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Installations, oeuvres interactives et évolutives, tableaux vivants, photographies et tirages numériques, design interactif. SUR LE FIL Vernissage jeudi 6 Octobre à 7h00 Exposition 6 Octobre – 6 Novembre 2005 Commissariat numeriscausa Biche de Bere Gallery 1506 Manhattan Avenue, Union City, New Jersey 07087 Ouvert du mardi au samedi de 14h00 à 19h00 Tel : +1 201 866 3919 / Fax : +1 201 866 8585 www.numeriscausa.com / [email protected] Sig Drunk, Jean-Charles Blais Nuage Fractal, Miguel Chevalier & Emmanuel Berriet Suite, Marion Duclos La Disparition, Thomas Lannes Floccus, Golan Levin Linea, Music2eye Tubulae 999 Monsieur QQ, Le Pixel Blanc, Antoine Schmitt Etre Sur le fil. Entre le vertige et la chute possible. Une situation instable et fragile qui résonne sans doute avec celle, critique, des arts dits numériques aujourd'hui. Une image faite de maturité timide et d'un certain besoin de reconnaissance. C'est avec la volonté d'exposer et de dynamiser ces territoires de l'art actuel que Biche de Bere, société française de prêt à porter et bijoux, et numeriscausa , société française de production d'expositions dédiées aux arts numériques, s'associent autour d'un cycle d'expositions programmé sur la saison 2005-2006, entre Paris, New York et Shanghai. Ce projet fait part d'une double ambition ; il porte à la fois sur une volonté d'aider les artistes à produire leurs oeuvres et à les diffuser sur le marché de l'art contemporain, en France et à l'étranger mais également sur le désir d'initier un lieu de référence et de découverte artistique dans chacune de ces capitales culturelles. Ainsi, après avoir été présenté sur Paris à la Biche de Bere Gallery, Sur le fil propose de réunir six artistes et designers autour du fil, de la ligne et du pixel, ensemble d'éléments constituant une grammaire fondamentale des arts numériques. Tout en les considérant comme des briques élémentaires de leur mode d'expression, chacune des installations présentées joue à sa manière sur les notions de fragilité, de tension et de mouvement rappelant discrètement ses références artistiques situées entre le cinétisme et le minimalisme. Oeuvres interactives (Miguel Chevalier & Emmanuel Berriet, Music2eye), tableau génératif (Antoine Schmitt, Golan Levin) installations lumineuses et optiques (Marion Duclos, Thomas Lannes), sculpture monumentale (monsieur QQ) et tirages photographiques. Là encore, ce rapprochement peut paraître délicat, tant la présence d'artistes utilisant des techniques mixtes aux cotés d'autres exclusivement numériques semble inhabituelle. Cela étant, il y a bien confrontation, et interconnexion dans cet aller-retour. De l'œuvre interactive à la représentation du numérique par l'analogique, nous assistons à l'altération des processus digitaux : de l'installation aux tirages photographiques. S'inscrivant dans un cadre d'exposition atypique - la Biche de Bere Gallery - Sur le fil se déroule dans l'espace comme un marqueur de territoire travaillant sur la structure et la matière en vue de créer l'hybridation entre les oeuvres et l'architecture. Sur le fil confirme la volonté de numeriscausa de créer sur chacune de ses interventions un accrochage alliant l'oeuvre, l'espace et la participation sensible des spectateurs. SYG DRUNK. Jean-Charles Blais. 2002 Courtesy Art-Netart Paris. France DVD vidéo daté et signé. Dimensions variables. Editeur art-netart Jean-Charles Blais, depuis ses premiers travaux au début des années 80, travaille le corps, qu’il décline de la tête au pied et de toutes les façons et sur tous les supports. Il commence par peindre sur des matériaux trouvés, le plus souvent au dos d’affiches arrachées : leur surface irrégulière, les épaisseurs et les déchirures qu’elles proposent lui suggèrent les figures qu’il y inscrit. Ses oeuvres sont peuplées de personnages déshumanisés, agrandis jusqu’au monumental. L’anonymat de la figure s’accompagne ainsi du flou des actions pour déjouer la tentation narrative et maintenir la peinture dans sa présence septique. Ses sujets sont à peine esquissés; ne subsistent plus que des fragments, des corps vus de dos ou des visages en ombre noire, des tableaux ”marqués par l’incomplétude de la figure”. Aujourd’hui Jean-Charles Blais réalise des tableaux numériques tout en poursuivant sa réflexion sur le corps. La nature technique de ces tableaux numériques, leur support d‘enregistrement en format DVD, implique une visualisation sous forme de projection ou de diffusion par écran. La conception et la réalisation d‘oeuvres utilisant la technologie numérique pour l‘art visuel engagent une mutation profonde ; les notions de dématérialisation et de multiplicité s‘imposent, les outils de mise en forme et de visualisation changent de nature, la relation du public à l‘objet d‘art sont ici bouleversée. Jean Charles Blais est né à Nantes en 1956. Il vit à Paris et à Vence. Il est représenté par des galeries en Europe, en Amérique et au Japon. Son travail a fait l’objet de nombreuses expositions dans les musées les plus importants (Capc, Bordeaux ; Kunstverein, Düsseldorf ; Centre Georges Pompidou, Paris ; Museum moderner Kunst, Vienne ; Porin Museum, Finlande, University of Essex, USA…). En France, de nombreuses commandes publiques lui ont été confiées : Station de métro Assemblée Nationale, L’université Léonard de Vinci, le Palais Préfectoral de Nice…). Son œuvre est bien évidemment présente dans de nombreuses collections particulières. Biographie Sélective 2004 Catherine Issert Gallery, Saint-Paul, France Miracle, Musée Réattu, Arles, France 2003 Double vue, Kenji Taki Gallery, Tokyo, Japan Double vue, Kenji Taki Gallery, Nagoya, Japan DVD’Art, And A Aoyama, Tokyo, Japan lorian Sundheimer Kunsthandel, Munich, Germany 2002 Double vue, Espace des arts, Chalon sur Saône, France Yvon Lambert le Studio, Paris, France Superposition, rez d’art contemporain, Meyzieu Colette, Paris, France Valode et Pistre , Paris, France 2001 Impressions, Blais, Dubuffet, Ernst, Kopac, Matisse, Lewitt, Viallat Face, Galerie Buchmann, Cologne, Germany 2000 Neue Arbeiten, galerie Sandmann+Haak, Hannovre, Germany Kenji Taki gallery, Tokyo, Japan Kenji Taki gallery, Nagoya, Japan Modernism, San Francisco, USA Toutes les expositions sur http://www.art-netart.com/blais/default.htm NUAGE FRACTAL. Miguel Chevalier et Emmanuel Berriet. 2000 Installation interactive Logiciel AAASeed, Emmanuel Berriet Intergraph, vidéoprojecteur, capteur photosensible Dimensions variables Courtesy Galerie Tarasiève, Paris (FRA) Photo Frédéric Lanternier Nuage Fractal est une installation de réalité virtuelle interactive où un nuage est peu à peu généré par les gestes des visiteurs qui coupent un faisceau de lumière. Ils déclenchent alors le mouvement d'un générateur de formes fractales. La structure simple au départ se complexifie au fur et à mesure que les spectateurs jouent et dialoguent avec l'oeuvre. Si personne n'intervient sur l'interface, ce nuage se stabilise et nous passons ainsi d'un état de l'oeuvre en perpétuel changement à un fond où règne le bleu plus profond d'un ordre statique. Biographie Sélective Miguel Chevalier est né à Mexico en 1959, Il travaille principalement à Paris où il est installé depuis 1985. Diplômé de l'École Nationale Supérieure des Beaux Arts de Paris en 1980 et de l'École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs en 1983. Il a reçu la bourse Lavoisier pour le Pratt Institute à New York en 1984 et a été lauréat de la Villa Kujoyama à Kyoto en 1994. Miguel Chevalier a acquis, grâce à sa formation pluridisciplinaire et ses voyages à travers le monde, une grande expérience artistique. Son art se caractérise depuis 1982 par une exploration des technologies d'aujourd'hui. Son champ d'investigation prend ses sources dans l'histoire de l'art dont il reformule à l'aide de l'outil informatique les données essentielles. Ses thèmes se rapportent à son observation des flux et des réseaux qui organisent nos sociétés contemporaines. Il s'est imposé internationalement comme l'un des pionniers de l'art virtuel et du numérique. Les images qu'ils nous livrent interrogent perpétuellement notre relation au monde. De nombreuses expositions personnelles et collectives en France et à l'étranger lui ont permis de développer une démarche très particulière, notamment à l'ARC, Musée d'Art Moderne de Paris en 88, à la galerie Vivita à Florence (Italie) en 89, aux Jeux Olympiques d'Albertville et de Barcelone en 1992, au Muséo de artes visuales à Caracas (Venezuela) en 1993, au Centre G. Pompidou "Vision urbaines" en 1994, au Musée Carrillo Gil à Mexico en 1996, à la Staatsgalerie de Stuttgart "La magie du chiffre" en Allemagne en 1997, à l'Espace Cardin "Périphérie" à Paris en 1998, à la Fabrika à Beyrouth "Mémoires & mutations" (Liban) en 1999, à la Biennale de Kwangju (Corée) en 2000, au Musée Marco de Monterrey "Metapolis" (Mexique) en 2002, au domaine Orenga de Gaffory "Sur-Natures" (Corse), à la Bourse du commerce de Paris "La croisée des réseaux" (France), à la Cité internationale de Lyon "Tisser des réseaux" (France) en 2003, et "Métacités " à la galerie Tarasiève (Paris) en 2004. Présentation de Paradis Artificiels au centre d'art de Vitry-sur-Seine, dans la galerie souterraine du Métro d’Oslo, à la FIAC 2004 sur le stand de la galerie Suzanne Tarasiève, à la galerie RLBQ lors du festival RIAM01(Marseille) et à l’ exposition Intrusions 0-1 présenté par Ars Numerica (Montbéliard) . Une monographie retraçant la période de 1985 à 2000 a été publié aux éditions Flammarion avec la collaboration de Pierre Restany, de Laurence Bertrand Dorléac et de Patrick Imbard. Un CD-Rom des installations vidéo et de réalité virtuelle réalisé avec Christine Buci-Glucksmann complète cet ouvrage. Enfin, Surnatures, un livret édité par la galerie municipale de Vitry et la galerie Suzanne Tarasiève est publié en 2004. Toutes les expositions sur http://www.miguel-chevalier.com/ SUITE. Marion Duclos. 2005 D’un mur s’échappent des fils de lumière qui tombent en une éclaboussure de fibres optiques. Les vases, tout ce que la main rencontre vient alors recueillir ces gouttes lumineuses ; la fibre s’immisce, s’enroule, s’infiltre. Irisée, la lumière s’échappe en poétique dégât des eaux. SUITE nous met en situation d’urgence neutralisée, ce qui aurait pu être, ce qui a dû se passer… Avec cette installation de fils de lumière, Marion Duclos poursuit son travail aux frontières de l’art et du design sur les accidents de réalité. Biographie 2004 Création de la sarl design & fils Edition du lustre Sue Elen par Electrorama Expositions 2005 Suite. Exposition Sur le fil. Commissariat numeriscausa. Paris. France Suite. Biennale de design. Pekin. Chine 2004 "Very Speed Dating à St Germain des Prés", Avec Sandrine Faivre, Guillaume Linard, Antoine Lesur . Galerie Sophie Raynaud, Paris Avec le centre de design de Marseille, "Savon et Chocolat, matière à confusion", Marseille 2003 Avec Aurélie Badoual, Anatol Yassef "ça_là, expériment" design et cuisine, ouverture du restaurant du Palais de Tokyo, Paris 2002 Avec Zwart_op et VIA "super ordinaire" une réception donnée chez Marika Chaumet et Serge Bielakoff Salon Habiter, Jardin de Tuilleries invitée jeune créateur Toutes les expositions sur http://www.numeriscausa.com/pages/artistes.html FLOCCUS, Golan Levin. 1999-2001 Courtesy Bitforms New-York. USA « En 1999, j'ai commencé à étudier les moyens par lesquels des lignes dynamiques graphiques pouvaient se doter d’une physique réaliste. Après quelques expérimentations j'ai développé un modèle pour représenter la structure fondamentale de ces lignes "physiques" dans lesquelles un élément fini et une simulation de masse/ressort/amortisseur se composent d’un système de particules virtuelles reliées alternant ressorts linéaires et torsions. Le modèle a l'effet de simuler les propriétés de tension des filaments physiques minces, tels que des cheveux ou des brindilles. J'ai utilisé ce modèle physique pour créer deux systèmes de dessins réactifs, /Brillo/ et /Floccus/." Dans /Floccus/ (le nom est une terminologie latine pour" Boule de poils"), les filaments malléables dessinés par le remous de l'utilisateur autour d'un décalage, un drain imaginaire centré au curseur de l'utilisateur. Ces filaments - déchirés par des impulsions contradictoires pour préserver simultanément leur longueur et aussi pour éloigner et attirer vers le curseur – trouvent un équilibre en formant des masses de nœuds. Le son est généré n temps réel par un logiciel de synthétise granulaire, dont les particules de bruits réagissent dans leur lancement, durée, amplitude et timbre à la physique de la simulation fondamentale. Biographie Sélective Golan Levin est un artiste, un compositeur, un interprète et un ingénieur intéressé par le développement d'artefacts et d'événements qui explorent de nouveaux modes souples d'expression réactive. Son travail est centré sur la conception de systèmes pour la création, la manipulation et l'exécution de l'image et du son en simultané, en tant qu'éléments d'une enquête plus générale sur le langage formel de l'interactivité, et des protocoles de transmissions non-verbaux dans les systèmes cybernétiques. À travers la création (souvent avec une variété de collaborateurs) de performances, d'artefacts numériques et d'environnements virtuels, Levin utilise de manière créatrice les technologies numériques afin de mettre en lumière notre rapport avec les machines, ainsi que nos modes d'interaction les uns avec les autres, et d'explorer les liens entre la communication et l'interactivité. Le travail de Levin comporte une varété d'oeuvres en ligne, d'installations et de performances. Il est connu pour la conception et la création de Dialtones [2001], un concert dont les sons étaient entièrement exécutés par les sonneries soigneusement chorégraphiées des téléphones portables des membres de l'assistance, et pour The Secret Lives of Numbers [2002], une visualisation interactive en ligne de données présentée à la Whitney Biennial en 2004. Auparavant, Levin s'était mérité un prix de distinction au Prix Ars Electronica pour son logiciel interactif Audiovisual Environment Suite [2000], ainsi que pour la performance audiovisuelle qui l'accompagnait, Scribble [2000]. Plus récemment, Levin et son collaborateur Zachary Lieberman ont présenté la première de RE:mark [2002], une installation interactive, et Messa di Voce [2003], une performance en nouveaux médias. Levin est diplômé du MIT Media Laboratory, oè il a étudié avec John Maeda au sein du Aesthetics and Computation Group. Îl a aussi travaillé pendant quatre ans en tant que concepteur dans le domaine de l'interactivité et et comme chercheur à Interval Research Corporation. Levin est présentement professeur auxiliaire en arts électroniques à Carnegie Mellon University; il est représenté par la galerie bitforms, à New York. Toutes les expositions sur http://www.bitforms.com/artist_levin.html LE PIXEL BLANC. Antoine Schmitt. 1996-2005 « Ordinateur, pixel blanc, algorithme de comportement. » Un pixel blanc erre sans fin dans un espace rectangulaire, en laissant des traces qui s'effacent. Ses mouvements sont lents, avec des accélérations brusques. Il ne dessine rien, il décrit de multiples trajectoires. Son mode d'être, sa manière de bouger résultent du fonctionnement, devant nous, de l'algorithme sous-jacent, modélisé d'après une interprétation personnelle du modèle freudien conscient/Inconscient. La qualité de son mouvement tend à nous interroger sur la cause de celui-ci. Nous sommes en présence d'une entité artificielle minimale, ancrée dans le temps présent. A l’image de son pixel blanc, Schmitt dépouille le visuel de toute signification pour se concentrer et nous concentrer sur les causes, les forces à l’œuvre qui créent une forme animée dans un temps présent, un temps réel. Le théâtre des opérations est nécessairement l’ordinateur, outil de manipulation du temps par excellence. Si le programme informatique orchestre ce qui se réalise à l’écran, il n’est en rien la recette à découvrir mais l’opérateur formalisant un « mode d’être », noyau du travail de Schmitt. Extrait de l’article de Samuel Bianchini paru dans Parpaings #32 en avril 2002 . Biographie Sélective Artiste plasticien et programmeur, Antoine Schmitt se place à la croisée de l’abstraction et de la simulation dynamique. Il utilise la programmation comme matière à part entière, pour réaliser des installations, expositions en ligne, performances et CD-Roms, dans lesquels il confronte des systèmes artificiels abstraits aux visiteurs ou à des performers. Il fabrique de nouvelles sortes de formes dynamiques en recréant algorithmiquement les causes du mouvement, les forces sous-jacentes aux actions, chassant sans relâche la forme de l'être au plus profond de la nature humaine. Infra-langage, la sensation est au cœur de ses réalisations. Ce travail a été récemment primé dans plusieurs festivals internationaux : medi@terra (Athènes 1999), Interférences (Belfort 2000), transmediale.01 (Berlin 2001), festival international de vidéo-danse (Paris 2002), Life 5.0 (Madrid 2002). Comme commissaire, membre de jury, conférencier et éditeur du portail gratin.org, Antoine Schmitt explore le champ de l’œuvre d’art programmée. Il est un membre central de Transitoire Observable, regroupement d’artistes programmeurs. Prochainement Gameplay, performance chorégraphique, avec K.Danse Expositions 2005. Présentation de Vexation. Sonarfiles 10 years of sonar, Sevilla. Espagne Display Pixel avec Vincent Epplay Transmediale.05, Berlin. Allemagne. Display Pixel avec Vincent Epplay. Festival NetMage. Bologna. Italie. Présentation du Pixel blanc.13ème Prix Möbius des Multimédias.Ile de la Réunion. Présentation du Pixel blanc. Exposition Sur le fil. Biche de Bere Gallery. Commissariat Numeriscausa. Paris. France Le Solo. Exposition collective. Ecoute. Centre Pompidou. Paris 2004. Exposition Invisible. Centre d‘art contemporain. Sienne. Italie. Exposition Drawn by Reality - Encapsulated in Life. Pittsburgh. USA Exposition Ecoute Centre Pompidou. Paris. France. Festival Scopitone. Nantes. France. Sonarfiles 10 years of sonar. Madrid. Espagne. 2003.Les Laboratoires d’Aubervilliers. France Festival MAEM. Espagne Festival Artronica. Bogota. Colombie. Festival of Video and New Media. Santiago. Chili Ars Electronica. Linz. Autriche Toutes les expositions sur http://www.gratin.org/as LA DISPARITION. Thomas Lannes. 2004 Deux grandes plaques de verre réfléchissant emprisonnent une série de tubes néons : la lumière ne peut se libérer et se reflète ainsi à l’intérieur, le spectateur pouvant observer le phénomène à travers le verre, comme une visualisation de ce qui se passe dans l’espace de la caméra une fois que la lumière a pénétré l’objectif et reste emprisonnée. Ce dispositif réfléchissant pourrait être rapproché du “Metro cubo d’infinito (Oggetti in meno)” (1965-66) de Pistoletto, qui serait son contraire : il s’agit d’un cube formé de miroirs avec leur surface réfléchissante vers l’intérieur. La lumière dans ce cas ne peut pas rentrer, et les miroirs sont donc plongés dans le noir; l’idée que nous pourrions nous faire de l’infini comme multiplication omnidirectionnelle de l’image est donc fausse, et c’est finalement l’absence de lumière qui est réfléchie sans fin. Extrait du texte de Ruggero Penone sur l’exposition Hôtel Reliance.2004 Biographie Sélective Expositions personnelles 2004 AAAc, Musée, Luxeuil-les-bains 2003 Chambre N°1, Les Instants Chavirés, Montreuil 2002 Skyborders, Espace de la Chantrerie, Cahors 2001 Puz-zler, Espace Art Reflex International, Paris 2000 Duell, Galerie Expo 3000, Berlin Expositions collectives 2005 Présentation de Ping Pong. « Partenaire particulier cherche... » Glassbox. Paris Présentation de la disparition. « Surface des territoires ».Centre culturel français. Fribourg. Présentation de la disparition. « Surface des territoires ».Markgräfler Museum. Müllheim. Allemagne Présentation de la disparition. « Sur le fil ». Commissariat Numeriscausa. Biche de Bere Gallery. Paris 2004 Hôtel Reliance, Mains d’Oeuvres, Saint-Ouen 2002 Mémoire Photographique, FNAC, Mulhouse Station, Kunstraum Bethanien, Berlin Magistrale, 48 Studen Neukölln, Berlin Umplan3, Mulhouse 2001 Momemtum, Neue Galerie Landshut, Niederbayern 2000 Virage Sud. Galerie Julio Gonzalez, Arcueil-Paris Participation au concept d’exposition Sarkis, CAPC, Bordeaux 1999 Images de Pensées, Galerie Interface -Red District. Marseille. Chantier, Centre Rhénan d’Art Contemporain, Altkirch Exposition & performance. Galerie Le Quai, école des beaux-arts de Mulhouse 1998 Workshop avec Rainer Oldendorf, Galerie Le Quai, école des BA de Mulhouse 1997 Exposition collective, Musée d’Art Moderne, Céret Prix – Bourses – Résidences 2004 Résident permanent à La Blanchisserie, Ivry-sur-Seine Résidence à Point Ephémère, Paris 2001 Bourse du CEAAC, Strasbourg, avec Matthieu Husser et Yannick Mauny Kunsterpreis Altdorf (Prix de la ville d’Altdorf), Allemagne Prix du Conseil Général, Diagonale 2001, Cahors Toutes les expositions sur http://www.numeriscausa.com/pages/artistes.html TUBULAE 999. Monsieur Q.Q. 2004 Elément d’une série d’installations à base de tubes PVC formant une structure filaire, un échafaudage chaotique, TUBULAE 999 s’installe ici comme une pelote éclatée, un écheveau en suspension, une représentation de la circulation invisible d’un électron libre propre au lieu. Sorte d’attracteur étrange, ce cocon de l’art numérique s’inspire également des agrégats de micro particules Venant se développer dans la structure de la verrière, la forme se suspend et s’étend dans l’espace, jouant légèrement avec la pesanteur. Par sa souplesse et sa forme courbe, elle dégage un côté organique, accentué par les ondulations qu’elle émet lorsqu’on la touche. Ce projet est une des phases d’un travail d’ampleur, et inscrit dans le temps, de Monsieur QQ sur les volumes filaires, la ligne tridimensionnelle matérialisée dans un espace. La volonté de l’artiste, à travers une réflexion globale sur l’architecture adaptative, est de travailler sur le rapport analogique/numérique par le truchement de la matérialisation du virtuel, de l’invisible. Biographie Sélective 2005 2004 2003 2002 2001 2000 1999 1998 1996 1993 Présentation de Tubulae 999. « Sur le fil ». Commissariat Numeriscausa. Biche de Bere Gallery. Paris Construction du décor de la pièce de théâtre "les muses orphelines" au Théâtre Tristan Bernard. Direction et construction des accessoires pour les cérémonies d'ouverture/fermeture des jeux paralympiques d'Athènes 2004. Décorateur sur les tournages pulicitaires de "Tic-tac" et "Lustucru" Scénographie et réalisation de l’installation interactive : « Viral Counter Attack » (J. Nechvatal/ Music2eye) Résidence à la Gaîté Lyrique et exposition à l’espace Landowski, Boulogne Billancourt « Hamlet – Machine », pièce de théâtre mis en scène par Clyde Chabot Exposition d’illustrations à « the Kitchen ». Paris Exposition sur les Bozoms au « Marchand de sable ». Paris Divers chantiers de décoration (théâtre, cinéma, musée) Design et réalisation de N-O-E-M-I sculpture interactive avec Music2eye Travaux vidéo avec le collectif YA-K Réalisation et projections de visuels pour Ars Longa. Paris Décorateur (cinéma, pub TV) Expositions de peintures et dessins à la galerie W. Paris Exposition chez Trazita boutique de mode. Paris Exposition au Centre d’Art Microscopique de Paris. Paris Installation/performance au Ventre de la Baleine et aux Frigos. Paris Fondation de la Tette Galerie Expositions sur l’America’s cup au RDV Toyota sur les Champs Elysées et à la galerie W Exposition aux Frigos et au Ventre de la Baleine Assistant photographe pour F.ATLAN Installation Les Angealoux à la bibliothèque municipale d’Etampes Création de la vitrine Renault Kangoo pour Spirit (Boulogne) Diplômé en Design à l’institut St Luc (Belgique) Diplômé en Arts Plastiques à l’institut St Luc Toutes les expositions sur http://www.numeriscausa.com/pages/artistes.html LINEA. Music2eye 2004 Linea est une installation interactive qui figure une perception artificielle abstraite dont le vocabulaire est le point et la ligne. A l’inverse d’une œuvre optique où le corps se déplace dans l'espace pour la dévoiler, Linea joue sur la boucle d'interaction qui met en jeu l’image du spectateur en mouvement. A la fois détecteur de quantité de mouvement en même temps que translation du réel en lignes, Linea est une œuvre sensitive qui prend le corps comme point de départ. Linea s’inscrit dans le travail de music2eye sur l’image de soi commencé avec image-mouvement. Une camera est placée sous un écran et observe le spectateur qui lui observe l'écran. Lorsqu’ aucun mouvement n'est perçu, l'image est parsemée d'un treillis de pixel. Des qu'une forme en mouvement pénètre dans le champ de la camera, les pixels s'allongent jusqu'a donner des fils qui soulignent la forme et la vitesse des objets en mouvement. Comme un miroir abstrait et ambigu qui souligne uniquement les corps en mouvement. Crée en 2002, Music2eye est un collectif artistique parisien dont les sculptures et les installations évolutives explorent le design comportemental, c'est à dire l'implication d'entités artificielles dans des processus créatifs et interactifs. Music2eye revendique son attachement à l'univers des machines, à l'art industriel, au C++ ainsi qu'à la culture du rhizome. Biographie Sélective Expositions personnelles & collectives 2005. Présentation des Surnatures. Nuit Blanche 2005. Paris Présentation des Surnatures. Festival Arborescence 2005. Aix en Provence Présentation de Computer Viral Attack (Joseph Nechvatal) et des Surnatures (Miguel Chevalier) à l'exposition Electroscape. Shanghai Zendai Museum of Modern Art, Shanghai, Chine. Nuits d'art-ventures 2005. 3eme édition. Présentation du tableau interactif des Surnatures. Paris Présentation de Paradis Artificiels. Espace Montlouis. Tours. France. Présentation de Linea. Festival Art Rock. Saint Brieuc. Côtes d’Armor. France. Présentation de Point Ligne Plan. Film de Bernard Michel. Création logicielle Music2eye. Siège de la banque Roland Berger. Paris. France. Paradis Artificiels et de Linea. 13ème Prix Möbius des Multimédias. Ile de la Réunion. Linea. Exposition Sur le fil. Biche de Bere Gallery. Commissariat Numeriscausa. Paris. France Paradis Artificiels. Vœux de la société de production Movingstars. Paris. France Paradis Artificiels. Prix Axart. Paris. France 2004. Présentation de Paradis Artificiels. Exposition Intrusions 0-1. Ars Numerica. Montbéliard. L'art de la fugue. Création Ballet de l'Opéra National du Rhin. Scénographie & Création logicielle : music2eye. Viral Counter Attack. Galerie RLBQ. Festival RIAM01. Marseille. Paradis Artificiels Galerie Suzanne Tarasiève.. FIAC 2004. Paris. NOEMI et Image Mouvement.Festival Villette Emergences. Villette Numérique. Paris Paradis Artificiels. Galerie souterraine du Métro d’Oslo. Norvège. Paradis Artificiels. Galerie Municipale de Vitry sur Seine. France. After Attack . Exposition personnelle en collaboration avec Joseph Nechvatal. Heartgalerie. Paris. France. Hamlet Machine de Heiner Muller. Mise en scène de Clyde Chabot. Création du programme Hamlet-Disease. Viral Counter Attack avec Joseph Nechvatal. Espace Landowski. Boulogne-Billancourt. France. Magie Numérique . Exposition collective. Sur-natures. Centre culturel d’ Oyonnax. Viral counter Attack. Résidence à la Gaîté lyrique. Paris. France 2003. Lolita .Scénographie & Visuels Music2eye. Grand Théâtre de Genève Genève. Suisse. Toutes les expositions sur http://www.music2eye.com Sur l e fil Vernissage jeudi 6 Octobre à 19h00 Exposition 6 Octobre – 6 Novembre 2005 Sig Drunk, Jean-Charles Blais Nuage Fractal, Miguel Chevalier & Emmanuel Berriet Suite, Marion Duclos La Disparition, Thomas Lannes Floccus, Golan Levin Linea, Music2eye Tubulae 999, Monsieur QQ Le Pixel Blanc, Antoine Schmitt Biche de Bere Gallery 1506 Manhattan Avenue, Union City, New Jersey 07087 Ouvert du mardi au samedi de 14h00 à 19h00 Tel : +1 201 866 3919 / Fax : +1 201 866 8585 www.numeriscausa.com / [email protected] numeriscausa Stéphane Maguet / Julie Miguirditchian Jean Noel Colas / David Remondeau / Galaad Milinaire tél : +33 (0)1 43 15 98 03 /+33 (0)6 13 50 56 16
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