Zoom - Théâtre du Grand Rond
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Zoom - Théâtre du Grand Rond
Zoom de Gilles Granouillet Mise en scène Alain Daffos Interprétation Muriel Benazeraf Contact diffusion et presse Laurence Bloch 05 61 49 05 83 / 06 81 40 18 93 Mail : [email protected] Cie La Part Manquante 270 avenue de Muret 31300 Toulouse Tél/Fax 09 81 69 38 10 Mail : [email protected] Site internet : www.cie-lapartmanquante.fr Licence N° 2 : 105 4109 Licence N° 3 : 105 4110 APE N° 9001 Z La Compagnie La Part Manquante présente Zoom de Gilles Granouillet Mise en scène Alain Daffos Interprétation Muriel Benazeraf Costume Alain Daffos Création lumière Didier Glibert Assistant à la mise en scène Jean Stéphane Administration Les Thérèses Attachée de production Laurence Bloch Collaboration artistique Valérie Teste Gilles Gunca Production Compagnie La Part Manquante Partenaires Conseil Régional Midi-Pyrénées Conseil Général de la Haute-Garonne Mairie de Toulouse Aide à la résidence Centre Culturel de Ramonville Espace Roguet Saint-Cyprien -Toulouse - Compagnie La Part Manquante Historiques des créations Un bon français 2013 d’après La délation sous l’Occupation d’André Halimi Blackbird 2012 David Harrower Théâtre Sorano - Toulouse Notre Avare 2010 D’après L’Avare de Molière Notre besoin de consolation est impossible à rassasier 2009 de Stig Dagerman Sept seconde 2008 Falk Richter Théâtre Garonne - Toulouse Une Langouste pour deux 2006 Copi L’Amant poussif La mère rivale 2005 Thomas Simon Gueulette sur Le Petit Théâtre Forain Inconnu à cette adresse 2004 Kathrine Kressmann Taylor Mise en scène A. Daffos, N. Andrès Tchernobyl, ou La réalité noire 2003 d’après La supplication de Svetlana Alexievitch Théâtre de La Digue -Toulouse Introspection 2001 Peter Handke La Révolte 1999 Villiers de L’Isle-Adam Madame l’abbé de Choisy 1998 François Timoléon de Choisy Alain Daffos, metteur en scène, fonde avec le comédien Jean Stéphane la compagnie La Part Manquante en octobre 1997 lors de la création de son premier spectacle, Madame l’abbé de Choisy. Sans volonté de cloisonnement dans les genres et le répertoire, il s’intéresse à propager le geste artistique de manière à proposer un théâtre porteur de pensées, de sensualité en lien avec le poétique, le politique et le partage. La Part Manquante …. Faire part et tenir compte de nos manques, de nos erreurs, de nos doutes de nos parts d’inconnu. Faire part de nos faces cachées, de nos contradictions les plus intimes sur le chemin de nos petites enfances. Faire la part du hasard, pour ce qui revient, pour ce qui échoit. Donner suffisamment de vie à l’illusion et de vérité au mensonge pour qu’on y croie toujours, en changeant de genre, d’époque et de sujet, mais jamais d’ inquiétude… La compagnie La Part Manquante est subventionnée par : Le Ministère de la Culture et de la communication, Le Conseil Régional MidiPyrénées, le Département de la HauteGaronne, la Mairie de Toulouse, le spedidam Les spectacles ont été coproduits par : La Théâtre de La Digue, Circa Scène Conventionnée, Auch, l’Espace Apollo, Mazamet, le Théâtre de Cahors, La mjc de Rodez, Le Théâtre Garonne Resumé Zoom Une salle de classe. Une femme prend la parole pendant une réunion de parents d’élèves. Elle, c’est la mère de Burt, celle que l’on n’a pas vue depuis des années, celle que l’on aurait sans doute préféré ne pas revoir. Son fils n’est plus dans l’établissement, pourtant elle s’est invitée. Le professeur principal est en retard. Elle se lève et parle. Elle se raconte. Raconte qu’à dix huit ans elle s’est retrouvée fille-mère, explique comment son homme l’a larguée, puis les services sociaux, sa solitude, sa vie galère et celle de son fils, enfin, l’urgence de le sortir de là et par le haut : Petit Burt a été conçu dans une salle de cinéma, pendant une séance de Tant qu’il y aura des hommes, il sera donc une star comme son patronyme, Burt Lancaster. Commence alors la course effrénée des castings, des auditions, des humiliations, des absences répétées de l’enfant au collège, qui court les rendez-vous au risque d’être déscolarisé. Au bout du rêve d’Hollywood le miracle : Burt est convoqué à un casting. Série noire pour la mère de Burt. Elle frappe le rival, autre jeune prétendant au rôle. Condamnée à quatre ans de prisons, elle reçoit pendant son incarcération des cassettes de musiques enregistrées. Burt a appris le violoncelle pour Maman. Il lui envoie ses meilleurs morceaux. Ce jour là, dans cette salle de classe, elle témoigne, vient demander pardon, expliquer comment Burt a tout fait pour rompre à jamais son destin de raté. Je me suis demandé si l’on devait envisager un théâtre particulier pour les adolescents. Pour les enfants plus jeunes, je le concevais très bien, mais pour des jeunes de cet âge, je n’en étais pas sûr. J’ai donc pris la décision de partir de quelque chose qui était proche de leur univers familier, répondant ainsi à la commande d’écriture davantage par le sujet que par la forme Gilles Granouillet à propos de Zoom L’auteur Gilles Granouillet Gilles Granouillet est né en 1963 à Saint Etienne. Après avoir exercé différents métiers, il fonde en 1989 la compagnie Travelling théâtre avec laquelle il met en scène Diderot, Sam Shepard, Emile Zola, Gilles Segal, Jean-Claude Grumberg, Michel-Marc Bouchard, Natacha de Pontcharra mais aussi ses propres pièces. En tant qu’auteur ses textes ont été portés à la scène par de nombreux metteurs en scène comme Gilles Chavassieux, Guy Rétoré, Alain Besset, Anne-Laure Liegeois, Carole Thibault, Philippe Zarch, Philippe Adrien, Claude Berrutti, François Rancillac, Philippe Sireuil… Auteur associé à la Comédie de Saint-Étienne de 1999 à 2010, il a mené un travail autour de l’écriture contemporaine. Plusieurs de ses pièces ont été mises en ondes par France Culture, sous forme de dramatiques radiophoniques. Ces textes sont traduits en allemand, italien, roumain, grec, espagnol… Il a été joué dans une douzaine de pays. Son œuvre est publiée principalement chez Acte-Sud / Papiers mais aussi à l’avantScène, Lansman, Espace 34, Les quatre vents. Oeuvres Les anges de Massilia Vodou Chroniques des oubliés du Tour Combat Nuit d’automne à Paris Nos écrans bleutés L’incroyable voyage Trois femmes descendent vers la mer Lorène dans l’escalier in Monologues pour et autres textes Six hommes grimpent sur la colline Maman ! Dans Embouteillage Ralf et Panini Le saut de l’ange in 4 Comédies pour la comédie Une saison chez les cigales Trois femmes descendent vers la mer Vesna La maman du petit soldat L’envolée Ma mère qui chantait sur un phare Zoom (Edition Lansman) Poucet pour les grands Extrait Zoom Parce que notre vie commence toujours avant qu’on arrive. Notre vie à tous est déjà partie et nous, on n’est pas encore là. C’est comme au ciné quand tu as raté le début, tu passes tout le film a essayer de comprendre ce qui s’est passé avant que tu y sois, des fois, tu passes tout le film à essayer de comprendre pourquoi tu n’y comprends rien et ça t’énerve, voilà pourquoi il est énervé le petit Burt, parce que c’est vrai, il est énervé Burt, je suis sa mère et j’ai pas honte de le dire, Burt, c’était un petit énervé, et quand il a poussé c’est devenu un grand énervé, qui cogne, qui cogne, que mes bras m’en coupent si je mens, mais ça pourrait bien venir de ce qui s’est passé au début de son film à lui, parce que dès le début , son film était raté, et quand je dis ça, je ne dis pas que des mots, parce que mon Burt il vient tout droit d’un film, si je voulais faire la maligne je dirais qu’il vient d’Hollywood, parce que Bernard, je le connaissais à peine Bernard, on ne s’était même pas embrassé et un jour il me dit, Bernard : « Tant qu’il y aura des hommes », ça te dit ? Ca te dit samedi ? / Samedi ? Samedi, ça le fait, je lui dis, mais c’est quoi comme film ? / Film d’amour, il me fait avec ses yeux, Bernard, il avait les yeux bleus, c’est Hollywood ! Moi j’aimais bien le titre « Tant qu’il y aura des hommes », ça sonne « Tant qu’il y aura des hommes », c’est parti pour samedi. Il était bien ce Bernard, beau, chauffeur livreur ! Il avait son camion. (…) Est-ce que tu m’aimes, Bernard ? Il n’a pas eu le temps de répondre, la salle a plongé dans le noir, le film je m’en souviens très peu mais une fois la lumière revenue j’étais enceinte. Tant qu’il y aura des hommes (From Here to Eternity) de Fred Zinnemann (1953) Avec Burt Lancaster, Montgomery Clift, Oscars du meilleur film, du meilleur réalisateur du meilleur second rôle - Donna Reed et Frank Sinatra - en 1954 Analyse Zoom Zoom aborde à travers une histoire de détresse et d’ambition quasi mystique le parcours d’un parent prêt à tout pour faire réussir son fils. Zoom pourrait se définir aussi comme le récit furieusement ironique d’une mère gagnée par la malchance sociale. Parce que son fils, Burt, est né du cinéma – il a été conçu pendant la projection du film Tant qu’il y aura des hommes avec Burt Lancaster, la mère de Burt est persuadée qu’Hollywood lui permettra d’échapper à la misère. Essayant de gravir les marches de la reconnaissance à travers les espoirs du septième art, elle s’engagera dans un combat sans fin pour que son fils soit une star au risque d’accomplir un acte de violence qui la conduira en prison. Comment une mère issue d’un milieu modeste parvient-elle à détourner son fils de la misère au risque de se brûler les ailes ? Comment, forçant le destin de son fils, parvient-elle à nous faire ressentir et comprendre les mécanismes implacables et les injonctions qui conditionnent nos conduites… Dans ce récit monologué l’auteur nous livre dans une humanité radicale les méandres de la complexité humaine sans didactisme ni leçons moralisatrices. Sans misérabilisme ni voyeurisme, Gilles Granouillet, nous laisse juge face aux questions des relations parents-enfants, de l’éducation, des normes sociétales et de la réussite à tout prix. Loin de la caricature sur la pauvreté du langage de la marge, de la compassion misérabiliste, du parti pris, du procès simpliste fait à la société, Zoom parvient à nous révéler dans un mélange de tonalités à la fois pathétique, sensible, et clownesque l’univers en perdition de cette mère courage en quête de paillettes et de rêves de cinéma. Alain Daffos, metteur en scène Presse Zoom Fondu au noir Elle, c’est la mère d’un ancien élève de l’établissement. Il n’y a pas laissé que de bons souvenirs, ni auprès des profs qu’il insultait et provoquait régulièrement, ni auprès de ses anciens camarades qu’il cognait tout aussi fréquemment, un « enfant difficile », insolent, volontiers flemmard en « échec scolaire », dont les absences nombreuses n’étaient, ne sont, qu’un des éléments de sa déstructuration familiale et sociale. Faut dire qu’hormis son prénom Burt, qu’il ne doit qu’au hasard d’une conception involontaire dans une salle de cinéma où était projeté le film multi-oscarisé de Fred Zinnemann, pour lui et sa mère tout ne fut que galères successives, frigo vide, précarité, foyer et vigilance sociale de la part des « psycho-éducs et tout le toutim ». L’humiliation quotidienne comme sombre horizon, confrontée à la volonté farouche de modifier ce funeste destin tracé d’avance. Alors quand elle débarque dans ce conseil de parents d’élèves où elle n’était évidemment pas conviée, les mots peinent à sortir de sa bouche ou se bousculent pour dire son mal être si profond … Timide et embarrassée, elle en a tant sur la patate qu’elle en devient volubile, expansive, envahissante même, déroulant sans relâche le fil de ses malheurs, non pour se justifier, juste pour essayer de faire toucher du doigt cette tragédie de l’intime qui la dévore insidieusement depuis tant d’années et lui taraude le cœur et l’âme… La solitude effrayante, le manque d’amour, la frustration en permanence, l’absence de désir, tout ce qui a forgé ce caractère de révoltée à fleur de peau, et chaque jour restreint davantage leurs vies devenues étriquées. L’utopie d’Hollywood se heurte à la réalité terriblement terre à terre, la nécessité de la survie s’impose face aux fantasmes de casting salvateur jusqu’à provoquer un drame… C’est dire si la pièce « Zoom » de Gilles Granouillet présentée cette semaine dans différents établissements scolaires du département dans le cadre de l’opération théâtre au collège touche au plus près ce jeune public. Un texte acéré qui vise juste, une comédienne formidable, Muriel Benazeraf, seule pour ce monologue que l’on prend en pleine figure , et une mise en scène in situ aussi discrète que précise d’Alain Daffos, voilà qui donne à ce spectacle poignant de sincérité proposé par la Compagnie La Part Manquante ce goût subtil de punch, d’audace et d’authenticité. Une vraie réussite pour ce théâtre du réel très classe qui fait la nique à la télé réalité formatée. Un grand bravo. Jean Dessorty Blog du 28 mars 2014 Presse Zoom Pistes de travail à destination des adolescents Zoom Ce texte est interprété par Muriel Benazeraf dans une salle de classe de collège ou de lycée*. Pas de décor, la présence et le jeu de la comédienne suffit à donner corps à la simplicité lucide de la mère de Burt. L’enjeu est d’engager une réflexion sur le parcours sinueux du personnage auprès des adolescents et révéler dans la proximité du jeu d’acteur, un rapport concret au théâtre contemporain sur des thématiques qui leur sont proches. *Le spectacle est aussi proposé dans le rapport frontal d’un théâtre avec quelques éléments évoquant une salle de classe (tableau, chaise, bureau…) Quelques thèmes qui peuvent être sujet à projets, actions culturelles, rencontres avec les élèves et les professeurs à l’issue de la représentation : - le langage et l’expression La norme et l’exclusion La violence L’école L’individu et les institutions La résilience (thème récurent chez l’auteur) Le cinéma et le rêve hollywoodien La difficulté de devenir acteur Les jeux télévisés L’obésité/ Excès, manques, dérèglements alimentaires L’amour chez les adolescents Le monologue au théâtre L’école … Un dossier pédagogique du spectacle est mis à votre disposition sur demande. Equipe artistique Zoom Alain Daffos, metteur en scène Il suit sa formation de comédien à l’ Ecole d’Art Dramatique de 3BC Compagnie à Toulouse. Il a été élève de Jacques Nichet, de Françoise Roche au Cours Florent, de Régis Braun à la Comédie de Saint Etienne, de Robert Cantarella au Centre Dramatique National de Toulouse, d’Alain Knapp aux Ateliers de Philippe Adrien au Théâtre de la Tempête à Paris, de Françoise Lebrun à la Comédie de Béthune et d’Elisabeth Chailloux au Théâtre des Quartiers d’Ivry à Paris… Il a travaillé comme comédien avec Armand Gatti dans Condamné à l’exil d’Armand Gatti, Philippe Bussiere dans Le Cavalier bizarre de Michel de Ghelderode, Rosencrantz et Guildenstern sont mort de Tom Stoppard, Gustave n’est pas moderne d’Armando Llamas, Jean-Marc Brisset dans Meurtre de la princesse juive d’ Armando Llamas (Théâtre Garonne -Toulouse -, Théâtre de la cité Internationale Paris -), Les Femmes savantes de Molière, Gilbert Tiberghien dans Opera Nostra de Sergio Guargliardi (théâtre de La Tempête - Paris - ), Jean-Luc Terrade dans On purge bébé de Georges Feydeau, Inconnu à cette adresse de Kathrine Kressmann Taylor mise en scène par Nathalie Andrès et lui-même, Claude Martinez dans Diktat de Enzo Cormann… Il a interprété plusieurs rôles de comédien à l’Opéra. Au Théâtre du Capitole de Toulouse et à l’ Opéra de Turin dans Hamlet d’Ambroise Thomas dans une mise en scène de Nicolas Joël. L’Italienne à Alger de Rossini, mis en scène par Tobias Richter ainsi et dans les ballets Copellia de Léo Delibes, et Cendrillon de Serge Prokofiev sous la direction de Jacques Fabre. Parallèlement à son parcours de comédien il a la mis en scène Madame l’abbé de Choisy de François Timoléon de Choisy (1998) La Révolte de Villiers de L’Isle-Adam (1999) Introspection de Peter Handke (2001) Tchernobyl, ou La réalité noire d’après La supplication de Svetlana Alexievitch (2003) Théâtre de la Digue Toulouse Inconnu à cette adresse de Kathrine Kressmann Taylor (2004 L’Amant poussif et La mère rivale de Thomas Simon Gueulette(2005) Une Langouste pour deux de Copi (2006) Sept secondes, In god we trust de Falk Richter (2008) Théâtre Garonne -Toulouse Notre besoin de consolation est impossible à rassasier de Stig Dagerman (2009) Notre Avare, d’après L’Avare de Molière (2010) Blackbird de David Harrower (2012) Un bon français d’après La délation sous l’Occupation d’André Halimi (2013) Il a mis en scène au sein de la compagnie Dans le sens opposé la comédienne Catherine Froment dans La chair de l’homme 52ème scène de Valère Novarina. Muriel Benazeraf, comédienne Elle suit sa formation à Toulouse au Théâtre de l’Acte et à l’Ecole d’Art Dramatique de 3BC. Elle a complété sa formation auprès - entre autre - d’Augusto Boal, Subicz, de Georges Appaix, d’Alain Gautré, de Guy Alloucherie, de Mladen Materic, d’Heddy Maalem, de L.G.Paquette, de Jean PierreThaillade et de Jean Luc Terrade… Elle suit un long compagnonnage avec la compagnie de théâtre de rue 12 balles dans la peau en jouant dans les spectacles : Maison Armand, Radis for food, Le Carpe, Europrécar, Grands Phénomènes du Paranormal. Au sein de la Compagnie Kartoffeln, elle a joué dans Transports en commun. Dans le spectacle de Michel Crespin, toujours en rue, elle a joué Théâtre à la volée. Elle a été mise en scène par Laurent Ogée - 3BC Compagnie - dans Les classiques favoris, Les absurdes, Les Raciniennes, La trilogie du revoir de Botho Strauss. Elle a participé, toujours comme comédienne, aux productions de Nicole Garretta Groupe En/vers théâtre – dans Eva Peron de Copi, Le monde est rond de Gertrude Stein, Espèces d’espaces de Georges Perec, Les Voisins, Une place sur la terre. L’auteur David Buatois - Compagnie David Buatois – l’a mise en scène dans La vie de famille, Le garde-malade, Joyeux Noël, Le casino des familles. Elle a joué dans On a marché sur la terre, Le dernier quatuor d’un homme sourd dans les mises en scène de François Cervantes - L’Entreprise Elle a travaillé avec Jean-Pierre Beauredon – Cie Baudrain de paroi dans Home de David Storey. Avec la Compagnie Les Cyranoiaques dans L’imitateur de Thomas Bernhard et avec René Gouzenne et Mario Fraschetti dans Le tigre mondain. Elle a mis en scène de nombreux spectacles au sein de diverses compagnies de théâtre : Maria Dolores y los crucificados, Tout le monde peut en cacher un autre, Mon toit du monde à moi c’est toi - Compagnie de l’Autre - , Petrolina et Mascarpone duo cirque-théâtre, Chromozhommes Compagnie Francs glaçons, L’Ultime passage Compagnie des Astres, Twelve points de S.Cornille et Y.Billaud, Le goûter Ferraille du Collectif des Requins-Marteaux, Sing me a song Compagnie ON/OFF. Elle a également mis en scène le spectacle musical Les Petites faiblesses. Au cinéma elle a tourné dans plusieurs fictions de Jacques Mitsch : Le mammouth Pobalski, Le petit frère d’Huguette, La dernière expédition , Micro-ciné, L’aventure humaine. Fiche Technique / Contact diffusion Zoom Public concerné Tout public Public scolaire : de la classe de 4ème à la terminale Durée du spectacle 1h10 environ Conditions techniques En établissement scolaire 1 salle pouvant accueillir 60 élèves maximum et disposant d’un tableau et d’un bureau. Lumière : pas de rajout technique. La salle est utilisée comme telle. Dans un théâtre 1 plateau d’au moins 7 mètres de profondeur sur lequel sera reconstituée une salle de classe avec 60 chaises pour les spectateurs (la Compagnie pourra fournir le tableau et le bureau) Si le plateau est plus grand, possibilité de rajouter un gradin dans le prolongement des 60 chaises pour augmenter la jauge à 150. Lumière : simple plein feu à pré-implanter (plan fourni par la compagnie) Jauge En public scolaire : 60 élèves maximum (2 classes) En tout public dans un théâtre : 150 spectateurs maximum Organisation de tournée, prix de vente et renseignements complémentaires Laurence Bloch 06 81 40 18 93 / 05 61 49 05 83 E-mail : [email protected] Cie La Part Manquante Responsable artistique Alain Daffos 270 avenue de Muret 31300 Toulouse Tél/Fax : 09 81 69 38 10 Mobile : 06 63 16 12 41 E-mail : [email protected] Toute l’actualité de la compagnie sur www.cie-lapartmanquante.fr
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