PACS - La FNMR
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le médecin Radiologue d e F r a n c e Mensuel • Numéro 293 • PACS : Comment et lequel choisir ? Juin 2007 • ISSN 0754-7749 Édito Comptabilisons, maîtrisons … Plusieurs événements impor tants pour le corps médical et la FNMR vont se produire durant ce mois de juin. ❏ La finalisation des discussions concernant la mise en place du supplément archivage, en accord avec Dr Jacques Niney l‘avenant n° 23, et la baisse de 40 % du supplément numérisation qui sera concomitante à cette mise en place. Hasard du calendrier, cette Revue est consacrée aux PACS et prouve indirectement l’utilité et l’urgence d’associer l’archivage à notre pratique médicale. Cet archivage étant source d’économies (en évitant les examens redondants) et d’amélioration de la qualité des soins envers nos patients. Une fois de plus la FNMR, par son anticipation, permettra aux médecins radiologues d’évoluer tout naturellement vers un exercice moderne (DMP, téléimagerie, etc …). ❏ En raison de l’ONDAM trop bas, voté par le Parlement à la fin de l’année 2006 en toute connaissance de cause, le Comité d’Alerte s’est manifesté, ce qui implique une demande d’économies. La FNMR ne pourra accepter toute nouvelle mesure répressive à l’égard de la profession, parce que les conséquences financières de la première attaque du mois de mars, applicables au 1er juillet 2007, ne sont pas connues et que les négociations sont en cours. L’effet volume que l’on nous opposerait est un prétexte Sommaire absurde. Une fois de plus il est bon de rappeler que les médecins radiologues ne sont pas auto-prescripteurs, que l’imagerie par son rôle central est indispensable pour la prise en charge des patients et que l’externalisation hospitalière n’est pas anecdotique. Petit rappel : lorsque nous avons proposé la mise en place du Guide du Bon Usage des Examens radiologiques, il a fallu attendre plus de deux ans pour que l’on commence à s’y intéresser... Comme nous l’avons souligné au mois de mars, les propos hypocrites n’ont plus cours : on se targue de maîtrise médicalisée, mais, dans le même temps, on ne fait qu’appliquer une maîtrise comptable contre laquelle toute la profession et les syndicats ne cesseront de se mobiliser. Les médecins n’accepteront pas d’être, une fois de plus, des boucs émissaires commodes. ❏ Le Gouvernement s’installe progressivement, les rôles se distribuent, nos interlocuteurs sont encore plus nombreux et le pouvoir financier sur les dépenses de santé revient à Bercy. Ce dernier point ne peut que nous inquiéter si l’on s’en réfère à un passé pas si lointain. Parler du passé de la Fédération est, bien entendu, lié à la célébration de son centenaire qui se déroulera le vendredi 15 juin 2007 en soirée.Tous les médecins radiologues syndiqués vont donc célébrer cet événement et se retrouveront pour l’Assemblée générale qui se tiendra le samedi 16 juin 2007. Docteur Jacques NINEY Président Elections bureaux Côte d’Or et PACA . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 62 PACS Enquête PACS méthodologie (J. P. Masson) . . . . . . . . . . . . 04 Fiche jury PACS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 Les sociétés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10 Grilles d’évalution . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40 Retour d’expérience du choix d’un PACS (S.Taïeb) . . 52 Juridique La délicate question de l’archivage des examens d’imagerie médicale (C. Maisse) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57 Actualité Congrès de l’ISMRM à Berlin (mai 2007) (R. Lavayssière) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64 Attributions ministérielles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70 Statistiques Dépenses Assurance Maladie : mars 2007 . . . . . . . . . . . 71 Formotion FORCOMED : Calendrier des formations du 2ème semestre 2007 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72 Petites Annonces . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74 Infos professionnelles La vérité des chiffres (D.Aucant) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60 3 Annonceurs ACTIBASE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55 CARESTREAM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65 CMPS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 02 FUJI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 05 GUERBET . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76 PLANMED OY . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69 PMFR . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 75 RIMAGE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 09 SERVAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59 UNIPREVOYANCE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 63 WAID . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38 & 39 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS DR JEAN-PHILIPPE MASSON Secrétaire général de la FNMR Enquête PACS : méthodologie En 2006 la Commission informatique et téléradiologie de la FNMR a réalisé une enquête comparative concernant les solutions proposées par les différents fournisseurs de RIS du marché français. Cette étude a été très favorablement accueillie par la profession. Dr J.-P. Masson Nous avions, dès cette publication, aver ti nos lecteurs que nous réaliserions en 2007 la même enquête sur les " PACS ". Les hasards du calendrier et des négociations avec les caisses font que la publication de cette étude coïncide pratiquement avec la mise en place de l’avenant n°23 instaurant un " forfait archivage " en contre par tie de la baisse du " Z num ". ❏ Présentation dans les locaux de la FNMR pendant 1 h 30 à un jury composé de quatre radiologues libéraux, un radiologue d’un centre anti-cancéreux, un informaticien et un cadre de centre de radiologie. ❏ Réunion du jury pour " noter " les différents systèmes présentés selon la grille publiée dans les pages suivantes. Vous pourrez constater, comme pour l’enquête " RIS ", notre souhait d’être le plus transparent, objectif et neutre possible. Tous les produits testés sont de qualité. Il a cependant été nécessaire de faire un classement. Il a été particulièrement difficile à réaliser, certains systèmes Cette enquête est donc par ticulièrement impor tante étant notés de façon quasi identique. Compte tenu des dans ce contexte afin d’aider nos confrères à faire un écarts de notes (sur 20), quelque fois non significatifs (3 constructeurs avec deux dixièmes de différence entre choix entre les différents systèmes. eux), nous avons décidé d’abandonner le classement par Nous avons contacté tous les fabricants de PACS du mar- étoiles. ché. Leur accueil a été très intéressé et nous avons audité Dans l’esprit de cette étude comparative, nous avons été tenus de faire un classement avec les quatorze sociétés. Douze d’entre elles notes obtenues. ont été retenues pour la comparaison. De façon surprenante, vous trouverez Les deux autres n’ont pas été classées “ Tous les produits des ex aequo. car, soit ne correspondant pas réelletestés sont Cela montre que les constructeurs esment à une solution PACS, soit trop de qualité.” saient de vraiment " coller " à la dejeune dans ce domaine avec des promande de la profession, et c’est très poduits insuffisamment aboutis. Elles sont sitif pour nous. néanmoins citées dans la revue, hors concours. Il est essentiel de prendre en compte que ce classement La méthodologie de l’audit a été rigoureusement la doit être absolument interprété en fonction des appréciations faites par le jury. même pour toutes les sociétés : ❏ Envoi d’une fiche de demande de renseignements dont vous trouverez les réponses données par les sociétés elles-mêmes. ❏ Envoi de la grille d’audition, avant la présentation, afin que les intervenants sachent ce qui nous préoccupait le plus. Cette grille peut d’ailleurs vous servir comme base d’un cahier des charges pour faire un appel d’offre. 4 Certains systèmes sont plus orientés " grosse structure " que d’autres. Nous espérons que cette enquête vous permettra d’y voir un peu plus clair en sachant que, de toutes façons, il est indispensable que vous vous fassiez vous-même votre propre opinion à travers des contacts directs et des démonstrations avec les constructeurs qui vous semblent correspondre le mieux à votre type d’exercice. ■ LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS PACS FNMR - Commission Télémédecine Février 2007 Fiche Jury PACS : 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. Configuration de l’application Système d’exploitation Stockage long terme Stockage court terme Station de travail Accès des images par le Web Outils Partage d’image Outils d’administration Gestion d’onduleurs Archivage distant Interfaces Compatibilités DICOM 3.0 1. Configuration de l’application 1 2 3 4 Nom du produit Zone de commercialisation (Monde, Europe, USA, …) Type d’architecture (Cluster, centralisé, distribué, …) Matériels : (indépendant du matériel, dépendance obligatoire, …) Informations complémentaires : 2. Système d’exploitation 1 2 3 4 5 Système d’exploitation du serveur d’image Système d’exploitation du serveur web Type de sécurité (SSL, …) Système d’exploitation du serveur de base de données Base de données et version Informations complémentaires : 3. Stockage long terme 1 2 3 Matériels (DVD, NAS, …) Capacité maximale en TB Type de compression s’il y a lieu Informations complémentaires : 6 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 4. Stockage court terme 1 2 3 4 Matériels (RAID, …) Capacité maximal en TB Stockage possible sur plusieurs serveurs Type de compression s’il y a lieu Informations complémentaires : 5. Station de travail 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 Connexion utilisateur Utilisation d’une worklist Système de recherche patient étendu Notification automatique des examens prioritaires Accès aux anciens comptes rendus (sans les images) Possibilité de définition de protocole utilisateur Gestion de l’interruption de session utilisateur Affichage couleur et niveau de gris Marquage d’images clé Traitement 3D Traitement MIP Outils spécifiques radiologue (mesures, angles, surfaces…) Informations complémentaires : 6.Accès aux images par le Web 1 2 Application spécifique pour les radiologues Nombre de moniteurs maximum supportés Informations complémentaires : 7. Outils divers 1 2 3 4 5 Recherche patient Compression d’images Manipulation d’images Sélection d’images Mise à jour automatiques des outils et/ou du logiciel Informations complémentaires : 8. Partage d’image 1 2 Fonctionnalité d’impression pour l’utilisateur Possibilité de lire un CDROM DicomDir externe Informations complémentaires : 7 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 9. Outils d’administration 1 2 3 Outils de gestion des utilisateurs Outils de gestion du matériel et des paramètres de compression Paramétrage du fail-over Informations complémentaires : 10. Gestion d’onduleurs 1 2 Unité UPS de sauvegarde (onduleur) Délai de vérification Informations complémentaires : 11.Archivage distant 1 2 3 4 Archivage distant Système d’administration des archives distantes Alerte automatique des problèmes sur l’archive distante Mise en place de test de crash Informations complémentaires : 12. Interfaces 1 2 3 4 5 Conforme à IHE Compatibles avec les RIS Gestion de dossier électronique Système de dictée numérique ou vocal de compte rendu Autres Informations complémentaires : 13. Compatibilités DICOM 3.0 1 2 3 4 5 Query Retreive SCP Query Retreive SCU Worklist Gestion de procédure Jpeg 2000 Informations complémentaires : 8 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 1 AGFA 1.1 Société Nom officiel (déclaré au registre du commerce) AGFA - GEVAERT Sigle ou nom commercial utilisé AGFA Numéro de SIRET 775 729 197 000 19 Adresse du siège social et des éventuels établissements 274-276 avenue Napoléon Bonaparte B.P. 301 92506 Rueil-Mammaison Cedex Date de création de la structure PACS 1991 Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …) SA Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS) Jean-Louis Mouly Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services 78 Mo € Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS 5,1 Mo € Nombre d’employés (de la filiale PACS) 23 Informations complémentaires : 1.2 Produit PACS Nom commercial principal IMPAX Numéro de version en commercialisation 6.2 Date de la première commercialisation (de la dernière version) Janvier 2006 Système d’exploitation et/ou technologie Windows. 2003 ou Unix (Solaris) Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version) Otacle 10 g SQL 2000 Plateforme de développement principal (Nom & version) Indépendant du matériel (Dell, HP, IBM, Sun(serveur)) _ Couche middleware (Exemple Citrix) Serveur Nombre de sites installés Public 20 Privé 7 Répond au cahier des charges IHE Oui Liste des RIS compatibles Tous type de RIS (interface HL7) ex : XPlore, SIR 5, Sitilog, Q Doc Informations complémentaires : 10 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 Clients PACS 1.3 Service et support Lieu, implantation Rueil - Malmaison Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …) Téléphonique Sur site En ligne Jours et heures d’ouverture du support technique Prise des appels : 8h00 - 18h00 Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention) 6 Délai de réponse moyen Pour la hotline : 1 heure maximum délai d’intervention moyen de 6 heures Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement Contrat « Advanced » Informations complémentaires : 1.4 Les tarifs publics Configuration de base : - 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage en ligne pour 1 an. Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel) Licence flottante pour les utilisateurs (radiologues, cliniciens,…) Licence fixe pour les serveurs Prix de la configuration standard _ Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat) _ Prix d’une intervention sur site (Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement) 231,12 € HT du lundi au vendredi 8h - 18h00 403,91 € HT en dehors des heures précisées ci-dessus Informations complémentaires : 11 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 2 FUJI 2.1 Société Nom officiel (déclaré au registre du commerce) FUJIFILM MEDICAL SYSTEMS FRANCE Sigle ou nom commercial utilisé FUJIFILM Numéro de SIRET 348 827 759 00013 Adresse du siège social et des éventuels établissements 30 rue Mozart 92578 Clichy Cedex Tél. : 01 47 15 55 15 Date de création de la structure PACS 1998 Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …) SAS Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS) Tsunéo Sakai Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services 89 076 627 € Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS 2,5 M € Nombre d’employés (de la filiale PACS) 2,8 Informations complémentaires : 2.2 Produit PACS Nom commercial principal SYNAPSE Numéro de version en commercialisation V.3.1.0 Date de la première commercialisation (de la dernière version) Aux USA : 1999 (V.1.0) En France : février 2004 (V.3.0) MR01 Système d’exploitation et/ou technologie Windows. Technologie 100% web Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version) Base de données unique : Oracle 9i Plateforme de développement principal (Nom & version) ASP, C++, PL SQL Couche middleware (Exemple Citrix) Serveur Nombre de sites installés Public 4 Privé 14 Clients Répond au cahier des charges IHE Oui Liste des RIS compatibles Waid, Serval, XPlore, Quadrat, Sirilog, Penarenda, ACCEL (liste non exhaustive) Informations complémentaires : 12 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 2.3 Service et support Lieu, implantation Hotline : Siège de Clichy 30 rue Mozart Tecniciens en région + support au siège Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …) N° vert appel hotline, fax, en ligne, envoi de mail et de SMS vers les techniciens et hotline Jours et heures d’ouverture du support technique Du lundi au vendredi : 8h30 - 18h30 (Prise en compte de l’appel) 7/7 Hotline avec prise en mains à distance Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention) 7 Délai de réponse moyen Immédiat Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement Oui Informations complémentaires : www.fujifilmmedical.fr 2.4 Les tarifs publics Configuration de base : - 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage en ligne pour 1 an. Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel) Sur la base de 40 000 examens d’imagerie Licence Site : nombre de postes illimité, nombre d’accès illimité, nombre d’utilisateurs illimité Prix de la configuration standard Archivage en ligne (Système Haute Disponibilité) 3 consoles avec 2 écrans de diagnostic (calibrables) Gestion de projet/Déploiement ≈ 260 000 € TTC Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat) 10% Prix d’une intervention sur site (Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement) 1 500 € TTC Informations complémentaires : 13 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 3 GE HEALTHCARE 3.1 Société Nom officiel (déclaré au registre du commerce) GE Medical Systems Sigle ou nom commercial utilisé GE Healthcare Numéro de SIRET 315 013 359 00155 Adresse du siège social et des éventuels établissements Siège Europe : 283, rue de la minière, 78530 Buc Siège France : 11, avenue Morane Saulnier, 78457 Vélizy Date de création de la structure PACS 1999 en France Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …) Société en commandite simple (SCS) Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS) Jean Emmanuel Picard (France BeLux) Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services 160 200 000 € HT Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS 4 000 000 € HT Nombre d’employés (de la filiale PACS) 22 (France BeLux) Informations complémentaires : L'activité PACS a débuté en 1993 en Europe avec le premier site sans film à Hammersmith, Londres, UK. 3.2 Produit PACS Nom commercial principal Centricity PACS Numéro de version en commercialisation Version 3.0 Date de la première commercialisation (de la dernière version) juin 2006 Système d’exploitation et/ou technologie RedHat Enterprise Linux 4.2, Microsoft 2003 Server Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version) Sybase ASE 12.5.x, Microsoft SQL Server Plateforme de développement principal (Nom & version) Selon le composant: JAVA, CORBA,.NET, C++ Couche middleware (Exemple Citrix) ORION, Microsoft IIS (Citrix est supporté pour la diffusion Web) Serveur (noyau) Clients (stations) Public 25 > 200 stations Privé 18 (incluant 3 CRLCC) > 100 stations Nombre de sites installés Répond au cahier des charges IHE Oui, participation au Connectathon IHE depuis 2001. Profils IHE disponibles sur site http://www.gehealthcare.com/usen/interoperability/ihe.html Liste des RIS compatibles Centricity RIS, Xplore EDL, Sirilog Medasys, QDOC/QPlanner Agfa, SIR5 WAID, HIS/RIS développés « maison » 14 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 3.3 Service et support Lieu, implantation Centre de Support Européen à Distance (Remore Operating Centerl, à Buc, 78 Siège Service France à Velizy 78 Diverses succursales régionales en France (implantations GE Healthcare) Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …) Tous types de support : Virtual Online Center, pour la prise directe d'appel client par les techniciens PACS en astreinte, dans le cadre du contrat de base. Support 24h/24 7j/7 avec surveillance automatique des systèmes PACS et remontée des alarmes vers le support technique en astreinte (optionnel). Interventions sur site Jours et heures d’ouverture du support technique • Jours et heures d'application du contrat standard : du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30 • Horaires étendus (en option) :du lundi au vendredi de 8h30 à 20h00, le samedi de 8h30 à 17h00 • Jours et horaires d'ouverture du centre d'appels : du lundi au vendredi de 8h00 à 19h00, le samedi de 8h00 à 12h00 • Support 24h/24 7j/7 avec surveillance automatique des systèmes PACS et remontée des alarmes vers le support technique en astreinte (optionnel) Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention) 12 personnes spécialisées PACS en intervention sur site + 15 personnes en support à distance (Buc, UK, RFA). Délai de réponse moyen 1/2 heure par télémaintenance 4 heures max sur site pour panne bloquante Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement Oui, selon le taux de disponibilité souhaité par contrat (de 98% à 99.9% selon l'architecture technique mise en place). Informations complémentaires : 3.4 Les tarifs publics Configuration de base : - 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage en ligne pour 1 an. Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel) • Licences stations d'interprétation Centricity concurrentielles ou fixes • Licences Applications Avancées Centricity AW Suite concurrentielles ou fixes • Licences de diffusion Centricity Web concurrentielles • Licences serveurs Centricity par tranches de 25 000 examens par an Prix de la configuration standard Prix d'une configuration pour la connexion de 6 modalités d'imagerie, 50 000 examens/an, 3 stations d'interprétation, 25 licences Web, 1 an stockage en ligne : de 150 à 200 K€ TTC Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat) Contrat de Base Standard: de 12 % à 18 dépendant de la configuration et du type de contrat (évolutions logicielles, surveillance 24h/24, etc.). Prix d’une intervention sur site (Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement) Dépend du contrat de maintenance. En régie : 1200 € TTC Informations complémentaires : Une solution PACS étant une solution « sur mesure » , le prix de la configuration est très variable, selon les demandes d'intégration avec des fournisseurs tiers ( SIR, SIH, Dossier Médical), l'activité du site, le type d'écrans demandé, le taux de disponibilité souhaité, etc… 15 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 4 GLOBAL IMAGING 4.1 Société Nom officiel (déclaré au registre du commerce) GLOBAL IMAGING ONLINE Sigle ou nom commercial utilisé Numéro de SIRET 410 235 469 000 21 Adresse du siège social et des éventuels établissements 49 rue Rouelle 77 015 Paris Date de création de la structure PACS Août 2000 Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …) SA à directoire et conseil de surveillance Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS) Mr Jean Claude GALISSON (Directeur Général) Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services 2,7 M€ Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS 2,7 M€ (Société dédiée à la vente et au service sur les PACS) Nombre d’employés (de la filiale PACS) 17 personnes Informations complémentaires : Centre de développement basé à Paris - France. Partenariats : ❏ Alcatel pour le développement de la télé radiologie en Afrique ❏ INSEP pour le création d'une base de données de pathologies du sport et le transfert d'examens en urgence pour les sportifs de haut niveau, ❏ Bizcom pour le développement et la commercialisation d'un terminal DICOM tactile parliculièrement adapté au bloc opératoire. Référencé au de sein de Brümammo : Centre de seconde lecture de mammographie numérique à Bruxelles. 4.2 Produit PACS Nom commercial principal DIAM Numéro de version en commercialisation Version 2.2 Date de la première commercialisation (de la dernière version) Mai 2003 Système d’exploitation et/ou technologie Microsoft Window 2003 Server Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version) Mysql 4.1 Plateforme de développement principal (Nom & version) Microsoft Visual C++, PH4 Couche middleware (Exemple Citrix) Citrix, Microsoft TSE Nombre de sites installés Serveur Clients Public 10 300 Privé 80 1 200 Répond au cahier des charges IHE Forte implication dans l'IHE : 17 acteurs validés dans 8 profils d'intégration - Participation aux Connectathons en Europe depuis 2005 (Voir IHE Integration Statement 2006) Liste des RIS compatibles Tout RIS et autre dossier patient ou de spécialité compatible HL7 / IHE : Actibase, EDL, Medicae, Radio 3000,. Serval. Ipatient, Emed, SAP, Middlecare, etc. Informations complémentaires : DIAM est un " Full Web PACS " radiologique mais également cardiologique. La gamme de produits DIAM comprend : ❏ DIAM4 Server, DIAM Store (stockage et archivage), ❏ DIAM Viewer (logiciel de visualisation des images Dicom ou compressées), ❏ DIAM Box radio et/ou cardio (stations de travail - visualisation haute résolution 10 bits), ❏ DIAM Report (réalisation et gestion des comptes rendus sur site ou à distance), DIAM CD (solution de gravure de CD/DVD), ❏ DIAM CD Importer (Historisation de CD étranger), ❏ DIAM Anywhere (logiciel de réalisation de diagnostic à distance), ❏ DIAM Worklist (logiciel de diffusion des listes de travail vers les modalités DICOM). Le PACS DIAM peut être interrogé à partir de PC et/ou de Mac. Solutions multi sites. 16 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 4.3 Service et support Lieu, implantation 49 rue Rouelle - 75015 Paris Antenne technique à Montpellier Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …) Hotline téléphonique,Télémaintenance, Fax, sur site. Le tout appuyé sur une CRM,pour la traçabilité Jours et heures d’ouverture du support technique Du lundi au vendredi de 8h30 à 18h Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention) 5 personnes Délai de réponse moyen Prise en charge de la demande en moins d'une heure, déplacement à J + 1 si problème non résolu. 95% des problèmes résolus en télémaintenance Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement Oui sur option et à la demande du client Informations complémentaires : 4.4 Les tarifs publics Configuration de base : - 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage en ligne pour 1 an. Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel) 4 niveaux de licences Web PACS en fonction du besoin en nombre : - de modalités radiologiques et/ou cardiologiques - d'accès concurrentiels - de station d'interprétation - de clients à connecter Solutions « logiciel pur » possibles Licence site disponible Prix de la configuration standard 125 000 K€ HT pour la solution décrite ci-dessus avec un stockage en ligne de 3To utiles (logiciels et matériels inclus) Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat) 10% Prix d’une intervention sur site (Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement) 180 € de l'heure hors garantie ou contrat de maintenance Informations complémentaires : 17 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 5 INTRASENSE 5.1 Société Nom officiel (déclaré au registre du commerce) INTRASENSE SAS Sigle ou nom commercial utilisé INTRASENSE Numéro de SIRET 452 479 504 00014 Adresse du siège social et des éventuels établissements Siège social : Cap Oméga, rond-point Benjamin Franklin 34960 Montpelier Cedex 2 Direction commerciale : 7, rue Charles V 75004 Paris Date de création de la structure PACS 2004 Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …) SAS Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS) Stéphane Chemouny, Président Patrick Mayette, Directeur Général Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services CA 2006 (est.) 280 K€ Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS CA 2006 (est.) 280 K€ Nombre d’employés (de la filiale PACS) 18 personnes Informations complémentaires : INTRASENSE a fait marquer l’ensemble de sa gamme logicielle MYRIAN CEIIa. Cette classe IIa est la seule qui permet un usage diagnostique. INTRASENSE a fait certifier toute sa gamme ISO 13485 et le reste de son activité ISO 9001 - 2000. INTRASENSE est certifiée MICROSOFT CERTIFIED PARTNER. INTRASENSE développe et commercialise des stations de revue, d’interprétation et d’aide au diagnostic pour les PACS, les modalités ou en stations autonomes, fixes ou portables. 5.2 Produit PACS Nom commercial principal MYRIAN Numéro de version en commercialisation V1.1 (V1.2 prévue pour le second trimestre 2007) Date de la première commercialisation (de la dernière version) Juillet 2006 Système d’exploitation et/ou technologie Windows XP (Vista en préparation) Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version) BDD propriétaire cryptée en local sur chaque station d’interprétation Plateforme de développement principal (Nom & version) Visual C++ . Net 2003 Couche middleware (Exemple Citrix) Aucune Serveur Nombre de sites installés Clients Public 12 Privé 30 Répond au cahier des charges IHE Oui + Dicom 3.0 Liste des RIS compatibles Sur projet Informations complémentaires : L’offre d’Intrasense est constituée d’une gamme de consoles baptisée Myrian, allant du viever universel (Myrian Pro) à la station de diagnostic 3D (Myrian Expert), totalement compatible Dicom 3.0 et ayant vocation à constituer des postes d’interprétation au sein de PACS. Ces stations, mises au point avec des radiologues, sont extrêmement conviviales et faciles à prendre en mains. Elles sont disponibles en 4 langues (français, anglais, chinois, japonais) et parfaitement documentées. Des intégrations ont déjà été menées avec succès avec de grands éditeurs de PACS (Agfa, Kodak, Mekeson, GE…) ou de plus petits (eMedic, etc…) 18 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 5.3 Service et support Lieu, implantation Montpellier : Equipe SAV / Support clients (Direction) Techniciens et équipe support basés à Montpellier, Paris, Cholet Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …) Téléphone + fax + déplacements + téléinterventions Jours et heures d’ouverture du support technique Lundi au vendredi, 8h30 - 18h30 Possibilités d’extension de couverture sur devis Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention) 6 personnes Délai de réponse moyen Réponse sous 4 heures en général Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement Oui, sur demande Informations complémentaires : Grande réactivité de notre fonction support Formations sur site Adaptation à des contraintes spécifiques 5.4 Les tarifs publics Configuration de base : - 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage en ligne pour 1 an. Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel) Poste d’interprétation proposé dans une fourchette de 1 500 à 8 000 € HT selon la configuration par poste. Licences disponibles par poste (avec nombre illimité d’utilisateurs) Prix de la configuration standard Licences de site disponibles sur devis avec gestion dynamique du nombre d’accès concurrents Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat) Maintenance corrective + préventive annuelle : 12% du prix liste des licences Maintenance corrective + préventive + évolutive annuelle : 18% du prix liste des licences Prix d’une intervention sur site (Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement) 800 € HT Informations complémentaires : Intrasense a été retenu par des acteurs significatifs fabricants de modalités ou de PACS pour la qualité et le niveau fonctionnel de ses consoles ainsi que pour leur prix compétitif. Ces consoles sont proposées en consoles principales ou d’appoint au sein des installations. 19 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 6 KODAK 6.1 Société Nom officiel (déclaré au registre du commerce) Kodak Pathé Filiale à 1001 du groupe Eastman Kodak Sigle ou nom commercial utilisé Kodak Heatth Group Numéro de SIRET 40308743000019 Adresse du siège social et des éventuels établissements 26 rue Villot, 75012 PARIS Etablissements à Toulouse et Chalon Sur Saone Date de création de la structure PACS Avril 1996 HealthCare Information Systèmes -HCIS Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …) SAS La division HCIS fait partie de Health Group, Division de Kodak Pathé Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS) Christophe Chapot, Directeur commercial HCIS Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services (CA de Heatth Group France) Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS (CA de la division HCIS) Nombre d’employés (de la filiale PACS) 45 (19 dédiés + 12 equivalents temps plein, ressources partagées avec Health Group France 14 ingénieurs Recherche & Dévelopement Informations complémentaires : 6.2 Produit PACS Nom commercial principal Carestream Numéro de version en commercialisation 10 Date de la première commercialisation (de la dernière version) Juin 2006 1 version majeure chaque année Système d’exploitation et/ou technologie Windows et/ou Solaris (serveurs) Au choix, en fonction des volumes de données et de la complexité des configurations Windows et MAC OS (Clients) Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version) Oracle (9i, 10) 9i pour les configurations dites "grille" Plateforme de développement principal (Nom & version) Propriétaire Couche middleware (Exemple Citrix) Propriétaire Sauf Rice et Jpeg pour les algorythmes de compression Serveur Clients Public 32 275 Privé 13 48 Nombre de sites installés Répond au cahier des charges IHE Oui Liste des RIS compatibles Sans restriction. Protocoles d'interfacages ouvert basés sur les standards [HE, HL7 et Dicom (Integrations réalisées avec EDL, Actibase,WAID, Medasys) Informations complémentaires : 20 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 6.3 Service et support Lieu, implantation Paris,Toulouse, Gênes (Italie), Rochester (USA), Shangai (Chine) pour le support niveau 2 24/24 Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …) Téléphonique / sur site Jours et heures d’ouverture du support technique 7/7, 24/24 Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention) 7 Délai de réponse moyen Moins de 30 minutes (Rappel téléphonique, Sur site en moins de 4 heures) Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement Non Garantie de taux de disponibilité + procédures de continuité de service Informations complémentaires : 6.4 Les tarifs publics Configuration de base : - 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage en ligne pour 1 an. Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel) Par accès concurrentiel Banque de licences virtuelles, disponible depuis tous les postes locaux ou distants Prix de la configuration standard 175 340 € Software et Services d'installation, paramètrages et formation inclus - Hors Hardware Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat) 20% Software uniquement, mise à jour software comprise Prix d’une intervention sur site (Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement) 1 280 € Deplacement compris de manière forfaitaire Informations complémentaires : 21 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 7 MCKESSON 7.1 Société Nom officiel (déclaré au registre du commerce) MCKESSON Information Solutions France Sigle ou nom commercial utilisé MCKESSON France Numéro de SIRET RCS Bordeaux 414 876 177 Adresse du siège social et des éventuels établissements Espace France Bât. E & F 4, voie Romaine - Canéjan, 33612 Cestas Cedex Date de création de la structure PACS Novembre 2002 Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …) SAS au capital de 3 991 062,11€ Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS) Han Knooren PDG MCKESSON France Gaëtan Bourrée Responsable imagerie Laurent Morin Directeur ventes Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services 24,38 M€ Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS Nombre d’employés (de la filiale PACS) 11 (au 31 12 06) Informations complémentaires : 7.2 Produit PACS Nom commercial principal Laurent Morin Numéro de version en commercialisation 11 Date de la première commercialisation (de la dernière version) 2005 Système d’exploitation et/ou technologie Windows.2003 / Windows XP Plateformes intel Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version) Oracle 9 Plateforme de développement principal (Nom & version) _ Couche middleware (Exemple Citrix) _ Serveur Clients Public _ _ Privé _ _ Nombre de sites installés Répond au cahier des charges IHE Oui Liste des RIS compatibles XPlore, Crosswa Ris Informations complémentaires : 22 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 7.3 Service et support Lieu, implantation Bordeaux Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …) Hot Line 24/24 en langue française Système d’astreinte en dehors des heures ouvrées Jours et heures d’ouverture du support technique 7j/7 365j/an Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention) 6 Délai de réponse moyen Immédiat pendant les heures ouvrées, dans la 1/2 heure en dehors Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement Selon les sites et les installations Informations complémentaires : 7.4 Les tarifs publics Configuration de base : - 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage en ligne pour 1 an. Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel) _ Prix de la configuration standard _ Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat) _ Prix d’une intervention sur site (Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement) _ Informations complémentaires : 23 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 8 MEDASYS 8.1 Société Nom officiel (déclaré au registre du commerce) MEDASYS SA Sigle ou nom commercial utilisé MEDASYS Numéro de SIRET 31955723700074 Adresse du siège social et des éventuels établissements Siège : Espace technologique de St Aubin 91193 Gif/Yvette Agence : 5, rue Claude Chappe 69370 St Didier du Mont d’or Date de création de la structure PACS 1980 Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …) SA Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS) J. M. Lucani, président du directoire Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services 11,9 M€ Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS 3,1 M€ Nombre d’employés (de la filiale PACS) 136 Informations complémentaires : Philips commercialisait le PACS EasyAccess (éditeur SECTRA) jusqu’en 2005. Depuis Philips commercialise le PACS iSite (acquisition société STENTOR). 8.2 Produit PACS Nom commercial principal DX Server Numéro de version en commercialisation 6 Date de la première commercialisation (de la dernière version) 2005 Système d’exploitation et/ou technologie Windows Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version) Oracle 8i Plateforme de développement principal (Nom & version) C++, C# Couche middleware (Exemple Citrix) Net (partie) Serveur Nombre de sites installés Public Clients } Privé Répond au cahier des charges IHE Oui Liste des RIS compatibles Tous les RIS compatibles IHE Informations complémentaires : Plus grosses références françaises ❏ CHU Bordeaux ❏ CHU Amiens ❏ CHU Besançon 24 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 2000 + PACS 8.3 Service et support Lieu, implantation Gif sur Yvette (91) St Didier du Mont d’or (69) Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …) Téléphonique (Hot Line) Télé-maintenance Jours et heures d’ouverture du support technique 8h - 19h du lundi au vendredi Possibilités 24/7 Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention) 8 techniciens et ingénieurs support Délai de réponse moyen < 4h Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement Oui Informations complémentaires : 8.4 Les tarifs publics Configuration de base : - 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage en ligne pour 1 an. Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel) _ Prix de la configuration standard _ Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat) _ Prix d’une intervention sur site (Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement) _ Informations complémentaires : 25 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 9 MEDICASOFT 9.1 Société Nom officiel (déclaré au registre du commerce) MEDICASOFT Sigle ou nom commercial utilisé MEDICASOFT HEALTHCARE TECHNOLOGY Numéro de SIRET 390 756 781 000 48 Adresse du siège social et des éventuels établissements 1 voie Félix Eboué 94 000 Créteil Date de création de la structure PACS 2005 Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …) SARL Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS) Albert Méguira Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services 500 K€ Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS 150 K€ Nombre d’employés (de la filiale PACS) 4 Informations complémentaires : 9.2 Produit PACS Nom commercial principal VITALIS Numéro de version en commercialisation 1.0 Date de la première commercialisation (de la dernière version) Juin 2005 Système d’exploitation et/ou technologie Windows. Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version) MySQL 4.1.9-max Plateforme de développement principal (Nom & version) Visual Studio 6. 0. Couche middleware (Exemple Citrix) Serveur Clients Public 2 20 Privé 2 3 Nombre de sites installés Répond au cahier des charges IHE En cours Liste des RIS compatibles ACTIBASE (en cours pour les autres) Informations complémentaires : 26 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 9.3 Service et support Lieu, implantation Créteil Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …) Téléphonique E-mail Fax Jours et heures d’ouverture du support technique Lundi au vendredi 9h - 18h30 Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention) 2 Délai de réponse moyen d+1 Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement Oui Informations complémentaires : 9.4 Les tarifs publics Configuration de base : - 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage en ligne pour 1 an. Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel) Par serveur Par poste Par accès cocurrentiel } Voir infos complémentaires Prix de la configuration standard Serveur d’archivage 3To 3 postes d’interprétation (à 2 écrans) 20 licences concurrentielles 100 K€ Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat) 13% Prix d’une intervention sur site (Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement) 700 € HT Informations complémentaires : Nous distiguons dans notre plateforme PACS 3 entités distinctes 1 Le serveur d’archivage Vitalis Archive 2 Les stations de travail Labworks 3 Les licences de diffusions web Vitalis.online 27 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 10 PHILIPS 10.1 Société Nom officiel (déclaré au registre du commerce) PHILIPS France Division Systèmes Médicaux Sigle ou nom commercial utilisé PMS : Philips Medical Systems (i.e.: International) PSM: Philips Systèmes Médicaux (i.e. : France) Numéro de SIRET _ Adresse du siège social et des éventuels établissements PHILIPS France Division Systèmes Médicaux Business Line Healthcare Informatics 64, rue carnot 92156 Suresnes cedex France Date de création de la structure PACS Depuis 15 ans au sein de PMS. Depuis 6 ans au sein de PSM. Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …) _ Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS) Oran MUDROGLU (International),Ton van den HOVEN (EMEA), Jerome THIEBAUD (France) Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services Philips Medical Systems : 6,5 Milliard € Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS _ Nombre d’employés (de la filiale PACS) _ Informations complémentaires : Philips commercialisait le PACS EasyAccess (éditeur SECTRA) jusqu’en 2005. Depuis Philips commercialise le PACS iSite (acquisition société STENTOR). 10.2 Produit PACS Nom commercial principal PACS iSite Numéro de version en commercialisation R 4.0 Date de la première commercialisation (de la dernière version) Première version 2000. Dernière version (4.0) : 2007 Version antérieure (3.5) : 2006 Système d’exploitation et/ou technologie Windows. Technologie Web/iSyntax Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version) MicroSoft SQL Plateforme de développement principal (Nom & version) _ Couche middleware (Exemple Citrix) _ Serveur Clients Public _ _ Privé _ _ Nombre de sites installés Répond au cahier des charges IHE Oui Liste des RIS compatibles Tous les RIS compatibles IHE Informations complémentaires : Solution PACS " clé en main " : ❏ Philips fournit le matériel et les logiciels. ❏ Philips installe et administre la solution. 28 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 10.3 Service et support Lieu, implantation Support central sur Suresnes Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …) Téléphonique Remote Sur site Jours et heures d’ouverture du support technique 24 h /24, 7 jrs /7, 365 jrs /an Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention) _ Délai de réponse moyen _ Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement Oui Informations complémentaires : Philips s’engage : ❏ sur un taux de disponibilité de sa solution ❏ sur un délai d’affichage des images archivées Support en 24/7/365 Surveillance proactive de la solution PACS via HeartBeat Sauvegarde des données (avec engagement de restauration des données) 10.4 Les tarifs publics Configuration de base : - 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage en ligne pour 1 an. Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel) Licence site, pas de limitation : ❏ Sur le nombre d’utilisateur ❏ Sur le nombre de poste Prix de la configuration standard Annuellement : ~2,50 € HT / examen envoyé au PACS _ Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat) Prix d’une intervention sur site (Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement) Inclus dans la prestation Informations complémentaires : Estimation budgétaire nécessite les infos suivantes : ❏ Nbre d’examens /modalité ❏ Nbre moyen d’images /examen ❏ Nbre de radiologues, de cliniciens ❏ Nbre de sites distants ❏ Nbre de station d’interprétation (+ résolutions des moniteurs) ❏ Interface avec RIS ❏ Interface avec Dossier Patient 29 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 11 SIEMENS 11.1 Société Nom officiel (déclaré au registre du commerce) Siemens Medical Solutions Sigle ou nom commercial utilisé Siemens Medical Solutions Numéro de SIRET _ Adresse du siège social et des éventuels établissements 39-47 Boulevard Ornano 93527 SAINT DENIS Date de création de la structure PACS Siemens Monde : 1991 Siemens France : 2004 Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …) SAS en France Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS) Siemens Monde : A. SINGH Siemens France : C. POPULU Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services _ Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS _ Nombre d’employés (de la filiale PACS) Siemens Monde : 900 Siemens France : 35 11.2 Produit PACS Nom commercial principal Beya AICH Numéro de version en commercialisation Syngo Imaging XS 25 (PACS) Syngo Suite XS 25 (SIR / PACS) Date de la première commercialisation (de la dernière version) 2006 Système d’exploitation et/ou technologie Windows Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version) Sybase 8 Plateforme de développement principal (Nom & version) C++ Couche middleware (Exemple Citrix) Legato Disk Xtender pour l’archivage Serveur Clients Public 60 1265 Privé 240 5060 Nombre de sites installés Répond au cahier des charges IHE Oui Liste des RIS compatibles Tout RIS conforme au standard HL7/DICOM et compatible IHE Informations complémentaires : Siemens offre une solution intégrée SIR/PACS syngo Suite XS. syngo Suite XS apporte les éléments nécessaires à la réalisation d’unWorkflow numérique complet et optimal. Cette solution est modulaire et s’intègre parfaitement avec tous les systèmes SIR et/ou PACS conformes aux standards de communication dans le domaine de la santé. Elle comporte un module SIR syngo Workflow et le module PACS syngo Imaging XS, sujet de cette analyse. Le concept syngo Imaging XS est : ❏ Simple et compact ❏ Économique ❏ Évolutif et modulaire 30 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 11.3 Service et support Lieu, implantation Saint Denis et agences régionales Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …) Hotline Prise en main système à distance Jours et heures d’ouverture du support technique Lundi au vendredi : 9h-19h Samedi – prise d’appel : 9h -12h Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention) 21 Délai de réponse moyen < 4h Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement Non Informations complémentaires : 11.4 Les tarifs publics Configuration de base : - 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage en ligne pour 1 an. Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel) Possibilité de licence par poste de travail ou licence flottante en client serveur pour tous les modules (station de visualisation, interprétation, 3D, etc. …) Prix de la configuration standard 100-200 k€ TTC Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat) 12 % Prix d’une intervention sur site (Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement) 255 € HT / heure Informations complémentaires : 31 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 12 TELEMIS - ELECTRON 12.1 Société Nom officiel (déclaré au registre du commerce) TELEMIS - ELECTRON Sigle ou nom commercial utilisé TELEMIS - ELECTRON Numéro de SIRET 319 937 710 00030 Adresse du siège social et des éventuels établissements 7, rue Jean Monnet 31240 St Jean Agence parisienne : 48, rue du Général Roguet 92 110 Clichy Date de création de la structure PACS 1999 Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …) SAS Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS) Stéphane Kétélaer, Président Patrice Roulive - Jean Morillon, Directeur Général Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services Avril 2005 – mars 2006 2,5 M€ Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS Idem Nombre d’employés (de la filiale PACS) 14 personnes en France et 15 personnes en Belgique Informations complémentaires : 12.2 Produit PACS Nom commercial principal TELEMIS MEDICAL Numéro de version en commercialisation 3.90 Date de la première commercialisation (de la dernière version) Novembre 2006 Système d’exploitation et/ou technologie Windows, Macos, Linux Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version) MySqL Plateforme de développement principal (Nom & version) JAVA _ Couche middleware (Exemple Citrix) Serveur Nombre de sites installés Clients Public _ France 7 Europe 32 Privé _ France 6 Europe 21 Répond au cahier des charges IHE Oui Liste des RIS compatibles SFR liste des RIS agréés IHE ex : EDL, AGFA, RESSOURCES INFORMATIQUES etc Informations complémentaires : 32 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 12.3 Service et support Lieu, implantation St Jean (Toulouse) Siège social Paris (agence) Louvain La Neuve (Belgique) Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …) Téléphonique En ligne Intervention sur site Jours et heures d’ouverture du support technique Standard : lundi - vendredi 8h - 18h Optionnel 7j/7 8h - 18h Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention) 3 personnes HELPDESK Délai de réponse moyen Entre 0 et 60 minutes Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement Oui, en option Informations complémentaires : 12.4 Les tarifs publics Configuration de base : - 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage en ligne pour 1 an. Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel) 1- par poste 2- licence site Prix de la configuration standard 1- par poste (Hardware inclus) 100 000 € HT 2- licence site : nombre de licences illimité + Hardware + autres options 250 000 € HT Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat) Services : 9% Upgrade 10% Update } Prix d’une intervention sur site (Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement) Inclus dans le contrat de maintenance Informations complémentaires : 33 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 13 VEPRO 13.1 Société Nom officiel (déclaré au registre du commerce) VEPRO France Sigle ou nom commercial utilisé VEPRO Numéro de SIRET 434 978 706 00027 Adresse du siège social et des éventuels établissements Villantipolis 4 473, route des Dolines 06 560 - Valbonne Date de création de la structure PACS Avril 2001 Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …) SAS Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS) Richard et Sonia Heymann Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services France 1 685 K€ (≈ 2 000 K€ en 2006) Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS France 1 685 K€ (≈ 2 000 K€ en 2006) Nombre d’employés (de la filiale PACS) France 15 Informations complémentaires : 13.2 Produit PACS Nom commercial principal MEDIMAGE Numéro de version en commercialisation 7.0 Date de la première commercialisation (de la dernière version) Décembre 2006 Système d’exploitation et/ou technologie Windows. Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version) PSQL 8.0 Plateforme de développement principal (Nom & version) C++ et . Net Couche middleware (Exemple Citrix) N. A Serveur Clients Public 43 115 Privé 11 36 Nombre de sites installés Répond au cahier des charges IHE Oui Liste des RIS compatibles Plus de 500 RIS à travers le monde. En France, « RIS maison », Penaranda Informatique, ACCEL, Medasys, R. I, … Informations complémentaires : Nous disposons d’un outil universel d’interfaçage 34 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 13.3 Service et support Lieu, implantation Sophia Antipolis (06) Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …) Téléphone Jours et heures d’ouverture du support technique 24 h /24 - 7 jrs /7 Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention) 4 Délai de réponse moyen Immédiat Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement Oui Informations complémentaires : 13.4 Les tarifs publics Configuration de base : - 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage en ligne pour 1 an. Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel) Type de licence par fonction. Type de licence : site, station ou flottant. Prix de la configuration standard Inférieur à 80 K€ TTC incluant formation, installation et 12 mois garantie Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat) ≈ 12% Prix d’une intervention sur site (Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement) 700 € HT Informations complémentaires : 35 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 14 WAID 14.1 Société Nom officiel (déclaré au registre du commerce) WAID Sigle ou nom commercial utilisé WAID Numéro de SIRET 342 504 297 000 58 Adresse du siège social et des éventuels établissements 445, rue Ampère, CS 30385 13 799 Aix en Provence ' Date de création de la structure PACS 1997 Statut juridique (Sa, Sarl, Sas, …) S. A. Nom du ou des dirigeants (de la filiale PACS) Patrice Taisson - Président du directoire Chiffre d’affaires en 2005 pour la totalité des produits et services 11 750 000 € Chiffre d’affaires en 2005 dans la vente et les services sur les PACS 5 500 000 € Nombre d’employés (de la filiale PACS) 21 Informations complémentaires : 14.2 Produit PACS Nom commercial principal MedSeen PACS Numéro de version en commercialisation 2.3 1 Date de la première commercialisation (de la dernière version) Version 2 - 2005 Version 2.3 - 2006 Système d’exploitation et/ou technologie Windows 2 Nom des ou de la base de données utilisée (Nom & version) SQL serveur (2000 en version courante et 2005 en version 2.4 début 2007) Plateforme de développement principal (Nom & version) Visual studio 5 Couche middleware (Exemple Citrix) Sans middleware. Client/serveur ou WEB au sein du plateau technique, et technologie WEB en dehors du plateau technique. Serveur Clients Public 17 170 Privé 35 105 Nombre de sites installés Répond au cahier des charges IHE Oui cf tableau connectathon 2006 3 Liste des RIS compatibles SIRS5 Full intégré, et les autres RIS via IHE Informations complémentaires : WAID livre 2 versions majeures par an contenant des évolutions fonctionnelles WAID est « Microsoft Certified Partner » 3 WAID participe activement au comité IHE depuis 2002. Jean Marc Chevilley est membre du comité IHE France. 1 2 Conformément à la directive n° 33/42/CEE, les logiciels WAID sont de la classe IIA pour le diagnostique 36 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS 14.3 Service et support Lieu, implantation Aix en Provence Type de support technique (Téléphonique, En ligne, Fax, …) Téléphonique + via télémaintenance Et avec déplacement selon le type de contrat Jours et heures d’ouverture du support technique Du lundi au vendredi de 8h à 20h et le samedi de 8h à 12h (plus astreinte sur les autres périodes) Nombre de personnes dédiées (support technique, hors intervention) 6 personnes (3 personnes en niveau 1 et 3 personnes en niveau 2) Délai de réponse moyen 1 heure Avez-vous un contrat avec garantie de temps de rétablissement Oui Informations complémentaires : 14.4 Les tarifs publics Configuration de base : - 150 lits, 5 services MC0, 20 intervenants spécialistes, IRM, Scanner, 2 échos, 2 amplis de bloc, 200 patients/jour, 3 postes d’interprétation et archivage en ligne pour 1 an. Type de licence (par poste, par serveur, par accès concurrentiel) Par serveur pour la partie stockage. Par poste pour les postes d'interprétation. Licence par site pour le WEBPACS (en intranet et extranet) Prix de la configuration standard - Cette configuration est basée sur le postulat d'un scanner de dernière génération (nb important de coupes), nous amenant à une estimation d'un espace conséquent de 6 Téraoctets. Les écrans sont de véritables écrans médicaux certifiés pour le diagnostique : 2 stations bi-écrans de 2 méga-pixels, 1 station biécran de 3 méga-pixels. Ces éléments pèsent de façon importante dans le prix de la configuration. Ce déploiement serait accompagné d'une gestion de projet de notre part, avec assistance à maîtrise d'ouvrage. - Nous signalons que l'intégration avec le RIS de WAID serait sans aucun surcoût. 141 K€ HT Si nous passions sur un scanner de 16 barrettes ou inférieur → 120 K€ Coût d’exploitation et de maintenance (en % du prix d’achat) 1 065 € TTC mensuel Prix d’une intervention sur site (Intervention d’une journée en Euros et hors déplacement) 975 € HT Informations complémentaires : II convient de signaler qu'un certain nombre de critères influencent de façon majeure le coût global principalement sur la partie Hardware • Nombre de téraoctets pour le stockage. • Technologie du serveur (Baie SCSI, SATA ou stockage de type NAS) • Qualité et marque (médicale ou non, nombre de méga pixels) et nombre des écrans. 37 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 Rédactionnel JEAN BAPTISTE FRANCESCHINI Directeur Ventes-Marketing - WAID, groupe SOFTWAY MEDICAL PACS : intérêts cliniques et économiques accélèrent le processus d’équipement Qu’il s’agisse de confort et de sécurité pour le patient ou de fiabilité et de performance pour le praticien, nombreux sont les critères qui motivent l’équipement en réseaux d’images.Aujourd’hui plus qu’hier, cet équipement prend de l’importance dans la chaîne du service rendu au patient. Une évolution constante du recours à l’imagerie patientes sont rassurées et sécurisées en sachant que l’historique de leurs images est soigneusement gardé chez leur médecin radiologue. Les actions de dépistage et la limitation des risques participent à une démarche de fond qui doit permettre de réduire notre retard d’équipement par rapport à nos voisins européens. L’industrie du matériel d’imagerie propose de nouvelles machines toujours plus puissantes. Les vertus de l’imagerie et son intérêt économique conduisent les professionnels de santé à recourir à ces technologies de façon de plus en plus systématique, ce qui génère de nouvelles questions sur la gestion et le stockage de ce flux exponentiel d’informations, mais aussi sur son exploitation. Les bénéfices du PACS dans cet environnement en mutation Le stockage en un même lieu sécurisé de l’ensemble des images du cabinet et leur mise à disposition " on demand " vers un groupe d’utilisateurs in situ ou distant se sont longtemps heurtés aux limites technologiques des infrastructures réseau. Les évolutions de la dernière décennie ont résolu ce problème avec succès, qui plus est avec des coûts revus à la baisse lorsque l’on parle d’accès distant. Dans le même esprit, la notion de stockage a, elle aussi, été bouleversée avec des systèmes performants dits " on line " où les industriels proposent une offre complète à des prix bien plus compétitifs. Aujourd’hui, les contraintes techniques et économiques n’empêchent plus les cabinets de ville d’envisager la mise en œuvre d’un PACS. Si les premières expériences furent menées dans le secteur hospitalier, pour faire face aux volumes massifs d’images, les cliniques privées s’engagèrent très vite dans la même direction. ❏ Obtenir un flux pleinement numérique de l’information en réduisant la production de films et la manipulation de milliers d’enveloppes représente un gain de temps important pour la plupart des secrétaires et manipulateurs. Le radiologue reçoit ainsi, sur une console multi-modalités et multi-constructeurs, le flux de ses images. Il profite des outils métiers sur une station unique lorsque les stations primaires ou secondaires servent aux manipulateurs pour la production. Dans le même espace de travail, le radiologue peut alors faire son diagnostic et réaliser son compte rendu numérique face à ses écrans, dès lors que la connexion avec son RIS est opérante. ❏ La diffusion des résultats est un facteur déclenchant dans la plupart des équipements. Cette troisième brique permet une grande souplesse d’utilisation pour un accès à distance des résultats et des images. A destination des radiologues du cabinet, susceptibles de se déplacer ou de se trouver sur différents sites du groupement, ou à des fins d’avis complémentaires, c’est un véritable atout que les praticiens perçoivent dans cette fonctionnalité, d’autant qu’ils peuvent aussi communiquer ces résultats à leurs correspondants en respectant une logique de confidentialité. Il convient de rappeler qu’un " bon PACS " pour une activité libérale comporte des facteurs différentiateurs du PACS dédié au secteur hospitalier. Les cabinets privés sont effectivement dépourvus d’informaticiens à demeure, et privilégient donc une solution clé en main qui s’adapte à leurs réalités. Le PACS relève clairement du domaine informatique autant que de l’image. L’informatique en milieu libéral se résume le plus souvent au logiciel de gestion du cabinet, le fameux " RIS ". Ces deux là, RIS et PACS, sont donc voués à marcher main dans la main, sous peine de ne jamais délivrer les avantages du PACS. Ce facteur est déterminant dans la réussite du projet. Voici deux ou trois ans que la tendance s’est amorcée au sein des cabinets de ville, avec un niveau de sensibilité souvent fonction de la notion de groupement. Et, comme tous les bouleversements apportant de réels avantages dans un domaine d’activités, la démocratisation de cet équipement remporte chaque jour plus d’intérêt auprès des radiologues libéraux. Le PACS par SOFTWAY MEDICAL ❏ Archiver les images de ses patients, et pouvoir les comparer, à la demande, à l’examen en cours sur une station bi-écran est un réel bénéfice pour le radiologue. Sur certains types d’examens comme la mammographie, l’intérêt est encore plus évident lorsque l’on sait que de nombreuses patientes oublient ou perdent leurs précédents clichés. Le confort et la performance sont immédiatement perçus par le praticien, et au-delà, les L’expérience acquise en matière de réseau d’images par la société WAID a permis au groupe SOFTWAY MEDICAL de lancer son offre " MEDSEEN PACS " en capitalisant sur un réel savoir-faire. Ses outils de mesure et ses viewers sont déjà installés sur plus de 1300 consoles en France. L’originalité de cette offre réside dans le fait que WAID propose également un RIS, luimême installé dans plus de 750 cabinets de 38 radiologie. L’offre est donc disponible en solution modulaire (le PACS pouvant s’interfacer avec les autres RIS du marché), ou globale, appelée MedSeen RIS-PACS. Le concept est simple : Le RIS étant en amont de la collecte des rendez-vous et des identités patients, il est aussi directement informé de l’état d’avancement des examens par les modalités. Connecté à l’historique des comptes-rendus et des images, le radiologue bénéficie alors de toutes les informations sur les examens passés et en cours pour le patient concerné. Il pourra, de sa console de travail, récupérer les images de toutes les modalités, quel que soit le constructeur. Au cours de son interprétation, il pourra procéder à la comparaison des images et à la production de son compte-rendu, sans changer d’espace de travail. La consultation du dossier médical sur l’écran de contrôle du RIS lui sera proposée. Bien évidemment, il pourra faire appel au système de reconnaissance vocale embarqué dans la solution RIS (SpeechMagic by Philips), à moins qu’il ne préfère rester au système numérique. Quoi qu’il en soit, le flux complètement numérisé enrichira les données du dossier patient, les rendant ainsi disponibles pour les utilisateurs, qu’ils soient sur site ou à l’extérieur. Si réussir la mise en œuvre de son PACS passe par la réussite de la connexion avec le RIS,WAID a abordé le sujet simplement : RIS – PACS, une solution, un partenaire. Plus qu’une simple connexion, la solution MedSeen RIS-PACS est pleinement intégrée et la différence est de taille. Au-delà de la qualité de ses solutions, WAID a une approche largement appréciée : la solution peut être scindée en modules.Ainsi, le choix peut se porter sur la station de travail multi-modalités avec l’archivage, la station et la diffusion Web ou la station de travail seule. Connaissant l’importance à accorder à la mise en œuvre et à l’accompagnement dans la réussite d’un projet PACS, il convient d’être sensible à la qualité d’intégration.La démarche de certification sera sans aucun doute un avantage à l’actif de WAID, déjà certifié classe IIA pour le diagnostic, qui brigue un avenir de premier rang dans ce domaine. Au sujet de WAID : La société WAID existe depuis 15 ans et équipe 750 cabinets de radiologie et plus de 100 établissements publics et privés. Elle fait partie du groupe SOFTWAY MEDICAL qui regroupe WAID, R2I Santé (SIH) et MICROCONCEPT (médecine de ville). Le groupe, côté au marché EURONEXT Paris, réalise un CA de 20 millions d'euros et emploie 200 personnes. LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS Société AGFA Effectifs CA Nombre de sites libéraux (en France) Nombre de sites hospitaliers (en France) Nombre d'installations PACS (AC) Ratio Privé/Public Ratio CA/Effectifs Ratio Site/Effectits 23 5 100 000 € 7 20 26% 221 739 € 1,17 Produit Nom commercial & version Plateforme Date 1ère commercialisation Impax v6.2 Windows ou Unix jan-06 Fonction & Norme Norme ISO 9001 (Console) HL7 IHE Compression (Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette) Gestion multi-dossiers IHM Encours et Recheche multicritére RIS Compatible ? Oui Oui Jpeg,Wavelet Oui Oui EDL Xplore, Sirilog, QDOC Distribution & Diffusion Intra service Accés radiologue de garde Intra Etablissement Correspondant exterieur Filming Gravage sur support amovible Oui Oui y compris les Palms Oui Oui avec lien email Oui mais pas souple Oui Exploitation image Travail dès la 1ère image Outils de base (Zoom, mesure, annotation, ...) MIP/MPR 3D (+ nom du produit) Outils spécifiques spécialités Images clés Comparaison examens dates différentes Comparaison examens origine, format et support diff. Exportation des images Oui Oui Oui Oui (Voxar) Oui : Orthoview Oui Oui Oui (sans intégration dans le PACS) Oui Archivage & Sauvegarde Archivage court terme Archivage long terme Sauvegarde Raid (avec compression Jpeg lossless) Oui Oui sans bande Service & Support Taux de disponibilité Ouverture de support 1 : 5/7, 2 : 6/7 et 3 : 7/7 Nb de personnes dédiées Ratio personnes dédiées/effectifs (si effectifs < 7 ne pas en tenir compte) Ratio site/personnes dédiées Télémaintenance Tarifs Prix configuration de base (hors archivage long terme) A : 80K€ à 150K€, B : 150K€ à 200K€, C : Plus de 200K€ Type de licence Avis Les plus ? 1 6 26,1% 4,50 Oui 200 K€ C Fixe pour serveur, Flottante pour utilisateur Complet et modulable. Maintenance raisonnable (13% incluant les upgrade majeurs). Lien email vers le correspondant. Clé privé/public. Intégration RIS Les moins Interface en noir et blanc avec charte graphique peu lumineuse. Produit orienté hospitalier et peu vers le libéral Avis général L'interface noir et blanc le rend peu attirant au premier regard.A noter l'offre PACS/RIS pour les libéraux (FSE). Bonne connaissance métier. Effort fait pour la sécurité. 10 10 NOTE SUR 20 CLASSEMENT 40 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS Société FUJIFILM Effectifs CA Nombre de sites libéraux (en France) Nombre de sites hospitaliers (en France) Nombre d'installations PACS (AC) Ratio Privé/Public Ratio CA/Effectifs Ratio Site/Effectits 28 2 500 000 € 14 4 78% 89 285 € 0,64 Produit Nom commercial & version Plateforme Date 1ère commercialisation Synapse v3.1.0 Windows fév-04 Fonction & Norme Norme ISO 9001 (Console) HL7 IHE Compression (Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette) Gestion multi-dossiers IHM Encours et Recheche multicritére RIS Compatible ? Oui Oui Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette Oui avec les onglets IE7 Peu de changement, mais multicritére WAID Sir5, Serval Radioplus, EDL Xplore, Penaranda, Sirilog Medasys,Agfa Qdoc Distribution & Diffusion Intra service Accés radiologue de garde Intra Etablissement Correspondant exterieur Filming Gravage sur support amovible Oui Oui Oui Oui + email avec lien Oui Oui Exploitation image Travail dès la 1ère image Outils de base (Zoom, mesure, annotation, ...) MIP/MPR 3D (+ nom du produit) Outils spécifiques spécialités Images clés Comparaison examens dates différentes Comparaison examens origine, format et support diff. Exportation des images Oui Oui Oui Oui (Voxar) Oui Oui dossier Staff Oui Non pas de lecture direct du CDROM Oui Archivage & Sauvegarde Archivage court terme Archivage long terme Sauvegarde Oui Oui en ligne (avec replication) Oui sur bande Service & Support Taux de disponibilité Ouverture de support 1 : 5/7, 2 : 6/7 et 3 : 7/7 Nb de personnes dédiées Ratio personnes dédiées/effectifs (si effectifs < 7 ne pas en tenir compte) Ratio site/personnes dédiées Télémaintenance ? 1 7 25,0% 2,57 Oui Tarifs Prix configuration de base (hors archivage long terme) A : 80K€ à 150K€, B : 150K€ à 200K€, C : Plus de 200K€ Type de licence 260 K€ C Site Avis Les plus Licence Site, Ouverture vers les utilisateurs non-radiologues, Compression Ondelete (Modalité, Debit, type d'archivage), Client Léger WEB, bonne intégration RIS Les moins Prix élevé. Intégration CDROM pas possible. Interface classique et ancienne. Faible réactivité de la société. Client Windows uniquement Avis général La version 3 n'apporte pas les changements attendus. Prix excessif. Bonne intégration Web et Ris. Offre bien adaptée pour liberaux malgré le prix 11,8 8 NOTE SUR 20 CLASSEMENT 41 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS Société GE Effectifs CA Nombre de sites libéraux (en France) Nombre de sites hospitaliers (en France) Nombre d'installations PACS (AC) Ratio Privé/Public Ratio CA/Effectifs Ratio Site/Effectits 22 4 000 000 € 15 28 35% 181 818 € 1,95 Produit Nom commercial & version Plateforme Date 1ère commercialisation Centricity PACS version 3.0 Linux,Windows juin-06 Fonction & Norme Norme ISO 9001 (Console) HL7 IHE Compression (Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette) Gestion multi-dossiers IHM Encours et Recheche multicritére RIS Compatible Oui Oui Oui Jpeg, Jpeg 2000 Oui Oui avec sauvegarde EDL Xplore,WAID Sir5,AGFA Qdoc, MEDASYS Sirilog Distribution & Diffusion Intra service Accés radiologue de garde Intra Etablissement Correspondant exterieur Filming Gravage sur support amovible Oui (Interface et fonctionalité idem ADW) Oui, client léger WEB Oui, client léger WEB Oui, client léger WEB + Lien par email Oui Oui Exploitation image Travail dès la 1ère image Outils de base (Zoom, mesure, annotation, ...) MIP/MPR 3D (+ nom du produit) Outils spécifiques spécialités Images clés Comparaison examens dates différentes Comparaison examens origine, format et support diff. Exportation des images Oui Oui Oui Oui (ADW) Oui : Orthoview, FusionTEP (?), Mammographie Oui Oui Oui (mais avec intégration dans le PACS) Oui Archivage & Sauvegarde Archivage court terme Archivage long terme Sauvegarde Oui RAID jusqu'à 15To Oui WORM (Disque Optique) Service & Support Taux de disponibilité Ouverture de support 1 : 5/7, 2 : 6/7 et 3 : 7/7 Nb de personnes dédiées Ratio personnes dédiées/effectifs (si effectifs < 7 ne pas en tenir compte) Ratio site/personnes dédiées Télémaintenance Tarifs Prix configuration de base (hors archivage long terme) A : 80K€ à 150K€, B : 150K€ à 200K€, C : Plus de 200K€ Type de licence Avis Les plus Entre 98% et 99,9% 3 12 54,5% 3,58 Oui Entre 150 K€ et 200 K€ B Fixes et flottante Fonctionalité ADW complète dont 3D,VR, Société pérenne, Produit complet, lien électronique vers correspondant Les moins Interface medecine nucléaire moyenne, lien avec la radiothérapie trop chére, Offre encore insuffisament positionnée sur le libéral, fonctionalité extra radiologique insuffisante, pas de licence site, prix global elevé Avis général Bon produit, encore très dédié grosse structure. Progrès dans le produit et dans l'offre. Le prix reste cependant un frein NOTE SUR 20 CLASSEMENT 42 13,44 2 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS Société GLOBAL IMAGING Effectifs CA Nombre de sites libéraux (en France) Nombre de sites hospitaliers (en France) Nombre d'installations PACS (AC) Ratio Privé/Public Ratio CA/Effectifs Ratio Site/Effectits 17 2 700 000 € 80 10 89% 158 823 € 5,29 Produit Nom commercial & version Plateforme Date 1ère commercialisation Diam v2.2 Windows mai-03 Fonction & Norme Norme ISO 9001 (Console) HL7 IHE Compression (Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette) Gestion multi-dossiers IHM Encours et Recheche multicritére RIS Compatible Non Oui Oui Jpeg, Jpeg 2000. Oui Oui Actibase, EDL, Radio 3000, Serval, SAP, Emed, Distribution & Diffusion Intra service Accés radiologue de garde Intra Etablissement Correspondant exterieur Filming Gravage sur support amovible Oui Oui (en mode Web) Oui Oui par un lien Oui avec sauvegarde du résultat Oui Exploitation image Travail dès la 1ère image Outils de base (Zoom, mesure, annotation, ...) MIP/MPR 3D (+ nom du produit) Outils spécifiques spécialités Images clés Comparaison examens dates différentes Comparaison examens origine, format et support diff. Exportation des images Oui Oui Oui Oui (Voxar) Oui (OrthoView) Oui Oui Oui (avec importation sur poste RIS) Oui Archivage & Sauvegarde Archivage court terme Archivage long terme Sauvegarde Raid, Nas Raid en ligne Sur bande Service & Support Taux de disponibilité Ouverture de support 1 : 5/7, 2 : 6/7 et 3 : 7/7 Nb de personnes dédiées Ratio personnes dédiées/effectifs (si effectifs < 7 ne pas en tenir compte) Ratio site/personnes dédiées Télémaintenance Tarifs Prix configuration de base (hors archivage long terme) A : 80K€ à 150K€, B : 150K€ à 200K€, C : Plus de 200K€ Type de licence Avis Les plus ? 1 5 29,4% 18,00 Oui 149,5 K€ A Par modalités, par serveur, par utilisateur concurentiel Lien Email vers le correspondant avec lien sécurisé. Filming avec sauvegarde du résultat. CD importer disssocié du PACS. Recherche FullText des Comptes Rendu Les moins Produit en mode Web IE uniquement donc Windows. Politique tarifaire difficile à comprendre sur les modalités et les modules. Pas de maintenance duVe 18h30 au Lu 8h30 Avis général Produit vraiment formaté pour les libéraux. Bonne expérience et antériorité.Vision stratégique proposée sur 3 ans. 12,44 5 NOTE SUR 20 CLASSEMENT 43 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS Société KODAK Effectifs CA Nombre de sites libéraux (en France) Nombre de sites hospitaliers (en France) Nombre d'installations PACS (AC) Ratio Privé/Public Ratio CA/Effectifs Ratio Site/Effectits 45 _ 13 32 29% _ 1,00 Produit Nom commercial & version Plateforme Date 1ère commercialisation CareStream v10 Windows, Solaris juin-06 Fonction & Norme Norme ISO 9001 (Console) HL7 IHE Compression (Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette) Gestion multi-dossiers IHM Encours et Recheche multicritére RIS Compatible Non Oui Oui Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette Oui Oui HL7, EDL,ACTIBASE,WAID et MEDASYS Distribution & Diffusion Intra service Accés radiologue de garde Intra Etablissement Correspondant exterieur Filming Gravage sur support amovible Oui Oui console WEB Oui Pas de lien image dans le compte rendu Oui Oui Exploitation image Travail dès la 1ère image Outils de base (Zoom, mesure, annotation, ...) MIP/MPR 3D (+ nom du produit) Outils spécifiques spécialités Images clés Comparaison examens dates différentes Comparaison examens origine, format et support diff. Exportation des images Oui Oui Oui Oui (Voxar) Oui (OtrthoView, Colon) Oui Oui Oui Oui Archivage & Sauvegarde Archivage court terme Archivage long terme Sauvegarde Raid en ondelette Archivage à distance Sauvegarde à distance Service & Support Taux de disponibilité Ouverture de support 1 : 5/7, 2 : 6/7 et 3 : 7/7 Nb de personnes dédiées Ratio personnes dédiées/effectifs (si effectifs < 7 ne pas en tenir compte) Ratio site/personnes dédiées Télémaintenance 95,00% 3 7 15,6% 6,43 Oui Tarifs Prix configuration de base (hors archivage long terme) A : 80K€ à 150K€, B : 150K€ à 200K€, C : Plus de 200K€ Type de licence 175 K€ B Flottante Avis Les plus Bonne expérience sur les PACS.Archivage en ligne tout compris. Bonne intégration avec d'autres systémes. Client WEB pour tous les utilisateurs (formation et maintenance simplifées) Les moins Maintenance très élevée de 20% du prix total. IHM peu pratique et peu fonctionnelle. Pas d'envoi de lien, mais d'une image au correspondant (gros volume et peu sécurisé) Avis général Interrogation sur l'obligation d'archivage distant. Politique de tarif discutable. Bonne expérience, ancienne, sur les PACS. 12 6 NOTE SUR 20 CLASSEMENT 44 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS Société MACKESSON Effectifs CA Nombre de sites libéraux (en France) Nombre de sites hospitaliers (en France) Nombre d'installations PACS (AC) Ratio Privé/Public Ratio CA/Effectifs Ratio Site/Effectits 11 _ 0 13 _ _ 1,18 Produit Nom commercial & version Plateforme Date 1ère commercialisation Horizon Medical Imaging v11 Windows juin-05 Fonction & Norme Norme ISO 9001 (Console) HL7 IHE Compression (Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette) Gestion multi-dossiers IHM Encours et Recheche multicritére RIS Compatible Non Oui Oui Jpeg, Jpeg 2000. Oui Oui Xplore, Crossway Distribution & Diffusion Intra service Accés radiologue de garde Intra Etablissement Correspondant exterieur Filming Gravage sur support amovible Oui Oui Oui Oui mais pas de lien Oui (basic) Oui Exploitation image Travail dès la 1ère image Outils de base (Zoom, mesure, annotation, ...) MIP/MPR 3D (+ nom du produit) Outils spécifiques spécialités Images clés Comparaison examens dates différentes Comparaison examens origine, format et support diff. Exportation des images Oui Oui Oui Oui (Voxar) Oui (OrthoView) Oui Oui Oui Oui Archivage & Sauvegarde Archivage court terme Archivage long terme Sauvegarde Raid, NAS avec replication Bande, baie sécurisé Sur bande Service & Support Taux de disponibilité Ouverture de support 1 : 5/7, 2 : 6/7 et 3 : 7/7 Nb de personnes dédiées Ratio personnes dédiées/effectifs (si effectifs < 7 ne pas en tenir compte) Ratio site/personnes dédiées Télémaintenance Tarifs Prix configuration de base (hors archivage long terme) A : 80K€ à 150K€, B : 150K€ à 200K€, C : Plus de 200K€ Type de licence Avis Les plus ? 3 6 54,5% 2,17 Oui 95,68 K€ A Par serveur Offre SIH-PACS. Grosse expérience PACS. Mise à jour gratuite si téléchargment Les moins MIP/MPR Basic. Console de travailVitréa (pas de developpement interne). Pas de lien vers le correspondant. Pas de référence dans le secteur privé. Pas de connexion RIS Avis général Produit plutôt destiné au monde hospitalier.A noter une ouverture tarifaire vers les libéraux. 10,36 9 NOTE SUR 20 CLASSEMENT 45 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS Société MEDICASOFT Effectifs CA Nombre de sites libéraux (en France) Nombre de sites hospitaliers (en France) Nombre d'installations PACS (AC) Ratio Privé/Public Ratio CA/Effectifs Ratio Site/Effectits 4 150 000 € 2 2 50% 37 500 € 1,00 Produit Nom commercial & version Plateforme Date 1ère commercialisation Vitalis v1.0 Windows juin-05 Fonction & Norme Norme ISO 9001 (Console) HL7 IHE Compression (Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette) Gestion multi-dossiers IHM Encours et Recheche multicritére RIS Compatible Non En cours En Cours Jpeg Non Oui mais limité Actibase Distribution & Diffusion Intra service Accés radiologue de garde Intra Etablissement Correspondant exterieur Filming Gravage sur support amovible Oui ? Oui Non Non Oui Exploitation image Travail dès la 1ère image Outils de base (Zoom, mesure, annotation, ...) MIP/MPR 3D (+ nom du produit) Outils spécifiques spécialités Images clés Comparaison examens dates différentes Comparaison examens origine, format et support diff. Exportation des images Oui Oui Oui mais incomplet Non Non Non Non Non Oui Archivage & Sauvegarde Archivage court terme Archivage long terme Sauvegarde Raid en jpeg Robot et gravage de DVD Oui sur bande Service & Support Taux de disponibilité Ouverture de support 1 : 5/7, 2 : 6/7 et 3 : 7/7 Nb de personnes dédiées Ratio personnes dédiées/effectifs (si effectifs < 7 ne pas en tenir compte) Ratio site/personnes dédiées Télémaintenance Tarifs Prix configuration de base (hors archivage long terme) A : 80K€ à 150K€, B : 150K€ à 200K€, C : Plus de 200K€ Type de licence Avis Les plus ? 1 2 50,0% 2,00 Oui 100K€ A Fixe et flottante Ergonomie et graphisme travaillé. Utilise les outils LAMP (Open source) permettant un prix bas. Export facile des images sur une clé USB. Petite société réactive Les moins Produit très jeune avec peu de références. Pas de norme IHE. Fonctionalité sur console limitée (pas deVR) Avis général Incertitude sur la pérénité de la société. Réactivité importante sur evolution et sur support du fait de la petite taille de la structure. Bonne connaissance du métier radiologique. 6,92 12 NOTE SUR 20 CLASSEMENT 46 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS Société PHILIPS _ _ _ _ Effectifs CA Nombre de sites libéraux (en France) Nombre de sites hospitaliers (en France) Nombre d'installations PACS (AC) Ratio Privé/Public Ratio CA/Effectifs Ratio Site/Effectits _ _ _ Produit Nom commercial & version Plateforme Date 1ère commercialisation PACS Isite R4.0 Windows juin-05 Fonction & Norme Norme ISO 9001 (Console) HL7 IHE Compression (Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette) Gestion multi-dossiers IHM Encours et Recheche multicritére RIS Compatible ? Oui Oui Jpeg, Jpeg 2000 (Compression BD prop.) Oui Oui Aucun ? Distribution & Diffusion Intra service Accés radiologue de garde Intra Etablissement Correspondant exterieur Filming Gravage sur support amovible Oui Oui Oui Oui mais pas de lien par email Oui Oui Exploitation image Travail dès la 1ère image Outils de base (Zoom, mesure, annotation, ...) MIP/MPR 3D (+ nom du produit) Outils spécifiques spécialités Images clés Comparaison examens dates différentes Comparaison examens origine, format et support diff. Exportation des images Oui Oui Oui Oui (Voxar) Oui : Orthoview Oui Oui Oui (mais avec intégration dans le PACS) Oui Archivage & Sauvegarde Archivage court terme Archivage long terme Sauvegarde Raid (avec compression isyntax) Sur place en ligne + Externalisé chez Philips Oui externalisé Service & Support Taux de disponibilité Ouverture de support 1 : 5/7, 2 : 6/7 et 3 : 7/7 Nb de personnes dédiées Ratio personnes dédiées/effectifs (si effectifs < 7 ne pas en tenir compte) Ratio site/personnes dédiées Télémaintenance Tarifs Prix configuration de base (hors archivage long terme) A : 80K€ à 150K€, B : 150K€ à 200K€, C : Plus de 200K€ Type de licence Avis Les plus 99,99% 3 _ _ _ Oui Environ 2,5€ par examen (+ cout des telecoms pour sauvegarde) C Site Licence site. Bonne ergonomie multi dossier et ligne de vie patient. Produit en mode web. Engagement de dispo de 99,99%. Sécurité Les moins Pas de lien avec le correspondant. Client Windows (active X) donc pas compatible Mac. Pas encore de site installé. Cout des liaisonsVPN à inclure. Avis général Ergonomie remarquable de la console de travail. Produit semblant fiable mais très nouveau sans site installé encore. Politique de tarif à l'examen rendant difficile l'analyse des prix, externalisation de la sauvegarde avec les réserves que cela entraine. 11,96 7 NOTE SUR 20 CLASSEMENT 47 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS Société SIEMENS SHS Effectifs CA Nombre de sites libéraux (en France) Nombre de sites hospitaliers (en France) Nombre d'installations PACS (AC) Ratio Privé/Public Ratio CA/Effectifs Ratio Site/Effectits 35 ? 60 240 20% _ 8,57 Produit Nom commercial & version Plateforme Date 1ère commercialisation Syngo Imaging XS 25 Windows ou Unix jan-06 Fonction & Norme Norme ISO 9001 (Console) HL7 IHE Compression (Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette) Gestion multi-dossiers IHM Encours et Recheche multicritére RIS Compatible ? Oui Oui Jpeg Oui Oui mais peu d'ergonomie HL7 Distribution & Diffusion Intra service Accés radiologue de garde Intra Etablissement Correspondant exterieur Filming Gravage sur support amovible Oui Oui (avec envoi selon planning de garde) Oui Oui avec lien email ou image Oui mais limité Oui Exploitation image Travail dès la 1ère image Outils de base (Zoom, mesure, annotation, ...) MIP/MPR 3D (+ nom du produit) Outils spécifiques spécialités Images clés Comparaison examens dates différentes Comparaison examens origine, format et support diff. Exportation des images Oui Oui Oui sur options Oui (Voxar) en option Oui : Orthoview Oui, et très compliqué Oui Oui (sans intégration dans le PACS) Oui Archivage & Sauvegarde Archivage court terme Archivage long terme Sauvegarde Raid en Jpeg Oui, support variable Oui sur bande Service & Support Taux de disponibilité Ouverture de support 1 : 5/7, 2 : 6/7 et 3 : 7/7 Nb de personnes dédiées Ratio personnes dédiées/effectifs (si effectifs < 7 ne pas en tenir compte) Ratio site/personnes dédiées Télémaintenance Tarifs Prix configuration de base (hors archivage long terme) A : 80K€ à 150K€, B : 150K€ à 200K€, C : Plus de 200K€ Type de licence Avis Les plus ? 1 21 60,0% 14,29 Oui Entre 100 K€ et 200 K€ B Poste ou flottante Logiciel non matériel dependant. Souris 8 fonctions très pratique. Portail de demande d'examen. IntrégationVoxar 3D. Interface unifiée Les moins MIP/PMR en option. Pas de Jpeg 2000 ou wavelet. Pas de film composer Avis général Produit trés proche des interfaces scanner et IRM. Offre mal dimensionnée avec beaucoup trop d'options pénalisant le prix. 9,72 11 NOTE SUR 20 CLASSEMENT 48 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS Société TELEMIS ELECTRON Effectifs CA Nombre de sites libéraux (en France) Nombre de sites hospitaliers (en France) Nombre d'installations PACS (AC) Ratio Privé/Public Ratio CA/Effectifs Ratio Site/Effectits 14 2 500 000 € 6 7 46% 178 571 € 0,93 Produit Nom commercial & version Plateforme Date 1ère commercialisation Telemis Médical v3.9 Windows Mac OSX, Linux nov-06 Fonction & Norme Norme ISO 9001 (Console) HL7 IHE Compression (Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette) Gestion multi-dossiers IHM Encours et Recheche multicritére RIS Compatible ? Oui Oui Jpeg, Jpeg 2000 Oui Oui avec sauvegarde EDL Xplore,AGFA QDOC, Ressources Informatiques Radio 3000 Distribution & Diffusion Intra service Accés radiologue de garde Intra Etablissement Correspondant exterieur Filming Gravage sur support amovible Oui Oui client lourd Oui client lourd Oui client léger, pas de lien web (un peu lourd) Oui Oui Exploitation image Travail dès la 1ère image Outils de base (Zoom, mesure, annotation, ...) MIP/MPR 3D (+ nom du produit) Outils spécifiques spécialités Images clés Comparaison examens dates différentes Comparaison examens origine, format et support diff. Exportation des images Oui Oui Oui Oui (Télémis, en base dans le logiciel) Oui en option : Orthoview, FusionTEP (Télémis), Mammographie Oui Oui Oui (sans intégration dans le PACS) Oui Archivage & Sauvegarde Archivage court terme Archivage long terme Sauvegarde Oui Oui (en option) Oui sur bande Service & Support Taux de disponibilité Ouverture de support 1 : 5/7, 2 : 6/7 et 3 : 7/7 Nb de personnes dédiées Ratio personnes dédiées/effectifs (si effectifs < 7 ne pas en tenir compte) Ratio site/personnes dédiées Télémaintenance Tarifs Prix configuration de base (hors archivage long terme) A : 80K€ à 150K€, B : 150K€ à 200K€, C : Plus de 200K€ Type de licence Avis Les plus 99,80% 1 et 3 (en option mais pas 24h/24h) 3 21,4% 4,33 Oui Entre 130K€ et 220 K€ A et C Fixes et Sites Licence Site. Grande ergonomie. Ouverture vers les utilisateurs non-radiologues. Outils de radiothérapie et médecine nucléaire. Produit complet (peu d'options à prévoir), Société à l'ecoute des clients et reactive. Produit ergonomique bien ciblé libéral/Clinique. Facilité de diffusion des images dans un établisement de soin.Compatible Mac Les moins Augmentation recente des prix. Cout de la maintenance (19%). Client lourd pour radiologue à distance et non-radiologue. Lien avec correspondant complexe. Faiblesse des fonctions de travail d'image (MPR, 3D…) Avis général Bon produit, produit et offre adaptés aux libéraux, bon SAV, client web lourd, augmentation du prix récente. 14,88 1 NOTE SUR 20 CLASSEMENT 49 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS Société VEPRO Effectifs CA Nombre de sites libéraux (en France) Nombre de sites hospitaliers (en France) Nombre d'installations PACS (AC) Ratio Privé/Public Ratio CA/Effectifs Ratio Site/Effectits 15 1 685 000 € 11 43 20% 112 333 € 3,60 Produit Nom commercial & version Plateforme Date 1ère commercialisation Medimage v7.0 Windows déc-06 Fonction & Norme Norme ISO 9001 (Console) HL7 IHE Compression (Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette) Gestion multi-dossiers IHM Encours et Recheche multicritére RIS Compatible ? Oui Oui Jpeg, Jpeg 2000 Oui Oui avec des filtres Penaranda Informatique,Accel, Medasys, Ressources Informatiques Distribution & Diffusion Intra service Accés radiologue de garde Intra Etablissement Correspondant exterieur Filming Gravage sur support amovible Oui Oui Oui Oui avec lien email ou image Oui Oui et peut être utilisé pour lire des CDROM Exploitation image Travail dès la 1ère image Outils de base (Zoom, mesure, annotation, ...) MIP/MPR 3D (+ nom du produit) Outils spécifiques spécialités Images clés Comparaison examens dates différentes Comparaison examens origine, format et support diff. Exportation des images Oui Oui Oui Oui (Vepro) en option Oui : Nucleaire Oui Oui Oui (sans intégration dans le PACS) Oui Archivage & Sauvegarde Archivage court terme Archivage long terme Sauvegarde Raid en jpeg et joeg 2000 DVD / Raid Oui sur bande Service & Support Taux de disponibilité Ouverture de support 1 : 5/7, 2 : 6/7 et 3 : 7/7 Nb de personnes dédiées Ratio personnes dédiées/effectifs (si effectifs < 7 ne pas en tenir compte) Ratio site/personnes dédiées Télémaintenance Tarifs Prix configuration de base (hors archivage long terme) A : 80K€ à 150K€, B : 150K€ à 200K€, C : Plus de 200K€ Type de licence Avis Les plus ? 3 4 26,7% 13,50 Oui Inférieur à 80 K€ A Site, Fixe ou flottante Possiblité de sauvegarde du contrôle de qualité des modalités. Ergonnie avancée. Possiblité de louer des espaces mémoire à d'autres spécialités. Console très avancée. Produit ergonomique compatible avec une activité libérale. Bonne intégration de la dictée numérique. Bon concept d'ensemble et spécifité unique. Les moins Client Windows lourd. Pas d'archivage externalisé. Société peu connue en France entrainant un manque de visibilité et de stratégie. Réserves sur la diffusion des images dans l'établissement de soins Avis général Bon rapport qualité prix. Offre adaptée à l'activité libérale et facilement dimensionable au besoin. NOTE SUR 20 CLASSEMENT 50 13,12 4 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS Société WAID Effectifs CA Nombre de sites libéraux (en France) Nombre de sites hospitaliers (en France) Nombre d'installations PACS (AC) Ratio Privé/Public Ratio CA/Effectifs Ratio Site/Effectits 21 5 500 000 € 35 17 67% 261 904 € 2,48 Produit Nom commercial & version Plateforme Date 1ère commercialisation Medeseen PACS v2.3 Windows juin-05 Fonction & Norme Norme ISO 9001 (Console) HL7 IHE Compression (Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette) Gestion multi-dossiers IHM Encours et Recheche multicritére RIS Compatible Oui Classe 2IA Oui Oui Jpeg, Jpeg 2000, Ondelette Oui Oui SIR5 Distribution & Diffusion Intra service Accés radiologue de garde Intra Etablissement Correspondant exterieur Filming Gravage sur support amovible Oui Oui (Outils identique à la console Rx) Oui Oui par un lien ? Oui Exploitation image Travail dès la 1ère image Outils de base (Zoom, mesure, annotation, ...) MIP/MPR 3D (+ nom du produit) Outils spécifiques spécialités Images clés Comparaison examens dates différentes Comparaison examens origine, format et support diff. Exportation des images Oui Oui Oui Oui (Mercury Oui (OrthoView) Oui Oui Oui Oui Archivage & Sauvegarde Archivage court terme Archivage long terme Sauvegarde Raid, SATA, NAS DVD, ou NAS Sur bande Service & Support Taux de disponibilité Ouverture de support 1 : 5/7, 2 : 6/7 et 3 : 7/7 Nb de personnes dédiées Ratio personnes dédiées/effectifs (si effectifs < 7 ne pas en tenir compte) Ratio site/personnes dédiées Télémaintenance Tarifs Prix configuration de base (hors archivage long terme) A : 80K€ à 150K€, B : 150K€ à 200K€, C : Plus de 200K€ Type de licence Avis Les plus ? 2 6 28,6% 8,67 Oui 169 K€ B Par serveur, par poste et par site Serveur dédié au 3D (calcul sur le serveur et non sur le poste) impliquant une vitesse accélérée. Bonne ergonomie IHM. Offre RIS PACS. Répond à la norme IIA Les moins Maintenance de 14%. Pas de support pas 7/7. Systéme de licence compliqué. Avis général Bon produit, bien en adéquation avec les besoins des radiologues libéraux mais politique tarifaire un peu floue. 13,44 2 NOTE SUR 20 CLASSEMENT 51 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS DR SOPHIE TAÏEB Centre Oscar Lambret - Lille Retour d’expérience du choix d’un PACS Dr S.Taïeb La décision de mettre en place, en 2005, un PACS dans notre centre régional de lutte contre le cancer nous a paru une évidence à plus d’un titre afin de 2007 pour avoir un volant financier suffisant pour mener ce projet à terme : objectif hôpital " sans films ". Nous avions en mémoire les expériences réalisées ici ou là, inachevées et/ou rapidement obsolètes du fait de l’absence de suivi des investissements. ❏ Mais, également, désir de prendre le train de la modernité du numérique, pouvoir : exacerbé par une présence assidue au ❏ Gérer l’important volume d’images RSNA, à Chicago, en anticipant tous les générés par un nouveau scanner 16 bienfaits organisationnels liés à l’archibarrettes, l’achat d’un mammographe vage numérique et qui étaient réguliènumérique, et une importante activité rement rappelés aux JFR. d’IRM mammaire (1300 images par Sur le plan pratique il nous semblait également que la technologie était examen). enfin stable et mature et que nous ❏ Répondre à la demande des clini- pourrions profiter des erreurs des ciens d’avoir accès aux images et aux cinq années précédentes pour éviter, à notre tour, de les comptes rendus le commettre. plus rapidement posL’objectif était donc sible (tout en leur “ L’objectif était clair : hôpital sans expliquant que audonc clair : hôpital films dans les deux cun PACS au monde sans films dans ans suivant l’initiation ne permettrait de les deux ans.” du projet (septemleur donner les résulbre 2005-septembre tats des examens 2007) et retour sur avant de les avoir investissement dans les cinq ans. Le réalisés !). budget prévisionnel était de 3 millions ❏ Répondre à la demande spécifique d’euros basés sur les chiffres de la pédes radiothérapeutes, des médecins riode 2000-2003. nucléaires, des anatomo-pathologistes, d’avoir un outil de gestion personnalisé de leur propre production d’images. L’existant : Dans un second temps, les cliniciens également producteurs d’images (coe- ❏ Centre de lutte contre le cancer de lioscopie, endoscopie, photos de lé- 176 lits d’hospitalisation et 27 places d’sions et de résultats de chirurgie répa- hospitalisation de jour, 68 médecins et ratrice) ont, eux aussi, souhaité disposer scientifiques, 32 internes et 606,5 équivalents temps plein de personnel soid’un tel outil. gnant ou non. ❏ D’échanger rapidement des images avec nos correspondants radiologues ❏ Le département d’imagerie comprend : travaillant dans le CHU voisin et dans 8,6 ETP de radiologues avec 3,2 postes les structures privées de cancérologie vacants, 4 internes, 17 ETP de manipulateurs, 6 ETP d’assistantes médicales. de la région. ❏ Profiter des moyens du plan hôpital 52 ❏ Plateau technique (production éva- luée à 5,2 TO/an) : - Imagerie : • 1 scanner 16 barrettes, • Accès à 2 IRM de 1,5Tesla situées dans 2 hôpitaux différents du CHU voisin pour 32 heures semaine, • 2 salles de radiologie numérisées, • 2 salles de sénologie (mammographe numérique et mammographe analogique équipé en stéréotaxie numérique), • 3 salles d’échographie, • un mammotome, • 2 postes mobiles (réanimation, radio au lit et bloc opératoire). - Radiothérapie : • 4 accélérateurs et un cobalt, reliés à un système de dosimétrie centralisé, • un bloc de curiethérapie, • arrivée prévue d’un cyberknife (opérationnel depuis avril 2007). - Médecine nucléaire : 2 gamma caméras, un TEP (1ère génération sans CT). - Six blocs opératoires dont 2 équipés en coelioscopie. - Une activité d’endoscopie importante avec production d’images polaroid. • L’informatique et les systèmes d’information. - Réseau : intégralement à 100 MB, et localement 1GB (entre l’imagerie et la radiothérapie). 550 postes informatiques installés, à écran cathodique en cours de renouvellement par écran plat. - SIH : plusieurs briques (AXIA, Qdoc, Suzy) avec Dictée Numérique. - SIR : Pas de SIR ! • Le groupe projet : Un radiologue (chef de projet), le chef du département d’informatique, l’ingénieur biomédical, un manipulateur radio LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS pressenti pour être le futur administrateur du PACS, un chirurgien en cancérologie gynécologique. Nous avons été aidé pour la méthodologie de la rédaction du cahier des charges par un consultant de CF conseil :Y. Ferré. matique, aux antériorités du patient. • Disponibilité d’outils de base sur les images : zoom, mesures et MPR • Intégration au sortir du bloc opératoire des vidéos ou des photos réalisées pendant l’intervention et, même, pour les chirurgiens coelioscopistes, un seul écran divisé en deux avec, d’un coté la coelio, et de l’autre, les images radiologiques au bloc opératoire. des scanners réalisés sur le 16 barrettes : réintégration au fil de l’eau suivant les besoins lors des comparaisons. c. Nous avions un archivage de deux années de mammographies numériques à réintégrer intégralement. Méthodologie La rédaction du cahier des charges fonctionnelles La méthodologie utilisée a été la suivante : sélection d’un panel d’utilisateurs selon leurs relations aux images (producteurs, utilisateurs), interviews semi guidées, test sur consoles des différents viewers du marché et rédaction d’une première version entièrement basée sur les fonctionnalités attendues : Préalables : 1) Les radiologues étant supposés capables d’utiliser n’importe quel système pour visualiser leurs images (ils naviguent de consoles en consoles toutes différentes selon les modalités), nous avons décidé de privilégier les utilisa- 1) Analyse des besoins des utilisateurs d’images ou analyse teurs non radiolodu work flow du gues pour l’ergopoint de vue du clininomie du viewer de lecture. “ Analyser les circuits cien prescripteur. images de tous En pratique, avec 2) Après plusieurs viles producteurs. ” cinq à six utilisateurs, sites de sites, nous vous avez un panel avons estimé que les assez complet de taches liées à l’utilisatous les dysfonctiontion numérique des nements dont vous êtes la cause et qui images (insertion de CD venant de obèrent " évidemment " les bonnes l’extérieur, gravage de CD supplémenpratiques cliniques. Il faut simplement taires pour les patients le demandant, utilisation universitaire des images…) s’armer de patience et de diplomatie, devait être décentralisées pour laisser tout écouter et tout écrire. Cela perune autonomie la plus complète possi- met néanmoins d’avoir une vision asble aux utilisateurs, le contrôle se fai- sez précise du service attendu. Nous sant par la gestion de la base de don- avons réalisé également un questionnées PACS puisque toutes les taches naire de " satisfaction " qui a permis au chef du département d’imagerie (réréalisées sont enregistrées. gulièrement informé des interviews) 3) L’administrateur PACS resterait éga- d’attendre un peu avant de choisir la lement manipulateur, d’où, création bonne corde pour se pendre : en bref d’une équipe (six personnes) de réfé- rien n’était adéquat mais les utilisateurs rents PACS. Le PACS devient ainsi une étaient assez contents du ser vice modalité à part entière. Pas d’embau- rendu !! che réalisée mais redéploiement du Dans cette analyse nous avons été très personnel. loin dans le descriptif des fonctionnalités attendues. 4) Intégration des antériorités a. nous avions un mini-pacs avec la réanimation et la salle de réveil :ré- Par exemple : • pas plus de trois clics de souris enintégration au fil de l’eau en fonctre l’ouverture du logiciel et la visuation des besoins des examens anlisation des images avec un accès térieurs. également très rapide, voire autob. Nous avions un archivage CD 53 Il y a eu également beaucoup de demandes sur des fonctions jugées indispensables par les cliniciens mais qui relevait plutôt d’un SIR que du PACS : gestion des prises de rendez-vous, suivi en temps réel du parcours d’un patient entre la demande d’examen et l’information de la disponibilité du compte rendu et des images. Et enfin une demande récurrente d’un outil permettant la création de bases de données à visée universitaire. Enfin (last but not least) : que cet outil soit facile à utiliser. En parallèle à ces interviews les utilisateurs d’image étaient invités à tester et à évaluer les viewers des différents PACS du marché mis à notre disposition par les fournisseurs. Le chirurgien qui, au sortir d’un test, nous a informé qu’avec le produit qu’il venait d’essayer " il était hors de question d’envisager d’abandonner le film " (en termes peutêtre un peu moins choisis) nous a probablement rendu un grand service. 2) Analyse des besoins du point de vue des producteurs d’images. Il y a toujours plus de producteurs d’images dans un hôpital qu’on ne l’imagine. Ou peut-être, l’idée d’un dossier " images patient " a libéré des désirs cachés. Finalement, nous avons du également analyser les circuits images de tous les producteurs. L’idée directrice d’une mutualisation de tous les outils dédiés aux images a permis de synthétiser les différents circuits en deux modèles : - Automatisation du stockage et de LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS l’archivage dés leur production pour les images produites en DICOM. - Sélection et intégration à la demande pour les autres, mais réalisées par le clinicien producteur sur des " PC de base ", la limite pour l’intégration étant le poids des images, limité à 50 MégaOctets pour les boucles vidéo. Il fallait donc prévoir des outils de Dicomisation décentralisés (et facile d’utilisation !). Concernant la décision de donner la priorité aux utilisateurs quant au choix final du viewer de lecture, aucun des radiologues, radiothérapeutes ou médecins nucléaires n’a émis d’objections. 3) Analyse des besoins / attentes des administratifs (payeurs) du système. Ici, l’analyse des besoins était relativement simple : • améliorer la productivité, • objectiver un retour sur investissement avec indicateurs suivis en temps réel pendant cinq ans, • faire l’analyse et anticiper les risques consécutifs aux changements qui seraient liés à l’arrêt du film, • faire attention à ne pas dédier cet outil aux seuls bénéfices des radiologues, • anticiper les futures modifications du SIH en privilégiant un système ouvert capable également de s’intégrer au futur DMP (donc norme Dicom et HL7), • prévoir les échanges d’images avec le CHU voisin et les cliniques de cancérologie, • trouver des indicateurs pour juger et mesurer l’amélioration de la productivité, • enfin, et encore, améliorer la productivité. Message clair, reçu : à terme le PACS (avec le SIR) devrait être en mesure d’améliorer la productivité !! Le cahier des charges. Les besoins fonctionnels se répartissaient selon quatre axes : 1) Stockage, (archivage), et diffusion des images produites en interne ou en ex- 54 terne, celles-ci secondairement réintégrées. 2) Outils de diffusion vers l’extérieur des examens réalisés au centre et de dépôt (type boite aux lettre) des examens réalisés à l’extérieur. jet d’éclaircir tous les points de l’offre. d) Finaliser une architecture répondant aux besoins du centre. Pour le lot 3 : l’analyse a été faite sur les trois fournisseurs de la short-list Pour le lot 4 : Celui-ci a été rendu sans suite. En effet l’analyse des besoins d’un SIR a objectivé le retard opérationnel de notre " vieux " SIH et la décision a été prise de changer celui-ci dans les 4) Nécessité d’un SIR à intégrer au SIH. deux ans et, donc, d’attendre pour le Nous avons donc décidé de réaliser l’ap- SIR. Nous avons convenu avec l’admipel d’offre en quatre lots afin de ne pas nistration que l’amélioration (attendue) exclure les fournisseurs qui ne pourrait de la productivité serait largement freirépondre qu’à une partie des besoins. née par l’absence de SIR. De ce fait, Pour chaque lot étaient précisés les nous avons donc demandé aux fournisfonctionnalités attendues, les critères de seurs de PACS de reprendre dans les choix, les attentes concernant la mainte- lots 1 et 2 les fonctionnalités d’un SIR indispensable au bon fonctionnement nance et la formation des utilisateurs. d’un PACS : Work list par modalité, association en temps réel pour chaque patient de l’état d’avancement des exaLe choix mens et des comptes rendus le concerNous avons reçu huit réponses pour le nant. A tout moment, cette cartogralot 1, sept réponses pour le lot 2, huit phie doit être accessible, pouvoir être triée par date, par réponses pour le lot par tâche 3 et sept réponses “ Nous avons choisi modalité, en cours ou termipour le lot 4. En tout, le PACS que 90% des née pour être exploidouze sociétés, quautilisateurs avait tée par utilisateur ou tre d’entre elles protrouvé performant en profils d’utilisateurs. posaient une offre Seuls deux des trois complète. terme d’ergonomie fournisseurs propod’utilisation. ” saient ce service sans Pour les lots 1 et 2 : SIR. nous avons établi une short-list de trois sociétés à partir Pour le groupe chargé du choix il n’a des critères de choix définis dans le ca- pas été possible d’établir des critères hier des charges : complétude de l’offre différenciant ces deux fournisseurs : – 8 points, qualité du service après égalité parfaite. vente – 5 points, coûts – 4 points, évo- Nous avons donc choisi le PACS que 90% des utilisateurs avait trouvé perlutivité – 3 points. formant en terme d’ergonomie d’utiliCes trois sociétés ont été revues pen- sation (le résultat était de 80% pour le challenger). dant deux jours afin de : 3) Matériel de stockage et d’archivage mutualisable avec l’existant et le futur géré par le département informatique a) Faire évaluer une maquette du système par des utilisateurs représentatifs : huit médecins, six chirurgiens, six radiologues, deux médecins nucléaires, deux radiothérapeutes, deux physiciens de radiothérapie. b) S’assurer de la bonne gestion de l’ensemble des types d’images produites au centre. c) Donner la possibilité au groupe pro- Epilogue : " Le début du déploiement ou les ennuis qui arrivent au moment ou vous vous y attendez le moins ! " 1. Découverte surprise qu’il faut installer un upgrade de l’outil de gestion de rendez vous planifié depuis deux mois pour finaliser l’intégration de cette brique du SIH au PACS. Un seul pro- LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 PACS blème : la nouvelle version ne sait pas le nouveau messie qui résoudra la totalire notre base de données patients. lité des problèmes liés aux 567 postes informatiques plantés en 24 (dys)fonctionnements du département secondes. Il a fallu trois jours à quatre d’imagerie. A suivre … personnes pour dépanner tous les postes - enfin presque - Certains postes 4. Tout allait trop bien : la formation de n’étant pas prioritaires (postes méde- tous les utilisateurs potentiels était quacins par exemple et MON poste en siment terminée, le déploiement étage particulier qui n’est toujours pas mis à par étage aussi. Il ne restait que le derjour six semaines après l’incident). Pour nier niveau. Les utilisateurs étaient toujours motivés et votre information il contents et, un jeudi faut trois semaines matin 8h, après trois pour qu’un système semaines de foncqui parle Oracle 7 “ Heureusement tionnement arrive le apprenne à lire en que le fournisseur bug, GRAVE : plus Oracle 8 (dont deux choisi est souple aucun examen n’est semaines de vacanet réactif. ” transmis au PACS et ces scolaires - l’abdonc retour à la case sence de neige cette films, consoles de année en février a modalités et téléphone. Bref, le drame, probablement aidé à l’apprentissage de les ricanements de ceux qui n’y la lecture ?). croyaient pas et, surtout, des ingénieurs 2. Note de service générale : " Le chan- qui ne comprennent, ni pourquoi les gement d’un générateur de radiothéra- examens sont bloqués dans le tuyau inpie nécessite une coupure d’électricité. formatique, ni pourquoi les requêtes Le fonctionnement de l’unité informa- pour visualiser les examens de la veille tique (située dans la zone de coupure) n’aboutissent pas non plus et donnent sera donc interrompue du vendredi des listes incomplètes. La manière dont 18h au lundi 8h ". QUAND ? Le jour où certaines décisions sont prises dans un vous avez réussi à obtenir que tous les hôpital reste étonnement mystérieuse. interlocuteurs (informaticiens, ingé- Après 56 ans d’identification des femnieurs biomédicaux, fournisseurs du mes mariées par leurs noms de jeune PACS et fournisseurs du nouveau logi- fille (les dames pouvant, comme chaciel de gestion) soient présents un ven- cun sait, changer de mari et donc de dredi à 18h afin de faire ce fameux up- nom marital) une entité restée à ce grade pendant le week-end. Je n’en ai jour inconnue à décidé de modifier été prévenue que la veille (qui prétend cela. Les dames mariées seraient mainque les outils informatiques améliorent tenant reconnues par leur nom d’éla communication ??). On en reprend pouse. Ce jeudi matin là, les premiers ainsi pour trois semaines de retard patients de la matinée étaient quasiavant de réunir tous le monde et faire la ment tous des femmes mariées et la connexion entre la work list, le PACS modification. Ouf ça marche ! et le système de facturation (AXIA) ne 3. A quoi sert le nouvel outil de ren- pouvait pas se faire. La priorité étant dez vous ? Tout simplement à générer donnée au nom (donc de jeune fille les work-lists à destination des modali- pour les antériorités radiologiques et la tés. Et sans work-list pas de PACS. Dans work list, et d’épouse pour l’administraune structure hospitalière, six semaines tif) le PACS ne reconnaissait plus ses de retard sont " relativement " monnaie petits !! La décision de donner, alors, au courante et personne ne semble s’en PACS la priorité sur le numéro de paoffusquer sauf … les cliniciens qui pié- tients, puis le prénom puis la date de tinent d’impatience.Vous avez du trop naissance en oubliant le nom a permis bien gérer les techniques managériales de régler le problème et de retrouver de " la pratique du changement " et toutes les antériorités. Heureusement tout le monde attend le PACS comme que le fournisseur choisi est souple et 56 réactif.Au moins autant que le mari qui nous a écrit pour s’insurger de ce que sa femme soit appelée en salle d’attente par son nom de jeune fille (Non, suffragette ne te retourne pas dans ta tombe !!). Au moins autant que l’administratif qui suite à cette lettre a pris cette décision et l’a appliquée avec une célérité rarement vue : qui a dit que les circuits de décision étaient longs à l’hôpital ?? A suivre … CONCLUSION Première bonne nouvelle : le prix des PACS a baissé puisque dans l’enveloppe impartie nous avons, en plus, numérisé par plaques l’ensemble du ser vice, acheté un mammographe numérique et des consoles de lecture mammo et équipé le bloc opératoire d’écrans. Mais nous avions déjà un réseau, et une couverture en postes informatiques à la hauteur. Deuxième bonne nouvelle : la technologie est effectivement mature.Tous les fournisseurs parlent un langage compréhensible en terme de fonctionnalités et les normes sont respectées (IHE) Enfin, la gestion du changement des pratiques ne paraît pas poser de problèmes majeurs : rares sont les utilisateurs qui ne soient pas passés au numérique (pour leurs photos de vacances par exemple) et tous sont capables, très rapidement, d’utiliser un viewer d’images numériques. De plus, la perspective de ne plus dépendre des archivistes pour avoir accès aux dossiers images des patients a dynamisé le processus. Choisir un PACS reste néanmoins un exercice complexe si l’objectif est d’avoir un outil totalement mutualisé entre les différents utilisateurs, ce qui nous a paru primordial dans l’optique d’un hôpital sans films. Complexe car synthétiser des demandes très diverses en fonctions opérationnelles simples n’est pas notre métier. Néanmoins nous espérons avoir répondu au cahier des charges de notre administration : " ne pas acheter un outil à l’usage exclusif des radiologues et être en mesure d’évaluer les gains de productivité ". ■ LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 Juridique CATHERINE MAISSE Avocat à la Cour d’appel de Paris La délicate question de l’archivage des examens d’imagerie médicale Ah l’archivage ! Qu’archiver et pendant combien d’années ? Quand il ne s’agissait que de conserver les compte-rendus, la question se posait déjà, mais avec l’évolution des techniques, la télémédecine, le DMP etc, elle devient de plus en plus d’actualité. C. Maisse Premièrement : est -on obligé d’archiver ? Les enjeux de l’archivage sont maintenant plus importants dans la mesure où du fait des technologies numériques, il est également possible d’archiver les images réalisées. La réponse est : oui. Dans le cadre d’un exercice libéral, tous les praticiens ont l’obligation de tenir un dossier du patient et de l’archiver. Deuxièmement : l’intérêt de l’archivage : Il n’existe aucune dérogation pour les médecins radiologues. L’archivage des examens d’imagerie répond à un quadruple intérêt : ❏ La continuité des soins aux patients, ❏ La réduction du nombre d’examens et l’optimisation de leur choix, comme le prévoit le guide de bon usage des examens d’imagerie “ Les enjeux de l’archi- médicale publié par la SFR, vage sont maintenant ❏ La constitution d’un moyen de preuve plus importants dans la en cas d’action en responsabilité civile, mesure où du fait des ❏ La réponse à une demande de communication du dossier formulée par le patechnologies numétient ou ses ayants-droit. Ceci résulte des dispositions de l’article 45 du Code de déontologie : " Indépendamment du dossier de suivi médical prévu par la loi, le médecin doit tenir pour chaque patient une fiche d’observation qui lui est personnelle ; cette fiche est confidentielle et comporte les éléments actualisés nécessaires aux décisions diagnostiques et thérapeutiques. Dans tous les cas, ces documents sont conservés sous la responsabilité du médecin … " riques, il est également possible d’archiver les images réalisées. ” Cette obligation est renforcée par la loi du 4 mars 2002 sur les droits du malade. Ainsi l’article L1111-7 du Code de la Santé Publique, précise : De surcroît, avec le développement de la téléradiologie, et le DMP, l’archivage de ces examens sera une étape nécessaire. Troisièmement : qu’archiver ? Le développement de l’imagerie numérique pourrait permettre d’archiver, les images les plus pertinentes, permettant de répondre ainsi aux quatre buts ci-dessus énumérés. " Toute personne a accès à l‘ensemble des informations concernant sa santé. " Un dossier du patient doit donc être constitué au cabinet médical, même s’il n’a pas l’équivalent de celui mis en place dans les établissements de santé. 57 Quatrièmement : pendant quelle durée archiver ? Les choses se compliquent. LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 Juridique 10 ans ? C’est en effet le délai de prescription en matière de responsabilité médicale. Celui-ci était auparavant de trente ans, conformément aux règles fixant la prescription en matière civile. L’article L.1142-28 du Code de la Santé Publique, issu de la loi du 4 mars 2002, a ramené ce délai à dix ans, à compter de la consolidation du dommage. Toutefois, la réduction de la prescription de trente à dix ans, ne s’applique qu’aux préjudices causés à compter de la publication de la loi au Journal Officiel, c’està-dire à compter du 5 mars 2002. La possibilité pour un praticien libéral de voir sa responsabilité civile recherchée dans un délai de trente ans, pour des actes antérieurs au 5 mars 2002 n’est donc nullement à écarter. 20 ans ? 2/ Le délai de dix ans, nouveau délai de prescription en matière de responsabilité médicale, tout en notant que ce nouveau délai de dix ans part de la consolidation de la victime et non pas de la première constatation médicale du dommage : le point de départ ainsi fixé est donc de nature à permettre des actions en responsabilité bien au-delà du délai de dix ans lorsque la consolidation n’est pas acquise. “ Les radiologues libéraux auraient au minimum, intérêt à s’aligner sur le délai de vingt ans (voir vingt huit ans s’il s’agit d’un mineur de moins de huit ans). ” En ce qui concerne les archives hospitalières, le régime antérieur fondé sur la nature des pièces médicales faisait co-exister plusieurs délais, allant de l’infini : affection de nature héréditaire susceptible d’avoir des répercussions pathologiques ou traumatisantes sur la descendance, à cinq ans pour les autorisations d’autopsies et de prélèvements d’organes. Ce système a été modifié par le décret du 4 janvier 2006, entré en vigueur le 5 janvier 2007. Le nouvel article R.1112-7 du Code de la santé publique prévoit que le dossier médical, quelque soit la nature des pièces médicales, est conservé pendant une durée de vingt ans, à compter du dernier passage du patient dans l’établissement, qu’il s’agisse d’une hospitalisation ou d’une consultation externe. En ce qui concerne les jeunes enfants, leurs dossiers devront être conservés jusqu’à leur 28ème anniversaire, soit pendant une durée supérieure à la durée légale de vingt ans. Ce délai n’est applicable qu’aux établissements de santé et non aux praticiens libéraux. On pourrait penser que ces derniers auraient intérêt à s’aligner sur ce délai. Ce n’est pas si simple. 30 ans ? 58 L’on se trouve donc en face de trois délais : 1/ L’ancien délai de trente ans pendant lequel le praticien pouvait voir sa responsabilité recherchée, n’est pas éteint, puisque le nouveau délai ne court qu’à compter du 5 mars 2002. 3/ Le délai de vingt ans qui n’est pas applicable en principe aux médecins libéraux. Compte-tenu de ces différents délais, rien ne permet dans le cadre juridique actuel, de conseiller sans risque, un délai d’archivage inférieur à trente ans, voire plus, si le patient est mineur, en rajoutant à ce délai, les années qui séparent l’âge du patient de sa majorité. A tout le moins, on peut considérer que les radiologues libéraux auraient au minimum, intérêt à s’aligner sur le délai de vingt ans (voir vingt huit ans s’il s’agit d’un mineur de moins de huit ans) appliqué désormais par les établissements de santé pour conserver les preuves nécessaires à la défense du médecin en cas de plainte à son encontre, et pour garantir le droit d’accès des patients aux informations de santé les concernant, très largement ouvert par la loi du 4 mars 2002. Cinquièmement, les précautions à prendre en cas d’archivage de données électroniques Rappelons brièvement, les obligations inhérentes à cette conservation des données : consentement exprès du patient, déclaration à la CNIL, respect de la procédure particulière prévue par les dispositions de l’article L 1111-8 du Code de la Santé Publique, si les archives sont déposées auprès d’un hébergeur agréé. Reste à étudier avec attention, les clauses du contrat avec l’hébergeur, afin que le médecin radiologue ne voie pas sa responsabilité encourue dans des domaines qui ne relèvent en aucun cas de sa compétence. Bref, l’archivage est bien une affaire très sérieuse, à prendre avec beaucoup d’attention et de considération ! ■ LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 Infos professionnelles DR DENIS AUCANT Président de la C.S.L. du Doubs La vérité des chiffres Dans le cadre du Comité Paritaire Local du Doubs, les parties signataires de la convention suivent avec attention les données de la maîtrise médicalisée et les dépenses de santé car la réussite des accords passés avec les Caisses d’assurance maladie doivent conduire à des accords gagnants gagnants. Dr D.Aucant Au cours de l’année 2006 nous avons été alertés par des chiffres de progression des actes en Z qui, sur certain mois, étaient supérieurs de + 16 % au mois correspondant de l'année 2005. Une action nous a semblé nécessaire mais pour cela il était indispensable de connaître ce que recouvraient ces chiffres qui amalgamaient radiologues, spécialistes faisant de l’imagerie, médecins nucléaires et radiothérapeutes. En fin d'année la progression (tableau n° 1) était de 5,5 % par rapport à 2005 donc restant supérieure à la moyenne nationale. Pour les radiologues une croissance de + 2,9 % restait proche des chiffres nationaux et compte tenu des actions nationales contenues dans l’avenant n° 23 à la convention aucune démarche supplémentaire n’a été actée pour l’instant. Les dentistes, qui représentent le 2ème poste de dépenses en imagerie, avaient une augmentation de 0,7 % et étaient eux aussi dans les clous. Les chiffres de radiothérapie étaient plus difficilement analysables puisqu’il n’existe pas de structure libérale dans le Doubs et il ne s‘agit que d’activité privée de praticiens hospitaliers. Le 3ème poste en valeur est celui de la médecine nucléaire avec une progression de + 16 %. Cette tendance, qui se retrouve sur le plan national, a amené la CNAMTS à baisser les actes de médecine nucléaire (hors PET SCAN) de 5,9 %, la médecine nucléaire étant avec la radiologie, dont le supplément numérique va diminuer de 40 %, la spécialité qui, après les biologistes, s’est vue imposer des baisses. Par contre, cette étude permet de constater une augmentation nette de certaines spécialités autoprescriptrices : • + 31,1 % pour la cardiologie, • + 35 % pour la rhumatologie, • + 19,4 % pour la rubrique autres qui comprend essentiellement les chirurgiens et les pneumologues. On peut aussi constater sur l’étude faite sur l’ostéodensitométrie que la HAS avait considéré qu’environ 30 % rentraient dans le cadre des actes pour lesquels elle avait donné des circonstances cliniques de remboursement. On est un peu au dessus de cette estimation chez les radiologues mais très au dessus chez les rhumatologues où la quasi-totalité des actes sont passés en remboursables (tableau 2). Il nous parait indispensable que les radiologues incitent leur Comité Paritaire Local à mener ce type d’étude pour qu’une véritable clarification sur les différents acteurs réalisant des actes d’imagerie en Z aboutisse et que les radiologues ne soient pas accusés de tous les maux et toujours désignés boucs émissaires. ■ Tableau 1 : Doubs Année 2005 Groupe Activité Montant remboursé Radiologues Cardiologues Radiodiagnostic Dentistes 6 686 801 Montant Année 2006 Part des mt remboursable remboursés Evolution 2006/2005 Montant Montant Part des mt remboursé remboursable remboursés Montant Montant 6 883 259 9 000 483 76 % +2,9 % +8,8 % remboursé remboursable 8 274 81 % 699 570 699 672 100 % 916 975 918 383 100 % +31,1 % +31,3 % 1 120 907 1 581 387 71 % 1 129 248 1 604 513 70 % +0,7 % +1,5 % Rhumatologues 180 573 209 942 86 % 243 712 319 479 76 % +35 % +52,2 % Autres 205 654 252 224 82 % 245 614 323 471 76 % +19,4 % +28,2 % 8 893 505 11 017 723 81 % 9 418 808 12 166 328 77 % +5,9 % +10,4 % Total Radiothérapie 346 674 346 682 100 % 226 342 226 342 100 % -34,7 % -34,7 % Médecine nucléaire 962 033 963 040 100 % 1 116 145 1 119 743 100 % +16 % +16,3 % 10 202 213 12 327 444 83 % 10 761 295 13 512 413 80 % +5,5 % +9,6 % TOTAL 60 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 61 Actes non remboursables Actes remboursables Cotation 11 21 ADI NR ADI NR + CS 199 0 390 CS + HN C2 + HN TOTAL 0 0 ADI + C2 ADI NR + C2 0 159 ADI + CS ADI Quantité LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 21 475 0 12 072 0 1 533 624 0 0 11 411 0 4 577 0 483 0 0 0 6 351 rembt payé 7 247 Base de Montant Radiologues 8 351 0 3 209 0 327 0 0 0 4 816 remboursé Montant 226 2 5 0 3 0 96 117 3 Quantité 16 069 160 215 0 189 0 7 868 7 461 176 payé Montant 15 615 80 115 0 69 0 7 868 7 363 120 rembt Base de Rhumatologues 11 746 68 85 0 46 0 5 837 5 626 84 remboursé Montant Tableau 2 : Remboursements du 01/04/2006 au 31/12/2006 616 2 204 0 24 11 96 117 162 Quantité 37 544 160 12 287 0 1 722 624 7 868 7 461 7 422 payé Montant 27 026 80 4 692 0 522 0 7 868 7363 6 471 rembt Base de Total 20 097 68 3 294 0 373 0 5 837 5 626 4 900 remboursé Montant Infos professionnelles Election Bureaux ➜ CÔTE D’OR CÔTE D’OR : Suite aux élections du syndicat du 7 juin 2007, la composition du bureau est la suivante : Président : Dr Jean Paul MILLERY (Dijon) Vice-Président : Dr Etienne DECOURNET (Chenôve) Secrétaire : Dr Eric DROUOT (Dijon) Secrétaire Adjoint : Dr Daniel BIANCHETTI (Chevigny) Trésorier : Dr Jacques LORENZO (Beaune) ➜ PROVENCE ALPES CÔTE D’AZUR Union Régionale PROVENCE ALPES COTE D’AZUR : Suite aux élections du syndicat du 23 mai 2007, la composition du bureau est la suivante : Président d’Honneur : Dr Philippe FOURNOT (Toulon) Président : Dr Eric GUILLEMOT (Fréjus) 1ER Vice Président : Dr Jean Marie GIRALDI (Marseille) Vice-Présidents : Dr Gilles ARNAULT (Toulon) Dr Olivier BARBANCON (Grasse) Dr Jean CASABIANCA (Marseille) Dr Michel MANTE (Briançon) Dr Gilles POUZOULET (Cavaillon) Secrétaire général : Dr Jean Philippe COLIEZ (Cagnes sur Mer) Secrétaire généraux adjoints : Dr Eliane DALMAS (Marseille) Dr Marie Corinne DI MEGLIO (Nice) Dr Philippe MEENS (La Crau) Dr Gérard VERNY (Manosque) Trésorier : Dr Yves SAUGET (Marseille) Trésorier adjoint : Dr Pierre BENZAKEN (Nice) Membres du bureau : Dr Jean Marie COESPEL (Six Fours les Plages) Dr Alain VERDET (Toulon) Représentants délégués auprès de l’ARH : Dr Philippe FOURNOT (Toulon) Dr Jean Marie GIRALDI (Marseille) Dr Eric GUILLEMOT (Fréjus) L’Union Régionale PROVENCE ALPES COTE D’AZUR a procédé à l’élection des ses administrateurs auprès de la FNMR le 23 mai 2007 : Titulaires : Dr Gilles ARNAULT (Toulon) Dr Pierre BENZAKEN (Nice) Dr Jean CASABIANCA (Marseille) Dr Jean Philippe COLIEZ (Cagnes sur Mer) Dr Eliane DALMAS (Marseille) Dr Eric GUILLEMOT (Fréjus) Suppléants : Dr Michel MANTE (Briançon) Dr Gilles POUZOULET (Cavaillon) 62 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 Uniprévoyance 1PPQ Actualité DR ROBERT LAVAYSSIÈRE Vice-Président FNMR Congrès de l’ISMRM à Berlin (mai 2007) Rien n’est permanent, sinon le changement. (Héraclite) Le Congrès de l’ISMRM est " le " congrès de la résonance magnétique sous toutes ses formes. C’est l’occasion de faire le point sur les axes de recherche et les futurs développements. Ce 25° congrès a coïncidé avec le décès de Paul Lauterbur, disparu fin mars 2007, qui fût le premier président et fondateur, Prix Nobel de médecine avec Peter Mansfield. Il n’est pas anodin de remarquer que Lauterbur était un chimiste et que Purcell (Prix Nobel 1946), découvreur avec Bloch Dr R. Lavayssière du phénomène de la résonance, était un spécialiste du radar. C’est dire à quel point l’IRM nécessite une approche multidisciplinaire ! orienté vers les médecins, radiologues ou non, et vers les techniciens auxquels la société a réservé une section (SMRT,T pour technologist). Les mises au point sont très bien faites et très ciblées, voire pointues… Il existe, bien sûr, une revue scientifique de haut niveau, et une revue destinée aux techniciens, baptisée " Signal ". Un congrès fleuve… Pas moins de 5 000 congressistes ont assisté au 25° Congrès de l’ISMRM (International Society for Magnetic Resonance in Medicine) associée pour l’occasion européenne à l’ESMRM (European Society for Magnetic Resonance in Medicine and Biology). L’ISMRM résulte de la fusion, déjà ancienne, de la SMRM et de l’ISRM, soit d’une société plutôt orientée vers les sciences fondamentales et la recherche et d’une société plutôt axée sur l’imagerie par IRM. Une des originalités de ce congrès est le pré-congrès de deux jours consacré à l’enseignement 64 Le congrès lui-même est divisé en enseignement (très) matinal sur des thèmes spécifiques, en séances plénières où des spécialistes reconnus viennent donner un avis autorisé et plus ou moins intéressant, en séances scientifiques sur des thèmes précis le plus souvent en recherche fondamentale mais aussi en recherche clinique, ou également sur des thèmes cliniques sur le modèle des " cours catégoriels ". Des séances sont réservées aux sociétés estampillées " Gold Corporate Member " soit GE, Philips et Siemens qui disposent d’une heure pour faire parler leurs vedettes sur des sujets tendant à démontrer leur suprématie dans tel ou tel domaine. Enfin, il existe des réunions de groupes de travail sur des sujets aussi divers que les agents de contraste ou le cancer avec un grand C. Les posters affichés et posters électroniques ne manquent pas à l’appel. L’exposition technique est de petite envergure mais suffisante. LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 Carestream 1PPQ Actualité Une vision forcément parcellaire Dans son préambule, le président du congrès, le Pr Georg Bongartz, s’est enorgueilli d’un taux de rejet relativement élevé soit 24,4 %. Ainsi, 5 119 abstracts ont été soumis et 3 867 ont été acceptés. On peut cependant trouver que ce taux de rejet n’est pas assez élevé, certaines séances étant saturées de communications très voisines et plus ou moins intéressantes : le comité de sélection a certainement calé ! Il n’est donc pas possible pour un seul individu d’avoir une vision complète, mais des différentes séances,plénières comme scientifiques, et des conversations,on peut retenir que : ❏ les vieilles techniques n’ont pas dit leur dernier mot : l’écho planar avait connu une phase d’oubli avant de revenir au devant de la scène comme sont en train de revenir des techniques anciennes comme la méthode de Dixon (imagerie en eau et imagerie en graisse) en imagerie abdominale (LAVA Dual Echo) ou le T2 en SSFP, notamment en IRM mammaire. La mesure de l’élasticité des tissus (élastométrie) est utilisée pour l’exploration des tumeurs du sein mais aussi des fibroses hépatiques, associées ou non à une cirrhose. ❏ Le champ de référence reste à 1,5 Tesla avec une décroissance de l’intérêt pour les systèmes à bas champ, même pour les systèmes ouverts. On peut d’ailleurs noter qu’Hitachi etToshiba étoffent leurs gammes d’aimants cylindriques à 1,5 T voire à 3T… vaux. Sa place est reconnue dans de nombreuses indications et en par ticulier dans la détection des lésions chez des patientes, mutées ou non, à risque. De nouvelles techniques sont développées comme l’association d’imagerie parallèle et des technique variées (SPIRAL, shutter speed, KWIC) dans le but de mieux quantifier les phénomènes d’angiogénése et de perfusion à la fois dans le diagnostic et la surveillance, sous et après traitement. ❏ L’IRM fonctionnelle est très utilisée dans la planification thérapeutique, pour l’exérèse aussi complète que possible des astrocytomes de haut grade par exemple, mais aussi dans les essais cliniques, en psychiatrie notamment. Les essais cliniques et thérapeutiques ont fait d’ailleurs l’objet de nombreuses communications voire de conférences plénières émanant d’orateurs variés, venant aussi de l’industrie pharmaceutique. Une spécialité s’est développée avec la mise en place " d’Imaging Consortium for Drug Development ". ❏ Le 3T ne fait pas encore l’unanimité, sauf en neurologie et en imagerie cardio-vasculaire. Il n’en reste pas moins que ce segment représente une part croissante du marché… La technique BOLD, bien connue en Le problème du SAR (Specific “ Les vieilles neurologie, peut être appliquée à l’étude Absorption Rate) qui quantifie la déposifonctionnelle rénale ou hépatique… techniques n’ont tion d’énergie et le risque d’échauffement L’exploration de la fonction rénale mobipas dit leur des tissus revient fréquemment dans les lise de nombreuses énergies, même si les dernier mot. ” communications. L’IRM mammaire à 3T modèles disponibles sont imparfaits, à la selon C. Kuhl (Bonn) ou H. Hricak (NY), hauteur des enjeux : aux USA, la frén’a pas encore fait la preuve de son utilité, quence de l’insuffisance rénale est en en sauf spectroscopie dont les applications restent limitées. hausse de 4 % par an et absorbe déjà 6,3 % du budget de L’imagerie cardio-vasculaire a tenu un peu moins de place Medicare. Si cette tendance se confirmait, l’intégralité du que lors d’éditions précédentes. budget y serait consacrée en 2030… ❏ L’IRM du sein fait toujours l’objet de nombreux tra- 66 ❏ L’IRM interventionnelle est un sujet en pleine expansion LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 Actualité avec l’utilisation de techniques de plus en plus sophistiquées, tifiques, certains auteurs et non des moindres, équipe du notamment en terme de guidage, en recourant à des ai- Sloan Kettering à NY, ont montré que la spectroscopie promants cylindriques conventionnels. Il est clair que des tech- statique multi-voxels (baisse du citrate et hausse de la chonologies de rupture (" disruptive ") sont en train d’émerger line) avait un intérêt pour la localisation de lésions non visibles en T2 et/ou lorsque les biopsies sont négatives, pour le dans certains endroits. Une bonne part de l’intérêt allait aussi aux techniques de bilan d’extension et également pour la corrélation à l’agrestraitement avec contrôle IRM (" monitoring ") comme les sivité (score de Gleason). D’autres se sont intéressés à de ultra-sons focalisés ou les techniques de cryothérapie, ap- nouveaux critères spectroscopiques, pic de Lactate surtout pliquées aux tumeurs solides de l’abdomen et du pelvis ou plutôt que pic d’Alanine qui semble moins discriminatif. du sein. Madame ClareTempany (Boston) a montré, dans un La spectroscopie in vitro peut mettre en évidence du gluexposé particulièrement dynamique, de nombreuses appli- cose dans la bile chez certains patients atteints de cancer cations et des salles " multi-modalités " associant scanner, des voies biliaires ou du pancréas avec rupture de la barrière hémato-biliaire et aider au diagnosIRM et arceau avec capteur plan dans un tic différentiel dans certaines cholestases seul et même endroit ou " suite interven(pancréatite auto-immune, cholangite sclétionnelle ". “ On assiste à un rosante). allongement de la ❏ La spectroscopie reste un sujet de durée des examens ❏ L’imagerie dite corps entier s’enricontroverse dans certains domaines. ainsi qu’à la multipli- chit sans cesse de nouvelles séquences Ainsi, elle pourrait être utile dans la quancation des images. ” ou de modification de séquences tification (IDEAL-SPGR + PRESS) non inconnues. On assiste donc à un allongevasive des stéatoses, souvent hétérogènes, ment de la durée des examens ainsi qu’à quelle que soit leur origine et dont les la multiplication des images, sans et avec injection de proconséquences sont souvent sous-estimées. En IRM mammaire, la présence d’un pic de choline dans les duit de contraste (Dynamic Contrast Enhanced MRI). Cela tumeurs malignes, inconstant donc non discriminatif, serait pose donc un problème de temps et de traitement d’iun indicateur de mauvais pronostic (chimiorésistance, at- mage (Station de travail et station de PACS). La solution peut aussi venir de séquences mixtes type XETA teinte ganglionnaire plus fréquente). L’étude ACRIN consacrée à la spectroscopie de la prostate (Extended Echo Train Acquisition), couplée à la technique a conclu de façon négative, mais au cours des séances scien- IDEAL (Iterative Decomposition of water and fat with Echo Asymetr y and Least squares Estimation) permettant d’obtenir des pondérations différentes au cours d’une même acquisition, avec imagerie en eau et en graisse, couplée ou non à l’injection de Gadolinium. L’utilisation plus systématique de séquences en apnée est aussi une solution partielle. L’IRM se trouve souvent en concurrence directe avec laTEP, et l’emporte parfois… C’est aussi le cas pour cer tains auteurs avec le Whole Body MRI, ou IRM du corps entier, de la tête au pied, avec acquisitionT1,T2 avec annulation du signal de la graisse (STIR) et imagerie de diffusion voire, en sus, imagerie T1 avec injection. Ce type d’imagerie est aussi applicable à l’imagerie des vaisseaux. Les constructeurs utilisent différentes méthodes pour y parvenir et les résultats sont plutôt spectaculaires. ❏ L’imagerie de diffusion est sortie du domaine de la neurologie pour être mise à toutes les sauces avec des facteurs de b variant entre 0 et 1000 voire plus. Il y a un certain in- 67 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 Actualité térêt, à confirmer, pour la caractérisation des lésions hépatiques et des lésions mammaires, avec les habituelles valeurs de chevauchement. Par contre, cette technique s’avère utile pour la recherche d’adénopathie, avec ou sans hypertrophie ganglionnaire, et la recherche de localisations (ovaire) dans les 2 m2 du péritoine. On observe aussi une baisse de la diffusion dans les pancréatites auto-immunes. La tractographie, grâce aux tenseurs de diffusion, peut être appliquées à l’étude des nerfs et des fibres musculaires… Kettering Cancer Institute à New York) dans sa conférence donnée en l’honneur de Paul Lauterbur. ❏ Enfin, les travaux se poursuivent sur les USPIO (Ultra Small Iron Oxyde Particle) depuis déjà presque dix ans sans mise sur le marché, sauf cas particulier, malgré des résultats intéressants (ORL, prostate). Enfin, selon Mme Hricak, nous allons vers la " P4 Medicine " : Predictive (dépistage biologique, biomarqueurs en imagerie), Preemptive (dépistage moléculaire et génétique, traitement guidé par imagerie), Personnalized (quantitative) et Participatory (Public informé, Médecine fondée sur la preuve). Elle a insisté, non seulement sur l’importance des critères de quantification, en allant jusqu’au Ktrans, mais aussi sur la volumétrie en 3D. C’est dire l’importance de l’association de critères morphologiques et de critères dynamiques et fonctionnels. Si l’IRM est une méthode dont l’avenir est toujours radieux, d’autres techniques deviennent très concurrentielles comme c’est déjà le cas de la TEP (Tomographie en Émission ❏ La course aux canaux et aux antennes se poursuit, au- de Positons) qui pourra s’adresser aux tumeurs mammaires delà du " marketing ", et des équipes de recherche ont mon- avec l’imagerie au 18 FDG avec la High Res PEM (Naviscan tré des antennes à 96 ou 128 voire 256 éléments.Tout est ®), soit la mammographie en émission de positons, qui perloin d’être maîtrisé et l’on s’intéresse aussi à l’acquisition dite mettrait de détecter des tumeurs de 2 mm dont la présence parallèle mais aussi à la transmission parallèle, qui est l’étape aurait été démasquée par des examens biologiques… d’après… Enfin, on peut aussi imaginer une transmission D’autres traceurs plus spécifiques sont également à l’essai sans câble. C’est dire que la recherche dans le domaine du comme le 18F Estradiol ou le 68Ga Herceptin. Il est également possible de quantifier l’hypoxie, qui " hardware " a encore de beaux jours est un facteur de résistance au traitement, multidisciplinaires devant elle… avec le 124I IAZG. Cependant, comme l’a rappelé Mme ❏ L’utilisation des produits de contraste “ Limportance Hricak, le cancer devient une maladie courants doit rester réfléchie, notamdes critères chronique et il faut réfléchir au mode de ment chez l’insuffisant rénal depuis la desde quantification. ” surveillance.Ainsi, un patient suivi pendant cription de la fibrose néphrogénique sycinq ans peut subir jusqu’à 27 examens témique dont 200 cas au moins ont été par TEP-Scanner, soit une irradiation qui rapportés, à l’origine de quelques décès. ne peut plus être négligée. Cette entité est surtout rapportée avec des chélates de type linéaire qui sont moins stables, par op- L’avenir de l’imagerie cancérologique est la quantification position aux chélates cycliques, avec un risque de libération, multiparamétrique, le cancer étant gouverné par une cenmême très faible, de gadolinium libre. La plus grande pru- taine de gènes et près de 1000 protéines alors que de dence s’impose donc dans l’emploi de ces produits et no- nouveaux modèles se développent et que l’on sait mieux tamment dans la gestion des doses, y compris en imagerie utiliser des index comme le Ki 67 ou le p Akt. Les nanovasculaire où la tendance était d’utiliser des volumes plus systèmes et les nanovecteurs permettront d’aller de plus en plus loin… importants. La place accordée à la cancérologie a été amplement démontrée dans les différentes communications mais aussi de façon très claire et brillante par Hedvig Hricak (Sloan Conclusion On sort d’un tel congrès aussi agité qu’un proton dans un champ magnétique soumis à un bombardement RF. On peut aussi être médusé devant ce foisonnement d’idées et ce rassemblement d’auteurs, et de cerveaux, qui ne manquent pas de conclure leurs exposés par un remerciement aux financeurs variés, institutions et " trusts " divers sans oublier les organismes d’État avec les " grants ". Il est clair que certaines régions du monde sont plus en avance que d’autres qui en restent à la pré-histoire de l’IRM, peut-être en attendant que le vent de la mondialisation leur apporte la bonne parole ??? ■ 68 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 Actualité Attributions ministérielles : Les décrets d’attribution des membres du gouvernement sont parus au Journal Officiel du vendredi 1er juin (n° 125). Nous présentons les principales compétences en matière de santé et d’assurance maladie partagées entre trois ministères. Le ministre du travail, des relations sociales et de la solidarité, Xavier Bertrand, est en charge de l’action sociale et de la protection sociale ainsi que de la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles. Il élabore et met en œuvre les règles M. Xavier Bertrand relatives aux régimes de sécurité soMinistre du travail, ciale et aux régimes complémentaides relations sociales res en matière d’assurance vieillesse, et de la solidarité d’accidents du travail et de maladies professionnelles, de prestations familiales ainsi que celles relatives à la gestion administrative des organismes de sécurité sociale. Il a, conjointement avec le ministre de la santé, de la jeunesse et des sports, autorité sur l’inspection générale des affaires sociales. Il dispose également, en tant que de besoin, de la direction de l’hospitalisation et de l’organisation des soins. ❖❖❖❖❖ Mme Roselyne BachelotNarquin, Ministre de la santé, de la jeunesse et des sports Le ministre de la santé, de la jeunesse et des sports, Roselyne Bachelot-Narquin est en charge de la santé publique, de l’organisation du système de soins, de l’assurance maladie et maternité. Le ministre de la santé met en œuvre les règles relatives à la politique de protection de la santé contre les divers risques susceptibles de l’affecter ; il est responsable de l’organisation de la prévention et des Nominations au cabinet de Madame Roselyne Bachelot-Narquin Directeur de cabinet : Georges-François LECLERC Directeur Adjoint : Antoine PERRIN Chef de Cabinet : Julien MARION Chef de Cabinet Adjoint : Luc PETREQUIN Responsable du médicament : Philippe SAUVAGE 70 soins ; il est également compétent en matière de professions médicales et paramédicales. Le ministre de la santé, de la jeunesse et des sports a autorité sur : la direction générale de la santé ; la direction de l’hospitalisation et de l’organisation des soins ; Il a, conjointement avec le ministre d’Etat, ministre de l’écologie, du développement et de l’aménagement durables, et le ministre de l’économie, des finances et de l’emploi, autorité sur la direction de l’action régionale, de la qualité et de la sécurité industrielle lorsque celle-ci exerce ses compétences en matière de sûreté nucléaire et de radioprotection. Il a également et conjointement avec le ministre du travail, des relations sociales et de la solidarité, il a autorité sur : l’inspection générale des affaires sociales ; le secrétaire général des ministères chargés des affaires sociales ; la direction de l’administration générale, du personnel et du budget ; et conjointement avec le ministre du travail, des relations sociales et de la solidarité et le ministre du budget, des comptes publics et de la fonction publique, sur la direction de la sécurité sociale et la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques. ❖❖❖❖❖ Le ministre du budget, des comptes publics et de la fonction publique, Eric Woerth, est responsable de l’ensemble des comptes publics et de la stratégie pluriannuelle en cette matière. Il est chargé, en liaison avec le ministre du travail, des relations sociales et de la solidarité et le ministre M. Eric Woerth, Ministre de la santé, de la jeunesse et des du budget, des comptes sports, de la préparation de la loi de publics et de la fonction publique financement de la sécurité sociale et en suit l’exécution. Il est responsable de l’équilibre général des comptes sociaux et des mesures de financement de la protection sociale. Il dispose, en tant que de besoin, de la direction générale des collectivités locales et de la direction de l’hospitalisation et de l’organisation des soins. LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 Statistiques Les dépenses de l’Assurance maladie : mars 2007 : Le taux de progression de l’ONDAM s’élève à 4,2% au mois de mars. Il résulte pour partie de la progression des dépenses de soins de ville (4,7%) et des versements aux établissements de santé publics ou privés. Dans l’agrégat des soins de ville, la progression des honoraires (5%) est supérieure à la moyenne alors que celle des prescriptions (4,4%) est légèrement inférieure. Les dépenses liées aux actes techniques (4,7%) sont légèrement inférieures à celles des honoraires médicaux (4,9%) alors que les honoraires dentaires sont largement au-dessus (5,9%). Dépenses de l’Assurance maladie - mars 2007 (Tous risques - Régime général - France métropolitaine) Prestations En milliers d’€ Consultations En % 1 508 442 4,4% 237 060 1,3% 1 400 183 4,7% 127 725 13,9% Total honoraires secteur privé (médicaux et dentaires) 4 025 929 5,0% Total prescriptions 7 281 041 4,4% Total soins de ville 13 832 807 4,7% Total Objectif de dépenses méd chir obst (ODMCO) 8 288 899 -0,5% Total dotations annuelles de financement des MIGAC 1 362 287 17,4% 3 171 942 5,4% 404 991 7,3% 13 228 119 2,7% 2 620 488 9,4% 29 681 413 4,2% Visites Actes Techniques (*) Forfaits scanner et IRM Total dotations annuelles de financement et autres versements du secteur public Total OQN et autres versements du secteur privé Total versements aux établissements de santé publics et privés Total versements aux établissements médico-sociaux Total ONDAM (*) Les actes en K, KE, Z, ZN, PRA, KC et forfaits chirurgicaux sont regroupés dans un seul agrégat : " Actes techniques " 71 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 Formation ASSOCIATION FORCOMED 62, bd Latour-Maubourg 75007 PARIS Tel : 01.53.59.34.02 - Fax : 01.45.51.83.15 [email protected] CALENDRIER DES FORMATIONS DU 2ème SEMESTRE 2007 Inscriptions en ligne : http://www.forcomed.org Vous pouvez également cocher la formation de votre choix et envoyer ce formulaire à FORCOMED - Fax : 01.53.59.34.02 - qui vous adressera un bulletin d’inscription Votre Nom : Votre n° fax : FORMATIONS DESTINÉES AUX RADIOLOGUES ❏ " Dépistage Organisé : Seconde Lecture Mammographique " 9-10 Novembre PARIS ❏ " Mammographie Numérique : Contrôle de Qualité et Lecture " 5-6 Octobre LILLE 23-24 Novembre PARIS 7-8 Décembre PARIS ❏ " Radioprotection en Radiodiagnostic : Patients et Professionnels " (durée : 1 journée) 28 Septembre PARIS 29 Septembre PARIS 16 Novembre PARIS 17 Novembre PARIS 30 Novembre PARIS 1er Décembre PARIS ❏ " Personne Compétente en Radioprotection – PCR Renouvellement " 6-7 Juillet PARIS 7-8 Septembre AVIGNON 12-13 Octobre PARIS 23-24 Novembre BORDEAUX 7-8 Décembre PARIS ❏ " Echographie Obstétricale de Dépistage du 1er Trimestre " 14-15 Décembre PARIS ❏ " Echographie Obstétricale de Dépistage du 2ème Trimestre " 27-28-29 Septembre PARIS complet 15-16-17 Novembre PARIS ❏ " Echographie Obstétricale de Dépistage du 3ème Trimestre " 14-15 Septembre PARIS complet 30 Nov.-1er Déc . PARIS 72 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 Formation Votre Nom : Votre n° fax : ❏ " Médicolégal en Imagerie Sénologique et Obstétricale " 14 Décembre PARIS ❏ " Coroscanner au Quotidien " 13 Octobre PARIS FORMATIONS DESTINÉES AUX RADIOLOGUES ET AUX PERSONNELS DES SERVICES D’IMAGERIE ❏ " Qualité en Imagerie Médicale (en collaboration avec Guerbet) " 21-22 Septembre PARIS FORMATIONS DESTINÉES AUX MANIPULATEURS ❏ " Organisation du Dépistage du Cancer du Sein - Contrôle de Qualité dans les Cabinets de Radiologie " 9-10 Octobre PARIS 5-6 Décembre PARIS ❏ " Contrôle de Qualité en Mammographie Numérique " 4 Octobre LILLE 22 Novembre PARIS ❏ " Formation à la Radioprotection des Patients (Manip+ACIM) " 12-13 Septembre PARIS 17-18 Octobre CAEN 19-20 Octobre CAEN 24-25 Octobre LYON 26-27 Octobre LYON 7-8 Novembre PARIS 12-13 Décembre PARIS FORMATIONS DESTINÉES AUX PERSONNELS DES CABINETS : MANIP,ACIM, SECRÉTAIRES, … ❏ " Formation Hygiène " 11-12 Octobre PARIS ❏ " Formation ‘Secrétaires 1’ :Accueil et Information des Patients " 13 Septembre PARIS 12 Décembre PARIS ❏ " Formation ‘Secrétaires 2’ : Gestion des Dossiers Patients – Optimisation de l’Outil Informatique " 14 Septembre PARIS 13 Décembre PARIS 73 LE MEDECIN RADIOLOGUE DE FRANCE n° 293 / juin 2007 Petites annonces CESSIONS ASSOCIATIONS [email protected] ou [email protected] - Offres 9101 - 33 - BASSIN D’ARCACHON, groupe de 4 radiol ch associé, activité clinique avec radio, séno, écho, doppler, ostéo, scan. 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