Salon des Carmes 2016 - Mairie de Saint Amand Montrond

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Salon des Carmes 2016 - Mairie de Saint Amand Montrond
Salon des Carmes 2016
INVITÉ D’HONNEUR
Jean-Jacques LAVERDANT
Artiste peintre
8 rue Petite Narrette
36100 ISSOUDUN
02 54 21 61 48
Jean-Jacques Laverdant est né le 1er avril 1945 à Le pont-chrétien-chabenet dans
l’Indre et est installé depuis des décennies à Issoudun.
Cet artiste peintre est diplômé des Beaux-arts de Bourges et a enseigné les arts
appliqués dans quelques villes du Berry dont Issoudun.
Il a eu la chance de rencontrer un grand peintre, Maurice Estève à Culan qui l’a
encouragé dans la voie artistique.
Il a participé à plusieurs expositions locales à travers le Berry.
Ses premières œuvres sont des peintures à l’huile. Elles sont très colorées et
toniques. D’ailleurs, il dit que la couleur est au fond de lui ; elle doit éclater,
exploser.
C’est dans les années 1970, que Jean-Jacques Laverdant s’adonne au travail de
l’encre de chine et du lavis pour ensuite retrouver la couleur avec la peinture
acrylique qui sèche plus vite et lui permet de retravailler sans perdre de temps.
Jean-Jacques Laverdant peint à plat ses horizons, pas besoin d’un chevalet.
Cette nature qui lui est si chère et qui lui vaut le surnom de « naturaliste abstrait »
demeure son point d'ancrage. Ce n'est donc pas un hasard s'il a longtemps peint les
étangs de Brenne.
L’artiste privilégie l’existence et quand le besoin se fait sentir, il se lance dans de
nouvelles créations.
Il aime la vie dans toutes ses composantes. Pour lui, l’humain et la matière sont
indissociables.
Rien ne l’oblige à rien ; tout est acte de liberté.
De courbes en aplats, il donne à ses créations une vision optimiste du monde, une
émotion chaude qui fait du bien aux yeux et aux rêves.
Salon des Carmes 2016
Catherine AUTISSIER-MAÎTRE
Plasticienne
Le Domaine Neuf
18160 INEUIL
09 62 09 44 02
06 77 57 85 57
[email protected]
Catherine Autissier-Maître (née à Paris en 1955, vit et travaille en Berry depuis 1995)
Après une formation artistique à l’atelier Martin-Talboutier (dessin et arts graphiques),
l’atelier de François Jean (sculpture) et celui de Monique Sidelsky (sculpture argile) à
Paris, elle réalise dans les années 80/90 des décors de théâtre et des affiches pour
des compagnies parisiennes (Théâtre de l’Epicerie, Théâtre de Nesle à Paris –
Théâtre des Arches à Louveciennes et Maison de la Culture de Fontenay sous Bois).
Elle est par ailleurs, titulaire d’une Licence d’arts plastiques (Paris 1 PanthéonSorbonne) et d’un Master 2 Pratiques plastiques contemporaines (Université Paul
Valéry de Montpellier3). C’est au cours de ce travail de recherche sous la direction de
Valérie Arrault, qu’elle s’intéresse à la « poupée » comme médium artistique et
dispositif dans l’art de Degas à nos jours.
Au travers de ses derniers travaux ;
Poupées (Exposition « Chair de poupées », 2013), Marque-Pages (Exposition
« Mémoire et Transmission », 2014) Paysages télescopiques et Dans le train vide
(Exposition « Paris-Berry/Berry-Paris », 2015) et Vie-Mort-Vie : La Femme sauvage
(Exposition « Femmes qui courent avec les loups », 2016)
Elle conserve cette approche de la mise en scène par le biais de ses installations,
mondes miniatures, mises en espace dans des boîtes, scénographies. Elle pratique le
dessin, la sculpture et la vidéo.
Elle est co-fondatrice de l’association Phalène-Arts Pluriels (créée à Paris en 1982)
dont elle est la directrice artistique et organise régulièrement des ateliers de pratiques
plastiques et stages techniques.
https://residencealicebutoh.wordpress.com/
https://www.facebook.com/Phalene.ArtsPluriels/
Texte de présentation :
Située dans l’entre-deux, la Poupée, ce « médium-médium », à la fois symbolique de
l’objet transitionnel et choix de médiation artistique est récurrent dans la production
artistique contemporaine. Que se trame-t-il dans cet objet qui accompagne la vie
humaine ? Si nous pressentons que de forts leviers sont en œuvre, d’autant plus
efficaces qu’ils sont pour la plupart inconscients, de quelles natures sont-ils ?
Ces poupées enveloppées de tissu couleur chair sont contraintes. Sont-elle
prisonnières, empêchées ? Ou au contraire évoquent-elles ces poupées rituelles
emmaillotées pour « panser », réparer, intercéder, protéger ?
Jouant sur les ambivalences, ces individus isolés, aux expressions symptomatiques
d’un malaise, et donc vraisemblablement en crise, offrent cependant plusieurs niveaux
de lecture. Grâce à leur modularité, ces poupées, seules ou groupées, alignées,
circulaires, ou massées, expriment tour à tour, toutes les formes d’isolement de
l’individu contemporain mais induisent aussi la capacité à se rassembler. Le corps
individuel se meut en corps social et pose la question du pouvoir, sur soi et sur l’autre.
Salon des Carmes 2016
Ludivine BARBAULT
Artiste peintre
30 A rue Fernand Léger
18000 BOURGES
06 61 40 35 27
[email protected]
Je suis née en région parisienne dans les années 80.
J'ai découvert le dessin vers l'âge de 17 ans par le biais de l'Ecole Municipale d’Art de
Saint-Amand-Montrond où j'ai suivi des cours plutôt académique (étude de nature
morte principalement au crayon).
Par la suite, je découvre d'autres médiums, notamment la peinture et la sculpture.
Je me détache progressivement des sujets d'observation imposés pour m’intéresser
davantage à la matière et à la recherche d'ambiance, d’atmosphère...
Après une première vie professionnelle dans le soin et le social, je m’oriente à la
rentrée prochaine vers des études d'arts plastiques, avec l’envie dans le futur de faire
fusionner ces différentes approches de ma personnalité au bénéfice d'autrui...
J'ai eu un grand coup de cœur pour les supports que je propose dans cette série.
Ce sont pour la plupart des acryliques peintes sur bois d'acacia provenant d'un bateau
récemment accidenté et entièrement désossé. J'ai choisi des paysages connus ou
chargés de sens pour moi, qui m'ont permis de symboliser la continuité de son
voyage.
Influencée par des "ambiances" que je trouve lors de vagabondage dans la nature. Je
me nourris d’excursions, d'errances solitaires...
En perpétuel changement, notre environnement ne cesse de se renouveler, se
transformer... je suis curieuse et sensible à la multitude de sujet qu'il offre.
Salon des Carmes 2016
Laurence BERNARD
Plasticienne
8 rue de la Halle
18800 BAUGY
06 82 14 24 54
02 48 59 16 59
[email protected]
Laurence Bernard vit et travaille dans une ancienne biscuiterie-chocolaterie, à Baugy
à quelques kilomètres de Bourges dans le Cher.
Laurence Bernard raconte souvent cette anecdote : alors qu’elle se présente à un
tiers, quelqu’un d’important somme toute, représentant une institution dont on taira le
nom, le gars - car oui, c’est un homme - lui demande lequel des deux est son prénom.
Elle rit, elle n’oublie pas qu’elle est là pour son travail, qu’il y a un intérêt à défendre,
mais elle rit néanmoins.
Le gars se vexe, tourne les talons.
Le travail de Laurence Bernard repose sur une indéfinition. J’aurais pu écrire de la
même façon que son travail repose sur une définition - du genre, de la féminité, d’une
identité recherchée - cela ne vient pas en contradiction. Car ce qui se produit devant
les pièces de l’artiste participe à la fois de la construction de soi et de la
déconstruction de quelque chose qui est à la fois l’artiste et un(e) autre. Comme dans
le poème de Verlaine : « Et qui n’est, chaque fois, ni tout à fait la même / Ni tout à fait
une autre, et m’aime et me comprend ». (On reviendra sur l’amour et la
compréhension).
Mêlant les techniques, superposant les strates, l’artiste palimpseste les vies dont elle
se nourrit, y incluant la sienne propre. Autoportraits multiples de l’enfance à l’âge
adulte, elle imprègne sa Fé-mi-ni-té de textes intimes et répétitifs comme les trais en
pointillés qui soulignent les formes et appellent au découpage - rouge vif en taches
indélébiles (« Va t’en, damnée tache ! Va-t’en, je te dis », Macbeth, acte V scène 1)
qui évoque tout à la fois le sang des menstrues et le vernis à ongles des dortoirs de
jeunes filles, un pensionnat-abattoir où les rôles sont préétablis. Ciseaux et fil rouge
sous-tendent, tissent et achèvent une existence qu’elle masque des deux mains,
dissimulant son visage-Parques ici pour le rechercher là, derrière ces crânes
d’animaux (ses plus récents travaux) qui suintent le bois, la vie perdue (coupée ?) et la
campagne qu’elle habite. Transpositions mêlent paysages et vies passées, transferts
de photographies et de dessins sur les chasubles qu’elle recueille au fil des rencontres
et dont l’histoire (la petite « minuscule » à la manière de Michon) comptée par les
donateurs résonne le long des cintres accrochées en mobiles, qui se frôlent et se
choquent.
Mais Laurence Bernard est avant tout généreuse dans ses compositions et vivante, à
l’image de son rire qui surprend et fait voler en éclats toutes les idées (noires ou
autres) que l’on a pu nourrir face à son travail protéiforme et ambitieux. Et comme l’on
s’extirpe du sommeil en se disant que ce n’était qu’un rêve qui déjà s’effiloche, ne
demeure devant soi que la formidable palette d’un savoir-faire en perpétuel
questionnement, un art dont chaque étape est comme la mue d’un animal : à partir de
sa peau, bâtir, dans la minutie de chaque geste, un autre soi qui dira plus précisément
qui l’on est (la compréhension) en abandonnant quelque chose, derrière - l’amour ?
Salon des Carmes 2016
Yannis BOUSSAC
Photographe
3 cour des quatre vents
18200 SAINT-AMAND-MONTROND
06 16 05 85 57
[email protected]
Yannis Boussac est né en 1973 à Montluçon dans l'Allier. Il grandit à la campagne, les
champs, les fermes, le foin, les chemins... la rêverie. Enfant extrêmement timide et
discret, il est passé inaperçu durant des années. Le dessin sera son premier langage.
Il a son premier appareil photo à 12 ans, un autofocus Canon qu’il a gardé jusqu'à ses
30 ans. Celui-ci a tout vu, tout vécu et mourut enrubanné de scotch. Yannis Boussac
est autodidacte, explorateur, bricoleur et contradictoire. Son évolution, il l’a doit à
l'observation des plus grands, qu'ils soient peintres, vidéastes, photographes ou
autres, du moment qu'ils l'inspirent.
Son langage c'est l'image. L'appareil photo est l'outil avec lequel il écrit les histoires
qu’il ne cesse d'imaginer. Yannis Boussac est un évadé de la réalité mais il est bien
encré dans la terre, fragile.
Installé à Saint Amand Montrond dans le Cher depuis l'an 2000 où il se révèle à
travers des rencontres extraordinaires, de belles émotions et une centaine d'aventures
artistiques dans des domaines plus différents les uns que les autres : acteur, auteur,
metteur en scène et graphiste au Théâtre de la Carrosserie Mesnier ; Créateur, coprogrammateur, éclairagiste du festival artistique pluri-disciplinaire "La rue est vers
l'art" ; des livres vivants à Vesdun ou les nocturnes historiques à Dun-sur-Auron et il
en oublie forcément... Il est pluri-artistique et impliqué dans la vie locale qu’il aime
haute en couleur.
Son poumon est l'Art, son âme est toujours Ailleurs, ses Emotions le guident, il va là
où la vie le mène. Son univers (artistique) c'est la Poésie.
Infographiste
Théâtre Carrosserie Mesnier (de 2000 à 2015)
Merlusines (de 2015 à aujourd'hui)
Acteur
Théâtre Carrosserie Mesnier (de 2001 à 2013)
Court métrage "Ten duinen" de Stijn Coninx à l'Abbaye de Noirlac (mars 2003)
"Livre vivant" de Vesdun (2004 et 2005)
Théâtre de l'Olivier (de 2004 à 2006)
Mise en scène
"Carmen Cru les enterrera tous" (2003)
"Nocturne historique" avec l'Office de tourisme de Dun sur Auron (Eté 2004 et 2005)
"Tradition oblige" (2014)
Ecriture et Mise en scène
"I love you, bye" (2007)
Créateur et Organisateur
Festival "La rue est vers l'art" (de 2005 à 2010)
Le crieur de rue (été 2016)
Photo
Prix de la photo insolite de Vesdun (juin 2002)
Exposition à St Amand-Montrond "Mon Oeil" (février 2008)
Parution dans le magazine "Photo" (mars 2010)
Exposition au Festival Coeur de France à Ainay le Vieil (juin 2015)
Exposition avec Passion'Art à St Amand-Montrond (décembre 2015)
Exposition avec Passion'Art à La Celette (mai 2016)
Site internet : www.yannisboussac.com
Facebook : Les balades silencieuses de Yannis B
Livres photos et Pièce de théâtre : www.blurb.fr/user/store/yannisb
Salon des Carmes 2016
Marie-Odile de LAFORCADE
Artiste peintre
Fontiaud
03210 AGONGES
04 70 43 93 05
[email protected]
Etudes
Ecole des Beaux-Arts, école Camondo (Paris)
Expositions :
Paris avec le salon de l’Ecole Française au musée du Luxembourg et à la galerie
Figure de 1997 à 2005
Moulins (Allier) avec le salon Moulinois des Beaux-Arts :
‐ Médiathèque : 2005 – 2007
‐ Galerie Moret : 2004
‐ Galerie des Bourdons : 2006
Casino de Bourbon l’Archambault (Allier) : 1999
Salon du Val de Cher (Cher) : de 2002 à 2013 et 2015 2016
Salon de Buxières les Mines (Allier) : 2011 à 2004 et 2006 – 2007
Vichy (Allier) au salon international de l’UFACSI en 2003
Bruxelles (Belgique) : salon international de l’UFACSI 2005
Grand-Duché du Luxembourg (Luxembourg) : salon international de l’UFACSI 2005
Yzeure (Allier), Chapelle de Bellevue : salon de l’UFAC 2007 ,2013 et 2016
Lurcy-Lévis (Allier) en 2006 et 2007
Sancoins (Cher) : 2006 à 2012, 2014 et 2015
Journée du patrimoine au Château d’Avrilly (Allier) : 2005 à 2009
Nouveau Casino de Bourbon L’Archambault (Allier) : 2008
Meillant (Cher) : 2008 à 2010 et 2014
Chevagnes (Allier) : 2008
Baugy (Cher) : 2008
Bruges (Belgique) : 2009
Foncine (Haute Saône) : 2009
Expositions personnelles :
Moulins (Allier) :
‐ Galerie Moret : 1987
‐ Médiathèque : 1998
‐ Galerie ART Expo : 2006 et 2011
Palais Ducal de Nevers (Nièvre) : 2001
Jaligny (Allier) : 2006
Saint Amand (Cher) : 2007
Cressy sur Somme (Saône et Loire) : 2008
Bourbon Lancy (Saône et Loire) : 2015
Salon de Sancoins 2015 (invitée d’honneur)
Récompenses :
Prix du pastel au Salon de l’Ecole Française (Paris) : 2001
Prix du thème au Salon des Beaux-Arts de Moulins (Allier) : 2006
Prix de la ville de Sancoins (Cher) : 2007 et 2011
Prix du Public à Sancoins (Cher) : 2014
Prix du Conseil Général de l‘Allier au Salon d’automne des Beaux-Arts de Moulins
(Allier) : 2008
2ème prix acrylique à Meillant (Cher) : 2014
Illustrations :
Ouvrages pour enfants aux éditions MAME, Droguet-Ardant et L’Harmattan
Illustration de « La souris verte en Bourbonnais » et « Retour de la souris verte » aux
éditions des Cahiers du Bourbonnais
Illustration de « Viens, écoute et vois » en collaboration avec Christiane KELLER aux
éditions Alliance
Illustration pour l’association « Aide et Soutien aux Enfants Malades » ; en
collaboration avec d’autres artistes ; sur deux ouvrages destinés aux enfants
hospitalisés« Faridoule » et « Amis-Mots »
Galeries :
Moulins (Allier) :
‐ Atelier Wagram
‐ ART Expo
Portraits :
portraits : sanguine, pastel, fusain, crayons (article du Figaro Madame en 1990)
Salon des Carmes 2016
José DUBOIS
Photographe
4 place Joseph Lessage
03210 HERISSON
06 77 06 24 61
[email protected]
José Dubois désire offrir et partager ce qu’il ne peut donner par sa peinture :
l’interprétation d’une émotion esthétique née de la mise en situation de ses modèles
dans l’espace, une expression différente de sa manière de les voir, une invitation à
emprunter un autre chemin de réflexion.
NOIR et BLANC. Fasciné par le corps féminin, il l’habille parfois de résille ou de
matière synthétique dont la texture, savamment ajourée, laisse sourdre des surfaces
de peau nue. L’enveloppe ainsi constituée est en fait le motif essentiel de sa prise de
vue. L’artiste l’utilise comme une seconde peau jusqu’à faire oublier l’originale.
Sculptant virtuellement le blanc avec le noir, il suggère le vide en lieu et place des
parties découvertes par le tissu, créant ainsi l’illusion d’un volume sans ombre et sans
lumière. Son art de la composition fait le reste.
NOIR et BLANC. José Dubois n’a pas jugé bon d’habiller d’artifices le corps nu du
model homme qui lui sert de modèle. Magnifique, ce corps est une sculpture vivante.
Le coup de génie de José est de lui avoir ôté la vie. Immergé dans l’eau courante, telle
une figure étendue d’Henry Moore, le modèle est littéralement pétrifié parmi les galets
du lit de la rivière dont il partage les mêmes valeurs de noir profond et dense.
L’élément liquide remplace l’enveloppe synthétique sans toutefois remplir la même
fonction. L’eau confère à la peau noire sur laquelle elle s’écoule un aspect minéral qui
participe au mimétisme du modèle dans l’environnement. L’homme de chair devient
sculpture de pierre, tantôt galet du gave, tantôt falaise de craie noire.
COULEUR. Sur le corps étendu, la carnation a chassé l’enveloppe, la vie a recouvré
ses droits. La pose lascive de cette danaïde de Rodin, revisitée par José Dubois,
incite à la contemplation. Plus que la femme nue, ici c’est la chair qui émeut, plus que
les volumes froids proposés par le marbre, c’est une tiédeur quasi palpable que l’œil
du photographe caresse. Les courbes et les rondeurs participent à cette douceur née
du rapport subtil de tonalités qui répondent à l’étoffe orangée serpentant sur le corps.
José Dubois est, avant tout, un peintre.
Qui veut appréhender le monde photographique de José Dubois, doit s’abstraire de ce
qu’il représente et laisser nourrir son imagination de l’impression rétinienne
spontanément imprimée par l’image.
José Dubois en quelques dates
Né à Moulins en 1970
2014 Galerie Écritures, Montluçon
2011 Château d'eau, Bourges
2008 Mezz´Art, Montluçon
2003 Château d'eau, Bourges
2002 Galerie Athanor, Montluçon
2001 Centre culturel, Commentry
2001 Galerie C. International, Paris
2000 Château de panloup, Moulins
1995 Hôtel de ville, Bourges
1994 Espace Henri Comte, Arles
1989 Première exposition, Cerilly
Salon des Carmes 2016
Michel DUBOIS
Artiste peintre
29 avenue Foch
76600 LE HAVRE
06 95 35 60 26
02 35 30 36 21
[email protected]
Michel DUBOIS est originaire du Havre où il pratique son art depuis plus de 35 ans en
compagnie d’amis peintres de sa région.
Son style, résolument réaliste, s’est affirmé au cours des années au contact de ses
amis et au fil des expositions personnelles ou des salons de groupe.
Présent à la Galerie « ART EN SEINE » au Havre ([email protected])
Sociétaire des « Amis des Arts » de Montivilliers depuis 1980 : association d’artistes
normands dont il a été président à plusieurs reprises ses dernières années.
Expose tous les 3 ans à la Galerie du Chenil de Graimville-Ymauville en Seine
Maritime.
Salon des Carmes 2016
Fany G.
Céramiste
Village potier « Les Archers »
18170 LE CHATELET
06 04 09 52 98
[email protected]
Fany. G est installée au cœur d'un petit village de potiers dans le Berry depuis
13 ans.
Après plusieurs Écoles d'Art (Sèvres, Paris), elle a enseigné la poterie durant une
quinzaine d'années tout en continuant à se former auprès de céramistes à Paris et
dans la Drôme.
Durant toutes ces années, elle n'a cessé de travailler les techniques de la céramique
et du Raku en particulier, en libérant son expression.
"Le modelage d'un oiseau et sa coloration demandent à la fois rêverie et
concentration (...). Dans le four, mes créations sont soumises à une métamorphose
qui est invisible et qui m'échappe… par expérience, mais aussi par affinité, je fais
confiance au feu … "
Fany. G vous présentera ses créations de petits volatiles, pièces uniques modelées
dans la masse d'argile chamottée, émaillées et enfumées.
FORMATION PROFESSIONNELLE
2009
Participation à un stage de création de dispositif artistique animé par
JF Matteudi anthropologue et réalisateur audiovisuel.
2005
Démarche commerciale dans les métiers d’art (Chambre de métiers du cher)
2000-02 Cours d’émaux de grès, Helena Klug, céramiste à Paris
1991-99 Stages tournage et raku chez Daniel puis Elodie Culis potiers dans la Drôme
EXPERIENCE PROFESSIONNELLE
2012-2014
Intervention photographique pour le projet « de proche en proche » en Septaine(18),
grande fresque comprenant environ 300 liens humains ; prise de vue, prise de notes ;
2011-2012
Action Aux Arts Lycéens au Lycée Agricole de Montoire (41800) dans la classe de
A .Thimonier (utilisation de terres naturelles, kaolin et oxydes métalliques dans
l'expression de l'autoportrait ; photographies ; réalisation d'un livre avec les élèves
« Portraits, je, tu, nous... ») ;
2009-2011
Ateliers céramique au collège Jean Rostand Saint Germain du Puy (18) : modelage,
émaillage et cuissons ;
2009-2016
Ateliers céramique au collège Jean Renoir Bourges (18) : construction d'un four en
métallerie ; modelage, émaillage et cuissons ; prises de vue photographiques des
travaux et animation ;
2009-2010-2011
Animation d'ateliers de sculpture à la faculté Polytech’Orléans (45) : approche de la
sculpture d'assemblage à partir de matériaux de récupération ; expositions et
performances ;
2005-2015
Interventions céramique collège Jules Verne Bourges (18) modelage, émaillage et
cuissons. Fabrication d'un four de cuisson avec les élèves.
EXPOSITIONS
2003-2015
Expositions au salon des métiers d’art d’Orléans(45), expositions dans des châteaux
en Touraine (37), marchés de potier dans le Cher et la Nièvre
http://www.fanyg.com/infos.html
2003
Inscription chambre des métiers céramiste
1987-2003 Responsable et animatrice de l’atelier céramique, sculpture et poterie
MJC du Vésinet (78)
1988-2003 Responsable et animatrice de l’atelier céramique, sculpture et poterie
MPT Chatou (78)
TRAVAUX PERSONNELS
Travail personnel de sculptures céramique animalières en raku avec assemblage de
matériaux divers : perles, acier soudé...
Travail de recherche personnel sur les émaux
Maintenance du site internet fanyg.com
Salon des Carmes 2016
Yves GARANDEL
Artiste peintre
5 rue du Stade
58200 COSNE SUR LOIRE
03 86 26 76 47
[email protected]
La peinture, le dessin, les couleurs sont pour Yves GARANDEL un moyen
d'expression, un moyen de raconter des sentiments et le rêve d'être artiste.
A l'école de Collonge, en Bourgogne, âgé de 12 ans, son maître et le Maire organisent
sa première exposition.
Après le certificat, il travaille dans l'horticulture à Versailles et commence à fréquenter
les peintres de la région. A Paris, il prend des cours du soir à la Grande Chaumière.
Les cours lui ont permis de s'améliorer techniquement. Il reste et sera toujours à la
recherche du jamais vu. La création est son domaine. Il ne veut pas des habitudes
picturales, pour cela il est peut-être inclassable. Seuls comptent ses rêves, fantasmes
et l'histoire de la nature.
1966, il part travailler en déplacement en France et à l'étranger : en Tunisie, Côte
d'Ivoire, Sénégal, Espagne, la Réunion et l'île Maurice, pour une entreprise de grande
téléphonie. Le soir, après le travail, il peint sur place ou dans la chambre d'hôtel et
expose dans divers salons et galeries des villes.
En 1976, à Rouen, il rencontre quelques peintres de renom. Une amitié de plus de 30
ans le lie avec Emmanuel Lemardele et Thèrèse Delacroix. Emmanuel lui conseille
d'aller plus loin dans l'art pictural, d'utiliser d'autres techniques. C'est le déclic du
pastel, du papier froissé, etc. Il rencontre les peintres Jean-Marc, Jean Carcel, Pierre
Godet, Lionel Desmarais, Jean-Marie Petiton. Il participe à divers salons de
Normandie, sociétaire du Salon de Rouen, Grand-Quevilly, Fécamp, Elbeuf, etc. Il
expose dans plusieurs départements et différentes galeries parisiennes et grands
salons : Comparaison, artistes français.
En 1993 et 1994, il part peindre à la Réunion et à Maurice. C'est la folie des couleurs,
l'île intense porte bien son nom. La nature tropicale lui donne beaucoup d'idées : les
arbres, les rochers, les champs de cannes, les différentes lumières et les mouvements
surtout lors des nombreux cyclones (5).
En 1997 et 1998, il part à Cuba et au Mexique et revient avec de nombreuses idées :
le Mexique avec les champs d'agaves : stylisés et demi figuratifs.
Pour Cuba : c'est le thème du tabac, des cigares, de la nature et de la jovialité des
cubains.
Depuis 2010, il expose dans les Salons du Pastel : Giverny, Saint-Aulaye, Balaruc-lesBains, Villepinte, Champniers, Fougères, Le Chesnay, Livry-Gargand.
En 2016 :
− invité d'honneur au Salon International de Pastel à GIVERNY
− invité au salon des Artistes Lorrains (ISARTIS) à RAON L'ETAPE
« Son travail consiste à interroger le monde qui nous entoure, surtout la végétation,
les paysages afin d'en extirper une représentation qui suscitera la réflexion du
spectateur.
Son travail peut être figuratif ou abstrait, en fonction de son humeur, son inspiration et
de ses fantasmes.
Yves Garandel aime créer un paysage soit figuratif ou plus abstrait comme la vue du
ciel.
Il utilise les techniques pastel, huile, acrylique, les encres et les techniques mixtes.
La peinture est pour lui une évasion, un moyen d'expression sans contrainte. Se
remettre en question, oser, étonner, amuser est son pain quotidien avec un peu de
poésie, beaucoup d'humour et de sincérité : c'est la vie ».
Salon des Carmes 2016
Pierre LAMBERT
Artiste peintre
680 route de Mirville
76110 VATTETOT SOUS BEAUMONT
06 80 42 23 87
02 35 31 44 14
[email protected]
Né le 7 janvier 1929
Sociétaire de la fondation TAYLOR depuis 2012
Peintre et maitre verrier
Ancien élève de l’Ecole Nationale des beaux arts de Paris
Ami et élève de Georges Braque
Salon des Carmes 2016
Emmanuelle LAVALETTE
Artiste peintre
13 rue des Carriers
18200 LA CELLE
06 82 31 84 14
[email protected]
Depuis toute petite, Emmanuelle a toujours été attirée par le dessin. D’aussi loin
qu’elle se souvienne, elle a toujours occupé ses moments d’ennuis avec un crayon à
la main.
Elle a fréquenté durant plus de dix ans l’école municipale d’arts de Saint-AmandMontrond, ce qui lui a permis d’étoffer ses connaissances et son intérêt pour certaines
techniques d’expression, mais aussi de gagner en qualité d’exécution et d’observation.
La première année, Emmanuelle a suivi le cours de stylisme de Caroline Barrière, puis
les cours de dessin et peinture de Blandine Poulet et enfin le cours de croquis de Jean
Doucet. En parallèle, elle suivait le cours de gravure de Michel Couvreur.
Afin d’évoluer dans le domaine manuel et artistique, Emmanuelle a suivi pendant
quatre ans une formation en bijouterie/joaillerie au lycée Jean-Guéhenno de SaintAmand-Montrond. La représentation de bijoux en trompe l’œil a été l’une de ses
activités favorites.
C’est tout naturellement qu’elle a entamé sa vie professionnelle dans le domaine de la
bijouterie.
Ce qu’elle aime dans l’art en général, c’est son aspect universel. Chacun peut s’y
sentir libre. C’est un échange informel accessible à tout un chacun, quelle que soit sa
sensibilité.
Salon des Carmes 2016
Jean-Louis LEROUX
Artiste peintre
2 avenue Pablo Néruda
76210 BOLBEC
06 73 28 08 46
02 35 31 50 51
[email protected]
Né le 27 décembre 1952 à Bolbec.
Jean-Louis LEROUX dessine depuis sa plus tendre enfance.
Essentiellement autodidacte, il rejoint en 1985 l’école d’arts plastiques dirigée par Pierre
LAMBERT, il y reste cinq ans et découvre l’aquarelle. Il se passionne pour cette
technique qu’il pratique régulièrement sur le motif et à l’atelier.
Il a aussi travaillé cette technique de 2013 à 2015 avec l’aquarelliste Rouennais JeanPierre RAULT.
En 2000, il participe à un stage en Ardèche avec Alain BONNEFOIT ou il s’initie à la
technique du sumi avec modèle.
Cette approche très orientale du dessin proche de la calligraphie lui permet de faire
avancer ses recherches esthétiques vers une nécessité d’aller à l’essentiel, de
synthétiser, d’épurer afin de trouver un équilibre dans la composition.
Il pratique le dessin académique avec modèles régulièrement comme un musicien
fait ses gammes.
Le dessin, la couleur, la composition, la lumière sont ses obsessions, il n’a de cesse
de vouloir partager son bonheur de peindre.
Il prend grand plaisir à dessiner et à peindre pour saisir l’instant, le geste, et le
traduire avec sa vision et sa palette, ne gardant que ce qui l’émeut.
Il poursuit son « écriture » sans message, sans se préoccuper des modes, travaillant
en extérieur et en atelier les paysages, les personnages, les nus indifféremment à
l’encre, l’aquarelle, la gouache, l’acrylique ou le pastel.
Bien que figuratif et passionné de dessin, ses recherches récentes l’emmènent de
plus en plus vers l’abstraction.
-
Elève de Pierre LAMBERT de 1985 à 1990 à l’école d’arts plastiques de la ville
d’Yvetot.
-
Travaille l’aquarelle dans l’atelier de Jean-Pierre RAULT de 2013 à 2015.
-
Membre de l’association EXPRESSION de Notre dame de Gravenchon, diplôme
d’honneur en 1986.
-
Membre de l’association « LES AMIS DES ARTS » de MONTIVILLIERS.
-
Sociétaire de L’AYAC à YVETOT.
-
Sociétaire des artistes indépendants normands.
-
Prix d’aquarelle au « Lions club » en 1990, 1993, 1994, 2003.
-
Casino de St VALERY en 1990, 1991, 1992.
-
Diverses expositions de groupes : Bolbec, Rouen, Le Havre, Bracquemont,
Criel sur mer, Etretat, Fécamp , Froberville, Goderville, Notre Dame de
Gravenchon, St Romain de Colbosc, Vattetot sur mer, Yvetot, Yvecrique,
Langres, Le puy en Velay.
-
Président de l’association des peintres de BOLBEC « LUNE BLEUE »
pendant 10 ans.
-
Sociétaire de la fondation TAYLOR depuis 2012.
Salon des Carmes 2016
Alain MÉCHIN
Sculpteur
16 rue des Crots
18400 ST FLORENT SUR CHER
06 82 28 66 37
[email protected]
Alain MECHIN né le 29 mai 1949 à Bourges, infirmier retraité, réside à Saint Florent
sur Cher.
Il a toujours été attiré par différents modes d’expressions artistiques : peinture, dessin,
photographie. Sa rencontre avec l’argile date de 1994, dans un atelier associatif.
La passion pour le travail de la terre se révèle et ne se démentira pas. Il éprouve vite
le besoin d’aller plus loin dans la création céramique.
Il crée son atelier poterie en 1999.
Il effectue ensuite différents stages de formation et notamment un stage de 6 mois
chez Agnès CHAPELET, céramiste à Neuilly en Sancerre. Il apprend le tournage, les
émaux, les cuissons.
Son travail s’oriente au début vers le grès tourné, utilitaire ou décoratif, ses pièces
sont émaillées et cuites à 1280° en four électrique.
Actuellement, sa démarche artistique évolue vers la création de pièces uniques selon
la technique Raku : Raku signifie « joie, bonheur, spontanéité » c’est une technique de
cuisson Japonaise utilisée autrefois lors de la cérémonie du thé, dont le rituel était
étroitement lié à la philosophie Zen.
Dans la technique Raku, il faut accepter l’imprévu, l’inattendu, l’aléatoire qui apporte
son lot de joies et de déceptions.
Il aime travailler la matière brute, mais aussi la surface de ses pots, vases, boites,
plats… Il met en valeur la texture de la terre, son coté brut, teinté de précieux avec
quelques émaux brillants. La surface est parfois rugueuse, marquée d’empreintes, de
déchirures, de traces ou d’écritures.
Il expose ses créations depuis l ‘année 2000 dans différents salons artistiques de la
région.
Il y a le temps de la création, seul dans l’atelier, source de questionnements et de
doutes, mais aussi d’espoirs. Puis vient le moment de la rencontre avec le public et les
autres artistes. C’est toujours un temps fort et l’aboutissement d’une période créative,
pour ensuite reprendre avec enthousiasme le chemin de la création pour aller
toujours plus loin.
PRIX OBTENUS
2002 : prix de l’Artisanat à Trouy
2004 : prix de l’Artisanat à Trouy
prix d’honneur à Fussy
prix de l’Artisanat à Lunery
2005 : prix de la Municipalité à Marmagne
prix du public à Morthomiers
2006 : prix de la Municipalité à Morthomiers,
2ème prix du concours d’Arts Plastiques de Vierzon
2007 : prix de l’Artisanat et prix du thème aux Aix d’Angillon
1er prix du concours d’Arts Plastiques de Vierzon
prix du jury à Beaulieu sur Loire
2011 : prix de sculpture au salon artistique des amis de Montmartre d’Issoudun
prix de sculpture céramique au salon artistique de Marmagne
1er prix Sculpture et Céramique au salon d’Automne de la ville de Vierzon
2012 : prix spécial de Bonny/Loire
2014 : 2ème prix du salon de la Bourboule
prix du public au salon d’automne de Vierzon
EXPOSITIONS PERSONNELLES ET SALONS ARTISTIQUES
2009 : Exposition en duo avec Isabelle SARIAN à la bibliothèque de Saint Germain du
Puy
2010 : Exposition à la bibliothèque de Fussy
2010 : Invité d’honneur à Lunery
2010 : Invité au salon artistique de Saint Doulchard
2011 : Invité d’honneur au Salon Artistique de Trouy
2012 : Salon d’Arts d’Automne de Bonny sur Loire
2013 : Exposition au « Prieuré d’Allichamps »
2014 : Exposition à la médiathèque de Saint Germain du Puy
Exposition au Musée Deshoulières de Foecy
Salon international de la Bourboule
Salon d’automne de Vierzon
2015 : Exposition à la Halle des métiers de Brinay
Exposition au Musée de l’ocre de Saint Georges sur la prée
2016 : Exposition à la médiathèque de La Chapelle Saint Ursin
Salon des Carmes 2016
Dominique PINEAU
Artiste peintre
L’Etang Neuf
18170 LOYE SUR ARNON
06 60 46 29 56
02 48 63 69 88
[email protected]
Né en Poitou-Charentes, il a suivi les cours de l’école des Beaux-Arts puis de
l’Académie des Arts Appliqués Bugeand à Poitiers.
Pendant de nombreuses années, il a exercé le métier de Directeur de création dans
une agence de communication et par conséquent, sa peinture où se mêlent sensibilité
et rigueur porte sans aucun doute l’empreinte de son métier.
Il veut récréer les bonheurs simples de la vie. Il aime imaginer des histoires où selon
ses inspirations chacun peut y retrouver un morceau de sa vie ou de son passé.
Par la perspective, la composition ou la façon de travailler le clair obscur, il recherche
une unité entre la lumière, la forme et le rythme.
Il travaille essentiellement à l’huile. Il prépare ses couleurs à partir de pigments afin
d’obtenir une certaine profondeur dans ses toiles notamment dans les ocres, les terres
de sienne et les bleus.
Il présente ses peintures dans des expositions personnelles, participe à de nombreux
salons régionaux et internationaux et a la joie de voir son travail recevoir différents
prix.
En 2004, il obtient sa cotation Drouot et en 2005 sa cotation Akoun.
Expositions
Grand Prix du Salon - Salon National des Métiers d'Art 2016 - LES AIX D'ANGILLON
Médaille d'Or - 34ème Salon du VAL DE CHER 2016 - St VICTOR
46ème Salon International de SAINTE MAURE DE TOURAINE - 2015
Médaille d'Or - Salon de COUBRON
32ème Salon International de Haute Loire LE PUY EN VELAY
68ème Salon ART VIVANT - Prieuré de VINETZ - CHÂLONS EN CHAMPAGNE
Prix de la Ville de REIMS en 2008 et 2010
Exposition 2010 Dortoir des Moines - ABBAYE de SAINT-BENOIT/POITIERS, invité
par la Municipalité
Salon d’Automne 2008 - ANNET-SUR-MARNE - Salon des Invités d’Honneur et Primés
Prix du Public - 43ème Salon d’Automne - CHÂTEAU-THIERRY
Grand Prix du Jury - Salon de Printemps 2007 – COURTRY
Diplôme d'Honneur et Prix Lefranc-Bourgeois en 2006 et 2007 - LE MANS
Grand Prix du Salon - Salon de Printemps SENS/MAILLOT 2006
Grand Prix du Salon d'Hiver de LYON
Médaille d'Or - 35ème Salon de LUTÈCE - PARIS - Concours Académie Internationale
Salon SNBA - Société Nationale des Beaux-Arts Carrousel du Louvre - PARIS
56ème Salon VIOLET - PARIS
Prix de la Ville et Prix de l'UECI - BRÉTIGNY-SUR-ORGE
Prix du Jury - Salon d’automne DORMANS
Médaille d’Or - Salon d’automne COUBRON
Prix du Conseil Général et Prix du Public - Salon Professionnel - ROISSY-EN-BRIE
Médaille d’Honneur - Salon de QUINCY-SOUS-SENART
Prix du Conseil Général 10ème Salon d’Automne IRIS - OZOIR-LA-FERRIERE
Invité d'Honneur : Reims, Royan, Sens, Orbay-l'Abbaye, Poitiers-Saint-Benoit, Courtry
Neuilly-Saint-Front, Bussy-Saint-Georges, Bellot, Chailly-en-Brie, Romilly-sur-Seine
Salon des Carmes 2016
Dominique PIOT THOMAS
Artiste peintre
33 rue Maurice Gorse
18500 MEHUN SUR YÈVRE
06 10 20 21 26
[email protected]
Ancienne élève de l'école des Beaux Arts de Tours
Diplômée de l'Ecole supérieure de Communication Visuelle Brassart de Tours
Dominique Piot Thomas a travaillé plusieurs années dans la publicité en tant
qu'illustratrice, maquettiste, graphiste dans des agences de communication en région
Lyonnaise, Nantaise et Touraine.
Suite à plusieurs déménagements pour suivre son conjoint et la naissance de ses
deux enfants, Dominique Piot Thomas a décidé de s'installer à son compte comme
artiste plasticienne, peintre en décors, illustratrice, designer et artiste peintre.
Depuis un peu plus de 10 ans, elle travaille sur commande pour ses clients rencontrés
sur les salons des métiers d'art et elle occupe ses loisirs à peindre des toiles plus
personnelles, ce sont celles qu’elle expose, assez rarement en fait.
La série des animaux fruits et légumes fait partie des créations récentes, traité avec
humour, car elle est persuadée qu'il faut apporter de l'humour et de la créativité dans
un quotidien bien trop décevant.
Premier travail personnel et exposition : le concours de peinture de rue organisé par
Saint- Amand-Montrond en 2000, pour sa première toile, elle a remporté le 1er prix.
L'année suivante, toujours à Saint-Amand-Montrond, elle a obtenu le 1er prix du
concours de peinture organisé par la ville sur le thème de la vie de George Sand.
Depuis ses débuts, elle a exposé à plusieurs reprises en Région centre, à Bourges au
Salon International de Peinture organisé par le Lions Club et ce plusieurs années de
suite, remportant successivement prix du public et prix de peinture mixte, à Amboise,
à Tours, à Brinay, à Vierzon, à La Bourboule, à Vannes, à Lyon... mais au final assez
peu d'expositions et de salons, préférant des lieux d'exposition plus intimes.
Salon des Carmes 2016
Liliane TOURREAU
Pastelliste
4 chemin de Jappechy
03410 DOMERAT
06 14 90 47 25
04 70 64 21 83
[email protected]
Elle est née à deux pas de Montluçon.
Grâce à une vie professionnelle dans le milieu bancaire qui l’amène à Paris, elle
découvre dans la capitale toutes les richesses de la création artistique et se laisse
contaminer par le virus.
En 2006, élève à la Société des pastellistes de France à Paris, elle est initiée à la
magie du pastel par des professeurs virtuoses de cette technique. Elle est
particulièrement séduite par l’enseignement dispensé à l’atelier des fleurs naturelles.
Capter la lumière à l’intérieur des pétales tout en rendant la transparence et la fragilité
de la fleur est un exercice difficile mais tellement inspirant, c’est son sujet préféré. Très
subtile, la technique du pastel convient parfaitement à sa sensibilité.
Elle expose au sein de Salons dédiés au Pastel : St Aulaye en Périgord, Fougères en
Bretagne, en Espagne etc… et dans sa région et ses alentours, aux Salons toutes
techniques du Val de Cher à St Victor, des Amis des Arts à l'Orangerie de la Louvière,
au Musé de la Marine à Magnette, etc…
En 2013, elle rejoint la Société des Pastellistes de France et expose parmi eux.
A l'Abbaye de St Florent le vieil (49), à l'Abbaye de Tournus (71), et à Montluçon
(03)(Pastels du Monde).
Depuis de nombreuses années elle s’implique dans la vie associative culturelle
Montluçonnaise et participe activement à l’organisation des expositions des
Pastellistes de France à Montluçon.
Salon des Carmes 2016
Marine VAILLANT
Graveur
6 impasse Chevreuil
18000 BOURGES
06 82 33 06 03
[email protected]
Une poétique géologique. Géologue de la plaque, rendre l'image poétique. Graver au
burin, à la pointe sèche, utiliser l'eau-forte, l'aquatinte, une taille directe ou indirecte.
Appréhender la plaque d'une manière scientifique, une expérimentation, tout ceci en
passant par le dessin, rendant le motif plus facile d'accès.
FORMATIONS
2015-2016 : actuellement en quatrième année aux Beaux Arts de Bourges en
préparation du Diplôme National d'Expression Plastique.
2015 : obtention du Diplôme National d'Art Plastique à l’École Nationale Supérieure
d’Art de Bourges
EXPERIENCES
Exposition « Le son que fait la page » du jeudi 26 mai au samedi 11 juin 2016.
Lectures performées et rencontres le jeudi 9 juin. Publication et lectures des étudiants
de l'Ensa accompagnés par Frédéric Forte, auteur en résidence à Bourges.
Participante au Salon du Livres Rares et Estampes au Grand Palais à Paris du 22 au
24 avril 2016.
Stage aux Ateliers Moret et Manonvillier à Paris en avril 2016.
Exposition à l’Odyssée du Savoir à Bourges de novembre 2015 à février 2016.
Exposition lors du workshop avec l’artiste Jagna Ciuchta « Dix étudiants, cinq jours,
trois expositions » du 16 au 20 mars 2015, Ensa Bourges, La Box.
Site internet : http://uneexposition.tumblr.com
Exposition aux Beaux Arts de Bourges avec les commissaires d’exposition Sleep
Disorders, vernissage le 25 mars 2015.
Montage et démontage d'exposition au Musée de l'Hospice Saint-Roch d'Issoudun en
septembre 2014 et en janvier 2015.
Salon des Carmes 2016
Claude VOISIN
Céramiste
13 rue des acacias
18000 BOURGES
06 33 72 31 67
02 48 20 32 33
[email protected]
Parcours
Après plus de 3 ans, sur Paris, de théâtre expérimental, de danse de jazz , de danse
africaine, de mime, … nourrissant notamment un langage du corps, après plus de
30 ans d’architecture, sur Bourges, faisant mûrir une prise de conscience des
espaces, des volumes, des vides, des pleins, des forces et équilibres de la matière
mais une certaine frustration de créativité, débute une incursion dans la terre mêlant
langage du corps et liberté créative.
La proximité du centre de céramique de La Borne ainsi que quelques amis céramistes
ont peu à peu suscité un intérêt grandissant pour la matière terre.
Depuis l’année 2000, Claude VOISIN commence à se confronter à la terre, à temps
perdu, en faisant de temps en temps des cuissons dites « à la sciure ».
La matière le fascine de plus en plus et l’expérimentation ponctuelle ne lui suffit plus.
En 2005, avec les conseils et apports techniques d’une jeune céramiste, il décide de
quitter l’architecture, de se construire un atelier avec un four « raku » et de s’immerger
totalement dans cette expérimentation.
Depuis 2006, des expositions à Bourges,Vierzon, Montluçon, Nevers, Amboise,
Orléans, Belfort, Aubigny, Haacht (Belgique), Cosne sur Loire, …
Depuis 2013, membre de l'Association Céramique de La Borne avec participation aux
expositions du Centre Céramique de La Borne.
Démarche
Peu de discours, besoin d’expérimentations assez diversifiées; gourmandise de la
découverte, travail de recherche permanente, intérêt marqué pour les différentes
textures possibles de la terre et les confrontations de formes, matières, couleurs.
« Construire des imaginaires, de nouveaux espaces de perceptions, distordre des
apparences pour aller à l’essence d’émotions simples ».
« La terre doit bouger, la terre doit danser, elle doit montrer sa vie, la terre doit révéler
sa plasticité, sa souplesse, sa délicatesse, sa tendresse, sa féminité, sa sensualité. La
terre doit aussi révéler sa force, sa puissance, sa rudesse, sa sérénité, sa
profondeur ».
« Beaucoup observer la terre pendant qu’on la travaille, à l’affût de ce qu’elle peut
raconter, révéler, moment privilégié, carrefour d’imaginaires, de dialogues et de
partages entre la matière et l’homme ».
Un regard extérieur
Claude VOISIN autodidacte dans la céramique, a d’abord cherché à découvrir
l’élément Terre en s’attachant à la regarder dans tous ses états, à essayer toutes
manipulations, sans aucun à priori.
Dans cette première étape, il a travaillé les matières et les textures pour cuire ensuite
ses pièces à la sciure. Comme dans une photographie en noir et blanc, aucun élément
‘’perturbateur’’ de couleur ne venant distraire de l’essentiel.
De cette période, est resté son attachement à la matière : polie jusqu’à en être
métallique ou brute, arrachée ou plus maîtrisée en stries régulières, aux nuances de
noirs des plus sombres aux gris, passant par des tonalités de bruns ou bleutés.
Le travail de Claude VOISIN se déroule en alternant des pièces parfois très différentes
dues à sa grande liberté de travail. Des œuvres parfois très géométriques viennent
contrebalancer une ligne générale toute en courbes et rondeurs. Les pièces peuvent
évoquer plus ou moins la nature, la féminité,… tout en étant complètement abstraites
pour la plupart.
Pas d’à priori ou de facilités, le spectateur est invité à participer, à imaginer.
Des directions de travail parallèles se croisent au rythme de ses pièces.
Le travail sur la courbe, que ce soit par des lignes, des surfaces ou par des volumes
se croise avec celui sur la plasticité éphémère de la terre, d’où un travail sur la torsion,
le déhanchement, le plissement, l’affaissement…
Le travail des volumes mêle contrastes des lignes, des matières, des couleurs.
De fines arêtes tendent des surfaces toutes en rondeur pendant que d’autres
serpentent pour créer des surfaces gauches. Le poli chaleureux d’un dégradé rouge
rencontre l’arraché noir de la pièce enfumée. L’intérieur lisse émaillé blanc s’oppose à
l’extérieur chaotique enfumé noir.
Le contraste est net, violent ou au contraire tout en nuances.
Dans ce jeu de contrastes se mêlent d’autres complexités : les couches se
superposent, s’empilent ou se dédoublent, démentant l’aspect extérieur des choses,
dévoilant d’autres secrets…
Les percements, perforations sont sources de graphisme, jouent en profondeur,
s’élargissent jusqu’à dessiner le vide par rapport au plein.
Les pièces de Claude VOISIN émerveillent par sa simplicité naturelle, surprennent par
sa liberté, interrogent ou transportent dans d’autres imaginaires…