diffusion salangaï

Transcription

diffusion salangaï
présente
Madu
Dans le Tamil Nadu, Madu, un jeune intouchable survit
grâce à des petits boulots et à ses spectacles de rue.
Un jour, il voit l’Aranguetram de Sumadi, danseuse de
Bharatanatyam, issue de la caste des Brahmines. Il est
bouleversé par ce qu’il voit et souhaite à tout prix apprendre
cet art sacré. Malheureusement, cela lui est impossible...
Sumadi
Contact diffusion :
06 65 59 18 77 – 01 43 37 59 52
[email protected]
Une création de danse indienne
reposant sur le répertoire de danse classique
du Sud de l’Inde, de style Bharatanatyam
et des chorégraphies inédites,
mêlant la danse indienne et la danse jazz.
« [...] on découvre avec ravissement la subtilité et la profondeur
de cette danse sacrée où tout le corps est mis à contribution. Anusha raconte
avec une grâce indescriptible des histoires de la mythologie hindoue.
Madu, alias Radja Basté, la sensibilise à la danse de rue et au Bollywood,
métissage de culture locale et de jazz. »
JM Tinarrage, Journal Sud Ouest
Avec :
Équipe complète :
Anusha Cherer (Sumadi)
Radja Basté ( Madu)
2 artistes interprètes - 2 accessoiristes - 2 costumières
1 technicien son
l
Mise en scène : Anusha Cherer & Radja Basté
l Bande son : André Cherer
l Graphisme : Emilie Cherer
Durée du spectacle : 1h30
Prix de cession : 3 500 € TTC
Quelques dates :
Festival L’été des Arts, Labastide d’Armagnac. Août 2007
Festival Namasté India, Bordeaux. Janvier 2008
Théâtre de la Plaine, Paris. Juin 2008
L’histoire
Salangaï raconte l’histoire d’amour impossible entre Madu et Sumadi. De la
banlieue de Chennaï à l’école de danse « Salangaï », tout semble séparer ces
deux êtres, pourtant ils ont un point en commun, leur amour de la danse…
Sur un scénario typiquement « bollywoodien », Salangaï retrace le parcours
de deux personnages animés par une même passion. Malgré les interdictions
de se fréquenter, Madu et Sumadi vivront leur révolte intérieure et parviendront
à rompre ces barrières imposées par la société.
Le Bharatanatyam
Le bharatanatyam est l’une des plus anciennes formes de danse indienne, elle
était pratiquée à l’origine dans les temples. Avec un style très élaboré dans
sa technique, précis dans ses gestes, la danseuse interprète symboliquement
des histoires de la mythologie indienne.
Le mot « bharatanatyam » a deux origines. Il provient de « Bharata », qui
signifie l’Inde et « natyam » qui signifie la danse en tamoule. Le mot « bharatanatyam » est aussi composé des trois syllabes : « bha » de bhavam
ou l’émotion, « ra » de ragam ou la mélodie et « ta » de talam, ou le rythme.
Salangaï puja
Le terme Salangaï désigne les bracelets de chevilles ornés de grelots permettant à la danseuse de marquer le rythme. Pour la danseuse de Bharatanatyam,
la « Salangaï puja » est la cérémonie (puja) de remise de grelots à la jeune danseuse lorsqu’elle est prête à présenter son premier récital devant un public
averti. Cette cérémonie est aussi appelée « Aranguetram ». Dans le spectacle,
Salangaï est également le nom de l’école de danse où Sumadi a appris le
Bharatanatyam.
De la tradition à l’universalité
À travers le parcours de nos deux personnages, Salangaï souligne l’universalité
de l’art. Que ce soit devant un récital de bharatanatyam ou un ballet de danses
classique, en Orient comme en Occident, l’émotion ressentie par le spectateur
face à la création artistique reste intacte. L’art ne connaît pas de frontière.
Métissage culturel
Né de la collaboration entre Anusha Cherer et Radja Basté, Salangaï est une
création originale qui allie la plus ancienne forme de danse indienne, le
Bharatanatyam, aux danses occidentales telles que la danse classique et le
jazz. Au fil du spectacle, le public découvrira la pureté du Bharatanatyam, la
gaieté de la danse de quartier, la grâce de la danse classique, l’élégance du jazz
et enfin, la richesse de la fusion entre la danse indienne et le jazz.
« Deux mondes se rencontrent et finissent
par fusionner pour le plus grand plaisir
des spectateurs littéralement bluffés
par la performance. »
(Journal Sud Ouest)
Anusha Cherer
Anusha est née en France. Dès l’âge de cinq ans elle
apprend la danse classique et c’est à douze ans qu’elle
découvre le bharatanatyam lors d’un spectacle. Elle se
passionne aussitôt pour cet art où la danseuse est à la
fois musicienne et actrice. Elle étudie le bharatanatyam auprès de Srimati Sivaselvi Sarkar, originaire de
Pondichéry, pendant plus de quinze ans. En 2003, elle
présente son Aranguetram (consécration en tant que
danseuse) à Paris. Anusha part ensuite à Chennaï
(Inde) pour se perfectionner. Elle travaille l’abhinaya
auprès de Srimati Indira Kadambi, la danse pure
auprès de Srimati Savithri Jaganatha Rao et le nattuvangam auprès Master Sitarama Sharma.
Anusha a voyagé à travers le monde en tant que danseuse indienne et a participé à de nombreuses créations mêlant le bharatanatyam à d’autres types de
danse, notamment à la danse classique occidentale.
En 2004, après avoir remporté un concours réunissant
des jeunes femmes d’origine indienne, elle part
représenter la France à Mumbaï (Inde) et séduit le public ainsi que les journalistes indiens en présentant une
chorégraphie de bharatanatyam sur une musique classique occidentale. Anusha reste une des premières à avoir eu
cette idée originale.
Actuellement, Anusha enseigne le bharatanatyam à Paris et elle se produit régulièrement en tant que danseuse soliste.
Radja Basté
Radja est né à Pondichéry. Dès son plus jeune âge il
apprend le bharatanatyam et la musique carnatique.
Là-bas, il travaille pendant six ans en tant qu’assistant
pour le metteur en scène et chorégraphe Muttu
Veeran. Lorsqu’il arrive en France, il se forme dans
différents styles de danses occidentales. Il apprend la
danse classique, le jazz et le street dance auprès de
professeurs venant du Canada, des États Unis et
de France. En 2005, il obtient son examen d’aptitude
technique option jazz au CeFEDeM de Normandie en
tant que candidat libre. Radja enseigne le jazz depuis
plus de quinze ans, le street dance depuis huit ans
et depuis trois ans, la danse Bollywood. À la fois
danseur et chorégraphe, Radja se fait remarquer en
2005 pour son style fusionnant la danse indienne et le
jazz. Depuis, il est régulièrement sollicité pour ses
chorégraphies originales.