SOIRÉE INTERNATIONALE = SOIRÉE D’UNE VIE…
Le jeudi, 8h00, nous étions donc fraîches et disposées (…) Selon la collaboration de nos souvenirs, chaque pays avait
pour aller sur la côte de la mer Adriatique pour sensibil- un kiosque où il faisait déguster les mets et les boissons de
iser les Slovènes sur les ravages du VPH. Une journée sur la son pays. Rappel : il y avait 44 pays. Quelle bonne façon
plage à essayer de parler d’abstinence (car c’est le seul d’élargir ses horizons et de voir comment les gens fêtent ailmoyen 100% efficace de se protéger du VPH) et de vac- leurs!
cination à des gens qui se prélassent au soleil. Nous don-
Jour 7 : Récupération + promenade dans la ville de Ljubljana + pool party…
Jour 8 : Temps libre! Quel bon moment pour aller faire une petite escapade dans les alpes. Note à nous-mêmes : apporter
une carte la prochaine fois que l’on monte une montagne dans un pays inconnu. Suivie par un souper sur le bord de la
rivière à Ljubljana et d’une autre soirée endiablée au centre-ville.
Jour 9 : Cours de danse, bagages, siestes… et préparation pour la soirée Gala, dernière chance de s’amuser avec tous
les gens que nous avons rencontré durant ces 10 jours mémorables.
Bref, ce fût 10 jours dont on se souviendra (ou pas) toute notre vie. Si ça vous intéresse, le prochain congrès de l’IPSF se
tiendra du 3 au 13 août en Thaïlande. On suggère fortement à tous les adeptes du COCEP d’y assister si vous voulez vivre
un congrès encore plus intense et 3 fois plus long (dans un pays exotique avec de gens de partout…) Pensez-y bien!!
INTERVIEW INTENSE AVEC:
UNE EXPLOSION
Par Maxime Morasse (3ième)
Le 13 septembre dernier, Maxime rencontrait son idole
de jeunesse: l’explosion dans Terminator 3 quand la
fille robot tire sur un camion rempli de réservoir de
propane: Suzie. Voici le résumé de la conversation:
Maxime: Bonjour Suzie, est-ce OK avec vous si l’on
commence l’interview?
Suzie: Non ça va, allons-y.
M: Comment allez-vous?
M: C’est bien l’explosion de l’Étoile Noire dans StarWars IV?
S: Oui, notre fils a commencé sa carrière aussi! Il fait
éclater une voiture dans un film a petit budget. Il a dit
son premier BOOM! J’étais tellement fière de lui. Lui
aussi il me supporte, ma famille sait à quel point ce
projet est important pour moi. Nous sommes vraiment
un bonne équipe et on dit souvent de nous qu’on aime
mettre le feu aux poudres.
M: Content de l’entendre, je crois que les dernières années ont été plus difficile...
S: Très bien je dois dire, je travaille beaucoup dernièrement, j’aimerais voir ma famille plus souvent mais
S: En effet, suite à ma présence dans Quantum Of Solsomme toute, je suis heureuse.
ace, j’ai perdu mon père. Il était une inspiration pour
M: Vous travaillez avec Michael Bay? (présent sur la moi. Après tout, il était l’explosion d’Alderaan. Son feu
s’est malheureusement éteint il y a 2 ans. Je l’aimais
page couverture)
beaucoup et sa perte m’a profondément touchée. Mais
S: Oui, Transformers 3 est très exigent, j’ai eu plusieurs aujourd’hui je sais qu’il est toujours avec moi et il
scènes demandantes et Mike est très sévère avec moi. Il m’aide pour mes moments plus difficiles.
veut toujours le meilleur de ses explosions, c’est vraiment un bon défi. Nous sommes un bonne équipe et en M: Merci beaucoup pour votre temps!
travaillant ensemble, nous arrivons toujours à chercher
le meilleur de nous-mêmes. Nous avons hâte de vous S: Ça m’a fait plaisir, je te souhaite une journée à tout
casser.
présenter le résultat.
M:Pouvez-vous nous donner un aperçu?
S:Je ne devrais pas en parler, mais il y a un moment
où une réserve de gaz naturelle entre en contact avec
un rayon laser du personnage. J’entre en scène avec la
phrase qui m’a rendu célèbre: KA-PLOW! Ça été très
difficile, Mike m’a fait recommencer la scène au moins
15 fois. J’ai une personnalité parfois explosive et j’ai
failli lui lancé mon texte au visage.
M: Est-ce que votre famille vous supporte dans le tournage?
S: Oui! Ils sont fantastiques! Mon mari est tellement
compréhensif avec le tournage et tout.
Une grande inauguration
Le pavillon Ferdinand-Vandry
Par Étienne Beaulieu (2ième)
Le mois de septembre signifie la rentrée pour tous les
étudiants. Mais cette année, pour les étudiants en science de la santé de l’université, septembre aura été le
mois des inaugurations. Le pavillon Ferdinand-Vandry
(ou devrais-je dire le nouveau complexe intégrer de formation en science de la santé) a été inauguré officiellement à la fin du mois, ce qui nous a valu une visite
du Ministre Bolduc ainsi que d’autres invités gravitant
autour du domaine de la santé.
Cependant le 7 septembre, une inauguration aura passé sous le silence même si elle
représente un impact immédiat sur la formation
académique de nous étudiants en pharmacie. Je
parle de l’ouverture officielle du Laboratoire
Brunet. Ce vaste local situé au
3e étage du Vandry a pris naissance d’un partenariat entre
la faculté et Métro Richelieu inc./Brunet, ainsi
que d’une généreuse
contributions de ce
dernier. Au coût de 1 millions de dollars, les étudiants
pourront s’initier à la pratique
dans des installations mimant une
vraie pharmacie. Les étudiants auront ainsi à
leur disposition 8 postes de travail simulant un
comptoir en officine (ordinateurs, armoires, téléphone, compte-pilule, etc.) dont 2 avec une
aire de consultation/conseil. Ceux qui travaillent déjà à un Brunet ne seront pas dépayser par
la couleur des comptoirs. Le laboratoire donne
accès à la chambre de préparations stériles et il
servira de lieu de pratique pour se familiariser
avec les manipulations. Les 2 bureaux fermés
de consultations viennent combler l’espace restant. Avec les cours de communication, les étu-
diants seront invité a évolué dans ce local et,
avec l’arrivée du doctorat, le lab Brunet gagnera en importance.
Le laboratoire de pratique en officine maintenant opérationnel, on s’attend
dans les prochaines années, dans
l’esprit du complexe intégré de
formation, à la participation
de sciences infirmières et
médecine (ceux-ci pourront utiliser les bureaux de
consultation) pour simuler
les interactions entre ses différentes profession et la pharmacie. Les étudiants en pharmacie
bénéficieront aussi de visites d’étudiants(es)
ATP pour se familiariser à la dynamique de travail en communautaire. Le laboratoire Brunet
représente une ressource qui deviendra indispensable pour la formation des étudiants
Méta-analyse de l’année de
soins
Par Victoria Bello (3ième)
Frédéric Poitras devant la classe: Vous allez voir : l’année de
soins est l’année la plus importante de votre bac. Prenez tous
ce que l’on vous a dits au sujet de la troisième année et multipliez-le par 10! Vous allez devoir travailler fort et… bla bla
bla…
Dans la tête de l’étudiante qui vient de passer 4 mois en vacances avec encore des effluves de soleil et de sables : hummm…il me semble que j’irai flâner et magasiner STAT… j’ai
besoin d’une nouvelle paire de soulier…
Frédéric Poitras : si vous croyiez avoir tout vu l’année passée,
vous vous trompez. Il y aura des plans de soins à remettre à chaque semaine ainsi que des cours
théoriques à assister… bla bla bla…
Étudiante : …oh et faut que j’ajoute mes photos sur facebook….
Frédéric Poitras : …votre groupe de soins est comme un mariage : il faudra bien s’entendre et faire
des concessions. Si jamais il y a des problèmes venez me voir et je verrais….bla bla bla…
Étudiante : hein? Qu’est-ce qu’il dit?…Pourquoi faut-il que le cours soit aussi tôt? Une nouvelle gorgée de café va me faire du bien….
Frédérique Poitras : ….et il y aura des présentations du plan de soins que vous aurez préparé devant
les quelques 180 personnes de la classe…
Étudiante qui vient de s’étouffer avec sa gorgée de café : quoi??!!? Un ORAL?? (et cette fois-ci ce fut
dit à voix haute :S)
L’année de soins. La fameuse troisième année que tous les étudiants, dès notre entrée en pharmacie, se faisaient un malin plaisir à nous décrire comme étant la plus horrible, la plus chargée et la
plus suicidaire du bac; celle qui nous rendrait la vie impossible, que l’on devait craindre plus que
tout. C’était le « bonhomme sept heure » de notre première année et le « croque-mitaine » de notre
deuxième. Nous, tout jeunes et naïfs qu’on était, encore contents de notre admission en pharmacie
si chèrement payée, nous affichions un beau sourire en disant que ça ne pouvait pas être si pire que
ça, après tous les efforts que nous avions fait au cégep pour entrer ici, on savait ce qu’était que
travailler fort… (lol rire sarcastique de la part de l’écrivaine). Puis, c’était loin la 3ième année, loin,
loin, loin…. Et voilà que du jour au lendemain je m’étouffe avec une gorgée de café assise un 30 août
dans un bel amphithéâtre du Vandry (au faite, pourquoi est-il toujours aussi froid? N’ont-il aucune
considération pour les filles frileuses réduite à s’emmitoufler de la tête aux pieds?) réalisant que ça
y est, on était réellement arrivé à cette fameuse année tant redoutée.
Les anciens étudiants avaient-ils raison?? Est-elle
si pire que ça?? Je me suis penché sur la question
et, après avoir effectuée une étude randomisée
à double insu avec une puissance de ρ=0.005 auprès de la classe j’ai pu recueillir quelques données provenant de la source même. Voici certains
résultats suite à la question « un mot pour décrire
l’année de soins ? » :
•
lectures +++
•
études +++++
•
heures de sommeil - - - •
intensité 10 (+)
•
sociabilité - - - (non retenu pour l’étude, car
il représentait un biais possible avec l’expression
« pas de vie » recensé à un degré - - - - - -)
Hum! Ça vous donne une idée :S ! Quelques témoins se sont également plu à répondre par un
euphémisme incluant les mots « rigueur » +++
(comprendre : « on oubli le hockey ce soir et
toute forme de divertissement») et « discipline
» +++ (comprendre : « pas de vie » ce qui ajuste
notre valeur de tout à l’heure).
mer (passer au 4 pouces aurait été pratique, mais
je crois qu’un blocage psychologique retenait les
étudiants à passer à l’étape du « vraiment trop
nerd » avec le 4 pouces). Pour une raison inconnue et mystérieuse, le cartable 3 pouces –blancs
majoritairement – est surtout priorisé dans la
population féminine, mais heureusement celle-ci
s’est attirée la compassion des hommes en qualifiant le fameux cartable de « tellement lourd que
tu fais ton work-out du matin avec », « tu viendras me voir avec ta prescription d’AINS pour ton
dos », « mais que fais-tu des pauvres arbres sans
défenses? » et j’en passe. Certains ont réglé la
question en traînant leur portable (j’entends par
là une majorité d’hommes) ce qui rend la chose
assez pratique : un petit tour sur twitter, facebook et My Space pendant que l’on note «prioriser 90mg/kg/jour d’amoxicilline » n’a jamais été
aussi facile! Toutefois, cette méthode comporte
ses risques : une lutte acharnée pour les prises
de courant (en nombre ridiculement petit) donc
seule la vitesse peut garantir la victoire.
Voulant donner du poids et de la crédibilité à mon
étude, je ne pouvais la réaliser sans évaluer une
variable de haute importance : Frédéric Poitras,
alias « Caporal Poitras », alias « Fred ». Notre
responsable de Soins Pharmaceutiques I a fait
l’unanimité chez les femmes : admiration pour
son goût indiscutable sur la mode vestimentaire
masculine! (les gars, prenez-en note…) Mais audelà de ça, à la question « le premier mot qui
vous vient à l’esprit quand je nomme Frédéric
Poitras est… » les réponses se sont classées comme suit :
Bon, puisque les pleurs (en parlant des filles -cool
évidement!) et l’épuisement psychologique (en -dynamique
parlant des… non des filles seulement!) sont in- -motivé « full pine »
évitables, essayons de nous concentrer sur ce qui -bête d’intelligence
est réellement important : comment faire entrer -CPS ambulant (mon préféré!)
toutes ces notes de cours dans un seul crâne… -LE meilleur
euh… non dans un seul cartable? Pas facile! Tous
ont été optimistes la première journée : un cart- Il faut avouer qu’il n’y a que lui qui réussisse à
able d’un pouce et demi fera l’affaire! 7 jours éveiller à 8h30 du matin une horde d’étudiants
plus tard, le pouce et demi se converti par un chevronnés (ou plutôt en lendemain de veille du
changement inexpliqué en 2 pouces, qui à son tour 5e party de session) grâce à son dynamisme et à
fût remplacé à la 2e semaine par un magnifique rendre notre matière si intéressante et appliquée
et imposant 3 pouces, rempli à ras bord, néces- à notre pratique future. C’est un Boost® en soi
sitant que l’on s’assoie à deux dessus pour le fer- et un Wake-Up® naturel qui impressionne par la
maitrise et l’expertise de la pratique clinique dont il fait preuve.
Ce n’est que le début d’une longue année, remplie de nuits blanches, de caféine (selon certains devenue une partie intégrante et essentielle au fonctionnement du corps humain appartenant à l’espèce
Étudiantoccocus Pharmacius), remplie de party (hé oui il y en a! Et par un paradox complètement
masochiste de vouloir se rendre malade on y assiste quand même! ) et remplie de connaissances
acquises (on sera bientôt pharmaciens!!!), mais une chose est sûre : quand on entendra le mot «
foncièrement » on se rappellera de notre cher Frédéric Poitras, qu’on commence tous à adopter, et
du mot d’ordre de Soins I : ne JAMAIS tuer de patients!!!!!!
L’auteur ne présente aucun conflit d’intérêt pour la réalisation de cette étude
PEDAL TO THE METAL
Avec Paul Bigué
Quand j’écoute “Order Of The Black”, le dernier album de Black
Label Society, je me prends à rêver que j’ai un pote qui s’appelle
Snake à qui je dirais « Snake, finis ta grosse bière, mets ton bandana
pis peigne ta barbe, on monte sur nos motos pis on s’en va aux danseuses ». En d’autres termes, c’est du biker rock tout ce qu’il y a de
plus graisseux, et c’est exactement ce qu’on veut (moi en tout cas).
Vraiment, Zakk Wylde, le chanteur/lead guitar du groupe a fait un
sacré bout de chemin depuis ses belles années en tant que guitariste
(et donc compositeur) pour Ozzy Osbourne. Passer de beau gosse
de service qui se clanche des solos virils le chest à l’air et la crinière
au vent (allez voir le vidéo de « No more tears » d’Ozzy sur les
internets les jeunes) à icône du rock de gars de becyk à gaz : bravo
mon Zakk, c’est ce qu’on appelle passer à l’étape suivante. Bref, cet
album se mérite une solide note de 3.5/5 touffes, grosses bières ou
signes du devil, au choix du lecteur.
iFred
Par Frédéric Martel (4ième)
IFred est de retour et dans cet article je vais vous parler des albums qui ont constitué la bande sonore de mon été et qui sont,
selon moi, tous d’excellents albums. Si un de ces titres, je vous
conseille d’aller visiter leur page Myspace.
Arcade Fire – The Suburbs
Ce super groupe montréalais nous revient avec un troisième long jeu
tout aussi excellent que les deux précédents (Funeral et Neon Bible). Certaines
personnes pourraient être déçues de cet album à la première écoute, mais après
plusieurs, on peut vraiment écouter à quel point cet album est magnifique. Les
chansons comme Ready to Start ou Month of May sont de véritables hymnes
rock tandis qu’une chanson comme Sprawl II (Mountains Beyond Mountains)
nous donne droit à une belle balade chantée par Régine Chassagne. Bref, cet album pourrait bien être l’album de l’année 2010 et si vous avez la chance de voir
ce groupe en spectacle allez-y, car c’est une expérience unique qu’il faut vivre au
moins une fois dans sa vie.
The National - High Violet
Je pourrais affirmer que The National est mon meilleur groupe de musique et que High Violet est l’album qui a le plus roulé sur mon IPod cet été.
La voix barytonne de Matt Berninger est tout simplement ensorcelante et magnifique tandis que l’instrumental des jumeux Dessner est parfaite. The National
nous ont livré une bombe indie rock à la hauteur de leur talent et avec des artistes
invités comme Sufjan Stevens et Justin Vernon: cela ne pouvait être mieux. Je
conseille à tous d’aller écouter la chanson Afraid of Everyone qui est jouissive.
Sleigh Bells – Treats
Quelle suprise fut la découverte de ce groupe cet été! Ce groupe pour
le moins éclectique composé d’un ancien guitariste de Poison the Well (groupe
hardcore) et d’une chanteuse qui fut dans un groupe de « teen pop » inconnu
nous arrive avec un premier opus mélangeant le pop, noise rock, punk, rap et
plusieurs autres autres styles. Au bout du compte, nous avons droit à un album
qualifié de noise pop avec plusieurs titres qui vous restent en tête après seulement
une écoute comme l’excellente Tell’em ou bien Infinity Guitars. Je vous conseille
d’aller voir le clip de cet dernière chanson, car on y voit pleins de trucs exploser
avec une excellente musique qui vient avec.
LCD Soundsystem – This is Happening
WOW WOW ET REWOW! Ce groupe new-yorkais nous ont offert à
la fin du printemps leur troisième et dernier album (sniff!), mais au moins ils
nous quittent avec tout un album. This is Happening a su me faire danser tout
l’été et James Murphy (chanteur et frontman) avec ses textes très rigolos et
satiriques comme la chanson Drunk Girls a su me faire sourire. Le groupe nous
offre encore la même recette dance-punk que leurs deux précédents titres, mais
ici l’album est un peu plus pop et vraiment accessible. Si vous voulez vraiment
entendre une bonne chanson aller écouter le remix de Soulwax de la chanson
You Wanted a Hit. Plaisir garanti!
Foals – Total Life Forever
Ce groupe britannique nous offre un deuxième album surprenant mais
ô combien excellent. Ils nous livrent un album math rock très technique et
très atmosphérique, mais qui est quand même très dansant (un peu moins que
l’excellent album Antidotes). J’ai eu la chance de les voir live à la fin septembre
et je dois dire que ça rajoute encore plus de profondeur à ce groupe et surtout à
cet album. Bref si vous voulez des riffs de guitares qui vous hypnotiseront mais
sans décaper vos tympans, allez écouter l’album Total Life Forever.
Autres Albums
Stars – Five Ghosts (Indie Rock Romantique)
Rusko – O.M.G. (Dubstep)
Crystal Castles – Crystal Castles (le deuxieme) ( 8-Bits Electro Trash)
Wolf Parade – Expo 86
Des projets plein la tête
Par Maxime Huard (1ière)
Qui peut prétendre habiter dans la province de Québec
et ne pas connaître Régis Labeaume ? Un personnage
coloré qui a pour fonction principale d’être le maire
de la ville de Québec, mais qui prend parfois l’allure
d’un agent d’artistes. Il a toujours en tête de créer de
nouveaux projets pour faire connaître sa ville au monde
entier. M. Labeaume a fait avancer sa municipalité
comme personne auparavant et son imagination semble
parfois être sans limite.
tous ces gens sont conviés à se présenter sur les Plaines
d’Abraham le 2 octobre pour La Marche Bleue. Les organisateurs du site veulent réunir ces personnes pour
démontrer à quel point la population de la ville de Québec veut obtenir à nouveau les Nordiques. De plus, 1150
personnes iront en autobus à New York pour assister à
un match des Islanders. Cette équipe ne possède pas
beaucoup de partisans et les fans des Nordiques veulent
démontrer à la ligue à quel point ils sont prêts à tout
pour reconquérir leur équipe.
Cependant, 2 problèmes s’imposent face à ce projet.
Tout d’abord, la ville de Québec doit posséder un nouvel amphithéâtre si elle veut avoir la chance de revenir
dans la LNH. Le financement de cet édifice pose un réel
problème. Le gouvernement fédéral ne veut pas aider,
M. Péladeau considère que sa part est déjà suffisante est
proposant d’acheter la nouvelle concession et M. Régis
Labeaume ne veut pas demander au privé de payer cette
facture. De plus, les autres villes de la province refusent
Un des ces projets a particulièrement attiré mon atten- d’offrir leur aide au développement d’un nouvel aréna.
tion. M. le maire tente de faire revenir une équipe de Tout le monde s’obstine et aucune solution n’est apporhockey de la Ligue Nationale de Hockey (LNH) à Qué- tée pendant ce moment. Le deuxième obstacle vient du
bec. En d’autres mots, le fameux retour des Nordiques fait qu’il faut qu’il y ait une équipe qui se libère dans
que plusieurs personnes attendent depuis leur départ la Ligue Nationale de Hockey pour que Québec croie
en 1995. C’est un projet très ambitieux, mais rien ne en ses chances. Présentement, quelques équipes ont des
semble effrayer Régis Labeaume. La preuve vient du problèmes financiers dans cette ligue. On pense à des
fait que jamais la ville de Québec a été aussi près de clubs comme Phoenix, New York (Islanders), Floride.
reconquérir sa précieuse équipe. Tout d’abord, Pierre- Or, le maire Labeaume a encore du pain sur la planche
Karl Péladeau a démontré un intérêt pour acheter une s’il désire concrétiser ce projet.
franchise de la LNH et l’installer à Québec. C’est certain que quand tu possèdes Canoë, TVA, Canal Indigo, Bref, certains diront que le maire de cette ville ne met
LCN, des dizaines de quotidiens et j’en passe, tu peux pas ses priorités à la bonne place et qu’il devrait priote permettre d’investir en achetant une équipe de hock- riser des aspects comme la santé ou l’environnement,
ey. Donc, avec l’appui financier de M. Péladeau, le pro- mais personne ne peut nier le fait que cet homme donjet peut commencer à prendre forme.
ne tous les efforts qui sont en son pouvoir pour faire
avancer la ville de Québec.
Par la suite, les citoyens de Québec ont décidé de prouver par eux-mêmes qu’une franchise dans leur ville serait rentable et qu’il y aurait toujours assez de spectateurs dans les estrades. Premièrement, Radio X a mis
sur pied un site internet où les gens peuvent devenir
membre de la << Nordiques Nation >> pour démontrer leur appui à un retour de la LNH dans la capitale.
Plus de 100 000 personnes ont répondu à l’appel et
Mon petit chien mexicain
par Étienne dauphin
ette chronique est dédiée à ceux et celles
qui se souviennent de ma super chronique de l’an
dernier intitulée “Mon animal de compagnie particulier favori” et qui ont en mémoire mon poisson
rouge mongole, (feu) Bulle. J’encourage également
tous les autres à la lire quand même, car je donne
d’importants conseils pour bien s’occuper d’une
petite boule de poil qui jappe.
Tout débute par suite de mon obsession pour les
magazines et les blogues à potins Hollywoodiens.
Comme vous le savez bien, une des figures les plus
en vue de Sunset Boulevard, Paris Hilton, se ballade depuis quelque temps avec un chien de poche
dans son sac à main. Hanté par mon rêve de me
faire apercevoir par un photographe affilié à Sept
Jours, j’ai décidé moi aussi de rejoindre les rangs
auprès de Paris, Britney et j’en passe. Ou peut-être pas.
Bref, j’ai adopté une petite femelle Chihuahua que j’ai nommée Leeloo. Ça se
prononce Lilou en passant, et ça vient
d’un film où Leeloo est le Cinquième
Élément envoyé par les dieux pour sauver l’humanité contre le joug du mal.
En tout cas, j’ai pensé que ce serait hot
d’avoir un chien qui sauve l’humanité.
Ceci dit, un chihuahua, c’est pas ben
ben gros. J’ai réalisé que ça tenait plus
du hamster que du chien. Quand je l’ai
ramenée chez nous, elle pesait 2 livres.
Rendue à presque 5 mois et à sa taille
adulte, on parle ici de 3.5 livres. Pas
gros. En fait, le standard de la race,
selon l’association canine canadienne
se situe entre 1.5 à 3.0 kg (ou 3.3 à 6.6
lbs si vous préférez). Il en existe des
plus petits, appelés non-officiellement
Chihuahua Teacup, qui peuvent topper à 1.5 livre adulte. Soyez avisés
que les Teacup sont flanqués de problèmes de santé, le plus fréquent étant
le combo hydrocéphalie-exophtalmie.
De plus, certains acceptent de payer
jusqu’à $6000 (oui, six mille) pour s’en
procurer un. Un peu extrême. En ce qui
concerne les chihuahuas moins petits,
la demande explosive due à sa récente
popularité a donné lieu à l’apparition de
plusieurs tares génétiques dans le pool
nord-américain de chihuahuas, notamment la luxation de la rotule, l’épilepsie et
souffle au coeur.
Le patrimoine génétique de Leeloo remonte directement aux temps des Pistoleros et des cowboys. En fait, Chihuahua
est le nom d’une province du Mexique.
On a un problème ici au Canada avec les
chihuahuas, et ça s’appelle l’automne et
surtout l’hiver. Elle tremble beaucoup –
ce qui, j’ai appris, est normal pour sa race
mais je suspecte plutôt qu’elle tremblera
toujours tant qu’il ne fera pas 40 degrés.
Sa taille ici est un avantage, puisqu’elle
peut s’exercer et courir un marathon
dans mon 4 et demi. Mais bon je me suis
vu littéralement forcé de lui acheter un
gilet. J’ai en horreur les chiens habillés
comme des enfants, mais lorsque la vie
du toutou en dépend, on fait avec.
Prendre une marche avec ce chien est un
challenge beaucoup plus grand que je ne
l’aurais deviné. Elle est tellement petite
et bouge tellement vite que je n’ai pas
le temps de réagir si elle décide de me
couper le chemin pour aller à droite. Vient
le risque de lui piler dessus. C’est pas
des farces, mon pied peut littéralement
l’écraser. On pourrait penser que son habitat préféré serait la sacoche à Paris Hilton et qu’elle s’y plairait. J’ignore si Paris
donne du Xanax à son chien pour qu’elle
puisse passer des soirées avec son toutou dans son sac, mais la réalité est que
ces chiens-là sont loin d’être tranquilles.
Du moins, pas lorsqu’ils sont jeunes. Pis
INCROYABLE!
ÉPATANT!
Le plus petit chien du monde
est un chihuahua vivant aux
États-Unis.
Il ne mesure que 15,2 cm (6
po) du museau jusqu’à la
queue !
ça saute en plus cette histoire-là. De
retour à la marche: j’ai abandonné le
projet de lui acheter un choker (ou collier-étrangleur pour plaire à l’Office de
la langue Française): un petit coup de
choker et le chien pourrait se retrouver à plusieurs pieds dans les airs ce
qui risque de mettre sa vie en danger
lorsqu’elle refrappera le sol. La marche
est donc une épreuve: il va sans dire
qu’il serait préférable de ne pas tuer le
chien en la chokant ou en lui marchant
dessus.
Ah oui. Elle est fascinée par mes cactus.
Drôle de truc aussi quand on y pense
C’est un peu comme un Labrador qui
capote quand il voit un canard.
En conclusion, je n’ai peut-être pas encore réussi à me faire prendre en photo
par Écho Vedettes, mais ça ne devrait
pas tarder car Leeloo est une véritable
star quand je sors avec elle dans un endroit public.
Point suivant: la nourriture. J’ai maintenant compris pourquoi les chihuahuas
sont si petits: c’est parce qu’ils ne mangent pas beaucoup. C’est vrai, on y va
une croquette à la fois dans son cas, et
ça peut prendre 20 bonnes secondes
pour la casser, en sortir la moitié de sa
gueule, manger la première moitié et
ainsi de suite. Il faudrait que j’essaie les
fajitas ou les tortillas avec de la musique
merengue, peut-être ça la mettrait dans
l’ambiance de la fête. Ou bien mettre
de la sauce Tabasco sur sa bouffe. Il
faut voir le bon côté des choses: ça ne
coûte pas cher en alimentation.
une torsade de pointes, cest comme un joueur de
baseball qui frappe des balles. si tu lui pitches
plein de balles trop vite, y peut pas en cogner
une fort. si tu prends ton temps par contre, y
peut swigner ben fort pis la sortir du stade.
-dr. Paul Poirier
Delirium
La mesure non-pharmacologique de la depression
Les fameux “Pas-là”
Lors d’une réunion de soins sur le glaucome:
K.B. C’est pas vraiment important le début d’action, étant donné que c’est une affectation chronique de l’oeil!
MC: Les femmes de pouvoir, c’est quand même dangereux... [NDLR: Tellement vrai...]
EG: Notre patient ya tu entre 2 et 12 ans?
LB: Non, il a 4 ans
LB: Mais ça couvres-tu les bactéries anaérobes au niveau vaginal?
EG: Je pense pas que c’est vraiment pertinent dans le cas de Martin...!
-...et on devrait aussi vérifier l’adhérence au traitement.
MM: l’adhérence c’est pour les pneus de voitures... mais ton argument tient la route.
dans une rencontre de soins : couvre bien les gram + mais sperme plus large!
AW: Traitement de l’acné pour un gars: On finance un changement de sexe par la RAMQ et on
le traite aux anovulants.
MM dans son exam de soin, avant sa première révision: Éviter de marcher pieds nus dans un
endroit pubique
JPB: Mesure non-pharmacologique contre le prurit: se
gratter.
GL: Hey M, tu pognes! T’es entouré de pétards!
MC: Ouais, je suis comme un 8 au Démineur!
[Le making-of du “Pas-là” précédent] MC: Hey Max, on a
un “Pas-là” pour le journal!
MM: Ah ouais?
MC: Ouais c’est eum, ça avait rapport avec le démineur...
G m’a dit dequoi et j’ai répondu, parce que je suis une
bombe!
MM: Man... ça fait aucun sens.